WOW !! MUCH LOVE ! SO WORLD PEACE !
Fond bitcoin pour l'amélioration du site: 1memzGeKS7CB3ECNkzSn2qHwxU6NZoJ8o
  Dogecoin (tips/pourboires): DCLoo9Dd4qECqpMLurdgGnaoqbftj16Nvp


Home | Publier un mémoire | Une page au hasard

 > 

Les forces et faiblesses de la politique agricole du Bénin de 1990 jusqu'à  nos jours, et les défis d'avenir pour le pays

( Télécharger le fichier original )
par C. Modeste HOUNGBEDJI C. Modeste
Université d'Abomey Calavi - Maà®trise en Sciences Economiques 2009
  

précédent sommaire

Bitcoin is a swarm of cyber hornets serving the goddess of wisdom, feeding on the fire of truth, exponentially growing ever smarter, faster, and stronger behind a wall of encrypted energy

ANNEXE 3 :

(Article sur la politique agricole en Chine)

Exemple de politique agricole réussies : cas de la Chine

(Un article présenté au Séminaire international sur l'OMC et la Chine, tenu à Beijing, du 21 au 23 septembre 1998)

LES RÉFORMES DE LA POLITIQUE AGRICOLE (1978-1993)

Avant 1979, la politique agricole chinoise cherchait à réaliser l'équité rurale et la fourniture d'aliments, de capital et de main d'oeuvre à bon marché pour le développement de l'industrie. Le gouvernement maintenait un contrôle serré sur la production et la commercialisation, en maintenant les prix à la production à un niveau généralement inférieur aux prix internationaux. En 1979, craignant qu'une agriculture anémique ne retarde l'industrie, le gouvernement commençait à appliquer de nouvelles politiques. Au début, le gouvernement élevait les prix à la production des produits agricoles et permettait la réouverture des marchés ruraux pour que les agriculteurs puissent vendre les produits de leurs parcelles privées. En 1981, le gouvernement commençait à décentraliser la production agricole pour passer du système des communes aux ménages agricoles individuels. En 1984, plus de 99 pour cent des unités de production avaient adopté le «système de responsabilité de production des ménages». De plus, le gouvernement réduisait petit à petit le nombre des produits que les agriculteurs devaient obligatoirement livrer à l'état.

La seconde phase des réformes visait principalement à libéraliser les prix et la commercialisation. A la suite d'une récolte exceptionnelle en 1984, le gouvernement remplaçait les livraisons obligatoires par des contrats volontaires entre les agriculteurs et le gouvernement. En 1993, les autorités libéralisaient

encore plus le marché des céréales et abolissait le système de rationnement des céréales vieux de 40 ans. Plus de 90 pour cent de tous les produits agricoles étaient vendus à des prix déterminés par le marché, indiquant très clairement la transformation de l'agriculture chinoise pour passer d'un système de directives et de contrôle à un secteur largement dominé par le marché libre.

LA NOUVELLE POLITIQUE AGRICOLE

Cependant, à la suite d'une pression due à l'inflation, et en particulier à la suite de l'augmentation des prix des céréales et du déclin de la production qui ont

nécessité une augmentation des importations, plusieurs politiques nouvelles ont été introduites depuis 1994.

Le gouvernement central poussait les prix à la production au dessus des prix mondiaux, offrant ainsi aux agriculteurs des incitations pour passer de la production de coton et de graines oléagineuses à la

production céréalière. En 1997, la Chine enregistrait une récolte céréalière record: les quantités de blé importées étaient les plus basses depuis 1961 et les exportations de riz les plus élevées depuis 1973. 1998 connaissait une nouvelle récolte exceptionnelle et les stocks restaient élevés. Cependant, ces nouvelles politiques avait imposé un poids financier substantiel sur le gouvernement et avaient gêné les réformes dans d'autres secteurs, aboutissant ainsi à une perte nette pour le bien-être social.

