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Le role de la musique dans la publicité

( Télécharger le fichier original )
par DIEUDO NGANDU KITWA
Université de Lubumbashi - Licence en Marketing 2009
  

Disponible en mode multipage

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EPIGRAPHE

« Si la musique permet d'améliorer l'efficacité des messages, l'influence est également réciproque : la publicité permet de vendre la musique. »

VIRGINIE BARNIER

DEDICACE

A mon père NGOY BUTE KAPOLE JEAN pour les conseils, sacrifices et efforts qu'il ne cesse de consentir pour ses enfants,

A toi ma mère MUTONKOLE MWEPU Da Irène pour ton amour, ton affection ainsi que ton soutien combien réconfortant nous témoigné.

A vous mes frères et soeurs, pour tous vous bienfaits en mon endroit.

AVANT PROPOS

Avant d'aborder la présente étude, nous pensons qu'il est d'une importance majeure de remercier sincèrement notre Directeur, le Professeur Ordinaire NGANDU MUTOMBO pour ses remarques et suggestions très constructives quant à la confection de ce travail en dépit de ses multiples préoccupations.

Notre profonde gratitude s'adresse à tous le corps professoral de la faculté des lettres et sciences Humaines en générale et plus particulièrement du département des sciences de l'information et de la communication.

Nos vifs remerciements s'adressent également à la grande famille des frères amis et connaissances,O'grady NGANDU, Didiana NGANDU, Erick NGOY, Rodrigue MUTONKOLE, Marie-raphaelli KASONGO, Rosette Lunda NGANDU .

.

A tous ceux qui nous ont soutenu matériellement, financièrement, spirituellement, dont les noms ne sont pas repris, notre silence veut dire nous vous portons dans le coeur.

NGANDU KITWA Diego

INTRODUCTION

0.1. PRESENTATION DU SUJET

La recherche actuelle à propos de l'influence de la musique sur les messages publicitaires s'intéresse à ces éléments principaux : l'appréciation de la publicité par le téléspectateur et la mémorisation. La musique agit par deux voix parallèles : une influence affective et une influence cognitive. La voie affective concerne l'agrément perçu par le consommateur : s'il apprécie la musique, il appréciera en conséquence le message publicitaire. La voie cognitive concerne la similarité que le consommateur perçoit entre la musique choisie et les autres éléments des messages.

Ce pendant effet et cognition peut agir en même temps, générant une expérience à part entière insistant plusieurs sens à la fois, on parle alors de vision expérientielle de phénomène.

Ainsi, chacune des deux voix peut interagir sur autre, les émotions générées par la musique provoquant des cognitions et les cognitions donnant naissance à des émotions.

Une musique sélectionnée a un effet sur l'agrément ressenti et sur la mémorisation des spots. Cet effet se produit par divers processus : conditionnement classique (la musique rappelle la marque et vice versa) ou transfert affectif (le téléspectateur aime une musique, l'associe à une marque, et aime en conséquence la marque) de nombreux messages se sont fondés sur cette stratégie.

0.2. PROBLEMATIQUE

La musique a une importance capitale dans la relation publicitaire puisqu'elle donne des informations para textuelles et par-visuelles (comme les pochettes de disque qui donnent une image de l'album. En effet, dans un message publicitaire, la bande est ressentie par le récepteur comme quelque chose en plus, un faire-valoir qui est au service de l'image et du message, et non comme une identité propre à elle.

En outre, les recherches actuelles à propos de l'influence de la musique sur les messages s'intéresse à deux éléments principaux : l'appréciation de la publicité par le téléspectateur et sa mémorisation.

Cette musique agit par deux voix parallèles : une influence affective et une influence cognitive. La voie affective concerne l'agrément perçu par le consommateur : s'il apprécie la musique, il appréciera en conséquence le message publicitaire. La voie cognitive concerne la similarité que le consommateur perçoit entre la musique choisie et les autres éléments du message ce sont là les idées autour desquelles gravitera notre étude. Pour mieux la circonscrire, nous nous attèlerons sur la question suivante :

1. Quel est le rôle que joue la musique dans un spot publicitaire?

0.3. HYPOTHESE

La musique pourrait remplir quatre rôles différents au sein d'un spot publicitaire : la toile de fond, le message, les arguments, la signature

La musique toile de fonderait pour objectif d'envelopper le message et de remplir un vide qui pourrait créer un malaise chez le téléspectateur. Son rôle minimal est d'accompagner l'image et la voix. La musique message aurait pour objet d'affirmer le message du spot. Elle peut être spécifiquement composée pour le spot ou bien empruntée à des musiques connues contemporaines ou classiques. Quant à la musique argument, s'accompagne des paroles afin d'affirmer la promesse publicitaire. Et enfin, la musique signature est celle qui clôture le message présente en fin de spot sous la forme de jingle, elle lui donnerait charme et mémorabilité.

0.4. METHODE ET TECHNIQUE

Toute oeuvre qui se veut scientifique doit nécessairement respecter un certain nombre des contraintes. Au sein de celles-ci, la méthode et la technique en font une rubrique à part entière. Voilà les raisons qui nous poussent à les inscrire dans ce présent travail.

Pour ce qui est de la méthode, nous avons opté à celle du type analytique. Grâce à celle-ci, nous allons comprendre à fond les différents rôles joués par la musique des tous ces spots publicitaires diffusés dans les médias de la place.

Et quant à la technique, c'est celle du type documentaire et d'observation directe qui fait objet des applications.

Avec la technique documentaire tous les ouvrages, articles, revus etc. présentant des similarités avec notre étude nous aide à élaborer un travail digne de sens. En ce qui concerne la technique d'observation directe, nous allons visualiser ensemble des spots publicitaires pour arriver à en dégager les différents rôles joués respectivement par leurs musiques.

0.5. ETAT DE LA QUESTION

L'importance de cette option est du côté de cet état de lieu de tous les travaux de nos aînés dans ce domaine de la communication des organisations pour essayer de créer une ligne de démarcation avec notre travail.

Dans la perspective de lier la parole à l'acte nous évoquons MATADI EDIADIA, « l'impacte de la musique dans la réalisation de publicité (cas de Kerry gold et primus) ». Dans ce travail de la fin du premier cycle, l'impétrant stipule que la majorité des publicités diffusées dans les chaînes de la place sont trop émotionnelles, raison pour laquelle elles prennent plus de minute voir 5 à 10. MERRY KANYINDA, « la publicité des produits d'ALOE VERA dans la ville de Lubumbashi », mémoire en sic. Celui-ci, démontre aussi que le produit Aloe est sûrement la plante qui a plus large spectre d'action que l'on connaisse, ses feuilles et le jus que l'on extrait contiennent un grand nombre de principe actif et des molécules chimiques, vitamines utiles pour la croissance, le maintient et la bonne santé du corps humain des usages en cosmétologie ne sont plus à démontrer la marché pour une telle mine de bienfaits dans notre pays est encore à conquérir

En égard à ce qui précède, l'innovation de notre étude réside dans le fait qu'il vient démontrer comment la musique à une importance capitale dans la relation publicitaire en donnant des informations para-textuelles et para visuelles (en l'occurrence les pochettes de disques qui donnent une image de l'album.

0.6. DELIMITATION DU SUJET

La communication des organisations est un domaine purement complexe, pour étudier une de ses branches, la précision s'avère encore une des issus favorables. C'est pourquoi dans ce travail nous choisissons sur le plan temporel, la période allant de 2006 à 2013, puisque caractérisée par une forte prolifération des chaines de radio et télévision qui font de la publicité leurs affaire. Et sur le plan spatial, c'est la ville de Lubumbashi qui constitue notre univers d'enquête car c'est là que nous vivons.

0.7. SUBDIVISION DU TRAVAIL

Hormis l'introduction et la conclusion, ce travail est subdivisé en trois chapitres.

Le premier aborde les généralités sur le concept musiques, spot publicitaire...

Le deuxième chapitre établit le rapport entre la publicité et les médias.

Le troisième chapitre quant à lui, présente les spots publicitaires, la typologie des messages et leur contenu, les produits cosmétiques et le rôle de la musique dans les spots publicitaire.

CHAPAPITRE .I. GENERALITES

INTRODUCTION

Dans ce chapitre nous allons faire la théorie de la hiérarchie des effets qui est une théorie de la publicité, et définirons les concepts clés  de notre travail pour situer le lecteur à chaque pas de notre travail. Enfin, nous dégagerons le rapport entre la publicité et la musique.

I.1 CADRE CONCEPTUEL

I.1.1 L A MUSIQUE

a. Définition

La musique peut être définie comme l'art d'accompagner les sons ou les silences mélodiquement quant à leurs hauteurs harmoniquement quant à leur superposition et rythmiquement quant à leur placement dans le temps1(*).

Elle est donc à la fois une création (une oeuvre d'art), une représentation et aussi un mode de communication.

