WOW !! MUCH LOVE ! SO WORLD PEACE !
Fond bitcoin pour l'amélioration du site: 1memzGeKS7CB3ECNkzSn2qHwxU6NZoJ8o
  Dogecoin (tips/pourboires): DCLoo9Dd4qECqpMLurdgGnaoqbftj16Nvp


Home | Publier un mémoire | Une page au hasard

 > 

Les problèmes environnementaux et leurs conséquences dans la commune d'Abobo: exemple du quartier plaque.

( Télécharger le fichier original )
par Hugues romain Esperantos, Agoua ange alex, Konan k.dieudonn& Boni
Université Felix houphouet Boigny - Licence 2014
  

précédent sommaire suivant

Bitcoin is a swarm of cyber hornets serving the goddess of wisdom, feeding on the fire of truth, exponentially growing ever smarter, faster, and stronger behind a wall of encrypted energy

3. LA POLLUTION DE L'AIR

La pollution de l'air enregistrée dans ce quartier est due aux mauvaises odeurs dégagées par le déversement des ordures ménagères dans le ravin situé à moins d'un kilomètre des habitations. C'est pourquoi, ses odeurs sont beaucoup plus perceptibles par les populations situées le plus proche de ce ravin (voir tableau 1). Les autres odeurs relevées dans ce quartier sont pour la plupart causées par l'état de dégradation avancé des caniveaux qui entraîne par la suite une stagnation des eaux usées. Le mélange avec les déchets jetés par les populations dans ces caniveaux donne lieu très souvent à des odeurs désagréables.

19

Les problèmes environnementaux et leurs conséquences dans la commune d'Abobo : l'exemple du quartier plaque.

Les problèmes environnementaux et leurs conséquences dans la commune d'Abobo : l'exemple du quartier plaque.

précédent sommaire suivant






Bitcoin is a swarm of cyber hornets serving the goddess of wisdom, feeding on the fire of truth, exponentially growing ever smarter, faster, and stronger behind a wall of encrypted energy








"I don't believe we shall ever have a good money again before we take the thing out of the hand of governments. We can't take it violently, out of the hands of governments, all we can do is by some sly roundabout way introduce something that they can't stop ..."   Friedrich Hayek (1899-1992) en 1984