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Quant s'envolent les grues couronnées et refrains sous le Sahel ou l'expression de la modernité poétique chez F. Pacéré Titinga

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par N'golo Aboudou SORO
Unversité de Bouaké - Maà®trise 2003
  

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II - Appel à la solidarité et à la reconstruction nationale

Au milieu des ruines de l'Afrique antique, se dresse une "termitière". Elle est perceptible à chaque page de l'oeuvre de PACERE. Cette parole révélée des ancêtres est mise à la disposition de notre génération. C'est une énergie vitale, une puissance des dieux. Le poète conscient de l'effet que peut produire cette réserve inépuisable de force, au sens métaphysique et mystique du terme, a dressé à l'entrée de Manéga, son village natal, une gigantesque termitière. Il en a fait de même dans ses poèmes.

Mais dans ses textes poétiques, il ne s'agit pas d'une seule, mais de plusieurs "termitières" qui indubitablement, rivalisent avec celle à l'entrée de Manéga où il est gravé cette devise du poète: "si la termitière vit, qu'elle ajoute la terre à la terre".

Fort de cette parole souterraine venant des ancêtres qui ont rejoint la "belle vallée", le poète veut galvaniser la jeunesse africaine. PACERE lui propose surtout cette puissance pour qu'elle puisse s'en servir pour reconstruire l'Afrique.. La solidarité, l'union, l'entente parfaite qui constituent les sens de ce symbole sont indispensables aux forces vives des nations modernes africaines pour relever le défi du sous-développement et de la pauvreté, mais surtout pour s'affranchir de l'hégémonie occidentale.

Que ce soit dans Quand s'envolent les grues couronnées ou dans Refrains sous le Sahel, l'Afrique est présentée comme désabusée, trahie, exploitée. Pour sortir le continent de sa situation difficile qu'est le sous-développement, les africains ont besoin de ressources financières, mais aussi morales et intellectuelles. Car le problème actuel de l'Afrique n'est pas seulement d'ordre économique. Il est aussi éthique . Et le poète qui en est conscient, joue ici sa partition d'éclaireur et de mobilisateur des peuples. Il a pris à la tradition ce symbole: "la termitière" et l'a mis à la disposition des africains qui ne s'en souvenaient certainement plus, tellement étourdis par les contingences de l'histoire et de la vie moderne.

PACERE a ressuscité la parole souterraine des dieux pour servir de levain à l'élan de reconstruction nationale commencée depuis les indépendances. Nous savons, avec ZADI Zaourou, que ce symbole incarnait le mouvement lent mais continu du groupe social vers le progrès, vers les cimes, en d'autres termes vers le développement, le bonheur. Le symbole de la "termitière" que le poète utilise à volonté dans le corpus témoigne de sa mission d'inculquer aux générations présente et future, "cette puissance des légats de Dieu"1(*)88que constitue ce symbole. Nous l'avons dit, au troisième degré, "la termitière" symbolise "l'unité des contraires ". En effet, c'est elle qui "unit le ventre de la terre et le monde fini des vivants"1(*)89, ou le souterrain et la surface de la terre. Fort donc de cette unité retrouvée, de leur solidarité, les peuples africains pourrons affronter et vaincre leurs ennemis communs que sont: l'Occident, le sous-développement, la pauvreté ... Aussi pourrons-ils bâtir une société moderne qui prendra en compte leurs aspirations communes et légitimes.

Outre l'appel à ses frères, le poète donne l'occasion aux autres peuples qui liront ses poèmes de se saisir de cette puissance des ancêtres et de s'en servir à souhait. Ainsi contribue-t-il à la résolution d'un problème crucial qui s'est posé à l'Afrique: Sa contribution à la construction du village planétaire.

Désormais, les africains, peuvent se vanter avec ce symbole ressuscité par PACERE et qui fait partie de leur patrimoine culturel. Zadi Zaourou l'a enrichi dans son oeuvre La guerre de femmes suivi de La Termitière1(*)90 . En effet, il nous instruit qu'elle est chez les Bété (peuple du centre-ouest de la Côte d'Ivoire), le nombril de la terre et chez les Dogons du Mali, le clitoris de la terre-mère-épouse de Amma-Dieu. Aussi affirme-t-il qu'elle héberge la reine des termites qui est le symbole du pouvoir politique, de l'équilibre et de l'harmonie.

En plus de ce symbole (la termitière) qui permet de galvaniser les forces vives des nations modernes, le poète burkinabé évoque cette époque où l'on se sacrifiait pour recevoir son hôte. Les versets qui suivent, illustrent l'hospitalité qui caractérisait l'africain:

"Son parent

Fut le bubale!

