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Rapport de stage effectué au sein de Loncor Minig Inc Congo 2012-2013.

( Télécharger le fichier original )
par KAVYAVU Wisdom
UNIVERSITE DE CONSERVATION DE LA NATURE ET DE DEVELOPPEMENT DE KASUGHO - BACHALOREAT 2012
  

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REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO
UNIVERSITE DE CONSERVATION DE LA NATURE ET DE
DEVELOPPEMENT DE KASUGHO

FACULTE DES SCIENCES

DEPARTEMENT DE GEOLOGIE

RAPPORT DE STAGE EFFECTUE AU SEIN DE LONCOR MINIG inc CONGO 2012 2013

Par : Wisdom KAMBALE KAVYAVU

Travail présenté en vue l'obtention du diplôme de licencié en sciences Géologiques

Option : Exploration et Géologie Minière Directeur: dogue kaserka Géolgue Ass Nisxon LUHOHWERE

Ass Tony BARUTHI

ANNEE ACADEMIQUE : 2010-2011

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I. INTRODUCTON GENERALE

Comme mentionné au programme de l'enseignement supérieur et université (ESUR) en république démocratique du Congo, il est demandé à tout étudiant finaliste d'un cycle de grade ou de licence pour certains domaines et tout étudiants pour les techniques de passer un stage professionnel pour une harmonie entre les notions scientifiques théoriques apprises à l'université et celles pratiques sur terrain.

Dans cet angle, avons effectué notre stage dans le carré minier de la société LONCOR Ressources Congo S.p.r.l dans le porject Lubero pour une durée d'au moins 20 jours allant du 25 Novembre au 15.Décembre 2013.

Dans ce projet, la société LONCOR Ressources Congo S.P.R.L. est dans la phase de prospection et nous avons ouvré dans le gride nommé Musasa

01. Objectifs du stage

Aussitôt terminer ce stage, nous serons utils et aptes de (dans la,d'):

· Marier les théories apprises à la pratique sur terrain par la connaissance de l'utilisation des différents appareils géologiques tels que la boussole, le scale ruler, protector, le GPS (système de positionnement global),...

· Reconnaissance des différentes familles des roches et des minéraux sur terrain;

· la nomenclature de quelques roches ou les reconnaitre macroscopiquement ;

· Avoir une idée sur l'établissement des cartes géologiques (en fonction de l'objectif visé) en différentes échelles et son usage;

· Prendre les mesures structurales (direction et pendage) sur les roches, filons de quartz, foliation,...

· Avoir une notion sur l'échantillonnage de sol, les le rainurage (channels sampling), l'échantillonnage des sédiments de rivière (stream sediment),...

02. Matériels utilisés

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A l'occasion de notre sejour de stagesur terrain, nous nous sommes servis des matériels suivants :

1. Le GPS (Système de Positionnement Global). Cet appareil nous a permis de prélever les coordonnées géographiques de nos différents échantillons, il est de marque Garmin;

2. La Boussole marque SYLVER pour la prise des données structurales (direction et le pendage) de certaines formations géologiques litées et le sens d'écoulement des cours d'eaux et des voies des riverains;

3. Le marteau marque Estwing pour ceigne les affleurements en vue d'en prendre un échantillon ;

4. La loupe pour observer clarifier ou agrandir les différents minéraux constitutifs d'une roche ;

5. Stylo marqueur pour marquer l'échantillon ;

6. Le morceau de verre à vitre pour vérifier la dureté des roches;

7. L'appareil photographique marque digital ;

8. Un sac à dos pour le transport des échantillons ;

9. Le stylo magnétique pour détecter les roches magnétiques ;

10. Les sachets en plastique servant comme emballage des échantillons ;

11. Un carnet de terrain comme support de toute notre minute géologique ;

12. Le stylo ordinaire, la gomme, crayon, ou porte mine,...

13. La machette pour faire les pistages;

14. Colour chart : petit carnet utilisé pour l'identification de certaines couleurs;

15. Décamètre (tape mesure) pour les mesures des épaisseurs, la hauteur des affleurements ou des couches;

16. Etc.

03. SUBDIVISION DU TRAVAIL

Exclus l'introduction et la conclusion notre rapport est subdivisé en deux grands chapitres notamment :

? Le premier chapitre concernant les généralités sur la situation géographique Musasa.

? Le deuxième chapitre est consacré sur le déroulement des travaux effectués et les différentes méthodes et techniques utilisées pour ces différents travaux.

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CHAPITRE PREMIER : GENERALITES

I. LITHOSTRATIGRAPHIE DE LUBERO

I.1. PRESENTATION DU MILIEU

Notre stage s'est effectué dans la localité de MUSASA aux coordonnées WGS 35, 0737423 Est et de latitude 9991335 Sud, située à 29 Km à l'Ouest de la cité de KIMBULU, dans la collectivité des BASWAGHA, au Sud-ouest de la ville de BUTEMBO, dans le territoire de LUBERO, au Nord-Kivu en République Démocratique du Congo.

I.2. CADRE GEOLOGIQUE

I.2.1.Aspect géologique et structural du Nord-Kivu

A. Aperçu tectonique

Par sa localisation et son organisation physiologique, la province du Nord Kivu s'inscrit dans la cadre du haut relief du Congo oriental, résultant de la dislocation du socle précambrien africain.

