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Etude de l'evolution de la production de cacao en territoire de Beni de 2006 à  2014

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par Aime Bwambale Bayolo
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I.2. Etudes antérieurs

Cette section présenter quelques idées issusdes ouvrage, livres, travail de fin ce cycle, mémoire que nous avons lit qui a des rapports avec notre thème recherche.

Folefack(2003) dans son travail analyse socio-économique de la commercialisation du cacao en zone forestiere du cameroune. Ses analyses ont montré qu'il y a des importantes mutations institutionnelles, avec une redistribution des rôles entre les différents opérateurs de la filière. Le transfert de responsabilité dans la commercialisation de cacao de l'Etat vers le secteur privé, s'est révélé insuffisante à satisfaire entièrement les attentes des producteurs. En plus, il a remarque que les producteurs éprouvent des réels problèmes d'adaptation, et d'énormes difficultés au niveau du financement des exploitations, de l'approvisionnement en intrants agricoles, de la lutte phytosanitaire et de la vente de leur production. Tout ceci a un impact négatif sur la qualité du cacao produit, avec pour effet pervers la perte de la compétitivité du label camerounais au marché international. Bien plus, suite à des fluctuations permanentes des prix et un abandon des producteurs à eux-mêmes, on observe une réduction drastique des revenus des paysans et de leur niveau de vie. Par ailleurs, l'analyse de la structure du marché montre un rôle prépondérant des opérateurs privés dans le circuit de commercialisation. Le marché de la zone, bien que concurrentiel est affecté par des nombreuses distorsions, qui rendent le fonctionnement imparfait.

Djimolde (2004) dans son travail de DES,Etude d'un projet de la mise en place d'une unite de production de chocolate a Djamena au Tchad, il a constaté que l'offre de pâte chocolatée est assurée par des flux d'importations en provenance du Cameroun, du Nigeria, de la France. Il ajoute qu'en 2005, l'offre de pâte chocolatée s'élève à 10251 tonne. La demande est estimée à 16 000 tonnes grâce à une enquête auprès des ménages (laquelle enquête a estimé la consommation actuelle du Tchad est de 6,8 kg par habitant par an); d'où un déficit de 5749 tonnes. Il a aussi constaté que sur le plan technique, l'unité de production de pâte chocolatée projetée aura une capacité de production de 3,75 tonnes par heure et sera localisée à N'DJAMENA.

Pendant les deux premières années d'exploitation, l'usine ne fonctionnera que 8 heures par jour ; c'est à partir de la 3ème année qu'elle atteindra sa pleine capacité de production et fonctionnera 16 heures par jour pendant 300 jours. La pâte chocolatée sera fabriquée à base de cacao (pâte et beurre de cacao), du sucre et d'arachide. Le sucre et l'arachide existent sur le marché local et en quantité suffisante, nécessaire à la production ; quant au cacao, il sera importé du Cameroun et/ ou de la Côte d'Ivoire.

Deux variantes du projet liées à la composition (production de pâte chocolatée plus cacaotée et production de pâte d'arachide chocolatée) et deux variantes liées au conditionnement (production des pots de 500 g uniquement et production des pots de 500 g et 90 g) ont été examinées.

Dans le domaine financier, les investissements initiaux prévus sont de l'ordre de 1007,84 millions de FCFA. La rentabilité intrinsèque du projet est déterminée à travers deux variantes de composition et deux variantes d'emballages.

Kalungwana(2011) a fait une étude concernant la production et la commercialisation du cacao en territoire de Beni, après son étude il a constaté qu'il avait une augmentation de la production du cacao en territoire de Beni de 12,% en 2010, il signale que cette augmentation s'explique par le nombre de plus a plus croissant des agriculteurs oeuvrant dans la culture du cacao.

En plus, il a constaté que l'axe Mutwanga a été la principal producteur de cacao en territoire de Beni en contribuant respectivement pour 43,55 et 39,33 en 2009 et 2010 une moyenne de 41,42. Cet axe suivi par Nobili avec une moyenne pour 2009 et 2010 de 22,21. Oicha contribue avec une moyenne de 19,73 pour les deux années. Lwanoli contribuant respectivement avec une moyenne de 11,42 pour les deux années.

En fin, il a constaté que la quantité exportée est fonction de la quantité offerte, il a remarqué que la demande est supérieure à l'offre.

Ngoaranya(2006) dans son travail analyse évolutive de la production de quinquina dans une entreprise agricole : cas de la Pharmakina secteur de Lubero, il a constaté que la production de la pharmakina ne dépendait du facteur variable, mais d'autres facteurs telles que le capital, le travail et nature.

En suit il a constaté que le rendement n'est pas presque rationnel, il incombe à la gestion technique de la production a la pharmakina, de bien choisir les méthodes afin de maximiser la production du quinquina et bien minimiser le cout entre la production et le travail.

En fin, il a constaté les efforts de production de quinquina dans l'entreprise Pharmkina n'était pas en vain. Sur le 72 mois qu'il a observé, seules 9 mois, ont atteint un rendement rationnel dans lesquels les couts se montre minimise.

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"Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre"   Paul Eluard