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La restauration rapide face la restauration traditionnelle de la commune Kamalondo


par Zéphyrin KATONGOLA
Université de Lubumbashi - licence en science de l'information et des communications 2019
  

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3.3. Types de restauration rapide 

Ø Snack ;

Ø Cuisine de rue ;

Ø Casse-croûte;

Ø Snack-bar et sandwicherie

Ø Cantines ;

Ø Friterie et baraque à frites ;

Ø Roulotte à patates ;

Ø Taquería ;

Ø Fast-Food.

3.4. Controverses

Il est souvent reproché aux chaînes de restauration rapide (restaurants de hamburgers notamment) de fournir une cuisine médiocre contribuant à la «  malbouffe »55(*)) ; diététiquement néfaste, source de gaspillage, sous-tendue par une volonté de profit maximum ayant recours aux bas salaires. Ces critiques émanent notamment du monde médical et d'associations altermondialistes, écologistes ou promouvant le développement durable.

La restauration rapide est basée sur des aliments issus de l'agro-industrie, parfois ultra transforme (associés à un risque accru de cancer56(*)), trop riches en lipide, sel et sucre, et trop pauvre en fruits et légumes frais. Elle contribue donc à la pandémie d' obésité et de maladies cardio-vasculaires (bien que depuis le milieu des années 2000, quelques enseignes nouvelles s'orientent vers une offre plus saine (bars à salade, bars à soupes, etc.). En 2009, une étude américaine a conclu que la présence d'un restaurant rapide à moins de 150 mètres d'une école augmente de 5,2 % le risque de voir un enfant devenir obèse.

Concernant l'environnement, les viandes et poissons proviennent de l'élevage et de l'agriculture industriels (volaille industrielle...) et de la pêche industrielles qui surexploite la ressource halieutique ; les couverts et emballages jetables à usage unique en carton ou en matériaux non dégradables comme le plastique ou le polystyrène isotherme sont quasi systématiques. En France, début 2019, après des contrôles faits par les équipes du ministère de l'Environnement dans une cinquantaine de salles de restauration rapide, la Secrétaire d'État Brune Poisson a annoncé à la filière qu'elle avait jusque mars 2019 pour revoir ses pratiques en matière de tri des déchets, via « un plan très concret de mise en conformité avec la réglementation ».

CHAP TROISIEME : LE CHOIX DES FAST-FOODS PLUTOT QUE DES TERRASSES.

Dans ce chapitre nous allons expliquer notre hypothèse, nos méthodes et également nos outils (guide d'entretien, micro-trottoir, etc....) que nous avons utilisé pour pouvoir analyser nos résultats obtenus. Par la suite nous allons pouvoir analyser les réponses du guide d'entretien, des micro-trottoir et des sondages réalisés auprès des consommateurs et des professionnels en effectuant des analyses qualitatives et quantitatives.

3.1. Etablissons d'abord notre hypothèse.

Notre société est en constante évolution en tout point : politique, social, économique, environnemental... notre façon de s'alimenter suit également ces changements, c'est pourquoi, depuis quelques années nous avons constaté particulièrement ici à Lubumbashi l'ouverture en masse des espaces fast-food, au centre-ville, au carrefour et dans divers endroits.

En République Démocratique du Congo, le fossé se creuse entre la restauration traditionnelle et la restauration rapide qui comprend bien évident les restaurants de restauration rapide mais aussi les restaurants proposant principalement la vente à emporter, son but est simple : gagner en temps.

3.4.1. La méthode d'enquête (questionnaire)

Pour réaliser notre enquête sur terrain, nous nous sommes directement rendus auprès de chaque personne ciblée dans notre enquête à qui l'on a remis un questionnaire.

Certaines personnes nous ont demandé d'attendre quelques jours après les interrogations générales, mais d'autres n'ont pas hésité à les prendre mais, les protocoles ont été perdus. Nous avons été obligées de ré-photocopier et nous étions obligés de ne pas les redistribuer aux mêmes personnes.