Sans entrer dans les détails de ces manifestations et sans les préjugées de leurs origines, On peut souligner la formation d'une bande effondrée dont la largeur varie entre 15 et 70 km depuis le lac Albert (ou le lac MOBUTU) jusqu'au lac Tanganyika.

Cette immense dépression est bordée départ et d'autre et d'une manière presque continue des bourrelets montagneux dont l'altitude dépasse parfois 2000m.

En se référant aux différentes anciennes cartes topographiques issues de ce système de fractures, on est en train de penser que le territoire de Beni couvre une portion du Rift inscrit dans le secteur où les mouvements tectoniques ont été plus violents.

- Formation de la dépression tectonique (rift valley occidental de l'Est) avec le lac Edouard et la plaine de la Semuliki ;

- La surrection de l'énorme horst du Ruwenzori entre le fossé de la Semuliki et celui du lac Gearge;

- Edification des cônes volcaniques de Virunga dont Nyiragongo et Nyamulagira sont toujours en activité à moins de 2000 km d'altitude.

Selon TRACTIONNEL (1981), l'activité actuelle du rift se traduit par des fréquents séismes qui trouveraient leur épicentre à la périphérie du Ruwenzori ou au long des failles bordières.

5

6

La synthèse de la géologie du Congo réalisée par l'EPERSONNE J. (1974), relève la présence des faisceaux des failles qui auraient déterminé le relief en gradins observés sur le versant oriental du horst mont KIAVIRIMU. Sommairement, les cassures suivant la direction du NE-SW (direction « Albertienne ») avec des nombreux décalages NNE-SSW. Quant au versant occidental du Horst (celui tourné vers la cuvette centrale), les déformations tectoniques se seraient traduites par des simples flexures du socle à l'exception de quelques lignes de failles apparentes dans le secteur du Sud de la ville de Beni notamment celle de MOMBALIO et de MBAYA qui marquent des escarpements de Kaleverio. Sur le seuil Semuliki-Ruwenzori s'est produite une activité volcanique explosive du pliocène à l'épi-pliocène avec une formation d'édifice sur la bordure occidentale du rift, au nord du lac Edouard (Pouclet. A. 1975).

B. Minéralisation de la province du Nord-Kivu

La province du Nord-Kivu regorge un faible potentiel minier comparativement à celui d'autres provinces du pays telles que le Katanga, le Kasaï ou la province Orientale. Cependant, son potentiel n'est pas négligeable.

En effet, depuis l'époque coloniale, de sous-sol du Nord-Kivu sont extraits cassitérite, colombo-tantalite, monazite et Or.

En outre, les eaux du lac Kivu contiennent à l'état dissous près de 50 milliards de m3 de gaz méthane encore inexploités et qui est une copropriété de deux états : la RDC et le Rwanda.

Des indices de Diamant sont signalés en territoire de Lubero et en territoire de Walikale, d'autres indices de platine et d'Argent et quelques pierres semi précieuses comme la tourmaline, l'améthyste existent en plusieurs endroits dans le territoire de Walikale et de Lubero.

I.2.2. Aspect géologique et structural des territoires de Beni et Lubero I.2.2.1. La géologie du territoire de Lubero

1. Le complexe orthogneissique et le Kibarien inférieur(KL1C)

Cet ensemble affleure essentiellement au sud-ouest de LUBERO dans la région de KAYNA et de manière fragmentaire sur sa bordure Nord. Il réapparait fréquemment à travers le Burundien à la faveur de fenêtre circonscrites dues à la remontée du socle, par phénomènes locaux de Horst ou simplement par l'érosion de la couverture Burundienne.

Il est dominé essentiellement de gneiss dont la linéation générale est NNE à NE. Ces gneiss sont chimiquement hétérogènes dans le détail mais ne présentent pas des variations régionales qui sont nettes.

Le gneiss à l'Est de Lubero aval et de la Biena: essentiellement constitués des ortho gneiss à biotite, à deux micas ou à muscovite seule. On y trouve des pegmatites et des granites comme des infiltrations.

Les gneiss de la région de KAYNA sont à biotite, à deux micas, mais rarement à muscovite seule. Ils sont parfois porphyroïdes et présentent alors de gros phénocristaux de microcline. Ces gneiss dans le Burundien : occupent tout le substratum de la région de KAYNA, LUOFU et MIRIKI et leur direction est assez variable, de N-S à SW.

Les fenêtres gneissiques dans le Burundien la composition minéralogique varie: ce sont généralement les orthogneiss calco-alcalins à biotite à grands cristaux d'oligoclase Securities. Le gneiss peut être également granodioritiques ou même quartz-dioritique et très pauvre en feldspath. Il a été souvent soumis à des contraintes tectoniques. Le gneis des orthogneis à biotite, à deux micas ou à un mica ou muscovite seule. On y trouve de nombreuses infiltrations pegmatitiques et granitques.

2. Le Burundien

Il est constitué des roches sédimentaires affectées d'un métamorphisme variant de très faible à épizonal profond.

