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La problématique de la vocation africaine de la RDC comme puissance politico- économique: état des lieux et perspectives

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par Augustin BWENGE KAHIMBI
Université de Goma - Licencié en relations internationales 2009
  

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II. 5 La rdc dans la perspective d'avenir comme une puissance politico économique

D'après LUC Sendjoun, la mesure de la puissance est fondé sur la prise de considération de ressource de divers ordres qui permettent à un Etat d'avoir des chances sérieuses de faire triompher sa volonté ou alors qui lui confèrent une position de supériorité sur l'échiquier géopolitique »73(*) Partant de l'idée de ce même auteur il continue en disant : « on peut rendre compte de la puissance en Afrique ailleurs en se fondant sur des facteurs précis. Toute fois, il convient d'éviter de faire le fétichisme des facteurs ou des moyens de la puissance, encore faut-il pouvoir mobiliser les dits facteurs de manière efficace afin de passer du stade de la potentialité à celui de l'effectivité. Il ne s'agit pas des facteurs mécaniques mais plutôt des facteurs prédisposant à la puissance.

En effet, tout au cours de ce point, nous allons focaliser nos réflexion sur la RDC en devenir une puissance régionale en Afrique centrale malgré son état maladif suit aux problèmes qu'elle a traversé pendant une décennie et demi pour quoi pas les différentes troubles depuis l'accession à la souveraineté nationale. La lecture au regard d'une puissance en Afrique centrale est une impérative du fait que la carte géopolitique de l'Afrique nous donne des mauvaises impressions lorsqu'on constate l'absence de la RDC sur cette scène entrain de jouer son rôle de pivot d'Afrique. Le choix orienté vers la RDC n'est pas un fait hasardeux du fait qu'on doit tenir compte des certains facteurs déterminants d'une puissance.

Les données naturelles africaines nous poussent à situer la RDC au centre de l'Afrique qui doit prendre la commende de toute l'Afrique, secondé par le Nigeria au nord de l'Afrique noire et de l'Afrique du sud à l'hémisphère sud de ce continent noir.

En fait, dans la politique étrangère de la RDC comme Tomas Bailey l'a noté « les facteurs ou fondement de la politique étrangère sont des conditions particuliers qui influencent de manière profonde sur la pensée qui guide l'action en matière de puissance étrangère de l'Etat » et pour le cas précis de la RDC.74(*)

Parmi les facteurs les plus importants, nous pouvons dégager la géographie de la RDC, la démographie et l'économie. En prenant en compte tous les facteurs, la RDC a une considération particulière dans les concepts des nations. C'est ainsi qu'avec le processus de démocratisation mis à jours par le gouvernement congolais, avec une diplomatie agissante et active, la RDC pourrait retrouver sa place sur la scène internationale dans la perspective d'avenir.

II. 5. 1. Les facteurs déterminants de la RDC comme puissance économico politique

La problématique de la vocation africaine de la RDC comme puissance, est tout jours axée sur le principe de bon voisinage. Etant donné que les réalités naturelles ont tout jour poussé aux dirigeants congolais à prôner l'unité africaine, la coopération et le respect mutuel ; cela resulte, comme nous l'avions déjà précédemment souligner, de la vocation africaine que la RDC doit promouvoir dans sa politique.

Il est certain que ces facteurs dont il est question offrent à la RDC la possibilité d'être le commandant des pays de l'Afrique centrale en particulier et en générale de toute l'Afrique.

II. 5. 1. 1. Les facteurs géographiques

Le rôle du gouvernement dans un pays étant de réaliser le mieux être de ses habitants. La réalisation de cette mission passe par l'exercice de la souveraineté nationale qui se situe sur le plan interne et externe. L'importance des facteurs nationaux se traduit par cette pensée de Boutros Boutros GALI qui dit : «  en politique étrangère c'est la géographie bien plu que les hommes qui compte ».75(*)

Quand on parle de l'espace il faut l'entendre dans sa surface, dans sa position et dans sa structure géographique. En tant que étendie de l'Etat, l'espace contrôlé par un Etat constitue un facteur de puissance, mais il ne s'agit pas là d'une évidence car d'autres exemples démontrent jusqu'ici que l'étendue n'est pas tout jours une source de puissance, c'est comme la RDC.

En effet, pour éviter de nous perdre dans les avis différents au sujet des facteurs géographiques comme l'élément d'une puissance, ce qui nous concerne dans ce point est de nous appuyer sur l'étendue territoriale de la RDC comme élément naturel qui détermine le rôle que la RDC devrait jouer au centre de l'Afrique comme Etat pivot.

En effet, ayant une superficie de 2345000 kilomètre carré, la RDC occupe la 3e place en étendue après le soudan qui a 2505813 Kilomètre carré, et l'Algérie avec 2381741 Kilomètre carré. Cette étendue territoriale est une force politique considérable, car elle est un élément essentiel dans la conception qu'un peuple congolais se fait de son destin.