Et désormais pour la plupart de nos enquêtes, comme les habitants de kamalondo et les travailleurs des différentes entreprises telles que citées ci-bas dans le tableau no 1, nous avions procède par la technique de l'interview et en orientant chaque fois le public ciblé.

3.5. Variable

Les variables sont des caractères, c'est-à-dire des traits, des aspects Qui appartiennent à un objet ou à des objets et qui varient en prenant diverses modalités ou diverses valeurs57(*).

Il existe plusieurs sortes des variables mais nous n'en avons retenu que deux : la variable indépendante et la variable dépendante.

Nous avons retenu la variable indépendante : les fast-foods ou les terrasses de kamalondo. Et une variable dépendante les jeunes lushois. Par exemple le choix des fast-foods plutôt que des terrasses de kamalondo dépend d'une personne à une autre.

Nous avons dégagé ces deux variables pour vérifier nos hypothèses de manière à vérifier si les lushois partagent les mêmes points de vue sur la préférence des jeunes lushois pour les fast-foods plutôt que des terrasses.

3.5. Dépouillement

Le dépouillement de notre questionnaire a d'abord consisté à révéler les fréquences des réponses choisies par individu et par item. Dans ce premier cas nous avons utilisé la technique statistique de pourcentage. Ceci en vue de faciliter la lecture des résultats et leur comparaison s'obtient en appliquant la formule suivante :

%

Ffréquence.

Npopulation.

%pourcentage.

Bien entendu, le résultat présenté à l'issue de notre enquête concerne la période allant de 2017 à 2019. Nous allons maintenant procéder au point 3.6 où nous présentons les résultats de cette enquête et où nous les analysons.

3.6. Présentation, analyse et interprétation

Dans le point qui a précédé, nous avons exposé les techniques choisies en vue d'atteindre le but de notre étude et recherche.

Ce point ou ce paragraphe est consacré à la présentation quantitative de l'échantillon, à l'analyse et à l'interprétation des résultats de notre enquête.

3.6.1. Présentation générale de l'échantillon

Tableau n°1 : Répartition des jeunes et adulte selon le sexe et l'âge.

N°1

AGE ET SEXE

Entre 21 et 29 ans

Entre 30 et 39 ans

Entre 40 et 49 ans

Entre 50 et plus

M

F

M

F

M

F

M

F

Entreprise Malta forest.

5

3

10

2

5

5

5

-

Des résidences de kamalondo

7

7

10

15

15

15

5

10

Entreprise Katanga Plastique

1

-

5

-

-

-

-

-

Les étudiants de l'UNILU

7

10

5

3

-

-

-

-

TOTAL

20

20

30

20

20

20

10

10

Tableau n°2 : Répartition des enquêtes selon l'âge.

Age

Fréquence

Pourcentage

21 à 29 ans

40

27%

30 à 39 ans

50

33%

40 à 49 ans

40

27%

50 à plus

20

13%

TOTAL

150

100%

Tableau n°3 : Répartition des enquêtes selon le sexe.

Sexe

Fréquence

Pourcentage

M

80

53%

F

70

47%

TOTAL

150

100%

Tableau n°4 : Répartition des lushois qui ont fréquenté les terrasses de kamalondo en 2017.

Nombre de fois

Fréquence

Pourcentage

1 ou plusieurs fois par semaine

28

19%

1 fois par mois

26

17%

1 fois tous le 2 mois

24

16%

1 fois tous les 3 mois

26

17%

Plus occasionnellement

46

31%

TOTAL

150

100%

Sur 150 lushois enquêtés qui ont répondu, nous constatons que la plus part des lushois ont fréquenté occasionnellement les terrasses (31%), vingt-huit ont fréquenté 1 ou plusieurs fois par semaine (19%), vingt-six ont fréquenté 1 fois par mois (17%), encore vingt-six ont fréquenté 1 fois tous les 3 mois (17%), et vingt-quatre ont fréquenté 1 fois tous les 2 mois soit (16%).

Donc il y a un nombre élevé des lushois qui ont fréquenté occasionnellement les terrasses en 2017.

Tableau n°5 : Répartition des lushois qui ont fréquenté les fast-foods en 2017.