Elle utilise certaines règles aux systèmes de composition de plus sur aux plus complexes. Elle peut utiliser des objets divers, le corps, la voix, mais aussi des instruments de musique spécialement conçus et de plus en plus tous les sons (concrets, de synthèses, abstraits, etc.).

La musique est évanescente, elle n'existe que dans la durée de la perception qui doit en reconstituer son unité dans la durée. Elle a existé dans toutes les sociétés humaines, depuis la préhistoire elle est à la fois forme d'expression individuelle (notamment l'expression des sentiments), source de rassemblement collectif et de plaisir (fête, chant, danse) et symbole d'une communauté ou d'une nation hymne nationale, style musical officiel musique religieuse musique profane, musique militaire.

L'histoire de la musique est un métier particulièrement riche et complexe du fait principalement de ses caractéristiques difficulté, tient d'abord à l'ancienneté de la musique, phénomène universel remontant à la préhistoire, qui a donné lieu à la formation de traditions qui se sont développées séparément à travers le monde sur des millénaires. Il y a donc une multitude de très longues histoires de la musique selon les cultures et civilisations. (La musique classique au pop-rock au sens très large) la musique occidentale, ne prenant qu'au XVI° siècle l'allure de référence internationale et encore très particulièrement.

Baris de schloczer, dans son ouvrage « problèmes de la musique » définit la musique comme étant un langage au même titre que la parole qui désigne, la poésie, la peinture, la danse, le cinéma, la publicité. Ceci revient à dire que tout comme l'oeuvre poétique ou plastique, l'oeuvre musicale a un sens `qui n'apparaît que grâce à l'activité de la conscience 2(*).

Dans son essai sur les « célibataires de l'art » jean-marie scheffer estime que, la logique des formes musicale est donc devenue surtout une logique fonctionnelle, dans la mesure où elle permet de maintenir la cohésion de l'oeuvre même les éléments de compositions sont multiples (élément rythmiques, contrapuntique, harmoniques, etc.3(*).

La notion de processus compositionnel a permis de passer de la vision statique de l'objet musical, à une vision dynamique. Cette vision est évolutive ce qui ne prenaient pas en considération les théories fondées sur la gestalt psychologie qui figent la pensée dans des images accumulées dans la monnaie. Le processus musical est plus que la structure : il est en effet une forme dynamique, un devenir. Ce devenir est marqué par l'empreinte du sonore c'est-à-dire par un matériau musical, et pas uniquement par l'outil ou par la théorie. A partir de la théorie de la communication de shannon et wearer, d'autres définitions insistent plus sur les moyens que sur la chaine de production de la musique.

b. Typologie

Classification musicale, chronologie de la musique et principes de classement des documents musicaux.

Il existe plusieurs manières de classer la musique notamment : (4(*))

Ø Par genre musical ;

Ø Par zone géographique ;

Ø Chronologique.

GENRES MUSICAUX

Un genre musical désigne des pratiques musicales de même nature et de même destination :

Nous avons la musique classique, la rumba ? folklore, slow, zouk, samba, tempo, regemaine etc. la liste n'est pas exhaustive.

En France, les bibliothèques musicales suivent les catégories des principes de classement des documents musicaux.

c. Sociologie de la musique ou rôle social

La musique est considérée comme un fait de société qui met enjeu des critères tant historiques que géographiques. Elle passe autant par les symboles de son écriture (notes de musique) que par le sens qu'on accorde à se valeur affective ou émotionnelle. En occident, ce passé n'a cessé de se creuser entre ces musiques de l'oreille (proche de la terre, elles affirment une certaine spiritualité et jouent sur le parasympathique) et les musiques de l'oeil (marquées par l'écriture, le discours et un certain rejet du folklore). Les cultures occidentales ont privilégie l'authenticité et inscrit la musique dans une histoire qui la relie, par l'écriture, à la monnaie du passé. Les musiques d'Afrique font plus appel à l'imaginaire, au mythe, à la magie, et relient cette puissance spirituelle à une corporalité de la musique. L'auditeur participe directement à l'expression de ce qu'il ressent, alors qu'un auditeur occidental de concerts serait frustré par théâtralité a qui délie de participation corporelle.

Le baroque constitue en occident l'époque charnière où fut mise en place cette coupure. L'écriture, la natation, grâce au tempérament devenait rationalisation des modes musicaux phénomène social.

Chaque époque est tributaire des rapports entre l'art et la société, et plus particulièrement en musique et forme de sa perception.

La musique est considérée dans une société un réconfort moral qui suscite un sentiment de joua d'amour et d'appartenance culturelle.

d. Rôle économique

L'histoire évalue également par alternance de phases de préparations et de phases de révolutions intimement liées entre elles. Dans son rôle de détendre l'esprit, la musique est devenue actuellement une unité génératrice d'argent, partout dans le monde elle a conquis les espaces et elle intéresse plus d'une personne jusqu'au point d'être une discipline scientifique. Pythagore étudie la musique comme mettant en jeu des rapports arithmétique au travers des sons. L'harmonie qui en procède se retrouve pour lui et gouverne l'ordonnancement de ses sphères célestes. Les hommes et des femmes qui s'adonnent à la pratique musicale comme science finissent toujours par être musiciens, producteurs, réalisateurs ou compositeurs de la musique.

Dans le monde entier la musique fait vivre, les musiciens talentueux gagnent leur vie en faisant de la musique une carrière professionnelle. En amerique la plus part des musiciens sont des noirs qui n'ont pas fait les études spécialisées mais à travers la musique ils sont devenus célèbres et ont gagné beaucoup de biens.

Notre pays est compté aussi parmis les nations où l'on trouve beaucoup des musiciens et la musique est devenue un métier rémunérateur, les stars congolaises en générale sont stable sur le plan financier grâce à cette pratique de musique. Pour la régulation de ce secteur, il y a un ministère qui s'occupe de la culture et de l'art qui se charge de l'encadrement des musiciens et il tire l'essentiel dans ce secteur.

I.1.2. PUBLICITE

Le dictionnaire universel définit la publicité comme « l'art de faire connaître un produit, une entreprise, etc. afin d'inciter les consommateurs à acheter le produits ou à l'utiliser les services de cette entreprise »5(*).

Dans le même sens, l'encyclopédie des jeunes dit que « la publicité est un orteil de communication qui transmet des informations du public dans le but de le convaincre et de faire vendre des produits »6(*).

La publicité est une technique à l'évidence, ce sont les entreprises qui l'utilisent le plus, mais elle est également à la disposition des institutions des gouvernements, des services publics.

TYPES DE PUBLICITE

Il existe plusieurs types de publicité que nous regroupons en deux catégories : la publicité directe ou personnelle et la publicité indirecte ou impersonnelle.

1. PUBLICITE DIRECTE

Cette publicité dite directe « ce sont des messages insérés dans le média de masse avec un coupon réponse, en numéro téléphone et une offre suscitant une réponse, immédiate. Ce type de publicité n'a d'effet qu'à très court terme et à une efficacité qui se mesure facilement par le nombre d'achat de coupons retournés7(*).

La publicité directe n'est pas complexe c'est une forme de la publicité qui se fait directement entre la maison commerciale et les clients de son choix.

2. PUBLICITE INDIRECTE

C'est un procédé qui tend à trouver à toucher la masse anonyme des consommateurs ou des utilisateurs par la voie de pa presse, de la radio, de la télévision et de tous les moyens de transmission « les stratégies publicitaires sont constitués sur une séquence d'effets intermédiaires. On fait l'hypothèse confirmée par la recherche et la pratique que la publicité produit des effets maritaux avant d'affecter le cas échéant le comportement des individus »8(*).

I.1.3. LE PRODUIT

D'après Liliane Denont, le produit est une entité susceptible de satisfaire un besoin du consommateur9(*). On peut le distinguer de services à partir de sa tangibilité, son stockage, aussi bien de la participation du consommateur à sa formulation aussi que sa distribution.

Dans la stratégie mercatique, le produit est définit par l'ensemble d'attributs : ses caractéristiques objectives, sa marque son design, son packaging, sa place dans une gamme. Examinons à présent les éléments qui composent les produits :

a. Marque

Une marque est constituée par l'ensemble des signes distinctifs d'un produit, son nom accompagné d'éléments graphiques (logo)10(*).

La marque a comme fonction d'identifier et de différencier les produits de l'entreprise, construire une image est le point d'ancrage de la communication commerciale.

La marque favorise le lancement de nouveaux produits, elle revêt d'une importance stratégique pour l'entreprise. Un enjeu essentiel de la communication commerciale dont l'une de mission est de donner une notoriété et confère ou produit une image positive dans l'esprit du consommateur. Elle est différente de design.

b. Design

Le design est une conception du produit tenant compte d'impératif esthétique, fonctionnel et économique. Il constitue l'élément principal de différenciation du produit11(*).

