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Impact de l'entrepreneuriat sur la réduction du chômage des jeunes dans le groupement d'Irhambi Katana


par Blaise Bwira
ISC Bukavu - Entrepreneuriat et gestion des projets  2023
  

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CHAPITRE I. REVUE DE LA LITTERATURE

Dans ce chapitre il est question d'éclaircir les termes essentiels du travail afin de mettre en évidence les mots les plus utilitaires dont on peut avoir besoin dans la mesure du possible afin de s'épargner des petites confusions ou des moindres contradictions en rapport avec les termes corrélatifs au sujet qui fait lumière de notre travail sanctionnant le premier cycle de notre orientation scientifique.

Dans ce chapitre il nous sera également question de mettre en relief quelques travaux scientifiques de certains étudiants ou chercheurs qui se sont inspirés dans la même voie pour mettre à pied et véritablement leurs projets de recherche et dont leurs travaux s'orientent dans l'angle d'une démonstration de l'originalité de cette recherche qui sans doute serait d'une importance capitale tenant compte de sa spécificité.

I.1 : REVUE DE LA LITTERATURE THEORIQUE

La grande valeur nous est confiée à cette étape de souligner les éléments faisant le bienfondé de cette inspiration scientifique, dans l'importance objectif de mettre au parfum les termes spécifiquement reconnus de notre recherche scientifique et de tirer bénéfice des termes aptes non seulement pour l'enrichissement mais également et surtout pour l'embellissement ainsi que le strict couronnement de ce chef-d'oeuvre scientifique de grande facture non seulement pour le lauréat mais également pour l'émergence de notre institution qui nous loge et en laquelle nous devons incessamment des honneurs. Pour ce faire il nous convier à notre utilité scientifique de commencer par l'élément moteur de notre travail susceptible d'être traité avec un énorme détail par sa considération et par son influence dans l'ossature de ce présent projet scientifique et ses différents points interviennent impérativement pour représenter le cadre conceptuel autrement dit « l'explication » voire l'éclaircissement des concepts clés constitutifs du travail.

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I.1.1 Définition des concepts clés

Table 1: Définition des concepts clés

L'entrepreneuriat

Auteur

Définition

01

Shane et Venkata
Raman (2000, p.18)

Processus par lequel des opportunités à créer des

produits et des services futurs sont découvertes,
évaluées et exploitées.

02

Fayolle (2004)

Situation reliant de façon concomitante, un individu

caractérisé par un engagement personnel, fort
(consommation de temps, argent, énergie,) et un projet

ou une organisation émergente ou
organisation « stabilisée » de type entrepreneurial.

Chômage

Auteur

Définition

01

Virginie JAILLOUX

La situation d'un individu ou d'une partie de la main-d'oeuvre d'un pays sans emploi et à la recherche d'un

emploi.

02

Larousse

Un état de déséquilibre du marché du travail,
caractérisé par un excès d'offre de travail (celle des
travailleurs) par rapport à la demande de travail des
entreprises.

Source : Elaboré par nous-mêmes

Pour toutes ces définitions se trouvant de ce tableau, nous trouvons que la deuxième définition de l'entrepreneuriat correspond à l'entendement pour chaque concept.

Pour Frank KNIGHT et Peter DRUCKER, « l'entrepreneuriat consiste à prendre des risques, d'où l'entrepreneur est une personne qui est prête à mettre en jeu sa carrière et sa sécurité

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I.1.2. THEORIE CADRANT AVEC LE SUJET 1. L'ENTREPRENEURIAT

1.1.1. Définition

Le concept « entrepreneuriat » existe depuis longtemps, mais il reste très difficile de proposer une définition unanime compte tenu de la complexité du concept. Ainsi, plusieurs auteurs ont abordé le thème entrepreneurial tout s'en appuyant dans différents aspects, il y a lieu d'illustrer dans ce point quelques définitions enfin de saisir la nature du terme.

https://www.memoireonline.com

Dans la vision économiste notamment celle de Karl VESPER, L'entrepreneuriat est le « processus dynamique qui consiste à créer de la richesse supplémentaire »

Cette richesse est créée par des individus qui assument les risques principaux en termes de capitaux, de temps, et/ou d'implication professionnelle afin de donner de la valeur à un bien ou à un service. Il considère que définir l'entrepreneuriat constitue un exercice difficile, vu que les entrepreneurs et les activités entrepreneuriales ne sont guère aisées à identifier et à étudier, et le phénomène est hétérogène, complexe et équivoque. Il y a lieu donc de tenir compte des paramètres tels que ; l'incertitude, le risque, la création de valeur, le changement, l'innovation, etc. L'acte productif peut ou n'est pas être nouveau ou exclusif, mais la valeur doit y être en partie installée par l`entrepreneur dans la mesure où il rassemble et alloue les compétences et ressources nécessaires. https://www.rapport-gratuit.com

Le dictionnaire Economique définit l'entrepreneuriat comme étant : « l'action de créer de la richesse et/ou de l'emploi par la création ou la reprise d'une entreprise ».

