Table des matières
Chapitre 1: Fondement théorique de
l'intégration et des politiques réglementaires de l'ASEAN
5
1.1. Des points pricipaux de l'ASEAN 5
1.2. Revue sélective de littérature 6
1.2.1. Le processus d'intégration économique 6
1.2.2. L'intégration commerciale régionale 7
Chapitre 2: L'Apport Théorique de
l'Intégration Régionale 14
2.1. Les Théories du Commerce International
traditionnelle: 14
2.1.1. La théorie traditionnelle de l'intégration
régionale : théorie de Viner (1950) 14
2.1.2. Le modèle de Baldwin Krugman 1995 : concurrence
imparfait 15
2.1.3. L'écart de technologie : théorisé par
Posner en 1961 15
2.1.4. La nouvelle théorie du libre échange : La
prise en compte de la demande interne 16
2.2. La théorie de l'économie spatiale. 17
2.2.1. Le modèle de Krugman (centre
périphérie) 17
2.2.2. La relation en cloche entre inégalité
régionale et intégration économique : 17
2.3. Les Théories du Commerce International moderne :
18
2.3.1. Le flux du commerce 18
2.3.2. Modèle de Limao et Venable (2001) L'équation
commercial 18
2.3.3. Modèle de Limao et Venable (2001) L'équation
de l'IDE 19
2.3.4. Le modèle avec lequel le gouvernement de chaque
pays i peut choisir à former ou pas le RTA et le
montant des ressources consacrées aux dépenses de
défenses pour maximiser les programmes nationaux : 19
2.3.5. Le commerce, le revenu et l'intégration
régionale 20
2.3.6. Analyse de la proximité » commerciale : les
enseignements d'un modèle gravitationnel 20
Chapitre 3: Effet de l'intégration dans la zone et
les perspectives pour l'ASEAN 22
3.1. Résultat de l'intégration. 22
3.1.1. Des effets statistiques de la zone de libre-échange
: un effet de détournement de commerce
prédominant. 22
3.1.2. Des effets dynamiques. 24
3.2. Des effets de l'intégration. 28 3.2.1. Mais
l'adhésion à l'OMC de nombre des pays du sud ne signifie pas
forcément réussite commerciale
mais surtout dépendance. C'est un jeu qui n'est pas
égal et surtout avec des s pays pauvre 28 3.2.2. En
intégration, un des grands problèmes de non seulement les membres
de l'ASEAN mais aussi des
PED est la propriété intellectuelle. 28 3.2.3.
Un des grands problèmes est que : on doit résoudre le conflit
entre le libre -échange et le
protectionnisme 30
3.3. Intégrer ou pas. Des perspectives pour l'ASEAN 30
3.3.1. Intégrer ou pas ? 30
3.3.2. Des perspectives pour l'ASEAN, conclusion. 31
Bibliographie ...33
Annexe .37
Remerciements
Je tiens à remercier tout particulièrement M.
Nicolas PERIDY, directeur du mémoire, qui m'avait conseillé et
corrigé le mémoire pour moi. Grâce à son aide, mon
mémoire se déroule dans les meilleures conditions possibles.
Mes remerciements s'adressent également à tous les
personnels qui vont lire et examiner mon mémoire.
Résumé
Le 08/08/1967 : ASEAN a été créée
à Bangkok avec l'objectif : faire barrage à l'expansion de
communisme. Mais au début des années 90s, son objectif a
changé. Il a orienté au développement économique.
ASEAN est une organisation nombeureuse et , comme son nom, elle est au Sud-Est
de l'Asie- uune place très abondant en ressource naturelle. Mais elle
n'est pas homogène au niveau de la croissance économique et aussi
en politique.
En terme de l'intégration régionale, l'UE est un
exemple de succès et l'ASEAN est une exemple potentiel. En
générale, l'intégration économque est importer les
connaissances qu'on n'a pas , les produits qu'on ne fabrique pas
soi-même. Regardez-vous sur les résultats de l'intégration
de l'ASEAN. Grâce à elle, les habitants peuvent utiliser plus des
gammes de produits en qualité élevée. Avec
l'intégration, on a vu un effet de détournement de commerce
prédominant, plus de commerce intra-branche, une forte contribution de
IDE dans le développement des PED sur l'accumulation de capital et
transfert de technologie.
Mais avec plusieur inconvenients, les gens possent souvent la
question : est ce qu'il faut- les PED intégèrent ou pas. En
intégrant, on a un de sgrands problème : la
propriété intelectuelle. Plus on intégrère, plus
les travailleurs subient l'instabilité...
Intégrer ou pas et à quel degré. Il est
difficile de trouver la réponse à travers les modèls
théoriques. Parce qu'ils donnent des réponses contrairements.
Seulement avec la réalité, l'ASEAN se trouve sa propre
réponse.
Mot -clés : ASEAN, Intégration,
Régional.
Rubrique : Science économique et de gestion.
Sous-rubrique : Commerce internationale.
Resume
The 08/08/1967: ASEAN was established in Bangkok with the
purpose: to oppose the invastion of communism. But in the early 90s, his focus
has changed. He oriented to the economic development. ASEAN is an organization
nombeureuse and as its name, it is in the South-East Asia -a place abounding in
natural resource. But it is not homogeneous in terms of economic growth and
also in politics.
In terms of regional integration, the EU is an example of
success and ASEAN is a potential example. In general, integration
économque est import the knowledge which we don't have, the products
that we can't manufacture ourself. Do you watch the results of the integration
of ASEAN. With it, people can use more product lines with higher quality. With
the integration, we saw an effect of trade diversion dominates, more
intra-industry trade, a strong contribution of FDI in the development of DCs on
the accumulation of capital and technology transfer.
But with smany drawbacks, people often wonder the question:
what should developing countries intégèrent or not. Integrating,
we have one of great problem: the intellectual property. More we
intégrère, the more workers subient instability ... Integrate or
not and to what degree. It is difficult to find the answer through the
theoretical models. Because they give opposite answer. Only with current
reality, ASEAN is its own answer.
Keywords: ASEAN, Integration, regional.
Chapitre 1: Fondement théorique de
l'intégration et des politiques
réglementaires de l'ASEAN
Présentés parfois comme des remèdes
sûrs au retard économique des pays en développement, les
regroupements économiques se sont multipliés dans ces
régions à partir des indépendances.
Le concept d'intégration économique
régionale est parfois ambigu car il peut désigner aussi bien un
résultat qu'un instrument de politique économique.
L'intégration économique comme résultat signifie une
intensification des échanges de biens et de services, des personnes et
de capitaux, à l'intérieur d'une zone géographique
composée de plusieurs états indépendants. Comme instrument
de la politique économique, l'intégration économique
désigne tout accord de coopération ayant une portée
économique entre états indépendants d'une région
donnée.
1.1. Des points pricipaux de l'ASEAN .
Le 08/08/1967, à Bangkok (la capitale
de la Thaïlande), les Ministre des Affaires Etrangères,
représentant les gouvernements de 5 pays d'Asie du Sud-est:
l'Indonésie, la Malaisie, les Philippines, Singapour et la
Thaïlande ont décidé de créer l'ASEAN. Selon des
objectifs:
+ Faire barrage à l'expansion ducommunistes
+ Améliorer la croissance et le développement
+ Assurer la stabilité dans la région.
C'est une déclaration d'intention
générale, émis à l'issue d'une réunion
ministérielle. Les 5 fondateurs attendent peu de cette
intégration régionale mais, ils cherchent à renforcer leur
légitimité. En effet, les cinq membres ne prennent aucun
engagement à l'égard de cette intégration et ne sont
liés entre eux que par leur volonté.
(En ce moment : c'est le temps que la guerre a eu lieu dans
l'Indochine. A cause du colonialisme, l'Asie du Sud Est a été
accompagnée par le système à un monde bipolaire dont les
leaders sont la Russie et l'Amérique. Par conséquent, l'Asie du
Sud-est est formée en deux groupes opposés: selon le
régime communiste et selon celui capitaliste)
Depuis le 1995, avec la participation du Vietnam dans cette
organisation, son objectif de a changé : + Garder la paix, la
sécurité, la stabilité dans la région
+ Améliorer le développement économique,
sociale, culturel dans la région.
Au fur et à mesure, des différences phases
d'évolution, l'idée fera lentement son chemin, mais les termes
d'union douanière ou de zone de libre échange n'auront aucun
sens.
En terme de géographie, la superficie de l'ASEAN est
plus de 4,5 million de km2, avec une population de 575 millions de
personnes, PIB par an est 11001 billions $ (2006). Les ressources naturelles de
l'ASEAN sont très abondantes avec plusieurs matières
premières de base comme : le caoutchouc, le riz, l'ananas, le
pétrole brut... L'industrie de l'ASEAN est en voie de se
développer, spécialement dans les domaines tels que: le textile,
l'électron, les produits de consommation.
En revanche, la croissance économique de l'ASEAN n'est
pas homogène. La Birmanie est le pays le moins développé
dans cette région, avec le revenu annuel par habitant de 200 $ environ.
L'Indonésie est celui le plus grand en géographie, mais son
revenu par habitant est seulement 600$. Le Singapour et le Brunei sont les 2
pays les plus petits géographiquement mais leurs revenus par habitant
sont les plus hauts, environ plus de 30.000$ /an.
Bien que les 10 pays soient situés dans une en
même zone, ils sont différents des politiques. Des pays sont
neutres comme : le Singapour, la Thaïlande, le Brunei. Des pays sont
communistes : le Vietnam, le Cambodge, le Laos, la Birmanie. Et les restes sont
les pays capitalistes. Cela est un obstacle dans la coopération
économique, culturelle, politique des membres de l'organisation. Et il
est aussi une grande différence entre l'ASEAN et l'UE.
Avant, dans les années 1976 - 1978, les relations
Vietnam - ASEAN s'étaient sensiblement améliorées, il a eu
la capacité d'ouvrir le plein potentiel. Mais depuis la fin de 1978, en
raison de la grande influence des pays extérieurs, l'Asie du Sud Est a
perdu de l'air de la paix qui venait d'apparaître, elle se trouvait dans
une situation instabilité avec le risque d'une nouvelle guerre. En 1995,
le Vietnam a participé dans cette organisation. Il y a plusieurs raisons
:
+ L'effondrement de l'Union soviétique et les
socialistes.
+ Le Vietnam a perdu son marché.
+ Il doit trouver un autre marché pour les produits.
+ Mais il ne veut plus être influencé par la
Chine.
(Malgré son développement, la région
n'échappe pas aux jeux des trois puissances rivales géantes : le
Japon, la Chine et les Etats Unis : le rôle international du Japon,
l'agressivité de la Chine, les hésitations de l'Amérique.
L'ASEAN-6 a besoin du Vietnam car ces pays ont peur de l'élargissement
économique de la Chine- un dragon réveil après 100 ans de
sommeil. La Chine veut devenir équilibre en politique avec les Etats
Unis. La première étape est d'influencer dans la zone de la mer
d'Ouest (En 1992, la Chine a annoncé sa droit de propriété
jusqu'à le territoire de l'indonésien.) et puis influencer dans
l'Océan Indien.
De plus, avec la participation du Vietnam, L'ASEAN peut trouver
l'équilibre dans la lutte de la mer d'Est contre la Chine.
1.2. Revue sélective de littérature
1.2.1. Le processus d'intégration
économique
On distingue différentes formes d'intégration :
l'intégration par le marché, l'intégration par la
planification, l'intégration par les règles. On parle aussi
d'intégration par les infrastructures.
Mais l'intégration économique selon
Balassa (1961) peut être appréhendée comme un
processus ou un état. Comme un processus, elle comprend les mesures
visant à abolir les discriminations entre unités
économiques appartenant à des nations différentes ; vue
comme un état, elle peut être représentée comme
l'absence de diverses formes de discriminations entre des économies
nationales. Ainsi donc pour Balassa, l'intégration peut prendre diverses
formes qui correspondent à des degrés d'intégration de
niveau de plus en plus poussé. Il comprend plusieurs phases :
+ La réduction tarifaire non réciproque.
+ La zone de libre échange dans laquelle les
tarifs et les restrictions quantitatives sont supprimés entre les Etats
membres, chaque pays maintenant ses tarifs à l'endroit de pays tiers
;
+ L'union douanière qui en plus des
caractéristiques de la zone de libre échange consiste en
l'institution d'un tarif extérieur commun à l'endroit des pays
non membres ;
+ Le marché commun, caractéristique d'une
union douanière dans laquelle est maintenu la libre circulation des
biens, des services, des personnes et des capitaux ;
+ Marché unique = Marché commun + une
élimination des obstacles techniques, administratif et fiscaux aux
échanges
+ L'union économique et monétaire qui est
un marché commun avec une harmonisation des politiques
économiques et monétaires.
1.2.2. L'intégration commerciale régionale

