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Etude par secteur économique des activités des petites et moyennes entreprises et leur apport dans le développement de la ville de Lubumbashi en RDC

( Télécharger le fichier original )
par Prince- Marck MUDIMBI NGOY
Université de Lubumbashi - licence en économie publique 2011
  

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CRITIQUE ET RECOMMANDATION

Dans tous les pays du monde, le niveau d'éducation et le niveau de richesse dessinent une frontière entre ceux que l'on considère comme entrepreneurs et les autres. L'esprit d'entreprise est pourtant la chose du monde la mieux partagée. Il constitue la plus grande richesse des pays pauvres où la nécessité faisant loi, chacun est obligé de se débrouiller pour vivre.

La création des PME étant une matière complexe et sensible, eu égard au faible degré de participations au développement de l'économique congolaise en générale et de la ville de Lubumbashi en particulier.

A cet effet, nous recommandons ce qui suit :

Compte tenu de la mise à l'écart des PME par l'établissement de crédit agrées pour principalement des raisons de rigidité des instructions en matière de qualification de la main d'oeuvre et de crédit ;L'encadrement des PME qui évolue plus dans le formel que dans l'informel ;Faciliter l'accès au financement de crédit, Harmonisation des lois portant création des PME et fonctionnement en vue de permettre la naissance et attiré les PME évoluant dans le secteur informel à rejoindre le formel par l'exonération des taxes administratives etc..

Développer dans le chef de la population l'esprit d'entrepreneuriat, Préparer et l'introduire de notion entrepreneuriale dans le cursus scolaire en vue de développer l'esprit d'entreprise.

Facilité la promotion des PME est une composante essentielle du développement économique et social. On sait qu'aujourd'hui a quel point celui-ci est un processus complexe exigeant d'avancer harmonieusement sur plusieurs front : l'éducation, la santé, les infrastructures, gouvernance et beaucoup d'autre. Contrairement à la plupart des investissements, les résultats en matière d'appui aux PME sont quasi immédiats. Créer un environnement institutionnel favorable sur le plan fiscal et social et définir des règles simples et stable applicables par tous ; chacun entant un micro entrepreneur potentiel. Faciliter l'accès au financement des PME, le manque d'accès au capital ne permet pas de valoriser le travail et entraine un énorme gaspillage des ressources humaines ; faciliter l'accès à l'information et à la formation dans le domaine de la technique, de la commercialisation et de la gestion, c'est en améliorant les connaissances des hommes que l'on fait progresser les entreprises.

CONCLUSION GENERALE

Conclure un travail ne signifie pas atteindre ses fins dernières. C'est surtout marquer un nouveau point de départ qui peut être, comme disent les philosophes, l'émerveillement, l'étonnement, la mutation vers des auspices meilleurs.

Par cette ultime étape rédactionnelle ; nous arrivons donc au terme de notre travail de fin d'étude sanctionnant la fin des études de deuxième cycle universitaire ; en décidant de rédiger ce travail intitulé' « Etude par secteur économique des activités des petites et moyennes entreprise et leur apport au développement socio-économique de la ville de Lubumbashi de 2006 à 2010. Notre objectif était de montrer l'importance de ces types d'entreprises ou du secteur privé ,car socialement et économiquement elles sont importantes car elles contribuent dans la majeure parties des pays développés et en voie de développement fournissent et apportent des solutions sur l'emploi ; en offrant de travail salarié sur les individus ; non occupé par les autres secteurs, car les grandes entreprise presque inexistant et généralement saturée, la transformation des structures économiques et sociales, car ces types d'entreprise omniprésentes interviennent dans toutes les étapes de la vie économique et elles créent de la valeur ajoutée en contribuent tant soin peu sur le budget de la province.

Pour ce faire, nous avons subdivisé ce travail en trois chapitres hormis l'introduction et la conclusion générale, d'où après avoir définis les concepts utilisé dans le travail, les quels pouvaient nous aider à mieux faire cette analyse ; présentant les notions d'entreprise et la notion de petite et moyenne entreprise dans le premier chapitre.

Nous sommes passés au deuxième chapitre qui consistait à présenter l'évolution des petites et moyennes entreprises en premier sections et la présentation de champ d'investigation la deuxième section et le troisième chapitre parle sur l'étude par secteur économique des activités de petite et moyenne entreprise subdivise à son tour en quatre sections.

Tout au long de notre parcours, la préoccupation majeure a tourné autour de quatre questions principales en termes de problématique, il s'agit de :

· Pourquoi les petites et moyennes entreprises ?

· Les petites et moyennes entreprises oeuvrant dans la ville de Lubumbashi ont-t-elles contribuées au développement socio-économique ?

· Y a-t-il interaction des activités entre les PME ?

· Le secteur primaire a-t-il rempli son rôle d'être considéré comme moteur de développement des autres secteurs ?

Pour répondre à ces questions nous avons utilisé différentes méthodes telles que l'induction, la méthode analytique, la méthode déductive, ainsi que la méthode comparative ; chacune à son temps et pour son intérêt indiqué à l'introduction, aux quelles nous avons joints plusieurs techniques.

