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Mis en place d'une application d'enregistrement de mariage dans un bureau communal

( Télécharger le fichier original )
par Joseph Mulamba
institut supérieur de statistique (ISS) - diplome de graduat 2016
  

Disponible en mode multipage

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REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO

MINISTERE DE L'ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET UNIVERSITAIRE

INSTITUT SUPERIEUR DE STATISTIQUE

DEPARTEMENT DE L'INFORMATIQUE DE GESTION

I.S.S

B.P.2471

Lubumbashi

« Mis en place d'une application d'enregistrement de mariage dans un bureau communal » (cas de la commune KENYA)

Présenté par : MULAMBA DIBWE JOSEPH

Travail présenté et défendu en vue de l'obtention de grade de gradué en informatique de gestion.

Option : INFORMATIQUE DE GESTION

SEPTEMBRE 2016

C'est pourquoi l'homme quittera son père et sa mère, et s'attachera à sa femme, et ils deviendront une seule chair.

genèse 02 :24

EPIGRAPHE

DEDICACE

A l'Eternel Dieu Tout Puissant, maitre de temps et des circonstances, sans lui, nous n'arriverions pas à la rédaction de ce travail qui sanctionne la fin de notre premier cycle universitaire. Soit béni pour toutes les grâces que nous sommes bénéficiaire.

A mes très chers parents bien aimés, pour leurs amours, sacrifices, conseils, éducations et leur volonté de mon instruction. A vous père MULAMBA DIBWE Jeef et mère ASSIYA MAYANI, ma très chère mère ; je vous dédie ce travail. Vos conseils m'ont affermi.

A vous ma famille, piliers de ma personne aujourd'hui, sans votre contribution et votre volonté, ce travail n'aurait pas existé : A vous Erick MULAMBA, Shabani MULAMBA, PIKULE MUNGWA André, Sifa ISIYAKA, Elisabeth MULAMBA, jean MULAMBA, à toi mon vieux André PIKULE sans oublier Santos ISIDORE umela mon frère.

A vous mes collègues qui ne sont pas cités, trouvez mes vifs remerciements les distingués : à MUNGA Mathieu, TEKELEKE, Franck KITWA, INNOCENT, SAHEL, MARIE...

A ma famille spirituelle, qui mes soutient dans la prière, le Révérend pasteur papa KASONGO et à toute l'église PENIEL KALUBWE que l'éternel mon Dieu vous bénisse.

INTRODUCTION GENERALE

Gérer c'est prévoir dit-on. Fort de cette conviction, l'Etat de la République Démocratique du Congo (RDC) a décidé depuis 1885, d'organiser le service de l'état - civil ; à qui il assigna la mission de s'occuper des mutations qui interviennent dans la vie d'une personne (naissance, mariage, décès, changement des noms, etc.). Ce service permettrait entre autre, à l'Etat congolais en général et à chaque province en particulier, de maitriser la population effective de sa juridiction.

Cependant, plus les enregistrements de certificats de mariage congolais augmente, plus la tâche devient ardue pour l'état - civil.Surtoutque l'enregistrement s'effectue manuellement puis l'encodage dans un fichier Publisher qui ne garantit pas une bonne sécurité et un bon suivi. Le champ de notre étude La commune de la kenya, n'est pas resté en l'esse par ce constat. Le manque de la maitrise de la population effective a beaucoup de conséquences pour un état en plein décentralisation.

Face à cette réalité, il est grand temps d'aborder la gestion de l'enregistrement des mariages à l'Etat - civil sous l'approche base de données.

Conscient de cette lourde tache (celle d'informatiser ce système d'information) dont nous nous sommes donnée, nous avons formulé notre sujet de recherche comme suite : « mis en place d'une application informatique pour l'enregistrement de mariage dans un bureau communal (cas de la commune de la Kenya) »

1. CHOIX ET INTERET DU SUJET

A.CHOIX DU SUJET

Le choix du sujet est une étape qui détermine les motivations qui ont poussé le chercheur à choisir son sujet1(*). Nous nous sommes dit qu'avec une application informatique d'enregistrement de mariage dans un bureau communal, nous mettrons fin à l'enregistrement manuel de l'information concernant lemariage et nous éviterons l'enregistrement de double mariage d'une seul personne dans une commune.

Notre choix porté sur ce sujet se justifie également pour approfondir les notions de programmation orienté objet et de la conception à la réalisation d'une base de donnée qui ne cesse de prendre de l'ampleur dans la révolution technologique.

B. INTERET DU SUJET

Aujourd'hui les entreprises, les organismes internationaux et même les Etats recourent aux nouvelles technologies de l'information et de l'automatisation car les résultats qu'elles produisent sont sans contestes optimaux et efficaces. Elles procurent donc une rationalisation, une productivité et une automatisation rassurantes.

Ø sur le plan personnel

L'intérêt que présente ce sujet pour nous est de concrétiser les connaissances acquises tout au long de notre parcours estudiantin aux réalités du terrain c'est-à-dire approfondir les notions sur la conception d'une base de donnée et la réalisation d'un programme informatique.

Ø sur le plan social

Nous voulons mettre à la disposition de l'état civil de la commune Kenya une base de données implémentée dans une application qui permettra de maximiser le temps du client(de conjoint).

Ø sur le plan scientifique

Ce travail constitue une documentation que de futurs scientifiques ou chercheurs pourront consulter à la bibliothèque de la faculté dans l'élaboration de leurs travaux.

2. ETAT DE LA QUESTION

L'état de la question est une transition dans les méthodes de recherche scientifique.

Ainsi, il nous a semblé judicieux de chercher si notre préoccupation n'aurait pas fait objet d'un autre travail.

Pour ce faire, nous nous sommes inspirés des travaux de chercheurs ci-après :

1. DUNIA YAFUNGU Gabriel : sujet « Mise en place d'une application web pour la gestion des certificats de mariage en RDC » 2(*)

La consultation des différentes fiches de mariage dans les communes de la République Démocratique du Congo rend la tâche ardue au service de l'état-civil du pays et la mise en commun des informations enregistrées n'est pas si sûre, pas de suivi en cette matière en ce qui concerne l'enregistrement des certificats de mariage au pays, car il arrive de remarier quelqu'un qu'il a déjà était sans pour autant être divorcé officiellement, le délai de publication ne garanti pas la sécurité et la loyauté des nouveaux mariés.

Face à ce qui a été posé comme problème, l'auteur a trouvé comme hypothèse que son application permettra à l'etat-civil un enregistrement des différentes fiches rapide et simple à faire, une réduction de temps de travail à son service, une consultation très développée des mariages précédents et une sécurité énorme de différent fiche de mariage.

2. blaise KABAMBU : sujet  « mise en place d'une application partagée en réseau pour l'enregistrement des enfants à l'etat-civil. Cas de la ville de kinshasa/RDC »

Depuis les événements de guerre de jalousie et des guerres fratricides qui sévissent la RDC et la région des grands lacs(1998) ; la République Démocratique du Congo a vu ses fils et filles fuir son territoire pour se refugier dans des pays voisins. Parallèlement à cette fuite, beaucoup d'étrangers décident d'élire domicile en RDC pour les mêmes causes. Aumême moment, Il ya diminution et accroissement de la population de la RDC.

Du résultat de ces mouvements, beaucoup de congolais décident de rester dans ces pays de fuite jusqu'à la pacification de leurs régions d'origine. De même, beaucoup d'étrangers décident de rester en RDC pour les mêmes raisons.

Un autre motif de l'accroissement de la population congolaise est son hospitalité et le climat d'affaire. En effet, depuis plus d'une décennie, la RDC est devenue la cible privilégiée de beaucoup d'investisseurs. Si les investisseurs blancs se distinguent par la couleur de leurs peaux, que dire de ceux avec qui les congolais partagent la même couleur de peau ? Ne pouvons-nous pas envisager un conflit de nationalité pour tous ces congolais qui fuient leur territoire et pour tous ces étrangers qui résident longtemps en RDC ?

En effet, l'accroissement non surveillé de la population s'accompagne des grands dangers sur l'avenir de la nation. Ces dangers peuvent être : la mise en place d'une politique de développement ne tenant pas compte de la démographie et/ou le risque permanent de donner la direction de cette nation entre les mains des étrangers (présidence de la République par exemple).

Face à ce problème soulevé, l'auteur a trouvé comme hypothèse que, pour faire éviter aux générations futures le conflit de nationalité en RDC et aider le gouvernement provincial de Kinshasa à maitriser sa population effective au mieux, il faut implémenter une application informatique qui sera chargée d'enregistrer les naissances qui interviennent sur le sol et l'espace aérien de la ville de Kinshasa. Le système d'enregistrement des enfants étant déclaratif, Les naissances qui seront enregistrées sont bien sûr celles qui seront présentées au service de l'Etat - civil.

En ce qui nous concerne, nous allons nous atteler à la conception d'une application d'enregistrement de mariage qui permettra à l'état civil (de la commune kenya) d'avoir une base de donnée qui pourra archiver les différents mariages afin d'éviter le doublon de mariage, de rendre fiable l'encodage des information et de faire une consultation rapide de données.

3. PROBLEMATIQUE

La problématique réfère généralement à un ensemble d'éléments ou d'informations formant un problème, à la structure d'information dont la mise en relation engendre chez un chercheur un écart se traduit par un effet de surprise ou de questionnement assez stimulant pour le motiver à faire une recherche3(*).

La consultation des différentes fiches de mariage dans les communes de la République Démocratique du Congo rend la tâche ardue au service de l'état-civil du pays et la mise en commun des informations enregistrées n'est pas si sûr, pas de suivi en cette matière en ce qui concerne l'enregistrement de mariage au pays, car il arrive de remarier quelqu'un qu'il a déjà était sans pour autant être divorcé officiellement, le délai de publication ne garantit pas la sécurité et la loyauté des nouveaux mariés.

La problématique de notre travail tournera autour des réflexions ci-dessous, lesquelles comportent des questions fondamentales que voici :

- L'implémentation d'un système d'information informatisé, pourra-t-elle réduire le risque de double enregistrement de mariage? En se référant au code de la famille de l'article 330?4(*)

Voilà les préoccupations principales et globales, auxquelles nous tenterons de réserver des réponses provisoires.

4. HYPOTHESE

L'hypothèse selon R. PINTO et M. GRAWITZ est définie comme étant une proposition de réponses aux questions que l'on se pose à propos de l'objet de la recherche, formulée de telles sortes que l'observation et l'analyse puissent fournir des réponses5(*).

Face à la problématique citée ci-haut nous supposons que la mise en place d'une application informatique d'enregistrement de mariage dans un bureau communal de l'état-civil pourra :

- Réduire le temps de travail au service de l'état civil, en quittant de l'enregistrement manuel à l'enregistrement automatisé avec l'outil informatique

- Rendre fiable l'encodage des informations et faire une consultation rapide des données

- Sécurité et archivage des données.

5. METHODES ET TECHNIQUES

Méthodes

La méthode est défini comme un ensemble des démarches intellectuelles par la quelle une discipline cherche à atteindre les vérités qu'elle poursuit, les démontre et les vérifie6(*).

Pour ce qui est de la méthode informatique, nous utiliserons la méthode MERISE. Elle est basée sur la séparation des données et de traitements à effectuer en plusieurs modèles. La séparation des données et des traitements assure une longévité au modèle transitant par des niveaux d'abstractions (conceptuel, logique et physique).

Techniques

PINTO et GRAWITZ définissent les techniques comme étant des étapes d'opérations limitées et liées à des éléments pratiques, concrets et adaptés à un but bien défini.

En ce qui concerne les techniques utilisées, nous avons utilisé les techniques suivantes pour la collection des informations :

· Technique d'observation

· Technique d'interview

· Technique documentaire

5.9.1. TECHNIQUE D'OBSERVATION

L'observation est une phase de sélection et de recueil d'information caractérisée par une interaction minimale avec l'objet d'étude ou plutôt un échantillon ou représentant7(*).

Partant de cette technique, nous avons récolté quelques informations en discrétion, lors de notre passage au département de l'état-civil de la commune Kenya et avions rencontré certaines difficultés que rencontre le département de l'état-civil de ladite commune.

