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à‰tude et processus de déploiement de la télévision sur ADSL au Bénin.

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par Antoine WANYANG MASSA
Institut CERCO - Licence 2014
  

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Remerciement 2

Aux termes de ce mémoire, je tiens á remercierceux ou celles de loin ou deprès qui ont contribué àl'élaboration de ce document par leur soutien moral, financier et pratique. Je veux nommer :

v mon directeur de mémoire, Théodore BEHANZINqui a accepté diriger ce mémoire, a su par sa perspicacité, sa connaissance des technologies naissante et son sens du travail bien faire nous guider vers l'essentiel nous lui sommes infiniment reconnaissant ainsi que mon maître de stage Adonis BOHOUN.

v mon papa monsieur Maurice N. TANMAKPI ;

v ma très chère maman madameMarie-Marguerite DJOMATIN ;

v mon oncle Anastase DJOMATIN et son épouse DJOMATIN Estelle ;

v mon grand frère Dr. Jaurès A. S. TANMAKPI ;

v ma grande soeur Gracia S. S. TANMAKPI ;

v ma petite soeur Hémi M. TANMAKPI ;

v ma petite soeur Exaucé DJOMATIN ;

v mes soeurs et frères, cousins et cousines ;

v monsieur Gontran EKE;

v mademoiselle Jecolia OGOUNDELE;

v mademoiselle Georgette LOKO;

v mademoiselle Femi DOHOU et ses soeurs ;

v mes amis ;

Tout le personnel administratif et les Professeurs qui ont participé à notre formation.

TANMAKPI B.S. Stephano

Autobiographie 1

Je m'appelle WANYANG MASSA Antoine. Je suis né le 06 Juillet 1988 à Bouar l'une des villes de la république Centrafricaine dans la préfecture de NANA-MAMBERE. Lorsque j'étais petit nous étions affectés à Bangui, la capitale de la république Centrafricaine. La maison familiale où j'ai passé la pluspart de mon temps se trouve à GOBONGO l'un des quartiers très connu de BANGUI. Il est donc situé au Nord de la frontière de la capitale de la RCA.

Ma mère, Elisabeth YAZON est une femme formidable, généreuse, accueillante. C'est une femme qui passe la plus part de son temps à s'occuper de ses enfants. Après ses études primaires, elle continua les cours secondaires dans un célèbre lycée appelé Lycée Moderne de Bouar où elle a arrêté les études en classe de 3ème. Ensuite, elle a suivi une formation de couture où elle est sortie brillante comme maitresse couturière. Malheureusement, ma mère n'a pas eu la chance de vivre en compagnie de ses enfants comme elle le souhaitait car elle a épousé un autre homme après avoir divorcé avec mon père. Ma mère est restée éloigner de ses enfants jusqu'à son décès le 17 octobre 2008.

Mon père Jean Aubin WANYANG, est un ingénieur agroéconomiste, un homme qui consacre son temps dans l'oeuvre de Dieu, un responsable digne d'une hécatombe. Mon père est allé loin dans ses études, mais pas aussi loin qu'il le voulait. Après les études primaires il s'est inscrit dans un célèbre lycée appelé Lycée Marie Jeanne CARRON de Bangui, où il a décroché son baccalauréat sérieB. Il décida de s'inscrire à l'université de Bangui en institut supérieur de développement rural (ISDR) ; ce qui lui a permis d'obtenir le BTS (Brevet de Technicien Supérieur) en agronomie. Vu la responsabilité de ses enfants, il a jugé mieux de travailler dans le gouvernement centrafricain. Dans ce cadre, il a servi aux postes de chef de phytosanitaire à PK 12, directeur des oeuvres universitaires (D.O.U) puis chef de service d'études au ministère de la JPN. Actuellement, il est le chargé de mission au ministère de la DDR/JPN (Désarmement Démobilisation et Réinsertion / Jeunesse Pionnière National). Il est membre d'une famille d'environ dix (10) personnes dont cinq (5) garçons et cinq (5) filles. La petite famille de mon père est composéede Modeste, moi, Rodéo, Oldson, Milène, Idéal, Xavier et Lovely.J'occupe ainsi le deuxième rang d'une famille qui compte huit (8) personnes.

Ecrire sur sa vie, c'est aussi rechercher une forme d'immortalité. J'espère donc laisser à mes lointains descendants le témoignage de l'aïeul qui aura fait partie de la seule génération de toute l'histoire de l'humanité à avoir vécu cette très courte période pendant laquelle les progrès scientifiques, technologies et matériels ont connu une croissance exponentielle.

