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à‰tude d'une forme d'onde multiporteuses à  faibles variations de puissance

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par Wendyida Kabore
SUPCOM/SUPELEC - Ingénieur en télécommunications 2012
  

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Conclusion

Somme toute, dans la présente partie, nous avons détaillé les concepts sous jacents à cette nouvelle forme d'onde. Nous avons étudié les notions utilisées pour la nouvelle forme d'onde, c'est-à-dire essentiellement les techniques d'ajout de signal comme le clipping et la tone reservation, le codage duobinaire réalisé sur chacune des sous-porteuses l'OFDM et qui permet de réduire le spectre de moitié. Ensuite, il a été question d'expliquer la nouvelle forme d'onde qui réalise la combinaison intelligente de ces différentes techniques, de donner les bases théoriques de cette nouvelle forme d'onde. Le prochain chapitre illustrera les résultats de simulation issus de la technique duobi-naire que nous avons présenté dans ce chapitre.

38

CHAPITRE 3

PERFORMANCES DE LA NOUVELLE

FORME D'ONDE

Introduction

Dans le chapitre 2, nous avons proposé une nouvelle technique de réduction du niveau de PAPR. Nous avons expliqué les bases et les fondaments de la nouvelle forme d'onde, nous avons apporté des justifications théoriques de la viabilité de la nouvelle forme d'onde qui est sensée avoir un PAPR très faible.

Le présent chapitre sera consacré à l'étude des performances de cette nouvelle forme d'onde. Les performances de cette solution seront évaluées analytiquement et par simulations.

· Dans une première section, nous présenterons les performances de cette forme d'onde selon plusieurs critères notamment le gain en réduction du PAPR,l'ACPR.

· Ensuite, nous étudierons la mise en oeuvre de la nouvelle forme d'onde au niveau de l'émetteur et au niveau du récepteur c.à.d proposer un critère adéquat et fiable pour la décision. Nous donnerons à la fin de cette partie un schéma d'optimisation de la nouvelle forme d'onde.

3.1 Performances de la nouvelle forme d'onde

Dans la présente section, nous avons simulé un certain nombre de critères, de paramètres qui permettent d'évaluer ou de comparer les techniques de réduction du PAPR. Les

- 39 -

Chapitre 3 : Performances de la Nouvelle forme d'onde

simulations réalisées ont été faites pour un système OFDM avec 64 sous-porteuses et modulées avec des symboles BPSK selon le mapping suivant:

Figure 3.1: Mapping des sous-porteuses à l'entrée de l'IFFT

la Figure 3.1, correspond au mapping de la couche physique de la norme 802.11, couramment appélée "Wifi" [1], le tableau 3.1 résume les paramètres de simulation utilisés pour les différentes simulations.

Tableau 3.1: Paramètres de simulation

Type de Modulation BPSK / Duobinaire

Nombre de sous-porteuses 64

sous-porteuses de données 58

Nombre de pilots 4

Facteur de sur-échantillonnage 1 4

Type de canal AWGN

- 40 -

Chapitre 3 : Performances de la Nouvelle forme d'onde

3.1.1 Taux d'erreur binaire

Pour certaines techniques, la réduction du PAPR peut s'accompagner de la génération de distorsions aussi bien à l'extérieur qu'à l'intérieur de la bande utile du signal; c'est le cas par exemple des techniques de clipping. Dans le chapitre II, nous avons modéliser le clipping par une transformation polynomiale ce qui met en évidence les termes d'intermodulation et les harmoniques générés.

Comme la détection des symboles OFDM se fait dans le domaine fréquentiel, il vient alors que ces distorsions en particulier celles qui sont à l'intérieur de la bande utile du signal vont dégrader le TEB s'il s'agit d'une technique de clipping and filtering simple. Par contre le clipping effectué dans la nouvelle technique de réduction du PAPR n'entraine pas de dégradation du TEB. La Figure 3.2 illustre la disposition du spectre "instantanné" du système OFDM après le codage duobinaire, c'est-à-dire après le gain spectral du codage duobinaire.