Nous avons :

? le faciès Matembe qui part de Matembe jusqu'au lac Edouard, il est caractérisé par la présence fréquente de grenat moins des chloritoïdes et surtout de l'abondance de schistes noirs.

? Le faciès Lubero dans la région de LUBERO il est caractérisé par l'absence de grenats et de chloritoïdes parmi les minéraux de métamorphisme et par l'inexistence des schistes noirs.

Dans chacun de ces faciès, les termes supérieurs sont constitués de quartzites dominants par rapport aux autres roches, avec parfois des niveaux ferrugineux. La partie inférieure est beaucoup plus pauvre en niveaux détritiques, grossiers, souvent plus métamorphiques, parfois légèrement granitisés par de granites pegmatitiques ou aplitiques.

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La morphologie particulière de la feuille LUBERO est héritée des caractères des orogénies kibariennes et Burundiennes et également de l'évolution de la géostructure

3. Les roches intrusives

Elles recoupent toutes les formations antécambriennes ; ce sont surtout :

? Les quartzites : sous forme filonien surtout dans le Burundien inférieur;

? La pegmatite et intrusion granitique: fréquemment localisés aux séries inférieures du Burundien et au substratum Kibarien et antékibarien. Ces intrusions sont postérieures au réarrangement cristallin ayant transformée les batholites granitiques en orthogneiss. On peut penser que ces intrusions constituaient le stade ultime de l'orogénie Kibarienne;

? Les roches basiques: sont essentiellement intrusives dans le Burundien, plus rarement dans le substratum seul. Il s'agit le plus souvent des dolérites à faciès diabase.

? Le complexe alcalin à carbonatite à LUESHE et à KIRUMBA.

4. Le tertiaire et le quaternaire associé

Les formations observées en surface ne représentent qu'une partie de ce remplissage dont la puissance est estimée par des mesures géophysiques à 1800 m au moins.

La sédimentation est détritique, fluvio-lacustre ou de piedmont. Une formation de base d'âge probable mi- tertiaire repose directement sur le soubassement. Elle se compose des sables, d'arkoses et des grès grossiers argileux. Elle est coiffée par une cuirasse limonitique et par des graviers.

Le remplissage quaternaire de fossé comprend les séries lacustres suivantes, citées de la plus ancienne à la plus récente :

Série de Kaiso : rive Nord du lac Edouard.

Série de la Semuliki : constituée des sables argileux rouges, avec graviers de base. Elle est reposée en discordance sur la série de Kaiso.

Série lacustre récente et les terrasse d'Ishango, sur la rive Nord du lac Edouard près d'Ishango. La seule manifestation actuelle de l'activité volcanique est une source sulfureuse chaude située sur la route de la Rwindi à Rutshuru.

A. Aperçu tectonique

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Alluvionnaire sur la rive gauche de Lindi, elle couvre la série d'Etaetu attribue au Burundien inferieur ; au Nord-ouest, la rive droite de lindi, les anciens sites de Centre d'Exploitation de

profonde du grand accident tectonique des grands-lacs. Cette géostructure est certainement un trait géologique précoce de la région, mais la fracturation principale qui a amené le rejet des compartiments en horst et graben dans probablement la fin du secondaire ou du début du tertiaire car, au crétacé, la pénéplanation avait abouti à une surface d'aplanissement dont subsistent des témoins rubéfiés à grenaille latéritique (Département des mines, 1981)

II. MINERALISATION DE LUBERO

a. La cassitérite : elle est l'un des plus importants minerais d'Etain. Formée naturellement, elle est le plus souvent associée à d'autres métaux comme le Tungstène, le tantale et le Plomb en RDC, la cassitérite est souvent combinée au coltan et leurs gisements et indices forment une ceinture sur 700 Km, de l'Ituri au Nord jusqu'à l'extrémité occidentale de la ceinture cuprifère. Au Sud, dans la région de Kolwezi, ils sont liés à la chaine kibarienne d'âge 1400 - 950 Ma.

A Lubero, l'Etain se présente sous forme d'indices alluvionnaires. Des traces des cassitérites (moins de 3 grammes par m3) ont été découvertes dans quelques sites des concentrés alluvionnaires lors des travaux de prospection en 1972, travaux exécutés par le département des mines, direction de service des mines de la RDC (ex. Zaïre). Les zones en traces fréquentes avec des cassitérites sont situées dans le Burundien des environs de Kayna.

En revanche, on observe quelques traces de cassitérites dans les drains de remplissage tertiaire du Graben (LECUYER P., WILLHEM E., 1973.)

b. Le coltan : le coltan ou le Colombo-Tantalite est un minerai à partir duquel les métaux précieux comme le Tantale (Ta) et le Niobium (Nb) ou Columbium (Cb) sont extraits.

En RDC, « le coltanbelt » couvre dans l'Est du pays les provinces du Kivu.

c. L'Or : à Lubero, les indices de l'Or sont présents dans tous les faciès mais en
teneur moyenne par rapport au Clarke. Il s'associe à la pyrite et à la Chalcopyrite (Makabu, 2012).

