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Situation de la production de café en côte d'ivoire: cas du département d'Aboisso, état des lieux et perspectives

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par André Hughes Georges KOUA
Ecole Supérieure d'Agronomie (ESA) - Ingénieur Agronome, option agroéconomie 2007
  

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2.2. Modèle LOGIT et Calcul des quasi-élasticités

La valeur numérique des coefficients du LOGIT n'ayant pas d'interprétation directe (car cette valeur dépend du système choisi pour la codification des variables qualitatives), l'impact des variables explicatives sur la probabilité d'investissement est apprécié à travers le calcul des élasticités. Aussi, dans le cadre de cette étude, il serait plus intéressant de ne calculer ces quasi-élasticités que pour les variables significatives.

Le tableau III recueille les différentes quasi-élasticités calculées.

Tableau III : Quasi-élasticité de la probabilité d'investissement en caféiculture

VARIABLES

Coefficients

estimés

Quasi-élasticités

Age du planteur

Accès au crédit

Revenu du planteur

-1,68132

1,437056

0,818242

-0,56

0,16

0,11

Les quasi-élasticités obtenues indiquent que la probabilité d'investir en caféiculture baisse de 56%, lorsque, toute chose égale par ailleurs, le planteur est âgé de plus de 45 ans. Cette probabilité augmente de 16% lorsque le paysan bénéficie d'un crédit en début de campagne. Le tableau montre également que la probabilité d'investir augmente de 11% lorsque le revenu du paysan passe de moins de 250 000FCFA à l'intervalle 250 000-500 000 FCFA et de l'intervalle 250 000-500 000FCFA à plus de 500 000 CFA.

3 : TYPOLOGIE DES CONTRAINTES A LA CULTURE DU CAFE

Les principales contraintes à la caféiculture dans le département d'aboisso peuvent se regrouper en deux (2) principaux types :

3.1. Les contraintes liées à l'incitation à la production

Ces contraintes comprennent :

· La faiblesse du prix du café qui influence les revenus des caféiculteurs et qui les démotives à la pratique de cette culture. A cela s'ajoute la forte fluctuation des prix qui augmente les risques à l'investissement dans les caféières. Cependant, le facteur prix est difficilement influençable dans la mesure où la filière café est dans un contexte de libéralisation.

· Les revenus plus élevés générés par les cultures concurrentes (palmier à huile et hévéa) et qui rendent la culture du café moins attirante. Aussi de nombreux paysans ont reconverties leurs caféières en d'autres cultures pérennes qu'ils jugent plus rentable.

3.2. Les contraintes liées à la l'inaccessibilité des facteurs de production

Ces contraintes réduisent la capacité des producteurs à entreprendre des investissements dans leurs parcelles. Elles comprennent :

· L'accès difficile à la terre. Cela est dû à la situation de blocage foncier que connaît le département depuis plusieurs années. Cette contrainte entrave principalement la création de nouvelles parcelles de café.

· L'inaccessibilité du facteur travail : c'est la contrainte la plus importante à ce niveau, ce facteur étant le plus utilisé dans les caféières. Cette contrainte est souvent lié à la baisse des prix du café car en période de prix bas les manoeuvres refusent de travailler dans les plantations de café. C'est l'une des principales causes de l'abandon des parcelles de café.

· Le manque de moyens financiers : Cela met les paysans dans l'incapacité d'acquérir des intrants chimique, du matériel végétal sélectionné et d'embaucher de la main d'oeuvre salariée.

· CHAPITRE 4 : CONCLUSION RECOMMANDATIONS ET LIMITES DE L'ETUDE

CONCLUSION GENERALE

Cette étude qui avait pour objectif d'identifier les déterminants de la relance de la caféiculture, nous a permis d'appréhender la situation de la culture du café dans l'EST de la Côte d'Ivoire et en particulier dans le département d'Aboisso. Elle nous a permis par ailleurs de déterminer les facteurs les plus pertinents de la décision d'investir d'un paysan. L'étude a été réalisée sur un échantillon de base de 50 paysans tirés dans 6 villages appartenant au département d'Aboisso.

Le verger caféier est vieillissant et constitué en grande partie de plants non sélectionnés. Ces deux facteurs, en plus des conditions écologiques ont un impact négatif sur les rendements des plantations qui sont restés à un niveau faible jusqu'à ce jour. Les pratiques culturales se limitent à deux ou trois sarclages annuels et très peu d'intrants chimiques sont utilisés. La création de nouvelles plantations, la pratique du recepage et de la replantation sont devenues rares compte tenu de l'absence de réserves de terre et de l'inaccessibilité de la main d'oeuvre. A cette situation s'ajoute de nombreuses plantations abandonnées à la faveur de la baisse des cours du café. Près du tiers de ces plantations ont été reconvertie en palmier à huile et hévéa. Cependant, la grande majorité de ces plantations a été laissée en jachère.