5.9.2. TECHNIQUE D'INTERVIEW

Une interview est une communication personnelle suscitée dans un but d'information8(*).

Grace à cette technique nous étions au bureau du chef de département de l'état-civil de la commune Kenya, qui, de par sa courtoisie nous a accordé une interview qui nous a permis de recueillir les données dont nous avions besoin afin d'avoir un bon moyen pour assurer des taux de réponses à nos questions et inquiétudes.

5.9.3. TECHNIQUE DOCUMENTAIRE

Selon GRAWITZ, la technique documentaire consiste en une fouille systématique de tout ce qui est écrit ayant une liaison avec le domaine de recherche. Il s'agit des ouvrages, lesmémoires, les rapports, et les notes de cours ainsi que les sites web, etc.9(*)

Par cette technique, nous avons eu recourt à quelques documents qui nous a été indispensable pour la rédaction de notre travail.

6. DELIMITATION DU SUJET

Nous ne prétendons pas étudier l'univers entier étant un travail en informatique, il nous est difficile de nous délimiter sur le plan temporaire ; cependant dans le cadre de cette étude nous avons délimitez notre travail en deux points :

· Délimitation spatiale : Notre champ d'investigation est la commune de la Kenya ayant son siège dans la commune portant le même nom sur l'avenue BASILIQUE N°2.

· Délimitation Dans le Temps, dans le temps, notre travail porte sur la situation actuelle que traverse le service d'approvisionnement et les résultats obtenus seront utilisable tant que le système mis au point sera d'application.

7. SUBDIVISION DU TRAVAIL

Hormis l'introduction et la conclusion, notre travail est reparti de la manière que voici :

v Le premier chapitre :les concepts et considération théorique du sujet

v Le deuxième chapitre :

v Le troisième chapitre :la conception du nouveau système.

v Le quatrième chapitre :

Chapitre I: LES CONCEPTSET CONSIDERATION THEORIQUE DU SUJET

Dans ce premier chapitre de notre travail, nous allons axer notre attention sur quelques concepts fondamentaux autour desquels va se focaliser notre étude. L'objectif poursuivi en parlant de ces concepts, est de permettre à tous nos lecteurs, tendance confondue, de maitriser les concepts employés en vue de s'imprégner du contenu de notre travail.

Deux points essentiels composeront ce chapitre. Nous parlerons d'abord des différents mots qui cadre avec notre sujet et aussi des théories acquises tout au long de ce cycle de graduat en rapport avec l'informatique de gestion.

1. LES MOTS CADRANTS AVEC LE SUJET

Mis en place:mettre quelque chose à la disposition en oeuvre

Application : une application ou un applicatif est, dans le domaine informatique, un programme (ou un ensemble de programmes) directement utilisé par l'utilisateur pour réaliser une tache, ou un ensemble de taches élémentaires d'un même domaine ou formant un tout. Typiquement, un éditeur de texte, un navigateur web, un lecteur multimédia, un jeu vidéo, sont des applications. Les applications s'exécutent en utilisant les services du système d'exploitation pour utiliser les ressources matérielles

Enregistrement (en informatique) : l'action d'écrire une information sur un support matériel.

Concept mariage :Par définition, le mariage est définit comme un acte civil, public et solennel par lequel un homme et une femme qui ne sont engagés ni l'un ni l'autre dans les liens d'un précédent mariage enregistré, établissent entre eux une union légale et durable dont les conditions de formation, les effets et la dissolution sont déterminés par la loi sur le droit de la famille10(*).

Le droit de la famille est l'ensemble des règles de droit qui régissent les mariages, l'union libre (la vie maritale), les diverses formes de désunions (séparation, annulation, divorce). La filiation, l'autorité parentale, la tutelle.

2. DEMARCHE MERISE

Pour ce point, nous parlerons d'abord de quelques concepts liés à la démarche merise et nous finirons par les étapes ou processus d'avancement merise.

Propriétés  : c'est une information élémentaire qui représente un intérêt de l'organisation.11(*)

Entité  : est l''objet réel ou abstrait, le concept que l'on veut décrire à l'aide d'un ensemble des propriétés .l'entité doit répondre aussi à un besoin de gestion.

L'identifiant d'une entité : le plus petit sous ensemble de propriétés qui identifie de façon unique une occurrence de l'entité. L'identifiant est unique et il est toujours soulignés.

Occurrenced'uneentité :(réalisation ou instance) la réalisation d'un élément de l'entité.

Unflux  : un flux encore être défini comme un échange d'information entre deux acteurs.

Acteur  : un acteur est un intervenant (personne physique ou service) dans le processus soit en étant émetteur ou récepteur d'un flux

Evénement  : c'est lors qu'un fait d'éclanche une réaction au sein de l'organisation, l'occurrence (la réalisation) de l'événement entraine le déroulement des activités ou d'opérations.

Opération  : on appelle opération toute action (ou ensemble d'action à déclencher pour réagir à un événement ou plusieurs événements) elle produite plusieurs résultats. L'opération est identifiée par un nom.

Résultat  : on appelle résultat ce qui est produit par l'exécution d'une opération.

Processus  : un processus est un enchainement d'opérations relatives à un même domaine d'activité .le processus constitue donc un sous -ensemble de l'organisation dont les limites sont indépendantes des choix de l'organisation.

Merise est un acronyme signifiant Méthode d'étude et de la réalisation informatique par les sous-ensembles ou pour les systèmes d'entreprise.la méthode MERISE a comme objectifs d'aider, de guider le saï dans leurs phases d'analyse.

MODELE CONCEPTUEL DE DONNE(MCD)

Démarche de la méthode ascendante par la définition, le modèle conceptuel de données(MCD) est un modèle abstrait de la méthode MERISE permettant de représenté l'information d'une manière compréhensible aux différents services de l'entreprise.il permet une description statique du système d'information à l'aide d'entité et des associations. Pour modéliser les données au niveau conceptuel, deux démarches sont possibles avec MERISE, il s'agit de la démarche de la méthode descendante qui possède du particulier vers le général .le choix est opéré sur le dernier car il est algorithmique et permet de construire un modèle fiable en procédant par les étapes ci-après : 12(*)

· Conception du dictionnaire de données construit dans le chapitre précédant ;

· Construction de la matrice de dépendance fonctionnelle à source simple ;

· Construction de la matrice de dépendance fonctionnelle à source composée ;

· Construction de la matrice des clés ;

· Construction de graphe de clés ;

· Construction de la structure d'accès théorique ;

· Et enfin, élaboration du schéma conceptuel de données ;

DESCRIPTION DES DONNEES

La description de données conduit à la conception d'un dictionnaire de données à l'aide d'une grille d'analyse autrement dit appelée tableau d'inventaire des rubriques. Ce qui veut dire qu'elle nous permettra de ressortir les données ainsi que les documents en circulation dans le présent système. Décrire les données, c'est recenser et représenter toute les informations à utiliser dans le système ou dans le domaine d'étude.

INVANTAIRE LOTS D'INFORMATION

Un lot d'information est bien défini comme un ensemble d'informations contenues sur un même support.

DICTIONNAIRE DE DONNEES(DD)

L'analyse du domaine à informatiser aboutit à la construction d'un dictionnaire de données qui représente les données évoquées dans le domaine étudié. Donc un dictionnaire de données est un tableau issu du tableau d'inventaire des rubriques.13(*)

MATRICE DE DEPENDANCE FONCTIONNELLE A SOURCE SIMPLE

A cette étape, l'identification correspondra au nombre d'entité la dépendance fonctionnelle dépend d'une organisation à une autre selon les règles de gestion. C'est aussi une matrice carrée, les nombres des lignes égales aux nombres des colonnes égales aux nombres des propriétés de type numérique calculé retrouvées dans le dictionnaire de données.

MATRICE DE DEPENDANCE FONCTIONNELLE A SOURCE COMPOSE

Si toutes les propriétés sont utilisées, alors la matrice dépendance fonctionnelle à source composée n'existe pas. Sinon dans dépendance fonctionnelle à source composée, nous devons commencer par les touchées et terminé par les non touchées.

MATRICE DES CLES

Est une matrice carrée qui reprend la dépendance fonctionnelle entre les clés primaires. Elle existe si au moins dans la dépendance fonctionnelle a source simple qu'il existe un identifiant qui est identifié.

GRAPHE DES CLES

Il est extrait de la matrice dépendance fonctionnelle à source composée et matrice des clés .D ou, il convient les différentes dépendances fonctionnelles.

STRUCTURE SAT (D'ACCES THEORIQUE)

Elle est construite à partir de la dépendance fonctionnelle se trouve dans la matrice dépendance fonctionnelle à source composée et dans la matrice des clés .alors on peut enfin extraire le modèle conceptuel de données.

MODELE CONCEPTUEL DE DONNEES (MCD) 

A ce point, il s'établit le principe talque le but d'identifiant d'ordre N, sont une relation (association) et toutes dépendance entre source sont une contrainte d'intégrité fonctionnelle(CIF).

TABLEAU DE CARDINALITE

La cardinalité d'une association permet de définir les conditions de participation d'une entité dans une association. Toutefois, une entité peut participer dans une ou plusieurs associations.

MODELE CONCEPTUEL DE TRAITEMENT(MCT) 

A l'instar du modèle conceptuel de données qui schématise les données du système d'information, le modèle conceptuel de traitement (MCT) décrit le traitement et plus précisément toutes les activités découlant des échange entre le domaine et le monde extérieur, il exprime donc ce que fait le domaine sans poser le problème de savoir comment? C'est ainsi qu'au niveau conceptuel, le modèle de traitement décrit les opérations et les résultats ainsi que le déroulement dans le temps des activités du domaine d'organisation de façon indépendante d'organisation et de moyen utilisé. Donc l'élaboration du modèle de traitement apparait comme la phase clé de la conception du système d'information pour y parvenir, les étapes ci-après seront développées:14(*)

· Recensement des acteurs ;

· Recherche des flux ;

· Recherche des événements ;

· Construction du tableau des actions induites ;

· Construction du tableau des opérations ;

· Recherche des synchronisations ;

· Recherche des règles d'émission des résultats ;

· Construction de graphe d'ordonnancement des événements ;

· Et enfin la construction du schéma conceptuel de traitement ;

Parmi ces étapes, seule les quatre dernières serons développées dans cette partie car les autres sont supposées être évoquées dans le chapitre suivant.

DESCRIPTION DES TRAITEMEMTS

Le traitement des messages, flux d'information décrivent les tâches à effectuer à la réception où l'émission d'un flux d'information.la description des traitements va nous permettre de représenter les opérations effectuées sur les données du système en étude. Les points ci-après:15(*

Tableau des événements ;

Tableau des actions induites ;

Tableau des opérations ;

Tableau des synchronisations ;

Tableau des règles d'émission de résultats ;

Graphe d'ordonnancement des événements (GEO)

Construction du modèle conceptuel de traitements(MCT).

TABLEAU DES EVENEMENTS

Selon Fréderic DIGALLO ; l'événement matérialiste est un fait qui en se dissent ; doit déclencher une réaction du système. Cependant ; trois types d'événement sont possible ; il s'agit donc du type interne ; externe et temporel. Un événement est du type interne si son émetteur est un acteur externe, si l'émetteur correspond est un acteur externe. Le type temporel n'a pas d'émetteur, il est lié au temps16(*).

TABLEAU DES ACTIONS INDUITES 

Une action est toute réaction des acteurs internes à la réception d'un événement .ce tableau représenter l'ensemble des actions associer à un événement.

TABLEAU DES OPERATIONS

Toute action déclenchée pour réagir à un événement ou à plusieurs événements, une opération produit un ou plusieurs résultats et en plus elle doit être identifiée par son nom

TABLEAU DES SYNCHRONISATIONS

Elle s'exprime sous forme d'une proposition logique, le fait que l'opération peut être déclenchée ou pas. Elle est exprimée par une expression booléenne liant les événements déclenchant l'opération. Elle est représentée immédiatement au-dessus de l'opération qu'elle possède par un triangle orientée par l'opération.

