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Coà»t de production et prix de la farine de maà¯s dans le territoire de Rutchuru, cas du groupement de rugari

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par Deogratias Mwamba
Université de Goma - Licence en économie rurale 2016
  

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CHAPITRE DEUXIEME : GENERALITE SUR LES MAÏS

II.1. Maïs38(*)

Zea mays

Anglais : maize (GB) ou corn (USA),

Espagnol : maiz,

Portugais : milho.

Famille des Poeceae, tribu des Androponeae.

II.1.1. Les utilisations du maïs

Les utilisations du maïs varient beaucoup selon économique des pays. Dans ceux à faible revenu, le maïs est surtout réservé à la consommation humaine directe, sous forme d'épis immatures, de farine ou de semoule. En revanche, dans les pays développés, il constitue une matière première pour l'alimentation de bétail, l'industrie de la semoule et celle de l'amidon. Cette dernière est en pleine expansion en Europe et aux Etats-Unis (20% des utilisations domestiques). Ses débouchés sont très diversifiés : produits alimentaires (isoglucose, pectines), chimiques (biocarburant, plastiques), pharmaceutiques et textiles, papetiers.

Les germes des maïs donnent de l'huile qui sert pour l'alimentation humaine, pour la fabrication de margarines, de savons, de vernis de textiles artificiels, etc.

Enfin, on peut cultiver le maïs comme fourrage vert ou pour faire de l'ensilage pour les bovins.

II.1.2. La plante et son environnement

· La plante

ü L'origine et la diffusion

Les maïs est la seule plante cultivée d'importance dont l'ancêtre sauvage ne soit pas connu avec certitude. Cultivé depuis des millénaires en Amérique centrale, il aurait été domestiqué dans la région centrale du Mexique à partir de téosinte local. La culture du maïs s'est ensuite propagée sur l'ensemble du continent américain, des Andes au Canada, puis, à partir du XVIe siècle, sur tous les continents, en zone tropicale comme en zone tempérée. Il serait arrivé en Afrique au XVIIe siècle.

Le genre de Zea renferme des espèces annuelles et prennes originaires du Mexique et d'Amérique centrale. Il comprend des formes sauvages, les téosintes, présentes au Mexique et au Guatemala, et une forme cultivée, le maïs. En effet, on distingue quatre espèces, dont l'une, Zea mays, elle-même divisée en quatre sous-espèces. Parmi elles, la sous-espèce annuelle Z. mays subsp. Mays.

Le maïs est la céréale dont la zone de culture est la plus vaste. Elle s'étend sur 140 millions d'hectares de la latitude 40o sud, en Argentine et en Afrique du sud, à la latitude 58o Nord, au Canada. Dans les Andes, elle culmine à 4000 m d'altitude, alors que le maïs pousse au dessous du niveau de la mer Caspienne.

ü Les caractéristiques morphologiques

Le maïs est une céréale herbacée annuelle, à tallage généralement faible ou même nul. Il présente une large diversité morphologique selon les variétés.

La plante possède des racines séminales, fonctionnelles jusqu'au stade cinq ou six feuilles et des racines définitives ou coronaires. La tige, constituée de l'écorce et de la moelle, mesure de O, 6 à 6 m. c'est un empilement de noeuds et d'entre-noeuds. Au niveau de chaque noeud, on trouve une feuille (leur nombre varie de huit à quarante-huit) et un bourgeon axillaire. Les bourgeons de la base de la tige peuvent donner des talles, ceux du milieu un ou plusieurs épis et le bourgeon terminal la panicule.

Le maïs est donc une plante mosaïque à inflorescences séparées. L'épi est une tige en miniature, avec des spathes et une inflorescence terminale (l'épi proprement dit) formée d'un axe central, la rafle, qui porte les grains. Le grain est un caryopse qui comprend le péricarpe, l'embryon et l'albumen riche en amidon.

