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Le rôle de la musique dans la publicité (cas d'orange Bilengi)

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par Aisha Bella Zadia Shabani
Université de Goma - Graduat 2015
  

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b. Typologie

Classification musicale, chronologie de la musique et principes de classement des documents musicaux.

Il existe plusieurs manières de classer la musique notamment :14(*)

Ø Par genre musical qui désigne des pratiques musicales de même nature et de même destination, nous avons la musique classique, la rumba, folklore, slow, zouk, samba, tempo, regemaine etc. la liste n'est pas exhaustive.

Ø Par zone géographique ;

Ø Chronologique.

a. Rôles de la musique dans la publicité.

La publicité, qui s'évertue toujours à transmettre le message le plus efficace qui soit, c'est-à-dire un message compréhensible, qui attire l'attention et qui suscite un besoin, ne pouvait pas ne pas se servir de la musique pour communiquer.

La musique pourrait remplir quatre rôles différents au sein d'une publicité ( spot publicitaire)15(*) : la toile de fond, le message, les arguments, la signature

La musique toile de fonderait pour objectif d'envelopper le message et de remplir un vide qui pourrait créer un malaise chez le récepteur (auditeur). Son rôle minimal est d'accompagner l'image et la voix. La musique message aurait pour objet d'affirmer le message du spot. Elle peut être spécifiquement composée pour le spot ou bien empruntée à des musiques connues contemporaines ou classiques. Quant à la musique argument, s'accompagne des paroles afin d'affirmer la promesse publicitaire. Et enfin, la musique signature est celle qui clôture le message présente en fin de spot sous la forme de jingle, elle lui donnerait charme et mémorabilité.

 

I.1.2. PUBLICITE

I.1.2.1. Définition

Le dictionnaire universel définit la publicité comme « l'art de faire connaître un produit, une entreprise, etc. afin d'inciter les consommateurs à acheter le produits ou à l'utiliser les services de cette entreprise »16(*).

Dans le même sens, l'encyclopédie des jeunes dit que « la publicité est un orteil de communication qui transmet des informations du public dans le but de le convaincre et de faire vendre des produits »17(*).

La publicité est une technique à l'évidence, ce sont les entreprises qui l'utilisent le plus, mais elle est également à la disposition des institutions des gouvernements, des services publics.

La publicité est un outil majeur de la communication commerciale, c'est une communication payante, unilatérale, impersonnelle, par l'intermédiaire de media et supports de toutes sortes en faveur d'un produit, d'une marque, d'une firme (d'une cause, d'un candidat, d'un ministère...) identifié dans le message.18(*)

La publicité est une forme de  communication de masse, dont le but est de fixer l'attention d'une  cible visée ( consommateur, utilisateur, usager, électeur, etc.) afin de l'inciter à adopter un comportement souhaité : achat d'un produit, élection d'une personnalité politique, incitation à l'économie d'énergie, etc.

Évoquer, par exemple, le nom d'une entreprise, d'un magasin, ou encore d'une marque, n'implique pas automatiquement un acte publicitaire. Mais cela le devient à partir du moment où le but volontairement recherché est d'attirer l'attention sur l'objet évoqué et/ou de suggérer d'aller à tel ou tel endroit.

La publicité peut viser des changements de comportement ou la promotion de valeurs considérées comme positives ou bénéfiques au niveau de la société, mettre en garde contre les drogues, inciter au respect de l'environnement, ou encore promouvoir la prévention routière.19(*)

« Ni science, ni art »20(*), la publicité est une technique largement empirique qui emprunte à l' économie, à la  sociologie et à la  psychologie, qui teste ses intuitions via des  panels et des études de marché. La créativité en est le coeur mais elle n'est pas un art. La  gratuité et l' objectivité lui font défaut. Si elle peut le devenir 5, ce n'est pas le but premier de son commanditaire qui cherche, lui, en premier lieu, à faire passer un message (vendre, inciter, faire agir...).