Avant l'ère industrielle, il n'existait pas de véritable marché de consommation. La possession de biens varies étant réservée à une classe aisée peu nombreuse.

Les artisanats fabriquent des pièces en très petite série et de ce fait relativement onéreuses. La standardisation et venue avec l'ère industrielle.

Le rôle des designers est tout à la fois d'intégrer les problématiques et les contraintes de conceptions et (de production tout en réalisant un produit attractif pour les clients12(*).

Son but est l'adaptation du produit aux besoins des consommateurs en conciliant :

L'esthétique (forme et couleur)

Ergonomie (produit adaptés à la physiologie de la cause

L'économie (la production doit être rentable pour l'industrie avec le prix de vente acceptable aux consommateurs. Le design s'accompagne toujours avec le packaging) aussi que fonctionnalité : produit efficace, éventuellement innovant.

c. Packaging

Packaging c'est l'ensemble d'éléments matériels qui sans être inséparables du produit lui-même sont vendus avec lui en vue de permettre ou faciliter la protection du produit, son transport, son stockage, son utilisation par les consommateurs13(*).

La plupart des biens de grande consommation ne sont pas vendus nus (ou encore en vrac) mais conditionnés (emballés) les termes d'emballage, de conditionnement et de packaging sont à peu près synonymes, mais on utilisera ici de préférences celui de packaging parce que contrairement aux deux autres, il n'évoque pas seulement les aspects physiques et fonctionnels du contenant des produits mais aussi les aspectes décoratifs.

Dont on Vera l'importance.

d. Gamme

Une gamme est l'ensemble des produits ayant une même fonction (proposé par un fabricant). La construction d'une gamme de produits résulte d'un compromis. Pour répondre aux besoins des différents segments de marché on tend à multiplier l'offre produite avec une gamme très étendue14(*).

La stratégie de communication d'un produit doit tenir compte de sa place dans la gamme, on peut s'appuyer sur autre produit de gamme.

I.2 CADRE THEORIQUE

I.2.1 la théorie de la hiérarchie des effets

a) aperçu général de la théorie

Ce sont les modèles qui ont été le plus étudiés par la recherche académique. Ils partent du principe qu'entre un état d'ignorance complet de la marque et de la fidélisation. Un individu passe par plusieurs étapes qu'il franchit dans un certain ordre. Le processus de la communication est analysé en séquence de plusieurs effets intermédiaires, d'où le nom donné à cette famille de modèle : la hiérarchie des effets15(*).

b) les principes de modèle de la hiérarchie des effets.

1

2

Communication

Stade conatif effet sur le comportement

Stade cognitif stade affectif

c) les objectifs de la communication à chaque niveau

Au niveau cognitif, la communication) pour but la prise de conscience, l'attention, la notoriété et l'information de la cible au sujet d'une marque, d'un produit, d'une idée ou d'une entreprise. Au stade affectif, la communication agit sur les attitudes. Elle a pour objet d'éveiller chez les individus leur intérêt, leur désir et leur préférence. Au stade comportement, le but est d'entrainer une action, se traduisant par un achat ou l'adoption d'un nouveau comportement16(*).

DIDA

LAVIDRE et STEINER

ROGERS

COGNITIF

Attentif

Prise de connaissance

Prise de conscience

AFFECTIF

Intérêt désir

Attrait préférence conviction

Intérêt évaluation

COMPORTEMENTALE

Action

Achat

Essai

d) application de la théorie par rapport au sujet

Toutes les entreprises commerciales de la place poursuivent le même objectif : perdurer dans le mémoire collective de tout individu résidant à Lubumbashi, bien que celui-ci dispose d'un espace culturel cognitif (connaissance générale) complètement limité.

C'est pourquoi les entreprises qui vendent des produits cosmétiques, da la visée communicationnelle (publicité à la radio, à la télévision, affichage publicitaire...), centré sur l'accroissement de la vente de ses marques s'évertues à axes tous messages sur les dimensions suivantes :

· La dimension cognitive, faire savoir : notoriété faits et croyances de ses marques au produits grâce à ses publicités médicales diffusés respectivement lors des leurs à la fois audacieuses et orientées autour des marques sur les antennes des radios, télévision de la place, ces entreprises là tentent de rechercher la notoriété de celles-ci, en insistant sur leurs caractéristiques intrinsèques.

· La dimension affective, faire aimer : image dans cette option l'un des objectif publicitaires est de développer une préférence pour l'en des produits cosmétiques les plus commercialisés et de créer un climat favorable en valorisant les consommateurs Lushois et les dits produits. C'est aussi que la grande majorité de tous les messages publicitaires, mettent en relief un langage sourient, agréable et attractif.

En outre, ils associent aux produits cosmétique de qualités purement imaginaires, des réalités abstraites ou encore des sentiments agréables qui, grâce à un mécanisme psychologique impulsif globalement spontané d'identification, les rendant désirable aux yeux de tous les consommateurs Lushois.

· La dimension conative : faire agir : toutes les compagnes de la communication commerciale des entreprises commerciales de Lubumbashi, en l'occurrence celles s'inscrivant dans une compagne de promotion des ventes, recourent au processus persuasifs visant à convaincre les consommateurs Lushois à acheter régulièrement leurs produits cosmétiques, a y développer la quantité des produits achetés, à conserver les anciens clients etc.

CONCLUSION

Ce chapitre avait pour mission de préparer le lecteur à la bonne compréhension du sujet, les points qui ont été soulevés dans ce chapitre sont entre outre : le cadre conceptuel, consacré à la définition des concepts clés du sujet pour faciliter la compréhension et le cadre théorique pour tenter d'expliquer le phénomène observé lorsqu'un spot publicitaire est diffusé dans les médias.

CHAPITRE. II. RAPPORT ENTRE LA PUBLICITE ET LES MEDIAS

Ce chapitre se fixe comme objectif d'établir le rapport qui existe entre la publicité et les médias, tout en donnant les caractéristiques de l'un et de l'autre. En vu de permettre à nos lecteurs de différencier le deux et voir leur champs d'interaction.

2.1. CHAMPS D'INTERRACTION ENTRE LA PUBLICITE ET LES MEDIAS

Le terme media vient de l'américain, une abréviation de « masse media » qui veut dire moyen de communication de masse. En latin il est appelé « Medium » moyen au pluriel media qui signifie le moyen de communication par lequel les informations sont diffusées très largement au public17(*).

Ainsi pour les professionnels des medias, la définition est distincte de celle des animateurs. Les medias sont une technique utilisées par un individu ou par un groupe d'individus pour communiquer en face à face à une distance plus au moins grande, l'expression de leur pensée, quelles que soient la forme et la finalité de cette expression18(*).

Un media permet donc la transmission plus au moins loin et à un nombre plus au moins grande de personnes d'un ou de plusieurs messages aux contenus les plus variés : la presse, la radio, la télévision, le cinéma, l'affichage mains aussi le téléphone, la télématique et l'internet.

Entant que moyen de transmission ou de restitution, pour des signaux, quel qu'ils soient, un media permet donc toujours de relier les hommes entre eux.

Beaucoup de critères entrent dans la définition de ce concept. Ainsi, d'autres auteurs préfèrent le définir comme une technique de diffusion collective d'un message. Le seul critère permettant de dresser un inventaire complet et pertinent des medias rend compte de la diversité de l'information que peut revêtir l'échange entre les hommes, les sociologues partent des différentes modalités de communication là ou les ingénieurs préfèrent évoquer les structures des communications et les juristes la mise à disposition du public. L'application de ce critère attentif principalement à la technique et à ses usages permet de distinguer trois familles des medias :

· Les media de communication : il s'agit d'une communication bipolaire au multipolaire. Cette famille comprend tous les moyens de télécommunication permettant d'instaurer à distance et à double sens soit une relation de dialogue entre deux personnes ou un groupe et de l'autre, une machine comprenant une batterie de programmes ou de services. C'est par exemple le téléphone, l'Internet etc.

· les medias de diffusion : ces media qui utilisent les émetteurs et des relais terrestres permettant la transmission par la voie des ondes hertziennes de programmes de radio dans une zone de « couverture » dont l'étendue varie selon la puissance des équipement, émetteurs et des équipements récepteurs utilisés : c'est par exemple la télévision, la radio, le cinéma ainsi que l'internet etc. c'est dans cette famille de medias que nous allons étudié le rôle de la musique dans les spots publicitaires.