Après analyses et investigation, nous sommes parvenues aux résultats suivants en rapport de notre problématique :

· A la première préoccupation, les petites et moyennes entreprises ont un rôle très important dans les pays en voie de développement en général et en République démocratique du Congo en particulier où la plus part des grandes entreprises qui soutenaient l'économie nationale, étaient porteurs de la croissance économique et créatrices d'emploi sont en grande partie en faillite et d'autre n'existent plus que le nom. Mais aujourd'hui face à cette situation la plus part des petites et moyennes entreprise qui évoluaient tout au tour de ces grandes entreprise sont quasi inexistantes et les restes qui ont résisté sont aujourd'hui qui restent à soutenir les activités économique tant soi peu leur participation au budget provincial, à la création d'emploi, à la production de valeur ajoutée etc. Ainsi vue l'importance que ces entreprises jouent, sa réalité étant abordée sous l'angle de l'emploi nouveau face à la croissance démographique, à la transformation de structure économique et sociales et la création de la valeur ajoutée.

· Les petites et moyennes entreprise ont apportées un plus sur le développement socio-économique en matière d'emploi, du fait que la plus part des PME qui évoluent dans la ville de Lubumbashi ont tant soi peu occupé une main d'oeuvre excédentaire et non occupée par les grandes entreprises en faillite.

Dans le cadre économique, les PME de la ville de Lubumbashi ont participé avec un faible taux de participation au budget provincial que nous avons démontré dans le calcul précédent selon leur évolution par an, car elles n'ont été à la hauteur de forte participation comme nous l'avons souhaité en fonction de leurs nombres du fait que nombre d'entre elles évoluent dans le secteur informel, une faible capacité de production par manque d'outils de production adéquat capable de facilité la production et de faire face à la concurrence. Mais nous sommes parvenus à réaliser que, au regard de la manière dont se pressente l'évolution de la participation des PME au niveau du budget provincial laisse un aperçue selon lequel au fur à mesure que les années passent, le nombre des PME augmente qui donne l'espoir de rattraper le niveau de leur contribution au budget selon leur nombre, car en considérant les résultats des participations des PME au budget provincial présenté dans le tableau n°07 avec comme pourcentage de :2,2% en 2006, 8,7% en 2007, 1,2% en 2008 et 4,7% en 2009 cela conduit à une interprétation selon laquelle l'avenir des PME est certaine au regard de leur contribution présentant une courbe en croissance malgré les baisses d'activités réalisées au cours de l'année 2008.

· La question de l'interaction des activités entre les PME où nous avons trouvé une situation dégradante de ce que la notion d'interaction n'est pas d'application entre les PME, car chaque évolue dans son coin sans faire recours aux autres secteurs par manque d'élément commun tel qu'entendu. Où le secteur primaire devait fournir des matières premières au secteur secondaire en revanche le secteur secondaire devait aussi fournir au secteur primaire des intrants pouvant permettre le circuit des relations d'interdépendance des activités économiques entre secteur. Pour ce faire chaque secteur s'approvisionne au marché externe où il trouve satisfaction en fonction des prix des matières par rapport au marché interne qui pressente certaines faiblesses lors de délia de livraison des matières première presque quasi inexistant car tous s'approvisionnent sur le marché externe.

· Quant à la préoccupation de considérer le secteur primaire comme moteur de développement des autres secteurs  ; le secteur clé parmi ceux que nous avons analysé étant considéré comme moteur du développement économique, après analyse des données nous avons trouvé que le secteur primaire qui pouvaient être considère comme clé de voute sur les autres secteurs n »'a pas été, car il n'est pas trop sollicité par les investissement nationaux qu'étrangers par le fait que le secteur est trop risqué et oblige les investisseurs à déboursée d'énormes capitaux pour son fonctionnement , manque de soutient et d'initiation en terme d'octroi de crédit au financement pour encourager ces types d'investissement, et même les petites nombres comme nous l'avons présenté sur l'évolution de ces entreprise dans ce chapitre précédent, n'arrivent pas à fournir des matière première tel qu'on entendaient aux autres secteur en vue de créer un circuit économique complet car leur production ne sont que pour la consommation par manque des techniques appliqués comme nous pouvons vous démontrer l'évolution de ce secteur sur la formation des valeurs ajoutées en secteur sur la formation de valeur ajoutées en pourcentage par rapport aux autres secteurs en 2006 :20,2%, en 2007 : 21,6%, en 2008 : 24% , en 2007 : 22,2% et en 2010 : 21% qui ces pourcentages sont faibles par rapport aux autres secteurs. Qu'ils s'agissent dans la formation de valeur ajoutée et création d'emploi, le secteur primaire est toujours en derniers position que les autres secteurs. Pour ainsi dire que le secteur primaire n'a pas été à la hauteur de jouer son rôle catalyseur des autres secteurs comme entendu.

En guise de conclusion, nous ne croyons pas avoir achevé cette oeuvre, mais néanmoins nous pensons avoir laissé une piste ouverte à toute critique et suggestion susceptible d'apporter une amélioration ultérieure.

Cependant, nous demeurons seule responsable des toutes les faiblesses continues dans ce travail et demandons aussi une indulgence à tout ce qui nous lirons, car dit-on « Toute oeuvre humaine est parsemée d'imperfection ».

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"Ceux qui vivent sont ceux qui luttent"   Victor Hugo