Le système du «gouverneur responsable du sac de céréales» a été introduit en 1995. Ce système place sur les gouverneurs des provinces la responsabilité d'équilibrer l'offre et la demande et stabiliser les prix des céréales dans leur province. Sur le plan national, cette politique semble avoir réussi, parce que l'offre a augmenté et les prix ont baissé et se sont stabilisés. Mais on note des différences substantielles entre les provinces, en particulier entre les provinces plus riches et les provinces plus pauvres. Si cette politique est maintenue, les

producteurs de céréales dans les riches provinces de la côte pourraient recevoir des subventions plus élevées de leurs gouvernements locaux, alors que dans les régions où le surplus est moindre, les producteurs pourraient continuer à être taxés. De telles mesures ont tendance à promouvoir l'autosuffisance régionale, ce qui aboutit à une perte nette pour le bien-être social.

Une autre politique nouvelle lancée en 1997, est appelée «quatre séparations et une perfection». En réponse à l'inefficacité des bureaux céréaliers de l'état et au fardeau financier imposé par la politique céréalière du gouvernement, les autorités ont séparé (1) les fonctions politiques des bureaux des fonctions commerciales, (2) les stocks de réserve appartenant au gouvernement des entreprises commerciales, (3) les responsabilités du gouvernement central de celles des administrations locales, (4) les anciennes dettes bancaires des nouvelles dettes. Quant à la «perfection» il s'agit du processus visant à intégrer les prix à la production et les prix du marché. En 1998, le gouvernement central a annoncé qu'il poursuivrait la décentralisation de la gestion des céréales en augmentant les responsabilités des gouverneurs. Mais en fait, le gouvernement central a repris en main le monopole sur l'approvisionnement en céréales. Cette politique aide à maintenir la stabilité des prix, mais en freinant la concurrence, elle décourage les améliorations qui rendraient la commercialisation des céréales plus efficace.

LES OPTIONS POLITIQUES POUR L'AVENIR

A mesure que la Chine s'approche de la phase de développement dans laquelle elle passera de la taxation de la production agricole à la subvention de la production, les responsables politiques doivent choisir entre plusieurs options. La première option consiste à suivre les pays de l'Organisation pour la coopération et le développement économiques (OCDE) et d'autres économies nouvellement développées, c'est-à-dire protéger l'agriculture soit par une

politique de soutien des prix ou par des paiements directs aux agriculteurs. Mais

l'agriculture emploie encore 45 pour cent de la main d'oeuvre de la Chine et ceci coûterait très cher au secteur. De plus, comme les pays de l'OCDE l'ont trouvé, protéger l'agriculture est tout aussi coûteux en termes absolus. Enfin, les

subventions de prix pourraient ne pas être compatibles avec l'entrée de la Chine dans l'Organisation mondiale du commerce (OMC).

La seconde option serait d'utiliser des barrières commerciales pour isoler la production agricole chinoise du marché international. Dans ce cas, la demande nationale serait couverte par la production nationale et les producteurs locaux seraient implicitement subventionnés par les consommateurs. Compte tenu de la croissance économique rapide de la Chine et la baisse de la part de la nourriture dans le budget des consommateurs, cette option est attrayante. Mais comme les prix et les marchés seront en quelque sorte faussés, l'efficience globale de l'économie serait en baisse. L'envergure de la perte dépendrait de la différence entre les prix internationaux et les prix locaux. De plus, l'adoption de cette option pourrait créer un problème pour l'entrée de la Chine dans l'Organisation mondiale du commerce.

La troisième option serait la libéralisation immédiate de l'agriculture. La production ne serait ni taxée, ni subventionnée, explicitement ou implicitement. La Chine importerait ou exporterait des produits en se basant sur l'avantage comparatif. Selon ce scénario, la Chine devra probablement importer de grandes quantités de céréales, mais les gains économiques seraient substantiels. La Chine pourrait gagner de 4,5 à 7 milliards de dollars EU en l'an 2010 en abandonnant sa politique visant à assurer 95 pour cent de son autosuffisance céréalière. La Banque mondiale a estimé que la Chine gagnerait 5 milliards de dollars en l'an 2020 si les 95 pour cent d'autosuffisance céréalière étaient abandonnés. Cependant, comme la Chine est un grand pays, deux problèmes pourraient se poser si elle dépend beaucoup des marchés céréaliers internationaux. Un des problèmes provient de la disponibilité des quantités à fournir. L'Australie, le