TABLEAU DES REGLES D'EMISSION DE RESULTATS 

C'est une forme d'expression logique qui de les conditions auxquelles est soumise de plusieurs résultats par une opération, l'existence de RER entraine l'apparition des résultats différents pour une même opération.

GRAPHE D'ORDONNANCEMENT DES EVENEMENTS (GEO)

C'est un graphe qui ordonne les événements internes tout en associant les autres événements (temporels et externes) ainsi que les résultats purs des opérations.Ils'agit donc d'un ordre chronologique lié à la réalisation des événements dans le temps.

CONSTRUCTION DU MODELE CONCEPTUEL DE TRAITEMENTS(MCT)

Le modèle conceptuel de traitement est construit à partir du graphe d'ordonnancement des événements.

MOT

La démarche consiste à confronter :

D'une part les traitements à faire (Quoi ?) du niveau conceptuel détaillés en PF ;

D'autres part les règles et contraintes (Qui, Où, Quand ?) du niveau organisationnel.

MODELE ORGANISATIONNEL DE DONNEES (MOD) ET MODELE LOGIQUE DE DONNEES (MLD)

Le MOD est la représentation des données du SI étudié (et de sa solution), en tenant compte des aspects organisationnels liés à leurs mise en oeuvre dans le traitement.

Cette modélisation de données permet:17(*

· De représenter les données accessibles par chaque type de poste et par chaque type de site,

· De faire apparaitre de nouvelles données, reflets des choix organisationnels.

· De distinguer les données des PF manuelles de celles qui seront informatisées,

· D'élaborer un MOD global pour le MLD.

a. D'où l'objectif du MOD :

· Distinguer les données à informatiser,

· Quantifier les volumes et définir la durée de vie des données,

· Localiser les données par sites et par poste,

· Définir les niveaux de sécurité requis

· Définir les entités et associations de type organisationnel.

b. Modélisation :

On peut représenter le MOD de 3 manières :

· Le MOD général

C'est la structure organisationnelle, on s'attache à la nature des entités et des associations, au système d'autorisation et on ajoute des entités ou associations organisationnelles.

· La vue d'un type de site : on précise les accès aux données à partir d'un type de site ainsi les besoin locaux d'archivage.

MODELE ORGANISATIONNEL DU TRAITEMENT (MOT)

Le modèle organisationnel de traitement s'attache de décrire les propriétés des traitements non traitées par le modèle conceptuel de traitements.il l'intègre donc la notion de temps, dedurée, desressources, de lieu et de la nature de traitement.il précise comment la future solution s'inséra dans l'organisation de l'entreprise .

Ce modèle constitue une étape très importante dans la démarche de conception : pour l'utilisateur, il constitue l'expression complète de la future solution, telle qu'ils la pratiqueront dans leur situation de travail.

DIAGRAMME DE PROCEDURE (phases)

C'est un diagramme qui représente au niveau organisationnel la circulation des informations et l'enchainement des traitements dans le poste de travail.

DIAGRAAME D'ENCHENEMENT DES PROCEDURES

C'est diagramme qui traduit directement au niveau organisationnel, le modèle conceptuel de traitement, il est donc construit à partir du diagramme des procédures.

DIAGRAMME DE REPARTTION DES TACHES

C'est un diagramme construit à partir du diagramme d'enchainement des procédures en prenant en compte tous les traitements interactifs(conventionnels)en abrégé TR.il est considéré comme un descriptifs des PHASES qui montre la répartition des tâches entre l'homme et la machine. Une phase est ensuite non interrompue des taches de même périodicité et d'exécuté sur un poste de travail.

IMPLEMENTATION

L'implémentation consiste à rendre opérationnel la base de donnée divisions de notre part qu'elle permet de représenté la solution trouver sur une configuration matérielles en tenant compte de contraintes physique et opérationnel subséquemment ; au niveau de l'implémentation, le besoins des utilisateurs est répandu sous une forme accessible et ces derniers peuvent directement utiliser le matériel (outil) proposé.

LANGAGE DE PROGRAMMATION

Un langage de programmation est un ensemble de caractères, des symboles et des règles assemblés en vue d'être interprétés, exécutés par l'ordinateur portant des exigences (syntaxe et sémantique) propre à ce langage.

Il est question pour nous de concrétiser la théorique à la pratique pour notre travail nous avons choisi le Visual Basic et plus précisément le V.B. 6.0 ou Dot NET pour facilement et être allégé avec la nouvelle tendance qui est la programmation orientée objet et une de base de données externe dite Access.

Langage Visual basic

Le langage utiliser pour apprendre à développer les applications est Visual basic.

La version la plus récente VB fait partie de la suite Visual studio19(*).

Classes Et Objets

On appelle classe la structure d'un objet, c'est à dire la déclaration de l'ensemble des entités qui composeront un objet.

SYSTEME DE GESTION DE BASE DE DONNEES (S.G.B.D)

Un système de gestion de base de données est un logiciel système de stockage et partager des informations dans la base de données en garantissant la qualité, la confidentialité des informations tout en cachant la complicité des opérations.

La base de données

La base de données se définit comme étant un magasin d'information composé de plusieurs fichiers manipulés exclusivement par SGBD. Ce dernier cache la complexité de manipulation de structure de la base de données et met à synthétique du contenue.

L'accès aux données

Le SGBD dispose d'outils qui permettent de gérer l'accès simultané pour partager des données par plusieurs utilisateurs par répétitions faciles, la mise à jour20(*).

La requête

Avant de passer au portrait logiciel, il reste à déterminer les requêtes dont l'utilisateur a besoin pour puiser des informations de tables. Ces requêtes sont définies à l'aide des interviews et au recueil des documents manipulés au sein du système d'information de l'organisation.

Les Relations

Les relations ou associations représentent les liens existant entre les entités. Contrairement aux entités, les relations n'ont pas d'existence propre les relations sont caractérisées, comme les entités par un nom et éventuellement des attributs.

Les attributs

Un attribut est une caractéristique ou une propriété d'une entité un attribut peut être obligatoire ou facultatif et, avoir un domaine de valeurs ; celui-ci est un ensemble de valeurs qu'un attribut peut prendre.

Clé primaire

C'est l'ensemble minimum d'attributs qui permet de distinguer chaque n-uplet par rapport à tous les autres .chaque table doit avoir une clé primaire.

Domaine

Le domaine est l'ensemble de valeur en extension ou en compréhension. Un domaine peut être simple ou composé21(*).

ü Domaine simple : Domaine est simple lorsque tous les éléments sont atomiques ou indécomposable.

ü Domaine composé : Domaine est composé lorsque tous les éléments peuvent être décomposés22(*).

Les aspects de la base de données

2.1.1.1. Aspect statique :

C'est tous ceux qui ne se changent pas dans une organisation, les données sont statiques mais le traitement des informations dépendent d'une organisation à une autre.

CHOIX DU SYSTEME DE BASES DE DONNEES

Comme nous l'avons signalé dans la première partie, l'évolution informatique a permis de mettre en marche différents types de base de données parmi lesquels nous avons opté le type relationnel qui est le plus rependu et utiliser dans le monde informatique.

CHAPITRE II ANALYSE DE L'EXISTANT

1. LA PRESENTATION DU SYSTEME D'INFORMATION

1.1. Introduction

Dans la vie des entreprises, beaucoup de décideurs arrivent à entreprendre la modification du système d'information de leurs entreprises. Entreprendre cette démarche, est une décision aux conséquences graves si celle-ci n'est pas bien menée13.

Il est de ce fait conseillé de passer par une étude d'opportunité avant la modification d'un système d'information. Pour ce, quelles que soient les motivations qui conduisent à cette modification et quels que soient les changements à apporter ; l'étude d'opportunité autrement appelée pré analyse, aura pour but d'analyser le système d'information existant, de critiquer son fonctionnement et de présenter des outils adéquats et nécessaires à la prise de décision sur l'opportunité de le modifier ou de ne le pas.

Notre étude n'a pas échappé à cette règle d'or. Pour ce faire, ce chapitre sera composé de quatre points. En première position, nous présenterons le cadre qui nous a reçu pour la récolte de données ; en deuxième position, interviendra l'étude du système d'information existant ; en troisième position, nous critiquerons ce système et proposerons des nouvelles solutions et nous finirons par le choix de la solution optimale.

Présentation du cadre d'étude

Comme nous l'avons souligné à l'introduction générale de ce travail, notre objectif consiste à réunir les informations nécessaires sur l'enregistrement de mariages à l'état - civil de la commune kenya en vue de concevoir une application informatique pour cette gestion.

Pour ce faire, nous avons porté notre choix sur la commune écologique de la kenyacomme commune pilote pour des raisons de proximité avec le chercheur.

1.2. DE LA SITUATION GEOGRAPHIQUE

a. Limites territoriales :

1 .naturelle :

A l'Ouest : par la rivièreLubumbashi

Au Sud : par la rivièreKafubu.

2. géographies :

Au nord : la commune Lubumbashi avec boulevard katuba ;

Au Nord-Est : la commune de kamalongo avec les rails SNCC ;

Au Sud : la commune annexe avec la rivièrekafubu ;

Au Sud-Est : la commune de kampemba avec les rails SNCC ;

A l'Ouest : la commune de katuba avec la rivièreLubumbashi

b. Coordonnées géographiques (latitude, longitude...) :

Latitude Nord = 11° 36' et latitude Sud = 11°49'

Longitude Est = 27° et longitude Ouest= 27°30 `.

c. Altitude :

La commune de Kenya fait partie intégrante de la ville de Lubumbashi dont l'altitude est de 1.230 m.

d. Superficie : 2,53 km2

1.3. DONNEES GEOGRAPHIQUES

a. Le type de climat

Un climat humide est généralement observé dans la commune Kenya avec une tendance à la sécheresse.

v Alternance de saisons :

v La saison sèche qui va de fin avril à septembre avec une particule de deux mois de froid sec sensible de juin à juillet ;

v La saison de pluie qui va de fin octobre à mi-avril et une forte chaleur se manifeste aux mois d'aout, septembre et octobre.

v Variation de température :

v La température moyenne annuelle varie entre 25 et 28°C

v Elle varie entre 1.200 et 1.500 mm/an.

b. La nature du sol

Le sol se caractérise par la latérite rougeâtre (argilo-sablonneux).

c. Le relief

C'est un plateau incliné de l'Est vers Ouest et du Nord vers le Sud.

d. Renseignements sur le sous-sol :

Sans objet

e. Kilométrage des routes vitales

Six avenues nous intéressent à cause de leur vitalité. A savoir :

f. La végétation dominante :

Quelques arbres à essence ornementale laissés par le colonisateur sont visibles le long des avenues principales et au bureau communal (eucalyptus,jacaranda,flamboyants, etc.) sans oublier l'effort de reboisement déployé par la mairie de Lubumbashi.

g. L'hydrographie

Quelques principaux cours d'eau baignent la commune.

v En amont : la rivière Lubumbashi avec ses divers espèces de poissons tels que les silures, tilapia... sans oublier les roseaux servant à la fabrication des nattes.

v En aval : la rivière Kafubu dont les caractéristiques sont pareilles a celles de la rivière Lubumbashi.

h. La population :

-ethnies et tribus dominantes :

Plusieurs tribus font partie de la commune Kenya dont voici les plus dominantes :

v Luba/Katanga

v Rund

v Luba/ Kasaï

v Hemba

v Bemba

v Tebwa

ORGANISATION ADMINISTRATIVE

TITRE 1 : DIVISIONS ET SUBDIVISIONS ADMINISTRATIVES :

a. La commune

Elle est subdivisée en trois quartiers qui sont : LUALABA-LUAPULA et LUVUA.

A leur tour, les quartiers sont subdivisés en six (6) blocs chacun, soit un total de dix-huit(18) blocs.

Ci-dessous le tableau numérique des quartiers au 31 décembre 2011 :

SUBDIVISIONS ADMINISTRATIVES

QUARTIERS

COLLECTIVITES

CITES

GROUPEMENTS

BLOCS

COMMUNE DE KENYA

3

-

-

-

18

TOTAL

3

-

-

-

18

La subdivision des quartiers est ainsi libellée :

1. LE QUARTIER LUALABA

Créé le 17 octobre 1957 par décret n°11/160 du gouverneur du Katanga, monsieur Gaston HEENEN, le quartier est dirigé par monsieur KASONGO Vincent, matricule N.U , grade N.u affecté par la commission collective n°10.161/BU/FPA/062/VL/2008 de monsieur le maire de la ville en qualité de chef de quartier.