Figure 3.2: Gain de spectre dans chaque sous-porteuse

On obtient un jeu de sous-porteuses (en rouge sur le schéma) qui ne se chevauchent pas comme pour le schéma classique de l'OFDM . En effet il existe des sous-porteuses "virtuelles", qui correspondent à des trous spectraux, aux fréquences J ' 0, J ' 1,..., J ' N-1 comme le montre la Figure 3.2. C'est sur ces fréquences que se fera l'ajout du signal de clipping. Ceci constitue un résultat assez important; d'après nos connaissances il s'agit là d'une nouvelle et attrayante contribution.

- 41 -

Chapitre 3 : Performances de la Nouvelle forme d'onde

Figure 3.3: Sous-porteuses additionnelles pour le signal de réduction du PAPR

Le système illustré dans la Figure 3.3 correspond au spectre réduit de l'OFDM duobinaire avec l'ajout de nouvelles sous-porteuses orthogonales à celles de l'OFDM duobinaire.

On obtient l'équivalent de l'OFDM traditionnel mais avec une fenêtre temporelle deux fois plus grande et donc un espacement fréquentiel entre les sous-porteuses plus réduit. Les sous-porteuses J i 'utilisées par le signal de réduction du PAPR et les sous-porteuses Ji initialement utilisées pour générer les symboles OFDM sont orthogonales. C'est cette orthogonalité qui assure un décodage des symboles à la réception. Nous détaillerons dans la Section 3.2.1, le processus de décodage de la nouvelle forme d'onde à la réception.

3.1.2 Performances en termes de réduction du PAPR

Ce critère est immédiat et constitue le critère de mérite essentiel des techniques de réduction du PAPR. Pour deux techniques de réduction du PAPR X et Y , avec des signaux de sorties respectifs x(t) et y(t), les PAPR de x(t) et y(t) sont définis comme

Chapitre 3 : Performances de la Nouvelle forme d'onde

suit:

max |xn|2

PAPR[x](ö) = Pr[ 0=n=Ts Px = ö]

PAPR[y](ö) = Pr[

(III.1)

max |yn|2

0=n=Ts Py = ö]

- 42 -

Ts désigne la durée d'un symbole OFDM et Px et Py représentent respectivement les puissances moyennes des signaux x(t) et y(t). Le PAPR est une variable aléatoire qui peut être caractérisée par sa CCDF définie par:

CCDF(PAPR0) = Pr(PAPR = PAPR0) (III.2)

Les PAPR[x] et PAPR[y] définis par l'équation III.1, sont des variables aléatoires dont les CCDFs sont représentés sur la Figure 3.4. Pour un niveau de CCDF donné, CCDF = ö, on défini le gain en réduction de PAPR ÄPAPR(ö) par:

ÄPAPR(ö) = PAPR[x](ö)-PAPR[y](ö),[dB] (III.3)

PAPR[x] et PAPR[y] sont les valeurs du PAPR des signaux x(t) et y(t) à CCDF = ö.

Figure 3.4: Calcul du gain en réduction du PAPR à une valeur particulière de la CCDF

C'est sur la base de la CCDF que se fera les mesures de performances en terme de gain en PAPR.

- 43 -

Chapitre 3 : Performances de la Nouvelle forme d'onde

Courbes générales du PAPR

Dans la littérature et comme abordé dans le chapitre 1, plusieurs formules permettent d'approximer le PAPR des signaux OFDM. Aussi il convient d'étudier ces différentes approximations par rapport à la distribution de l'OFDM BPSK simulé selon les paramètres du tableau 3.1.

