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L'OTAN face aux nouveaux défis sécuritaires de l'après guerre froide

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par Erick-Levi Libende mibolu
Université Cardinal Malula (U.C.M) - Licencé en Relations Internationales,Option: Politique Internationale 2009
  

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Section 2. L'OTAN ET LES ACTEURS EN PRESENCE

Dans le cadre de la gestion des crises a travers l'espace atlantique, et au delà de celui-ci, les acteurs en présence sont définis et identifiés dans l'optique de la collaboration et complémentarité opérationnelle. Nous citons par conséquent, les organisations internationales, régionales, sous-régionales et organisations non gouvernementales. Il est également important de considérer comme acteurs ; la présence des forces négatives a l'instar de la nébuleuse Al-Qaeda, les groupes armés, mouvements de libération qui influent sur la sphère d'action de l'OTAN, avec d'autres organisations internationales dans la lutte contre les défis sécuritaires de l'après guerre froide.

Ainsi, comme acteurs en présence nous citons : l'organisation des Nations Unies (ONU), Union Européenne (UE), l'Organisation pour la Sécurité et la Coopération en Europe (OSCE), la Russie, l'Union Africaine, et la liste n'est pas exhaustive.

1. Organisation des Nations Unies

Mise en place après la fin de la deuxième guerre mondiale, l'organisation des Nations Unies naîtra des cendres de la SDN (Société des Nations), qui était incapable de mettre d'accord ses Etats membres qui influaient sur la scène internationale, dans le cadre de la gestion de certaines crises épineuses.

L'ONU, qui depuis lors, et jusqu'à ce jour fonctionne sous certaines contraintes d'ordre juridique, liées a la prise de décisions finales, l'instar de conseil de sécurité où le vote en terme de « droit de veto » est circonscrit à la limite de cinq Etats, victorieux de la seconde guerre mondiale, dont nous citons : les Etats-Unis, la France, La Grande-Bretagne, la Chine et la Russie. La sécurité collective étant universelle, la collaboration effective et opérationnelle ONU-OTAN remonte en date du 17 décembre 1992, a la conférence de Bruxelles, oü, les Ministres des Affaires Etrangères des pays de l'OTAN déclarent que l'Alliance est prête a soutenir les opérations de maintien de la paix des Nations-Unies. La déclaration se résumait comme suit : « ...Nous confirmons aujourd'hui que notre Alliance est disposée à soutenir, cas par cas et conformément à nos propres procédures, des opérations de maintien de la paix menées sous l'autorité du conseil de sécurité des Nations-Unies, à qui revient la responsabilité principale des questions touchant à la paix et à la sécurité internationale.

Nous sommes prêts à répondre positivement aux initiatives que pourrait prendre le Secrétaire Général des Nations Unies afin que l'Alliance puisse aider a la mise en oeuvre des résolutions du Conseil de Sécurité de l'ONU. Nous avons demandé au Secrétaire Général (de OTAN) de maintenir à cet égard, sous la direction du Conseil en session permanente, les contacts nécessaires avec le Secrétaire Général des Nations Unies concernant l'assistance que l'Alliance pourrait fournir... »18

Raison pour laquelle, le 11 août 2003, l'OTAN prend la direction la direction de l'ISAF (Force internationale d'Assistance a la Sécurité en Afghanistan), succédant a un commandement assuré successivement par le Royaume-Uni, la Turquie, puis conjointement

18 http://www.ladocumentation française.Fr/dossier/maintien-paix/otanacteurs.shtml

par l'Allemagne et le Pays-Bas. La Force a été mandatée en décembre 2001 par la résolution 1386 du Conseil de Sécurité des Nations-Unies, avec comme mission la sécurisation de Kaboul et ces environs.