Dans l'exercice de ces fonctions, il est secondé par monsieur yumbawamwamba matricule N.U, grade : N.U, affecté par la lettre de désignation n°K.°12/BUR-BC/245/2009 du 01/09/2009 du bourgmestre de la Kenya en qualité de chef de quartier adjoint.

Six (6) blocs composent ce quartier. Il s'agit de : BANA KATANGA-ILUNGA KAKUSU-TANGANIKA-MAKUTANO-KUNDELUNGU-UPEMBA .

Sa superficie est de 0.8064 km,tandis que sa population comprend 34.782 habitant, dont 34.718 nationaux et 45 étrangers. La densité est de 4,3 habitants/km2

2. LE QUARTIER LUAPULA

Crée le 17 octobre 1957 par décret n°11/160 du gouverneur du Katanga, monsieur Gaston HEENEN, ce quartier est dirigé par monsieur TSHIMBOJ YAV M. matricule 575.961, grade 310 affecté par la commission collective n°10.161/BU/FPA/062/ VL/2008 du 08 aout 2008 de monsieur le maire de la ville pour exercer les fonctions de chef de quartier.

Il est secondé par madame Brigitte BUTOMBE, matricule : N.U, grade : N.U affecté par lettre n°K.0/02/BUR-BC/207/2011 du 22/08/2011 du bourgmestre.

Le quartier est composé en six (6) blocs qui sont : MUNAMA - LUBUMBASHI - TSHIKWEJ - LUBUDI - KABONGO - KAFUBU .

La superficie est de 0,3882 km2 ,tandis que sa population comprend 28.215 habitants dont 28.208 nationaux et 7 étrangers. La densité est de 7,2 hab/km2.

3. LE QUARTIER LUVUA

Crée le 17 octobre 1957 par décret n°11/160 du gouverneur du Katanga, monsieur Gaston HEENEN, ce quartier est actuellement dirigé par monsieur MBUMB RUFUM, matricule : N.U affecté par la commission collective n°/10.161/BU/FPA/VL/2008 du 08 aout 2008 de monsieur le maire de la ville pour exercer les fonctions de chef de quartier.

Dans l'exercice de ces fonctions, il est secondé par monsieur MUTOMBO KYABUTWILE, matricule : N.U, grade : N.U, affecté par une lettre du bourgmestre en qualité de chef de quartier adjoint.

Le quartier LUVUA est composé de six(6) blocs, a savoir :

KYUBO-MAMPALA-MOBA-MUSOFI-MABILA-TINGI TINGI

La superficie est de 0,5749 km2, tandis que sa population est de 46.180 habitants dont 45.157 nationaux et de 23 étrangers. Sa densité est de 8 hab/km2

Commentaires :

Il a été établi que la superficie de quartiers soit exprimée en mesures agraires.

v Quartier LUALABA=8.064 ares

v Quartier LUAPULA = 3.882 ares

v Quartier LUVUA = 5.749 ares

v Total = 17.695 ares

Etant donné que la superficie s'exprime en km2, dans ce cas 17.695 ares donnent 0,17.696 km2

Or la superficie réelle de la commune est de 2,53 km2 .donc 2,53 km2 donnent 25.300 ares. Ainsi 25.300 ares - 17.695 ares ou 0,7605 Km2 qui constituent le manquant.

Ce manquant nous laisse penser à la partie non lotie par le colonisateur qui, aujourd'hui, abrite les bidonvilles appelés « BIMBOTOTO ou BRONDO » à l'Ouest et au Sud de la commune.

2. L'ETAT - CIVIL EN RDC

2.1. LE CONCEPT ETAT - CIVIL

Le concept état - civil peut avoir deux compréhensions :

· D'une part, c`est la situation d'une personne dans sa vie privée, au sein de sa famille et de la société. Il révèle les qualités juridiques qu'une personne acquiert dans le cadre de la loi sur les droits civils d'une personne - ensemble de qualités et droits civils d'une personne (nationalité, nom, etc.)23(*).

· D'autre part, l'état - civil est un service public qui s'occupe essentiellement de la rédaction et de la conservation des actes de l'état-civil des personnes (naissance, mariage et décès). C`est sous cet angle de compréhension du concept de l'état - civil que nous allons l'aborder dans cette section.

2.2. HISTOIRE DE L'ETAT - CIVIL (ORIGINE)

L'organisation systématique de l'état - civil telle qu'on la connaît aujourd'hui est relativement récente. Elle ne date que de la révolution française (1789).

L'histoire nous apprend qu'au moyen âge, ce sont des prêtres de paroisse qui tenaient trois sortes de registres : registre de baptême, de mariage et de sépulture (paroissiens qui décédaient). Cette initiative intéressa l'état français. Car, malgré son organisation rudimentaire, ce service organisé par des prêtres catholiques, rendait d'énormes services. C'est ainsi qu'en 1515, le roi François Ier (France), réglementa l'état - civil dans son organisation actuelle (toujours entre les mains des prêtres). Mais, en 1789, la révolution française qui prônait la séparation nette de l'église, laïcisa l'état civil24(*).

2.3. L'AVENEMENT DE L'ETAT - CIVIL EN RDC.

L'organisation du service de l'état - civil fut introduite dans notre pays (RDC) par le roi belge Léopold II en 1885. A cette époque, l'actuelle RDC s'appelait Etat Indépendant du Congo(EIC). Cette introduction fut possible grâce à l'influence que la Belgique a subie de son amie France.

En effet, c'est le décret du 12 novembre 1885 qui institua l'organisation de l'état - civil dans les territoires africains avec comme premier but : constater les naissances et les décès des européens habitant le Congo. Le décret entra en vigueur une année plus tard (1886) ; tandis que les premiers bureaux ouvrirent leurs bureaux à Banana, Boma et Léopoldville en janvier 1886.

Neuf ans plus tard, soit le 04 mai 1895, le roi souverain de l'état indépendant du Congo signa un autre décret contenant les dispositions du livre code civil relatif aux personnes. Cette fois-ci, même les noirs seront concernés par l'Etat - civil.

Ce texte régla de manière durable l'état - civil en RDC. Et les modifications successives n'étaient que des aménagements devant tenir compte de l'évolution de la situation socio-économique du pays.

L'organisation qui abouti de ce texte subsistera pendant près d'un siècle, jusqu'à la loi du 1er août 1987 portant code de la famille en RDC.

2.4. ORGANIGRAMME DE L'ETAT CIVILE

Source : Bureau de la commune Kenya, Officier de L'Etat

OFFICIER DE L'ETA CIVIL

Commis chargé de naissance

PREPOSE A L'ETAT CIVIL

Commis chargé décès

Commis chargé de mariage

2.5.1. INTERPRETATION DE L'ORGANIGRAMME DE L'ETAT-CIVIL

V' Officier de l'état-civil : Qui est le bourgmestre de la commune, il a le plein pouvoir sur tout dans sa juridiction et est nommé par le gouvernement central sur proposition du maire de la vie ou du gouverneur de la province. Il officie les différents mariages de sa juridiction.

V' Préposé(e) à l'état-civil : il est chargé de superviser tout ce qui se passe au niveau du bureau de l'état-civil et en fait rapport à l'officier de l'état-civil qui en est son chef direct. Il (elle) fait le suivi de différents actes, encodent, impriment puis remet à l'officier de l'état-civil pour signature.

V' Commis chargé de naissance : il (elle) s'occupe des toutes les attestations en rapport avec les naissances. Les requérants s'adressent directement à lui pour les renseignements dont ils ont besoin.

V' Commis chargé de mariage : il (elle) est chargé(e) d'enregistrement de différents mariages à son niveau dans le registre de mariage remit pour la cause. Et perçoit en même temps les frais de fiches et des actes qui composent le mariage.

V' Commis chargé de décès : il (elle) s'occupe de l'enregistrement des différents décès signalés dans la commune de Lubumbashi.

En ce qui nous concerne, nous nous sommes plus intéressés à ce que fait l'officier de l'état-civil, le préposé à l'état-civil ainsi que le commis chargé de mariage.

3. DESCRIPTION TEXTUELLE DU SYSTEME ETUDIE

Les différents processus qui entrent en jeu pour l'enregistrement de mariage sont les suivants :

· Auprès du Commis en charge du mariage : Chez qui les requérants se présentent pour faire leur proposition de mariage, ils verseront la somme exigée de 50.000 FC qui est payable soit à la banque ou sur place c'est-à-dire auprès du commis en charge de mariage pour obtenir les différentes fiches en rapport avec le mariage. Le commis chargé de mariage leurs remettra une fiche appelée PROJET DE MARIAGE qui iront remplir pour la ramener le jour suivant ou avant la date prévue en y adjoignant quatre photos passeports dont deux pour l'époux et deux pour l'épouse. En ramenant la fiche, elle doit comporter les signatures des époux ainsi que de leurs témoins.

Un délai de publication sera observé avant l'enregistrement des mariés dans le registre de mariage. Le délai de publication permet à quiconque ayant un avis contraire à cette union de s'exprimer, une fois ce délai dépassé aucune réclamation ne sera acceptée, si réclamation y a, le bureau de l'état-civil adresse une lettre au tribunal de paix dans les 48 heures suivant la requête.

Le tribunal de paix examinera la plainte en écoutant la partie plaignante et s'il se rend compte que la requête est recevable ou fondée, il donne l'ordre à l'officier de l'état-civil d'annuler le mariage en se référant à l'article 371 du code de la famille au cas contraire, le processus de mariage suivra son cours normale. A titre d'information pour les non mariés, le délai de publication est de 15 jours ; une fois atteint, on passe à l'enregistrement dans le registre de mariage.

· Chez le Préposé à l'état-civil : Une fois que le commis chargé du mariage finit l'enregistrement, il transmet le registre au préposé à l'état-civil pour vérification et encodage dans la machine. Cet enregistrement qui du moins reste à déplorer car il se fait sur un fichier Publisher. Après quoi il transmet les fiches imprimées à l'officier de l'état-civil pour la signature et célébration du mariage.

· Officier de l'état-civil : Le jour de la cérémonie du mariage, l'officier de l'état-civil après signature sur le registre de mariage par les deux époux, leurs témoins et l'officier de l'état-civil, ce dernier passe à la lecture des droits et obligations réciproques des époux et passe à la célébration du mariage.

L'officier de l'état-civil, après la lecture et célébration remet à l'époux un livret de ménage et à l'épouse un acte de mariage

3.1. DESCRIPTION DES DONNEES

La description de donnée est une opération qui nous permet de répertorier les informations de chaque document étudié.

La description des données comprend les points suivants :

1.3.1. Etude des Documents

Voici les documents que l'état civil utilise pour l'enregistrement de mariage :

A. PROJET DE MARIAGE

Est un document que le commis en charge de mariage donne au requérants pour le remplissage de leurs identités.

Ø Numéro d'étude du document

Ø Nom de l'époux

Ø Date de naissance de l'époux

Ø Nom de père de l'époux

Ø Nom de la mèreDe l `époux

Ø Profession de l'époux

Ø Village originaire de l'époux

Ø Territoire de l'époux

Ø Province de l'époux

Ø Adresse de l'époux

Ø Dot versée

Ø Nom de l'épouse

Ø Date de naissance épouse

Ø Nom de père de l'épouse

Ø Nom de la mère de l'épouse

Ø Province de l'épouse

Ø Territoire de l'épouse

Ø Adresse de l'épouse

Ø Nom du témoin

Ø Adresse du témoin

B. PUBLICATION DE MARIAGE

Est un document qui est constitué par quelques identités provenant du projet de mariage pour permettre d'afficher les requérants

Ø Numéro de la publication de mariage

Ø Nom de l'époux

Ø Date de naissance de l'époux

Ø Nom du père de l'époux

Ø Nom de la mère de l'époux

Ø Nom de l'épouse

Ø Date de naissance de l'épouse

Ø Date de la publication

C. ACTE DE MARIAGE

Est un donnent que l'officier donne aux requérants pour preuve de leurs union passée à l'état-civil

Ø Numéro matricule

Ø Année

Ø Nom de l'époux

Ø Nom de l'épouse

Ø Nom du témoin

Ø Age de l'époux

Ø Age de l'épouse

D. REGISTRE

Le registre de mariage est un document que le préposé en charge de mariage enregistre tous mariage passé à la commune, puis le donne à l'officier de l'Etat-civil

Ø Numéro matricule

Ø Année

Ø Nom de l'époux

Ø Nom de l'épouse

Ø Nom du témoin

Ø Age de l'époux

Ø Age de l'épouse

3.2. INVENTAIRE DES RUBRIQUES

C'est une structure qui nous permet de répertorié les propriétés issues des différents documents qui nous ont étaient présenté.