Robert PATUREL propose une définition syncrétique de l'entrepreneuriat Celui-ci « est, à partir d'une idée, l'exploitation d'une opportunité dans le cadre d'une organisation impulsée, créée de toute pièce ou reprise dans un premier temps, puis développée ensuite, par une personne physique seule ou en équipe qui subit un changement important dans sa vie, selon un processus qui aboutit à la création d'une valeur nouvelle ou à l'économie de gaspillage de valeur existante ». Dans cette perspective, l'entrepreneuriat est indissociable de l'approche projet » https://www.memoireonline.com

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financière pour mettre en oeuvre une idée, à mettre son temps et son capital dans une entreprise risquée. »

Et plus tard vers 1985, Peter DRUCKER révise sa position sur le fait que « l'entrepreneuriat consiste à prendre de risque » en parlant plutôt de l'entrepreneuriat intelligent qui consiste à ne pas prendre de risques.

D'après FAYOLLE et FILION « L'entrepreneuriat : c'est le processus par lequel des personnes prennent conscience que le fait de posséder leur propre entreprise constitue une option ou une solution viable, ces personnes pensent à des entreprises qu'elles pourraient créer, prennent connaissance de la marche à suivre pour devenir un entrepreneur et se lancent dans la création et le démarrage d'une entreprise » https://www.memoireonline.com

Les déclencheurs de l'entrepreneuriat peuvent être : la formation, l'expérience, la disponibilité de fonds, le réseau environnemental, la détection d'une opportunité d'affaire, l'envie de devenir son propre patron, la perte d'un travail...etc.

La création d'entreprise ne représente pas seulement un moyen de lutte contre le chômage mais également une source très importante d'innovation. Elle est, en effet, considérée comme la solution à tous les maux auxquels la société et l'économie sont confrontées et c'est ce qui explique l'intérêt des états et des collectivités pour les mesures destinées à stimuler l'esprit d'entreprise. https://www.cairn.info , https://www.memoireonline.com

MASAMBA évoque plusieurs auteurs en abordant l'entrepreneuriat. C'est le cas de VERSTRAET et FAYOLLE qui définissent l'entrepreneuriat en rapprochant différentes approches, avec pour but de trouver un consensus autour du terme. Ces auteurs combinent quatre paradigmes pour cerner et comprendre l'entrepreneuriat. Il s'agit notamment de :

- l'opportunité d'affaires ;

- la création d'une organisation ;

- la création de la valeur et

- l'innovation.

En combinant ces quatre paradigmes, VERSTRAET et FAYOLLE ont proposé une définition claire de l'entrepreneuriat s'énonçant comme suit :

« L'entrepreneuriat est une initiative portée par un individu (ou plusieurs individus s'associant pour l'occasion) construisant ou saisissant une opportunité d'affaires (du moins ce qui est apprécié ou évalué comme tel), dont le profit n'est pas forcément d'ordre pécuniaire, par

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l'impulsion d'une organisation pouvant faire naître une ou plusieurs entités, et créant de la valeur nouvelle (plus forte dans le cas d'une innovation) pour des parties prenantes auxquelles le projet s'adresse. » https://fr.m.wikipedia.org

A part les définitions proposer par les différents auteurs cité ci-haut, il y a également l'Organisation de Coopération et de Développement Economiques (OCDE) qui propose la définition suivante : « L'entrepreneuriat, c'est l'action humaine, soutenue par le milieu environnant, générant de la valeur sur le marché par la création ou le développement d'une activité économique, évoluant avec cette valeur pour finalement affecter l'économie, et ce, dans le but de mieux répondre aux besoins individuels et collectifs d'un territoire »

https://ww.memoireonline.com

Dans cette définition, l'entrepreneuriat est considéré comme étant une action humaine : car il n'y a pas d'entrepreneuriat, pas d'entreprise sans l'homme, parce que c'est l'homme qui au centre de toute activité entrepreneuriale et aussi c'est lui qui entreprend (entrepreneur) ;

En prenant en compte toutes ces définitions, il y a lieu de retenir que l'entrepreneuriat est un phénomène complexe, un processus délicat qui nécessite l'initiative d'un individu dit « entrepreneur » dont l'objectif principal n'est pas forcement d'ordre pécuniaire mais ayant comme souci majeur l'innovation et le développement. https://www.cairn.info , https://books.openedition.org

1.1.2. DIFFERENTS ASPECTS D'UNE DEMARCHE ENTREPRENEURIALE

Selon HERNANDEZ cité par Massart14, la démarche entrepreneuriale peut être comprise sous divers aspects, à savoir :

- La création ex-nihilo : il s'agit de créer une entreprise à partir de rien. Cette disposition n'est pas une situation facile. Il faudra du temps pour arriver à implanter son produit dans un marché, pour convaincre les consommateurs et les chercheurs et c'est d'autant plus que le degré d'innovation sera élevé. Il exige de bien dimensionner les besoins financiers et d'obtenir les ressources suffisantes. https://www.memoireonline.com

La création ex-nihilo exige beaucoup de travail, de rigueur, de ténacité et par conséquent, entraine que les risques doivent être particulièrement bien évalués ;

- La création par essaimage : il est question de créer une entreprise par un salarié qui bénéficie de l'aide de son entreprise.

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Cette pratique est réalisée par les grandes entreprises qui proposent des mesures et des dispositifs destinés à inciter et à

Accompagner leurs salariés dans des créations d'entreprise. Les projets peuvent être variés et comprendre la création d'un commerce ou d'une entreprise industrielle.