Quel chemin parcouru depuis le temps où l'on croyait et
l'on enseignait que seule la fermeture des frontières allait permettre
aux pays pauvres de décoller. L'expérience est passée par
là et le bon sens économique aussi. Partout, les pays
repliés sur eux même se sont enfoncés dans la misère
et la pauvreté : il suffit de regarder l'Afrique. Comment se
développer sans importer les connaissances qu'on n'a pas, les produits
qu'on ne fabrique pas soi-même et dont on a besoin ? Comment se passer du
marché mondial quand le sien est trop exigu ? Le commerce, on le sait
bien aujourd`hui, c'est le meilleur forme d'aide, elle est la seule
réponse, avec l'investissement en capital humain1.
Les pays membres de l'ASEAN ont signé la
Déclaration de concorde de l'ASEAN II (CAD II). Dans DAC II, les
dirigeants de l'ASEAN ont convenu d'établir ASEAN communautaire
basé sur 3 piliers: la Communauté de sécurité ASEAN
(ASC), Communauté économique ASEAN (AEC), la Communauté et
de la culture - Social ASEAN (ASSC) 2015.
Les dates importants de la création de l'ASEAN (voir
annexes)
1 L'Asie au coeur du libre-échange,
www.libres.org du 14 Décembre
2004
A. Communauté économique ASEAN (AEC) Image 1 :
Les composants de l'AEC2

Marché unique et la production de bas
Région de la compétitivité
économique
Développement économique équitable
Intégration avec
l'économie mondiale
AEC 2015
Le flux libre de:
Biens, Service Investissement, Capital Travailleur,
Qualifié
Pour plus d'infos concernant les composants de l'AEC (Voir
Annexes)
2 Source : Borderless Asean community 2015, Ms. Maria
Theresa L.TAGUIANG, Deputy Director Genaral, Office of Asia Affaire,DFA,
18/3/2009 Pan Pacific Hotel, Malate, Manila)
B. Les échanges dans la zone
- L'approche avec les grands voisins +FTA+1 :3
Nom
|
AVEC
|
En vigueur depuis
|
CAFTA
|
La Chine
|
2010
|
JAFTA
|
Le Japon
|
2012
|
SKAFTA
|
Le Corée du Sud
|
2009
|
IAFTA
|
L'Inde
|
2011
|
+FTA ASEAN +3 :
ASEAN avec la Chine, le japon, la Corée du Sud
+FTA ASEAN +5 :
ASEAN avec la Chine, le japon, la Corée du Sud,
l'Australie et la Nouvelle Zélande
- Multiplications des accords bilatéraux entre membres de
l'ASEAN et pays tiers
Le Singapore et la Thaïlande sont les plus dynamiques mais
la Malaisie est en rattrapage4.
Le membre de l'ASEAN
|
Complète
|
En négociation
|
L'Indonésie
|
Le japon
La Nouvelle Zélande L'Australie
|
|
Malaysia
|
Le Japon
|
Les Etats Unis
L'Australie
La Nouvelle Zélande L'Inde
Le Pakistan
Le Corée du Sud
|
Philippines
|
|
Le Japon
Les Etats Unis
|
Singapour
|
La Nouvelle Zélande L'Australie
Le Japon
Les Etats Unis
Le Jordan
Le Corée du Sud
L'Inde
Le Qatar
|
Certains pays d'Amérique
latine, Moyen-Orient et l'Asie du Sud.
|
3 Source :
asean. org
4 Source : Jean- Marie Demange chef des services
économique pour l'ASEAN le 08/06/2007.
|
Le Panama
1 accord avec : Brunei, Chile et New Zélande.
|
|
La Thaïlande
|
La Nouvelle Zélande
L'Australie Le Japon
L'Inde
Le Bahrayn La Chine
|
Les Etats Unis Le Chile
Le Pakistan
|
Le Vietnam
|
Les Etats Unis
|
Le Japon.
|
Image 2 : Des FTA de l' ASEAN. 5

+Avec la Chine :
Créer une zone de libre échange, à l'horizon
2010, qui serait la plus vaste et la plus peuplée du monde. Rien que
cela. C'est entre le Chine et l'ASEAN.
L'ASEAN et la Chine coopèrent notamment en commerce et
l'investissement entre eux fait une partie très importante. Cette
coopération reconnait une croissance rapide. L'importance de la
coopération commerciale avec la Chine est particulièrement vraie
pour les pays de l'ASEAN avec les communes frontières avec la Chine - le
Laos, la Birmanie et le Vietnam.
5 Source : Toward a common market 15/05/2008 par Yasuo
Hayashi, Président et chef de la direction de la Japon Externe Trade
Organisation (JETRO)


Au début des années 1990, la part de ces cinq
produits s'est élevée à 75,7% de toutes les exportations
de l'ASEAN vers la Chine6.

En 1999, l'ordre d'importance a changé concernant les
produits manufacturés. Les importations en provenance de l'ASEAN de la
Chine ont toujours été plus diversifiées.

6 ASEAN - China economic relation in the 21 st
century,
aseansec.org
Il est également important de noter que, au cours des
dernières années, la proportion d'investissement lié au
commerce a été augmentée. Une des principales raisons de
la croissance rapide de cet échange entre l'ASEAN et la Chine au cours
des années 1990 a été le dynamisme de l'économie
des pays de l'ASE et celui de la Chine.
Deuxièmement, l'ASEAN et la Chine ont diminué les
taux NPF (nation la plus favorite, MFN- Most favored nation tariffont).
+ Avec l'EU :
La relation traditionnelle entre les membres de l'ASEAN et
l'EU a vu le jour depuis l'époque coloniale (l'Angleterre, la France, le
Pays-Bas, l'Espagne) dominante dans cette région. De 1993 (quand l'ASEAN
intégrer vraiment à l'économie régionale avec la
CEPT/AFTA) à 2003, les relations commerciales entre les deux parties ont
continué à augmenter (6,7%/an)

L'exportation de l'EU vers l'ASEAN
L'importation de l'EU vers l'ASEAN
L'UE est le 2è marché le plus grand de l'ASEAN et
3è le plus grand partenaire (14% volume d'échange de l'ASEAN
Les membres de l'ASEAN sont les 3è grand partenaire de
l'UE
EU ASEAN Donnés de bas
45 millions €
71 millions €
L'Union européenne a la planification d'un accord
commercial bilatéral avec l'Association des Nations d'Asie du Sud-est
(ASEAN) depuis de nombreuses années. Le 4 Mai 2007, les deux parties ont
convenu d'entamer des négociations.7 (source:). Mais, en
2009, les 2 côtés ont décidé de suspendre toutes les
négociations sur le libre- échange. La raison c'est que l'UE a
besoin beaucoup d'un meilleur environnement et les conditions de travail. Ce
pendant ces problèmes sont très sensibles pour l'ASEAN. Les
problèmes des droits de l'homme et le problème de la Birmanie ne
sont pas résolus, ils existent encore.
7 13ans de coopération entre l'ASEAN et l'UE,
La 16ème réunion ministère de l'ASEAN et l'UE,
14-15/3/2007
+Avec l'Australie :
En 1974, l'Australie est devenue le premier partenaire du
dialogue de l'ASEAN avec le programme de coopération économique
de l'ASEAN l'Australie. (AAECP). Le processus d'intégration compris 3
phases.
Phase I: 1974-1989
Phase II: 1989-1994
Phase III: 1994-20048
+ Avec le Japon.
L'ASEAN et le Japon ont des relations informelles en 1973 et en
suite formelles grâce à la création du forum ASEAN-Japon en
1977.
Les 2 partenaires ont « la déclaration des leaders de
l'ASEAN et du Japon sur la compréhension économique (CEP)
».
L'ASEAN et le Japon coopèrent sur plusieurs aspects :
Tableau 1 : Relation entre le Japon et l'ASEAN.
Environnement des affaires
|
Droits de propriété intellectuelle
(«IPR»)
|
Energie
|
Technologie de la communication et la communication
(«ICT»)
|
Développement de la ressource humaine («HRD»)
|
Petite et moyen entreprise (PME)
|
Transport et logistique
|
Tourisme et hospitalité
|
Normes et conformité et l'arrangement de reconnaissance
mutuelle
|
|
+Avec les Etats-Unis :
Depuis la première réunion entre les Etats Unis
et l'ASEAN en 1977, les Etats Unis ont eu des engagements profonds par les
programmes tels que: L'environnement de l'ASEAN et les Etats Unis, le plan de
coopération entre l'ASEAN et les Etats Unis. Et le plus nouveau est :
l'accroît la relation partenaire de l'ASEAN et les Etats Unis par le
gouvernement du président George W. Bush en Novembre 2005.
L'investissement des Etats Unis à ASEAN atteint 90
billards $ et l'ASEAN est le marché d'exportation au 4ème rang
des Etats Unis.
Les 2 parties sont proches grâce aux intérêts
politiques même que les Etats Unis sont un grand partenaire avec chaque
membre de l'ASEAN
8 The 30th Anniversary of the ASEAN-Australia dialogue
partnership» de Alexander Downer MP Minister for Foreign
Affairs
Chapitre 2: L'Apport Théorique de
l'Intégration Régionale
2.1. Les Théories du Commerce International
traditionnelle:
2.1.1. La théorie traditionnelle de
l'intégration régionale : théorie de Viner (1950)
Pour analyser cette théorie, on doit utiliser un outil :
analyser le surplus
Surplus consommateur : est la différence entre le
prix que le consommateur est prêt à payer et le prix qu'il paie en
réellement- le prix de demande.
Tableau 2 : le surplus de consommateur et de producteur
P
D(h)
S(h)
Prix
Po

Q
Quantité
Surplus producteur : la différence entre le prix
que le producteur est prêt à vendre ses marchandises et le prix
qu'il reçoit (profit = recette totale - coût total)