PROPRIETE

Projet de mariage

Publication de mariage

Act. naissance

Registre

1

Num_projet_mariage

*

 
 
 

2

Nom époux

*

*

*

*

3

Date_Naiss_époux

*

*

*

*

4

Nom_père_époux

*

*

 
 

5

Nom_mère_époux

*

*

 
 

6

Profession_époux

*

 
 
 

7

Village_orig_époux

*

 
 
 

8

Territoire_époux

*

 
 
 

9

Province_époux

*

 
 
 

10

Adresse_époux

*

 
 
 

11

Montant-versée

*

 
 
 

12

Nom_épouse

*

*

*

*

13

Date_naiss_épouse

*

*

*

*

14

Nom_père_épouse

*

*

 
 

15

Age_père_épouse

*

 
 
 

16

Nom_mère_épouse

*

*

 
 

17

Age_mère_épouse

*

 
 
 

18

Province_épouse

*

 
 
 

19

Territoire_épouse

*

 
 
 

20

Adresse_épouse

*

 
 
 

21

Nom_témoin

*

 

*

*

22

Adresse_témoin

*

 
 
 

23

Num_public_mariage

*

 
 
 

24

Num_acte_mariage

 
 

*

*

25

Année

 
 

*

*

26

DateProj

*

 
 
 

3.3. DESCRIPTION DES TRAITEMENTS

1.3.2. Recensement des acteurs

Un acteur (interne ou externe) est un système actif intervenant dans le domaine d'étude au moyen de flux.

Un acteur est une personne physique ou morale jouant un rôle précis dans l'organisation ou dans le domaine.

ACTEUR

TYPE

SIGNIFICATION

1

Requérant

Externe

C'est celui qui lance une requête de mariage auprès du commis en charge du mariage

2

Commis chargé du mariage

interne

C'est chez qui les requérants se présentent pour faire leur proposition de mariage

3

Préposé de l'état civil

interne

Celui qui fait la vérification et l'encodage du registre dans la machine

4

Officier de l'état-civil

interne

C'est celui qui appose sa signature sur l'Acte de mariage avant de donner aux requérants

3.4. GRAPHE DE FLUX

a. Requérant

Commis

Réception

1

2

6

4

5

3

Processus de demande

1. Requêteémise

2. Requête rejetée

3. Versement

4. Enregistrement

5. Requête transmise

6. Projet transmis

b. Requête

Commis

Officier

Préposé

6

1

4

2

5

3

Processus de validation

1. Dépôt projet

2. Projet non-conforme

3. Publication du projet validée et registre mis à jour

4. Registre transmis

5. Acte transmis

6. Acte validé transmis

1.4.3. Diagramme de circulation de l'information

1. Processus de demande de mariage

poste

temps

Requérant

Réception

Commis chargé mariage

Préposé état-civil

Officier état-civil

VERSEMENT

REQUETE REJETEE

REQUETE

REQUETE ENREGISTREE

ENREGISTRER

S1

REQUETE VALIDEE

VERIFIER

REJETEE VALIDEE

PROJET DE MARIAGE

ETABLIR

R1

R2

 
 
 
 
 
 

2. Processus d'activation de l'acte

poste

temps

Requérant

Réception

Commis chargé mariage

Préposé état-civil

Officier état-civil

PROJET REMPLI

CONTRÔLER

NON-CONFORME

CONFORME

PROJET CONFOR

PROJET NO-CONF

PUBLIER

Rejetée

Validée

Validéeee

annuléeee

METTRE A JOUR

Publication validée

EDITER

VALIDER

PROJET validé

PROJET DE MARIAGE

EDITER

PROJET DE PUBLICATION

PROJET DE PUBLICATION

PROJET DE MARIAGE

 
 
 
 
 
 

1.4. Critique est solution

La critique de l'existant est une étape qui consiste à dégager les points positifs, négatifs ainsi qu'à proposer une solution face aux faiblesses que présente l'organisation en étude.

1.4.1. Points positifs

Nous avons constatés en analysant le système actuel que le déroulement d'enregistrement de mariage est bon et les responsabilités des taches sont mieux reparties.

1.4.2. Points à améliorer

Le système actuel au sein de l'ETAT-CIVILE est non informatisé, il présente les faiblesses suivantes :

· Le service d'enregistrement de mariage n'est pas équipé des matériels informatiques, ce qui rend lent la tâche d'enregistrement de mariage

· La lenteur et la perte de temps dans l'établissement de différents documents nuptiaux

· La direction est également dépourvue d'une base des données capable d'archiver différent mariage enregistré.

1.4.3. Proposition des solutions

Nous proposons que le bureau de l'état-civile de se munir de matériel informatique suivie d'un logiciel capable de répondre aux difficultés énumérées ci-haut, et une base des données capable de stocker et d'organiser les données relatives au ditenregistrement qui sera en Microsoft Access et un langage de programmation appelé Visual Basic dans sa version .NET pour la réalisation de notre application.

Chapitre IIICONCEPTION DU NOUVEAU SYSTEME

1. DESCRIPTION DU NOUVEAU SYSTEME

Lorsque le requérant se présentera devant le réceptionniste pour la demande de mariage, cette dernière passera à la vérification de la demande pour savoir si elle est valide, si oui la déclaration sera validée, sinon elle sera rejetée. Dès que la demande est validée, le requérant verse la somme demandée et sa requête sera enregistrée.

Après que la requête soit enregistrée, elle sera transmise au commis chargé de mariage pour l'établissement d'un projet de mariage et le donne au requérant pour le remplissage après le projet être rempli le commis chargé de mariage le récupère pour contrôler la conformité ;si le projet non-conforme le commis le retourne au requérant au cas contraire il fait la publication du projet ; si la publication est rejeté le projet est annulé et si elle est validée le registre est mise à jour.

Le registre mise à jour sera transmis au préposée de l'Etat-civil, qui, à son tour va faire l'édition de l'Acte de Mariage qui sera validé par l'officier d'Etat-civil et le donne afin au requérant.

DICTIONNAIRE DES BONNEES

Le dictionnaire de données décrit et répertorie les informations inscrites sur les documents.

Propriété

Signification

Type

taille

Règle de gestion

1

CodeConj

Code du conjoint

NC

AN-5

UNIQUE

2

NomConj

Nom du conjoint

NC

AN-15

 

3

SexeConj

Sexe du conjoint

NC

AN-10

 

4

adressConj

Adresse du conjoint

NC

AN-15

 

5

DateNaissConj

Date de naissance du conjoint

Date

AN-10

JJ/mm/aaaa

6

ProvConj

Province du conjoint

NC

AN-15

 

7

VilleConj

Ville du conjoint

NC

AN-15

 

8

TerriConj

Territoire du conjoint

NC

AN-15

 

9

DateMariage

Date de mariage

Date

AN-10

JJ/mm/aaaa

10

LieuMariage

Lieu de mariage

NC

AN-20

 

11

IdPerio

Numéro de la période

NC

AN-5

UNIQUE

12

Temps

Le mois durant cette période

NC

AN-10

 

13

NumAct

Numéro de l'acte

NC

AN-5

UNIQUE

14

Année

Année de l'édition de l'acte

NC

AN-10

 

15

MontantVersé

Montant versé

NC

AN-15

 

16

CodeTemoin

Code du témoin

NC

AN-5

UNIQUE

17

NomTemoin

Nom du témoin

NC

AN-15

 

18

AdressTemoin

Adresse du témoin

NC

AN-20

 

19

NumPub

Numéro de la publication

NC

AN-5

UNIQUE

20

DatePub

Date de la publication

Date

AN-10

JJ/mm/aaaa

21

DateValidé

Date de la validité de la publication

Date

AN-10

JJ/mm/aaaa

22

NumBuro

Numéro bureau

NC

AN-5

UNIQUE

23

AdressBuro

Adresse du bureau

NC

AN-20

 

24

NumChef

Numéro du chef

NC

AN-5

UNIQUE

25

NomChef

Nom du chef

NC

AN-15

 

26

SexeChef

Sexe du chef

NC

AN-10

 

27

NumPar

Numéro de parent

NC

AN-5

UNIQUE

28

NomPar

Nom de parent

NC

AN-15

 

29

SexePar

Sexe du parent

NC

AN-10

 

30

ProfConj

La profession du conjoint

NC

AN-15

 

2. STRUCTURE DES DONNEES

MATRICE DE DEPENDANCE FONTIONNELLE A SOURCE SIMPLE

C'est une matrice qui se fait dans un tableau carré dont le nombre de lignes ou nombre de colonne.

Source

But

1

2

3

4

5

6

7

8

9

10

11

12

13

14

15

16

17

18

19

20

21

22

23

24

25

26

27

28

29

30

31

1

CodeConj

*

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

2

NomConj

1

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

3

SexeConj

1

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

4

adressConj

1

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

5

DateNaissConj

1

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

6

ProvConj

1

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

7

VilleConj

1

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

8

TerriConj

1

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

9

DateMariage

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

10

LieuMariage

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

11

IdPerio

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

*

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

13

NumAct

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

*

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

14

Année

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

1

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

15

MontantVersé

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

1

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

16

CodeTemoin

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

*

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

17

NomTemoin

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

1

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

18

AdressTemoin

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

1

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

19

NumPub

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

*

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

20

DatePub

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

1

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

21

DateValidé

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

22

NumBuro

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

*

 
 
 
 
 
 
 
 
 

23

AdressBuro

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

1

 
 
 
 
 
 
 
 
 

24

NumChef

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

*

 
 
 
 
 
 
 

25

NomChef

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

1

 
 
 
 
 
 
 

26

SexeChef

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

1

 
 
 
 
 
 
 

27

NumPar

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

*

 
 
 
 

28

NomPar

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

1

 
 
 
 

29

SexePar

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

1

 
 
 
 

DF1 : CodeConjNomConj,DateNaissConj,ProvConj,TerriConj,AdressConj,VilleConj,ProfConj

DF2 : NumActAnnée,MontantVersé

DF3 : CodeTemoinNomTemoin,AdressTemoin

DF4 : NumPubDatePub

DF5 : NumParNomPar,SexePar

DF6 : NumChefNomChef

DF7 : NumBuroAdressBuro

DF8 : NumParNomPar, SexePar

DF9 : IdPerio

MATRICE DE DEPENDANCE A SOURCE COMPOSEE

SOURCE/BUT

DF10

DF11

1

CodeConj

G

 

2

IdPerio

G

 

3

NumAct

G

 

4

DateMariage

D

 

5

LieuMariage

D

 

6

NumPub

 

G

7

NumBuro

 

G

8

DateValide

 

D

DF10 : CodeConj,IdPerio,NumAct- >DateEtMariage,LieuMariage

DF11 : NumBuro,NumPubDateValide

MATRICE DE CLES

NOM PROPRIETE

DF11

DF12

DF13

DF14

1

NumPar

D

 
 
 

2

CodeConj

G

 
 
 

3

NumActe

 

G

G

 

4

CodeTemoin

 

D

 
 

5

NumPub

 
 

D

 

6

NumBuro

 
 
 

G

7

NumChef

 
 
 

D

 
 
 
 
 
 

DF11 : NumParCodeConj

DF12 : NumActeCodeTemoin

DF13 : NumActNumPub

DF14 : NumBuroNumChef

- NomTemoin

- AdresseTemoin

-DatePub

- NomEpouse

- DateNaissEpouse

- NomPereEpouse

- NomMereEpouse

- VilleEpouse

- TerriEpouse

- ProvEpouse

- AdressEpouse

GRAPH DE CLES

NumPerio,CodeConj,NumAct

NumAct

IdPerio

CodeConj

NumPubli

NumPub,NumBuro

NumPar

CodeTemoin

NumBuro

NumChef

C'est un graphe qui relie par les flèches les dépendances fonctionnelles à source composée à celle à source simple ainsi que les dépendances entre clés.

