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Déterminants de la Performance Financière des Firmes Bancaire

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par Ali Sougui Ousmane
Université Privée Montplaisir - Tunis - Maà®trise 2008
  

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Premier Chapitre

LES DETERMINANTS DE LA RENTABILITE ET DU

RISQUE BANCAIRE

INTRDUCTION :

D

epuis toujours la Finance en générale et le secteur bancaire en particulier ont été au coeur de l'activité économique et de ses divers niveaux d'évolution. A cet égard, il y a eu un bon nombre de théories et de méthodes pour illustré

cet état de fait. Au cours des trente dernières années, les recherches consacrées à la relation entre le rendement d'un actif et celui de son risque ont pris une extension considérable. Les prix Nobel (1990) en économie comme H. Markowitz et W. Sharpe leurs travaux portent essentiellement sur la relation entre le rendement et le risque. Par la même occasion on peut citer les études telles que Levine (1996) montrent que l'efficacité des intermédiaires financiers peut aussi influencer la croissance économique. En outre on trouve également certaines études établissent une relation entre la rentabilité des banques et les taux d'intérêts. Mise à part ces théories et méthodes précédemment citées, on a aussi un nombre conséquent d'études qui se sont penchées sur la question des déterminants de rentabilité des banques. On a entre autres : Ryan (1972) a analysé les banques de taille moyenne ; Short (1979) s'intéressa à la relation entre le profit des banques commerciales et la concentration au Canada, en Europe de l'Est et au Japon et quant à Bourke (1989) et Molyneux and Thornton (1992), ils se sont penchés sur le cas des banques de grande taille.

Notre travail sera reparti en trois sections : la section première parlera des déterminants de la performance et de la rentabilité bancaire sous tout ses aspects ; la section deux sera réservée aux différents risques bancaire qui peuvent influencer la

rentabilité et enfin la troisième section sera consacré à la validation empirique des données recueillies au niveau des banques et du modèle théorique retenu.

SECTION 1 : LES DETERMINANTS DE LA RENTABILITE

BANCAIRE

La rentabilité est un rapport entre les gains et les fonds engagés. Elle mesure l'aptitude d'une opération économique à produire un flux de revenus actualisé supérieur aux dépenses engagées. Quant à la rentabilité financière, elle est une évaluation de la rentabilité qui tient compte seulement des capitaux propres de l'institution en question (une banque, une entreprise...).

1.1.APPROCHE THEORIQUE

Le secteur financier est indispensable pour toute nation afin de lui assurer une économie en bonne santé qui répond aux besoins et ambitions des principaux acteurs économique qui constitue cette économie. Il remplit un bon nombre de fonctions importantes pour l'économie. Les exigences des acteurs économiques ont conduit à de nombreuses mutations au niveau des prestations.

La rentabilité d'un établissement de crédit représente son aptitude à dégager de son exploitation des gains suffisants, après déduction des coûts nécessaires à cette exploitation, pour poursuivre durablement son activité. Elle est issue du processus de transformation au sens large (telles que sur les contreparties, les taux d'intérêt, les devises ou les échéances) mis en oeuvre par les établissements de crédit dans le cadre de leur fonction d'intermédiation.

1.2. LES DETERMINANTS DE LA RENTABILITE

Dans le jargon de la finance et celle de la littérature économique, les déterminants de la rentabilité bancaire sont regroupés en facteurs externes et internes à la banque. L'estimation de la plupart des facteurs internes indiqués par la littérature se fait à partir de données difficilement généralisables. En effet l'on peut trouver des données pour une zone donnée qui ne sont pas comparables de façon internationale Haslam (1968).