La question de la  publicité comparative reste aujourd'hui un sujet qui fait débat : si le concept lui-même rencontre un écho réel dans le public et les  associations de consommateurs, la mise en oeuvre concrète de l'idée reste controversée.

La majorité des auteurs rapprochent ou assimilent la publicité à un phénomène de  propagande propre aux sociétés contemporaines. Au sein de la société, elle augmente les échanges et accélère la diffusion des nouveaux produits ou des innovations techniques et elle représente un poids économique très important. De nombreuses législations nationales préviennent ses dérives potentielles. Les produits toxiques ou dangereux pour la santé se voient interdire de publicité dans certains pays (le  tabac, par exemple) alors que parallèlement la réglementation protège certaines catégories de personnes, les enfants en particulier, en interdisant la publicité pornographique et en encadrant rigoureusement la publicité qui leur est destinée.21(*)

Des mouvements dits «  antipub », dénonçant l'envahissement publicitaire, alimentent la critique et proposent des actions variées pour « s'en protéger ».

a. Brève historique

Il est difficile de déterminer avec certitude la naissance de la publicité. Des  archéologues ont retrouvé des fresques datant de l'Antiquité et annonçant des combats de gladiateurs. Au Moyen Âge (la plupart des gens étaient analphabètes) la communication se fait par voie orale. On peut voir des formes de publicité lorsque les crieurs vantent les produits d'un marchand ou encore font part aux citoyens des ordonnances royales.

Autrefois baptisée «  réclame »22(*), ce n'est que vers 1830 que le terme publicité, « action de rendre public » ou « état de ce qui est public » a pris le sens moderne d'« ensemble des moyens utilisés pour faire connaître au public un produit, une entreprise industrielle ou commerciale »  15. Cette date lie donc le développement de la publicité à celui de l' industrialisation et à l'essor des marchés de grande consommation.23(*)

b. Impact de la publicité

On accuse la publicité de favoriser la  concentration des marchés et de fausser la  concurrence. En 1967, le gouvernement britannique oblige les lessiviers leaders sur le marché à vendre un  produit générique, sans soutien publicitaire, ni promotion, à des prix inférieurs de 20 % au prix du marché (estimation gouvernementale de l'impact du marketing en termes de couts). L'expérience fut peu concluante. En France, l'interdiction de la publicité à la télévision faite aux réseaux de grande distribution, justifiée par des aspects économiques de protection de la concurrence, avait autant à voir avec les intérêts de la  presse régionale, grande bénéficiaire de cette mesure, qu'avec la défense du petit commerce.

On peut s'appuyer, pour défendre la thèse selon laquelle la publicité fausse la concurrence, sur le fait que les achats d'espaces-médias sont fortement régressifs : le coût unitaire est bien moindre quand on achète mille spots qu'un. Cela avantage les géants (de l' agroalimentaire par exemple) au détriment des petits producteurs. En contre-exemple de cet argument, si la publicité favorise la concentration, alors les secteurs de l'économie qui ont fait le plus de publicité devraient être fortement  oligopolistiques et les secteurs interdits de publicité fortement atomisés. L'économie fourmille d'exceptions. De plus, les parts de marché ont tendance à être plus instables (donc la concurrence plus active) dans un secteur qui fait plus de publicité.

c. Efficacité de la publicité

Comment mesurer l' efficacité de la publicité ? Une boutade, couramment véhiculée dans la profession dit : « la moitié de mes investissements publicitaires est dépensée en pure perte. Le problème, c'est que je ne sais pas laquelle. »  Bill Bernbach, pour sa part, affirme sans fausse modestie : « Don't measure opinion, make it! »24(*). Entre ces deux attitudes, se pose la question de l'évaluation de l'efficacité de la publicité, et plus précisément de sur la demande. Stimule-t-elle la concurrence ? Favorise-t-elle la concentration de la demande sur un petit nombre de marques ?