SAT

DatePub

C'est graphe de clés sur lequel on associe les propriétés en dépendance fonctionnelle directe avec l'identifiant.

NomPar

sexePar

nomConj

sexeConj

adressConj

datenaissConj

ProvConj

VilleConj

TerriConj

Année

DateActe

Montant versé

NomTemoin

AdressTemoin

Date mariage

Lieu mariage

NumPerio,CodeConj,NumAct

NumAct

IdPerio

CodeConj

NumPubli

NumPub,NumBuro

NumPar

CodeTemoin

NumBuro

NumChef

DateValidée

Adresse

NomChef

SexeChef

Règles de passage de la structure d'accès théorique au modèle entité association

RG1 : A un identifiant d'ordre 1(simple) correspond à une entité. Les propriétés en dépendance directe avec cette identifiant sont des propriétés de l'entité,

RG2 : A un identifiant d'ordre n (n>1) ou composé correspond à une association. Cette association lie des entités dont les identifiants participent à la formation de l'identifiant de l'ordre n. les propriétés en dépendance fonctionnelle totale sont de propriétés de l'association,

RG3 : Une dépendance fonctionnelle entre deux identifiants d'ordre 1 correspond à une association hiérarchique (CIF) non porteuse de propriétés entre les deux entités correspondantes.

MCD

NumPar

NomPar

sexePar

PARENT

IdPerio

PERIODE

CodeConj

nomConj

sexeConj

adressConj

datenaissConj

ProvConj

VilleConj

TerriConj

CONJOINT

NumAct

Année

DateActe

Montant versé

ACTE

CodeTemoin

NomTemoin

AdressTemoin

TEMOIN

NumBuro

AdresseBuro

BUREAU

Numpub

DatePub

PUBLICATION

Numchef

NomChef

SexeChef

CHEF

AVOIR

CIF

MARIER

Date mariage

Lieu mariage

CONCERNER

CIF

VALIDER

Date mariage

DIRIGER

CIF

CONCERNER

CIF

(1,n)

(1,1)

(1,n)

(1,n)

(1,n)

(1,1)

(1,n)

(1,n)

(1,1)

(1,n)

(1,n)

(1,n)

(1,1)

(1,n)

TABLEAU DES CARDINALITES

La cardinalité d'une association permet de définir les conditions de participation d'uneentité à une association.

ENTITE

ASSOCIATION

CARDINALITE

SIGNIFICATION

1

PARENT

AVOIR

(1,n)

Un papa peut avoir un ou plusieurs conjoints

2

CONJOINT

AVOIR

(1,1)

Un conjoint ne peut avoir qu'un seul parent

3

CONJOINT

MARIER

(1,n)

Un conjoint peut être marié à un ou plusieurs conjointes à des dates différentes

4

CONJOINT

MARIER

(1,n)

Une conjointe peut êtremarier à un ou plusieurs conjoints à de date différentes

5

PERIODE

MARIER

(1,n)

Dans une période on peut marier un ou plusieurs conjoints

6

ACTE

MARIER

(1,1)

Un acte ne peut concerner un et un seul témoin

7

ACTE

CONCERNER

(1,1)

Un acte peut concerner une et une seule publication

8

TEMOIN

FIGURER

(1,n)

Un témoin peut figurer dans un ou plusieurs actes

9

ACTE

CONCERNER

(1,1)

Un acte concerne un et un seul temoin

10

PUBLICATION

CONCERNER

(1,n)

Une publication peut concerner un ou plusieurs actes

11

PUBLICATION

VALIDER

(1,n)

Une publication peut être validée par un ou plusieurs bureaux

12

BUREAU

VALIDER

(1,n)

Un bureau peut validé un ou plusieurs publications

13

BUREAU

DIRIGER

(1,1)

Un bureau ne peut être dirigé que un et un seul chef

14

CHEF

DIREGER

(1,n)

Un chef peut diriger un ou plusieurs bureaux

CHOIX ET TYPE DE BASE DE DONNEE

Pour notre travail, Vu que la représentation conceptuelle de données ne peut pas être directement manipulée et acceptée par un système informatique, il est donc nécessaire de passer du niveau conceptuel au niveau plus proche de capacités des systèmes informatiques qui est le niveau logique.

La représentation de données au niveau logique abouti à la construction du modèle logique de données. Ce dernier représente la base de données pour le système informatique. Notons que les techniques de gestion de base de données prévoient les types de base de données qui peuvent être mis en marche. Parmi les types de base de données nous avons : la base de données hiérarchique, le type réseau, la base de données relationnelle, la base de données déductive ainsi que la base de données objet.

Donc, parmi les types de bases de données cité ci-haut, nous utiliserons un système de gestion de base de données (SGBD) Access, parce qu'il s'adapte au type de base de données relationnelle (BDR).

2.1.1. REGLES DE TRANSFORMATION DU MCD EN MLD-R

Les règles de transformation du modèle conceptuel de données (MCD) en modèle logique de données relationnel (MLD-R) sont :

Ø Toutes les entités du modèle conceptuel de données (MCD) deviennent de Tables en MLD-R (Modèle logique de Données-relationnelle) et leurs propriétés deviennent les champs de la table et cette dernière admettra comme clé primaire l'identifiant de l'entité ;

Ø Pour une relationnelle non hiérarchique, cette relation devient une table et admettra comme champs, les propriétés de la relation ; S'il y en a et comme clé primaire la clé composée des identifiants des entités qui la compose.

Ø Pour une relation hiérarchique, l'identifiant de l'entité Père sera placé dans la table issue de l'entité Fils comme clé étrangère.

2.1.2. CONSTRUCTION DU MODELE CONCEPTUEL DE DONNEE (MLDR)

(1,n)

(1,1)

(1,n)

(1,n)

(1,n)

(1,n)

(1,n)

(1,n)

(1,n)

(1,n)

(1,n)

(1,1)

(1,1)

(1,n)

(1,n)

(1,n)

(1,n)

(1,n)

(1,n)

(1,1)

PARENT

NumPar

NomPar

SexePar

CONJOINT

CodeConj

NomConj

SexeConj

AdressConj

ProvConj

profConj

VilleConj

TerriConj

NumPar#

MARIER

CodeConj#,NumPerio#,NumActe#

DateMariage

LieuMariage

PERIODE

IdPerio

ACTE

NumActe

Année

DateActe

MontantVersé

CodeTemoin#

NumPub#

TEMOIN

NumTemoin

NomTemoin

AdressTemoin

PUBLICATION

NumPub

DatePub

VALIDER

NumPub#,NumBuro#

DateValidée

BUREAU

NumBuro

AdresseBuro

NumChef#

CHEF

NumChef

NomChef

SexeChef

2.8.3. MESURE D'ENCOMBREMENT

La mesure d'encombrement permet de déterminer le volume d'occupation de données dont les critères de quantification sont les suivantes.

v La détermination de la taille occupée par un tuple ;

v La détermination de nombre moyen des tuples dans une table logique et la valorisation des cardinalités de liaison ainsi que la construction du modèle logique de données relationnel (MLDR) quantifié.

2.8.3.1. QUANTIFFICATION STATIQUE

a. Détermination des longueurs (Li)

v PARENT : 5+15+10=30 octets

v CONJOINT :5+15+10+20+15+15+15+15= 110 octets

v MARIER : 5+5+5+20=35 octets

v PERIODE :5+10=15 octets

v ACTE :5+10+20+10=25 octets

v TEMOIN : 5+15+20=40 octets

v PUBLICATION : 5+20=25 octets

v VALIDER :5+5+5+20=35 octets

v BUREAU :5+20=25 octets

v CHEF : 5+15+10=30 octets

b. Détermination du tuples (Ni)

v PARENT : 200

v CONJOINT :50

v MARIER : 20

v PERIODE :5

v ACTE :500

v TEMOIN : 200

v PUBLICATION :30

v VALIDER :20

v BUREAU :3

v CHEF :500

2.8.3.2. ENCOMBREMENT MOYEN

Le calcul de l'encombrement : Enc = ? (Li * Ni) avec n qui est égal au Nombre des Tables.

Enc = (Li * Ni) (30x200)+(110x50)+(35x20)+ (15x5)+(25x500)+(25x30)+(35x20)+(25x3)+(30x500)= octets

2.1.3. CONJOINT

ASPET DYNAMIQUE

PERIODE

MARIER

N=110

L=50

N=15

L=5

N=35

L=20

PARENT

N=30

L=200

ACTE

N=25

L=500

TEMOIN

N=25

L=20

VALIDER

PUBLICATION

N=20

L=35

N=25

L=30

BUREAU

N= 30

L=500

N= 3

L=26

CHEF

(1,n)

(1,n)

DESCRIPTION DE TRAITEMENT

Le modèle conceptuel de traitements (MCT) décrit les traitements et plus précisément toutes les activités découlant des échanges entre le domaine étudié et le monde externe. Il exprime ce que fait le domaine sans se poser le problème de savoir qui fait, quand et comment ? Ce modèle décrit les opérations ainsi que les résultats des activités du domaine d'organisation de façon indépendante du choix d'organisation et des moyens utilisés. Il constitue la phase clé de la conception d'un système d'information.

3.4.1. Tableau de flux

a. Le flux de demande

NOM

EMETEUR

RECEPTEUR

DONNEES

SIGNIFICATION

1

Requêteémise

Requérant

Réception

- Nom

- Adresse

- N° tel.

Le requérant demande la requête de mariage auprès de réceptionniste

2

Requête rejetée

réception

requérant

- Idem 1

La réception rejeté la requête

5

Versement

Requérant

réception

- montant

Le requérant verse l'argent auprès de la réception

6

Requête Transmise

Réception

Commis

- idem 1

- idem 5

La requête est transmis au commis en charge de mariage

7

Projet transmis

Commis

Requérant

- Idem 1

- Photopasseport

- Date de naissance

- Lieu de nais

Le commis donne le projet de mariage au requérant pour le remplissage

NOM

EMETEUR

RECEPTEUR

DONNEES

SIGNIFICATION

1

Dépôt projet

Requérant

Commis

- Nom

- adress

- Photo passeport

- Date de naissance

Lieu de nais

Le requérantdépose le projet de mariage au commis

2

Projet no-conforme

Commis

Requérant

- Idem1

Le commis remet le projet au requérant pour la non-conformité

3

Publication du projet validé

Commis

Commis

- Idem1

Le commis publie le projet

4

Registre transmis

Commis

Préposé

- Idem1

Le commis transmet le registre au préposé pour l'établissement de l'acte

5

Acte transmis

Préposé

Officier

- Idem1

- Année

Le préposé transmet l'acte à l'officier pour la validation

6

Acte validé transmis

Officier

Requérant

- Idem5

L'officier transmet l'acte chez le requérant

b. Le flux de validation

3.4.2. TABLEAU DES EVENEMENTS

a. Evénements de demande

NOM EVENEMENT

TYPE

EMETEUR

RECEPTEUR

DONNEES

SIGNIFICATION

1

Requêteémise

externe

Requérant

Réception

- Nom

- Adresse

- N° tel.

