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à‰tude cap sur l'utilisation des préservatifs dans la lutte contre les IST et VIH en milieu universitaire.

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par Marcel BAHATI RUSIMBUMBUKA
Institut Supérieur des Techniques Médicales de Goma (ISTM) - Licence 2014
  

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CHAPITRE QUATRIEME : DISCUSSION DES RESULTATS

IV.1. Enquêtés selon les données sociodémographiques

Au total, 97 étudiantes sur les 278 ont été concernées par l'enquête, soit 34,9 % ce qui donne un sexe ratio de 1,87. (Tableau n°2)

Nous constatons que 3/4 de nos enquêtés soit 74,5% sont des célibataires. (Tableau n°3)

La majorité de notre cible est constituée par les étudiants du graduat qui représentent 78,4% ; ceux de licence représentant 21,6%. (Tableau n°4)

La tranche d'âge la plus représentative est celle de 21-25 ans qui prend un effectif supérieur à la moitié de nos répondants. Elle représente 57,2% de nos répondants. La tranche d'âge la moins représentée est celle de plus de 30 ans avec 3,6%. (Tableau n°1)

La religion protestante est la plus représentée dans notre population d'étude. Elle représente 37,4% suivie de la religion catholique avec 30,2%. (Tableau n°5)

IV.2. Connaissance des enquêtés sur le préservatif

La quasi-totalité des étudiants constituant notre population d'étude connaissent le préservatif, ils représentent 94,2% (Tableau n°6). Nos résultats sont supérieurs à ceux de l'URD de l'université de Loméen 2010 qui conclut que la majorité de ses enquêtés connaissent l'existence des IST à 72%.

La majorité des étudiants déclarent avoir connu le préservatif par le canal des enseignements reçus à l'école (26%), partenaires sexuelles (25,6%), amis (25,2%), médias (22,5%) et parent/familier (0,8%) (Graphique n°1).

Plus de la moitié (3/4), soit 75,2% de nos répondants nous ont déclaré connaitre deux types de préservatifs : le masculin (condom) et le féminin (femidom) ; et environ 25% reconnaissent avoir connu un seul type de préservatif ; le masculin.

La quasi-totalité (97,7%) déclare que le préservatif protège des infections sexuellement transmissibles contre 2,3% qui nous ont dit que le préservatif ne protège pas des IST (Tableau n°9). Nos résultats sont légèrement supérieurs à ceux trouvés dans l'enquête menée par le Réseau Ouest et Centre Africain de Recherche

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en Education (ROCARE)19 en Mars 2007 qui stipula que 91,7% des étudiants déclarèrent que le préservatif protège des IST et VIH/SIDA.

Vu les résultats trouvés ci-haut, il sied de signaler que notre première hypothèse est acceptée car la quasi-totalité des étudiants nous ont déclaré connaître les préservatifs et leurs avantages ; ici la lutte contre les infections sexuellement transmissibles.

La totalité de nos répondants qui se sont exprimés sur la réutilisation du préservatif ont dit que le préservatif est à usage unique (Tableau n°11). Ce résultat est dans le même sens que celui trouvé dans l'étude CAP réalisée par le Dr. F.Toudeft en Algérie qui trouva que 75% des étudiants déclaraient que le préservatif est à usage unique.20

3/4 de nos répondants ont dit connaître deux types de préservatifs : le condom et le femidom, soit 75% ; près de 25% ont avoué ne connaitre qu'un seul type de préservatif. (Tableaux n°7 et n°8)

Environ 85% de nos répondants avouent avoir appris le port du préservatif contre seulement 15 qui nous ont dit n'avoir jamais été initiés au port du préservatif. (Tableau n°10)

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"En amour, en art, en politique, il faut nous arranger pour que notre légèreté pèse lourd dans la balance."   Sacha Guitry