Il y a lieu de noter que l'accompagnement matériel, intellectuel, commercial et financier d'une entreprise peut être de nature à réduire le niveau de risque de l'entrepreneur ;

- La création par franchise : cette sorte d'entrepreneuriat met en relation un franchiseur, entreprise qui souhaite se développer en utilisant cette modalité, et un franchisé, individu qui veut créer une entreprise en appliquant cette formule. Ce type de création consiste à imiter un fonctionnement qui existe dans un contexte géographique donné. La création en franchise bénéficie d'un accompagnement important, mais payant, de la part du franchiseur. Elle peut permettre à celui qui n'a pas d'idées propres ou qui n'a pas une capacité à innover de réaliser son objectif de création d'entreprise.

La reprise d'entreprise : la reprise d'entreprise ou d'activité présente une différence de taille avec la création d'entreprise.

L'organisation existe, elle n'a pas à être crée. Si elle existe, il est alors possible de s'appuyer sur des données qui la décrivent dans son présent, son histoire, sa structure et son fonctionnement. Dans ces conditions, l'incertitude est généralement moindre et les niveaux de risque beaucoup plus faibles. Comme pour la création d'entreprise, la reprise peut être réalisée par un individu pour son propre compte ou par une entreprise existante. https://bpifrance-creation.fr

Au moins, deux cas de reprise d'entreprise peuvent être examinés :

· La reprise d'entreprise ou d'activité en bonne santé : la principale difficulté pour acquérir ce type d'entreprise est vraisemblablement d'avoir suffisamment vite l'information qu'une telle entreprise est en vente. Ensuite, il faut pouvoir disposer de ressources financières importantes, car le prix de marché de ces entreprises est souvent très élevé. Il est indispensable d'avoir, par ailleurs, de bonnes compétences générales et une expérience de management réussie, pour ne pas perdre trop de temps dans l'apprentissage du métier de chef d'entreprise ;

· La reprise d'entreprise ou d'activité en difficulté : il peut s'agir d'une entreprise en redressement judiciaire, et si les difficultés sont déclarées, il est indispensable de connaître le cadre légal de reprise d'entreprise en difficulté et avoir des relations avec des acteurs clés dans ce milieu. Si le prix d'acquisition de ce type d'entreprise est sans commune mesure avec celui des entreprises en bonne santé, il ne faut jamais perdre de vue que ces structures nécessitent généralement une

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très forte recapitalisation financière. En outre, reprendre une entreprise en difficulté nécessite également une bonne connaissance des situations de crise. Car il sera question de restaurer rapidement la confiance à tous les niveaux : personnel, clients, fournisseurs, partenaires...

- L'entrepreneuriat : Gifford PINCHOT (1985) introduit le terme d'Intrapreneuring transposé en « entrepreneuriat » en français pour décrire les activités entrepreneuriales au sein même d'une grande organisation. « L'entrepreneuriat est aussi le processus par lequel un individu ou un groupe d'individus, en association avec une organisation existante, crée une nouvelle organisation ou génère le renouvellement ou l'innovation au sein de cette organisation. ». https://www.memoireonline.com

Cette définition est intéressante à plus d'un titre : d'abord, elle met en évidence la dimension individuelle du processus entrepreneuriat et souligne l'existence d'une association entre individu et organisation. Elle inclut, parmi les finalités du processus entrepreneurial, non seulement la création de nouvelles activités, mais également toute innovation ou transformation majeure de l'organisation. Les relations entre les deux « associés » (individu ou groupe d'individus et l'organisation) aussi asymétriques et interdépendant sont forcément complexes. L'entrepreneur qui agit apparemment de façon autonome et s'engage personnellement, reste un employé soumis à des obligations contractuelles et morales, dont celle d'agir pour le bénéfice de son employeur. De son côté, l'organisation qui « délègue » certaines tâches et transfère certains risques à l'entrepreneur constitue à la fois son milieu nourricier et son juge. https://fr.scribd.com , https://zenodo.org

De tout ce qui précède, il se dégage que l'entrepreneuriat est un phénomène qui se produit partant des actes posés par l'entrepreneur, qui est l'acteur principal de l'entrepreneuriat. Car, l'idée de création provient nécessairement de l'individu qui est dit « entrepreneur ».

1.1.3. Processus entrepreneurial

Le processus entrepreneurial est considéré comme la combinaison des efforts individuels et collectifs mis en oeuvre pour développer les opportunités. Il est appréhendé comme étant la construction de la démarche entrepreneuriale. Ce processus trouve son origine au fur et à mesure de l'avancement dans le temps et de la maturation du projet d'entreprise nouvelle. https://www.memoireonline.com

Car, l'entrepreneur doit mobiliser des compétences pour mener à bien son projet de création et de le réaliser en termes de développement et de rayonnement visés. Il acquiert petits à petits des compétences, à travers le processus d'apprentissage entrepreneurial, en lui permettant une meilleure cohérence de la symbiose entrepreneur/projet créé.

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BRUYAT, modélise le processus entrepreneurial en distinguant trois phases reliées dans une même logique d'évolution :

- Déclenchement du processus entrepreneurial qui survient suite à un changement interne à l'entrepreneur, désir d'indépendance, insatisfaction professionnelle, et/ou externe, provenant de l'environnement : rencontre avec un client potentiel, licenciement ;

- Engagement total du créateur qui se réalise lorsque l'entrepreneur consacre la plupart de son temps, de son argent et de son énergie au montage de son projet ;

- Survie - développement de l'entreprise créée à partir du moment où l'entreprise nouvellement créée se trouve au-dessus de son seuil de rentabilité, elle devient viable et peut prospérer. AYAT quant à lui, distingue 3 phases du processus entrepreneurial :

Phase 1 : recherche d'une idée ou d'une opportunité à exploiter par la création ou la reprise d'entreprise.