Brésil, le Canada et les États-Unis pourraient augmenter leur production. Mais on ignore comment ces pays pourraient satisfaire la demande, en particulier lorsque de nombreux gouvernement sont soumis à une pression pour réduire le soutien à l'agriculture. Une baisse de production de 20 à 30 pour cent dans un grand pays exportateur de céréales pourrait influencer les prix internationaux de façon substantielle, compte tenu du fait que le marché international de nombreux produits agricoles est plutôt serré.

La quatrième option consiste à continuer à libéraliser progressivement, tout en augmentant l'investissement dans l'infrastructure rurale, la recherche agricole et la vulgarisation et enfin l'irrigation. Cette option non seulement serait conforme aux exigences de l'OMC mais aussi améliorerait la sécurité alimentaire à long terme et l'efficience globale de l'économie.

L'impact de l'investissement sur le secteur agricole

Diverses études ont montré que l'augmentation de l'investissement dans la recherche agricole, la vulgarisation, l'irrigation et l'infrastructure rurale constitue un des moyens les plus efficaces d'améliorer la sécurité alimentaire à long terme. Les projections faites par l'IFPRI suggèrent que si la Chine augmente ses investissements dans la recherche agricole et l'irrigation de 4,5 pour cent par an, elle deviendra exportatrice nette de céréales en l'an 2020. Avec chaque pour cent de plus investi dans la recherche agricole et l'irrigation, la Chine pourrait produire 21 millions de tonnes de céréales en l'an 2010 et 36 millions de tonnes en 2020. Chaque yuan investi dans la recherche et l'irrigation pourrait produire des revenus compris entre 3,6 et 4,8 yuans.

Cependant, il est inquiétant de constater que l'investissement agricole de la Chine, en particulier son investissement dans la recherche a varié dans le temps et a connu une stagnation au cours des récentes années. Après 1978, l'investissement en agriculture a commencé à diminuer, pour atteindre son point

le plus bas en 1987. Bien qu'il se soit redressé depuis, en 1994, il était encore de 32 pour cent inférieur à son niveau de 1978. En termes relatifs, l'investissement en agriculture par rapport au PNB agricole a commencé à baisser fortement après 1978, pour passer de 18 pour cent en cette année à près de 5 pour cent au cours des dernières années. L'investissement en agriculture par rapport à l'investissement total a chuté de façon spectaculaire, de 20 pour cent en 1980 à 2,4 pour cent seulement en 1994.

Les fluctuations et la chute des investissements publics en agriculture entraveront la croissance à long terme d'une agriculture durable. Par exemple, la baisse de l'investissement public dans la recherche et le développement agricoles ont abouti à la détérioration du système national de la recherche agricole et un ralentissement possible dans le rythme des publications des nouvelles technologies en agriculture. De même, le déclin des investissements dans la maintenance et les réparations des réseaux d'irrigation et de drainage, des routes rurales, et des programmes d'amélioration des sols, a réduit la superficie effectivement irriguée et a augmenté l'effet de désastres naturels répétés tels que les inondations et la sécheresse.

Inverser le courant dans la baisse de l'investissement agricole permettrait d'améliorer à la fois le secteur agricole, le bien-être des populations rurales, la sécurité alimentaire et l'environnement. Tout ceci, à son tour facilitera le développement économique de la Chine au sens large et fera que la réponse à la question «qui va nourrir la Chine?» sera «la Chine».