Pour l'OR, Sur la haute Linde se fit le travail d'exploitation par MGL. Toute les minéralisations sont le long de Luhule mobisio dans le filon quartzique ;

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Climat : il est du type équatorial presentant une alternance des saisons sèches et saisons de pluie.

l'Elota snt arbitrairement repris.la stratigraphie est hasardeuse au Nord-est et au sud dans Ombole

Argent (indice géochimique), Faiblement anomalique dans Luhule Mobisio de teneur identique Cu, As.

Arsenic (indice géochimique), Le deux anomalies de teneur de 100ppm sont situes dans la série Luhulu-Mobisio. L'As comme traceur dans la zone Kibalienne mais non or natif.

Béryllium (alluvionnaire, éluvionnaire), L'occurrence de chrysobéryl des alluvions d'affluents gouache de la moyenne Lungu, ce qui et accompagnateur des diamant. Le beryl dans le pegmatite en muscovite d'est Ombole

Chrome (alluvionnaire), La chromite disséminé à trios sites éloigné les uns les autres, couse d'intrusion dolomitique.

Cuivre (éluvionnaire et géochimique), Plusieurs anomalies associées au Burundien. A l'occident de Nord de la tête de la Tabile, une anomalie par prospection tactique géochimique des sols. En 1974, par BRGM. Schiste gris rougeâtre comme contexte géologique. Une anomalie dans un echantillon en environ 200ppm de Cu et trace Co (95ppm) fut retrouvé à Kimbulu. A Lukanga, une anomalie titrant 90ppm fut vusible

Niobium-Tantal (alluvionnaire, geochimique), Dans le bassin de la riviere Elota aupres de l'exploitation aurifere et dans le haut Lina au sud de Etembo. 350 ppm de niobium fit vi dans la moyenne Mahike, Elote sud, est le complexe carbonitique avec La, Ba, Pa, Mn, Sr

Phosphore (géochimie), Plus que 4000ppm correspond aux complexes prés cite. On y trouve aussi de la sövite à Lueshe.

III. SITUATION GEOGRAPHIQUES MUSASA

Musasa est un village/ localité situé dans le groupemment Lughongo de pris à l'Est du village Vwalengire et Sud Ouest de masumo dans la chefférie Baswagha en territoire de Lubero en province du Nord kivu en RDC.

Climat, végétation et hydrographie

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Relief et végétation

La localité de Musasa est une petite cuvette entre les cretes généralement

montagneuses. Cette région est couverte d'un foret primaire, foret secondaire, foret en jachère delassée par l'agruculture et quelques lopets des champs des bananes, des maniocs, néanmoins la culture dominante est celle du cuinaquina.

Hydrographie

Musasa est borné de quelques rivières parmi les quelles, citons la rivière Luviru, Lubero, Kihuha, Lwaya,...

V. Aperçu géologique et mineralogique de Lubero

La localité est localisée dans la ceinture orogénique Kibarienne, composée des roches vertes Archéennes. La ceinture Kibarienne est une ceinture intracontinentale située ente le craton congolais à l'Ouest et le craton Tanzanien à l'Est, dans les for,ations de Kibara d'age1300-900 Ma, elle s'étend suivant la direction NNE-SSW à partir du Katanga jusqu'au Lac Victoria.

Etant donné que la minéralisation primaire de cette ceinture Kibarienne est domineée de l'Or (Au), le Platine(Pt), l'Etain(Sn), le Niobium(Nb), le Tantale, le Tungstène(W), le Béryllium(Be), le Cuivre(Cu) et le Cobalt (Co) dans l'encaissant quartziteux et schisteux,

Elle est dominée par les roches métamorphiques et parfois sédimentaires détritiques et des roches volcaniques introduidant

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Figure 1. Carte géologique présentant le socle du secteur Est de la RDC

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CHAPITRE DEUXIEME : DEROULEMENT DU STAGE

0. INTRODUCTION

Situé dans le terrain de Loncor, nos activités de terrain furent codées selon le Manuel de procédure «Field Procedures, Logging Forms and Codes» qui matérialise les méthodologies, sigles, les symboles, les figurés et les procédés de prospection. Ce manuel, accompagne le géologue dans toutes ses activités étant un véritable guide de prospection. ainsi, nous avons l'objectif d'uniformiser ou de standardiser les données, pour nous conformer les notes de référence du géologue pour se rassurer que toutes les observations faites sur terrain ont été reportées et enfin de clarifier la carte évitant les littératures.

II.1. PROGRAMME D'ECHANTILLONNAGE

La prospection géochimique concerne la et mesure systématique d'un au plusieurs éléments en trace des roches et des sols, des sédiments de rivières, des végétaux et des gaz. Pour générer une anomalie ou une aucurence en certains éléments qui constituent nettement avec leur fond géochimique la présence des anomalies qui résulte de la dispersion et mobilité des éléments métaux visées et ceux qui accompagnent, par la campagne de prospection

Notre stage, comme signalé ci-haut, s'est déroulé dans la localité de MUSASA, situé à l'ouest de Kimbulu à 13 km par vol et #177;35Km topographique par la piste routière de pendant une période allant du 26 Novembre au 15 Décembre 2013.