Mesurer l'efficacité d'une campagne, est quasiment impossible pour l'annonceur. Idéalement, l'investissement publicitaire est inférieur à l'augmentation des ventes. Mais on ne peut isoler l'effet (variable et dilué dans le temps) de la publicité dans l'ensemble des facteurs qui agissent sur le comportement des consommateurs. Faut-il pour autant renoncer à en mesurer l'impact ? Des méthodes statistiques multivariables existent utilisant la  régression, l'analyse de la  variance, etc.25(*) On peut aussi utiliser la méthode du marché test : ne lancer une campagne que sur une partie du territoire et comparer son effet sur les ventes par rapport au secteur sans campagne. Cette méthode, coûteuse en temps a le désavantage d'alerter la concurrence.

Si l'effet d'une campagne-produit donnée sur les ventes est difficile, on sait mieux mesurer la perception globale de l' image de marque en mesurant la notoriété spontanée (pourcentage de personnes citant la marque dans un univers concurrentiel donné), en particulier le top of mind, c'est-à-dire la première marque citée, en évaluant la notoriété assistée (la marque est-elle citée comme connue dans une liste donnée ?). Pour mesurer l'impact d'une campagne, un  institut de sondage peut demander, en passant plusieurs spots où les noms des annonceurs sont masqués, d'identifier correctement la marque et le produit.

d. Critique et opposition à la publicité

De manière générale, la population est plutôt hostile à la publicité et à son emprise croissante sur la vie de tout un chacun. Parallèlement, des individus et mouvements dits «  antipubs » dénoncent le « matraquage publicitaire » et remettent en question la légitimité de l'existence de la publicité.

Divers courants se retrouvent au sein des «  antipub » pour dénoncer l'envahissement publicitaire et proposer des actions pour « réagir et se protéger ».

v Contrôle des abus

Comme toute activité, la publicité est soumise à une réglementation et à une  déontologie. Des organes publics ou privés sont chargés de faire respecter des règles (très variables selon les pays, parfois plus strictes dans certains espaces tels que les écoles, parcs nationaux, régionaux, etc.). Il existe ainsi des organes de labellisation (publicité pour tout public, par exemple), des organes de contrôle (dans les pays libres, ce contrôle s'exerce aposteriori pour ne pas prendre la forme d'une  censure), et les tribunaux peuvent être saisis. Ce contrôle s'exerce sur le fond (interdiction de la  publicité mensongère ou cachée, comme un  publireportage qui ne dit pas son nom) ou sur la forme (pas trop de sexe ou de violence, par exemple). Néanmoins les décideurs et tribunaux peinent à situer les limites entre exigences de protection de la nature et des paysages et des personnes, et défense et limites de la ' liberté d'expression (dont une contre-publicité sous forme de «  publicité contradictoire » est déjà dans une certaine mesure autorisée dans certains pays).

Il arrive aussi que la réglementation ne soit pas respectée par les annonceurs et que les autorités dont le rôle est de faire respecter la loi ne fassent pas preuve de zèle en la matière.

v Critique du contenu

Ayant peu de temps pour faire passer une idée, elle s'appuiera souvent sur un cliché, une  idée reçue. La publicité utilise souvent les  stéréotypes traditionnels : la femme est à la cuisine, l'homme au travail, et les enfants dans une maison confortable, avec juste une pincée d'exotisme sympathique. Si elle utilise des contre-rôles, c'est pour susciter l'attention du consommateur. Au-delà des clichés, la publicité cherche à séduire à travers une image «  politiquement correcte » telle que l'enfant et plus généralement le bébé que l'on retrouve aussi bien pour l'automobile que pour la restauration rapide.

Il n'est pas facile de se faire remarquer au milieu de milliers de messages publicitaires. La publicité tente donc de provoquer pour mieux se graver dans les esprits. Cherchant l'efficacité, elle utilise chaque fois que possible des sentiments ou instincts forts, en court-circuitant la réflexion. La publicité voit donc fleurir des  pin-up offertes, ainsi que des mâles avantageux.  Georges Bernanos va encore plus loin dans cette vision en affirmant que les moteurs de choix de la publicité sont tout simplement les  sept péchés capitaux, pour la raison qu'il est « beaucoup plus facile de s'appuyer sur les  vices de l'homme que sur ses  besoins »26(*).