Nombre de fois

Fréquence

Pourcentage

1 ou plusieurs fois par semaine

30

20%

1 fois par mois

28

19%

1 fois tous le 2 mois

24

16%

1 fois tous les 3 mois

26

17%

Plus occasionnellement

42

28%

TOTAL

150

100%

Sur 150 lushois enquêtés qui ont répondu, nous constatons que la plus part des lushois ont fréquenté occasionnellement les fast-foods (28%), 30 ont fréquenté 1 ou plusieurs fois par semaine (20%), 28 ont fréquenté 1 fois par mois (19%), 26 ont fréquenté 1 fois tous le 3 mois, et en fin 24 ont fréquenté 1 fois tous les 2 mois soit 16%.

Donc il y a un nombre très élevé des lushois qui ont fréquenté occasionnellement les fast-foods en 2017.

Tableau n°6 : Répartition des lushois qui ont fréquenté les terrasses de kamalondo en 2018.

Nombre de fois

Fréquence

Pourcentage

1 ou plusieurs fois par semaine

24

16%

1 fois par mois

24

16%

1 fois tous le 2 mois

22

14%

1 fois tous les 3 mois

40

27%

Plus occasionnellement

40

27%

TOTAL

150

100%

Sur 150 lushois enquêtés en qui ont répondu, nous constatons que la plupart ont franquette 1 fois tous les 3 mois (27%) et plus occasionnellement (27%) les terrasses de kamalondo, 24 ont fréquenté 1 ou plusieurs fois par semaine, 24 encore ont fréquenté 1 fois par mois (16%), et en dernier lieu 22 ont fréquenté 1 fois tous les 2 mois (14%).

Donc il y a un nombre très élevé des lushois qui ont fréquenté 1 fois tous les 3 mois les terrasses de kamalondo et ceux qui ont fréquenté occasionnellement les terrasses en 2018.

Tableau n°7 : Répartition des lushois qui ont fréquenté les fast-foods en 2018.

Nombre de fois

Fréquence

Pourcentage

1 ou plusieurs fois par semaine

32

21%

1 fois par mois

30

20%

1 fois tous le 2 mois

26

17%

1 fois tous les 3 mois

28

19%

Plus occasionnellement

34

23%

TOTAL

150

100%

Sur 150 lushois enquêté en 2018, nous constatons que la plupart ont fréquenté occasionnellement (23%), 32 ont fréquenté 1 ou plusieurs fois par semaine (21%), 30 ont fréquenté 1 fois par mois (20%), 28 ont fréquenté 1 fois tous les 3 mois (19%) et 26 ont fréquenté 1 fois tous les 2 mois.

Donc il y a un nombre élevé qui ont fréquenté occasionnellement les fast-foods en 2018.

Tableau n°8 : Répartition des lushois qui ont fréquenté les terrasses de kamalondo en 2019.

Nombre de fois

Fréquence

Pourcentage

1 ou plusieurs fois par semaine

20

13%

1 fois par mois

20

13%

1 fois tous le 2 mois

30

20%

1 fois tous les 3 mois

40

27%

Plus occasionnellement

40

27%

TOTAL

150

100%

Sur 150 lushois enquêtés en 2019, nous constatons que la plupart ont fréquenté plus occasionnellement les terrasses soit 27%, 40 ont fréquenté 1 fois tous les 3 mois (27%), 30 ont fréquenté 1 fois tous les 2 mois (20%), 20 ont fréquenté 1 ou plusieurs fois par semaine (13%) et 20 encore 1 fois par mois (13%).

Donc nous constatons qu'il y a un nombre très elle des lushois qui ont fréquenté occasionnellement les terrasses de kamalondo et aussi ceux qui ont fréquenté 1 fois tous les 3 mois.

Tableau n°9 : Répartition des lushois qui ont fréquenté les fast-foods en 2019.