La publicité est un outil majeur de la communication commerciale, c'est une communication payante, unilatérale et impersonnelle, par l'intermédiaire de media et supports de toutes sortes en faveur d'un produit, d'une marque, d'une firme (d'une cause, d'un candidat, d'un ministère...) identifié dans le message19(*)

Caractéristique de la publicité :

La publicité est une communication payante : l'annonceur doit payer pour envoyer son message ;

· Elle est unilatérale : la publicité est en effet à sens unique, de l'annonceur vers la cible visée sans autre retro action que leur comportement final de l'acheteur potentiel, de plus ce n'est pas un dialogue, mais un monologue sauvent narcissique ;

· Elle est impersonnelle : contrairement à la vente par l'intermédiaire de représentantes, la publicité ne s'adresse pas à un individu mais à l'ensemble de ceux qui constituent sa cible ;

· Elle est médiatisée : et plus particulièrement par le mass-média, les moyens de communications de masse. Chaque fois qu'il s'agit de toucher massivement de très larges audiences (ménagères, automobilistes...) ou encore des média et support plus modestes comme la publicité directe ou publipostage, les catalogues, les salons et exposition, dans le cas de cibles plus spécialisées donc plus restreintes de communication en milieu industriel et professionnel.

Bien que la publicité concerne en très grosse proportion des produits reconnaissables à leur marque, il existe aussi des publicités collectives réalisées pour le compte d'une profession, d'un ensemble de producteurs, etc. et une publicité qui ne met pas en avant un produit mais l'entreprise ou l'organisation à laquelle il appartient, pour les faire connaître, informer sur leurs réalisations, leur but, l'avantage qu'ils procurent à la collectivité, etc. cette publicité appelée institutionnelle à une finalité aussi bien commerciale (soutenir la bonne réputation de la firme pour favoriser ses ventes) qu'extra-commerciale (attitude une main-d'oeuvre qualifiée.

La cible des annonceurs n'est pas seulement le grand public, acheteurs de bien et de services de consommation courante. C'est aussi l'acheteur professionnel en milieu industriel, ce sont aussi les divers groupes ou segmentes de clientèle potentielle spécialisée dans l'utilisation de tel produit au service. La publicité grand public passe par les grands média, les supports, de masse, l'affichage, la télévision, radio etc. la publicité plus spécialisée passe par la presse technique, le publipostage, les publications « pointues » très sélectives.

Le mariage de la publicité et du média date depuis l'avènement des moyens d'information de masse, ceux-ci ont été traditionnellement de supports de publicités dont l'apport financier a pu contribuer à leur expulsion tout sur le plan de l'information que sur le plan de distribution des produits. Cependant la presse écrite a été la première des médias à savoir diffusé les messages publicitaires20(*) .

Aux temps héroïques des premières balbutiements de la radio les émissions étaient réalisées avec des moyens de fortune, ne nécessitent point d'investissement coûteux, les associations d'auditeurs étaient disposés à financer les émissions par des contributions librement consentie. Ce n'est qu'à un stage ultérieur largue la radio a acquis des moyens plus développés et ses studios mieux équipés furent mis en oeuvre et qu'en personnel spécialisé fut changé à temps plein de mettre au point et de diffuser les programmes, les pionniers de la radio (individus au sociétés) durent faire appel à des annonceurs des messages publicitaires afin d'avoir des ressources financières pour des amateurs dont le nombre de ressources financières pour des amateurs dont le nombre croissait, cependant à mesure que l'écoute était perfectionné et facilités, ne suffisant plus. Les messages publicitaires procurent beaucoup de recettes essentielles aux medias et placent ceux-ci dans une situation de dépendance vis-à-vis des annonceurs. Les médias tirent leurs ressources en vendant l'espace médiatique aux annonceurs pour leurs messages publicitaires.

Le choix des médias pour le message publicitaire

Pour répondre aux attentes des annonceurs le conseil médias, qu'il soit en agence de publicité ou en agence médias doit résoudre trois types de problèmes21(*) :

Le choix des medias ou stratégie medias : on commence par sélectionner un média ou une combinaison de médias. Chaque média a un mode différent de communication

Le choix des supports ou plan des supports : on choisit dans le cadre du ou des médias retenus, le véhicule (supports) dans lesquels on insérera le message. Ainsi si on retenu la presse quotidienne (média) ou établira ensemble le liste des titres (supports) et calendrier des insertions des messages.

La négociation et l'achat de l'espace publicitaire dans les supports sélectionnés. C'est une fonction important dans un marché ou l'ajustement de l'offre à la demande s'exerce quasiment en temps réel ou les prix de revient sont flous, ou le produit de base (audience) n'est qu'un paramètre parmi beaucoup d'autre. (Achat d'espace doit prendre en compte la qualité de l'espace. Il ne s'agit pas simplement d'un achat en vrac ou de la recherche forcenée du taux maximum de remise sur les tarifs officiels. Définir et appliquer une politique intelligente d'achat media permet d'accroitre la rentabilité des investissements.

Il faut d'abord discuter de la définition des objectifs de l'annonceur : part de marché, volume de vente, prise d'abonnement, connexion etc. ceci permet de bien adopter les moyens (investissement médias à aux objectifs poursuivis. La stratégie des moyens concerne non seulement ce qu'il est convenu d'appeler les masse média, mais le hors médias, et bien sur tout ce qui relève des nouvelles technologies, internet en particulière.

Pour l'annonceur le point commun, entre tous ces véhicules est souvent l'audience un concept inventé pour gérer les tarifs (l'audience n'est en fait qu'une monnaie d'échange) mais qui reste pourtant éloigné d'un support est comme une note de musique. Il faut orchestrer plusieurs instruments en l'occurrence plusieurs médias.

Même ceux qui n'ont pas beaucoup d'oreille comprennent qu'il est plus facile de comparer deux pianos qu'un piano et une trompette. En publicité c'est un peu la même chose.

Il est plus aisé de choisir entre deux support d'un même média parce qu'ils relèvent d'un même mode d'expression qu'entre deux médias différents. On peut penser que la sélection des supports est au jour d'hui relativement bien maîtrisée, sans sous estimer toute fois l'importance des facteurs de choix qualitatifs (emplacement, environnement rédactionnel, ou type de programme) mais le problème est infiniment plus compliqué lorsqu'il s'agit de comparer des médias. Un spot diffusé à la télévision et une affiche postée sur une palissade n'en tiendra jamais dans la même équation. Les médias fonctionnent de manière très différente les uns des autres et on ne soit pas vraiment comment ils communiquent a tout prendre C'est plus simple en musique. Un mauvais compositeur qui hésiterait pour son orchestration entre le piano et la trompette pourrait essayer une fois avec le piano, une fois avec la trompette et même une fois avec les deux ensembles. Mais en publicité, on ne peut pas essayer une fois la télévision peut une fois l'affichage puis, etc. même si les expériences, les marchés tests, les études permettent de réduire les incertitudes dans ce domaine.

Puisqu'on ne peut pas choisir les médias et le mix médias d'une manière tout à fait rationnelle, il faut le faire avec du bon sens de l'expérience et de l'imagination.

Les supports sont les véhicules du message publicitaire. Un medium est l'ensemble des supports de même nature. Le medium prisse réunit aussi tous les journaux et revues quelle que soit leur périodicité. On distingue habituellement cinq « grande médias » : la presse, la télévision, l'affichage, la radio et le cinéma par ordre décroissant d'importance, les autres media (salons et expositions, publipostage, etc) étant appelés « hors médias » lorsqu'il s'agit de produits destinés au grand public, alors qu'ils ont au contraire une très grande importance dans la communication commerciale industrielle et professionnelle.

2.1.1. LA PRESSE ET LA PUBLICITE

Avec les deux tiers environs des penser publicitaires au milieu des années 80, la presse est le premier medium, bien qu'en perte de vitesse devant la montée des médias comme la télévision22(*).

La presse quotidienne nationale est essentiellement composé de titres parisiens-une dizaine-très hétérogènes quant à leur répartition dans l'espace, l'audience, la part de la publicité dans leur chiffre d'affaires.

La presse quotidienne régionale, assez concentrée n'a guère de concurrents dans ses fiefs, ou elle diffuse de nombreuses coalitions (locales) du même titre et où elle bénéficie d'une grande fidélité quelle qu'en soit la raison de la part de ses lecteurs.

La presse « magazines » : bien qu'il s'en crée de nouveaux régulièrement et que certains prospèrent, ces supports ont dans l'ensemble bâti de la télévision, surtout les (grands généralistes féminins)

La presse technique et professionnelle, vecteur privilégie de la communication en milieu industriel, se divise en presse technique générale, utilisable pour commercialiser des produits destinés de manière indifférenciée à de nombreuses firmes utilisatrices dans des secteurs très différents, et en presse technique spécialisée dont les supports en raison de leur très grande sélectivités, s'adressent à la ciblé visée selon deux approches : par branche professionnelle ou spécialisation sectorielle (bâtiment, transport...) par technique spécifique ou spécialisation fonctionnelle (manutention, cryogénie, stockage, sondage...)

La presse gratuite : les années 70 ont vu l'apparition, puis le développement rapide de très nombreux journaux locaux gratuits.