2. Union Européenne

Sortie des entrailles de l'ancienne Communauté Economique Européenne (CEE), l'Union Européenne verra le jour avec le Traité de Maastricht en 1992. Sur le plan sécuritaire, jusqu'à l'année évoquée, l'Europe occidentale a travers l'Union Européenne, ne disposait d'aucun instrument sécuritaire. C'est ainsi, qu'avec le Traité évoqué, datant de 1992, que les pays Européens se dotent d'une politique étrangère et de sécurité commune (PESC) en sigle, cette politique était censée faciliter la coordination des diplomaties des Etats membres. Celle-ci montrera son inefficacité au cours des crises des Balkans, tout au long des années 1990.

Le Président français Jaques CHIRAC et le 1er Ministre Britannique Tony BLAIR, avec la déclaration de Saint-Malo en 1998, qui sera reprise par le Conseil Européen de Cologne en juin 1999, donnent le coup d'envoi de la politique européenne de sécurité et de défense (PESD), transformée en politique de sécurité et de défense commune (PSDC) avec le Traité de Lisbonne en 2008. Cette politique mettra graduellement les Etats Européens en condition de lancer de missions autonomes de maintien de la paix pour tenter de pallier à leur impuissance répétée en Bosnie, puis au Kosovo - cette impuissance s'étant traduite par l'appel aux Etats-Unis et aux structures de l'OTAN afin de faire cesser les combats dans une région pourtant au coeur de l'Europe.19

Rappelons qu'il y a en Europe, une organisation politico-sécuritaire dénommée, organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE), qui est l'une des organisations internationales qui participent à la sécurité du continent européen, à coté de l'OTAN et l'Union Européenne. Elle est cependant la seule à regrouper cinquante-six Etats20, depuis les Etats-Unis jusqu'aux Etats d'Asie centrale en passant par la Russie et les pays européens. Cela fait d'elle la plus importante organisation de sécurité régionale au monde. Pourtant, ses activités et son rôle demeurent entourés de mystère : pratiquement inconnue de la grande majorité des citoyens, l'OSCE est même souvent confondue avec l'organisation de coopération et de développement économique (OCDE).

L'organisation pour la Sécurité et la Coopération en Europe (OSCE) a cependant été pionnière à bien des égards, sa conception et sa naissance ont joué un rôle majeur dans la propagation des mouvements de défense des droits humains dans les Etats d'Europe centrale et orientale tout au long de la guerre froide, participant ainsi activement à l'écoulement du bloc soviétique et a la fin de l'antagonisme Est-Ouest. L'OSCE a de même

19 Fabio Liberti, une certaine idée de sécurité, in, Le monde diplomatique http://www.monde-diplomatique.Fr/2010/11/LIBERTI/19867

20 Albanie, Allemagne, Andorre, Arménie, Autriche, Azerbaïdjan, Belgique, Biélorussie, Bosnie Herzégovine, Bulgarie, Canada, Chypre, Croatie, Danemark, Espagne, Estonie, Etats-Unis, Finlande, France, Géorgie, Grèce, Hongrie, Irlande, Islande, Italie, Kazakhstan, Kirghizstan, Lettonie, Liechtenstein, Lituanie, Luxembourg, Macédoine, Malte, Moldavie, Monaco, Monténégro, Norvège, Ouzbékistan, Pays-Bas, Pologne, Portugal, République Tchèque, Roumanie, Royaume-Uni, Russie, Saint-Marin, Serbie, Slovaquie, Slovénie, Suède, Suisse, Tadjikistan, Turkménistan, Turquie, Ukraine et Vatican.

été la première organisation internationale a mettre en pratique l'approche globale de la sécurité (police, armée, Economie, droit fondamentaux, etc.), si chère aujourd'hui a l'Union Européenne.

C'est de cette notion que le Secrétaire Général de l'OTAN aimerait faire bénéficier l'Alliance lors des prochains sommets, dans les années qui suivront, oü sûrement l'adoption d'un nouveau concept stratégique serait effective, complétant celui de 1999 sorti des assises de Washington.

L'OSCE est officiellement née en 1975, créée par l'Acte final de la conférence d'Helsinki, elle avait a cette époque pour nom : La conférence pour la sécurité et la coopération en Europe (CSCE).