La publicité, par définition, insiste sur les qualités supposées d'un produit sans en souligner les défauts. Elle passe surtout sous silence les conditions de production des produits qu'elle cherche à faire vendre. Et comme le souligne le Groupe Marcuse : « La publicité mystifie les consciences en mythifiant les marchandises pour leur donner une aura sans laquelle elles apparaîtraient telles quelles, ternes et industrielles. »27(*) Une étude de la  Harvard Business Review a confirmé que l'impact de la publicité était grand pour les produits envers lesquels le consommateur est indifférent, comme les lessives, et nul pour ceux qui lui tiennent à coeur, comme la religion.

Pour  Friedman, la publicité ne déforme pas l'esprit critique mais ce sont les goûts des consommateurs qui sont jugés mauvais par certains critiques. Il écrit ainsi en 1980 dans  La liberté du choix : « Le fond du problème posé par la plupart des critiques de la publicité n'est pas le fait que la publicité manipule les goûts mais le fait que le grand public a des goûts détestables, c'est-à-dire différents des goûts des critiques. »28(*) Il y reprend la thèse qu'il développait dans «  Capitalisme et liberté » en 1962 : « Une objection majeure contre une économie libre est précisément qu'elle apporte aux gens ce qu'ils veulent au lieu de ce qu'un certain groupe pense qu'ils devraient vouloir ».29(*)

Selon l'encyclopédie du marketing de Jean-Marc Lehu, la publicité négative est un « message publicitaire dont le contenu est essentiellement composé de critiques plus ou moins acerbes, nominatives ou indirectes, des caractéristiques du ou des produits concurrents, ou peut-être interprété comme tel. »

La publicité négative, apparue en 1956 aux États-Unis (durant l'élection présidentielle qui opposa Dwight D. Eisenhower face au démocrate Adlai E. Stevenson), connait son essor à partir du fameux Daisy spot en 1964, dans lequel une fillette enlève inexorablement les pétales d'une fleur, les uns après les autres, à la manière d'un décompte nucléaire. Cette forme de communication, très utilisée pour décrédibiliser le candidat adverse, lors des campagnes politiques dans certains pays (USA, etc.) n'emporte pas l'adhésion en France où on lui reproche de symboliser le manque de force de proposition de celui qui l'emploie.30(*)

v Critique écologique

La critique écologique de la publicité est de deux natures. Elle peut porter sur :

· L'influence directe ou indirecte du message publicitaire sur la  consommation, contribuant à l'augmentation de l' empreinte écologique du développement socio-industriel,

· L'impact direct de l'action publicitaire elle-même sur l'environnement (dépenses de papier et d'énergie, pollution visuelle ou  sonorepollution lumineuse, etc.).

Concernant l'influence de la publicité, les écologistes reprochent à la publicité d'inciter à la consommation sans prendre en compte les  impacts environnementaux qu'elle génère.

Des  ONG dont la coalition  Alliance pour la planète, lors du ' Grenelle de l'environnement, ont pointé en 2007 que les contenus des messages publicitaires ne font pas l'objet d'analyses de leurs impacts par le système d'autorégulation du  Bureau de vérification de la publicité, même si les bonnes pratiques qu'il promeut refusent l'argumentation trompeuse et les fausses raisons environnementales de vendre ou les représentations contraires aux objectifs du développement durable. La publicité a sciemment contourné la loi Lalonde de  1991 qui interdisait de présenter des véhicules circulant en pleine  nature française, en allant les photographier ou filmer dans les paysages sauvages d'Islande, de Nouvelle-Zélande ou dans les déserts américains. Le BVP a, en octobre 2007, dans le cadre du Grenelle encouragé les publicitaires à renoncer à ces pratiques et ont signé en avril 2008, proposer une charte d'engagement et d'objectifs pour une publicité éco-responsable, appuyée sur un organisme de veille incluant des professionnels et représentants d'ONG environnementales, d'associations de défenses des consommateurs pour co-réguler le marché publicitaire.31(*)

Un second axe de critique pointe l'impact direct de la publicité sur l'environnement : consommation de ressources (papier, énergie) et pollution sonores et visuelles notamment.