ü Le mode de reproduction

Le maïs est l'espèce végétale dont la génétique est la mieux connue : un millier de locus contrôlant des caractères qualitatifs y ont été analysés, dont 575 sont rigoureusement déterminés et cartographiés. La carte génétique du maïs est quasiment saturée et révèle un fort polymorphisme. Le maïs est vraisemblablement un allotétraploïde avec n ? 2×5.

Les variétés tropicales sont très nombreuses. Elles sont conservées par le CIMMYT, dont la collection compte environ 15 000 accessoires. A partir des 12 000 accessions provenant d'Amérique latine, 250 races ont été identifiées, sur des critères essentiellement morphologiques, et regroupées en quatorze complexes raciaux. Les races d'Amérique du Nord et des autres continents sont toutes issues des maïs d'Amérique latine, dont elles sont différenciées du fait de nouvelles combinaisons et des sélections réalisées. Les races nord-américaines sont bien décrites et sont regroupées en dix complexes raciaux. Pour les autres continents, ce travail reste à faire.

ü Les types variétaux

En zone tropicale, le maïs est cultivé dans des conditions écologiques ou socio-écologiques très diversifiées. Son utilisation alimentaire traditionnelle exige que le produit corresponde aux préparations culinaires et aux goûts des différents consommateurs. Pour répondre à cette diversité de situation, il est nécessaire de disposer d'une gamme de variétés. Celles-ci doivent être adaptées aux différents niveaux d'intensification pratiqués : culture extensive destinée à l'autoconsommation, culture extensive commerciale, culture semi-extensive. Elles doivent être capables de produire dans des milieux très variables. Elles doivent, en fin, être bien appréciées des utilisateurs : le type et la couleur du grain, les qualités de mouture et de conservation sont des critères essentiels.

Les écotypes

Le maïs a été soumis à une sélection massale dès le début de sa domestication. Les agriculteurs choisissent à chaque saison les plus beaux épis pour ensemencer leur champ à la saison suivante. Cette pratique est encore aujourd'hui courante en zone tropicale. Les écotypes en sont issus. Ils sont largement utilisés en agriculture traditionnelle extensive.

Les hybrides

Les hybrides sont réservés à la culture intensive avec intrants où ils peuvent le mieux exprimer leurs potentialités. Les pays développés et la chine cultivent aujourd'hui uniquement des hybrides. Le Brésil et les pays d'Asie du Sud-est et d'Afrique de l'Est y ont largement recours. Leur emploi reste en Afrique francophone.

Les variétés améliorées à fécondation libre

Entre la sélection massale et la création directe d'hybrides, la sélection récurrente permet de rassembler une variabilité génétique importante et de sélectionner progressivement pour améliorer de nombreux caractères, tout en conservant une bonne part de cette variabilité. Dans les pays tropicaux, elle est actuellement largement employée sous l'impulsion du CIMMYT. Elle permet de créer de variétés améliorées à pollinisation libre, alliant des potentialités de rendement élevé, des qualités agronomiques et la résistance aux contraintes biotiques et abiotiques, particulièrement important en zone tropicale.

Ces trois types variétaux seront encore longtemps utilisés en milieu tropical, même si on observe une progression des variétés améliorées et des hybrides au détriment des écotypes.

· L'écologie du maïs

v Les mécanismes de régulation du rendement

Un grain de maïs possède un potentiel génétique de production, qui sera atteint si aucune contrainte ne vient limiter son expression. Tout l'art du cultivateur consiste à permettre l'expression de cette potentialité. Mais comme le milieu idéal n'existe pas, il y a tout au long du cycle une adaptation aux conditions réelles de production.

Le rendement final résulte (Cfr. Figure 3) de la multiplication du nombre de grains par le poids moyen du grain. Le nombre de grains par unité de surface est lui-même fonction de la densité, de la prolificité (nombre moyen d'épis/plante) et du nombre de grains réels/épi (lui-même lié au nombre d'ovules/épi et à la réussite de la fécondation). Le poids de mille grains maximum est fixé génétiquement, mais il peut ne pas être atteint si le milieu est défavorable.