100

OFDM discret (Facteur sur-échantillonnag=1) simulée Approximation théorique de Van Nee

10-1

10-2

CCDF = Pr(PAPR>ë)

5 7 9 11 13

ë (in dB)

Figure 3.5: Distribution du PAPR théorique et simulé dans le cas d'une constellation BPSK

- 44 -

Chapitre 3 : Performances de la Nouvelle forme d'onde

100

10-2

OFDM continu ( facteur surechant=4) Approximation de Van Nee Approx de Ochai et Imai Approx de Y. Louet et H. Sajjad Approx de Zhou et Caffery

10-10

5 6 7 8 9 10 11 12 13 14

ë (in dB)

CCDF = Pr(PAPR>ë)

10-4

10-6

10-8

Figure 3.6: Distribution du PAPR théorique et simulé pour l'OFDM continu dans le cas d'une constellation BPSK

La comparaison entre les courbes théoriques et simulées est faite sur les Figures 3.5 pour le PAPR du signal OFDM discret, et 3.6 pour le PAPR du signal OFDM continu. Les courbes théoriques et simulées sont très proches, ce qui nous indique la haute précision et la fiabilité des différentes approximations du PAPR rencontrées dans la littérature.

La Figure 3.7 présente la CCDF du signal OFDM pour N = 64 et pour différentes valeurs du facteur de sur-échantillonnage.

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Chapitre 3 : Performances de la Nouvelle forme d'onde

CCDF = Pr(PAPR>ë)

10-2

100

OFDM avec facteur surechantillonnage=1 OFDM avec facteur surechantillonnage=2 OFDM avec facteur suréchantillonnage=4

10-1

10-3

10-4

5 6 7 8 9 10 11 12 13 14

ë (in dB)

Figure 3.7: Effet du suréchantillonnage sur le PAPR

Nous remarquons, d'après la Figure 3.7, que plus le facteur de sur-échantillonnage est élévé, plus l'on approche le comportement d'un signal OFDM continu. Les plus grandes variations de la CCDF se produisent quand le facteur de sur-échantillonnage passe de L = 1 à L = 2; on n'a pas une variation significative de la CCDF pour L > 4. Interprétation: En augmentant le facteur de sur-échantillonnage, on augmente la précision d'échantillonnage du signal OFDM, ce qui permet de gagner en précision sur les valeurs du signal OFDM continu. Ainsi, on calcule mieux les valeurs crêtes du signal OFDM et cela influe sur le PAPR. Cependant pour L > 4, il n'y a plus d'augmentation significative de la CCDF, c'est pourquoi on se limitera à un facteur de sur-échantillonnage de 4 pour calculer le PAPR du signal OFDM continu.

La nouvelle forme d'onde étant essentiellement basée sur le codage duobinaire, il nous faut vérifier avant tout que le codage duobinaire en lui même n'augmente pas le PAPR. Dans la Figure 3.8 nous effectuons la comparaison entre la courbe de la CCDF otenue pour des systèmes OFDM modulés avec du BPSK et celle obtenue par le codage duobi-naire sur chacune des sous-porteuses. Comme on peut le constater, les deux courbes

- 46 -

Chapitre 3 : Performances de la Nouvelle forme d'onde

sont très proches. Ceci revient à dire que même après le gain de spectre, on obtient les mêmes performances en terme de CCDF, d'où la pertinance d'un tel résultat!

1 3 5 7 9 11

ö

CCDF=Pr(PAPR>= ö)

100

10-1

10-2

10-3

10-4

OFDM BPSK OFDM Duobinaire

Figure 3.8: Le codage duobinaire n'augmente pas le PAPR.

Gain de PAPR de la nouvelle forme d'onde

Dans cette section, nous mettons en oeuvre la nouvelle forme d'onde et nous étudions la dimunition du PAPR obtenue. Dans une première partie nous décrirons l'algorithme d'ajout du signal après codage duobinaire; puis nous présenterons les gains de PAPR obtenus.

L'algorithme d'ajout de signal se fait de la façon suivante: Étape 1 :

· Considérer les symboles OFDM duobinaires temporels par paire, parce que chaque symbole OFDM s'étale à présent sur 2T temporels, comme on peut le voir sur la Figure 3.9, T étant la durée symbole OFDM d'origine.