Prix
A
P
Dh
Quantité
E
Q
0
0=Cm
D(h) : le prix qu'il reçoit réellement.
0 : le prix qu'il veut.
Profit = RC - CT = PxQ - CT = OPAQ - OEAQ
Cm = (CT)' = APE
Surplus de l'état (en absence de l'impôt) :
correspond aux recettes douanières = ce qui importe multipliant le droit
de douane.
Surplus collectif : Surplus de consommateur + surplus de
producteur + sur plus de l'état.
= > Analyse de Viner : Analyse de surplus collectif avant et
après la mise en place de l'intégration régionale
+ Si le surplus collectif augmente après la mise en place
de la région : on gagne
+ Si non, on perde.
Avec des exemples Viner a conclu que :
+ Avec l'union douanière, on gagne à condition que
l'on crée des échanges
+ Le tarif douanier commun (TDC) doit être choisi le plus
bas le plus possible.
+ Les structures des économistes domestiques et
partenaires doivent être similaires au niveau de la production et de la
consommation (pays similaires)
+ Le coût de production doit être
différent.
+ L'union douanière dépit inclure un nombre
important de pays de taille économique suffisant (comme UE) pour qu'on
puisse gagner.
2.1.2. Le modèle de Baldwin Krugman 1995 :
concurrence imparfait
Dans cette approche, deux nations identiques (du point de vue
de la dotation factorielle, du niveau technologique) peuvent avoir
malgré tout intérêt à l'échange dans la cas
où l'ouverture permet de concentrer les ressources dans les secteurs
à rendements croissants : le développement des exportations dans
les secteurs à rendements croissants, permet d'élargir
l'échelle de production et donc de réduire les coûts
unitaires de production, ce qui crée ex-post un avantage comparatif face
au pays qui a renoncé à cette spécialisation pour une
autre. Ce que montrent d'ailleurs ces modèles, c'est qu'un des gains
liés au libre-échange vient du fait que les pays peuvent
consacrer plus de ressources à la R&D, puisque les coûts en
sont plus facilement amortis, grâce à l'augmentation de
l'échelle de production.
Ce modèle va plus loin dans un cadre de concurrence
imparfait. Il fait apparaître de nouveaux gains liés à
l'exploitation des économies d'échelle et au coût des
consommateurs pour la variété.
2.1.3. L'écart de technologie :
théorisé par Posner en 1961.
Son idée est la suivante : le pays dans lequel
apparaît une innovation bénéficie d'un avantage absolu sur
les autres partenaires commerciaux pendant un certain temps, il pourra donc
exporter ces nouveaux produits issus de l'innovation. Ces nouveaux produits
sont ensuite imités, en raison de la diffusion des technologies, mais
d'autres innovations viennent prendre le relais.
Ces intuitions de Posner ont été
formalisées ensuite par Krugman (1979). Dans son modèle, il
existe deux
zones :
+ Les pays du Nord, qui innovent.
+ Les pays du Sud, qui n'innovent pas
Krugman montre que le Nord est condamné à
innover sans arrêt, pour maintenir l'écart technologique avec le
Sud, sinon ses industries déclinent et disparaissent à cause de
la concurrence des pays à bas salaires. Les hauts salaires du Nord
reflètent selon lui la rente de monopole associée aux innovations
: si l'écart technologique disparaît, cette rente
disparaîtra aussi, il ne sera plus possible de verser de hauts
salaires.
Une firme invente un nouveau produit va profiter d'un pouvoir de
monopole jusqu'à ce que des firmes militaires arrivent sur le
marché en lançant un produit comparable.
En économie ouvert, on a 2 zones : Nord (avance
technologie et innovation) et le Sud (firme imitatrice et faible niveau de
technologie).
Théorème : si 1 pays en permanence et
continuer à garder son avantage comparatif et donne des haute salaires
dans les biens intensifs en capital qu'il produit + pas de disparition des
avantages comparatifs.
2.1.4. La nouvelle théorie du libre échange :
La prise en compte de la demande interne
Du début du XIX siècle jusqu'à la fin des
années 70s, la théorie du commerce international est
dominée par le modèle des avantages comparatifs : il y a
échange parce qu'il y a diversité des technologies, des dotations
factorielles. Cette théorie explique bien les échanges entre
différents pays, mais elle rend moins bien compte du
développement très marqué des échanges intra-
branches. Les économistes qui avaient réfléchi a la
question savaient depuis longtemps que les avantages comparatifs n'expliquaient
peut pas tout, et que les rendements croissants pouvaient être une autres
cause de spécialisation et d'échanges.
A. Les hypothèses :
Dès 1961, Linder soulignait
l'importance du commerce intra- branche entre pays de niveaux de
développement semblables. Il pensait que ce phénomène
allait contre HOS. Il a expliqué à l'époque une
explication en termes de " demande représentative "
Hypothèses : les pays similaires avec économie
d'échelle.
B. Démonstration :
L'a production domestique dans premier temps est
influencée par la demande inférieure représentative.
Mécanisme : lorsque la demande domestique est
importante, alors la production à grand échelle avec 1 baisse de
coût + il y aura une baisse de prix et la possibilité d'exporter
vers des pays présentant la même demande (goût de
consommateur similaires).
Tableau 3: Les échanges entre les pays dont la demande
représentative.

Qualité
A
A
F
E
D
C
B
C
B
Rêven /tête
Soient 3 pays : A, B, C.
A : revenu/tête est faible
B : revenu/tête intermédiaire.
C : revenu/tête élevé.
+ Plus le revenu/tête est élevé, plus on
consomme et produit des biens à prix et à qualité
élevé. + L'échange international se fait entre des pays
similaires en terme de demande.
Echange entre A et B : gamme de produite de B à D. (Sud
- Sud) Echange entre A et C : gamme de produite de C à D. (Nord- Sud)
Echange entre B et C : gamme de produit de C à E. (Nord- Nord) + Plus
les pays sont similaires et riches, plus le commerce sera important. C'est le
commerce intra branche.
2.2. La théorie de l'économie spatiale.
2.2.1. Le modèle de Krugman (centre
périphérie)
Dans les années 90s, Krugman a repris les idées
de Mydral et développer ces idées : quand les travailleurs
changent le lieu de travail, la demande va augmenter dans la région
d'arrivé et baisser dans la région d'origine. Et les travailleurs
vont se déplacer en fonction de l'indice de prix et le palmaire
nominal.
Selon les hypothèses classiques : la région
centrale industrialisée a un niveau de bien être supérieur
à la région périphérique, or l'échange
permet la convergence des bien être entre les régions.
Mais selon Krugman : l'intégration régionale va
laisser les structures de localisation inchangés dans le premier temps.
Dans le deuxième temps, à partir d'un seuil, on bascule dans un
schéma centre périphérie. Le bien être des
travailleurs de la région centrale augmente et celui des travailleurs de
la région périphérique baisse.
+ L'intégration régionale favorise la concentration
des activités.
2.2.2. La relation en cloche entre
inégalité régionale et intégration
économique :
Par ailleurs, selon une étude de Krugman et Venable en
1995-1996, « la relation en cloche entre inégalité
régionales et intégration économique », modèle
de Krugman en 1991 stoppe à la deuxième phase. Alors, il faut
qu'on intègre ou pas? Dans le modèle de Rose et Frank, on voit
une relation négative entre le taux de croissance et le niveau
d'intégration.


4
3
V
2
1
Intégration
Phase 1 :
Répartition équilibre des activités dans les
2 régions : Va=Vb.
Pas d'apparition d'inégalité malgré
l'intégration.
Phase 2 : Equilibre asymétrique : le secteur
industrielle va se concentrer dans la région a
Va > Vb
Phases 3 : Le bien être de la région b va
augmenter (système de convergence)
Les firmes se localisent en périphérie où
les salariés sont plus faibles (le mécanisme s'inverse)
Phase 4 : Intégration parfaite.
Le coût de travail s'égalise entre les
régions, tout comme les indices de prix. Répartition
équilibre des activités dans les 2 régions.
Niveau de bien être identique.
+ Le modèle de Krugman s'arrête à la phase 2
et ne prend pas en compte la force de dispersion.
2.3. Les Théories du Commerce International moderne
: 2.3.1. Le flux du commerce
La poids de gravité entre 2 choses i et j est une fonction
positive de leur mass respectives ( Ç et
Yj) et un fonction négative de la distance
(Dij)
Avec G : la constante gravitationnelle selon les unités de
mesure.
Une relation linéaire entre les flux commerciaux, les
dimensions économiques et de la distance peut être obtenu en
prenant le logarithme naturel de la gravité expression.
L'équation être estimée dans sa forme la plus simple :
lnT ij = c+ln( i YY
j )-lnDij + ij
c : un terme constant.
Tij : Le flux commercial entre le pays i et le pays j
Yi et Yj : le PIB du pays
d'importer et exporter.
Dij : La distance entre 2 capitaux des partenaires.
ij : Le terme de perturbation.
+ Le flux commercial entre 2 pays dépend du PIB entre
les pays (comme on l'a dit dans la théorie de la demande
représentative), dépend de la distance entre des pays (on va
aborder dans la théorie de l'accord commercial régional- RTA -
Regional trade agreement)
2.3.2. Modèle de Limao et Venable (2001)
L'équation commercial
X ij = X ( E i , E
j , R ij , R ji , D
ij , F ij , ij )
Xij Exportation de l'économie i to
l'économie j
Ei, Ej : Vecteur de
caractéristique de l'économie i (j) avec : la taille de
l'économie (PIB), population, la terre, l'obstacle au commerce et les
autres variables dans le modèle de gravité.
Rij , Rji : Vecteur de variables de
mesure des infrastructures routières dans les zones frontalières
et non les zones frontalières dans l'économie i et
l'économie j
Dij La distance entre l'économie I et
l'économie j
Fij L'investissement de FDI de l'économie I to
j
wij : Des facteurs non comtés
Le PIB de l'économie est considéré comme le
facteur clé dans le modèle de gravité parce que un large
marché est espéré d'avoir un commerce plus grand (ceteris
parisbus). Le commerce est espéré favorablement
influencée par la masse économique des partenaires
commerciaux et négativement affectés par la distance entre eux
2.3.3. Modèle de Limao et Venable (2001)
L'équation de l'IDE.
F ij = F ( E i , E
j , R ij , R ji , D
ij , X ij , z i ,
ij )
Fij : IDE que pays i investit à l'économie
j
Ei , Ej, R ij,
Rji , D ij , X ij : Comme dans l'équation
commerciale.
zi : Vecteur de l'autre
caractéristique concernant l'investissement de l'économie i.
ij : Des facteurs non comptés.
L'équation de l'IED précise que les flux d'IED sont
déterminés par plusieurs facteurs communs à
l'équation commerciale ( par exemple : la taille de l'économie et
la ressource, le taux d'inflation...)
Nos modèles de base utilisent deux paramètres des
spécifications pour les relations fonctionnelles au-
dessus :
X ijt AY it Y i H
i H j N it D ij ijt u ij
= E M E M M ( )
Ou X ijt A ( Y it Y
jt ) ( H i H j ) ( N
it N jt ) D ij (
ijt u ij )
=
Xijt : L'exportation du pays i vers pays j dans le temps
t Y it , Y jt : Le PIB du pays i et j dans
l'année t
Hi, Hj : la taille
géographique de l'économie i et j N it ,
N jt : La population du pays i et j dans l'année t.
Dij : La distance (entre 2 capitaux) de
l'économie i et j. ijt : Le terme d'erreur ordinaire.
uij : Une erreur composante spécifique à
l'économie paire i j A : constant.
En logarithmique, on a :
ln ln ln ln ln ln ln ln ln ln
ij
X ijt = A + E Y it + M
Y jt + E H i +
M H j + E N
it + M N jt + D
ij + ijt + u
La première spécification prend une Cobb-Douglas
qui est pas présentée comme les influences de chaque partenaire
commercial de la dimension économique, la population et la zone
géographique entre dans l'équation séparément. Elle
permet d'examiner les effets des variables entre les pays exportateurs et
importateurs séparément.
2.3.4. Le modèle avec lequel le
gouvernement de chaque pays i peut choisir à former ou pas le RTA
(Regional trade agreement) et le montant des ressources consacrées aux
dépenses de défenses pour maximiser les programmes nationaux
:
Avec :
|
U Y
= - + ? -
i i ij ij ij i
k d
j i
?
|
?i, j
|
Yi : Le revenu du pays
ij Le feinte variable qu'il va être 1 si le pays
i et j forme le RTA et qu'il va être le rendement net attendu
d'un conflit.
Pour plus simple, on distingue le monde en 4 pays de 2 continents
: Ouest et Est