IFPRI, Récapitulatif 2020 n60, Mai 1999(politique agricole en chine)

(Voir Shenggen Fan et Francis Tuan «Évolution de la politique agricole en
Chine et dans les pays de l'OCDE: leçons à long terme pour la Chine»), article

présenté au Séminaire international sur l'OMC et la Chine, tenu à Beijing, du 21 au 23 septembre 1998; voir aussi Shenggen Fan, «L'investissement public dans la Chine rurale: tendances historiques et questions de politique,» dans Politiques agricoles en Chine (Paris, OCDE, 1997). )

Table des illustrations

- Table des figures

Figure 1: Courbes de l'évolution des pourcentages du PIB et de l'investissement agricoles par rapport au niveau national 32
Figure 2: Courbe montrant l'évolution du PIB agricole du Bénin en fonction de

l'investissement agricole 33
Figure 3:Courbe de tendance de l'évolution du PIB agricole du Bénin en fonction de

l'investissement agricole 33

Figure 4 : Courbe de l'évolution temporelle des dépenses de fonctionnement au Bénin 35

Figure 5: Courbe de l'évolution des dépenses globales pour le MAEP 36

Figure 6: Courbe de l'évolution des dépenses globales pour le Bénin 36

Figure 7: Courbe de l'évolution du PIB agricole en fonction de la production du manioc au

Bénin 44
Figure 8: Courbe de l'évolution du PIB agricole en fonction de la production de l'arachide au

Bénin 45
Figure 9: Courbe de l'évolution du PIB agricole en fonction de la production du riz au Bénin

45

Figure 10: Evolution annuelle du taux de croissance réelle du PIB du Bénin 47

Figure 11: Courbe de l'Evolution annuelle du PIB par habitant au Bénin 47

Figure 12: Courbe du nombre de tracteurs agricoles en utilisation au Bénin 53

Figure 13 : Courbes comparatives des rendements de l'anacarde au Bénin et au Nigeria. 55

Figure 14: Courbes d'évolution des rendements du manioc au Bénin et au Nigéria 55

Figure 15: Evolution du PIB du Bénin en fonction du PIB agricole 66

- Table des schémas

schéma 1: Lien entre emploi, accroissement de la production agricole, et la réduction de la

pauvreté 57

schéma 2: Arbre à problème d'un conflit 63

schéma 3: Effets d'entraînement d'un conflit 65

- Table des tableaux

Tableau 1: Synthèse méthodologique 17

Tableau 2: synthèse de la politique agricole au Bénin 20

Tableau 3: Analyse des instruments de la politique 27

Tableau 4: Evolution des PIB et des investissements au Benin 32

Tableau 5: Evolution des dépenses de fonctionnement global du Bénin 34

Tableau 6: Evolution des dépenses globale pour le MAEP 35

Tableau 7: Axes de la Politique agricole mis en oeuvre au Bénin 38

Tableau 8 : Point de l'étude de la politique agricole au Bénin 41

Tableau 9: Evolution de quelques indicateurs de DSRP 46

Tableau 10 : Projection du PIB annuel par habitant du Bénin 48

Tableau 11: Evaluation de quelques objectifs quantitatifs de promotion des filières agricoles, à