Phase 2 : Surmonter les contraintes du projet Ces contraintes sont de quatre ordres :

- Contraintes propres au produit et à la prestation : Un produit industriel ne génère pas les mêmes contraintes qu'un service,

Certains produits peuvent avoir des volumes de stockage très importants (camions, outillage), tandis que des services nécessitent des investissements aux normes (restauration) ;

- Contraintes de marché : Selon l'état du marché (lancement, croissance, maturité...), le contexte de la création ne répond pas aux mêmes conditions ;

- Contraintes légales : Incontournables pour le créateur, elles diffèrent selon le produit (médicaments, bibliothèque,) ;

- Contraintes de moyens : Les moyens à réunir seront plus ou moins importants selon les autres contraintes. https://books.openedition.org

Phase 3 : Mobiliser les ressources et compétences nécessaires au projet Compte tenu des différentes contraintes

Identifiées, le créateur d'entreprise va devoir réunir les ressources nécessaires, et notamment les fonds lui permettant de démarrer son activité (plan de financement).

Nous retenons, dans le cadre de notre travail, trois modèles des processus entrepreneurials, à savoir le modèle de EMILE HERNANDEZ, le modèle de SCOTT SHARE et enfin le modèle dynamique de THIERRY VERSTRAETE.

A. D'après EMILE HERNANDEZ

Pour cet auteur, le processus entrepreneurial suit une trajectoire à quatre étapes, à savoir : Etape 1 : Initiation (idée)

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Cette étape comprend deux opérations. La première opération marque le passage de l'intention à l'idée, ce qui conduit à une démarcation entre l'intention et l'idée. La deuxième opération consiste à l'apprentissage du métier, c'est-à-dire c'est rassurer si l'on a des compétences requises dans ce métier.

Etape 2 : Maturation du projet

Ici on passe de l'idée et/ou métier au projet. C'est ici que le potentiel entrepreneur (porteur du projet) émerge les facteurs clés de succès (FCS), c'est-à-dire les atouts sur quoi se fondent les avantages concurrentiels du porteur du projet. Et en même temps l'entrepreneur potentiel identifie les facteurs stratégiques de risque (FSR), c'est-à-dire les éléments mettant le projet en situation de recul par rapport à la concurrence (faiblesses).

C'est dans cette étape qu'on construit le plan d'affaires ou le business model puisque l'entrepreneur a maîtrisé les aspects techniques, financiers, ... de son environnement.

Etape 3 : Démarrage de l'entreprise

C'est la transition entre le projet et sa concrétisation en entreprise. Dans cette étape, l'entrepreneur cherche le premier personnel, les premiers clients, les premiers fournisseurs, l'autorisation de fonctionnement, etc.

Etape 4 : Finalisation

C'est la consolidation de l'entreprise créée.

B. D'après SCOTT SHARE

Son processus entrepreneurial repose sur la détection et l'exploitation d'une opportunité d'affaires. Pour lui, le porteur du projet doit posséder un certain nombre d'attributs (psychologiques, sociaux, culturels, ...) et maîtriser son environnement afin de saisir une occasion d'affaires.

Figure 1 : Les principales étapes du processus entrepreneurial selon SCOTT SHARE Exploitation de l'opportunité d'affaires

Ressources pour la mise en oeuvre du projet

Etude de l'opportunité

Détection de l'occasion d'affaires

Attributs. D'après THIERRY VERSTRAETE

Selon cet auteur, le processus entrepreneurial n'évolue pas de façon linéaire, mais plutôt de façon sinusoïdale. Le processus entrepreneurial comprend donc cinq étapes : conception d'une idée, détection d'une opportunité d'affaires, élaboration du business model, définition d'une vision stratégique et élaboration d'un plan d'affaires.

1. Idée (offre)

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Dans cette étape, il revient à définir les sources de l'idée d'entreprise. L'idée peut provenir du constat, d'une expérience, des études, d'un rêve, d'une inspiration des autres, etc.

2. Opportunité d'affaires (demande).

Il s'agit de concilier l'idée avec une réalité socioéconomique (marché solvable). Pour passer de l'idée à l'idée d'affaires, il est indispensable de faire des études de marché permettant d'identifier la demande.

3. Business model (intelligibilité et direction du projet)

C'est l'étape de la définition de l'ensemble des partenaires intéressés par le projet tout en définissant la valeur relative à chaque partenaire.

Le Business Model est une convention relative à la génération de la valeur, à la rémunération de la valeur et au partage de la valeur entre toutes les parties prenantes impliquées dans le projet.

4. Vision stratégique (planification)

C'est une présentation détaillée de la planification des activités financières du projet, c'est-à-dire projeter ce que sera l'entreprise à moyen et long terme.

5. Plan d'affaires

C'est l'instrument au coeur des bailleurs des fonds. C'est l'acte final consistant à la rédaction du projet.