2
O
1
4
3
E
Figure : 4 pays sur 2 contingents.
Le coût de formation RTA entre pays de l'ouest et pays
de l'est est très élevé à cause de la grande
différence dans les nations. Une RTA peut donc être
créé sur chaque continent. D'autre part, chaque pays a une
frontière commune avec 2 autres pays et peuvent donc subir des conflits
internationaux avec chacun d'entre eux.
2.3.5. Le commerce, le revenu et l'intégration
régionale.
Alesina et al (2000) montrent que le revenu par habitant et le
taux de croissance sont positivement liés à la taille du pays et
l'ouverture au commerce et un effet négatif lié à la
taille du pays, multiplié par l'ouverture plus petite pays
bénéficient davantage de l'ouverture du commerce que les grands
pays.
Y =
i (1 ) i (1 )(1 )
- S + - - S W
Le revenu national est modélisé dans une pure
économie d'échange. Elle est positivement liée à la
capacité de commerce d'un pays, soit à l'intérieur de son
marché national ou régional ou avec le reste du monde. Le
commerce implique des coûts liés à la répartition
géographique, technologique ou politique.
Le coût du commerce : = (1-)(1 -) où 0 =<1 est
les barrières physique du commerce et
0 =<1 est la barrière de la politique commerciale (le
tarif, le règlement)
est exogène (= 1 quand on a le commerce d'échange
global)
SW : La taille de l'ensemble de partenaire
commercial du pays i, compté soi même. Si : La
taille de l'économie domestique.
2.3.6. Analyse de la proximité »
commerciale : les enseignements d'un modèle
gravitationnel.
La régionalisation des échanges internationaux
est avant tout un phénomène structurel lié à un
ensemble de facteurs de proximité : la distance géographique,
c'est - à - dire, les coûts de transports, mais aussi les liens
culturels, historiques et linguistiques, la similarité des
systèmes politiques, des niveaux de vie ou encore des politiques
commerciales.
Les modèles gravitationnels démontrent que
l'intensité des échanges entre 2 pays est fonction de leur
potentiel commercial (PIB, dotation en facteur, caractéristique
géographiques) et de leur attraction commerciale (distance, coût
de transport, langue, religion commune...)
Ce modèle est issu de la loi de la gravitation de
Newton (1967). Il est un outil empirique et a eu des succès historiques
considérables. Cette étude porte sur le commerce entre la
Malaisie, l'Indonésie, la Thaïlande, les Philippines, le Brunei
Darussalam, le Vietnam, le Laos, et le Cambodge. La Chine et le Japon ont
été ajoutés car ce
sont des partenaires commerciaux importants de l'ASEAN
(respectivement le 4è et le 1è jusqu'en 1997). Les
périodes d'analyse recouvrent les années 1990 à 1998.
Toutes les données utilisées ont été
collectés dans la base de données CHELEM, sauf la distance qui
provient de la base de données Jon Haveman9.
LnM =
ij 1 ln 1 2 ln 3 ln 4 ln( 1 / 1 ) 5 ln( / )
+ PIB + PIB Pop j + ij
j ij
+ DIST + Y Pop + Y j
Mij : représente les importations totales
bilatérales. Elles semblent mieux refléter l'influence du facteur
pris en compte que les exportations qui sont fortement corrélées
avec le PIB.
PIBi et PIBj : le produit
intérieur brut des pays i et j
Yi / Pop i et
Yj / Pop j : le produit intérieur brut par
habitant des pays i et j.
DISTij : la distance entre les deux pays
concernées.
Les résultats seront présentés dans les
annexes jointes.
Une première estimation du modèle simple a
été réalisée. En effet, le coefficient de la
variable distance est positif, il a donc une action positive sur les
importations (plus le revenu par habitant d'un pays est important, plus ce pays
échange ses produits)
Dans une seconde estimation, c'est le dégagement de
l'influence de certaines variables sur le commerce. Le modèle simple va
enrichir de variables muettes : la variable ASEAN permet d'indiquer si
l'appartenance à l'ASEAN est un facteur de croissance des
échanges, les variables Colocom (colonisateur commun), Frontcom
(frontière commune) et langue (langue commune) mettent en exergue
l'importance des facteurs historiques dans les relations commerciales.
+
LnM PIB PIB DIST Y Pop Y Pop Coloncom
ij ln ln ln ln( / ) ln( / )
= + + + + + +
1 2 3 4 1 1 5
i j ij j j 6
7 8 9
Frontcom Langue ASEAN
+ ++ Ij
Coloncom est une variable binaire prenant la valeur 1 si les pays
ont eu un colonisateur commun si non = 0
Frontcom est une variable binaire prenant la valeur 1 si les pays
ont une frontière commune si non = 0 Langue est une variable binaire.
+ Prenant la valeur 1 si les pays parlent la même langue.
Si non = 0 ASEAN est une variable binaire. + Prenant la valeur 1 si les pays
appartient à cette intégration régionale si non = 0
Les estimations sont résumées dans le tableau du
modèle enrichi. Le coefficient du PIB des 2 partenaires n'a pratiquement
pas variés. Ce coefficient rend compte des richesses globales des pays.
La distance a légèrement augmenté. Ceci traduit une
influence importance des coûts de transport sur le commerce
bilatéral.
Le coefficient du PIB par habitant est toujours le même
pour les 2 pays. Il est fortement corrélé avec les
importations.
Le coefficient des variables frontières communs et langue
commune sont négatifs. Ceci peut s'expliquer par le fait que chaque pays
a sa propre langue (sauf la Malaisie et le Brunei, Le Singapour et la
Chine.)
Le coefficient pour l'ASEAN est significatif à 10%.
L'estimation du modèle simple avec comme unique variable additive, la
variable dichotomique ASEAN, met en évidence une croissance du commerce
bilatéral encore plus soutenue. Adhérer à cette
intégration permet d'augmenter son commerce. L'ASEAN est
bénéfique pour les pays membres en termes de volume
d'échange.
9
www.haveman.org
Chapitre 3: Effet de l'intégration dans la zone
et les perspectives
pour l'ASEAN.
3.1. Résultat de l'intégration.
L'économie de la plus part des pays dans l'ASEAN se
base sur l'agriculture. (Dont le Vietnam, le Laos, le Cambodge, le Myanmar et
la Thaïlande ont plus 60% de la population sont agriculteurs). Alors, en
général, avec l'organisation, l'agriculture est le facteur
clé pour le développement et la stabilité.
Les composantes de la population de ces pays sont les
agriculteurs et les travailleurs. Et la plupart sont l'agriculteur. Son
caractéristiquement : niveau de connaissance est faible, mais
travailleuse. La tâche la plus importante du gouvernement est : trouver
l'output pour les produits agricultures et développer l'industrie qui
peut appliquer dans l'agriculture.
Avec les travailleurs, ils ont un niveau d'éducation mais
le pays manque des technologies. La plupart sont démodé depuis la
guerre.
L'ASEAN est comme 1 foyer avec 1 salaire faible mais devoir
soulever trop de personne. C'est pourquoi cette famille n'a que 1 chemin
d'intégration pour vivre : créer des nouveaux marchés,
échappés de l'influence de la Chine, de l'Inde, trouver d'autre
marché d'exportation avec des prix raisonnables. Selon le modèle
de Dixit Stlititz Krugman, l'utilité des consommateurs ne dépend
plus de nombre de variété mais aussi de nombre de
variété.
U= U (Xi, Ni)
Avec Xi est : nombre des biens
Ni est nombre de variété.
Et dans ce modèle, il y a 2 types de gain.
Gain de producteur : il profite de la production
d'échelle avec une baisse de coût.
Gain de consommateur : il profite de plus nombre de
variété. Non seulement n variété domestique mais
aussi n* nombre variété étrangère. Mais ce
modèle ne parle pas de la qualité de variété
étrangère dont chaque pays peut profiter. Par exemple: au Vietnam
et au Japon : la diffusion des produits chinois est presque pareille. Mais au
Vietnam, quand on voit « made in China », cela veut dire le produit
de mauvaise qualité. Mais au Japon, « made in Chine » est une
marque de qualité comme la marque « Fabriqué en Allemande
» pour les produits électroniques et « Made in France »
pour les produits de beauté.
Les pays de l'ASEAN doit intégrer pour que les
consommateurs aient la chance d'utiliser des produits en bonne qualité
et profiter les avantages. Alors, lesquels ?
3.1.1. Des effets statistiques de la zone de
libre-échange : un effet de détournement de commerce
prédominant.
L'analyse en termes de gains statistique va permettre de
dégager les effets sur le bien-être social. Pour cela, on va
aborder l'avantage comparatif révélé et l'indicateur de
préférence régionale.
A. Avantage comparatif révélé (ACR).
C'est un indicateur de spécialisation qui fournit de
bonnes informations sur les exportations de produits par un pays et sur la
compétitivité domestique face aux autres fournisseurs. Cet
avantage résulte d'un écart de productivité mesuré
en travail.
L'évolution empirique de la spécialisation est
fondée sur l'indicateur de contribution au solde commerciale
(ISC) :
ISC = X + M ? X - M
- X - M X i + M i X + M
i 100 / [ ( ) / 2 ] * ( ) ( ) * ( ) / ( ) ?
? i i ?
Xi et Mi: les exportations et importations du bien i.
X et M : les exportations et importations totale du pays.
Ce calcul est une comparaison du solde commercial observé
par rapport au solde commercial théorique dans un secteur
donné.
Si le premier est supérieur à la seconde, c'est
-à-dire ISCi > 0, on a un ARC. Si
ISCi <0, c'est
désavantage comparatif révélé.
Si le solde du bien i est supérieur au solde commercial du
pays, pondéré par la part du bien i dans le commerce total, le
bien i représente un ACR.
Tableau 4: L'indicateur de contribution au solde de
l'Indonésie 10
Produits
|
1990
|
1991
|
1992
|
1993
|
1994
|
1995
|
1996
|
1997
|
1998
|
Energétique
|
35,68
|
29,82
|
25,40
|
21,11
|
19,44
|
19,01
|
18,66
|
15,80
|
7,98
|
Agroalimentaire
|
8,87
|
7,65
|
6,51
|
7,24
|
7,82
|
7,04
|
5,21
|
6,08
|
1,41
|
Textile
|
7,59
|
10,32
|
14,46
|
13,69
|
12,36
|
12,75
|
12,29
|
12,00
|
8,33
|
Bois Papiers
|
10,12
|
10,12
|
10,20
|
12,34
|
10,73
|
10,88
|
10,32
|
9,75
|
8,11
|
Chimique
|
-13,67
|
-11,47
|
-11,39
|
-11,61
|
-12,05
|
-10,94
|
-9,42
|
-9,33
|
-8,78
|
Sidérurgique
|
-5,38
|
-4,90
|
-4,40
|
-5,29
|
-4,78
|
-5,67
|
-4,66
|
-5,04
|
-3,18
|
Non ferreux
|
2,79
|
1,77
|
2,18
|
1,42
|
2,11
|
2,92
|
2,60
|
2,49
|
2,18
|
Mécanique
|
-29,71
|
-28,97
|
-28,40
|
-25,62
|
-23,68
|
-23,56
|
-24,15
|
-23,97
|
-16,99
|
Véhicules
|
-6,38
|
-4,20
|
-2,81
|
-3,68
|
-5,42
|
-5,54
|
-4,52
|
-4,69
|
-0,58
|
Electriques
|
-3,75
|
-4,58
|
-5,11
|
-5,17
|
-4,50
|
-4,23
|
-3,41
|
-3,88
|
-2,11
|
Electronique
|
-4,94
|
-4,93
|
-4,20
|
-3,43
|
-1,66
|
-1,07
|
-1,29
|
-0,57
|
-1,04
|
+ A partir des données du commerce extérieur de
l'Indonésie, l' ICS i a été
calculé. L'Indonésie a un
désavantage comparatif révélé dans
plusieurs secteurs : la chimie, la sidérurgie, la mécanique, les
véhicule, les activités électriques et
électroniques. Mais elle est devenue plus compétitivité
dans le secteur de l `électronique. La spécialisation dans les
biens de consommations semble judicieuse. L'Indonésie possède des
désavantages légers au niveau des produits de mécanique
électrique, mais elle a des avantages dans les produits agroalimentaires
et surtout dans le textile.
+ Depuis la fin des années 80, l'Indonésie a
connu une période de libéralisation des échanges et
d'abaissement des barrières tarifaires. Elle a dû diversifier sa
production pour faire face à la baisse du prix de pétrole. C'est
durant cette période de réforme qu'elle a encouragé une
production destinée à l'exportation et intensive en
main-d'oeuvre. L'Indonésie a une spécialisation économique
dans le bien à technologie peu avancée (textile, habillement,
chaussure). Ces produits ont une faible valeur d'ajoutée.
+ A Singapour, autre pays dans l'ASEAN ont constaté une
fort ACR dans la domaine de l'électronique, notamment dans le
matériel informatique (23,47 en 1998). Pour ce qui des autres secteurs,
il n'y a aucun ACR. Ce pays a le même mode de développement
basé sur l'économie d'assemblage. Mais ce modèle a
incontestable fait ses preuves mais aussi trouvé ses limites, la crise
dans ce temps l'a justifié.
B. Indicateur de préférence régionale.
Il met en valeur une préférence régionale
pour un produit donné. Il peut être calculé par la formule
donnée par A.Yeats :
Pri = (Xr i /X
r )/(Xm i /X m )
10 Construction personnelle à partir de la base
de données CHELEM
Xri : La valeur des exportations
indonésiennes du produit i vers l'ASEAN.
Xr : La valeur des exportations
indonésiennes du produit i vers le reste du monde.
Xm : La valeur des exportations totales
indonésiennes vers le reste du monde.
Le tableau ce dessous résumé les indicateur de
préférence régionale des différents secteurs de l
`économie indonésienne.
Tableau 5 : L'indicateur de préférence
régionale pour l'Indonésie au sein de l'ASEAN.
Produits
|
1990
|
1991
|
1992
|
1993
|
1994
|
1995
|
1996
|
1997
|
1998
|
Energétique
|
0,300
|
0,200
|
0,178
|
0,243
|
0,481
|
0,512
|
0,563
|
0,509
|
0,467
|
Agroalimentaire
|
1,499
|
1,418
|
1,326
|
1,139
|
0,931
|
0,952
|
0,824
|
0,760
|
0,823
|
Textile
|
1,562
|
1,539
|
1,509
|
1,144
|
0,652
|
0,471
|
0,444
|
0,343
|
0,272
|
Bois Papiers
|
0,483
|
0,486
|
0,416
|
0,3999
|
0,405
|
0,484
|
0,456
|
0,385
|
0,470
|
Chimique
|
3,935
|
3,396
|
2,788
|
2,342
|
2,131
|
2,188
|
2,122
|
1,870
|
1,363
|
Sidérurgique
|
2,618
|
3,233
|
3,825
|
3,742
|
2,521
|
2,308
|
2,589
|
2,570
|
1,577
|
Non ferreux
|
1,834
|
1,413
|
1,145
|
1,183
|
1,181
|
1,466
|
1,360
|
1,328
|
1,085
|
Mécanique
|
2,544
|
2,001
|
1,929
|
2,828
|
2,390
|
2,869
|
2,985
|
2,448
|
1,724
|
Véhicules
|
2,414
|
2,619
|
2,969
|
4,363
|
4,057
|
4,090
|
3,600
|
3,495
|
2,175
|
Electriques
|
1,928
|
2,408
|
2,125
|
2,240
|
2,729
|
2,855
|
2,827
|
2,4492
|
2,168
|
Electronique
|
2,738
|
2,597
|
2,140
|
2,064
|
2,273
|
2,266
|
1,920
|
1,767
|
1,340
|
L'indicateur de préférence régionale a
diminué pour 7 secteurs à un. Pour 4 de ces secteurs, il a
augmenté dans un premier temps, puis diminuer dans 1 seconds temps
à partir de 1995. Ceci est en accord avec le ralentissement des
exportations au sein de l'ASEAN depuis 1996.
C. Un détournement de commerce significatif.
Le détournement de commerce pour un produit peut
être mis en valeur lourqu'il y a, en même temps : un
désavantage comparatif révélé et un indicateur de
préférence régionale supérieur à 1.
Le tableau présente l'analyse des effets statistiques de
cette région à partir de ces 2 indicateurs. (Annexe
page)
Il y a prédominance du phénomène de
détournement de commerce. Ceci peut traduire par le fait que l'ASEAN
importe des produits d'Indonésie sous- compétitifs alors que les
pays tiers ont des avantages comparatifs révèles au niveau de ces
produits. L'ASEAN conduit à une mauvais allocation des ressources et,
par conséquence, à une perte de bien-être du point de vu
statistique.
3.1.2. Des effets dynamiques.
L'ASEAN se base sa croissance sur le commerce
extérieur.
A. Le commerce intra-branche.
Les échanges intra-branches sont des échanges de
produits similaires repérsenteant des flux d'importation et
d'exportation de grandeurs comparables.
Le coefficient de Grubel Lloyd mesure la part du commerce intra
branche dans le commerce total d'une branche donnée.
Ig ? X M X M i
1 1 ( i i ) / ( ( i ) )
= - - + ?
? ? ? ?
Cet indicateur tend vers 1 quand prédominent les
échanges intra branches. Quand il tend vers 0, l'échanges inter
branche est majeur (c'est - à dire que le pays importe ou exporte
plusieurs catégories de produits.
Ci dessus est le tableau du commerce de l'ASEAN en 2007-2008
(voir annexes) Tableau 6: Le commerce intra branche de `Indonésie avec
l'ASEAN.
1990
|
1991
|
1992
|
1993
|
1994
|
1995
|
1996
|
1997
|
1998
|
0,81
|
0,82
|
0,69
|
0,65
|
0,64
|
0,76
|
0,77
|
0,75
|
0,67
|
Le résultat de ce tableau représentent le
commerce intra branche entre l'Indonésie et l'ASEAN. Dans l'ensemble le
commerce intra-branche a diminué. Pour le Singapour, les
résultats sont similaires dans le sens où il est un commerce
intra branche fort (pour toute période, c'est supérieur à
0,8)
Ce fort commerce intra branche est dû au mode de
développement de ces pays dans l'ASEAN.
=> c'est bien pour l'économie : parce que selon Linder,
plus un pays est riche et similaire, plus le commerce intra-branche sera
important.
B. L'investissement direct étranger (IDE).
Les IDE sont les acteurs réels de la mondialisation, de
l'intégration. Dans les années 60s, ces IDE étaient
aperçus comme une menace de la concurrence. Aujourd'hui, ils sont
considérés comme une source de développement pour les PED.
Il y a une contribution des IDE dans le développement de PED sur
l'accumulation du capital et transfert de technologie. L'accueil de l'IDE doit
être capturé en termes de meilleure spécialisation
industrielle, de croissance et d'augmentation des échanges intra-
régionaux. Les principaux pays dans l'ASEAN bénéficiaires
d'IDE en 1998 ont été la Malaisie (avec 3,7 milliards de dollars)
et la Thaïlande (4,8 milliards)
Tableau 7 : La matrice des IDE entre les pays
asiatiques11.