D'autres variables dont les données sont disponibles et suggérées par la littérature sont les ratios de capital et de liquidité, les prêts / Dépôts, les pertes sur emprunts d'exploitation et certains frais généraux Short (1979. Ce sont en général des facteurs liés à la gestion. Quant aux facteurs externes, ils ne sont pas sous le contrôle direct de la gestion mais sous celui d'autres institutions. La littérature suggère plusieurs facteurs susceptibles d'influencer la rentabilité des banques (comme : la taille, le risque bancaire, la concurrence...).

1.3. MESURE DE LA RENTABILITE

Les autorités prudentielles utilisent plusieurs instruments d'appréciation de la rentabilité. Ces derniers se répartissent en trois grandes catégories Nouy D. (1992). Une première approche consiste à mettre en évidence les soldes intermédiaires de gestion. Cela permet d'identifier les éléments ayant concouru à l'obtention du résultat final. Ces soldes sont globalement le produit net bancaire, le produit global d'exploitation, le résultat brut d'exploitation, le résultat d'exploitation et le résultat net. La seconde approche de mesure de rentabilité consiste à analyser les coûts, les rendements et les marges. Cela est essentiellement motivé par la nécessité de prendre en compte l'ensemble de l'activité bancaire, y compris les activités de service et de hors-bilan, et le souci de calculer un indicateur simple et facilement utilisable dans les comparaisons internationales. La troisième approche comprend l'ensemble des ratios d'exploitation calculés afin de mettre en évidence les structures d'exploitation. Il s'agit notamment du coefficient global d'exploitation qui montre de façon synthétique la part des gains réalisés qui est absorbée par les coûts fixes; Le coefficient de rentabilité (return on equity, ROE) qui exprime le rendement du point de vue de l'actionnaire et ne recoupe pas forcement les besoins de l'analyse financière; Le coefficient de rendement (return on assets, ROA) qui exprime de façon assez globale le rendement des actifs. L'inconvénient de sa référence au total de bilan est qu'elle ne fait aucune différence entre les actifs malgré les risques non convergents; l'indicateur de fragilité financière qui doit être relativisé comme indicateur de poids des risques; et, du ratio de solvabilité (Ratio de Cooke) qui est destiné à mesurer la solvabilité.

janvier 1993 les banques doivent respecter un ratio de 8% entre le total de leurs actifs (pondérés par le risque de non recouvrement des créances) et leur fonds propres. Il s'agit d'un ratio de solvabilité qui contraint les banques à réduire leur crédit et/ou à augmenter leur fonds propres. Un nouveau ratio prudentiel est en cours d'adoption : il s'agit du ratio Mac Donough.

1.4. LES PRINCIPAUX RESULTATS DE L'ACTIVITE BANCAIRE 1.4.1. LE PRODUIT NET BANCAIRE PNB :

Le produit net bancaire (PNB) est un indicateur qui rend compte de l'ensemble des activités de la banque (dans ses différentes fonctions, d'intermédiation, de marché, etc.) et détermine sa marge brute. Le PNB s'obtient donc en soustrayant à la somme des produits d'exploitation la somme des charges d'exploitation.

Les principaux composants du PNB sont :

- Les intérêts perçus sur la clientèle et ceux versés aux tiers,

- Les produits du portefeuille titres et des participations,

- Les autres produits d'exploitation bancaire (essentiellement les commissions de services).

PNB

BT

BIAT

Amen B.

UBCI

BH

BNA

STB

2000

69.914.000

135.457.997

64.660.000

62.268.000

80.312.081

124.460.000

140.216.000

2001

74.548.000

149.148.724

77.699.000

66.190.000

84.484.297

131.060.000

135.686.000

2002

83.380.000

157.791.000

72.125.000

64.655.000

93.620.279

133.416.000

124.236.000

2003

83.475.000

158.306.000

77.976.000

62.670.000

86.416.901

131.781.000

116.916.000

2004

81.519.000

168.525.000

78.926.000

64.780.000

104.892.114

135.619.000

124.236.000

2005

89.908.000

178.509.000

92.414.000

68.836.000

123.270.286

147.937.000

143.637.000

2006

110.326.000

212.067.000

98.519.000

73.481.000

145.260.582

175.948.000

182.727.000

2007

115.894.000

228.627.000

114.921.000

81.982.000

168.931602

191.231.000

206.548.000

Graphique I :

Comme on peut le constater sur le graphique ci-déçus, la BIAT affiche le PNB moyen le plus élevé de ses homologues avec un maximum de 173553965,1 dinars en 2007, contrairement de l'UBCI qui a le PNB moyen le plus bas c'est-à-dire 68107750 dinars.