En fait le principe de respect de l'intégrité territorial qui guide souvent la politique étrangère de la RDC se fonde sur la superficie de la RDC qu'il faut absolument conserver telle qu'héritée de la colonisation.

Un autre élément qui justifie l'importance du facteur géographique de la RDC c'est par rapport à la positon géographique ; elle est située au centre de l'Afrique et s'étale dans la façade occidentale de l'océan atlantique jusqu'à peu près à 1050 Km de côte de l'océan indien vers l'Est. La RDC occupe un carrefour qui crée les convoitises de ses voisins et d'autres puissances dont les aspects sont tout jours aiguisés. Ces convoitises sont souvent à la base de la vulnérabilité.

Le partage des frontières terrestres avec les neuf Etats dont la république centre africaine, la république du Congo, le soudant, la république rwandaise, la Tanzanie, l'Angola, l'Ouganda, la Zambie et le burundi. Ces frontières mesurent 9000 Km.76(*)

D'où l'importance d'avoir une politique étrangère conséquente, autrement elles seront l'objet d'une déstabilisation permanente. C'est la raison pour la quelle la position géographique de la RDC justifie l'existence de pricipe de vocation africaine et de bon voisinage dans la politique étrangère de la RDC qu'elle a tout jours défendu.

II. 5 1. 2. 1. Tentative d'analyse géographique et stratégique sur l'étendue territoriale de la RDC

En effet, sur le plan stratégique, cette vaste étendue sera d'un grand intérêt pour la RDC si elle a le pouvoir de la maintenir car les forces d'ennemies auraient beaucoup des difficultés o accéder au contrôle de tout le territoire congolais. Et cela constitue un avantage pour la RDC, l'expérience en est déjà lors de différentes guerres en RDC ; les rebelles avaient eu du mal de prendre le contrôle de tout le territoire congolais à cause de son immensité. Les agresseurs ainsi que leurs complices occidentaux n'ont pas réussi à atteindre leurs objectifs au Congo à cause de l'immensité territoriale.

C'est pour quoi, il existe plusieurs thèses au sujet de la balkanisation de la RDC. Et parmi les thèses en présences : « on relève une certaines différence de perception de la question de la participation de la RDC entre occidentaux et africains. Les Etats-Unis Amérique semblent particularité s'illustrer tant au niveau de discours politique qu'à celui de réflexion académique. Sur le plan politique et d'après jean baptiste SONDJI « : les américains auraient envisagé entre 1994 et 1997, le découpage de la RDC an 5 Etats indépendant dont le Kivu - Manièma, le kasai, le Katanga, la province horizontale et l'équateur, le bandundu-kinshasa et le bas Congo »77(*)

Dans ce développement, Jean Baptiste SONDJI s'appuie sur la discas de William FIST qui, lors d'une réunion en juin 1999 sur la guerre en RDC, déclara qu'il » faut examiner l'érosion des Etats africains et les rôles des frontières qui les définissent ». A la suite, Marina Ottawa soutiendra que dans la recherche des solutions pour « remettre le Congo sur pied », il faudra sérieusement envisager hypothèse de sa division.

Dans le champ de réflexion académique, l'étude de Steven Metz publié en 1996 est singulièrement éloquente. Selon lui en effet, il n'est pas impossible que la désintégration de fait du Congo soit se transforme en une sécession formelle. Quand cela arriverait estime-il, les Etats-Unis n'auraient pratiquement pas d'autres choix que d'accepter tout les les Etats nouveaux qui émerge du Zaïre. Les Européen approchent la question d'une manière plus empirique. Selon ces derniers, la RDC est » entraînée dans un cycle vicieux que celle d'instauration d'un véritable fédéralisme pourrait durablement briser ».

Pour Collette Braeckman, rejoint Jean Baptiste SONDJI lors qu'elle affirme que la partition des faits dont il est question « s'accorde parfaitement avec la thèse souvent répétée en Amérique du nord, selon la quelle le Congo devrait ou pourrait imposer pour permettre soit un très lâche fédération des provinces, soit une constellation des micro- Etats ».78(*)

Quant aux africains de leur part posent le débat au niveau du rôle des Etats étrangères dans la désintégration du congo. Achille mbembe par exemple, estime que la position de la RDC s'inscrit dans les désenchantements du Congo d'un pays au sortir de trois décennies de « satrapie informelle » dans lequel se déploient des ambutions économique, militaires et autres.