Chapitre 3 : Performances de la Nouvelle forme d'onde

- 47 -

Figure 3.9: Etalement temporel des symboles OFDM

Étape 2:

· Generer ici le signal d'"ajout" :

c(t) = -(s(t) -sclip(t)) (III.4)

où s(t) est le signal OFDM duobinaire, et sclip(t) est le signal OFDM duobinaire écrêté à un seuil Clipseuil.

On effectue un filtrage (FFT/IFFT) du signal c(t) qui consiste à faire une FFT de taille 2N sur le signal de clipping et à filtrer les composantes fréquentielles OOB,

et celles correspondant aux fréquences f = f0, f = f0 + 1 T ,. . . ,f = f0 + N-1

T car

ces fréquences sont utilisées pour l'envoi des données. Étape 3

· Générer à nouveau le signal d'ajoutfiltré dans le domaine temporel, on notera ce

signal par c1(t). Étape 4

· Le signalfinal qui correspond à la nouvelle forme d'onde s'écrit: às(t) = c1(t) +

s(t).

Chapitre 3 : Performances de la Nouvelle forme d'onde

Pour les simulations, nous testons les performances de notre algorithme pour plusieurs valeurs de seuil de clipping et nous aboutissons aux constatations suivantes.

Dans la Figure 3.10, où nous comparons le PAPR de la forme d'onde avec le PAPR de la technique de clipping andfiltering pour un seuil de clipping de 10dB

CCDF( ö )= Pr(PAPR >= ö)

100

10-1

10-2

10-3

2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13

OFDM

Nouvelle forme d'onde avec taux de clipping ñ=10 dB clipping and filtering avec taux de clipping ñ=10 dB

- 48 -

ö

Figure 3.10: PAPR pour un clipping à 10 dB

On constate qu'on n'a pratiquement pas de dimution du PAPR, en effet pour de grandes valeurs du "seuil d'écrêtage", les crêtes du signal en entrée du clipping n'atteignent plus le "seuil d'écrêtage"; dans ce cas il n'y a plus d'écrêtage (et donc il n'y a pas de réduction de PAPR). Le signal à la sortie de "clipping" est égal au signal à l'entrée.

- 49 -

Chapitre 3 : Performances de la Nouvelle forme d'onde

2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13

ö

CCDF(ö)=Pr(PAPR >= ö)

100

10-1

10-2

10-3

OFDM

Nouvelle forme d'onde avec le taux de clipping ñ=2 clipping and filtering avec taux de clipping ñ=2

Figure 3.11: PAPR pour un clipping à 2 dB

La Figure 3.11 illustre la comparaison entre la technique de clipping filtering traditionnelle pour un seuil de 2 dB avec la mise en oeuvre de la nouvelle forme d'onde pour le même seuil. On remarque une dimunition du PAPR de la nouvelle forme d'onde, mais ce gain de PAPR n'atteint pas celui de la technique traditionnelle de clipping car la nouvelle forme d'onde n'utilise pas toutes les fréquences pour générer le signal de clipping.

Pour cette technique, plus le niveau de clipping est élévé, plus grand sera la dimution du PAPR. Les signaux additionnelle de clipping et les signaux OFDM duobinaires sont orthogonaux donc n'interfèrent pas, il est donc possible de faire un écrètage plus rude (avec un seuil très bas ou avec d'autres techniques de clipping comme le deep clipping).

- 50 -

Chapitre 3 : Performances de la Nouvelle forme d'onde

2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13

ö

CCDF(ö)=Pr(PAPR >= ö)

100

10-1

10-2

10-3

OFDM

nouvelle forme d'onde avec clipping au taux ñ=2dB nouvelle forme d'onde avec clipping au taux ñ=10dB nouvelle forme d'onde avec clipping au taux ñ=10dB

Figure 3.12: Gain de PAPR de la nouvelle forme pour plusieurs taux de clipping.