Durant notre stage nous avons assisté et participé à plusieurs activités d'exploration notamment : la cartographie des roches (lithology mapping), l'échantillonnage des sédiments de rivière (bleg sampling), les rainures (Channel sampling), échantillonnage systématique des roches, échantillonnage des sols (sol sampling)

II.1.1. Cartographie lithologique (lithology mapping)

· Buts :

Cette méthode vise et permet de (d') :

- dresser des cartes régionales,

- avoir la topographie du milieu,

- avoir une information sur la géochimie ou les anomalies géochimiques, la pétrographie, etc de la région.

· Matériels :

- Marteau pour géologue,

- Burin,

- GPS,

- -Boussole,

- Tape (décamètre),

- Loupe,

· Méthodologies et Principes :

- Sac d'échantillonnage,

- Stylo magnétique,

- Carnet de terrain,

- Fiche d'échantillonnage,

- Appareil photo numérique - Ecritoire.

Durant le déroulement des travaux, à chaque contact avec un affleurement (Quartzite, Schiste et/ ou les roches intrusives), nous avons pris un échantillon représentatif pour la description géologique macroscopique conformément et au remplissage de la fiche de description (procédures et code de LONCOR).

Nous prenions les coordonnées géographiques au lieu où nous retirions l'échantillon.

En cas d'un Schiste, les coordonnées géographiques sont prises, les données structurales dont la direction et le pendage.

La description comptera le nom du projet, le nom du lieu où on a prospecté, le nom de celui qui a échantillonné, la date du jour, les coordonnées géographiques, le numéro de l'échantillon, type des roches ou nom de la roche, l'état d'altération (oxydation), couleur de la roche, texture, dimension des grains, altération des minéraux, style d'altération, sulfure et le commentaire comme on peut le voir sur le fiche reprise en annexe.

L'échantillon décrit est emballé dans un sachet d'échantillon sur lequel on écrit le numéro de l'échantillon et dans lequel celui-ci on met une étiquette qui a le même numéro que celui du sachet.

Musasa lithology, Mineralogy

La région de Musasa est dominée par les affleurements à majorité métamorphiques (quartzite, gneiss rubané, les schistes) avec quelques points des mafiques telle dolerites, diorites. Les quartzites d'ici présentent une similarité avec les pegmatites et ont des minéraux

en patch et disséminé noirâtres qui seraient des sulfures et montrent une apparence des oxydes de fers. Les schistes ici retrouvées sont des couleurs rosâtre et beaucoup sont micacés cette couleur serait due soit au port d'eau ou de l'orthose pour devenir arkose. Néanmoins un chapeau de fer est signalé dans cette localité entre la rivière Lubero et Kihuha les sols de cette localité sont riches en grain de quartz et issu du démantèlement des diorites et dolerites et ainsi certains sont traspoted et autres sont résiduel sols, une roche affleurant et un litage avec présence des veines de quartz parallèle à la schistosité, elle est à notre niveau (macroscopique) un phyllade à long 9990053 lat 0735940 élev1694 m, un affleurement noirâtre microgrenu avec un e linéation de chlorite en verte, avec mica brillant et orthose et peu de qaurtz à northing 9991923 et Easting 0737970 d'élévation 1670m, elle est macroscopiquement une Metadiorite.

Les Quartzites possèdent des taches noirâtres qui sont des sulfures et celles vertes de Chlorites, seuls les sulfures sont des accompagnateurs Aurifères et la pyrite devient rare.

Les artisanaux nous confirmé trouver dans 10g d'Or 1g de Platine. Arrivé au bureau de Mine en place, nous avons trouvé des spécimens de Cassitérite, de Wolframite, du Grenat rouge et autres Minéraux qui sont encore dont nous ignorons la nomenclature.

Figure 2.certains minéraux de Musasa

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LITHOLOGY MAPPING/SAMPLING Form: LR 3

Project: LUBERO Grid or Area: MUSASA. Logged/Sampled by: STUDENTS of UCNDK Date: 27-NOV 2013

Easting
(UTM)
WGS 84

Northing
(UTM)
WGS 84

Elev

.
(m)

Sam
ple
No.

Samp
Type

Exposure Type

Roc

k Typ

e

Oxid

Colour

Texture
Fabric

Grain
Size

Alteratio

n

Style

Alterat.
Minerals

Sulphide
Minerals

*

Co
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0736314

9991370

1692

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OC

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GR

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0736306

9990209

1609

0004

TG

OC

PG

P

Light

PO

GL

 

cgd

Pat

Dis

li

Mu

 
 
 
 
 
 

0736300

9990499

1725

0005

GR

P

PG

P

White

PO

GL

 

cgd

Dis

Pat

Mu

li

 
 
 
 
 
 

0735740

9990611

1806

0006

GR

OC

PG

P

White

PO

GL

 

cgd

Dis

Pat

Mu

 
 
 
 
 
 
 

0734922

9990781

1726

0007

GR

OC

GN

P

Light

GS

SC

 

mgd

dis

Pat

mu

li

 
 
 
 
 
 

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II.1.2. Echantillonnage des sédiments des rivières (Bleg sampling)

Etant donné que la géochimie s'accompagne de la géophysique et télédétection, nous nous sommes servis d'une carte hydrographique télédectectée pour avoir certaines zones de confluence. Comme la carte géologique du milieu n'existe pas encore, nous avons lancé un programme de cartographie régionale qui, jusque là ne permet pas la corrélation et extrapolation par faute du temps.