Le requérant demande la requête de mariage au près de réceptionniste

2

Requête rejetée

interne

réception

requérant

- Idem 1

La réception rejette la requête

3

Versement

externe

Requérant

réception

- montant

Le requérant verse l'argent auprès de la réception

4

Requête Transmise

interne

Réception

Commis

- idem 1

- idem 5

La requête est transmise au commis en charge de mariage

5

Projet transmis

interne

Commis

Requérant

- Idem 1

- Photo passeport

- Date de naissance

- Lieu de nais

Le commis donne le projet de mariage au requérant pour le remplissage

b. Evénement de validation

NOM EVENEMENT

TYPE

EMETEUR

RECEPTEUR

DONNEES

SIGNIFICATION

1

Dépôt projet

externe

Requérant

Commis

- Nom

- adress

- Photo passeport

- Date de naissance

Lieu de nais

Le requérant dépose le projet de mariage au commis

2

Projet no-conforme

interne

Commis

Requérant

- Idem1

Le commis remet le projet au requérant pour la non-conformité

3

Publication du projet validé

interne

Commis

Commis

- Idem1

Le commis publie le projet

4

Registre transmis

interne

Commis

Préposé

- Idem1

Le commis transmet le registre au préposé pour l'établissement de l'acte

5

Acte transmis

interne

Préposé

Officier

- Idem1

- Année

Le préposé transmet l'acte à l'officier pour la validation

6

Acte validé transmis

interne

Officier

Requérant

- Idem5

L'officier transmet l'acte chez le requérant

3.4.3. TABLEAU DES ACTIONS INDUITES

a. Les actions induites pour la demande

Non-événement

Actions induites

Récepteur

Résultat

1

Requête émise

- Vérifier la requête

- Comparer les identités

Réception

- Requête rejetée

- Requête validée

4

Requête Transmise

- Remplir les identités

Requérant

- Projet rempli

5

Projet transmis

- Vérifier le projet

Commis

- Non-conforme

- Conforme

b. Les actions induites pour la validation

Non-événement

Actions induites

Récepteur

Résultat

1

Dépôt projet

- Vérifier laprojet

- Comparer les identités

commis

- conforme

- non conforme

4

Publication du projet

- affichage du projet

commis

- validé

- annulé

5

registretransmis

- Vésication du registre

Préposé

- Acte de mariage

6

Acte transmis

- Validation de l'acte

Officier

- Acte validé

 

Acte validé transmis

- Donner l'acte

Requérant

- Acte validé

3.4.4. TABLEAU DES OPERATIONS

a. Les opérations de demande

Nom-opération

Actions induites

Evénementdéclenché

Résultats

Signification

1

VERIFICATION

- Comparer

- Vérifier

Requête mariage

- Requête rejetée

- Requête validée

Vérifier si la requête est valide ou non.

2

ENREGISTREMENT

- Ecrire les identités dans le registre

- Requête validée

- Versement

- Requête enregistre

L'enregistrement de la requête

3

ETABLISSEMENT

- Ecrire projet

- Requête enregistre

- Projet mariage

On établidu projet de mariage

b. Les opérations de validation

Nom-opération

Actions induites

Evénement déclenché

Résultats

Signification

1

CONTROLE

- Vérifier

- Elaborer

Projet rempli

- Conforme

- Non conforme

Vérification du projet si il est bien rempli ou non.

2

EDITION

- Etablir

projet conforme

- Projet de publication

Edition du projet de publication

3

PUBLIER

- Afficher

Projet publié

- Validé

- annulé

La publication du projet de publication

4

MIS A JOUR

- Ecrire dans le cahier

Publication validé

- Registre mis a jour

Le registre est mis à jour

5

EDITION

- Etablir

- Registre mis à jour

- Acte de mariage

Edition de l'acte de mariage

6

VALIDATION

- Confirmer

- Acte mariage

- Acte validé

L'officier valide l'acte de mariage

3.4.5. TABLEAU DE SYNCHRONISATION

Non synchronisation

Opération

Synchronisation

Evénement

Signification

1

S1

Enregistrement

A et B

A= versement

B= requête valide

Avant l'enregistrement il faut que la requête soit validé et le requérant verse l'argent

3.4.6. TABLE DES REGLES D'EMISSION DES RESULTATS (RER)

a. RER de demande

Nom RER

Opération

RER

Résultats

signification

1

R1

Vérification

Si la requête est validée

Vrai : requête validée

Faux : requête rejetée

On vérifie la requête

b. RER de validation

Nom RER

Opération

RER

Résultats

signification

1

R1

contrôle

Si le projet est conforme

Vrai : projet conforme

Faux : projet non conforme

On vérifie lala conformité du projet

2

R2

Publication

Si la publication est valide

Vrai : publication validée

Faux : publication annulée

Verification de la publication

G.O.E

a. G.O.E pour la demande

Requête émise

Requête enregistrée

Rejetée

Validée

Versement

Projet mariage

Non-conforme

conforme

Projet de publication

Annulée

Validée

Registre mis à jour

Acte mariage

Acte validé

Projet remplis

b.G.O.E pour la validation

3.4.7. MCT

a. REQUETE EMISE

R1

R2

VERIFIER

VALIDEE

REJETEE

VERSEMENT

S1

ENREGISTRER

PROJET MARIAGE

REQUETE ENREGISTRE

ETABLIR

MCT de demande

b. ETABLIR

R1

R2

CONTROLER

CONFORME

NON-CONFORME

PROJET DE PUBLICATION

METTRE A JOUR

REGISTRE MIS A JOUR

R1

R2

PUBLIER

VALIDEE

ANNULEE

PROJET REMPLI

MCT de validation

EDITER

ACTE DE MARIAGE

VALIDER

ACTE VALIDE

CHOIX DE L'ORGANISATION

OPERATION

PHASE

DEGRE DE FORMALISATION

VOLUME REPETITIVE

DEGRE D'URGENCE

TYPE DE TRAITEMENT

1

VERICATION

COMPARER

PEU FORMALISABLE

- VOLUME FAIBLE

- REPETITIF

URGENT

INTERACTIF

2

ENREGISTREMENT

ECRIRE

PARTIELLEMENT FORMALISABLE

- Volume variable

- Répétitivité variable

URGENT

INTERACTIF

3

ETABLISSEMENT

ECRIRE

PARTIELLEMENT FORMALISABLE

- Volume variable

- Répétitivité variable

URGENT

INTERACTIF

5

CONTROLE

VERIFIER

PARTIELLEMENT FORMALISABLE

- Volume variable

Répétitivité variable

URGENT

MANUEL

ELABORER

PARTIELLEMENT FORMALISABLE

- Volume variable

- Répétitivité variable

URGENT

INTERACTIF

 

ETABLISSEMENT

ECRIRE

PARTIELLEMENT FORMALISABLE

- Volume variable

- Répétitivité variable

URGENT

INTERACTIF

6

MIS A JOUR

ECRIRE

PARTIELLEMENT FORMALISABLE

- Volume variable

- Répétitivité variable

URGENT

INTERACTIF

7

EDITION

ETABLIR

PARTIELLEMENT FORMALISABLE

- Volume variable

- Répétitivité variable

URGENT

INTERACTIF

8

VALIDATION

CONFIRMER

PARTIELLEMENT FORMALISABLE

- Volume variable

- Répétitivité variable

URGENT

MANUEL

3.4.8. DIAGRAMME DE PROCEDURE

1. Début : émission de la requête du mariage

Durée : 5'

Processus de demande de mariage

poste

temps

Requérant

Réception

Commis chargé mariage

Préposé état-civil

Officier état-civil

VERSEMENT

REQUETE REJETEE

REQUETE

REQUETE ENREGISTREE

ENREGISTRER

S1

REQUETE VALIDEE

VERIFIER

REJETEE VALIDEE

PROJET DE MARIAGE

ETABLIR

R1

R2

 
 
 
 
 
 

Début : au versement du requérant

Durée : 3'

Début : à l'enregistrement de la requête

Durée : 1'

2. Processus d'activation de l'acte

poste

temps

Requérant

Réception

Commis chargé mariage

Préposé état-civil

Officier état-civil

Début : remplissage du projet

Durée : 6'

Début : la publication validée

Durée : 2'

Début : à l'établissement de projet de publication

Durée : 4'

Début : la conformité du projet

Durée : 3'

Début : remplissage du projet

Durée : 6'

PROJET REMPLI

CONTRÔLER

NON-CONFORME

CONFORME

PROJET CONFOR

PROJET NO-CONF

PUBLIER

Rejetée

Validée

Validéeee

annuléee

METTRE A JOUR

Publication validée

EDITER

VALIDER

PROJET CONFOR VALID2

PROJET DE MARIAGE

EDITER

PROJET DE PUBLICATION

PROJET DE PUBLICATION

PROJET DE MARIAGE

 
 
 
 
 
 

TEMPS

TRAITEMENT

NATURE DE TRAITEMENT

POSTE DE TRAVAIL /RESSOURCES

REQUETE EMISE

VERIFIER

R1

R2

REJETEE

VALIDEE

 

INTERACTIF

POSTE : réception

RESSOURCES :

- Ordinateur

- Stylo

- Papier A4

 
 

VALIDEE

VERSEMENT

S1

ENREGISTRER

REQUETE ENREGISTREE

 

INTERACTIF

POSTE : réception

RESSOURCE :

- Un agent

- PC

- Papier A4

 
 

REQUETE ENREGISTREE

ETABLIR

PROJET MARIAGE

 

INTERACTIF

POSTE : réception

RESSOURCE :

- Un agent

- stylo

- Papier A4

- imprimante

 
 

2.10.2. DIAGRAMME D'ENCHAINEMENT DE PROCEDURE

C'est un diagramme qui traduit directement, au niveau organisationnel le modèle conceptuel de traitement. Il est construit à partir du diagramme des procédures. Ce diagramme est constitué des événements, les opérations, les résultats associant le type de traitement, les postes de travail concernés et la chronologie des traitements.

1. PROCEDURE DE DEMANDE

TEMPS

TRAITEMENT

NATURE DE TRAITEMENT

POSTE DE TRAVAIL /RESSOURCES

CONTROLER

R1

R2

NON CONFORME

CONFORME

PROJET REMPLI

 

MANUEL

POSTE : commis

RESSOURCE :

- Un agent

- stylo

- Papier A4

 
 

ETABLIR

CONFORME

PROJET DE PUBLICATION

 

INTERACTIF

POSTE : commis

RESSOURCE :

- Un agent

- stylo

- Papier A4

- Pc

- imprimante

 
 

PROJET DE PUBLICATION

PUBLIER

R1

R2

ANNULEE

VALIDEE

 

MANUEL

POSTE : réception

RESSOURCE :

- Un agent

- stylo

- Papier A4

plancard

 
 

METTRE A JOUR

REGISTRE MIS A JOUR

VALIDEE

 

INTERACTIF

POSTE : réception

RESSOURCE :

- Un agent

- stylo

- Papier A4

- pc

 
 

REGISTRE MIS A JOUR

EDITER

ACTE DE MARIAGE

 

INTERACTIF

POSTE : réception

RESSOURCE :

- Un agent

- stylo

- Papier A4

- Imprimante

- pc

 
 

ACTE DE MARIAGE

VALIDER

ACTE VALIDE

 

MANUEL

POSTE : officier

RESSOURCE :

- Un agent

- stylo

- Papier A4

 
 

2. PROCEDURE D'ACTIVATION

Chapitre IV : IMPLEMENTATION

INTRODUCTION

L'implémentation consiste à représenter la solution trouvée sur une configuration matérielle en tenant compte des contraintes physiques et matérielles ainsi que opérationnelles. Elle permet de rendre opérationnel la base de données construite à partir du MCD.

En d'autres termes, l'implémentation est la réponse aux besoins de l'utilisateur sous une forme accessible et utilisable directement.

Cependant, lors de l'implémentation de la solution, plusieurs critères entrent en jeux, il s'agit des critères de choix du système de gestion de base de données (SGBD), du choix du système d'exploitation sur lequel l'application sera installée, du choix de langage de programmation à utiliser, ...

Ces différents choix dépendent d'une part du concepteur et d'autre part des utilisateurs. Le concepteur devrait au préalable étudier et voir les avantages de choisir ou d'utiliser soit tel langage de programmation ou tel système d'exploitation et quant aux utilisateurs le concepteur devrait étudier le système auquel ces derniers peuvent adopter facilement et penser au coût de l'entreprise.

D'où nous avons jugé bon de porter notre choix tout en tenant compte des différents critères cités ci-haut

1. CHOIX DU SYSTEME DE GESTION DE BASES DE DONNEES

L'évolution de l'informatique a permis de mettre en marche les différents types de système de gestion des bases de données. Parmi lesquels nous avons opté le type relationnel qui est le plus rependu et utilisé dans le monde informatique. Les bases de données sont accessibles grâce au système de gestion des bases de données SGBD.