Elle est en partie le fruit du souhait de l'Union Soviétique, des pays nonalignés qui voulaient se faire entendre et de la politique étrangère du secrétaire d'Etat américain Henry KISSINGER. Ce dernier, après avoir amorcé la détente entre les Etats-Unis et la Chine 1972, le voyage du Président Richard NIXON à Pékin marqua la reprise des relations économiques entre les deux Etats.

Ainsi, dans la considération du partenariat existant entre l'OTAN et l'Union Européenne, que, lors du sommet de Washington du 23 au 25 avril 1999 où fut scellé le partenariat stratégique entre l'OTAN et l'Union Européenne est esquissé, et que les engagements pris au Conseil de Berlin du 3 juin 1996 par l'OTAN au Bénéficie de l'UEO (les accords de Berlin plus) sont repris au profit de l'Union européenne, s'engageant a soutenir le développement de l'identité européenne de sécurité et de défense (IESD) au sein de l'OTAN et vont « permettre l'accès aisé de l'Union Européenne aux moyens et capacités collectifs de l'Alliance pour des opérations dans lesquelles l'OTAN dans son ensemble ne serait pas engagé militairement en tant que structure ».21

Le sommet de Washington consacrera une part importante de ses conclusions pour la mise en place du nouveau concept stratégique à la reconnaissance de la pertinence d'une politique européenne de la sécurité et de défense. Dans leur communiqué final, les chefs d'Etat et de Gouvernement se sont réjouis du nouvel élan donné au renforcement d'une politique européenne commune de sécurité et de défense par le Traité d'Amsterdam, ainsi, que des réflexions engagées .Depuis lors, au sein de l'UEO (Union de l'Europe Occidentale)*, et suite a la résolution de l'Union Européenne, par la déclaration de

21 http://www.ladocumentation francaise.fr/dossier/maintien-paix/otanacteur.shtml

*

L'Union de l'Europe occidentale (UEO, en anglais WEU) était une organisation européenne de défense et de sécurité, qui fut en sommeil

pendant un certain nombre d'années, composée d'États membres de l'OTAN et de l'Union européenne. À partir de 1984 et surtout au Début des années 1990, elle a été identifiée par les États membres pour être le support de la politique européenne de défense mais le projet n'a pas été poursuivi. La Politique européenne de sécurité et de défense (PESD) a donc été créée en 1998, pour assumer ce rôle. Bien que le dispositif normatif de l'UEO n'ait pas été repris par la PESD, un certain nombre de ses travaux, de ses initiatives, des accords conclus avec d'autres organisations et de ses organes ont été repris par l'Union européenne. L'UEO sera totalement dissoute en juin 2011.

C'est un traité de coopération, essentiellement militaire (intégration collective de défense et de sécurité) est signé le 23 octobre 1954 à Paris, entre la France, le Royaume-Uni, la RFA, l'Italie, la Belgique, les Pays-Bas et le Luxembourg, suite à l'échec de la Communauté européenne de défense. C'est une réactivation directe du Traité de Bruxelles du 17 mars 1948, qui fait suite au coup de Prague. Le siège de l'UEO se trouvait alors à Londres.

Dans le contexte de la Guerre froide, la première fonction de cette alliance était de montrer aux États-Unis la volonté européenne de réagir
face à la pénétration soviétique en Europe orientale. En apportant ainsi la preuve de leur détermination a oeuvrer ensemble, les puissances
signataires du Traité de Bruxelles ont contribué à vaincre la réticence des États-Unis à participer à l'édification de la sécurité européenne.