A l'époque.

Où les hommes étaient encore

Des hommes

Il s'immolait

En recevant chaque ami!" P13 de Quand s'envolent les grues couronnées.

Ainsi que nous l'avons montré antérieurement, le poète remonte, dans cette séquence, aux temps immémoriaux pour mettre en exergue l'hospitalité qui pouvait aller jusqu'au sacrifice de soi et qui faisait la particularité des africains.

Au-delà de cette hospitalité que les africains ont perdue, le poète fait allusion aux valeurs traditionnelles, voire à la civilisation de l'Afrique ancienne, qui s'est effritée au contact de celle de l'Occident. En effet ce qui faisait autrefois la force des africains, n'est plus. C'était le sens de l'honneur et de la fraternité qui poussaient au sacrifice de soi pour celui qu'on recevait. Même si ces valeurs, ne constituent pas en elles-mêmes la civilisation africaine, elles en sont des éléments essentiels.

Ce sont ces valeurs cardinales que la jeunesse africaine a perdue en plus des us et coutumes que la colonisation a détruits. La conséquence de ces pertes est grave et compromet dangereusement le présent et l'avenir de l'Afrique. Dans Quand s'envolent les grues couronnées, le poète de Manéga évoque la haine qui a pris la place de l'amour fraternel entre les africains. Cet amour qui rivalisait avec celui du Christ pour l'humanité, l'Afrique l'a perdu. A sa place nous retrouvons les guerres fratricides, les ethnocides, ou les génocides. Et PACERE s'indigne face au constat amer de cette perte énorme. Nous pouvons lire sa grande déception dans ces versets extraits de son poème fleuve:

"Adieu! / Adieu! / Adieu! / Tous les frères nègres ethnocidés, / Qui prirent Tibo pour un moaga, / ..."

Ainsi que nous le constatons, le poète a personnellement fait les frais de la détérioration de cette valeur cardinale qui est l'amour fraternel chez l'africain moderne. C'est fort de cette expérience douloureuse que le poète lance un appel à la fraternité, à l'union et à la solidarité.

Conscient de ce que la répétition est une vertu pédagogique le poète ne se lasse pas de multiplier les symboles et de lancer des appels afin de se faire entendre par les initiés qui se chargeront de répercuter son message aux masses laborieuses qui n'ont ni le temps ni la capacité de comprendre les phrases du bendré venant de la cour royale de Manéga depuis le Nord du Burkina Faso.

ZADI Zaourou dans Césarienne, a explicitement demandé à Dowré d'accomplir cette mission de diffusion de son message. Le prince de Manéga (PACERE), n'a pas daigné le faire. Certainement que cela est dû à sa culture à lui. Dans tous les cas nous avons tenté de joué ce rôle d'agent rythmique des tambours de Manéga tout au long de ce présent travail.

Nous irons dire partout que PACERE demande à la jeunesse africaine de s'armer de solidarité, de fraternité et d'entente, chères aux anciens et aux dieux, afin de sortir le continent de sa léthargie.

Maintenant que nous croyons avoir dégagé la signification profonde qui sous-entend le corpus, nous allons conclure.

A l'issue de la réflexion sur Quand s'envolent les grues couronnées et Refrains sous le Sahel, il ressort que PACERE est un poète moderne à tous les niveaux. Par modernité, nous entendons bien, rupture dans le temps entre le passé et le présent. Et cette rupture est bien perceptible dans la poésie du prince de Manéga tant au niveau de la forme qu'au niveau de la thématique. Nous avons eu à faire cette dichotomie pour bien saisir le caractère moderne du corpus et toute sa quintessence.

En effet, le poète a emprunté sa voix au bendré des mossé, peuple du Burkina Faso dont il est issu. Cependant, la rupture de la poésie pacéréenne avec la poésie tambourinée des cours royales mossé est d'autant plus tangible que les versets dans ses oeuvres écrites ne peuvent se lire que d'une voix unique.

Au demeurant, nous savons que la poésie tambourinée des mossé est le fait de plusieurs tambours dont les phrases se succèdent sans se compléter. Cette poésie médiatisée ou tambourinée des mossé crée donc une polyrythmie, ainsi que cela s'observe dans toutes les poésies orales ou médiatisées de l'Afrique traditionnelle. En d'autres termes la poésie que diffusent les tambours sacrés de Manéga et partant de l'Afrique traditionnelle, est une poésie rythmée, à plusieurs temps. C'est, comme le dit PACERE dans son ouvrage de Bendrologie, Le langage des tam-tams et des masques en Afrique, à la page 25, une poésie rythmée et à rythme.