Figure 2 : Processus entrepreneurial présenter par Thierry VERSTRAET Opportunité d'affaire vision stratégique

Idée Business Model (B.M) Business Plan (B.P)

La démarche de T. VERSTRAETE est opposée à celle de Robert PAPIN. Pour ce dernier, le Processus entrepreneurial est linéaire, c'est-à-dire les étapes sont strictement séquentialisées. Cela signifie que lorsqu'une idée conçue ne rencontre pas à une opportunité d'affaires, on la rejette. Par contre pour VERSTRAETE, l'idée n'est pas rejetée mais elle peut être revue. Figure 3. Processus entrepreneurial selon R. PAPIN

Idée opportunité d'affaires Vision stratégique Business plan

Pour Robert PAPIN, on ne peut pas passer d'une étape à une autre sans qu'une étape soit acceptée. Pour T. VERSTRAETE, un projet est en création permanente. Il propose un processus sinusoïdal et itératif (c'est - à - dire du Business Plan à l'idée) à travers le temps de mise au point du projet. Le temps dont on parle n'est pas à confondre à celui du calendrier ; c'est le temps de la capacité de réaliser un projet.

1.1.4. Entrepreneuriat et lutte contre la pauvreté

La culture entrepreneuriale est une forte croyance qui incite les individus soucieux de leur

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milieu, de leur survie et de leur développement, à prioriser l'entrepreneuriat comme moyen de lutte contre la pauvreté et à se donner progressivement les moyens d'actualiser ce potentiel.

Et cette culture serait en effet constituée de qualités et d'attitudes exprimant la volonté d'entreprendre et de s'engager pleinement dans ce que l'on veut faire et mener à terme. Elle se veut être comme une culture du projet, une culture toute particulière puisqu'elle vise à produire de la nouveauté et du changement. Elle se veut aussi être une culture de création et de construction.

Plusieurs études ont étudié l'influence de la culture sur le phénomène entrepreneurial. Pour LANDES : « Si nous devons retenir quelque chose de l'histoire du développement économique 'est que la culture fait toute la différence ». L'entrepreneuriat demeure un champ où s'exerce l'influence de la culture, il est lui-même un acte culturel. La culture est ancrée tout au long du processus entrepreneurial : depuis l'intention jusqu'au développement des entreprises, elle conditionne et influe sur la pensé, les caractéristiques, les actes et les comportements des entrepreneurs. Elle se mesure par l'intensité et la vitalité entrepreneuriale d'une société, elle valorise les caractéristiques typiques aux entrepreneurs, et les valeurs de l'entrepreneuriat : autonomie, créativité et esprit d'entreprise.

Elle constitue un instrument efficace de lutte contre la pauvreté par la création d'entreprise.

A ce sujet, FORTIN souligne qu'il n'y a pas de limites à la créativité des hommes et des femmes et il n'y a pas de limites à la diversité de besoins humains, il y aura donc toujours de la place pour de nouvelles initiatives et des nouvelles entreprises. https://recherche-artisanat.educ.umontpellier.fr

La culture entrepreneuriale permet justement de démocratiser la capacité de créer et de gérer, faisant ainsi échec à la pauvreté en favorisant la création de richesses. En effet, en démocratisant la capacité de créer des entreprises et de les gérer correctement : on assure la création de richesses et d'emplois ; on permet l'amélioration de la qualité de vie individuelle et collective ; on contribue à l'amélioration du patrimoine universel, y compris la préservation de l'environnement, tout en assurant aux plus démunis un minimum vital. https://.www.etudier.com

Lorsque les personnes aptes au travail créent la richesse, il est plus facile ensuite pour l'Etat de veiller au bien être des inaptes au travail par divers mécanismes de redistribution de la richesse en arbitrant entre le principe d'équité et celui d'efficacité.

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C'est ainsi, le développement économique durable passe nécessairement par le développement d'une véritable culture entrepreneuriale assurant ainsi un développement endogène croissant et une plus grande création de richesse. Car l'entrepreneuriat est considéré comme un instrument clé permettant d'améliorer la compétitivité entre les nations, de favoriser la croissance économique et d'accroître les possibilités d'emploi. https://www.memoireonline.com

Les Chercheurs et preneurs de décisions s'accordent pour dire qu'une économie entrepreneuriale est une économie dynamique et innovatrice, c'est-à-dire qui expérimente de nouvelles idées, de nouveaux produits ou processus, ce qui lui permet de se

Renouveler. https://www.etudier.com

A) DOMAINES D'APPLICATION DE L'ENTREPRENEURIAT

Par ce point nous essayons de découvrir les acteurs possibles dans la réactivité de cette activité sur laquelle nous ne cessons de fixer notre attention d'une façon vigilante.

Pour ce faire, il sied de souligner clairement que l'entrepreneuriat s'étant sur un champ d'exercice profondément considérable que notre préoccupation nous conduit de les maintenir globalement sous les différents secteurs dont :

? Le secteur agricole : Il concernera tel que le mot l'annonce, des préoccupations en rapport avec l'agriculture.

? Le secteur d'élevage : Au secteur d'agriculture s'allie celui d'élevage, deux secteurs dirons-nous ; supplémentaire.

? Le secteur industriel : Il a trait aux faits en rapport avec la transformation ou la fabrication des quelconques produits.

? Le secteur agricole : Il concerne plus particulièrement l'agriculture.

La plupart des gens présentent une fausse illusion marchande sur un fameux prétexte que l'investissent en agriculture fait preuve d'une pauvreté ou d'un sous-développement des personnes se réfugiant dans le domaine agricole comme un secteur d'entrepreneuriat.