Figure 3 : Schéma d'élaboration du maïs

Rendement

Poids d'un grain

Nombre de grains

Nombre de grains par plante

Nombre des plantes par hectare

Nombre d'épis par plante

Nombre de grains par épi

Pourcentage de fécondation

Nombre d'ovule par épi

Longueur de chaque rang

Nombre de rangs

Source : Mémento de l'agronome, P783

Chez le maïs, les différentes phases du développement de la plante, correspondant aux différents composantes qui conditionnent le rendement final, se succèdent au long de la vie de la plante. Chacune d'entre elles peut, sous l'effet d'un stress, contribuer à diminuer le rendement potentiel. Le rendement réel est donc le résultat d'une série de soustractions à partir du rendement potentiel.

ü Le nombre de plantes/ha résulte du choix d'une densité par l'agriculteur et de la réussite du semis et de la levée. La qualité de la semence, les conditions di semis, la présence éventuelle d'insectes attaquant les plantules, la pratique d'un nouveau semis ou d'un démariage sont autant de facteurs qui interviennent dans l'élaboration de la densité à la récolte.

ü Pendant la phase végétative les racines, la tige et les feuilles subissent éventuellement le contrecoup de conditions défavorables. Par exemple, une attaque virale précoce peut fortement réduire la surface foliaire utile. Le succès de la mise en place de l'appareil végétatif conditionne largement le rendement final.

ü Un stress pendant la formation des épis réduit le nombre de rangs, puis la longueur de l'épi. Quant au nombre d'épis/plante, il n'est fixé que quelques jours avant la sortie des soies. La prolificité en épis est recherchée en milieu tropical car elle permet une régulation du rendement et peut, notamment, compenser une faible densité.

ü Un stress à la floraison va, en allongeant l'intervalle floraison mâle/floraison femelle, diminuer le pourcentage de fécondation et favoriser l'avortement des ovules, puis des graines.

ü Enfin, si la plante soufre pendant le remplissage des grains, c'est le poids de mille grains qui est diminué.

Un stress aura donc des conséquences négatives sur le rendement quelle que soit la période où il se produit. Mais les phases au cour du desquelles il a les conséquences les plus graves sont d'une part le semis et les deux semaines qui le suivent, d'autre part les deux semaines qui précédent et les deux semaines qui suivent la floraison.

v Les besoins de la plante et les stress

Le maïs est une plante exigeante :

ü En lumière, du fait de son métabolisme photosynthétique en C4. Il a des exigences en température assez élevées à la germination : optimum de 25°C, impossible en dessous de 10°C ;

ü En eau. Un maïs de 120 jours en climat soudanien demande au mois 600 mm de pluies bien réparties ;

ü En fertilité. Très sensible aux carences et répondant bien aux apports d'engrais et notamment d'azote, il affectionne les sols riches en matière organique et dotés de bonnes propriétés physiques.

De nombreux stress peuvent réduire le rendement. Ils peuvent être liés à plusieurs facteurs.

Le climat

ü La sécheresse est particulièrement dommageable au moment du semis mais sa plus forte influence négative sur le rendement se situe au moment de la floraison. On sème donc sur un sol bien humide (25mm de pluies la veille ou l'avant-veille), et on cale le cycle de la culture de façon à réduire le risque de sécheresse à la floraison ;

ü l'excès d'eau peut provoquer l'asphyxie ou même la pourriture des racines. On évite les sols hydromorphes ou drainant mal ;

ü l'énergie lumineuse disponible pendant la culture est limitée en région fortement nuageuse (zone équatoriale). Il n'y a aucune parade ;

ü le vent peut provoquer la verse ou la casse. La résistance variétale est la meilleure défense ;

ü les fortes températures peuvent, surtout si elles sont associées à un climat sec ou venteux (saison sèche chaude du Sahel), provoquer des brulures sur les feuilles.

Le sol

Les sols acides ou salés limitent fortement le rendement. Il n'existe actuellement guère de variétés tolérantes. On évite donc les sols salés. Quant aux sols acides, un chaulage peut être proposé, mais il n'existe pas forcément rentable.