En effet, le rythme est créé non seulement par les répétitions, les refrains, les interventions des différents tambours mais aussi par d'autres instruments qui souvent les accompagnent. Ces instruments qui accompagnent parfois les tambours sont entre autres, les castagnettes, la flûte, etc...

C'est donc cette poésie au rythme pluriel que tente de retrouver PACERE dans ces oeuvres poétiques. Cependant malgré "l'impression de réalité" que produit le rythme dans la poésie écrite du poète Burkinabé, elle reste et demeure une tentative et ne peut se confondre avec la poésie du Bendré mossé qui d'après le poète lui-même "a disparu dès l'époque coloniale".

En plus de sa rupture avec la poésie des tambours sacrés de Manega ou de la poésie de l'Afrique traditionnelle, la poésie de PACERE, nous l'avons vu, ne coïncide pas avec celle de ses devanciers. Que ce soit avec la poésie occidentale ou avec celle des poètes négro-africains de la première génération que sont les négritudiens, la poésie de PACERE est une rupture parfois totale.

En effet, à la poésie Occidentale il n'a pris que quelques règles de prosodies pour traduire sa négritude à lui (ici "négritude" a le sens de la spécificité nègre du poète). Avec les négritudiens, c'est-à-dire les poètes de la première génération de la poésie moderne d'Afrique francophone, la rupture se situe surtout au niveau du fond. Pour ce qui est de l'écriture ou la forme, quelques divergences seulement sont à signaler.

En effet, alors que Senghor, Damas, Césaire, revendiquaient à coup d'Alexandrins, de vers libres et de versets, la liberté des Noirs à disposer d'eux-même et la reconnaissance d'une civilisation nègre, le poète de Manéga (PACERE) a fait une "plongée" dans sa culture, pour mettre à la disposition de la jeunesse africaine et de celles des autres continents, des valeurs et des symboles propre à l'Afrique.

Loin de s'enfermer dans sa culture, la culture mossé, le poète généralise certains éléments positifs de cette culture. Entre autre nous pouvons citer la "termitière", le "stabilisme", "le rakiré". Pour ce qui est du stabilisme, c'est une philosophie qui vise la recherche du bonheur pour le moaga (singulier de mossé). Il s'agit en fait d'un équilibre dans tous les domaines de l'existence chez les mossé.

Quant au rakiré ou la littérature satirique par la plaisanterie, c'est une pratique sûre qui participe de la réalisation de cet équilibre dans le Mogho ou le royaume mossé. Ce sont ces valeurs, cette philosophie que diffuse PACERE dans ses textes poétiques. Ainsi avec PACÉRÉ, nous assistons à l'approfondissement du particulier et à sa généralisation.

Comme nous le voyons, notre poète est véritablement enraciné dans sa culture et il y a puisé et diffusé ce qui peut contribuer à l'affranchissement et au développement de l'Afrique moderne, surtout au plan culturel mais aussi aux plans politique et économique. Loin de s'opposer à l'action des négritudiens qui l'ont devancé, il fortifie leur action et démontre l'existence d'une culture Nègre. En outre, il revendique pour cette culture dont l'existence est désormais établie, sa place dans le concert des civilisations.

Aussi des poètes de sa génération ont-ils fait comme PACERE. Citons ZADI Zaourou qui a fait du "Didiga" une esthétique poétique et théâtrale, qui rivalise avec les courants littéraires venus de l'Occident.

En effet, ZADI Zaourou a puisé dans sa culture d'origine (la culture Bété), le concept du Didiga qu'il a ensuite enrichi des connaissances acquises a l'école Occidentale et ailleurs.

En agissant ainsi, ZADI Zaourou, Titinga PACERE et les poètes de leur génération, font plus que revendiquer une culture. Ils en proposent une à l'humanité, comme s'ils voulaient prendre le contre-pied des poètes anglophones qui disaient avec WOLÉ Soyinka que le tigre ne proclame pas sa tigritude, le tigre saute sur sa proie et la dévore. Cette attaque à l'endroit des poètes négritudiens a certainement réveillé les génies tels que PACERE, NIANGORAN Boua, ZADI Zaourou, NIANGORAN Porquet, qui ont vite fait de proclamer respectivement, la "Bendrologie", la "Drumologie", le "Didiga", la "Griotique".