Même si les revenus provenant du café sont faibles par rapport à ceux du cacao, du palmier à huile et de l'hévéa, les planteurs montrent encore de l'intérêt pour cette culture. En effet, les superficies emblavées de café sont les plus importantes après celles du cacao. Autrement dit le café constitue pour les paysans la deuxième source de revenu. En outre, les planteurs ont pour la culture du café un intérêt également social de sorte que même s'ils ont réduit les investissements dans les plantations, ils sont restés attachés à cette culture.

L'intérêt des paysans pour la caféiculture montre la possibilité de relancer cette culture dans la zone d'Aboisso. Cette relance devra se faire à travers les investissements en plantation.

L'analyse économétrique montre que la décision d'investir dans les plantations de café est influencée par les variables Revenu du planteur, Age du planteur et Accès au crédit. Le signe négatif de la variable Age du planteur traduit le fait qu'il existe une corrélation négative entre la décision d'investir et cette variable. Autrement dit, la probabilité d'investir dans les plantations de café est plus grande chez les planteurs les plus jeunes. Un programme de relance de la caféiculture pourrait donc s'appuyer sur les jeunes producteurs qui sont le plus disposés à investir dans leurs caféières.

Considérant le revenu du planteur, il ressort que plus les paysans ont un niveau de revenus élevé, plus ils sont enclin à investir dans leurs caféières. Un paysan dont le niveau de revenu est élevé à plus de moyens pour acquérir les facteurs de productions nécessaires à la conduite de ses exploitations.

L'Accès au crédit influence positivement la probabilité d'investir dans l'entretien des plantations de café. C'est dire que les paysans qui bénéficient de crédits de campagne sont plus enclins à investir dans les plantations de café.

Sur l'ensemble des hypothèses à tester, trois ont été confirmée. Ce sont :

H1 : la vieillesse du verger caféier est une cause de la faible production des plantations ;

H2 : le prix bas payé aux producteurs est la principale cause d'abandon des plantations de café et

H4 : l'inaccessibilité de la main d'oeuvre influence négativement les investissements dans les caféières.

L'hypothèse H3 (la majorité des plantations de café abandonnées ont été reconverties en d'autres cultures) n'a pas été vérifié car la majorité des plantation abandonnées ont été laissée en jachère. De même, l'hypothèse H5 (La pratique des cultures telles que l'hévéa et le palmier à huile influence négativement les investissement en caféiculture) n'a pas été confirmé car l'analyse économétrique à montré que la pratique de cultures concurrente n'influence pas significativement la décision d'investissement.

RECOMMANDATIONS

L'analyse des résultats de notre étude nous permet de dégager ces recommandations en vue d'apporter notre contribution à la relance de la production de café dans l'Est de la Côte d'Ivoire notamment dans le département d'Aboisso. Ces recommandations s'appuient sur les facteurs les plus significatifs dans la décision d'investissement du paysan, tout en recherchant à lever les principales contraintes à l'investissement en plantation.

Installation et appui des jeunes agriculteurs

Les résultats indiquent que les jeunes paysans sont plus disposés à investir dans les caféières que les vieux paysans. La relance de la caféiculture devrait, dans un tel cas, s'appuyer sur les jeunes paysans par la mise en place un programme d'installation de ces derniers. Ce programme devra s'orienter vers les jeunes agriculteurs qui ne sont pas propriétaires d'exploitation, afin de leur permettre de s'installer à leur propre compte.

Développement d'un système de crédit fiable et adapter à la caféiculture ivoirienne

L'analyse des déterminants des investissements révèle que l'accès au crédit influence positivement la décision d'investissement. Il faudrait dans un tel cas mettre en place un système de crédit pour aider les paysans (surtout les jeunes) à l'acquisition d'intrants et l'emploi de la main d'oeuvre salariée. Cela permettra ainsi de lever les contraintes liées à l'inaccessibilité des facteurs de production notamment les facteurs travail et capital.

Le crédit pourrait principalement se faire sous forme de distribution d'intrants chimiques (herbicides et engrais chimiques). Aussi, Il pourra s'appuyer sur les coopératives qui feront office d'intermédiaires financiers.

Diversification des cultures

L'accroissement du niveau de revenu du paysan augmente la probabilité qu'il investisse dans ses caféières. Pourtant, compte tenue de la récente chute des prix du café, ces revenus ont baissé. Les producteurs pourraient accroître leurs revenus et donc leurs capacités de production, en diversifiant leur activité de production. Ils pourraient se lancer dans d'autres cultures telles que l'hévéa ou le palmier à huile et qui pourraient leur permettre en plus d'accroître leur revenu, de compenser les pertes dues aux chutes des prix du café.

En plus des principales actions à mener pour la relance des investissements en caféiculture, un ensemble de mesures complémentaires doivent être mises en place afin que cette relance soit efficace. Il s'agit de :

La réhabilitation du verger caféier vieillissant

L'analyse descriptive a montré que plus de la moitié du verger caféier a dépassé la durée de vie économique et les opérations de replantation et de recépage sont pratiquées par très peu de paysans. Par conséquent, les rendements des plantations sont faibles.