La montée des IDE, notamment croisés, dans les PED
au cours des années 1990 est favorable au processus
d'intégration.
Cette matrice des IDE permet de mettre en évidence trois
points importants. Les pays de l'ASEAN ont peu d'IDE croisés (seulement
3,51%)
+ L'ASEAN a développé de fortes relations en termes
d'IDE avec les NPI de la première génération. Leur part
total d'IDE accueillis par l'ASEAN est de 73,11%. Elle dépasse le Japon
dont la part d'IDE vers l'ASEAN est
11 Canara M. Saludjian A, 2001
seulement de 22,44%.
+ Le Singapour possède l'économie dominante de
l'ASEAN n'a reçu aucun IDE. Sa part d'investissement vers l'ASEAN est de
12,37%. Ce phénomène met à la lumière une relation
de sous-traitant de Singapour sur les autres pays de l'ASEAN. Cet IDE a un
caractère vertical.
Le développement de toutes les économies ;
initialement, l'agriculture et puis changer de l'industrie à
l'exportation les mines, le minerai : vendre naturelles pour l'accumulation du
capitalisme. Quand ce taux est suffit avec un niveau de technologie, le pays va
passer à l'industrie intermédiaire (c'est à dire
l'industrie de manufacturière et la fabrication des hautes technologies
industrielles). Et finalement, il transfère à l'industrie des
services avec une grande utilité et durable pour l'environnement
Dans les années 90, l'IDE s'est concentré dans
l'industrie de l'exportation et a remplacé l'importation. Mais depuis
2000, l'IDE s'est concentré dans l'industrie manufacturière avec
l'intention exportation (le ministère du plan et l'investissement
2003)
+ contribuer à la transition de la structure
économique vers l'industrie.
Bien que tout les pays aient bénéficié du
flux d'IDE mais empiriquement, les résultats ne sont pas tranches. Ils
varient en fonction des pays, des périodes. Selon des études de
Hafiz Mirza et Axèle Giroud publié dans le journal « Asian
development review », vol 21, no1, l'effet d'IDE dépende de
plusieurs facteurs :
+ Le degré initialement d'IDE.
+ L'utilisation de la technologie.
+ Le nombre des travailleurs et le salaire
suggéré...
C. Des échanges tournés vers les pays tiers.
Les exportations intra-zone ont été
multipliées par deux sur la période 1993-1997.
Tableau 8: Evolution des importations et des exportations
intra-ASEAN de 1993 à 1997

La part des importations intra-zone est passée de 17%
à 20% en 1999. Le processus d'intégration régionale dans
l'ASEAN a la tendance à être plus vertical qu'horizontal.
Tableau 9: La part de chaque pays dans les importations de
l'ASEAN de 1993 à 1999

Tableau 10 : La part de chaque pays dans les exportations de
l'ASEAN de 1993 à 1999.