Nombre de fois

Fréquence

Pourcentage

1 ou plusieurs fois par semaine

36

24%

1 fois par mois

34

23%

1 fois tous le 2 mois

30

20%

1 fois tous les 3 mois

24

16%

Plus occasionnellement

26

17%

TOTAL

150

100%

Sur 150 lushois enquêtés qui ont répondu, nous constatons que la plupart ont fréquenté 1 ou plusieurs fois par semaine les fast-foods (24%), 34 ont fréquenté 1 fois par mois (23%), 30 ont fréquenté 1 fois tous les 2 mois, 26 ont fréquenté occasionnellement, et 24 ont fréquenté 1 fois tous les 3 mois (16%).

Donc il y a un nombre élevé des lushois qui ont fréquenté 1 ou plusieurs fois par semaine les fast-foods en 2019.

Malgré la conjoncture, les lushois reste fidèle à la restauration rapide dans cet environnement actuel bien que pour la plupart étant plongé dans la crise, certains lushois sont prêts à payer un ticket moyen plus élevé pour des produits offrant une meilleure qualité.

L'accélération des rythmes de vie, l'évolution des modes de vie sont les facteurs d'influence de secteur de la restauration rapide ou du fast-food.

Une étude révèle que les français consomment hors domicile un repas sur sept. Mais les leaders sont les royaumes unis avec un repas sur trois pris en dehors du domicile.58(*)

De ce qui nous concerne, loin d'être une étude comparative, dans la présente étude, il est question de comprendre la mutation que l'on peut facilement voir dans le comportement des lushois qui autrefois pouvaient affluer dans le terrasses de kamalondo charger habitudes dans la restauration et migrer vers les fast-foods.

Plusieurs raisons sont à la base de leurs migrations parmi lesquelles nous pouvons citer :

(1) L'hygiène

Les règles d'hygiène sont moins respectées et au cours de notre enquête nous avons réalisés que les règles d'hygiène n'étaient pas respectées.

- Les toilettes mal entretenues

- Les eaux nauséabondes, ou les eaux des fosses septiques qui passent dans les caniveaux devant les terrasses.

- La plupart des terrasses sont construites au bord des routes, les véhicules, les motos poluent la voie et très facilement la poussière se colle aux tables et aux vers ainsi qu'à la viande qui nous est servi.

(2) Outrage public à la pudeur

Dans les terrasses de communes renommées telles que Kenya, Katuba et kamalondo ; beaucoup d'actes indécents y sont commis et cela devant des témoins, et généralement la vie sexuelle n'est pas un tabou même auprès des garçons de moins de 12 ans.

Qu'il me soit permis ici d'évoquer le mot fourre-tout pour désigner les terrasses de kamalondo, car ici tout est permis et personne ne peut vous reprocher de quoi que ce soit.

(3) Le besoin du changement

Changer peut être attirant mais aussi faire peur, pourtant le changement est nécessaire à une évolution possible. Le lushois une fois au contact avec la culture occidentale est tombé amoureux de cette dernière en voyant la manière dont les choses sont organisées dans les fast-foods plutôt que dans les terrasses de kamalondo.

Soulignons ici que le blanc a compris que l'homme congolais ou le lushois en particulier a besoin du changement, le confort, et manière indirecte le blanc a demandé au congolais, au lushois de renier sa façon d'être pour épouser cette nouvelle culture.

C'est ce qui se fait et la plupart de temps, les lushois qui fréquentent des fast-foods, la tendance aussi c'est de se prendre en photo pour montrer même aux autres que l'on a évolué.

3.5. Analyse et critique

Le secteur de la restauration rapide ou des fast-foods présente des avantages qu'il serait inouï de négliger et ignorer.

Bien que de nos jours, les fast-foods sont pointés de doigt par les nutritionnistes, il n'empêche, l'engouement pour ce style d'établissement n'est pas prêt des s'essouffler. Ici à Lubumbashi, c'est un phénomène qui prend de plus en plus de l'ampleur.

Pour le cas de Galito's, il y a tout d'abord la proximité de cet établissement par rapport au lieu du travail. Loin de moi la pensée de faire la publicité de cet établissement. Galito's situé au carrefour, dans ces centres commerciaux ainsi que des quartiers d'affaires et industriels, étant donné que toutes les entreprises qui y ne sont pas dotées de cantine. La rapidité et l'aspect pratique de la formule (vente à emporter par exemple) entre en ligne de compte. Dans cet établissement de restauration rapide le repas dure au maximum 30 minute.