Saint-Malo (France). Prenant acte de la résolution de l'Union Européenne a se doter d'une capacité d'action autonome, les chefs d'Etat et de Gouvernement de l'Alliance ont eu a souscrire sur le projet pour que toutefois qu'il soit fondé sur quelques principes de base :

- que l'OTAN et l'Union Européenne établissement entre elles une consultation, une coopération et une transparence effectives ;

- que les Européens prennent les mesures nécessaires pour renforcer leurs capacités de défense pour de nouvelles missions en évitant les doubles emplois inutiles (a l'instar de l'EUFOR comme une force Européenne autonome, qui fait ses preuves sur les théâtres des opérations a travers l'Europe et le reste du monde ;

- que les alliés européens non membres de l'Union Européenne soient associés à des opérations de réponse aux crises dirigées par l'Union Européenne ;

- Que cette extension d'un rôle accru de l'Union en matière de défense, s'appuiera sur un approfondissement des décisions du sommet de Berlin de 1996 relatif au concept de capacité de l'OTAN séparables mais non séparées pour des opérations dirigées par l'Union de l'Europe occidentales.22

3. Russie

Héritière symbolique de la puissance Soviétique de l'ex-URSS, la Russie est incontournablement un acteur de taille, non négligeable dans la lutte contre les défis sécuritaires en Europe et dans le reste des espaces, où son influence se conjugue et s'applique. Au sortir de la guerre froide, la Russie voit avec suspicion et inquiétude les manoeuvres visant a accueillir au sein de l'OTAN et de l'Union Européenne ses anciens pays satellites d'Europe centrale et orientale. Affaiblie, humiliée par la dégradation de sa situation économique et sociale, elle ne peut rien faire pour s'y opposer. Après une décennie de relations en demi-teinte, il faudra l'arrivée au pouvoir de Vladimir POUTINE en 1999, pour que la Russie renoue avec une dialectique nationaliste tendant à réaffirmer le pays comme puissance régionale et mondiale.

Bien que ses relations avec l'OTAN et l'Union Européenne se dégradèrent, la Russie bénéficie de son statut « d'Etat participant ~ de l'OSCE, organisation qui, de surcroît, fonctionne par consensus. Ainsi à partir de 1990 et sous ses différents Gouvernements, Moscou a toujours milité pour que l'OSCE soit chargée de la sécurité européenne, car elle avait lancé en 2009, le processus de Corfou (Grèce) afin de réfléchir à la nouvelle architecture de sécurité européenne découlant du conflit russo-géorgien, celui-ci ayant souligné la nécessité d'un forum permanent politique et militaire. Dans ce cadre, les Etats participants mirent l'accent sur les menaces transfrontalières (terrorisme, l'utilisation abusive des nouvelles technologies, détention irrégulière de l'arme nucléaire, trafic d'arme et de drogue...) La tenue d'un sommet des chefs d'Etat et de Gouvernements dans la région, traduira en outre la volonté manifeste d'ancrer l'Asie centrale, comme zone stratégique dans le concept de sécurité de l'OSCE. La proposition d'un traité paneuropéen sur la sécurité du continent faite par le Président Russe Dimitri MEDVEDEV, semble cependant n'avoir

Cependant, en pratique, l'UEO n'eut pas vraiment de rôle effectif, puisque dans les faits, toutes les actions de défense furent chapeautées par l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord.

Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Union_de_l'Europe_occidentale

22 Xavier DE VILLEPIN, Opération « Force alliée ~ en Yougoslavie, rapport d'information 464 (98-99) sénat, commission des Affaires Etrangères, 1999.

aucune chance d'aboutir, car lui désirait entre autre bloquer par là tout nouvel élargissement de l'Union Européenne ou de l'OTAN vers les zones d'influence de son pays.

4. Firmes privées de sécurité et organisation non gouvernementales

Elles constituent aujourd'hui une présence effective des risques d'objectifs, comme entreprises de sécurité privées en succédant aux mercenaires artisanaux, comme le souligne Jérôme LARCHE23, car leur poids est devenu considérable. A l'instar de la Grande Bretagne, oü il s'agit d'une activité en pleine expansion, évoluant dans le cadre des modifications structurelles du marché de la sécurité24 de l'après 11 septembre 2001.