La Figure 3.12 illustre le gain de PAPR de la nouvelle forme d'onde pour plusieurs valeurs du taux de clipping qui varient de 0 à 10. Plus le seuil de clipping augmente, plus le PAPR dimunie et tant que le signal de clipping n'impacte pas les performances en terme de TEB ou d'ACPR de la nouvelle forme d'onde on pourrait effectuer le clipping selon n'importe quel seuil.

Le PAPR devient "paramétrable" en changeant le taux de clipping : c'est dire toute l'efficacité de cette nouvelle forme d'onde, car dépendamment de la norme et pour des applications qui exigent un niveau de PAPR tres faible, notre technique permet d'avoir un gain considérable comparé à l'OFDM classique en paramétrant le seuil de clipping.

3.1.3 Dimunition de l'ACPR

L'Adjacent Channel Power Ratio (ACPR) mesure le rapport entre le niveau de puissance dans la bande de fréquence utile par rapport à celui dans la bande adjacente, on parle d'ACPR droite et d'ACPR gauche suivant le côté de la bande adjacente prise en compte. L'ACPR est donnée par la relation III.5:

f

BdeUtile DSP( f )d f

ACPR = R (III.5)

BdeAdjacente DSP( f )d f

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Chapitre 3 : Performances de la Nouvelle forme d'onde

L'ACPR est déterminant dans l'implémentation de n'importe quelle norme radio mobile. En effet les organismes de régulation du spectre imposent un masque pour les spectres des différents réseaux radio-mobile, enfin de répartir au mieux l'espace de spectre entre les différents usages.

Certaines techniques de réduction du PAPR peuvent entrainer une augmentation de l'ACPR, par exemple le clipping engendre une rémontée des lobes secondaires et donc une augmentation de l'ACPR.

Dans la mise en oeuvre de la nouvelle forme d'onde, nous effectuons un filtrage OOB du signal de clipping, c'est-à-dire une élimination du signal qui se trouve dans le spectre adjacent au spectre utile. Ainsi, une possible augmentation de l'ACPR ne peut provenir que du codage duobinaire. Le codage duobinaire tel qu'il est effectué dans l'OFDM n'augmente pas l'ACPR. Les simulations des spectres de l'OFDM duobinaire présentées dans le chapitre 2 dans la partie 2.2, montrent une dimunition du niveau des lobes secondaires des sinc(sinus cardinal) qui forment le spectre du signal OFDM duobinaire; ce qui implique une dimunition du niveau des composantes OOB et donc de l'ACPR. Tous ces éléments, nous permettent de conclure que la nouvelle forme d'onde permet d'avoir un ACPR plus faible que celui d'un système OFDM classique.

3.1.4 Variation de la puissance moyenne

Pour certaines techniques, la réduction du PAPR s'accompagne d'une diminution ou d'une augmentation de la puissance moyenne du signal à transmettre. Par exemple, dans le cas de l'utilisation de la technique de clipping, la puissance moyenne du signal à transmettre est réduite tandis que dans un contexte de Tone Reservation, la puissance moyenne du signal à transmettre est augmentée parce qu'on ajoute du signal additionnel dans les sous-porteuses libres. La variation de la puissance moyenne du signal à transmettre s'écrit:

E(p) = Py -Px[dB] (III.6)

avec,

· Px est la puissance moyenne du signal OFDM duobinaire sans l'ajout du signal de réduction du PAPR.

· Py est la puissance moyenne du signal OFDM duobinaire après l'ajout du signal de réduction du PAPR.

ClipSeuil

· p = Px est le taux de clipping.

La Figure 3.13 illustre la variation du rapport Py Px en fonction du taux de clipping p =

ClipSeuil

Px . Où ClipSeuil étant le seuil de clipping défini à partir du taux de clipping p.

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"Entre deux mots il faut choisir le moindre"   Paul Valery