2.1.2. LA TELEVISION ET LA PUBLICITE

La télévision est le media dominant des sociétés contemporaines. Principale source d'information et principal loisir pour une grande partie de la population mondiale. La télévision occupe une place centrale preuve de cette suprématie, les autres medias lui consacrent toute l'attention due à une star : émissions de radio, rubriques et suppléments dans les journaux et magazines sites internet, tout contribue à placer la télévision au sommet de la hiérarchie de médias23(*).

Si la presse est le medium le plus sélectif et permet une très grande finesse dans la visée de la ciblé, puisque chaque catégorie, chaque consommateur potentiel de quoi que ce soit trouve une publication qui s'adresse à lui, la télévision au contraire est le médium non sélectif, celui qui arrose dans toutes les directions.

C'est pour cette raison le médium des produits de grande consommation, des gros annonceurs, de ceux qui s'adressent à toutes les ménagères, à tous les enfants...c'est aussi pour cette raison le médium le plus cher et c'est aussi pour cela qu'il a pris une si grosse part de certains budgets de publicité au détriment de la presse générale d'information et de la presse (magazines) féminine.

Le développement des investissements publicitaires à la télévision s'explique par l'augmentation du budget moyen par marque (notamment en raison de tarif en progression) que par l'accroissement du nombre de marques présentes dans les écrans publicitaires. L'augmentation des tarifs découle principalement du manque d'espace publicitaire disponible :

La télévision est devenue un spectacle publicitaire où on attend les dernières trouvailles des grandes marques. Le viral amplifie le phénomène et des concours avec l'évolution des spots (souvent faites uniquement pour le super boul.) sont organisés sur web. L'ouverture des jeux olympiques et les grands matches de football et maintenant de rugby peuvent rassembler près de 20 millions de français, parfois plus, sur une seule émission.

La mesure d'audience à la télévision est effectuée principalement par Médiamétrie. Dans les études est comptabilisé comme téléspectateur (toute personne qui a regardé la télévision, même si elle ne le désirait pas du fait qu'elle se trouverait dans la pièce pendant que le récepteur fonctionnait ».

La télévision est un média puissant qui présente l'avantage d'atteindre un très grand nombre d'individus :

- le taux d'équipement est élevé

- la durée d'écoute moyenne par individu de 15 ans et plus est de l'ordre de trois heurs trente par jour ;

La télévision offre de grandes variétés d'expression en combinant l'expression visuelle, verbale et sonore. Elle offre grandes capacités de démonstration en quelques secondes : superflue permet de coller un homme au plafond, résiste au poids d'un éléphant.

L'espace est tarifié en fonction du format. C'est-à-dire de la durée du spot. Les principaux formats utilisables sont 3 secondes puis 8, 10, 15, 20, 30, 40, 50, 60, 90 seconde, le format de base à partir duquel sont calculés les tarifs et le 30 secondes, c'est aussi le plus utilisé. Le coût d'un spot est également fonction de son emplacement dans un écran publicitaire. Chaque écran doit être clairement identifiée et réservé à la diffusion exclusive de plusieurs spots. Les écrans le plus chers sont ceux de la prime ténue.

2.1.3. L'AFFICHAGE ET LA PUBLICITE

Média historiquement le plus ancien, l'affichage s'est adapté aux évolutions technologiques et sociologiques24(*). Il représente 11% des recettes publicitaires des médias. L'affichage est le troisième medium en importance pour les produits destinés au grand public comme la télévision, il arrose mais contrairement à elle, on peut limiter dans l'aspace, ce qui lui confer une sorte de sélectivité partielle. Le type de biens ou de service y est aussi très inégalement représenté certains l'employant de façon massive comme le secteur de la distribution on distingue :

· L'affichage mural : pour lequel tous les murs et palissades sont des emplacements potentiels : 500.000 environ sont recensés, la plus forte densité se trouvant dans les gros agglomérations

· L'affichage routière qui jalonne les routes principales et ceinture les villes.

· L'affichage sur les transports : autobus, trains et gares

· L'affichage abribus et mobilier urbain : c'est là l'invention de J.C Decaux, partie de Lyon et couvrant plus de 500 agglomérations.

· L'affichage est un media puissant : il permet de toucher la quasi-totalité de la population d'une zone géographique.

· C'est un média souple : la variété des supports la diversité des réseaux, des emplacements en font un média varié qui contribue efficacement à créer ou à développer la notoriété, l'image.

· L'affichage permet une bonne sélectivité géographique : il est possible de limiter une compagne à une ville, une zone, un panneau (longue conservation).

Sa puissance et sa rapidité d'action en font un média événementiel, particulièrement intéressant à utiliser pour un lancement, pour créer un choc. L'affichage peut être utilisé en aguichage (leasing) avec un message diffusé en deux parties, une phase à trigue et une phase révélation. C'est un bon média de complément.

Le coût d'achat d'espace est fonction des nombre de panneaux qui peut varier d'un à une centaine pour un réseau local et plusieurs milliers de panneaux pour un réseau national.

De la durée de l'affichage : généralement 7 jours, parfois 10 ou 14 jours ;

De l'emplacement : les tarifs sont fixés en fonction de certains critères qualitatifs (panneaux éclaires, « barre route »...) et quantitatifs (le nombre de passage devant l'emplacement).

2.1.4. LA RADIO ET LA PUBLICITE

La radio est un media « grand public » puisque 96% des pays français sont équipés d'au moins une porte et que la durée d'écoute moyenne est de 190 minutes par jour. La radio est un ensemble hétérogène de stations dont le nombre a fortement augmenté depuis 1991 date d'autorisation des radios locales privées. Mais la multiplication des stations et les contraintes du média font que la part des recettes publicitaires en radio reste peu importante25(*).

La radio est plus sélective que la télévision. D'une part parce que la composition de l'audience des différentes chaines n'est pas tout à fait la même, d'autre part, parce que la composition de l'audience de chaque chaine diffère selon le moment de la journée.

Autre avantage sur la télévision : elle ne nécessite pas la « présence de l'auditeur, qui peut vaguer à ses occupations et elle est infiniment moins chère. Mais seules les stations périphériques sont utilisables, car les chaines nationales n'admettent que la publicité collective, à l'exclusion de toute publicité de marque.

· L'intérêt publicitaire de la radio

ü La radio distribue un grand nombre de contrats très rapidement les messages peuvent être répétées fréquemment sur une journée ou sur certaines tranches horaires, ce qui permet d'obtenir une forte pression publicitaire.

ü C'est un média qui permet de synchroniser la publicité avec les moments de consommation (toilette, repas etc.), ce qui renforce l'attention.

ü C'est un média interactif, qui peut mobiliser très rapidement l'auditeur. D'opérations promotionnelles (jeux) de mercatique directe, peuvent entrainer des milliers d'appels téléphoniques. L'utilisation d'internet renforce cette interactivité aussi Skyrock en développant « skyblog » est devenu un leader du blog en Europe.

ü Une campagne radio peut être mise en place très rapidement (vague de froid, attaque d'un concurrent, etc.).

ü Le « ticket d'entre est peut élever ; les coûts de production des spots peuvent être faibles, les tarifs d'achat de l'espace publicitaire sont accessibles aux petits annonceurs. C'est un média qui permet, grâce aux stations locales, un ciblage géographique précis, par exemple une ville.

ü La puissance des messages d'appel, l'argumentation, la description, l'évocation, le témoignage, la dramatisation, l'humour, etc. le message peut combiner texte parlé, musique bruitages. Le logo sonore (jingle) est une signature musicale véritable marquage sonore du territoire des marques.

ü Le coût est fonction du format, 5 secondes ou 10 secondes pour le leasing, puis 15 secondes 20, 25...60 secondes. Le format de base est de 30 secondes, de l'emplacement, c'est-à-dire de l'horaire de diffusion, les tarifs étant fonction de l'audience. Un tarif est établi pour chaque « écran publicitaire » l'expression a été empruntée au vocabulaire de la télévision en fonction de son audience.

2.1.5 LE CINEMA ET LA PUBLICITE

Le cinéma est un média intéressant d'un point de vue publicitaire. C'est le média du spectacle, de l'émotion qui bénéficie d'une excellente mémorisation. Il reste néanmoins marginal et sa part des dépenses publicitaires est inférieure à 1% ce médium bénéficie de certains avantages :

ü L'audience des salles est pour moitie composée de quinze-vingt-quatre ans ;

ü Les cadres et les catégories aisées représentant plus du tiers des entrées ;

ü Les urbains (villes de plus de 100.000 habitants) représentent les deux tiers des entrées ;

ü Une forte sélectivité géographique, ce qui permet des actions locales concentrées,

ü Un très fort impact pour des raisons techniques et psychologique : le taux de mémorisation est quatre fois plus élevé que pour un film TV de trente secondes. Mais le coût de production d'un film publicitaire est élevé, ainsi que le prix de l'espace publicitaire, ce qui aboutit à un « coût aux mille » plus fort que pour les quatre autres média « grand public ». et le cinéma connaît depuis 1970 des crises des affections qui rendent aléatoire les prévisions...

