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évaluation du potentiel de rendement en semences chez la tomate dans les conditions écologiques de l'Hinterland de Kinshasa

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par Marc Pamphile SHAMAMBA BUNANI
Université de Kinshasa RDC - Ingénieur agronome A0 2006
  

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EPIGRAPHE

« L'agriculture est la mère de tous les arts ; lorsqu'elle est bien conduite, tous les autres arts prospèrent ; lorsqu'elle est négligée, tous les autres arts déclinent, sur terre comme sur mer ».

XENOPHON

DEDICACE

A mon Dieu, tout puissant, qui a permis la réalisation de ce travail ;

A notre regretté père BARHALENGEHWA NGWASI M. Gilbert, qui par sa clairvoyance et son sens élevé de morale et de devoir a fait de nous le fruit d'une bonne semence ;

Au défunt beau-frère Maître Dharcin MUNANE M. que le destin nous a ravi inopinément ;

A ma très chère mère Déodate KASHEMWA A., pour tant de sacrifices consentis ;

A mes neveux : Béni, Soraya et Joyce MUNANE ;

A mes frères et soeurs : Ruphine, Ruphin, Lyliane, Jerry et Christelle SHAMAMBA, pour leur amour incommensurable.

Marc Pamphile SHAMAMBA

AVANT-PROPOS

Au terme du présent travail, il est un devoir de remercier tous ceux qui ont contribué à son élaboration sur le plan scientifique,   matériel, financier ou moral.

Ainsi de façon particulière, nous exprimons nos sincères remerciements au Professeur KATANGA KABALEVI Joseph pour avoir dirigé notre mémoire.

Qu'il nous soit aussi permis d'exprimer nos vifs remerciements au Professeur LUMPUNGU pour avoir mis les oligo-éléments à notre disposition ainsi qu'aux Ingénieurs KABAMBA et KAYEMBE pour les semences ainsi que les informations sur le centre.

Que nos oncles, tantes, cousins, cousines, neveux et nièces, trouvent ici l'expression de nos sentiments de gratitude pour toutes les marques de sympathie dont nous avons bénéficié.

Nous sommes également reconnaissant aux familles LUBALA Stanislas, BAHIZI Ladis, NYAMUSENGE Déogracias, MARUME Didier, N'DETE Michel, MUSHIZI Charles et MUSHIZI Gyavira.

Nos sentiments de sincère gratitude s'en vont tout droit aux amis et compagnons de lutte : NTALE J.P, MUBIALA Michel, BIOLA Clara, KONGOLO Douglas, BUSHABU Gauthier, LUBALA Yannick, PHANZU Alexis, MUKADI J.P, BOKBELE Dylan, BIKANZA Freddy, KYAKIMWA Patience, MBAYO Patricia, BITESO Pitshou, AZAMA Moumou, MBESAMBA Gilbert et TSHILENGE Luc.

Enfin, que toutes ces personnes que nous n'avons pas citées, ne nous tiennent pas rigueur, car de tout notre coeur, nous leur sommes reconnaissant.

INTRODUCTION

La République Démocratique du Congo, R.D. Congo, est à ce stade de son développement un pays où l'agriculture est l'activité prédominante. Vaste de 2,35 millions de Km², ce pays dispose, selon VANOUNOU (1997), de près de 80 millions d'ha de terres jugés propices à l'agriculture. Cependant, on estime que seulement 7 à 12 millions d'ha sont exploités. De ces superficies, les cultures maraîchères n'occuperaient que 120.000 ha sur toute l'étendue de la République avec en moyenne 10 à 20 personnes actives par ha.

D'une manière générale, la culture légumière est relativement plus pratiquée autour des grands centres de consommation que sont les villes. Elle se réalise sur des plates-bandes ou des planches de 10 à 15m²et constitue une source appréciable de revenu pour de nombreux petits cultivateurs, principalement des femmes, permettant ainsi à la plupart des ménages de survivre (VANOUNOU, 1997).

Des légumes faisant l'objet de ces cultures, on observe surtout les légumes feuilles comme les amarantes (Biteku-teku), l'oseille de Guinée (Ngai-ngai), la morelle (Bilolo), les feuilles de patate douce (Matembele), la pointe noire (type de chou semblable au chou de chine), la ciboule (Ndembi) et des légumes fruits tels la tomate, les aubergines, le piment, le poivron,...

Comme toute l'agriculture en général, la culture légumière est confrontée au problème de production. Celle-ci est faible au regard entre autres de l'indisponibilité des semences améliorées. C'est par ailleurs même un des obstacles à l'intensification de sa culture. Il en résulte une situation où les maraîchers sont ainsi obligés à recourir aux semences de leurs productions sans veiller à leur qualité génétique et sanitaire. Même sur des fruits (de tomate, de piment, d'aubergine,...) pourris ou de restes invendus, ils extraient des graines pour l'usage comme semences. Quelques uns recourent aux semences importées, par ailleurs très chères.

C'est par des petits commerçants ou des marchands ambulants, des organisations non gouvernementales de développement (ONGD) ou des projets d'encadrement rural que l'approvisionnement en semences importées se fait. Dans la plupart des cas le vendeur/fournisseur ne possède que peu ou pas de références agronomiques lui permettant de guider l'acheteur dans son choix (VANOUNOU, 1997).

En vue de contribuer à la promotion de la production semencière dans le pays en général et de la tomate en particulier, nous avons pensé expérimenter une fertilisation qui puisse permettre un plus grand rendement en semences dans les conditions écologiques particulières de l'hinterland de Kinshasa.

Le présent travail comporte trois chapitres et une conclusion. Le premier traite des considérations sur les semences ainsi que des généralités de Lycopersicon esculentum, le deuxième porte sur l'expérimentation et le troisième présente les résultats et discussions.

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"Là où il n'y a pas d'espoir, nous devons l'inventer"   Albert Camus