En effet, la "Griotique", c'est l'étude du langage des griots africains, tel que Balla Fasséké, dans Soundjata ou l'epopée manding, de Djibril Tamsir Niane. Quand à la "Drumologie" de NIANGORAN Boua, elle s'intéresse au langage de "l'attouglan" et des tambours en général. Ce concept retrouve donc la "Bendrologie" chère à PACERE Titinga.

La "Bendrologie": voilà le nom que PACERE a donné à une de ses oeuvres. Mais il s'agit en fait de toute sa poésie, à l'exception de quelques poèmes comme "héros d'ébène" qui sont fortement liés à la poésie occidentale. La poésie "pacéréenne" est d'une modernité déconcertante.

En effet, elle retrouve la parole médiatisée mossé sans toutefois se confondre avec elle. En outre, nous l'avons déjà dit, les textes poétiques de PACERE diffusent des valeurs, une philosophie et des symboles hérités de la culture mossé et enrichies des connaissances acquises par le poète à l'école occidentale et ailleurs.

Ainsi au plan formel, l'équilibre entre le signifiant et le signifié apparaît dans la poésie de PACERE, à l'identique de celui qui règne dans la poésie traditionnelle. Aussi l'axe initiatique tel que défini par ZADI Zaourou, apparaît-elle dans toute sa splendeur dans la poésie de notre auteur et finit par nous convaincre que le prince de Manéga est un néo-oraliste.

Autres indices qui participent du caractère moderne de la poésie du prince de Manéga, ce sont les espaces et les temps évoqués par le poète. En effet, l'allusion est beaucoup faite à l'Afrique moderne et à la France. Pour un africain francophone, c'est la France qui a sonné le glas des "temps anciens" et des traditions ancestrales.

En conséquence l'évocation du pays des Gaulois est un signe patent de la modernité des textes poétiques du poète Burkinabé. Autrement dit, pour une poésie que l'on dit être culturelle, voire cultuelle, pour emprunter le mot à AMOA Urbain, la poétisation de référents relatifs à la France ou à l'Occident en général trahit indubitablement cette ambition et finit de nous convaincre que

Titinga PACERE est un poète en phase avec son époque, d'où sa modernité. Aussi l'école est-elle évoquée avec tous les souvenirs dignes de l'enfance pendant la colonisation.

En effet, PACERÉ est né vers 1943 et par ailleurs, il affirme lui-même à la page 15 de son ouvrage Ainsi on a assassiné tous les mossé: "j'ai vécu le passé et le présent, la brousse comme il est convenu d'appeler ces campagnes dites des débuts du monde et l'école". Nous comprenons donc qu'il ait été marqué par "la vieille case" et "la fête du 14 juillet" qui marquait le début des vacances scolaires.

Au-delà de cette modernité, le poète diffuse un message. En effet, ses oeuvres sont porteuses d'une signification plus mystique que celle qu'on leur prête à première lecture. L'analyse anagogique du corpus nous a permis de saisir l'idéologie du poète: galvaniser les forces vives pour la reconstruction des nations modernes africaines et donner à la jeunesse un motif de fierté. Cette mission, le poète l'a d'ailleurs exprimée dans son ouvrage de Bendrologie, en ces termes: "... la littérature a pour mission ... d'être au service des élaborations et constructions nationales."

Ne se bornant pas à la simple expression de la mission qu'il assigne à sa littérature, Titinga PACERE se veut pragmatique, ainsi que nous le constatons à travers ces lignes qui suivent: "il existe des formules pour inciter au travail; c'est dans ce cadre qu'utilisant la littérature orale et ses principes et sans l'aide extérieure, j'ai édifié avec la population de Manéga un dispensaire, une PMI (Prévention Maternelle et Infantile). Ainsi que nous le voyons, désormais la jeunesse africaine est armée de la "Bendrologie" pour relever le défi du sous développement et de la pauvreté.

En somme, il est à retenir que Quand s'envolent les grues couronnées et Refrains sous le Sahel sont deux expressions poétiques modernes. Leur analyse nous a permis non seulement de le montrer, mais aussi de les situer par rapport aux poésies Occidentales, Africaines traditionnelles et modernes.

En faisant usage des outils mis à notre disposition par nos maîtres, nous avons tenté par ce travail d'ajouter à cette "termitière" gigantesque qui se dresse dans les pages poétiques de PACERE, quelques mottes de "terre". A la tâche, il nous semblait entendre ces devises ou "zabyouya" proférées par les tambours sacrés de Manéga:

"Si la branche veut fleurir

qu'elle n'oublie pas ses racines".