Pour limiter la production de papier publicitaire, le  Ministère de l'Écologie et du Développement durable français a ainsi édité dans les années 2000 un autocollant « Pas de publicité S.V.P. » pour les boîtes aux lettres. Aucune règlementation ne protège (en 2008) le consommateur contre la répétition d'un même message plusieurs dizaines de fois dans la semaine. La répétition à ce rythme de messages inchangés au téléphone ou dans la rue ouvrirait le droit à une plainte pour  harcèlement.

v Critique sur l'influence

La publicité télévisée est accusée de contribuer à l'augmentation de l'épidémie d' obésité qui touche les pays développés. Un rapport remis en 2003 à l' agence des normes alimentaires au  Royaume-Uni selon lequel la publicité pour la nourriture à un effet sur les enfants en influant sur la préférence de nourriture et sur les demandes d'achats pour des produits malsains.32(*) En 2010 l' organisation mondiale de la santé enfonçait le clou : « la publicité télévisée influe sur les préférences alimentaires des enfants et sur leurs demandes d'achat et leurs modes de consommation ».33(*) À la même époque, en France,  Que choisir remarquait que 80% des publicités destinées aux enfants l'était pour des aliments, et que 80% d'entre eux étaient trop gras ou trop sucrés. Cette étude était une critique aux engagements de l'industrie agro-alimentaire en 2008, sous l'égide de l' ANIA, pour la réduction de la publicité destinée aux enfants.34(*)

 

* 14La publicité, www.parse.fr consulté le 12 Juillet 2015

* 15Julien J.R, idem, p155

* 16Dictionnaire universel, éd. Edicef, 1996

* 17Encyclopédie des jeunes Larouse, La communication des origines à l'internet, Paris, PUF, 1997, p.66

* 18ARMAND DAYAN,La Publicité, Paris, éd PUF, 1999, p. 112

* 19Anne-Marie Brady, Marketing Dictatorship: Propaganda and Thought Work in Contemporary China, London, 2007, p. 12

* 20Jacques L. et Bernard B., The Publicitor, Dalloz, Paris, 1991, p. 52

* 21Henri L. et Sacha R., Everyday life in the modern world, Second Revised Edition, London, 2000, p. 39

* 22 Alain T. et Gregory E., Certainly, we must see how the individual is manipulated by propaganda and advertising, A New Paradigm for Understanding Today's World, London, 2007, p. 70

* 23Michel F., La publicité, Folio biographies, Gallimard, 2011, p. 67

* 24Neil Borden, The Economic Effects of Advertising, Irvin, New York, 1942, p. 33

* 25Cochoy F., La captation des publics. C'est pour mieux te séduire mon client, Toulouse, PUM, 2004, p. 112

* 26Georges B., La France contre les robots, Paris, PUF, 1977, p. 211

* 27Groupe Marcuse, De la misère humaine en milieu publicitaire, La Découverte, 2004, p. 87

* 28 Milton F.,  La liberté du choix, Ed. Ellipses, Paris, 1980, p. 216

* 29 Milton F.Capitalisme et liberté, Ed. Ellipses, Paris, 1962, p. 15

* 30La publicité négative, https://fr.wikipedia.org/wiki/publicit%C3%A9 consulté le 09 août 2015

* 31La publicité, https://fr.wikipedia.org/wiki/publicit%C3%A9 consulté le 09 août 2015

* 32 « Review of Research on the Effects of Food Promotion to Children », sur food.gov.uk,ý22 septembre 2003

* 33 « Ensemble de recommandations sur la commercialisation des aliments et des boissons non alcoolisées destinés aux enfants », sur who.int,ý 2010 consulté le 14 août 2015

* 34 « L'ANIA a anticipé la volonté du Gouvernement de réduire la publicité dans les écrans enfants », sur ania.net,ý 7 septembre 2015

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