Le bleg sampling une nouvelle technologie d'échantillonnage des sédiments des rivières et des ruisseaux, émanant de la société Australienne New Mountain Mining corporations. Les sédiments différent du Bleg par le f ait que ce dernier recourt à un produit dit magna floc.

? Buts : le bleg nous permet de vérifier l'anomalie géochimique des rivières et des ruisseaux

? Matériels :

Pour cette méthode on utilise :

> La boussole,

> GPS,

> Carnet de terrain, > Un tamis,

> Sceau à plastique,
> Les sacs (linges),

> Les sachets à plastique,

> Pèse (balance),

> Magna floc (produit venu de l'Australie qui augmente la vitesse décantation des sédiments).

? Principes et méthodes

L'exécution de cet échantillonnage nécessite un procède dont la manière est la suivante :

+ Recueillir les argiles le long de la rivière ou aux berges et les mettre dans un sceau en plastique, au moins dix sites au minimum espaces de 5m.

NB : la prise des argiles est une et une seule par sites ; on ne prend pas deux sites dans un même endroit.

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+ Si les argiles sont recueillies dans deux ou trois sceaux, on somme toute cettes quantités d'argile dans un seul sceau où on y verse de l'eau pour majorer la coturbiduté des grains d'argiles ;

+ On remue pendant deux à cinq minutes et attendre pour que le sable et d'autres matières organiques décantent ;

+ On verse l'échantillon dans un autre sceau bien lavé par leau de ladite rivière à travers un tamis d'au moins 500ìm et laisser cette quantité de sable qui est au fond du sceau et le refis au tamis ;

+ On y additionne le magna floc pour augmenter la vitesse de décantation des argiles ;

+ On prépare le calico bag (petit sac a nylon dans lequel on met l'échantillon des sédiments), sur lequel il est marqué le numéro de l'échantillon ;

+ Après la décantation on verse la colonne d'eau contenue qui dessus des fines argiles qui font l'échantillon pour rester uniquement avec les argiles décantées. Ces dernières seront versées dans le sac pour échantillon.

+ Le géologue, durant la décantation, prend le carnet de l'échantillonnage des sédiments où il remplit :

- Le nom du projet ;

- Le nom du milieu prospecté ;

- Prendre les coordonnées géographiques de là où on a débuté l'échantillonnage ou à mie distance échantillonnée,

- Prendre la direction de l'écoulement de l'eau (from et to)

From = d'où vient le cours d'eau; To = là où l'eau déverse

- illustrer l'allure du terrain ou relief qu'on doit compléter dans le carnet en faisant un

graphique ;

- Indiquer la vitesse de l'écoulement de l'eau (lente, moyenne, rapide) ;

- Vérifier si on peut trouver dans la rivière un affleurement ou un éboulis des roches ;

- Voir aussi le pourcentage des matières à l'aide d'une loupe dans l'échantillon à vous

servant de la carte des couleurs ;

- Insérer un étiquette portant le numéro de l'échantillon dont un va rester comme témoins

dans le carnet et un autre sera mis dans le sac d'échantillon ;

- Le poids d'échantillon par pesage à l'état mouillé sera connu ;

- Le lettrage d'eau et sédiment ayant été utilisée dans le sceau pendant la décantation ;

- Insérer le calicot dans un sachet en plastique pour éviter la contamination;

18

- On fait le séchage :

1) Au fly camp, l'échantillon sera suspendu sur un fil pour perdre la quantité d'eau ;

2) Le moulage l'échantillon pour qu'il soit en grain;

3) le quartage pour récupérer #177;700gr qui sera mis dans une enveloppe A et ensuite dans un sachet enfin dans une boxe qui contient le spécimen sample (250gr).Voir carnet de drainage sample.

NB : le 5ième échantillon sera dupliqué (on prend le 5ème et le 6ième échantillon dans une même place) pour voir la fiabilité du laboratoire

La port des matériels pouvant empoisonner les sédiments (bagues métalliques, des bracelets métalliques,...) seront mis en écart , on évite le port des.

Figur3 : 'échantillonnage des sédiments des rivières sur la rivière northing 9991923 et Easting 0737970 d'élévation 1670m

19

STREAM SEDIMENT SAMPLING

Project: LUBERO Area: MUSASA Logged/Sampled by: STUDENTS of UCNDK Date:

Sample
Number

Easting
(UTM)
WGS 84

Northing
(UTM)
WGS 84

Elev.
(m)

Stream
Name (if
known)

Wate

r
Flow

Flow
Direct.

Bed
Widt
h (m)

Sample Type

Artisanal
Working
s
Upstrea
m

(Y, N, ?)

Artisanal
Working
s
Downstr
m.
(Y, N or
?)

Comments

Size
Fracti
on

Colour

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

20

II.1.3 CHANNEL SAMPLING (RAINURAGE)

? Buts :

- recouper les différentes formations pour en déceler la minéralisation dans une région ;

- Fournir l'information sur la puissance de la minéralisation ;

- Connaitre le degré (valeur) et voir la teneur de minéralisation.