Intérêts publicitaire du cinéma

ü C'est un média complet à fort pouvoir de communication qui allie mouvement, image, son dans un contexte favorable.

ü Le cinéma bénéficie d'un très fort impact. Les taux de mémorisation sont de l'ordre de 70% alors qu'ils ne sont que de 2% pour l'affichage, 5% pour la radio, 10% pour la presse magazine et 15% pour la télévision. Ces résultats s'expliquent par la disponibilité du spectateur, la qualité des images (grand-écran) et du son.

ü Il permet une bonne sélectivité géographique, car il est possible de choisir une seule salle, les salles d'un quartier, d'une ville, d'une région, de la France entière.

ü Ce chois est particulièrement intéressant pour la distribution d'un point de vue sociodémographique. Le cinéma s'adresse à un profit bien précis comme en télévision, l'achat d'espace se fait à la durée du film publicitaire (20 secondes, 30 secondes etc.)

2.1.6. L'INTERNET ET LA PUBLICITE

Les innovations apportées par internet et qui sont loin d'être terminées en font un média incomparable au sens d'exceptionnel par la rapidité de sa diffusion dans la population (750 millions d'utilisateurs dans le monde en 2007 par la diversité de ses usages, par l'accueil des annonceurs26(*).

En 2007, le marché publicitaire des médias a augmenté au plan mondial de 5,2% mais dans le même temps les dépenses de publicités en ligne ont progressé de 32,4%.

Incomparable internet l'est aussi parce qu'il introduit des mouvantes comme les liens sponsorisés, qui difficilement classables dans les catégories usuelles des outils de communication.

Le protocole informatique permettant l'échange des données, est né dans les années 1970 et reste la base du réseau internet longtemps confiné aux domaines militaire et scientifique. L'internet a explosé durant les années 1990 et s'est étendu à l'ensemble des entreprises et de la population grâce à la généralisation des débits permise par le câble et l'ADSL. Les 3 W » wold wide web » (tacle d'araignée mondiale) prenaient tout leur sens. L'internet est avant tout un réseau de communication, un ensemble de tuyaux ou d'autoroutes de l'information. Ce sont les contenus diffusés qui en font u média spécifique, mais aussi un point de convergence de tous les autres médias : il diffuse la presse écrite, la radio, la télévision, le cinéma, la musique, le courrier, le téléphone... Internet a été qualifié des réseaux ; il est aussi le téléphone mobile. L'utilisation qui en est fait par les entreprises est complémentaire ou alternative aux communications directes promotion de vente.

La publicité

C'est l'utilisation publicitaire la plus classique du web : insertion de messages commerciaux cliquables dans les pages fréquentées par les internautes ciblés.

Le format des publicités est exprimé en pixels, plus ou moins normalisé par l'IAB (interactiv advertising bureau). Les plus classiques sont la bannière (468 x 60), le skyscraper (160 x 600), le carré (250 x 250).

Les forces d'internet comme média publicitaire

- l'interactivité : le message publicitaire permet de débouches par un simple clic à un contact direct avec le site de l'annonceur.

- la couverture géographique : internet est le premier média qui s'affranchit totalement des frontières.

- la sélectivité : la diversité des sites et des pages à l'intérieur des ces sites permet de cibler des catégories très précises d'internautes.

Les limites d'internet

- l'encombrement publicitaire : la publicité sur les sites est considérée comme intrusive par beaucoup d'internautes ; les logiciels de navigation et les pare-feu sont sauvent équipés des dispositifs empêchant l'affichage publicitaire.

- la faible couverture de la population : moins de la moitié des foyers sont connectés.

Dans ce chapitre il était question d'établir le rapport existant entre les médias et la publicité : pour se faire tout au long de ce chapitre nous avions donné les caractéristiques des médias aussi que de la publicité tout en s'attelant sur leur champ d'interaction. Pour plus de conclusion nous avions donné les cinq médias publicitaire traditionnel en les classant par ordre décroissant d'importance, ajoutés à ceci l'internet qui est la convergence de tous les médias qui diffuse la presse, la télévision, la radio, le cinéma, la musique, etc. appelé aussi média des médias.

CHAPITRE. III. PRESENTATION DES SPOTS PUBLICITAIRES

Concernant le management du temps, on peut distinguer cinq grandes structures de spots :

· le spot linéaire d'argumentation démonstration ;

· le spot à scénario à tension-résolution ;

· le spot à scénario-interrogatif ;

· le spot structuré multi facette ;

· le spot déstructuré multi facette.

La séquence du spot linéaire d'argumentation démonstration, consacre une partie du temps à présenter le produit, une autre à montrer certains de ses avantages, une troisième à faire vivre les avantages et bénéfices engendrés par les premièrs, et enfin conclut.

Le scénario tension résolution est souvent réalisé dans un temps compressé en une succession de plusieurs plans et quatre séquences :

· La première séquence correspond ou temps consacré à faire percevoir un cadre, des personnages, une tension.

· La deuxième séquence montre une intrigue qui crée une tension : problème, hostilité, curiosité, inquiétude...

· La troisième séquence montre comment cette tension peut être résolue par l'utilisation du produit ou du service de l'annonceur : solution, proposition, information, élucidation, complicité... Et enfin la dernière séquence constitue la conclusion sur le produit ou service.

Le spot à scénario interrogative à une structure proche du spot à scénario linéaire mais ne montre pas explicitement le problème.

Il opère une comparaison, une métaphore, ou bien amène le prospect à se poser une vraie question de fond. Ces spots sont très utilisés vraisemblablement parce que leur efficacités est souvent bonne. Le mécanisme sous-jacent repose sur la complicité qui est crées entre l'annonceur et le prospect menant ce dernier à « entrer dans le spot » pour le décorer, générant ainsi une activité cognitive qui favorise la mémorisation. La seule condition fondamental d'efficacité est que le prospect arrive bien à décorer le spot.

· Le spot structuré multi facette, présente souvent plusieurs tranches de la vie en parallèle de manière logique et structurée. L'objectif est de montrer un produit qui s'adapte à plusieurs types de consommateurs, ou bien qui va permettre des utilisations multiples.

· Le spot déstructuré multi facette, est construit sur le monde du clip musical. Il repose sur une voix ou une musique qui répètent le concept principal plusieurs fois. Les plans visuels sont une illustration, un contre point, une célébration de ce refrain chanté27(*).

3.1 MESSAGES PUBLICITAIRES ET LEUR CLASSIFICATION

Dans cette rubrique nous allons nous intéresser sur les messages télévisuels et les messages radio.

3.1.1 LE MESSAGE TELEVISUEL

Afin de construire un message télévisuel efficace il faut tenir compte de la particularité de ce média : une petite taille de l'écran TV, une distance entre le téléspectateur et l'image, le spots souvent limités à 30 secondes, des contraintes créatives de packshot et de signature, et un consommateur son souvent faiblement impliqué et peu attentif aux messages, qu'il font savoir intéresser, surprendre et séduire pour le convaincre.

Les mécanismes de communication télévisuelle

· Le mécanisme problème solution : vous avez tel problème avec telles caractéristiques, comment le produit les ressent quelque fois avec un avant après,

· La démonstration, on suppose le, problème connu, voici comment fonctionne l'avantage produit,

· La comparaison, voici la performance de mon produit comparé à celle des produits concurrents (produit x ou margue),

· L'argumentation, voici les principales satisfactions contenues dans le produit,

· La mise en scène des satisfactions, voici comment se place dans la vie les avantages produits ou les bénéfices consommateurs

· L'ambiance de l'univers de la margue, voici l'univers gai, séducteur, prestigieux, décalé, humoristique de la marque

· L'incitation à l'action, vous bénéficierez de tel avantage en écrivant ou téléphonant à x.

Afin de rendre visuels ces mécanismes, huit vecteurs de communications peuvent être utilisées :

1. le personnage entrepris, c'est un personnage réel ou imaginaire : monsieur propre.

2. le produit qui raconte la propre histoire, le produit seul à l'image est commenté par une voix off,

3. le consommateur vendeur, l'homme en blouse blanche des dentifrices,

4. un représentant des consommateurs, c'est le testimonial : des consommateurs types, d'une personne connue.

5. une tranche de vie des consommateurs vivant les avantages produits et bénéficies consommateurs,

6. le scénario réel, un scénario mettant en scène une histoire pertinente à l'égard du produit. Le cadre et les personnages sont réels mais idéalisés.

7. le scénario réel, dans une mise en scène irréelle, des personnages très haut en couleurs jouent ou dansent ou chantent des situations extraordinaires.

8. le jingle visuel ou clip, sur le rythme d'une musique avec des refrains chantés, une inversion d'images impressionnistes rythment la musique et ses slogans refrains28(*).

Assurer une forte affinité entre les mécanismes et les vecteurs de communication visuelle permet de rendre les spots plus efficaces.