Le maïs est une plante exigeante, très sensible aux variations de fertilité du sol répondant bien aux apports d'engrais et notamment d'azote .c'est pourquoi, cette espèce a souvent été utilisée pour mettre en évidence les carences minérales du sol. Elle affectionne particulièrement les sols riches en matière organique et dues de bonnes propriétés physiques. Aussi est-elle souvent cultivée autour des habitations (culture de case)39(*).

Techniques culturales

Le maïs est très sensible à l'amélioration des propriétés physiques du sol ; l'augmentation de rendement due au seul labour (qui augmente notamment les réserves d'eau du sol) est généralement élevée et atteint couramment 2 pourcent suivant les regions.la densité de peuplement optimale est généralement comprise entre 40 et 60.000 plants à l'hectare. Le poids de semences est de l'ordre de 15 à 25 kg/ha pour 45 à 50.000 plants à l'hectare.

Rendement

On obtient 500 à 800 kg/ha en culture traditionnelle dans les très bonnes conditions, on atteint 6 à 7 tonnes/ha en station et 3 à 4 t/ha en grande culture.

Un grain de qualité doit être sec et exempt de moisissures et d'insectes. Les conditions de séchage et de stockage sont primordiales pour y parvenir.

Récolte

Le maïs peut être récolté en épis frais pour une consommation très rapide, ou à maturité pour être consommé en grains. On peut récolter soit les épis, soit les grains.la récolte en épis est presque toujours manuelle en groupement de Rugari, mais elle peut être mécanisée. La récolte en grain se fait mécaniquement à l'aide de corn-shellers

Séchage

Le grain doit être généralement être sèche. Un séchage rapide est un gage de qualité, il empêche le développement de moisissures et parfois de mycotoxines. Les techniques traditionnelles associent souvent séchage et stockage. Les épis sont souvent séchés au soleil sauf pendant la période pluvieuse, pour ce dernier cas, l'utilisation des séchoirs est recommandée.

L'égrenage

Il peut être réalisé immédiatement après la récolte si le maïs est déjà sec. Il est plus souvent manuel, avec ou sans l'aide de petites égreneuses.

Stockage et la protection des stocks

Apres égrenage, le grain sec est souvent conservé en sacs ou en greniers ou récipients fermés hermétiquement. Divers insectes attaquent les grains de mais en cours de stockage, principalement des papillons et des charançons.

L'infestation commence souvent au champ avant la récoltée cas d'infestation grave, 90% des grains peuvent être détruits au bout de 6 mois ; l'emploi d'insecticide est nécessaire si l'on veut conserver le maïs pour une durée... à 3 mois.

MALADIES DE MAÏS

Les maladies les plus fréquentes en milieu tropical sont les rouilles (puccinia polysora en basse altitude, qui produit des petites rondes orangées et p. sorghi, plus fréquente en altitude qui produit des lésions allongés brunes) et les Helmintho sporiose (en basse altitude ou en saison fraiche).40(*)

1) La rouille américaine : le principal symptôme est constitué par rouille sur les feuilles,

2) Brulures des feuilles,

3) Charbon : principal symptôme est du à sphacelotheca reiliana dont la distribution actuelle en Afrique est très restreinte.

4) Cercospora : se manifeste par des taches plus ou moins arrondies sur les feuilles, leur donnant parfois un aspect tigré.

CAS PARTICULIER : Maladies et parasité de la culture de maïs dans le groupement de Rugari41(*).

Culture

Maladie

Traitement

Parasite

Traitement

Maïs

ü Ruine couronné

ü Mildiou

ü Charbon du Maïs

ü Fusariose du Maïs

ü Eliminer les plantes malades

ü Rotation

Charançons

Faudrait recourir aux semences résistantes

Source : nos enquêtes auprès bureau des agronomes de Rugari

· les temps des travaux

Les temps des travaux par hectare de culture pure varient en fonction du système de culture.par exemple, un labour manuel demande plus de 200h de travail/ha, alors qu'il ne faudra que 20 à 30h en culture attelée bovine et 6h avec le mini tracteur et une charrue bisoc.