Ces deux graphiques montrent que de1993 à 1999, le
principal partenaire commercial pour les exportations et l'importation de
l'ASEAN-6 est le Singapour (son économie est dominante), le seconde est
la Malaisie, le troisième est la Thaïlande.
Les principaux partenaires hors-zones ASEAN sont le Japon, les
Etats-Unis et l'UE. Jusqu'en 1997, la Japon était le premier partenaire
commercial. A cause de la crise asiatique, les pays de l'ASEAN se sont
tournés vers les Etats Unis et l'Europe. Celle ci a le même volume
d'échange avec les Etats Unis et avec les pays intrazone.
La théorie du commerce traditionnel a prévu que
: l'ouverture du commerce augmentera la demande relatif de non qualifié
travailleur dans PED. Et ce phénomène diminuera la
différence dans les salaires des travailleurs qualifiés et non
qualifiés. Et bien sur, la situation d'inégalité se
baissera. Mais, le plus importance dépense des policiers du
gouvernement.
3.2. Des effets de l'intégration.
Non seulement d'intégration régionale mais les
membres de l'ASEAN ont conscience dans l'intégration mondiale. Ils ont
participé dans plusieurs organisations : APEC..., PECC, OCDE et surtout
OMC .
3.2.1. Mais l'adhésion à l'OMC de
nombre des pays du sud ne signifie pas forcément réussite
commerciale mais surtout dépendance. C'est un jeu qui n'est pas
égal et surtout avec des s pays pauvre.
La négociation de l'OMC est été
régie par les 4 principaux pays : les Etats Unis ; L'Union
Européenne, le Japon et le Canada. « Ils ont négocié
sur la réduction et l'éliminé des tarifs sur les produits
qu'ils ont un avantage comparatif, mais ils ne veulent pas ouvrir le
marché et éliminer des tarifs sur les domaines qu'ils ont des
avantages comparatifs » (Stiglitz, fair trade for all. How trade can
promote development, Oxford University Press, New York, 2005, page 41)
En 2002, la loi des États-Unis a décidé
d'accroître le soutien à l'agriculture en double.
En même année, la réforme des politiques
agricoles de l'Union européenne a transfert de paiements de soutien
agricole aux paiements des produits agricultures.
En ce moment, selon des règles de WTO. Plusieurs types
de soutien pour certains produits doivent être annulés par les
engagements de l'OMC. Avant, le Vietnam aide la production de 7 produits : le
riz, le café, le thé, les légumes et la viande, de porc,
de piment ... Avec l'intégration, le Vietnam doit l'éliminer.
Mais depuis la période 2003-2005, il a dû quitter
progressivement.
Il y a une façon de lutter contre la subvention des
pays développé pour ses produits agricoles ; la leçon du
Mexico quand il participe à NAFTA. Dans le processus
d'intégration, le Mexico a un succès. Après Nafta, le
nombre de membres ne baisse pas comme le prédit. Il y a plusieurs
raisons. Mais une des raisons est la subvention des états pour le
secteur d'agriculture est grand. Et la plupart de cette subvention viennent de
la recette de pétrole- une recette n'est pas disponible pour tous les
PED.
3.2.2. En intégration, un des grands
problèmes de non seulement les membres de l'ASEAN mais aussi des PED est
la propriété intellectuelle.
Mais rien n'est pourtant plus éloigné de la
réalité. En termes d'histoire économique, les pays riches
n'ont pas industrialisé pas par la voie du libre-échange comme le
Royaume-Uni, les États-Unis, le Japon et la Corée du Sud. Tous
ces pays ont développé avec les politiques qu'ils empêchent
actuellement les pays pauvres: protéger de l'industrie jeune, soutien de
l'exportation, contrôle des investissements étrangers, la position
limite de droit de propriété. La Grande-Bretagne, pour commencer
par elle, n'est pas aucunement le parangon de libre-échange souvent
indiqué. Tout au contraire, elle a utilisé avec
agressivité et même, dans certaines cas, inventé des
politiques dirigistes pour protéger et promouvoir ses industries
stratégiques. Au part des Etats Unis, c'est « patrie et bastion du
protectionnisme moderne ». "Les pays riches n'ont pas payé le droit
de propriété quand ils ont commencé l'industrialisation.
Le Japon a importé et copié la technologie de l'Allemagne. Puis
la Corée du Sud a copié la technologie du Japon.
L'Amérique est connue comme le "flic" idée de l'Angleterre dans
la première ère du pays »12 . La plupart des pays dans
l'ASEAN sont les principaux pays d'exportation, notamment la Thaïlande et
le Singapour.
12 13.12 2004 à l'occasion Quand Jonathan
Pincus l'économiste dans le programme les programmes des Nations Unies
pour le développement (PNUD) est au Vietnam).
13
|
Characteristic
|
Respondents (percent)
|
Comments
|
|
Avant 1980
1980-1985
|
14 (16%)
8 (9%)
|
- 67% des firmes de Singaporeavant 1980, 33% en Malaysia,
- 16% des firmé en Thailande ont
commence des opérations.
|
|
|
|
- Des annés de super accroissement de
|
Date firms started
operation (number/percent)
|
1986-1990
|
20 (23%)
|
Malaise.(37% ont été établshi dans cette
période) et la Thailande (3 6%)
|
|
|
|
-L'anné accroissement de la Thailande
|
|
1991 - 1995
|
19 (22%)
|
(16%), le Vietnam (45%), et le
|
|
|
|
Cambodgne ( 27%)
|
|
|
|
- L'anné accroissement de la Thailande
|
|
1996-2000
|
19 ( 22%)
|
(16%), le Vietnam (27%), et le Cambodgne
|
|
|
|
( 54%)
|
|
|
|
- Continuation de l'expansion au Vietnam
|
|
2001 ou 2002
|
8 (9%)
|
(23%) et au Cambodgne ( 18%)
|
L'histoire du commerce a montré que plus un pays
n'était ouvert, plus ce pays ne se développait et c'est aussi le
modèle de développement que la plupart des pays dans l'ASEAN a
choisi. Par conséquent, si le marché mondial n'est pas stable, le
marché intérieur a également beaucoup de risques. Selon
Stligtiz, l'intégration accroit l'instabilité pour les
travailleurs. La crise de prime des Etats Unis a influencé tout le monde
et directement aux banques. Le Vietnam ne participe pas encore le
système des banques internationales. Alors, il n'est pas touché
par la crise. Mais en économique, le Vietnam n'est pas situé en
dehors. L'association du textile de Vietnam (Vitas) annonce que dans 2009: 2
milliard des travailleurs dans ce secteur seront licenciés parce que ce
secteur dépend de l'exportation (source: BBC) et le secteur qui
a le nombre des chômeurs le plus est: le textile, la production des
chaussures dont le salaire avant est faible. Les travailleurs n'ont pas
l'accumulation. Et plus, le Vietnam n'a pas la sécurité de
chômage. Les enfants n'ont pas le soutien du gouvernement. Alors, le
nombre de personne en affamé aura doublé (s'il chaque travailleur
a 1 enfant. Je ne calcule pas encore les parents des ce travailleurs).
D'après une étude du département national de
la recherché économique (NBER), dans l'économie asiatique,
le Singapour et le Hong Kong seront les plus touchés, car
l'économie de ces 2 pays sont "le plus ouvert, le plus commercial, le
moins protégé par la consommation intérieure ».
Singapore a perdu un total après la crise: Singapore Investment Corp a
investi dans Citigroup en 1 en 2008 à 7 milliards de dollars
équivalant à 4% du stock de cette banque, la valeur actuelle est
inférieure à 700 millions de dollars. 6,3 milliards de dollars de
perte. Singapour a investi 12,5 milliards pour l'UBS à la fin de 2007,
la valeur actuelle d'environ 1 milliard de dollars US, 11,5 milliards de
dollars les pertes. Singapour Temasek Holding a investi à Merrill Lynch
7,8 milliards de dollars, les prix ont perdu 10%. Perdre 7 milliards de
dollars. Singapour acheter 200 millions d'actions de Bank of America
13 Mirza et al (2003), Hafiz Mirza et Axèle
Giround , ` Regional integration and benefits from FDI in ASEAN economies: the
case of Vietnam», Asian Development Review, vol 21, no 1, pp 66-98)
9 mois de 2007. Perdre de 10 milliards USD.
Les pauvres peuvent avoir plus d'opportunité pour
bénéficier de l'intégration économique, pour
renforcer leurs revenus et augmenter les standards de la vie. Mais elle
augmente aussi le risque. Alors, l'ouverture économique par libre-
commerce conduira une effet et un résultat sur la pauvreté
3.2.3. Un des grands problèmes est que : on
doit résoudre le conflit entre le libre - échange et le
protectionnisme.
Libre échange pour que les consommateurs profitent des
produits moins chers. Le protectionism est pour maintenir la production
domestique. Par exemple, la plupart des catégories ont été
produites domestiquement et importer. Avec la politique de protéger
certains secteurs, le Vietnam met en oeuvre des impôts très haute
pour les produits importation complets et cet impôt est inférieur
à celui des matières premières et des composants pour
encourager la production et monter domestique. Toutefois, plusieurs secteur ne
profitent pas cette occasion de développer la production et à
améliorer la technologie .ils n'attendent que les politique de soutien
de l'état. Ainsi après intégration (sur tout à
l'OMC), ces marchandises ont le prix plus haute que celui des concurrents,
étrangères. Après l'adhésion à l'OMC, le
prix des voitures complet importées à réduire de 90%
à 70%.
En effet, dans les pays pauvres comme le Vietnam, le Laos, le
Cambodge, les entrepreneurs ne sont pas suffisamment dynamiques. C'est
pourquoi, la politique de protectionnisme de l'état ne protège
que l'existence des entreprises. Elle ne sert pas à l'expansion des
entreprises.
Plus on intègre, plus le coût de transport diminue.
Et il y a 2 effets sur les pays.
+ Augmenter l'urbanisation. Aujourd'hui la plupart des pays
veulent développer selon l'industrialisation. Alors, l'urbain est un
facteur de développer. L'augmentation de l'urbain est contribution dans
le développement de l'économie. Ceci est justifié en
Europe dans la révolution industrielle (en Europe, au 19è
siècle, la population urbaine est 12%, et 38% en 1990 et de nos jours
c'est 75%)
+ Mais l'augmentation de l'urbanisation entraine aussi
l'augmentation de la polarisation des activités. Alors,
accompagné avec le développement de l'économie, c'est
l'inégalité. Non seulement des inégalités dans les
pays mais aussi des inégalités dans les régions.
3.3. Intégrer ou pas. Des perspectives pour l'ASEAN
3.3.1. Intégrer ou pas ?
Dans le modèle de Rose and Frank, on voit une relation
négative entre le taux de croissance et le niveau d'intégration.
Plus on intègre, plus le taux de croissance diminue.
Modèle de Krugman 1991 nous montre que :
l'intégration des régions va baisser les structures de
localisation inchangés dans premier temps. Dans le deuxième
temps, à partir un seuil, on bascule dans un schéma centre/
périphérie. Dans ce cas, le bien-être des travailleurs dans
la région central va augmenter plus vite et celui des travailleurs dans
la région périphérie va baisser. Il y a un
déplacement de modèle traditionnelle « si le coût de
transport devient nul, il y a un rattrapage du bien être de la
région central par la périphérie. ». Le modèle
traditionnelle nous dit : « l'échange permet la convergence des
bien-être entre les régions ».
Mais selon une étude de Krugman et Venable en
1995-1996, « la relation en cloche entre inégalité
régionales et intégration économique », modèle
de Krugman en 1991 stoppe à la deuxième phase. Alors, il faut
qu'on intègre ou pas? Si oui, on va intégrer à quel
degré. Dans le modèle de Rose and Frank, on voit une relation
négative entre le taux de croissance et le niveau
d'intégration.