Cet établissement de restauration rapide respire la liberté et la convivialité. Les contraintes sont presque inexistantes. Et ceci se traduit par une carte particulièrement généreuse. Celle-ci est établi de façon à ce que tout un chacun puisse y trouver son compte (menus enfant, famille, etc.) on comprend dès lors le caractère cosmopolite de ces établissements de restauration rapide qui deviennent par la même occasion un lieu de rencontre entre les membres des différents classes sociales.

Notons que par rapport à nos observations, en bien telle que relevé dans nos données les moins des 40 ans constitue le gros de la clientèle de la restauration rapide et la plupart sont des hommes.

Au regard des données statistiques, il y a lieu de dire que il y a une mutation qui se fait, une grande préférence par la plupart des lushois pour les fast-foods plutôt que pour les terrasses de kamalondo ou d'autre commune.

En effet, alors qu'en 2017 le pourcentage des lushois sur 150 enquêtés, néanmoins pour ceux qui fréquentaient les fast-foods une ou plusieurs fois par semaine était à 20%. En 2018 cela est passé de 20% à 21%, et en 2019 cela est passé de 21% à 24%.

Ceci étant, nous pouvons nous poser la question de savoir : le fait pour la plupart des lushois de manifester un grand intérêt pour les fast-foods signifie-t-il que les terrasses de kamalondo ou d'autres communes de Lubumbashi sont menacées de disparaitre ?

Pas nécessairement, la réalité sur terrain nous révèle quelque chose, nous avons constaté que de nos jours la plupart des terrasses qui ouvrent, c'est des terrasses de types moderne, le lushois commence aussi à comprendre progressivement que pour fidéliser sa clientèle il devrait à la limite organiser son service comme on le ferait dans un fast-food par exemple.

C'est comme ça qu'en faisant le tour dans la commune de kamalondo, il y a de plus en plus des terrasses qui ouvrent pour le moment construit au modèle européen et avec un service impeccable.

3.7. Conclusion

Notons pour clore ce chapitre que notre enquête a porté sur effectif de 150 participants dont 75 pour les terrasses précisément de kamalondo et 75 pour les fast-foods.

Comme nous l'avions souligné, loin d'être une étude comparative, mais dans cette étude il était question de comprendre la mutation que l'on peut voir facilement dans le comportement des lushois qui autrefois pouvaient affluer dans les terrasses de kamalondo changer d'habitudes dans la restauration et migrer vers les fast-foods.

Et la question principale ci-après nous a servi à meubler cette esquisse de recherche qualitative.

A quelle fréquence vous rendez-vous dans une terrasse de kamalondo ou dans un établissement de restauration (fast-food) !

a. 1 ou plusieurs fois par semaine.

b. 2 à 3 fois par mois.

c. 1 fois par mois.

d. 1 fois tous les 2 mois.

e. 1 fois tous les 3 mois.

f. Jamais.

Et pour plusieurs raisons les lushois ont manifesté un grand intérêt pour les fast-foods plutôt que pour les terrasses de kamalondo : le problème d'hygiène, outrage public à la pudeur, le besoin du changement.

Nous avons relevé aussi que le lushois comprenant aussi ce phénomène qui se passe sur terrain, très progressivement il commence à développer des stratégies pour fidéliser sa clientèle en lui offrant un service impeccable.

* 55« Consommation d'aliments ultra-transformés et risque de cancer», sur presse.inserm.fr (consulté le 06 février 2020).

* 56 PASCALE SANTI,  Une nouvelle étude suggère un effet néfaste des aliments ultratransformés sur la santé, sur Le Monde, 2019.

* 57 Flavien UMBA, statistique descriptive, cours inédit à I.S.P.R, 2ème graduat, KINSHASA 2005-2006, p.3.

* 58 Article électronique, la restauration rapide, http://www.france-jeunes.net/lire-la restauration rapide.

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"Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre"   Paul Eluard