ü unité de travail

L'unité généralement utilisée est la journée de travail (JH) ou unité de travail humain (UTH), en RDC on parle d'homme jour (HJ).

Opérations culturales

Maïs/1ha

Abattage

Nettoyage de terrain

Semis

1er sarclage

2e sarclage

Récolte

Transport

40HJ

40HJ

20HJ

50HJ

50HJ

15HJ

15HJ

230HJ

On a besoin d'environ 5mois, soit 26 jours × 5 =130jrs. Si l'on veut engager des permanents, on aura :

230/130=1,76 soit 2 personnes.

Dans une exploitation, il existe un temps indirect, c.à.d. celui de la préparation des matériels et de la marche vers les champs, et le temps direct de travail.

ü Efficience du travail

Pour s'en rendre compte, on calcule :

1°.La productivité du travail : Productivité Brut du Travail égal au produit brut (tout ce qu'on a produit sur l'unité travailleur agricole annuelle : UTAA).

PBT=produit brut/utaa

Cette indicateur ne dit pas si la quantité du travail est sous ou sur employée.

2°.Coefficient d'efficience du travail : CET

CET=heures (journées) de travail nécessaire/h (jr) de travail disponible

.Si : CET < 1 : sous emploi

CTE ? 1 : plein emploi

CTE > 1 : sur emploi

ü CALENDRIER AGRICOLE (du maïs)42(*)

a)SAISON A

15juillet-15aout : Défrichement, 1er labour

15aout-15septembre : 2labour-herbage

15septembre-25septembre : Semis

20-25septembre-25octobre : 1er Sarclage

25octobre-20/25novembre : 2e sarclage

25octobre-20/25décembre : début récolte

Technologie des produits récoltés

Séchage-Triage-Conditionnement-Conservation-Commercialisation.

b) SAISON B

10janvier-15fevrier : Défrichement 1er labour

15fevrier-10mars : 2elabour

10mars-20mars : Semis

20mars-15avril : 1er Sarclage

15avril-25mai : 2esarclage

25mai-15juin : Début récolte

15juin-15juillet : Suite récolte43(*).

Commentaire : comme on peut le remarquer, pour la culture de maïs, il y a des périodes où l'agriculteur travail énormément, sans repos (du défrichage au semis ainsi que pendant la première récolte car il pleut abondamment enfin d'éviter que la récolte ne pourrie dans le champ).

Ainsi que l'a remarqué le Professeur Nyandwi dans sa thèse de doctorat cité par SENZIRA P. dans son mémoire intitulé « Formation des prix agricoles et promotion paysanne. Cas de la collectivité de Bwisha, territoire de Rutshuru au Nord-Kivu », la complexité des activités agricoles accroît la charge du travail en même temps qu'elle pose une contrainte importante dans la réorganisation du processus de travail dans le ménage44(*)

Ce calendrier agricole devrait être appliqué et respecté pour les endroits marécageux et bien drainer, les activités agricoles qui sont pratiquées toute l'année tant qu'aux cultivateurs vivriers que maraichères.

* 38 Ministère de la coopération et du développement, Mémento de l'agronome, paris, 1992, P780

* 39 Source : Rapport des agronomes du groupement de Rugari, 2013

* 40 Ministère de la coopération Française, Mémento de l'Agronome, Paris, 1993, pp....

* 41 Ndeze M., La production et la commercialisation du maïs dans le groupement de Bukoma à Rutshuru, mémoire, FSEG, UNIGOM, 2014-2015

* 42 Ndeze M., op. cit. P32

* 43 Rapport annuel du bureau section agriculture de groupement de Rugari, 2013.

* 44 Senzira P, Formation des prix agricoles et promotion paysanne. Cas de la collectivité de Bwisha, territoire de Rutshuru au Nord-Kivu, Mémoire, université catholique de Bukavu. P20

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"Le don sans la technique n'est qu'une maladie"