Sur le plan créatif, trois éléments doivent être étudiés avec précaution :

· L'ordre de déroulement des concepts visuels,

· Le temps alloué à chaque séquence,

· Le rôle joué par le son29(*).

3.1.2. LE MESSAGE RADIO

Les principes de création des messages radio sont très liés à la spécificité de ce média et au comportement de l'auditeur. Il faut garder en mémoire que le consommateur entend la radio plus qu'il ne l'écoute. C'est-à-dire que son attention est très limitée dans la mesure où il fait autre chose en même temps. Le spot radio se caractérisé par quatre grands traits :

· une fugacité qui oblige à être très percutant à jouer la répétition.

· Une absence de visuel, qui impose une implicite et une clarté du message.

· Un caractère intrusif qui a même l'auditeur à changer de station si la pause publicitaire est perçue comme trop longue ou irritante. Il faut donc séduire sans agacer, permader sans déranger.

· Une perception au deuxième niveau qui amène le consommateur à faciliter son attention sur ce qu'il fait plus que sur ce qu'il entend. Il faut donc attire son attention malgré lui.

Il existe trois types de message radio :

· le message répétition qui tire toute sa force de la répétition qu'il contient dans son texte ou sa musique.

· Le message scénario qui est le plus difficile à élaborer, mais peut être très efficace s'il reste simple et compréhensible.

· Le message dialogue qui est très utilisé et peut donner une véritable personnalité à la communication.

Trois éléments doivent être étudiés lors de la création de message radio :

· la structure du message : il s'agit de choisir entre trois types de messages radio possibles : message répétition, scénario, ou dialogue.

· Le texte qui doit suivre un principe de simplicité et assurer un rythme au message.

· La musique, atout fondamental, qui permet à la fois de donner un ton au message, de jouer la répétition et d'assurer la bonne attribution de l'annonceur au message30(*).

3.2. DESCRIPTIONS DU CONTENU DES MESSAGES

Emettre une communication revient à imaginer ce qu'il faut dire pour provoquer la réponse désirée chez le récepteur. Le contenu peut être lié à la performance intrinsèque du bien ou du service, (sa qualité, son prix) ou à des considérations exogènes (montrer que la marque est contemporaine, populaire, traditionnelle...

Les consommateurs peuvent retirer de la consommation d'un produit une récompense rationnelle, sensorielle, sociale ou liée à la perception de soi. Ces récompenses peuvent être obtenues pendant la consommation, après ou de manière incidente. Ces distinctions aboutissent à différents types de contenus31(*).

3.3. PUBLICITE DES PRODUITS COSMETIQUES DANS LES MEDIAS LUSHOIS

Dans cette rubrique, nous inventons les différentes publicités qui se déroulent dans les médias audiovisuels de la place :

1. La publicité du savon life boy

Une jeune maman est appelée d'urgence par un personnel de santé et aussi tôt elle descend précipitamment à bord d'un véhicule pour prendre connaissance de l'état de santé de son fils. Arrivée sur le lieu, elle découvre que celui-ci, affiche une attitude des maux de vendre. Et face à cet état des choses, la mère pense directement à la nourriture vendue le long de la route dans des conditions impropres. Nourriture qui est à la base sort de son fils mais l'infirmière lui montre qu'il peut s'agir des microbes que l'enfant a contracté à partir de ses mais. De ce fait, la seule solution appropriée pour les cas du gamin est le savon life boy. Quelques minutes plus tard, l'enfant est présenté en pleine douche avec du savon life boy qui inonde son corps par l'entreprise de sa maousse. A la fin, il sort bien tirer en quatre épingle et les mains accrochées au vendre. Une situation qui a semble plonger sa mère dans une seconde consternation et elle lui pose directement une question en ces termes : « mon enfant encore » et lui répondit en souriant maman « j'ai faim ». Aussitôt les deux personnages s'embrassèrent dans une profonde joie.

2. La publicité sur la patte à datte flodent

Il s'agit d'un gamin qui se précipite à mettre des biscuits sur la dent et sa mère lui interrompt précipitamment ce processus. Et après l'enfant comprend facilement qu'il fallait d'abord brosser ses dents. Pour le faire la seule solution était la patte à dent flodent. Enfin, le message se termine en ces termes : »flodent, pour des dents réellement solides » « et une haline fraiche à la menthe »

3. La publicité du déodorant XAVIER laurent

Un jeune homme fashion arrive dans un débit de boisson. Soudain celui-ci constate qu'il est inodore. Tout à coup, il court vite vers les installations sanitaires pour s'oindre du déodorant XAVIER qui prenait la boisson brague des yeux sur lui. In fine, le message se termine en ces termes : « XAVIER Laurent c'est irrésistible »

4. la publicité sur la pommade africa care beby

C'est une jeune maman blanche vêtue et portant dans les bras un bébé habillé aux mêmes couleurs que la mère, et présente un sourire de santé. Celui-ci est torce nu et bénéficie de la poudre africa care baby sur l'ensemble de son corps. Soudain, la publicité se terminée avec le message suivant : « africa care baby une pommade accessible à toutes les mamans »

5. La publicité de la lotion MIKI

Il s'agit d'une jeune dame au teint brun et portant un habit de couleur branche, entourée des plusieurs boites de la notion. Celle-ci essaye de se oindre ladite lotion sur son corps. Une lotion qu'on tente de venter les quelques qualités intrinsèques dont : « MIKI la crème éclaircissante... » et quelques secondes après, le message se termine de la manière suivante : « derrière la beauté, il y a MIKI »

3.3.1. LES PRODUITS COSMETIQUES

On appelle produit cosmétique ( du grec : kosmeo, »je pare, f'orne » est une substance ou un mélange destiné à être mis en contact avec diverses parties superficielle du corps humain, notamment l'épiderme, les systèmes pileux et capillaires, les ongles, dents et les mu gueuses buccales, en vue, exclusivement ou principalement, de les nettoyer, protéger, parfumer, maintenir en bon état, de modifier leur aspect ou d'en « corriger » l'odeur. Les cosmétiques sont des produits d'hygiène et d'embellissement qui restent superficiels dans leurs actions, n'agissant pas en dessous de la barrière de l'épiderme.

3.3.1.1 classifications des produits cosmétiques

Sont cosmétiques :

· Les produits d'hygiènes : démaquillants, dentifrices, déodorants, gel douche, gel nettoyant intimes, savon shampoing, bain de bouche,

· Les produits de soin visage : crème antirides, crème de jour, crème de nuit, crème hydratante, eau florale, gommage, lait, masque de beauté, baume paour lèvres, tonique, sérums...

· Les produits capillaires : après-shampoing, défrisant, gel, huile, lague, masque, teinture,

· Les produits de magouillage : anti-cerne, autobranzant, ligneur (ayeliner), ford, fond déteint, khol, mascara, poudre, produit pour blanchir la peau, rouge à lèvres, vernis à ongles,

· Les parfums, eau de Cologne, eau de toilette parfums, eau de parfum,

· Les produits solaires : crèmes, huiles ou lotions après-soleil et solaire,

· Les produits pour le massage et les produits dépilatoires, après-massage, crème dépilatoire, mousse à raser,

· Les produits pour bains et douches : bain moussant, huile de bain, sels de bain

· Les produits de soin corps : huile, laits gommage, crème pour les mains32(*).

3.3.1.2 caractéristiques des produits cosmétiques

Quelles que soient leurs formes (crèmes, gel, émulsion, etc, les cosmétiques ont généralement tous la même structure :

· Un ou plusieurs principes actifs : substances actives qui assurent l'efficacité du produit. Le terme principe actif est couramment utilisé même si l'expression principe actif est normalement réservée aux médicaments,

· Un excipient chargé de transporter les principes actifs,

· Des additifs : adjuvants (pour parfumer, faire mousser, etc), conservateurs notamment problèmes, colorants antioxydants émulsifiants, stabilisateurs de PH, tension actifs, agents de contrôle de la viscosité33(*).

3.3.2 CONTRIBUTION DE LA MUSIQUE A LA PUBLICITE.

Comparativement aux différentes publicités présentées précédemment, il convient de retenir les contributions suivantes :

1ère publicité sur le savon life boy

La musique utilisée dans cette publicité a pour de remplir ce vide qui pourrait créer un malaise chez le téléspectateur quand il s'agit de la télévision ou chez les auditeurs.

Quand il s'agit de la radio.

2ème publicité sur la patte à dent flodent.

Dans cette publicité, la musique a pour rôle d'accompagner les images et le son qui y sont utilisés. En outre, grâce à son single, elle lui donne charme et mémorabilité.

3ème publicité sur le déodorant XAVIER Laurent

Ici, la musique qui y est utilisée a pour objectif d'envelopper le message et d'accompagner les paroles qui y sont utilisées dans le but d'affirmer sa promesse.