Parlant demon cursus scolaire ; j'ai commencé (l'école) la maternelle à l'âge de six(6) ans. A l'époque,jefesais parti des élèves inscrit en retard. J'ai fait une année à la maternelle avant de débuter la classe Initiative CI à l'âge de sept(7) ans. Très brillant élève, j'ai suivi mes études de façon très assidue. J'étais toujours parmi les cinq premiers de ma classe jusqu'en classe de CE2 où j'ai repris. Mes parents étaient très déçus et furieux d'après moi ;surtout que mon père en particulier n'aime pas vraiment l'échec. Arrivé en classe de CM2, j'ai passé et je suis admis au concours d'entrer en 6ème et l'examen de CEP, j'ai pu aussi le décrocher avec la grâce divine. Je me rappelle qu'à cette époque tout ne me disait pas grand-chose. Je faisais juste ce que j'avais à faire : suivre les cours, étudier et passer en classe supérieure avec de bonnes notes tels que mes parents le désirent.

A quatorze(14) ans, j'étais en classe de 6ème dans un collège catholique nommée « Saint KIZITO » c'est là où j'ai découvert un monde tout nouveau. C'est là où les prêtres m'ont inculqué la bonne conduite c'est - à - dire la discipline. Ils m'ont fait voir de toutes les couleurs. Il s'agissait de noter le comportement de chaque élève et d'en tenir compte lors des calculs des moyennes sans compter les nombres considérables des matières en classe que je n'ai jamais confrontés. J'avais eu du mal à m'y habituer puisque c'était pour moi un nouvel environnement, un monde nouveau tout à fait contraire à celui que j'avais vécu. Dans cemilieu j'ai repris encore une autre classe celle de 6ème. Mon père était et cette fois-ci très mécontent et contrarié d'après moi. Mon cursus au premier cycle n'allait pas aussi bien que j'avais souhaité, j'ai encore repris une autre classe celle de 4ème. De là, mon père m'a prodigué des conseils inoubliables : «Il ne faut plus reprendre les classes car ton âge ne va jamais t'attendre ». Depuis ce jour je me suis décidé de ne plus reprendre une classe. Arrivé en classe de 3ème là maintenant il fallait que je me prépare àl'examen du BC (Brevet de Collège) ancien BEPC, un diplôme académique de passage en second cycle. Cette année, j'avais un objectif à atteindre et je me suis vraiment concentré sur cet objectif de réussir à cet examen et de passer au second cycle. J'étudiais beaucoup et sans arrêt. Il fallait à tout prix avoir la meilleure note. Tout se passa bien et j'ai pu composer normalement et brillamment réussir à mon examen avec de bonnes notes à l'appui. Après les vacances, j'envisageais de commencer le second cycle, vu les potentialités que j'ai, mon père m'offre l'opportunité d'aller passer le test d'entrée au lycée technique de Bangui. J'avais saisi l'occasion volontiers et j'ai été admis au test d'entré au lycée technique. Enfin, j'atteins le second cycle, je fus inscrit en 2nde STI (Sciences Techniques Industrielles) étant donné que j'étais inlassablement attiré par la technologie depuis mon enfance. J'eu du mal à apaiser mon enthousiasme cette année-là, je venais à peine de décrocher mon BC et test, tous avec vivacité. L'extase d'être maintenant un vrai lycéen, ne ralentit en rien mon ardeur au travail. Je continuais à avoir d'excellentes notes. Mais, la particularité du lycée technique est d'abord un lycée unique dans son genre sur toute l'étendue du territoire et aussi un nombre considérable des matières qui est plus que dans les lycées d'enseignement général. Mon travail restait toujours exemplaire.J'ai été admis en classe supérieur avec une bonne note que le conseil de classe (constitué de membre de l'administration et les professeurs principaux de chaque classe), vu les notes que j'avais obtenues dans différentes matières, le conseil de classe a décidé de m'envoyer en 1ère série GE ex (F3). En Première, ce fut l'une des classes les plus difficiles de toute ma vie. Il y avait un tout autre monde qui s'ouvrait à moi, des coefficients beaucoup plus élevés et des matières suivies des travaux pratiques beaucoup plus complexes. Malgré cela je redoublais d'effort pour ma réussite. Et grâce à Dieu, j'ai été admis en classe de terminale avec une bonne note mon père était si content de moi. En classe de terminale je me suis encore donné pour objectif de réussir au BAC avec une bonne mention. Je ne négligeais aucune matière, ni les documents au programme. Je fus ainsi un élève moyen de ma classe tout au long de l'année. J'obtiens mon BAC en 2010 avec mention passable. Je fus un peu déçu mais je m'en contentais de cette mention.

Un nouveau monde s'est ouvert à moi : l'université. Je pus m'en sortir pendant quatre (4) dernières années jusqu' aujourd'hui où je présente ce mémoire.

Antoine WANYANG MASSA

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"En amour, en art, en politique, il faut nous arranger pour que notre légèreté pèse lourd dans la balance."   Sacha Guitry