4
3
Vb
2
1
Intégration
En fait, si la crise de la supprime n'avait pas lieu, il
était difficile d'y répondre. Mais avec la situation actuelle, il
faut que les petits pays corriger le degré de l'intégration.
Parce que avec les petits pays. Ceux derniers qui gagnent le plus dans
l'intégration. Mais s'il y a la crise, c'est eux qui sont
influencé le plus. S'il y a la crise, les géants
économiques ont au moins l'épargne, le marché local et les
petits sont les plus vulnérables. Le Singapour et la Chine sont les 2
pays exportateurs. Mais dans la crise le Singapour est plus influencé
parce que la Chine a un marché local grand, potentiel. Elle peut changer
la stratégie.
3.3.2. Des perspectives pour l'ASEAN, conclusion.
Contrairement à l'UE, les membres de l'ASEAN ont peu
d'intérêt dans la transformation de l'organisation à un
organe supranational, ou dans la région dirigé par une puissance
unique régionale qui a la volonté et la capacité
d'appliquer les règles de l'interaction sur les autres Etats.
En nature, l'intégration de l'ASEAN au premier a
été superficielle, ce qui a eu de l'effet : la direction a eu
tort (ce qui est vrai pour l'existence de certains groupes de pays en
développement). De plus, ils ont perdu des confiances en soi-même
après la crise asiatique en 1997- 1998.Il existe une région
où chaque pays ne cherche qu'à maximiser ses
intérêts nationaux et où il n'y a pratiquement pas de
sentiment d'appartenance régionale comme dans l'Union Européenne.
Les économies régionales ne sont pas non plus
complémentaires, mais compétitives entre elles ce qui rend les
négociations encore plus complexes.
Jusqu'à maintenant, le processus d'intégration a
commence dans les pays de l'ASEAN, mais il ne commence pas selon les
démarches de l'Union Européenne. La plupart sont
«ouvert». En général, les accords commerciaux
régionaux (ACR -RTA) peuvent servir de complément au
système commercial multilatéral, elles peuvent aider à
établir et à renforcer. L'ouvert régionalisme tente
d'assurer la compatibilité entre l'intégration régionale
et l'intégration multilatérale.
"Open Regionalisme" est essentiellement une stratégie
unilatérale de libéralisation des échanges au sein de la
RTA à l'extension de ses bénéfices aux pays non-membres
sur la base du principe NPF. "Région-convergente bilatéralisme
peut contribuer positivement au développement de régionalisme,
alors que la région déverguent bilatéralisme
l'édification de la communauté des efforts". Aujourd'hui, il
existe ASEAN +1 (l'Inde, la Russe), l'ASEAN +3 (la Chine, le Japon, et Le
Corée du Sud). Comme indiqué ci-dessus, l'ASEAN +3 est ouverte au
commerce avec le reste du monde. La RTA entre les pays de l'ASEAN +3
contribuerait à stabiliser les liens existants entre la région
asie-pacifique, il serait probablement la pierre angulaire d'un éventuel
establishment de l'Asie de l'Est de libre-échange (EAFTA) dans le futur.
Les facteurs qui empiètent sur la résolution de problèmes
de coordination au sein de l'ASEAN inclus influences positives et
négatives de l'environnement et externe extrarégionaux
États. Du côté positif, certains états
extrarégionaux ont contribué à la résolution des
problèmes de coordination. Du problème
de l'harmonisation des normes et des écarts de
développement, membres de l'ASEAN ont reçu une aide importante de
l'extrarégional États? ASEAN, qui n'ont pas un Etat payeur,
situé à la résolution des problèmes de
répartition dans le réseau de soutien de ses partenaires de
dialogue. Du côté négatif, l'environnement extérieur
compromit le policier cohésion de l'ASEAN. En effet, la Thaïlande
et le Singapour ont commencé à jouer un rôle important dans
la conduite du processus d'intégration. Toutefois, en avançant
les accords commerciaux avec les Etats extrarégionales, ces deux Etats
ont en fait créé et développé les échanges
internes qui pourraient affaiblir cohésion.
Il y a beaucoup de problèmes et les obstacles
concernant l'ASEAN Régionalisme. Du point de vue sectoriel,
l'agriculture est un problème central dans la majorité des
initiatives régionales. Pour nombreux pays en développement Pays
d'Asie du Sud-est, l'agriculture représente encore une source major de
l'emploi. Il peut être utile de rationaliser et de partenariat
bilatéral consolidé en intégration de systèmes plus
larges. Selon de Kikuchi (2006, p.52), la région a également
besoin de "normes convenues et à promouvoir les principes beaucoup plus
profonde collaboration pour répondre à divers défis."
L'Asie du Sud est auront à institutionnaliser le cadre d'une certaine
manière, et de résoudre le problème de leadership ainsi
que de nombreux autres problèmes dans les stratégies
régionales. Mais ASEAN Pays est beaucoup plus ouverts que ce fut le cas
pour la CEE. En tant que tel, les frais de tournée vers les politiques
sont beaucoup plus élevés. AEC n'a pas le choix mais d'être
ouvert, à la différence de la CEE. Alors, quel l'ASEAN une
leçon à partir de l'exemple de l'UE?
AEC doit adopter une approche orientée vers
l'extérieur à l'intégration.
+ Policiers ne marche pas même dans le case de EEC,
même s'il pourrait être débattue.
+ Il serait désastreux pour l'ASEAN, qui est plus ouvert
et plus avec les métiers non-partenaires. + L'ASEAN est relativement
pauvre et ne peut pas se permettre de toute façon.
L'une expérience témoigne de l'importance du
commerce et l'investissement
+ L'intégration n'a pas vraiment décollé
à la mer, avec l'IDE / capital-flow intégration aspects.
+ La transformation structurelle de l'ASEAN est en grande
partie par les investissements étrangers directs (surtout sous sa forme
la plus importante secteur, électronique) et cela met une prime plus
élevée sur la reconnaissance de la nécessité de
tels liens.
SEA n'a pas été nécessaire de créer
un véritable marché intégré
+ Avant SEA, la segmentation du marché de l'EC a
été encore plus loin.
+ Non-frontière, de facilitation et de "meilleures
pratiques" aspects de la SEA a donné plus de gains
La coopération financière et monétaire et
l'intégration doivent être menées en parallèle avec
une véritable intégration
+ L'intégration financière séparée
avant d'EES? Très peu de progrès en termes d'intégration
des marchés
+ L'AEC n'est pas à l'heure actuelle, les mêmes
motivations monétaires pour que l'UE, alors que l'économie est
tout aussi bonne, la politique ne sont pas là, même si elles sont
de mieux en mieux dans le sillage de la crise.
+ Cependant, l'ASEAN a peut-être un plus grand aven
d'incitation en vue de l'intégration des marchés de capitaux, en
raison de problèmes au niveau national et les problèmes
associés à un système fiscal. Développer les
institutions est importantes :
+ Les institutions économiques ont été le
plus important au sein de l'UE, la politique commerciale n'est que politique
intégrée.
+ Même si elle prend une démarche de minimums,
l'ASEAN a un long chemin à parcourir dans la création de
l'institution pour appuyer l'AEC.
L'ASEAN a commencé à former ses programmes
d'intégration régionale relativement tard (dans la
deuxième moitié des années 1990). Toutefois, le rythme
actuel de développement régional semble être très
rapide à de nombreux facteurs internes et externes. Depuis la fin des
années 1990, il a souvent été discuté si l'Union
européenne de l'intégration régionale en Asie est
possible. En cet égard, l'ASEAN n'est pas encore suffisamment mûr
pour adopter le modèle européen de la plupart et très
profonde intégration institutionnalisée. La tendance
variée d'ouverture de cette communauté favorise son
intégration économique.
Bibliographies
Ouvrages imprimés.
1. Alain NONJON et Pierre DALL ENNE, `La mondialisation
: genèse, acteurs et enjeux'.
2. Jean-Luc Domenach, L' asie en danger.
3. L'état du monde 2006 (la découverte)
4. Défis au sud (rapport de la
commission Sud)
5. Aain Nonjon, La mondialisation.
6. Alexander Downer- Le minister des affaires de
l'Autralie «The 30th Anniversary of the ASEAN- Australia dialogue
partnership », publié:
http://www.dcita.gov.au/cca
par « the Australian Agency for International, Development »
(AusAID), Canberra, April 2004.
Les discours et les journaux:
1. Ministry of commerce of Cambodia (speech by Minister of
commerce and Chief Negotiator for Cambodia's Accession to the WTO at the fifth
WTO Ministerial conference)
2. Rapport de groupe interparlementaire d'amitié
n°75, (2006-2007), « Le Cambodge à l'entrée du
21e siècle ».
3. Les journaux de NGUYEN HUU DUNG le docteur - pro de
l'université Wright Stat, e Dayton, OH 45431, USA
4. « Doc Stiglitz - Lire des ouvrage de
Stiglitz« (publié dans le journal "Dien dan", mois 7/2002,
numéro 120)
5. « Expérience de développement: la
lecture de Rodrik et Chang » (Saigon Economic Times New Year's
Day 2009)
6. « La modernisation, la mondialisation et la
fuite de la matière grise » (le magasin vn2k, 1/2002)
7. Les journaux de Ha Goon CHANG - Professeur à la
faculté d'économie et de politique de l'université de
Cambridge (Royaume-Uni)
8. « Du protectionnisme au libre-échangisme,
une conversion opportuniste ». Dans le website :
http://www.monde-diplomatique.fr/2003/06/CHANG/10189
.
9. «Kiching away the ladder »
Development Strategy in Historical Perspective, publié par Anthem Press
le 10/6/2002.
10. « Ministère de la Planification et de
la politique d'investissement des investissements étrangers
» dans le processus d'intégration économique internationale.
Rapport à la conférence international: «Le Vietnam est
prêt à adhérer à l'OMC", en 6 / 2003.
11. T?ng Vãn Chung (prof de l'université de la
société), Discussion dans "Quelques réflexions sur
l'impact de l'OMC sur l'agriculture pour le Vietnam d'aujourd'hui",
L'adaptation de l'économie thaïlandaise au marché
mondial.
12. le rapport annuel des gouvernement en 2007
http://www.tcvn.gov.vn/web_pub_pri/magazine/index.php?p=show_page&cid=&parent=177&sid=185&ii
d=4506
13. « La colonne de l'ASEAN sur le
développement historique », le rapport du journal
« tap chi cong san »,
www.tapchicongsan.org.vn,
le 3/8/2007)
14. « L'Asie au coeur du libre-échange
» le 14/12/2004,
www.libres.org
15. Ms. Maria Theresa L.TAGUIANG, Deputy Director General,
Office of Asia Affaire, DFA « Borderless Asian community
2015», 18/3/2009 Pan Pacific Hotel, Malate, Manila.
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Mansor, SHazali, Université de Malaysiz Sarawak, «FDI-trade
nexus: empirical analysis on ASEAN-5», journal «Munich
personal RePEc Archive, paper no 5220, publié 7/11/2007/ 04:32
25. Sandra Poncet «Economic intergration of Yunnan
with the Greater Mekong Subregion», dans le journal «Asian
Economic Journal «2006, vol 20, no 3, 303 - 317.
26. Anita Labériotte - Docteur du centre
économique et de développement - Université Montesquieu-
Bordeaux IV, « La viabilité de l'association des Nations
d'Asie du Sud- Est au regard de l'analyse des échanges intra-zone»,
dans le document de travail no 68.
27. Hafiz Mirza et Axèle Giroud «
Regional integration and benefits from Foreign Direct Investment in ASEAN
economies: The case of Vietnam », dans le journal «
Asian development review », vol 21, no 1, page 66 - 98.
28. Edgard Moncayo Jiménez, Universidad Nacional de
Colombia, «Glocalization: New theoretical approaches to regional
(subnational): development in the context of economic intergration and
globalization», dans le journal ` Integration and
trade», no1 6, January- June, 2002, page 199 - 231.
29. Malcolm Cook, « The regional economy:
looking forward by looking back», project MUSE.
30. Zhicheng Liang «Trade liberalization, Economic
restructuring and urban poverty: the case of China» , dans le
journal « Asian Economic journal « 2007, vol 21, no
3, 239 - 259.
Cours d'étude
1. « Le commerce international 1 et 2
» - M. Nicolas PERIDY.
2. « L'économie de spatiale» -
M. Van HUFFEL.
3. «L'économie de
développement» - M. Van HUFFEL
4. « L'économie de l'environment » -
Mme.Sylvie THORON
Sites web consultés
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ministre de l'agriculture et de développement du rural du Vietnam
2.
www.cambodia.com,
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3.
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4.
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la page des pays de river Mékong.
5.
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Commerce et d'Industrie du Vietnam.
6.
http://portal.mpi.gov.vn,
La page du triangle de développement
7.
http://www.iseas.org.vn/module/news/ViewContent.asp?langid=2&ID=22;Vietnamese
academy of social science
8.
www.sedb.com, le journal du
gouvernement de singapoure
9.
www.rfi.fr, le journal
radiofrance
10.
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11.
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« Viet trade promotion agency
12.
www.tin247.com
13.
http://irv.moi.gov.vn.
14. le journal `the economist' publié le 5/3/2009
15.
http://www.vietnam-wto.vn/component/content/article/62-tin-tc/156-hoi-nghi-danh-gia-tac-dong-hoi-nhaphai-nam-viet-nam-gia-nhap-wto.html
16.
http://www.vietnam-wto.vn/component/content/article/62-tin-tc/156-hoi-nghi-danh-gia-tac-dong-hoi-nhaphai-nam-viet-nam-gia-nhap-wto.html
17.
http://www.baobacgiang.com.vn/288/30475.bgo
18.
http://www.mofa.gov.vn/vi/nr040807104143/nr040807105039/ns080403101000
19.
http://www.tienphong.vn/Tianyon/Index.aspx?ArticleID=142025&ChannelID=21
20.
http://www.chungta.com/Desktop.aspx/ChungTa-SuyNgam/LuatPhap/Loi_ich_quoc_gia_va_hoi_nhap_quoc_te/
21.
http://www.vietrade.gov.vn
22.
http://www.doisongphapluat.com.vn
23.
http://www.vn.sinoviet.com/vietnamtoday/default.asp
24.
http://www.abc.net.au/ra/bayvut/baivo/s2212339.htm
25.
http://www.classbrain.com
26.
http://www.mofa.gov.vn/vi le
ministre des affaires étrangères du Vietnam
27.
http://www.vnchannel.net/news/quoc-te/200805/nhat-thuc-day-cong-dong-kinh-te-asean.79581.html
28.
http://www.qdnd.vn
29.
http://www.viettidemagazine.net
30.
http://www.nationsencyclopedia.com/,
l' encyclopedia of the nations.
31.
http://www.vnexpress.net/GL/Kinh-doanh/Quoc-te/2009/01/3BA0AA84/
32. www://
fta.gov.sg
33.
www.pays-monde.fr
34.
http://www.eastwestcenter.org/news-center/east-west-wire/how-and-why-the-us-should-help-build-anasean-economic-community/
35.
www.bilateral.org
36.
http://canadianasianstudies.concordia.ca/pegase/echanges/commerce.htm
(commerce international)
37.
http://french1.peopledaily.com.cn/french/200210/29/fra20021029_57879.html
(augmentation des échanges commerciaux entre la chine et l'ASEAN)
38.
http://www.libres.org/francais/conjoncture/archives/conjoncture_1204/asie_c5104.htm
( Asie au coeur de
libre échange)
39. http://www.aseanexport.com/
40.
http://www.vtc.vn/quocte/tintuc/trung-quoc---asean-hop-tac-thay-vi-canh-tranh/8332/index.htm
41.
http://www.nciec.gov.vn/index.nciec?1203
42.
http://www.europarl.europa.eu
(
http://www.europarl.europa.eu/factsheets/6_3_1
3_fr.htm)
43.
http://www.bilaterals.org/rubrique-print.php3?id_rubrique=151
44.
http://www.asean.or.jp/eng
(Asean-Japon centre)
45.
www.asean-us-partnership.org
46.
www.ft.com (financial time)
Annexes
Tableau 1 : Les composants de l'AEC.