4ème la publicité sur la pommade africa core baby

Ce musique à pour mission de donner une dimension affective au message qui y est utilisé, elle lui permet aussi de s'affirmer, elle lui donne charme et mémorabilité.

5ème publicité sur la lotion MIKI

Cette musique utilisée dans ce spot publicitaire à pour mission d'envelopper le message qui y est utilisé, de remplir le vide qui pourrait créer un malaise chez les téléspectateurs ou les auditeurs, d'affirmer le message du spot, d'affirmer la promesse, de lui donner charme et mémorabilité.

CONCLUSION PARTIELLE

Partiellement ce chapitre porte sur la typologie des spots publicitaires dans laquelle nous : le spot linéaire d'argument démonstration, le spot à scénario tension résolution, le spot à scénario interrogatifs, le spot structuré multi facette, et le spot déstructuré multi facette. Le processus de la construction message radio et télévision, la description du contenu message dans laquelle nous avons la promesse produit et le bénéfice consommation, les quelques spots publicitaires des produits cosmétiques, leur définitions, classification et enfin contribution à la musique.

CONCLUSION GENERALE

La musique peut remplir quatre rôles différents au sein d'un message publicitaire : la toile de fond, le message, les arguments, la signature.

La musique toile de fond a pour objectif d'envelopper le message et de remplir un vide qui pourrait créer un malaise chez les téléspectateurs. Son rôle minimal est d'accompagner l'image et la voix. Cependant, on peut choisir au contraire de supprimer le fond sonore pour obtenir un effet de solennité, de malaise à dessein, ou de suspense. La musique toile de fond apporte une dimension supplémentaire au message : celle de l'émotion.

La musique message a pour objet d'affirmer le message du spot. Elle peut être spécifiquement composée pour le spot ou bien empruntée à des musiques comme contemporaines ou classiques.

La musique argument s'accompagne de paroles afin d'affirmer la promesse publicitaire et enfin, la musique signature, elle est celle qui clôture le message. Présente enfin de spot sous la forme de fingle, elle lui donne charme et mémorabilité.

La musique signature est celle qui clôture le message. Présenter en fin de spot sous la forme de jingle, elle lui donne charme et mémorabilité. Ces résultats se sont obtenus grâce à la théorie de la hiérarchie des effets et à la méthode analytique.

BIBLIOGRAPHIE SELECTIVE

I. DICTIONNAIRES

1. BALLE F, Dictionnaire des médias, larousse, paris, 1999

2. Dictionnaire universel, éd.EDICEF, 1996

3. Encyclopédie des jeunes, larousse, la communication des origines à l'internet, paris, PUF, 1997

4. Le robert et clés internationals, dictionnaire le robert paris 1999.

II. OUVRAGES

1. ARMAND Dayan, la publicité, éd.PUF, paris, 1999

2. BARNIER. V et Joannis H, de la stratégie marketing à la création publicitaire, éd.Dunod, paris, 2010

3. KOTLER P et alii, marketing management 13ème éd Pearson, paris, 2009

4. LENDREVIE, J et alii, publicitor, paris, éd. Dalloz, 2009

5. LENDREVIE, J et alii, Mercator, éd.Dalloz, paris, 2008

6. LENDREVIE, J et alii, publicitor, 7ème éd.Dalloz, 2008

7. Liliane Demont et alii, communication des entreprises, 2ème éd.Armand colin, paris, 2008

8. Martin VEDRINE, initiation ou marketing, éd.Dalloz, paris, 2003

III. Internet & Articles

1. Wouters. D, la publicité sur les chaines de télévision de pays européens, in publicité à la radio télévision, Bruxelles, 1968

2. http://fr :Wikipedia.org/wiki/com%c3%a9tique

3. www.google.cd

4. www.perses.fr

TABLE DES MATIERES

Sommaire

EPIGRAPHE 1

DEDICACE 2

AVANT PROPOS 3

INTRODUCTION 4

0.1. PRESENTATION DU SUJET 4

0.2. PROBLEMATIQUE 4

0.3. HYPOTHESE 5

0.4. METHODE ET TECHNIQUE 5

0.5. ETAT DE LA QUESTION 6

0.6. DELIMITATION DU SUJET 6

0.7. SUBDIVISION DU TRAVAIL 6

CHAPAPITRE .I. GENERALITES 7

INTRODUCTION 7

I.1 CADRE CONCEPTUEL 7

I.1.1 L A MUSIQUE 7

GENRES MUSICAUX 9

I.1.2. PUBLICITE 10

TYPES DE PUBLICITE 10

I.1.3. LE PRODUIT 11

I.2 CADRE THEORIQUE 13

I.2.1 la théorie de la hiérarchie des effets 13

CONCLUSION 15

CHAPITRE. II. RAPPORT ENTRE LA PUBLICITE ET LES MEDIAS 16

2.1. CHAMPS D'INTERRACTION ENTRE LA PUBLICITE ET LES MEDIAS 16

Caractéristique de la publicité : 17

2.1.1. LA PRESSE ET LA PUBLICITE 20

2.1.2. LA TELEVISION ET LA PUBLICITE 21

2.1.3. L'AFFICHAGE ET LA PUBLICITE 22

2.1.4. LA RADIO ET LA PUBLICITE 24

2.1.5 LE CINEMA ET LA PUBLICITE 25

2.1.6. L'INTERNET ET LA PUBLICITE 26

CHAPITRE. III. PRESENTATION DES SPOTS PUBLICITAIRES 29

3.1 MESSAGES PUBLICITAIRES ET LEUR CLASSIFICATION 30

3.1.1 LE MESSAGE TELEVISUEL 30

3.1.2. LE MESSAGE RADIO 31

3.2. DESCRIPTIONS DU CONTENU DES MESSAGES 32

3.3. PUBLICITE DES PRODUITS COSMETIQUES DANS LES MEDIAS LUSHOIS 33

3.3.1. LES PRODUITS COSMETIQUES 34

3.3.2 CONTRIBUTION DE LA MUSIQUE A LA PUBLICITE. 35

CONCLUSION PARTIELLE 36

CONCLUSION GENERALE 37

BIBLIOGRAPHIE SELECTIVE 38

I. DICTIONNAIRES 38

II. OUVRAGES 38

III. Internet & Articles 38

TABLE DES MATIERES 39

* 1 http://fr :Wikipedia.org/wiki/com%c3%a9tique

* 2 www.google.cd consulté le 15/03/2033

* 3 http://fr :Wikipedia.org/wiki/com%c3%a9tique

* 4 www.parse.fr

* 5 Dictionnaire universel, éd. Edicef, 1996

* 6 Encyclopédie des jeunes larouse, la communication des origines à l'internet, paris, puf, 1997, p.66

* 7 LENDREVIE, J. publicitor, paris, édition Dalloz 2009, p.501.

* 8 ibidem, p.502

* 9 liliane demont, et alii, communication des entreprises, 2eme éd.armard colin, paris 2008, p.57

* 10 ibidem, p.69.

* 11 ibidem, p.71

* 12 LENDREVIE.J et alii, mercartor, éd. Dalloz, paris ; 2008 p.271

* 13 ibidem, p.274

* 14 LILIANE demont, op.cit p.73

* 15 ) Lendrevie,j, et alii,publicitor 7eme ed dalloz,paris,2008,p.183

* 16 Martin, védrine S. initiation au marketing, éd Dalloz, paris 2003, p.268.

* 17 le robert et clés internationales, dictionnaire, le robert, paris 1999

* 18 BALLE, F, dictionnaire des medias, Larousse, paris 1999

* 19 ARMAND DAYAN. La Publicité, éd puf, paris, 1999

* 20 WOUTERS.D, la publicité sur les chaines de télévision des pays européens. In publicité à la radio télévision, bruzelles, 1968, p.19.

* 21 LENDREVIE. J et alii, publicitor, 7ème éd.Dunod, paris, 2008, p.335

* 22 ARMAD DAYAN, la publicité.éd puf, paris, 1999, page 59.

* 23 Lilian demont. Et alii, communication des entreprises, Armond colin, paris, 2008, p.134

* 24 ARMAD DAYAN, op cit, page 62

* 25 LILIAN demont et alii opcit ; page 127

* 26 LENDREVIE.J. et alii, PUBLICITOR, 7em édi DUNOD, paris, 2008, p. 320

* 27 BARNIER de V et JOANNIS.N, de la stratégie marketing à la création publicitaire, éd-Dumod, paris 2010 p. 160

* 28 Ibidem p. 150

* 29 Ibidem p. 174

* 30 Ibidem p. 190

* 31 KOTLER.P et alii, Marketing management 13 em édition Peason, paris 2009 p. 612

* 32 https : //fr wikipedia.org/wiki/cosm% c3% A9tique page conmetée le 01/05/2013.

* 33 Ibidem.






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"Qui vit sans folie n'est pas si sage qu'il croit."   La Rochefoucault