Cette industrie s'organise en Europe comme aux Etats-Unis, pour offrir un visage plus présentable, celui d'un mercenariat éthique, responsable, obéissant bien sûr aux lois du marchés, mais conscient d'intervenir sur des zones sensibles. Pour preuve de cette quête de responsabilité, cette industrie de guerre entend maintenant être celle de paix et de a stabilité. Elle a désormais ses publications, ses instituts de recherche et affirme que a plupart de ces sociétés de sécurité privées (SSP) en sigle, respectent les codes de conduite éthique, que ce soient celui de l'international Peace Opérations Association (IPOA) en sigle ou de la British Association of Private Security compagnies (BAPSC) en sigle.25

Dans la prise en compte des organisations non gouvernementales (ONG) comme actrices sur le terrain, au même titre que d'autres organisations Internationales spécialisées, évoquant la lecture des contextes dans lesquels évoluent les acteurs humanitaires européens s'est profondément modifiée ces dernières années, notamment avec l'augmentation des terrains d'urgence complexes et de catastrophes, qu'elles soient naturelles ou induites par l'homme.

Ces acteurs sont confrontés de multiples façon aux militaires, que ces derniers appartiennent a des opérations des maintien ou d'imposition de la paix onusiens, a des forces armées étatiques, y compris européennes, à des groupes armés étatiques et transfrontaliers, évoqués ci-haut, et qui travaillent pour des sociétés de sécurité privées (le cas des SSP, équivalant a l'acronyme anglais PSC), dont plusieurs sont basées en Europe et actuellement avec des représentations et extensions par tout dans des zones en conflit, où l'intérêt économique est juteux.

5. Organisations terroristes et autres sociétés secrètes armées

Ces structures extrémistes, organisées en forces négatives, sont éparpillées a travers la planète et agissent d'une manière spontanée, car étant non prévisibles et

23 Jérôme LARCHE, La saine distance entre acteurs armés et ONG : une exigence a défendre auprès de `Union Européenne, in L'Europe humanitaire en question, Juin 2008, p. 6.

24 Bear PARK A. et Schulz S (2007), The regulation of the private security industry and the future of the market, in ; Simon CHESTERMAN and chia CENHARDT, from mercenaries to market : The rise and regulation of private military companies, Oxford University press 2007, p. 4.

25 C. SPEARIN, Humanitarian NGO and International PSC : the « humanitarian » challenges of mouldering a market place «Geneva centre for the democratic control of Armed Forces, Policy Paper n° 16, 2007, p. 5.

produisent par vocation des faits d'insécurité, dont l'OTAN est appelée a faire face, pour la pacification de l'espace Euro-Atlantique et en dehors de celui-ci. Ces groupes et sociétés sont légion et multiforme, a l'instar de groupes terroristes, idéologiques et fondamentalistes, religieux, tribalo-ethniques et autres... qui menacent la paix mondiale.

Dans leur choix opérationnel pour victimiser une cible donnée, Jean-Jacques CÉCILE26 affirme que, pour le terroriste, le premier problème à résoudre est celui consistant a choisir sa cible. Si tant est qu'il s'agisse d'un attentat devant être perpétré dans un pays industrialisé ou en voie de développement soit il, celle-ci (cible) est généralement sélectionnée en fonction de deux critères prédominants : d'une part la recherche d'un effet psychologique optimum et d'autre part la volonté de faire un maximum de victimes. Il est a noter que ces deux critères sont du reste bien souvent liés. Rechercher un effet psychologique optimum, c'est avant tout choisir une cible liée a une échelle de valeurs intrinsèque à un référentiel communautaire, que cette communauté soit de nature par exemple nationale ou religieuse.

26 Jean-Jacques CECILE, in, http://www.armees.com/info/actualites/Comment-les-terroristes-preparent.html

CHAPITRE II : L'ORGANISATION DE TRAITE DE L'ATLANTIQUE NORD (OTAN) DURANT LA GUERRE FROIDE

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"Nous voulons explorer la bonté contrée énorme où tout se tait"   Appolinaire