Pour Ruben BIDIE, que bien que le débat sur les frontières des Etats africains soit « l'ordre du jour des actualité politique, en ce qui concerne la RDC, Arsène ne permet d'affirmer ce pendant que les Américains projetteraient une partition du pays ». En revanche, pour suit-il, « la partition de fait que connaît actuellement la RDC découle de la guerre d'occupation du pays par les armées étrangères, bien plus que d'une politique délibérée de partition territoriale encouragée par des s puissances occidentales et particulièrement des Etats-Unis. La solution privilégiée par Washington et les pays occidentaux en général reste, selon toute vraisemblablence une des instaurations d'un nouvel Etat fédératif, conformément aux voeux de la conférence nationale souveraine ».

En fait, les différentes thèses évoquées ci haut au sujet du démembrement de la RDC nous donne une preuve à l'appui de l'inquiétude de l'humanité s'une fois le Congo garderait tout jours ses frontières héritées de la colonisation. C'est pour dire en fait que les facteurs géographiques de la RDC constituent en réalité des enjeux majeurs sur lesquels la RDC pourrait s'appuyer pour jouer son rôle d'hémogénie au centre de l'Afrique.

Sur le plan géographique de cette immense territoriale de la République Démocratique du Congo est effet, axée sur le processus d'intégration dans la configuration régionale. C'est ce qui résulte des intérêts accordés par des pays voisins de la RDC au sein des organisations régionales.

En effet, si aujourd'hui la RDC est entrain de jouer un rôle très considérable au sein de la SADC, CEPGL, et CEEAC c'est parce que tous ces pays voisins axent leurs intérêts stratégico- politiques sur cet immense pays.

II. 5. 1. 1. 2. La théorie de Heathland sur l'espace territorial de la RDC comme puissance

L'espace géographique ou l'étendue territoriale de la RDC peut jouer un rôle soit positif ou négatif ; en positif par ce que l'espace constitue la richesse. Il est question pour les dirigeants congolais de prendre en considération en montant des stratégies pour la défense et la sauvegarde de l'intégrité territoriale du pays.

En effet, le choix de la théorie de « Hearth land » développé par MACKINDER à l'apogée de la puissance du Royaume uni, durant l'ère victorienne. Constatant qu'à l'époque, plus précisément de 1899 à 1902, les Britanniques sont capable de mener très loin de chez eux, tout au sud de l'Afrique, une guerre (guerre des Boers) destinée à leur assurer le contrôle élargi des territoires au tour de la pointe du cap. 79(*)

Dans l'observation de monde que Mackinder entreprendrait est frappé par une autre situation de puissance quand la Russie de TSARS qui ne cesse de s'agrandir depuis le 20e siècle et qui est lancée à la conquête de l'immense territoriale de la Serbie pour atteindre le pacifique. A l'instar de RATZEL, en quelque sorte, Mackinder établie la nécessité d'un savoir géographique pour les décideurs politiques.

En fait, dans le cadre de nos recherches, nous avons voulu aussi partir de l'idée de Mackinder pour le cas Congolais étant donné que ces autorités dans la conception de la politique de la défense nationale n'envisagent aucune stratégie.

Partant de cette pensée de Mackinder sur la question de pivot du monde. Il nous est important de signaler sur ce point concernant la RDC partant de sa position géographique sur la carte du monde, les dirigeants congolais doivent conclure des accords stratégiques avec les pays voisins ayant ouverture sur le monde comme l'Angola afin de mettre de base arrière sur l'océan atlantique.

Etant donné que la théorie de Mackinder qui a été appliqué en Angleterre (Royaume-Uni), « d'après lui la guerre hantise est une alliance germano-russe ou soviétique qui préfigurait l'empire mondial. Cette hantise est typiquement britannique : si le Royaume-Uni était coupé de l'île monde ou même seulement de l'Europe, par un empire s'étendant sur tout ce continent, il perdrait ses principaux débouchées commerciaux et sa puissance »80(*).

Si la RDC avait une vision dans sa politique de la défenses de l'intégrité territoriale en vue de contrôler l'Afrique centrale en particulier et en général l'Afrique et le reste du monde en général ; on aurait abouti à la formule comme la célèbre dégagé par Mackinder qui dit : « celui qui domine l'Europe de l'Est commande le Heartland, celui qui domine Heartland commande l'île monde et celui qui domine l'île monde commande le Monde ».81(*)

En effet, au regard de cette formule de Mackinder nous pouvons aussi dire que dans le cadre géostratégique de la RDC : celui qui domine l'Afrique centrale commande l'Afrique et peut dominer le reste du monde commander l'Afrique et ses périphéries, car une fois prendre le commande de l'Afrique, l'Afrique étant un centre de carte du monde, la RDC aurait un grand rôle à jouer sur le plan géographique mondial. Il est question de comprendre et prendre ses responsabilités en mains pour qu'on aboutisse à la matérialisation du rôle à jouer par le « Heartland » africain.