Stratégie
AEC
Marché unique et la production de bas
|
Région de la
compétitivité
économique
|
Développement économique équitable
|
Intégration avec
l'économie
mondiale
|

L'intégration des secteurs prioritaires
Le flux libre des biens
Le flux libre des services
Le flux libre des
investisseme
Le flux libre des
travailleurs qualifiés
Le flux libre des capitaux
Alimentation, agriculture et sylviculture
Droit de
propriété
La politique de compétitivité
Développement des
infrastructures
La taxe
e-commerce
Protection de client
Initiative pour l'intégration
de l'ANASE
Développent de SME
Le renforcement de la participation
dans l'offre
Cohérent approche vers la relation économique
(Source: borderless Asean community 2015, Ms. Maria Theresa
L.TAGUIANG, Deputy Director General, Office of Asia Affaire, DFA, 18/3/2009 Pan
Pacific Hotel, Malate, Manila)
Tableau 2: Effets de détournement de commerce en
Indonésie.


Tableau 3: Les indicateurs du modèle simple pour analyser
la proximité commerciale :
(source : « la viabilité de l'ASEAN au regard de
l'analyse des échanges intra-zone », Anita Labériotte-
DoctorantCentre d'économie du developpement-Université
Montesquieu-Bordeau IV)
|
|
T de Student
|
Constante
|
-26,719
|
-20,742*
|
LnDIST ij
|
-0,886
|
-7,325*
|
Ln(Y i /Popi)
|
1,197
|
15,082*
|
Ln(Yj/Pop j )
|
1,032
|
12,269*
|
LnPIBj
|
0,796
|
21,686*
|
LnPIB i
|
0,915
|
20,769*
|
Note : * significatif ) 1%
R
|
R-deux
|
R-deux ajusté
|
Erreur standard de l'estimation
|
0,885
|
0,784
|
0,780
|
1,224
|
Tableau 4: Les indicateurs du modèle enrichi pour analyser
la proximité commerciale :
(source : « la viabilité de l'ASEAN au regard de
l'analyse des échanges intra-zone », Anita Labériotte-
DoctorantCentre d'économie du dveloppement-Université
Montesquieu-Bordeau IV)
|
|
T de Student
|
Constante
|
-26,012
|
-17,444*
|
LnDIST ij
|
- 1,068
|
-6,057*
|
Ln(Yi/Popi)
|
1,204
|
15,042*
|
Ln (Yj / Pop j )
|
0,992
|
10,644*
|
LnPIBj
|
0,825
|
21,878*
|
LnPIB i
|
0,964
|
19,907*
|
Coloncom
|
0,187
|
0,765
|
Frontcom
|
-0,807
|
-2,174*
|
Langue
|
-0,724
|
-2,174*
|
ASEAN
|
0,362
|
1,931**
|
Note : * :singnificatif à 1%, ** singnificatif à
10%
R
|
R-deux
|
R-deux ajusté
|
Erreur standard de l'estimation
|
0,896
|
0,803
|
0,797
|
1,176
|
Tableau 5: Le commerce de l'ASEAN en 2007-2008.
(source :www.aseacsec.org)
ASEAN Statistiques
ASEAN Trade, 2007-2008
as of 29 May 2009
value in US$ million; change in percent
Country
|
2007
|
20081/
|
Year-on-year change
|
Exports
|
Imports
|
Total trade
|
Exports
|
Imports
|
Total trade
|
Exports
|
Imports
|
Total trade
|
Brunei Darussalam
|
7,653.2
|
2,096.7
|
9,749.9
|
8,158.6
|
2,797.6
|
10,956.2
|
6.6
|
33.4
|
12.4
|
Cambodia
|
3,905.5
|
3,675.1
|
7,580.6
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
Indonesia
|
114,100.9
|
74,473.4
|
188,574.3
|
137,020.4
|
129,197.3
|
266,217.7
|
20.1
|
73.5
|
41.2
|
Lao PDR
|
381.9
|
711.1
|
1,093.0
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
Malaysia
|
176,205.6
|
146,910.3
|
323,115.9
|
194,495.9
|
144,298.8
|
338,794.7
|
10.4
|
(1.8)
|
4.9
|
Myanmar
|
5,933.4
|
2,789.1
|
8,722.5
|
6,620.6
|
3,794.9
|
10,415.4
|
11.6
|
36.1
|
19.4
|
The Philippines
|
50,465.7
|
55,513.7
|
105,979.4
|
49,025.4
|
56,645.6
|
105,671.0
|
(2.9)
|
2.0
|
(0.3)
|
Singapore
|
299,297.4
|
263,154.9
|
562,452.3
|
241,404.7
|
230,760.3
|
472,165.0
|
(19.3)
|
(12.3)
|
(16.1)
|
Thailand
|
153,571.1
|
139,965.7
|
293,536.8
|
174,966.7
|
177,567.5
|
352,534.2
|
13.9
|
26.9
|
20.1
|
Viet Nam
|
48,288.9
|
61,693.6
|
109,982.5
|
61,777.8
|
79,579.2
|
141,357.0
|
27.9
|
29.0
|
28.5
|
ASEAN
|
859,803.6
|
750,983.6
|
1,610,787.2
|
873,470.1
|
824,641.1
|
1,698,111.2
|
1.6
|
9.8
|
5.4
|
Source:ASEAN Merchandise Trade Statistics Database
(compiled/computed from data submission, publications and/or websites of ASEAN
Member States' national ASEAN Free Trade Area (AFTA) units, national statistics
offices, customs departments/agencies, or central
banks)
|
Symbols used Notes
- not available as of publication time All figures are
preliminary.
n.a. not applicable/not available/not compiled Details may not
add up to totals due to rounding off errors.
Data in italics are the latest
updated/revised figures Data for Brunei Darussalam covers the
period January-November 2009 only.
from previous posting..
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|