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Base des données orientées-graphe: migration du relationnel vers le noSQL

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par Lubwele Kamingu
Université de Kinshasa - Licence (Bac + 5) 2014
  

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CHAPITRE 2

NOSQL

I

l peut paraître un peu absurde de parler de NoSQL dans un environnement où quasiment tout le monde parle de SQL, jusqu'ici le SQL est le langage qui se trouve dans presque tous les lieux où l'on parle de base de données. Bien que les bases de données utilisant le SQL battent son plein, cela ne nous empêche en aucune façon de parler son homologue qu'est le NoSQL.

Etant donnée une augmentation très rapide des données à travers des différents types de stockage, notamment les données du web. On est alors arrivé à mettre en place des nouvelles organisations des données pouvant répondre à ces nouvelles contraintes et exigences.

De grands acteurs d'Internet, notamment Google (BigTable), Amazon (Dynamo), LinkedIn (Projet Voldemort), Facebook (Cassandra Project puis HBase), SourceForge.net (MongoDB), Ubuntu One (CouchDB), etc., conçoivent et exploitent des bases de données de type NoSQL. D'autres acteurs plus modestes sont à l'origine de grands succès, notamment dans le domaine des stockages clé-valeur (Redis,...). Une proportion importante de ces projets est  open source et sous licence libre. [Wiki2]

C'est la raison pour laquelle, dans ce chapitre on mettra aussi un accent sur les différents principes que doivent respecter les différents types de bases de données. Cependant, on parlera essentiellement des nouvelles organisations des données qui sont les bases de données du type NoSQL.

Enfin, on mettra un accent sur les défis majeurs que peuvent rencontrer les bases de données du type NoSQL, c'est-à-dire les problèmes que doivent résoudre les développeurs de bases de données NoSQL.

II.1. TERMINOLOGIE

Le terme NoSQL (de l'anglais Not only SQL) est apparu en 1989. C'est à cette année-là que Carlo Stozzi le prononça pour la première fois en public ; c'était lors de la présentation de son système de gestion de base des données relationnelles open source. Il l'a appelé ainsi à cause de l'absence de l'interface SQL pour communiquer.

Plus tard en 2009, le mot réapparait lorsqu'Eric Evans l'utilisa pour spécifier le nombre grandissant des bases de données distribuées open source.

NoSQL désigne une catégorie de systèmes de gestion de base de données (SGBD) qui n'est plus fondée sur l'architecture classique des bases relationnelles. L'unité logique n'y est plus la table, et les données ne sont en général pas manipulées avec le langage d'interrogation qu'est le SQL.

Selon Shashank Tiwari dans son livre Professional NoSQL, « les auteurs de ce néologisme ont probablement voulu signifier non-relationnel, mais ont préféré le mot NoSQL parce qu'il sonne mieux » que, par exemple, NoREL (pour Not only Relational). En bref, le mot est aujourd'hui utilisé pour exprimer tous les SGBD et les logiciels de stockage de données qui ne sont ni relationnels, ni objets, ni hiérarchiques et ni réseaux. [Wiki2]

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