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La gestion participative d'une réserve naturelle en territoire de Mwenga « cas de la réserve d'Itombwe (RDC ) »

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par Dénilson LUSU MWANGA
Institut supérieur de tourisme Istou/ Goma ( RDC ) - graduat en sciences touristiques 2011
  

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O.2. PROBLEMATIQUE

La gestion participative des ressources naturelles étant un processus de collaboration autour de la réserve avec effet d'accroître l'efficacité et l'efficience dans la gestion des ressources naturelles et de conservation de la biodiversité.

Ce pendant, la conférence de NUED « Nation Unies sur l'Environnement et le Développement de RIO de JANEIRO au BRESIL, marque le départ d'une véritable discutions entre les pays industrialisés et pays en développement pour une gestion équitable des ressources naturelles à l'échelle planétaire, ainsi que les problèmes environnementaux qui présente sur les pressions de l'opinion publique»5(*)

Cette nécessité se fait sentir surtout dans les pays africains qui abritent l'essentiel de ces ressources naturelles alors que leur économie et développement reposent sur les exploitations illicites de ressource qu'ils font bien conserver intégrité.

Les groupes ethniques qui se trouvent à l'intérieur et autour de forêt d'Itombwe sont les Balega, Babembe, Bafulero, Banyindu, Bavira, Bashi et Benyamulenge.

Depuis plusieurs siècles, les populations à tradition forestière (Balega, Babembe) vivaient en harmonie avec les autres composantes de la nature (sol, flore, faune, rivière . . .) non seulement parce que la densité démographique était basée aussi au règlement traditionnel dont voici quelques uns :

Un chasseur étranger au clan ou à la famille ne pouvait pénétrer dans la foret sans l'autorisation préalable du responsable, aîné du clan ou de la famille.

A cette occasion, il fallait apaiser les esprits des ancêtres qui gardent la foret par les offrandes et des risques spéciaux. D'autant plus que, pour les peuples indigènes, chaque homme sur terre peut revenir entant qu'esprit dans une planète, un arbre ou une roche. De là naquit certainement le respect qu'ils ont pour chaque élément de l'environnement, (GONZALES 1993)6(*) La chasse aux éléphants ne pouvait se faire que quand il y a deux célibataires au village pour qui les deux pointes d'ivoire serviront de dot. Et, l'on ne pouvait tuer que le mâle adulte, les femelles et les petits éléphants ne faisaient pas l'objet de la chasse.  La période qui va de janvier à mars est appelée «  POMBO », Pendant la quelle la chasse était interdite, et les pièges étaient déterrés, car, considéré comme période où la plupart des femelles sont en gestation. Cependant, le christianisme étant la religion la plus répandue dans la région d'ITOMBWE et de sur croit la plus anthropocentrique que le monde ait connu. Celui-ci non seulement établit un dualisme entre l'homme et la nature, mais encore affirme que c'est Dieu qui veut que l'homme exploite la nature pour ses propres fins ... Ainsi, les esprits dans les objets naturels, qui protégeaient auparavant la nature contre l'homme sur l'esprit dans ce monde fut confirmé et les vieilles inhibitions en vers l'exploitation de la nature s'effondrèrent (Linon White, 1967) Ces principales activités qui s'attaquent farouchement sur la biodiversité d'ITOMBWE sont : l'élevage, l'agriculture , la chasse, la coupe des bois et le siège des bois, et la fabrication des braises .

Au cours de ce travail, vu les problèmes aux quels font fassent les aires protégées dans le quotidien de la population, nous altérons à l'étude sur la gestion participative d'une réserve naturelle en territoire de MWENGA. Cas de la réserve d'ITOMBWE.

Eu égard à ce qui précède, les questions suivantes méritent d'être posées.

Ø Comment se fait la gestion de la Réserve Naturelle d'ITOMBWE  (RNI) ?

Ø Cette gestion est -elle efficace ?

* 5 La conférence de NUED Nation UNI sur l'environnement et développement de rio de Janeiro

* 6 GONZALES 1993

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"Qui vit sans folie n'est pas si sage qu'il croit."   La Rochefoucault