La nécessité en investissement dans ce domaine laisse lever l'ignorance de pensées de certains individus ; en leur montrant certains atouts ou avantages qui pousseraient à un entrepreneur agricole de certifier son goût à l'agriculture. https://www.topformation.fr

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La démonstration du fait que nos sols voire nos sous-sols font preuve d'une richesse et d'un trésor invisiblement montré ; permettraient à un jeune-entrepreneur de ne point abolir le domaine agricole, de ceux pouvant signer. https://journals.openedition.org

Les grandes factures comme champs d'application de l'entrepreneuriat, non seulement par ses productions (aspects de rentabilité), mais aussi par les avantages dont celui-ci est revêtu énumérant quelques-uns pour illustration :

Modération du degré de famine et de crise alimentaire dont nos membres de familles sont les tout premières victimes.

Attitudes à vouloir industrialiser les métiers reculés par la création d'industries, surtout s'il Ya excès de production pour permettre la transformation des quelques produits.

Maintien des relations de solidarité entre certains pays, territoires, villes, provinces... par le biais d'exportation et d'importation dans le principal désir d'échange de denrées alimentaires.

Valorisation des produits de sa région au prêt de quelques cités développées, dons le meilleur goût de l'ailleurs reste leur devise. Ils sont exostifs mais nous n'affichons que ceux-ci en raison d'illustration. Https://books.openedition.org

Notons également que ce secteur est suffisamment riche en différentes activités champêtres d'un noble besoin entre autres : La création d'un boisement pour les sticks d'arbres intervenant la plupart de fois dans la fabrication d'immeubles comme les tables, les chaises etc. Il revient de même de souligner le maintien d'un paysage paisible dont l'origine est l'alignement prestigieux d'arbres, faisant ainsi un espacement et un paysage admirable d'un environnement. https://www.fao.org

Le secteur d'élevage : Tel que souligné précédemment, ce domaine doit être attaché au premier par leur valeur surtout pour la biodiversité.

Il est exclu, l'ignorance des humains, qui peuvent par corruption naturelle ne pas connaitre l'apport de ce secteur pour la fierté et le luxe que les différentes variétés d'animaux peuvent signer et susciter à notre vue.

L'entrepreneuriat dans ce domaine n'approuve aucun détour aux jeunes entrepreneurs à vision d'objective soulignant non seulement l'esthétique des différents animaux pouvant contenir dans les fermes d'un entrepreneur de ce domaine, mais également et décisivement aux besoins des demandes nécessitant les espèces de votre ferme ainsi que des visites effectuées pour découvrir

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les espèces que loge votre ferme raison d'exaltation de la faune qui également n'exclut par le point de beauté d'un écosystème et de son émergence. https://books.openedition.org

Imaginez-vous, un entrepreneur qualifié du secteur d'élevage, qui évalue la statistique d'espèces sous différentes qualités, présents dans sa ferme.

En inventaire, il retrouve 50 porcs de race confondue ; dont le prix de vente s'étend entre 100 et 220 dollars américains, 100 poules de races et prix différents, 75 chèvres de races et prix différents.

En vente, hormis les dépenses possibles, on n'a point de doute qu'il se trouve avec une somme importante pouvant lui permettre de réaliser certains de ces projets, un d'importants objectifs de l'entrepreneuriat.

Il revient de même pour un jeune entrepreneur ; normalement du groupement d'IRHAMBI KATANA notre lieu cible pour ce travail ; qui désirerait reconnaitre l'évolution de son bétail.

Dans les cages de ses lapins et cobayes ; il constate qu'il y a plus d'une certaine ajoutée au nombre de ses bestiaux, contrairement au nombre auquel il s'attendait.

En vente, il se retrouve subliment avec un montant d'environ 500 dollars qu'il décide de repartir pour d'autres créations pour en bénéficier autant.

En guise de ces expériences illustratives, il est convenable de retenir que ce domaine ferait également une véritable source de revenu pour quelques entrepreneurs à détermination catégorique.

Et à nous, entant que prétendus et futurs entrepreneurs de mettre en marche des mécanismes pour l'amélioration de chacun de secteurs.

Le secteur industriel peut être compris dans de brefs termes comme un des domaines d'entrepreneuriat basé sur la transformation ou l'industrialisation.

Ce secteur semble peu applicable étant donné que la présence des machines ou d'industries semble rare, ou or peut certifier que la technologie et les domaines techniques paraissent ne pas intéresser plusieurs paysans qui se contentent beaucoup de temps à ce qu'il voit.

Pourtant trop utile pour l'évolution des hommes en général, les habitants y présentent un dégoût étant donné qu'ils sont dépourvus d'industries d formation, ainsi que de divers outils à utiliser pour la pratique en vue d'évaluation de performance technique.

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Qu'importe les défis liés à ce secteur, les soucieux entrepreneurs doivent songer aux possibilités pour la représentativité de ce domaine dont les savants semblent rares.

https://fr.m.wikipedia.org

Et pourtant, il est sans ignorer que les choses précieuses sont les plus rares.

Or devrait donc lutter à ce qu'on soit un technicien rare et cherché, qui puisse signer ses réalisant dans ces domaines et voir la manière dont les performances mènent à une vie précieuse. https://www.pqb.fr , https://www.cairn.info

B) MOTIFS DE L'ENTREPRENEUR A L'ENTREPRENEURIAT

Soulignons dans ce point que, multiples raisons parviennent à pousser l'entrepreneur à son intéressement capital et à une détermination possible. D'entre nous retenons :

1. Les raisons liées au capital fixe : Orientant son esprit vers un accroissement financier bien remarquable, le sujet préoccupé par le gain de l'entrepreneuriat, a toujours voulu faire preuve d'une amélioration économique stable et bien rentable, afin de remédier aux défis liés à la finance et acquérir les mécanismes pécuniaires pour répondre à certains besoins.