La base données est définit par Richard GRIN comme un ensemble structuré de données enregistrées dans un ordinateur et accessibles de façon sélective par l'utilisateur. Un logiciel qui permet d'interagir avec une base de données s'appelle un système de gestion des bases de données25(*). Parmi les SGBD nous pouvons citer : Access, SQL serveur, MySQL, oracle, Paradons, Sybase ; ...

Pour bien gérer les données et développer notre application nous avons opté le SGBD relationnel Access 2010 de l'entreprise Microsoft. Access est un SGBD permettant de manipuler les bases de données relationnelles et manipulable facilement grâce à son environnement. Il intègre à son sein deux langages :

§ Le langage SQL (structedquerylanguage) incorporé dans chaque SGBD afin de manipuler des données de chaque SGBD en créant des tables et des requêtes.

§ Le langage QBE (query by exemple) inventé par IBM pour faciliter la construction de requêtes relationnelles grâce à un aspect graphique.

Donc, le SGBD permet à un utilisateur de communiquer avec une base de données.

2. CHOIX DU LANGAGE DE PROGRAMMATION

Un langage est une forme de communication servant à exprimer des idées, à informer ou à donner des instructions.

En informatique, le mot « programme » signifie une suite d'instructions (ou ordres) préalablement enregistrées sous une forme donnée (codes) ; à la lecture des quelles la machine effectue automatiquement une suite d'opérations.

Comme l'ordinateur n'est qu'une machine, il faudrait pouvoir communiquer avec lui pour arriver à donner des instructions. Donc la machine fait ce que l'homme lui demande en utilisant un langage qui lui est propre, c'est-à-dire un langage compréhensible par un ordinateur ou qu'il est capable d'interpréter, c'est ainsi que sont nés des langages de programmation, qui permettent de donner des ordres à l'ordinateur.

Parmi les langages de programmation nous pouvons citer :

§ Le langage Pascal ;

§ Le langage Basic ;

§ Le langage Delphi (dérivé de Pascal) :

§ Le langage Visual Basic ;

§ Le langage java ;

§ Le langage PHP ;

§ Le langage C et C++

§ Etc.

Parmi ces langages énumérés ci-haut, notre choix porte sur le langage de programmation Visual Basic qui est un environnement descendant du langage structuré Basic.

Le langage Visual Basic est un langage visuel événementiel et orienté objet.

3. CHOIX DU SYTEME D'EXPLOITATION

Didier FOURT définit le système d'exploitation comme étant le logiciel qui contrôle l'affectation et l'utilisation des ressources matérielles telles que la mémoire, le temps, l'espace disque et les périphériques. Un système d'exploitation est la base sur laquelle s'exécutent les logiciels.26(*)

Voici quelques systèmes d'exploitation : Windows, Mac os et Unix (Linux).

Pour le cas de notre travail, notre choix porte sur le système d'exploitation Windows 7. Pour les raisons suivantes ; il est le plus utilisé en Afrique particulièrement au Congo, il est compatible avec le VB 6.0 et enfin il est facile à utiliser c'est-à-dire il y a facilité de s'adopter.

4. ACTEURS DU SYSTEME INFORMATIQUE ET LEURS ROLES

Le système informatique est l'ensemble de moyens et des méthodes se rapportant au traitement automatisé des informations de l'organisation. Il s'intéresse aux informations collectives qui concernent un ensemble d'entités importantes et voici les acteurs du système informatique et leurs rôles :

· CELIDE : C'est la cellule d'identification, elle s'occupe de l'identification des contribuables et leurs biens.

· CELTAX : C'est la cellule de taxation, elle s'occupe des calculs c'est-à-dire la taxation de l'impôt selon la nature et celle du bien.

· CELORD : C'est la cellule d'ordonnancement, elle s'occupe de l'ordonnancement c'est-à-dire elle donne l'ordre au contribuable d'aller verser à la banque.

· CELAP : C'est la cellule qui s'occupe de l'apurement ou la vérification de l'acquittement des contribuables.

CONCLUSION GENERALE

A l'issue de notre travail que nous avons eu à réaliser dont le sujet s'intitule `' mis en place d'une application d'enregistrement de mariage dans un bureau communal : cas de la commune KENYA ''.

En effet, voici la question relative à notre sujet que nous nous somme posée :L'implémentation d'un système d'information informatisé, pourra-t-elle réduire le risque de double enregistrement de mariage?

Nous avions émis l'hypothèse qu'avec la part que l'informatique va apporter au moyen de l'ordinateur et une application d'enregistrement de mariage que nous avions doté à l'Etat civil (commune KENYA) ; nous arriverons à décanter le problème lié à l'enregistrement de double mariage et permettre à l'Etat civil de maximiser le temps ainsi que la sécurité de ses données.

Hormis l'introduction et la conclusion notre travail était subdivisé en 4 chapitres que nous avons :

- Le premier chapitre : concepts et considération théorique du sujet

- Le deuxième chapitre :l'analyse de l'existant

- Le troisième chapitre : conception du nouveau système

- Le quatrième chapitre implémentation

Table des matières

INTRODUCTION GENERALE 1

1. CHOIX ET INTERET DU SUJET 1

2. ETAT DE LA QUESTION 2

3. PROBLEMATIQUE 3

4. HYPOTHESE 3

5. METHODES ET TECHNIQUES 4

6. DELIMITATION DU SUJET 5

7. SUBDIVISION DU TRAVAIL 5

Chapitre I: LES CONCEPTS ET CONSIDERATION THEORIQUE DU SUJET 6

1. LES MOTS CADRANTS AVEC LE SUJET 6

2. DEMARCHE MERISE 6

1.1.1 MODELE CONCEPTUEL DE DONNE(MCD) 7

1.1.2 DESCRIPTION DES DONNEES 7

1.1.3 INVANTAIRE LOTS D'INFORMATION 7

1.1.4 DICTIONNAIRE DE DONNEES(DD) 8

1.1.5 MATRICE DE DEPENDANCE FONCTIONNELLE A SOURCE SIMPLE 8

1.1.6 MATRICE DE DEPENDANCE FONCTIONNELLE A SOURCE COMPOSE 8

1.1.7 MATRICE DES CLES 8

1.1.8 GRAPHE DES CLES 8

1.1.9 STRUCTURE SAT (D'ACCES THEORIQUE) 8

1.1.10 MODELE CONCEPTUEL DE DONNEES (MCD) 8

1.1.11 TABLEAU DE CARDINALITE 8

1.1.12 MODELE CONCEPTUEL DE TRAITEMENT(MCT) 8

2.1.1. DESCRIPTION DES TRAITEMEMTS 9

c. Tableau des opérations 9

2.2. MOT (A) 10

2.3. Modèle Organisationnel de Données (MOD) et Modèle Logique de Données (MLD) 10

2.4. MODELE ORGANISATIONNEL DU TRAITEMENT (MOT) 11

2.5. DIAGRAMME DE PROCEDURE (phases) 11

2.6. DIAGRAMME DE REPARTTION DES TACHES 11

2.7. IMPLEMENTATION 11

2.8. LANGAGE DE PROGRAMMATION 11

1.1.13 Langage Visual basic 11

1.1.14 Classes Et Objets 12

2.9. SYSTEME DE GESTION DE BASE DE DONNEES (S.G.B.D) 12

1.1.15 La base de données 12

1.1.16 L'accès aux données 12

1.1.17 La requête 12

1.1.18 Les Relations 12

1.1.19 Les attributs 12

1.1.20 Clé primaire 12

1.1.21 Domaine 12

1.1.22 Les aspects de la base de données 13

1.1.23 CHOIX DU SYSTEME DE BASES DE DONNEES 13

CHAPITRE II ANALYSE DE L'EXISTANT 14

2. LA PRESENTATION DU SYSTEME D'INFORMATION 14

2.1.1. Introduction 14

1.1.24 Présentation du cadre d'étude 14

2.1.2. IDE LA SITUATION GEOGRAPHIQUE 14

2.1.3. ORGANISATION ADMINISTRATIVE 16

2.1.4. L'ETAT - CIVIL EN RDC 17

2.1.4.1. Le concept état - civil 17

2.1.4.2. Histoire de l'état - civil (origine) 18

2.1.4.3. L'avènement de l'état - civil en RDC. 18

La description de donnée est une opération qui nous permet de répertorier les informations de chaque document étudié. 21

1.1.25 C'est une structure qui nous permet de répertorié les propriétés issues des différents documents qui nous ont étaient présenté. 22

Chapitre III CONCEPTION DU NOUVEAU SYSTEME 28

1. DESCRIPTION DU NOUVEAU SYSTEME 28

1.1. DICTIONNAIRE DES BONNEES 28

1.2. REGLE DE GESTION Erreur ! Signet non défini.

2. STRUCTURE DES DONNEES 30

2.1. MATRICE DE DEPENDANCE FONTIONNELLE A SOURCE SIMPLE 30

2.2. MATRICE DE DEPENDANCE A SOURCE COMPOSEE 31

2.3. MATRICE DE CLES 31

2.4. GRAPH DE CLES 31

2.5. SAT 32

2.6. MCD 33

2.7. TABLEAU DES CARDINALITES 34

2.8. CHOIX ET TYPE DE BASE DE DONNEE 34

2.9. DESCRIPTION DE TRAITEMENT 38

2.10. CHOIX DE L'ORGANISATION 44

Chapitre IV : IMPLEMENTATION 49

1. INTRODUCTION 49

2. CHOIX DU SYSTEME DE GESTION DE BASES DE DONNEES 49

3. CHOIX DU LANGAGE DE PROGRAMMATION 49

4. CHOIX DU SYTEME D'EXPLOITATION 50

5. ACTEURS DU SYSTEME INFORMATIQUE ET LEURS ROLES 50

* 1 Daniel K. Schneider, introduction à la recherche et le choix d'un sujet,2004, pIV4

* 2 DUNIA YAFUNGA Gabriel,  « Mise en place d'une application web pour la gestion des certificats de mariage en RDC »,UPL,Ed.2013

* 3Dictionnaire Petit ROBERT de poche, page 565.

* 4 Code de la famille, art. 388

* 5R. PINTO & M. GRAWITZ Méthode de science sociale, éd. Dalloz, Paris 1975, P. 20.

* 6R. PINTO & M. GRAWITZ Méthode de science sociale, éd. Dalloz, Paris 1975, P. 20.

* 7 GUSTAVE Le Bon, psychologie des temps nouveaux, 1920 ,p142

* 8 Selon le dictionnaire  PETIT ROBERT

* 9 GRAWITZ,Z . : méthodes des sciences sociales, 4eme éd. Paris, 1979,p.571

* 10 Source, code la famille, art.330

* 11CT ELIE LOUIS KABWE Cours de méthode d'analyse informatique2014 -2015

* 12 MICHEL divine : parlez- vous merise? Les éditions du phénomène, France 1994

* 13Jac Munda - Questions approfondies d'IG L1

* 14 MICHEL divine : parlez- vous merise? Les éditions du phénomène, France 1994

* 15 CT ELIE LOUIS KABWE Cours de méthode d'analyse informatique2014 -2015

* 16 PROFESSEUR Daniel BAVUEZA MUSANA 2015-2016

* 17 CT ELIE LOUIS KABWE Cours de méthode d'analyse informatique2014 -2015

18 PROFESSEUR Daniel BAVUEZA MUSANA 2015-2016

* 19 CT DAILY KALOMBO NSHIMBA vidje cous de l.p.o.o 2015-2016

* 20 CT LUCID BULA cours de bases de données 2015-2016

* 21 CT LUCID BULA cours de bases de données 2015-2016

* 22 CT LUCID BULA cours de bases de données 2015-2016

* 23Code civil, Tome II, section 3, 1987

* 24Source : Bureau de l'Etat-civil de la commune de la kenya

* 25 Richard Grin, introduction aux bases de données, modèle relationnel, université de Nice Sophia-An-liplis 1999, P.3

* 26 Didier FOURT : définition sur le système d'exploitation






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"Il faut répondre au mal par la rectitude, au bien par le bien."   Confucius