l'horizon 2011 48

Tableau 12: Evolution de la production de l'anacarde au Bénin et au Nigéria 54

Tableau 13: Synthèse générale des résultats 69

Tableau 14 : Tableau récapitulatif des équations 72

Tableau 15 : Tableau justificatif de l'hypothèse 1 73

Table des matières

LISTE 1 : LISTE DES SIGLES ET ABREVIATIONS 1

INTRODUCTION 3

CHAPITRE PREMIER: CADRE THEORIQUE ET METHODOLOGIQUE DE LA RECHERCHE 5

SECTION1- PROBLEMATIQUE ET OBJECTIFS 6

PARAGRAPHE1- LA PROBLEMATIQUE 6

PARAGRAPHE 2- LES OBJECTIFS 8

SECTION 2- REVUE DE LITTERATURE ET HYPOTHESES 8

PARAGRAPHE 1- LA REVUE DE LITTERATURE 8

PARAGRAPHE2- LES HYPOTHESES 16

SECTION 3- METHODOLOGIE DE RECHERCHE 16

PARAGRAPHE 1- LES DONNEES 16

PARAGRAPHE 2- LES OUTILS D'ANALYSE 17

PARAGRAPHE 3- GRILLE D'ANALYSE OBJECTIFS, HYPOTHESES 17

DEUXIEME CHAPITRE: ETUDE DE LA POLITIQUE AGRICOLE DU BENIN 19

SECTION 1- LA POLITIQUE AGRICOLE DU BENIN DEPUIS 1990 JUSQU'A NOS JOURS 20

PARAGRAPHE1- LE POLITIQUE AGRICOLE ELLE-MEME 20

PARAGRAPHE 2- LE DIAGNOSTIC DE LA POLITIQUE AGRICOLE 27

PARAGRAPHE 3- LES AXES DE LA POLITIQUE AGRICOLE MIS EN OEUVRE 37

SECTEION2- EXEMPLE DE POLITIQUE AGRICOLE REUSSIE : CAS DE LA CHINE 42

PARAGRAPHE 1- LA POLITIQUE DE PRIX AU PRODUCTEUR 42

PARAGRAPHE 2- LA POLITIQUE D'ACCROISSEMENT DES INVESTISSEMENTS AGRICOLES 43

SECTION 3- EFFET DE LA VARIATION DU VOLUME DE QUELQUES PRODUCTIONS SUR LE PIB AGRICOLE DU BENIN 44 SECTION 4- EVALUATION DE LA POLITIQUE AGRICOLE 46
PARAGRAPHE 1- CAS DU VOLET AGRICOLE DU `' DOCUMENT DE STRATEGIES POUR LA REDUCTION DE LA

PAUVRETE» 46
PARAGRAPHE 2- EVOLUTION DE QUELQUES OBJECTIFS QUANTITATIFS DE PROMOTION DES FILIERES AGRICOLES, A

L'HORIZON 2011 48

TROISIEME CHAPITRE: LE SECTEUR AGRICOLE BENINOIS : ASPECT, POTENTIALITES,

ROLE DE L'ETAT ET IMPACTS SUR L'ECONOMIE 49

SECTION 1- LE SECTEUR AGRICOLE ET L'EMPLOI 50

SECTION 2- LES POTENTIALITES AGRICOLES 51

SECTION 3- LES TECHNOLOGIES ET LA PERFORMANCE 53

SECTION 4- ÉTUDES COMPARATIVES DE COMPORTEMENTS DE DEUX FILIERES AGRICOLES 54

PARAGRAPHE 1- L'ANACARDE : ÉTUDE DE DONNEES, ANALYSES ET COMMENTAIRES 54

PARAGRAPHE2 : LE MANIOC : ÉTUDE DE DONNEES, ANALYSES ET COMMENTAIRES 55

SECTION 5- LE SECTEUR AGRICOLE ET LE DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE 56

PARAGRAPHE 1- LUTTE CONTRE LA PAUVRETE 56

PARAGRAPHE 2- EFFET D'UN ACCROISSEMENT DE LA PRODUCTION DE CEREALE SUR LA VIE ECONOMIQUE DU PAYS

57

SECTION 6- LES ROLES DE L'ÉTAT DANS LE DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE 60

PARAGRAPHE 1- LES ROLES DES L'ÉTAT 60

PARAGRAPHE 2- LES EFFETS INTERSECTORIELS DU DEVELOPPEMENT AGRICOLE 66

QUATRIEME CHAPITRE: SYNTHESE GENERALE 68

SECTION 1- SYNTHESE 69

SECTION 2- RECAPITULATIF DES EQUATIONS 72

SECTION 3- POINT DIAGNOSTIC DES INSTRUMENTS 73

SECTION 4- RECOMMANDATIONS 73

CONCLUSION 75

BIBLIOGRAPHIE 77

ANNEXE1 (TESTS DES MODELES ELABORES DANS LE DOCUMENT) 78

ANNEXE2: (TABLEAUX DES DONNEES STATISTIQUES) 84

ANNEXE3: (ARTICLE SUR LA POLITIQUE AGRICOLE EN CHINE) 90

précédent sommaire






Bitcoin is a swarm of cyber hornets serving the goddess of wisdom, feeding on the fire of truth, exponentially growing ever smarter, faster, and stronger behind a wall of encrypted energy








"Il y a des temps ou l'on doit dispenser son mépris qu'avec économie à cause du grand nombre de nécessiteux"   Chateaubriand