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Carnet de santé électronique aux cliniques universitaire de Kinshasa.

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par Achille MUYAKA
Université de Kinshasa (UNIKIN) - Licence en informatique 2015
  

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II.3.2.2. Modèle Logique de Données (MLD)

Le Modèle Logique de Données (MLD) est la suite du processus Merise. Son but est de nous rapprocher au plus près du modèle physique. Pour cela, nous partons du modèle Conceptuel de Données et nous lui enlevons les relations, mais pas n'importe comment, il faut en effet respecter certaines règles.

Règle 1 :

Toute entité devient une table dans laquelle les attributs deviennent des colonnes. L'identifiant de l'entité constitue alors la clé primaire de la table.

Exemple: Médecin (id_med,nom_med,postnom_med,sexe_med,....)

Règle 2:

Dans le cas de deux entités reliées par une association de type 1 : n, on ajoute une clé étrangère dans la table côté 0, 1 ou 1, 1, vers la clé primaire de la table côté 0, n ou 1, n. les attributs de l'association glissent vers la table côte 0, 1 ou 1, 1. Et si la cardinalité est 1, 1 alors la clé étrangère ne peut recevoir de valeur NULL (autrement dit, vide interdit).

Exemple :

Voici un modèle conceptuel de départ :

Elever

Mères

Numero_mère

Nom_mère

Prénom_mère

Enfants

Numero_enfant

Nom_enfant

Prénom_enfant

(1, n)

(1, 1)

Fig.II.9: Règles 2 MCD

Voici le Modèle Logique des Données découlant du Modèle conceptuel précédent :

Mères

Numero_mère

Nom_mère

Prénom_mère

Enfants

Numero_enfant

Nom_enfant

Prénom_enfant

#Numero_mère

Règles 3 :

Fig.II.10: Règles 2 MLD

Dans le cas de deux entités reliées par une association de type 1 : 1, on ajoute, aux deux tables, une clé étrangère vers la clé primaire de l'autre. Afin d'assurer la cardinalité maximale de 1, on ajoute une contrainte d'unicité sur chacune de ces clés étrangères (la colonne correspondante ne peut prendre que des valeurs distinctes). Les attributs de l'association sont alors repartis vers l'une des deux tables. Et si la cardinalité est 1, 1 alors la clé étrangère concernée ne peut recevoir la valeur NULL (autrement dit, vide interdit).

Cette alternative est sans doute préférable, car plus évolutive (si le type 1 :1 est un jour converti en un autre type).

Remarque :

D'autres techniques sont parfois proposées pour la règle 3 (fusionner les tables, utiliser une clé primaire identique) mais en pratique elles ne sont pas exploitables dans le cas général

Règle 4 :

Une association entre deux entités de type n : m est traduite par une table supplémentaire (parfois appelée table de jointure) dont la clé primaire est composée de deux clés étrangères vers les clés primaires des deux tables en association. Les attributs de l'association deviennent des colonnes de cette table.

Illustration :

Comme dans notre exemple précedent, l'association consulter qui relie deux entités dont médecin et patient qui sont de cardinalité père - père, l'association consulter devient une table avec comme clé primaire la concatenation de la clé de l'entité médecin et patient.

ü Médecin (id_med,Nom_med,postnom_med,...)

ü Consulter (#id_med,#id_pat,date)

ü Patient (Id_pat,Nom_pat,Prenom_pat,..)

Règle 5:

Une association non binaire est traduite par une table supplémentaire dont la clé primaire est composée d'autant de clés étrangères que d'entités. Les attributs de l'association deviennent des colonnes de cette table.

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"Enrichissons-nous de nos différences mutuelles "   Paul Valery