Graphique II :

Cette figure retrace l'évolution du produit net bancaire du secteur de la période allant de 2000-2007. Le produit net bancaire a connu une évolution significative pendant ces huit dernières années. Il est passé de 96755439,71 dinars en 2000 à 158304943,1 dinars en 2007.

Les commissions sur services sont de plus en plus recherchées par les banques pour améliorer leur rentabilité et parce qu'elles ne sont pas sensibles aux variations de taux.

A noter que le produit global d'exploitation (PGE) agrège au PNB des produits et des charges relatives à des activités qui ne relèvent pas d'opérations bancaires au sens de la loi de 1984 (locations d'immeubles par exemple).

1.4.2. LE RESULTAT : BRUT D'EXPLOITATION, COURANT AVANT IMPOT, NET - Pour les banques, le résultat brut d'exploitation (RBE) est égal au PNB (le cas échéant au PGE) diminué des charges de structure. Il est un indicateur de référence de l'activité bancaire proprement dite (hors provisions et éléments exceptionnels). Le coefficient net d'exploitation est un ratio important qui rapporte les charges de structure au PNB (il mesure la part du PNB qui est consommée par ces charges : il est préférable qu'il soit nettement inférieur à 70%).

- Le résultat courant avant impôt est égal au RBE diminué des dotations aux provisions et des pertes sur créances irrécupérables, il prend donc en compte le risque de contrepartie.

- Enfin, le résultat net tient compte des produits et charges exceptionnels, des dotations ou des reprises au fonds pour risques bancaires généraux, et de l'impôt sur les sociétés.

1.4.3. LA RENTABILITE : ROE, ROA :

Pour exprimer l'évolution de la rentabilité, deux critères sont les plus souvent utilisés : le coefficient de rentabilité financière (Return on Equity ROE) et le coefficient de rentabilité économique (Return on Asset ROA).

- Le retour sur fonds propres (Return on Equity, ROE) est un ratio qui mesure la rentabilité des fonds propres de la banque. C'est le résultat net rapporté aux fonds propres.

Une autre manière de calculer le ROE est la suivante :

Avec :

> MP = Marge de profit = Bénéfices nets après impôt / Revenus totaux > RA = Rendement de l'actif= Revenus totaux / Actifs totaux moyens > LF = Levier financier = Actifs totaux moyens/ Fonds propres moyens

Le ROE exprime la rentabilité de point de vue des actionnaires puisqu'il met en évidence le rendement de leurs investissements. Cependant cet indicateur, peut donner une fausse image de la rentabilité, car un fort coefficient de rentabilité financière peut provenir d'un faible niveau de fonds propres.

- Le retour sur actifs (Return on Assets, ROA) est l'expression de la rentabilité des actifs de la banque. Il rapporte le résultat net au total du bilan.

L'inconvénient de cet indicateur est, d'une part qu'il place la totalité des actifs sur un même plan, alors que les risques correspondant à chaque actif sont différents. D'autre part, il néglige les activités hors bilan qui prennent de plus en plus de l'ampleur ces dernières années.

Pourquoi cette référence récurrent aux « fonds propres » ? C'est que l'activité de banque est affectée par des risques, pour elle-même et pour ses clients : les profits de la banque doivent servir non seulement à rémunérer ses actionnaires, mais aussi à renforcer les dits fonds propres, dernier recours en cas de réalisation du risque.