? Matériels

- GPS ;

- Boussole ;

- Fiche de description ;

- Scale ruler ;

- Clinoruler ;

- Papier millimétré

- Tape (décamètre) ;

- Paint marker (stylo marqueur) ;

- Stylo magnétique ;

- Porte mine ;

- Sachet en plastique

- Casque et cache nez ;

- Gans et lunettes ;

- Loupe ;

- Crayon en couleur ;

- Etc.

21

? Marche et méthodologie

Quand les formations ou couches sont orientées de l'Est vers l'Ouest, les rainures sont programmées perpendiculairement pour qu'elles recoupent toutes les couches. Pour leur exécution, on entame les formatons du Sud vers le Nord. Pour des Formations de direction NS on commence de l'Est vers l'ouest.

Les passes seront prises suivant les épaisseurs des unités lithologiques (30-100cm), elles seront rainurées suivant une profondeur de 3cm et une largeur de 5cm sur une longueur variable comme ci-haut cité. Les coordonnées géographiques seront prises au début du Channel et seront identiques pour tout le channel. L'azimith du channel est son orientation et varie de 0-360°. Pour cette tache, l'échelle usée est 1/100. La passe portera même l'encaissant et les veinilets y insérés. Lorsque le fion devient gigantesque (25-30cm) il constitue un échantillon en part entière et sera décrit à tout point comme une formation. Les veinelets, veines et filons sont structuralement orientés et repris sur la carte milimetrique, en cas de décalage entre les passes, cette décalage sera matérialisée suivant l'echelle.

Le graph paper devra être signé en différentes places par l'agent de logging et celui de sampling, une légende revient utile.

IV. ECHANTILLONNAGE DES SOLS (sol samplings)

Nous avons executé ce programme cette méthode d'échantillonnage de sol ayant pour mettre en évidence les disperssions géochimiques des sols.

1. Matériels utilisés

- GPS (Global Positionning

System) ;

- Boussole avec clinomètre ;

- Porte mine ;

- Clinoruler ;

- Protector ;

- Sacs à échantillons et scellés ;

- Décamètre de 50 m

- Bèche ;

- Etiquette d'aluminium ; - Marqueur ;

- Burin ; - Loupes;

22

Pour réussir cette application, nous avons usé certains documents :

- Manuel de procedure «Field Procedures, Logging Forms and Codes»;

- Carnet de terrain;

- Fiche d'échantillonnage de sol ;

- Carnet d'échantillonnage ;

- Papier millimétré ;

2. Méthodes et procédés de prospection

La cartographie englobent les autres programmes comme le layonnage qui consiste à tracer les lignes d'échantillonnages, l'échantillonnage sur les affleurements, échantillonnage du sol, la cartographie sur le papier millimétré qui consiste à reporter tous les éléments observés sur terrain sur la carte (sentier, affleurements, éboulis, pente, sommet, les vallées...) etc. Comme les couches sont orientée est- ouest les layons (lignes d'échantillonnages) seront orientées nord-sud.

En pratique, on trace une ligne de base orientée matérialise la direction des couches, pour notre secteur c'est est-ouest ainsi les lignes d'échantillonnages sont tracés perpendiculairement à la ligne de base (N-S) donc perpendiculairement à la direction des couches. Cette direction est tracée par visée à la boussole et le GPS dirige le retrouvaille de point d'échantillonnage, mais aussi par visée à la boussole, à l'aide du mètre ruban, en cas de perte de signale sous un canope fermé, on peut facilement retrouver les points.

Les travaux sont faciliter, les points d'échantillonnages sont préétablis au fly camp, puis insérés au GPS pour les retrouver plus facilement par le go to car les layonnage; par conséquent la maille d'échantillonnage est réduite à 40 m entre points d'échantillonnage sur un même layon avec une équidistance entre layon de 160m, l'échantillonnage et ainsi fait sur une maille rectangulaire

Au point retrouvé, on creuse un puits d'échantillonnage de 40 cm de profondeur où l'influence des racines est microorganismes pélagiques est réduite et en dessous de l'Horizon humifère, un échantillon de sol d'environ 2Kg est tiré au fond du puits,

la profondeur du puits sera de 40 Cm révolue après échantillonnage, sa profondeur finale est marquée sur le log sheet. L'échantillon de sol tiré de ce puits est décrit, (voire la fiche de description de l'échantillonnage de sol et commentaire), emballé dans les sacs à échantillon, on y adjoins sur papier, le numéro correspondant, on complète le carnet d'échantillons et on

23

introduit l'étiquette correspondante dans le sac à échantillon et en fin on le scelle par carca plastic. Au clinomètre, on mesure la valeur de la pente, lorsque la pente est forte (environ 45°), généralement le sol est transporté. Mais aussi fragments de quartz dans les déblais, ce sol pourrait être qualifié de sol résiduel tout en estimant son pourcentage, tous ces éléments font rubriques sur la fiche de description de l'échantillonnage.