"Si la termitière vit

Qu'elle ajoute de la terre à la terre".

Ce sont celles du prince de Manéga, Titinga PACERE, notre poète. La première se trouve inscrite sur la termitière monumentale qu'il a érigée à l'entrée de Manéga. Elle incite au travail qui libère l'homme et l'honore. Quant à la deuxième, elle est un appel à l'enracinement dans sa culture, dans la culture africaine.

Corpus

1- PACERE (T.F), Quand s'envolent les grues couronnées, Ed. J.P. OSWALD, Paris, 1976, 78p.

2- PACERE (T.F), Refrains sous le Sahel, Ed. J.P. OSWALD, Paris, 1976, 102p.

Ouvrages Généraux

1- ALAIN Richard, L'Afrique noire (des langues aux livres) CNRS Ed.et Karthala, 1995, 304 p.

2- ANDOIN (Philipe), Les surréalistes, Paris, Seuil, 1995.

3- BEAUMARCHAIS (J.P)., COUTY (Daniel) et REY (Alain), Dictionnaires des Littératures de la langue française.

4- CÉSAIRE (Aimé), Discours sur le colonialisme, Paris, Présence Africaine, 1955.

5- CHEVRIER (Jacques), Anthologie africaine: Poésie, Volume 2 Paris, Hatier, 1988, "Collection monde noir" Poche, 176 p.

6- CHEVRIER (J.), Littérature nègre, Armand Colin - NEA, Paris, 1984, 272 p.

7- COCULA (Bernard), PEYROUTET (Claude), Didactique de l'expression: de la théorie à la pratique, Paris, Delagrave, 1978, 318 p.

8- DARCOS (Xavier), ROBERT (J. P.), TARTAYRE (Bernard), Moyen âge et XVIè Siècle en Littérature, Paris Hachette, 1987, "Collection Perspective et Confrontation".

9- DARCOS (Xavier), TARTAYRE (B), XVIIè Siècle en littérature, Paris, Hachette, 1987 "Collection, Perspective et Confrontation", 400 p.

10- DARCOS (Xavier), AGARD (Brigitte), BOIREAU (M.F.), XIXè Siècle en littérature, Paris, Hachette, 1986. Collection Perspective et Confrontation.

11- ENO (Belinga S.M.), Comprendre la littérature orale africaine, Ed. Saint-Paul, Paris, 1978.

12- Histoire Générale des Littératures, "XVIIè et XVIIIè Siècles, Romantisme."

13- . KESTELOOT (Lilyan), Anthologie Négro-africaine, la littérature de 1918 à 1981, alleur, Belgique, Marabout, 1987.

14- LANSON (G), Histoire de la Littérature française, Paris, Hachette, 1992 (Remaniée et complétée pour la période de 1850 à1950 par Paul TUFFUDU) .

15- La tradition orale source de la littérature contemporaine en Afrique, Dakar, NEA, 1984 (Colloque à l'Institut Culturel Africain), 202 p.

16- MAKOUTA - MBOUKOU (J.P), Les grands Traits de la poésie négro-africaine (Histoire poétiques, signification) Abidjan, NEA, 1985, 347 p.

17- N'GAL (Georges), Création et rupture en littérature africaine, Paris, L'Harmattan, 1984.

18- NONY (Danièle), Alain-André, Littérature Française, Histoire et Anthologie, Paris, Hâtier, 1987, 464 p.

19- PACERE (T.F.), Ainsi on a assassiné tous les mossé, Ed. Maaman, 1979, ...p.

20- PACERE (T.F.), Le langage des tam-tams et des masques en Afrique (Bendrologie), Paris, l'Harmattan, 1991.

21- PIUS (N'gandu Nkashama), Littérature africaine, de 1930 à nos jours, Paris, Editions Silex, 1984.

22- RICHARD (Alain), Littérature d'Afrique noire, des langues aux

Livres, CNRS Editions et kathala, 1995, 304 p.

23- YÉPRI (Léon), Pour Comprendre l'oeuvre de Titinga F. PACERE, ENS, Abidjan.

24- YÉPRI (Léon), Titinga Frédéric PACERE, Le Tambour de l'Afrique Poétique, Paris, L'Harmattan, 1999.

* 188 ZADI Zaourou, op.cit., p.138. (post-face)

* 189 ZADI Zaourou, id.

* 190 ZADI Zaourou, id., p.140 (post-face)

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"L'ignorant affirme, le savant doute, le sage réfléchit"   Aristote