Il est donc nécessaire de mettre en place des programmes de sensibilisation des paysans à la réhabilitation de leurs vergers caféiers vieillissants. Il s'agira de :

a) la remise en production du verger abandonné par recepage et entretien, à savoir les caféiers de moins de 25 ans avec une densité d'au moins 1000 pieds/ha.

b) la régénération des vieilles caféières de plus de 25 ans qui devra se faire par une replantation avec du matériel végétal sélectionné (donnant des rendements plus élevés, résistant aux maladies et insectes).

Le verger réhabilité devra être conduit en respectant les itinéraires techniques (désherbage, égourmandage, application d'intrants chimiques)

La diffusion de matériel végétal sélectionné

Les plantations de café sont en majorité (67%) constituées de plants non sélectionnés avec de faibles rendements. Par ailleurs, les opérations de replantation sont faites à partir de plants non sélectionnés avec pour conséquence la faiblesse des rendements des nouvelles plantations. Aussi, la réussite des programmes de réhabilitation sus-mentionnés va dépendre essentiellement de la disponibilité du matériel végétal sélectionné.

Il s'agit de diffuser les hybrides H79, H80, H81, H82, mis en place par le CNRA. Les semences sont distribuées sous forme de cerises, faciles à manipuler à transporter, avec des techniques culturales simples. L'association de ces hybrides donne des résultats assez satisfaisants en production: 2,5 à 3 tonnes/ha et une bonne résistance aux maladie telles que la rouille orangée. En outre, les plantations entrent en production au bout de 2 années après le planting. Pour la production des hybrides, il est nécessaire de mettre en place des champs semenciers dans la région d'Aboisso.

A ce jour, les hybrides H79, H80, H81, H82 sont encore méconnus par les paysans. Une campagne d'information doit être faite en vue d'expliquer aux paysans l'intérêt de ce nouveau matériel végétal.

La diffusion du matériel sélectionné pourrait s'appuyer d'une part sur l'ANADER qui a déjà une bonne expérience en matière de vulgarisation en Côte d'Ivoire et d'autre part sur les coopératives pour faciliter aux paysans l'acquisition des semences (transport, coût réduit).

La mise en place d'une campagne de vulgarisation plus incitative à l'intensification des pratiques culturales

La conduite des plantations de café est caractérisée par un système extensif avec un ou deux sarclages par an, sans égourmandage, et très peu d'intrants chimiques. Cela est à l'origine de la baisse des rendements et donc des revenus des planteurs. Par ailleurs, la création de nouvelles parcelles de café est rendue difficile à cause de la rareté des réserves de forêts. Cette situation montre tout l'intérêt d'intensifier les pratiques culturales pour accroître la production de café. Il s'agira de :

-l'entretien des plantations: ce volet constitue la voie immédiate pour accroître la production. Même s'il se réalise spontanément dès que les prix bord champ sont à la hausse, l'entretien des parcelles se limite en général à deux (2) désherbages annuels, sans égourmandage. Il est donc important d'encourager les paysans au respect des techniques culturales, à savoir :

a) 3 sarclages annuels et égourmandages aux périodes indiquées. Pour remédier au manque de main d'oeuvre, les paysans peuvent avoir recours aux herbicides dont l'acquisition pourrait être facilité par les coopératives (Approvisionnement, achats à moindre coût ou à crédit) ;

b) emploi d'engrais organique ou chimique pour améliorer la fertilité du sol ;

c) pratique régulière du recepage et de la replantation des plantations ;

-bien expliquer l'incidence de l'intensification sur les rendements de leurs plantations et donc sur leurs revenus.

L'encouragement du travail en groupes

L'étude a montré que la main d'oeuvre constitue la principale contrainte à l'entretien des plantations de café. Elle est devenue en effet rare et coûteuse causant l'abandon de nombreuses plantations.

Il est donc important d'encourager les paysans à s'organiser en groupes de travail. Ce type d'organisation permet au producteur d'avoir dans ses plantations de grands effectifs de travailleurs et de lever ainsi la contrainte liée à l'inaccessibilité au facteur travail. En plus cette force de travail est gratuite.

LIMITES DE L'ETUDE

L'étude, que nous venons d'effectuer, comme bon nombre d'études comporte des limites dont la prise en compte permettrait de mieux apprécier les résultats obtenus. Cependant, ces limites n'affectent pas fondamentalement la pertinence de l'analyse et des résultats obtenus. Ces limites se situent à deux niveaux essentiels :

§ la variable prix du café qui pourrait sans doute avoir une influence sur la décision d'investir des paysans n'a pu être retenue pour l'estimation du modèle, parce que l'étude ayant eu lieu dans un seul département, les prix pratiqués étaient très similaires. Néanmoins, les variables utilisées dans le modèle devraient fournir suffisamment d'informations pour l'analyse de la décision d'investissement du paysan.

§ Le choix des planteurs au niveau des villages n'a pas permis toujours d'obtenir des paysans dont les caractéristiques sont diversifiée (âge, niveau d'instruction, taille de l'exploitation, etc.). Cela risquerait de diminuer la précision de l'analyse descriptive, notamment lors des comparaisons de proportions qui ont été faites tout au long de l'étude.

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ANNEXES

ANNEXE 1 : Zones de production de café en Côte d'Ivoire

ANNEXE 2 : Questionnaire d'enquête

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