Figure 4. Image des travaux d'échantillonnage de sol,

Lors de l'échantillonnage, on soutire un des six étiquettes dans un carnet étiquettes qu'on prendra comme échantillon témoins. Ces échantillons témoins sont étudiés d'avance (composition connue d'avance) généralement 0% des métaux, on l'introduit dans le lot des échantillons pour leur expédition au laboratoire en vue de confirmer les résultats globaux. Ceci est valable pour tous les types d'échantillonnage. Les cordonnées locales sur l'étiquette d'aluminium sont complétée pour introduction dans le puits puis on remblaye. On place un piquet portant sur bande rôle, les cordonnées locales de l'échantillon au point d'échantillonnage ou sont écrites sur un arbre toues choses immobiles plus proche du site.

L'échantillonnage est dupliqué, et ce deuxième échantillon est fait à chaque 20ème échantillon. Elle concerné le même puits mais par prudence on exécute un autre puits à quelques cm près du premier pour ne pas échantillonner plus en profondeur de peur à dépasser l'horizon d'échantillonnage d'où conséquence, la non quantitativiste des anomalies de sol.

Dans la vallée ou généralement lorsque le site visé est dans le lit ou aux extrêmes où influent les alluvions de cette dernière, on tire quatre échantillons plus ou moins distants sur une maille carrée de quelques mètres de côté on en réalise un composite de 2 Kg d'échantillon de sol.

24

SOIL SAMPLING

Project: LUBERO. Grid: MUSASA... Logged/Sampled by: STUDENTS OF UCNDK Date: 06-DEC-2013

Sam
ple
Num
ber

Eastin

g

(Local

)

Northing (Local)

Easting
(UTM)
WGS 84

Northing
(UTM)
WGS 84

Elev

.
(m)

Soil
Type

Sample
Depth
(cm)

Grai
n
Size

Colour

Te
xtu
re

Rock
Frags.

Qtz
Frag
s %

Land Use

Slope(°)

Typ
e

%

Ang
le

Directi
on

(Down)

001

 
 

0735900

9990030

 

TS

40

CA

Dark yellow brown

ET

 
 

0,01

CU

25

65

002

 
 

0735900

9990070

 

TS

40

CT

Medium brown

FG

 
 

0,01

CU

25

93

003

 
 

0735900

9990110

 

TS

40

CY

Dark yellow brown

ET

 
 

-

CU

40

46

004

 
 

0735900

9990150

 

RS

40

SA

Light brown

FG

 
 

0,10

CU

45

52

005

 
 

0735900

9990190

 

TS

40

SY

Dark yellow brown

FG

 
 

0,10

FO

30

250

006

 
 

0735900

9990230

 

TS

40

SY

Dark yellow brown

FG

 
 

0,10

FO

25

208

007

 
 

0735900

9990270

 

TS

40

SY

Dark yellow brown

FG

 
 

0,01

FO

30

220

008

 
 

0735900

9990310

 

TS

40

SY

Dark yellow brown

FG

 
 

0,01

FO

34

308

009

 
 

0735900

9990350

 

TS

40

SS

Yellow brown

FG

 
 

0,05

FO

42

320

010

 
 

0735900

9990390

 

TS

40

CS

Dark yellow brown

FG

 
 

0,01

FO

40

300

011

 
 

0735900

9990430

 

TS

40

SY

Dark yellow brown

FG

 
 

0,02

FO

44

302

012

 
 

0735900

9990470

 

AL

40

SY

 

FG

QT

1

1

FO

0

0

25

CONCLUSION GENERALE

Le stage que nous avons effectué dans la localité de Musasa nous permit d'avoir une idée sur le terrain qu'il ya dans cette partie du territoire de Lubero, nous sommes arrivé à confirmer l'hypothèse d'un terrain métamorphique en prédominance des quartzites surtout sur les sommets (ridje).

Nous avons acquit des spécialités sur les diverses manières d'effectuer les travaux de prospection et d'échantillonnage tant pour les roches que pour les sédiments des rivières et des sols pour en déduire l'anomalie et la dispersion géochimique pouvant témoigner la concertation profonde dans la croute. Une carte des sols et lithologie sans corrélation illustre

nos travaux. Néanmoins, la carte des résultats portant sur les teneurs des différents sites
d'échantillonnés (sol, lithology, stream) car la période de notre séjour pas reçu des résultats en provenance du laboratoire.

Au département, nous suggérons d'accepter une autre occasion proposée par la société sur ce même terrain pour les promotions nous succédant pour parachever la carte que nous avons entamée.

26

TABLE DES MATIERES

I. INTRODUCTON GENERALE 2

1. OBJECTIFS DU STAGE 2

2. MATERIELS UTILISES 2

3. SUBDIVISION DU TRAVAIL 3

I.2. CADRE GEOLOGIQUE 4

CHAPITRE DEUXIEME : DEROULEMENT DU STAGE 12

0.INTRODUCTION 12

II.1. PROGRAMME D'ECHANTILLONNAGE 12

IV. ECHANTILLONNAGE DES SOLS (SOL SAMPLINGS) 21

CONCLUSION GENERALE 25

TABLE DES MATIERES 26






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"Des chercheurs qui cherchent on en trouve, des chercheurs qui trouvent, on en cherche !"   Charles de Gaulle