Ainsi, celui-ci devient un outil de bataille dont se servira l'entrepreneur, dans la principale visée d'être sérieusement outillé des divers instruments économiques par lequel l'auteur saura décisivement établir une meilleure réalisation des principes de développement qu'il se fixe avant de démarrer la vraie préoccupation d'entrepreneuriat, élément moteur de ce projet scientifique.

2. Les raisons liées à l'investissement : Comme la plupart des activités humanitaires, le but primordial au quel est orienté l'entrepreneuriat découle réellement de la tendance dirigée vers l'investissement.

Les agents de l'entrepreneuriat dont le coeur se bat inlassablement vers la création des projets, ne cessent de s'affronter pour une conceptualisation exacte des projets de vie qui prouvent la grandeur de leur investigation, point fondé de leur lutte.

Ayant acquis un succès dans ce domaine, ils s'attendent sans doute à une intense gloire terme méritoire : cet éloge n'est en aucun contexte de vantardise bien entendu que les oeuvres font toujours la fierté de celui qui les réalise après avoir normalement mis en oeuvre des effets pour faire monter de ces gestes grandioses, non réalisable par qui que ce soit.

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Cela fait évidemment preuve de fierté pour le sujet car il se sent totalement soulagé des résultats de son initiative qu'il venait de mettre en marche au préalable. https://gallica.bnf.fr

Non seulement pour ces fruits souhaitables, mais également en raison du progrès qu'il fait face dans ce domaine plus social qu'économique, en plus, du gré agréable plus socialement prouvé que tant des partenaires socio-économiques souhaitent, non seulement pour leurs intérêts privés mais sous prétexte que ce geste plus apprécier fait preuve d'un rendement humanitaire et social dont l'administration ne pût être marquée.

? Les raisons liées à la rentabilité sociale : Une société mieux organisée à but bien évidement lucratif, a toujours rêvé d'actions bien économiquement productives pour réellement éradiquer les divers problèmes, mes sociaux au quels le rythme social expose à ses habitants.

Ainsi, un entrepreneur soucieux de sa société ainsi que de son entourage, se mettant en voie une organisation à l'aide de laquelle les gens entourant les milieux sociaux puissent pressentir du sourire ces égards aux bénéfices qu'ils peuvent tirer de ladite organisation ainsi que de vouloir maintenir des raisonnements pour l'équilibre et la progression incontournable de l'organisation. https://www.agrimaroc.org

Ce ci prouvera donc une sympathie à cet organisme qu'ils souhaitent voir générer, un amour bien marqué par l'utilité qu'ils perçoivent de l'entreprise qu'ils ne cessent de prendre en alma mater ou en mère nourricière, compte tenue de la stricte restauration de celle-ci, preuve de gain qu'ils ne cessent de faire bénéfice pour leur stabilité humaine.

Ce patriotisme envers l'organisme permet à celui-ci de rajeunir d'avantage, également d'être garanti d'un soutient catégorique, qui, en revanche n'est qu'un élan possible pour l'amélioration de l'entreprise et sa valorisation.

Et de cela découle la principale saveur pour l'émergence de l'organisation.

Car au fur et à mesure que l'entreprise progresse positivement, il connait également une popularité é effective qui, réellement est source des produits fournis dont les qualités semblent enviables par les humains, acteurs de certains facteurs sociaux et vaporisateurs d'oeuvres sociales.

On ne peut fermer les pavillons de ce concept entrepreneurial sans rien souligner sur l'origine de l'entrepreneuriat social permettant de faire naitre la valeur environnementale au sein des entreprises classiques.

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Il est possible qu'il tire ses origines aux États-Unis, au cours de la fin du 20ème siècle précisément en 1990.

Tel qu'il est signalé dans le cours d'introduction à l'entrepreneuriat visant à créer et développer le sens de l'initiative chez l'apprenant, nous facilitera l'acquisition de maintes formalités sur ce domaine.

2. L'impact

Ce concept intervient dans le libellé du présent projet scientifique sanctionnant notre premier cycle universitaire dans la principale préoccupation de bien maintenir l'apport ou l'intérêt qu'apporte l'idée d'entreprendre pour tous les êtres humains en général, particulièrement aux jeunes de groupement d'IRHAMBI KATANA, qui constitue clairement l'échantillon ou repose le sujet de notre travail. L'apport dont il s'agit dans ce plan dépend des bienfaits si pas, des défis que favorisent les actions d'entreprendre aux vues des jeunes du groupement d'IRHAMBI KATANA en particulier et généralement en faveur de tout homme ayant l'entrepreneuriat comme souci où il raisonne orienter son parcours vital, tenant ainsi compte de l'action qualitative d'un impact, justifier par l'amélioration ou la chute d'une entreprise selon sa gestion, un impact devrait principalement s'appuyer sur deux aspects fondamentaux : positif et négatif malgré le goût de tout un entrepreneur vouloir à tout instant opter pour l'aspect positif qui évidement, demeure l'idéal.

1. L'aspect positif : Ceci est sans doute celui qui répond favorablement à l'attente d'un entrepreneur qualifié et déterminer. Il est clair de signaler que l'aspect positif est celui dont tout le monde de réjouirait étant donné les résultats qu'il produit chez l'acteur de l'entreprise, lequel résultat défend honnêtement l'image de son acteur, et par sa valeur lui donne plus de considération et de pouvoir atouts dont la recherche semble universelle et honorifique.