II. 5. 1. 1. 3. La théorie de l'espace vital et l'étendue territoriale de la RDC en terme de puissance

La théorie de Friedrich RATZEL s'inscrit dans le contexte déterminant de l'Allemagne de la seconde moitié du 19e siècle, lorsque l'Allemagne est alors unifié mais au tours des interrogations qui la traversent.

Partant de la pensée de Ratzel imprégné d'une vision organiciste et évolutionniste de l'Etat territorial, il se donne l'embution de conseiller le prince en se contenta de montrer l'importance du savoir géographique pour l'homme politique en voulant jeter les bases d'une technologie spatiale du pouvoir d'Etat ; autrement dit il entend procurer à l'Etat les moyens de penser à l'espace pour conserver et accroître son pouvoir, ou du moins, pour évaluer correctement les fondements géographique de toutes puissances politique. Pour lui « la géographie politique doit devenir un outil pour les dirigeants qui leur permettent d'acquérir un sens géographique à côté du sens historique qu'ils possèdent généralement. »82(*)

En fait, pour cette pensée consisterait pour les dirigeants congolais d'avoir une connaissance parfaite de la géographie, car selon cet auteur : « si on a un horizon politico géographique déformé, incomplet, imaginaire ou un méconnaissance de pays, des hommes, du sol ou climats, le risque est grand de voir l'action ou le projet politique échouer. Pour les faire réussir, il faut notamment les fonder sur la géographie.

Eu égard de toutes ces deux théories développées, la RDC entant qu'une future puissance, les facteurs géographiques lui offrent une grande opportunité pour se prévaloir sur la scène internationale une fois y tenir compte. Car d'après la dernière pensée de Ratzel qui se signale sur tout par une vision anthropomorphiste et organiciste de l'Etat et par l'édiction des lois d'expansion spatiale des Etats reposé sur un conception de « l'Etat comme un organisme lié au sol », comme « forme d'extension de vie à la surface de la terre », c'est-à-dire sur le plan schématique, l'Etat est le corps tandisque la politique serait l'esprit qui l'anime. Ces différentes réflexions apportées précédemment sur la RDC, sur tout les différentes thèses sur la Balkanisation du Congo, les acteurs défendeurs de cette thèse aurait péché contre la lois de l'espace vital car en démembrant la RDC entant que Etat qui a besoin d'un espace vital suffisant pour se régénérer affirmant leurs intensions d'empêcher la RDC d'émerger dans le concert des nations. D'où, l'organisme vivant chez Ratzel est l'Etat congolais et l'Etat congolais entre en conflit avec d'autres organismes (les acteurs de Relations Internationales visant le démembrement) pour l'appropriation des ressources d'un domaine limité. Il s'opère donc une analogie entre l'espace nourricier d'un peuple et l'étendue de son territoire. En conséquence, l'espace vital n'est pas figé puis que l'Etat se développe comme un vivant.83(*)

En voulant s'appuyer sur cette pensée, il est vrai que l'étendue territoriale de la RDC attise la convoitise des autres pays du monde et crée un climat complexe par rapport aux enjeux qui en découleraient. C'est pour quoi la RDC, entant qu'Etat doit appliquer ce principe de bon voisinage vis-à-vis des Etats voisins et de coopérations avec le reste du monde pour avoir prévenir et évité ce que disent les autres :«les gros mangent les petits », car la 5e loi de Ratzel d'expansion spatiale des Etats qui dit que la complémentarités consistant à procéder à son expansion spatiale, l'Etat se force d'acquérir tout ce qui est complémentaire à sa propre puissance (littoral, bassin fluviaux, territoires contenant des ressources, etc.).

* 73 SINDJOUN. HUU, Sociologie des Relations internationales Africaines ; éd. CARTHALA, p. 157

* 74 THOMAS Bailley cité par le professeur NDABEREYE, P., op cit, p 17

* 75 Boutros Boutros GALI, cité par le C T KADIEBWE ; la politique étrangère des grandes puissances, notes des cours L1 RI/FSSAP/UNIGOM, 2008-2009

* 76 Prof NDABEREYE P., po cit, p 16

* 77 WWW. Kungo times, consulté le 6 février 2010 o 12h35min sur l'internet au sujet de projet de balkanisation de la RDC demeure

* 78 www. Congoline. com. le 6 février 2010 à 12h35min

* 79 MACINDER HALFORD, « le pivôt du monde », cité par NDABEREYE, cours de géopolitiaue, L1 RI/FSSAP/UNIGOM : 2008-2009, p. 46

* 80 NDABEREYE Paulin, géostratégique, notes de cours de L1 RI- FSSAP/UNIGOM/ 2008-2009, p 49

* 81 Formule de Mackinder dévéloppée en europe à près le 1e guerre mondiale

* 82 NDABEREYE,op.cit, cours de géopolitique, notes, p. 42

* 83 NDABEREYE Paulin, op cit, p 43

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