1.5. LES NORMES DE GESTION : LES RATIOS DETERMINANTS DE LA

RENTABILITE BANCAIRE

La réglementation bancaire fait obligation aux banques de respecter des normes de gestion sous forme notamment de ratios (liquidité, solvabilité,...). Ces normes sont destinées à sécuriser l'ensemble du système bancaire, ainsi que l'amélioration de la performance des banques.

1.5.1. LE RATIO DE LIQUIDITE

Son respect doit permettre aux banques de faire face à leurs exigibilités à court terme avec leurs utilisations (ou emplois) de même durée. L'ensemble des crédits inférieurs à un mois doit être supérieur aux ressources de la même durée.

1.5.2. LE RATIO DE SOLVABILITE (ou Cooke)

Il concerne le renforcement des fonds propres et leur solvabilité. Les fonds propres et les fonds assimilés doivent être supérieurs à 8 % des risques crédit de la banque (engagements pondérés par les risques crédit et pays plus équivalent risque crédit hors bilan).

1.6. LE RATIO D'EXPLOITATION

1.6.1. LE RATIO DE RENTABILITE ECONOMIQUE (ROA)

C'est la rentabilité de l'actif total de la banque. Ce ratio est un indicateur du rendement et de la profitabilité de la banque.

ROA

BT

BIAT

Amen Bank

UBCI

BH

BNA

STB

2000

1,91

1,28

1,42

1,6

0,95

0,81

1,20

2001

2,08

1,26

1,47

1,67

0,77

0,73

1,06

2002

2,1

0,8

0,83

0,71

0,63

0,46

0,46

2003

2

0,73

1,39

0,69

0,57

0,43

0,46

2004

2

0,48

0,91

0,93

0,61

0,080

0,12

2005

2,1

0,52

0,91

0,58

0,66

0,19

0,82

2006

2,3

0,51

0,82

0,96

0,76

0,36

0,46

2007

3,1

0,44

1,06

1,16

1,30

0,56

0,62

Données collectées auprès de l'APBT et de chaque banque

Le rendement de l'actif des banques Tunisiennes tourne autours de 0.99% en 2007. Cette moyenne est en dessous des normes prudentielles qui sont de 2%.

La tendance générale du secteur est à la baisse. Sauf la BT qui essaye de s'aligner autour des normes européennes. On peut conclure que la BT sait bien exploiter la croissance de ses actifs. Cela peut être expliqué par la composition du PNB, qui montre que la part des commissions est très faible.

Cette figure représente l'évolution moyenne du ratio de rentabilité économique du secteur bancaire en Tunisie, on constate qu'il est une très grande différence entre le ROA moyen des banques. La tendance du secteur est très bien illustrée par le graphique, l'unique banque qui à un ratio de rentabilité économique raisonnable est la Banque de Tunisie (BT). Via ce graphique on peut affirmer que l'unique banque en Tunisie qui à la maitrise du ratio de rentabilité économique et qui sait bien exploiter la croissance de ses actifs est bien la Banque de Tunisie (BT).

1.6.2. LE RATIO DE RENTABILITE FINANACIERE (ROE)

Le Return on Equity (ROE) est devenu un ratio de communication financière pour attirer les investisseurs. Le ROE se définit de manière très simple :

Cependant cet indicateur peut donner une fausse image de la rentabilité parce qu'un fort coefficient de rentabilité financière peut provenir d'un faible niveau des fonds propres.