2. Il est exclu de se demander les motifs qui font que ce dernier soit pris d'un regard possible, nonobstant il est possible de souligner quelques réalisations qui prouvent la lutte excessive pour l'aspect positif

Cet aspect permet une émergence possible ; il s'avère important de glisser le couronnement positif à un acteur dont l'entreprise tend tous les jours vers le succès son tour une considération élégante sous preuve que cette réussite témoigne ses performances dans la gestion de son entreprise, ainsi que sa dignité et fidélité, expliquées par sa sensibilisation décisive pour

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l'accroissement de l'organisation en ses plans constitutifs. Bref, il est facile de dire que toute meilleure qualité est utile pour qualifier un entrepreneur à qui le talent se justifie par ses actions ; ces qualités (en se diverses façons) se comprennent comme une spécialité, un cadeau ou une médaille d'encouragement pour permettre à l'auteur de ce geste de filer continuellement au point d'atteindre le fond utilitaire de sa lutte.

Cet aspect permet un luxe honorifique ; la réussite d'un entrepreneur lui fournit des louanges inoubliables « les meilleures actions immortalisent son meilleur » on comprendrait sans se mettre trop de raisonnements que la gloire de quelqu'un qui fournit des actions convaincantes et productives ne doit être piétinée par qui que ce soit, à moins qu'il soit victime de xénophobie du développement social. On ne doit à aucun instant cesser de proclamer les exploits d'un acteur à la hauteur de son entreprise. Cette gloire est méritoire ; elle n'est pas prise en « m'as-tu vu » une qualification à utiliser pour les hommes salauds, qui porteur médiocrité peut vouloir se créer une fausse gloire pour les atrocités humanitaires dont ils sont auteurs. Ils s'autoproclament pour qu'ils soient craints par les autres par leur cruauté. Voilà une gloire qu'on doit éviter et opposer à tout prix à cette d'un acteur d'entreprise dont les louanges restent bénéfiques.

Cet aspect génère un enrichissement du capital, tout entrepreneur se réjouit de la fortune traite de son entreprise pour évaluer le niveau d'accroissement du capital, afin de songer à un investissement solide c'est en cela qu'il serait évident à lui de se créer comme devise ; l'augmentation du capital pour exercer d'autres projets rentables, il est l'homme qui planifie les coups financiers pour le bien-être de l'entreprise ou pour une évolution ferme de ses projets, sans plus songer aux actes frauduleux pour y parvenir. En cela il est épargné de toute tentative pouvant t'exposer aux accusations (plaintes) qui peuvent en un temps donné atteindre la séquestration. Il serait donc différent de ces entrepreneurs qui investissent par un fond de fraude et qui à leur tour seraient victimes d'accusations.

2. L'aspect négatif : il a une très piètre représentativité pour les entrepreneurs et contribue abusivement à la chute d'une organisation, après que celle-ci a préalablement endaufé multiples critiques s'attaquant à l'entreprise et son personnel causées par l'incompétence et l'impossibilité de rendre rentable l'entreprise. Pour ne point aborder plus de détail, il convient d'une façon dépréciable de mener un regard de mauvais oeil à cet aspect incompétent qui contrairement au précédent n'a aucun luxe pour lequel on peut mener une appréciation, on y soulève dont la médiocrité des acteurs animant l'entreprise, élever une entreprise, le quel faute de privation de mécanismes pour élever une entreprise la font chuter et en plus perdent les vraies

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traces de l'organisation. Ce sont de tels entrepreneurs qui sont hués, hurlés voire injuriés et victimes de tout défauts, par le fait qu'ils n'ont surpris négativement et avec déception la foule qui attendait d'eux une utile amélioration. Cet aspect ayant une caractéristique bien déficitaire présente d'une façon néfaste autant de défauts lesquels nous pouvons-nous représenter sous quelques traits illustratifs :

? Les traits nuisibles à la compétence du sujet de cet élément, il est nécessaire de retenir que l'échec d'une organisation incombe ses acteurs. Selon les observateurs de réalisations au sein d'une entreprise, il est clair de souligner cette qualification négative dont sont victimes les acteurs animant l'entreprise sous prétexte qu'ils ne présentent pas un niveau convenable de faire preuve d'une amélioration développementale d'une organisation ainsi que d'autres mots tendant à la côte honteuse et déshonorante aux vues des acteurs d'une entreprise. A cela peut s'ajouter un autre élément, aussi maladroit pour l'entrepreneur qui oeuvrait dans une entreprise en chute totale ou difficile à lever du gouffre d'inactivité qui la régresse.

? Les traits nuisibles à l'honneur de l'acteur ceci s'explique par le fait que dans une entreprise en chute, les gens y oeuvrant sont vus d'un mauvais oeil étant ainsi victime de toute immaturité en matière de gestion d'une entreprise et de son épanouissement. Ainsi, ils seront pris en de charlatans qui se font des choses pour lesquelles ils n'ont absolument nulle expérience ou stratégies comprenons ensemble que ce sont au fait des propres nocifs à la meilleure personnalité d'un acteur organisationnel prompt à signer son pas dans un organisme en raison non seulement d'acquisition d'expérience, mais surtout de la stabilité humaine. https://journal.openedition.org

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"Là où il n'y a pas d'espoir, nous devons l'inventer"   Albert Camus