ROE

BT

BIAT

Amen Bank

UBCI

BH

BNA

STB

2000

15,07

12,7

17,18

12,33

11,90

6,70

11,50

2001

16,07

14,7

16,63

12,35

11,43

6,76

9,76

2002

16,2

9,45

9,33

4,80

8,85

4,22

4,60

2003

13,9

9,04

14,52

4,75

8,57

4,22

4,32

2004

13,4

6,57

9,31

6,74

9,11

0,90

1,25

2005

13,4

6,71

9,23

4,70

9,57

2,29

8,48

2006

14,4

5,54

8,85

8,47

11,47

4,41

4,97

2007

20,1

5,06

10,79

10 ,65

15,85

7,27

6,87

Données collectées auprès de l'APBT et de chaque banque

On constate d'après le tableau 2 que le rendement des fonds propres des banques de dépôt est encore faible. La tendance générale du secteur est à la baisse depuis 2002. La BT est la seule banque qui a pu garder un niveau de rendement des fonds propres qui la rapproche un peu des banques européennes dont le rendement des fonds propres est d'environ 25% . Quant à la BNA, elle accuse une stagnation en 2002-2003 avec un rendement sur fonds propres de 4,22% et enchaine les baisses pour les années qui suivent et avec une très forte baisse en 2004 pour reconnaitre ensuite une hausse significative en 2007. Cependant, le rendement moyen des fonds propres des autres banques à la fin de l'exercice 2007 est de 8.45%. Graphiquement on aura :

Cette figure nous montre une fois de plus à quel point les banques on du mal à avoir la maîtrise des ratios, l'unique banque qui a un niveau acceptable du Return on Equity ROE moyen sur la période 2000-2007 est la Banque de Tunisie. Les restes des banques n'ont pas seulement attient le niveau requis, mais ils en sont très loin de ce niveau.

1.7. LE RATIO DE COUVERTURE DES RISQUES (RCR) OU RATIO Mc

DONOUGH

Le ratio de couverture des risques fait un rapport entre les fonds propres, composés d'un noyau dur (capital et réserves) et d'éléments complémentaires tels que les provisions et les titres subordonnés, et l'actif du bilan et les engagements hors bilan pondérés aux risques. Ce rapport ne doit, en principe, pas excéder 8% c'est-à-dire que pour un actif total de 100, la banque doit avoir au moins 8 de fonds propres.

Il est possible de constater que dans le tableau qui suit nous nous limitons à six banques au lieu de sept et la période sera de 2000-2005 au lieu de 2000-2007. Ceci est indépendant de notre volonté, car les données qui servent à la détermination du ratio de couverture des risques ne sont pas disponible dans leur totalité.

RCR

Amen Banque

BT

BIAT

UBCI

BNA

STB

2000

10

12,33

10,3

10,5

11,9

10,85

2001

10,50

13,36

9,40

11,3

9,94

11,23

2002

9,50

16,21

9,20

14

9,01

11,27

2003

9,40

17,33

8,90

15,83

9,38

10,35

2004

9,06

18,14

7,725

14,39

10,32

9,83

2005

9,51

18,79

8,01

13,02

9,84

9,106

Source : Rapports annuels de l'APBT et de chaque banque

Graphique V :

Il est évident que la tendance générale du secteur est à la baisse depuis 2003. Malgré cela, on constate que le ratio de couverture des risques est en moyenne sur ces six dernières années et pour ces six banques égales à 12%, supérieur à la norme prudentielle fixée par la banque centrale, soit 8%.

banque paraît la plus stable, et ses excellents résultats réalisés au cours de ces dernières années sont le fruit d'un respect de plus en plus affirmé des règles et normes prudentielles, en plus de sa maîtrise bien planifiée des risques qu'elle encoure. Graphiquement on aura :

Graphique VI :

Ce graphique illustre très bien à quel point les banques sont vulnérables vis-à-vis du risque encouru. Parmi ces six banques, ya une qui sort un peu du lot, c'est la Banque de Tunisie. C'est l'unique banque qui gère très bien son risque de crédit et c'est aussi la plus stable parmi les restes.

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"Je ne pense pas qu'un écrivain puisse avoir de profondes assises s'il n'a pas ressenti avec amertume les injustices de la société ou il vit"   Thomas Lanier dit Tennessie Williams