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De la politique africaine de la Chine à  l'ère de la mondialisation.

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par TAMBWE KITENGE
Université de Kolwezi - Graduat 2013
  

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CONCLUSION GENERALE

Notre sujet intitulé : « de la politique africaine de la Chine à l'ère de la mondialisation » a fait l'objet de reconstituer les événements jusqu'au fait générateur dont les sociologues utilisent dans l'analyse des documents, et investigation cadrant avec l'esprit d'un travail scientifique.

Ainsi, dans la problématique nous avons circonscrit de la politique en tant que stratégie de la Chine en Afrique à l'ère de la mondialisation comme fait initial à l'échelle planétaire la mondialisation fait du monde un village planétaire, tous les aléas déjà survenu en relevant la préoccupation suivante :

- Quelle est la politique africaine de la Chine ?

- Quels sont les impacts et stratégie de la coopération sino-africaine à l'ère de la mondialisation ?

Abordant notre hypothèse de travail, nous avons relevé le fait que la politique de la Chine dans sa percée en Afrique est la promotion de la coopération sud-sud ou la part de chaque partenaire est bien garantie par le biais de gagnant-gagnant. Alors que l'impact et les stratégies de la coopération sino-africaine nous disons qu'il a été positif dans la mesure où celle-ci sont entrain de renaitre notamment sur le plan des infrastructures des bases, ceci a explicité cette montée chinoise à l'ère de la mondialisation.

Afin de mieux mener nos investigations nous sommes servis de la méthode historico-comparative, qui nous a permis d'étudier les faits sociaux bien qu'elle présente les faiblesses, cette méthode a mis au point technique de recherche. Nous citons notamment la critique externe et la critique interne ce deux éléments sont très cruciaux pour effectuer notre comparaison.

Nous avons utilisé la technique documentaire, nous nous sommes servi des ouvrages, des dictionnaires, des notes de cours, des syllabus, et l'usage de l'internet 3G plus a été d'un grand apport.

Notre travail a été subdivisé en trois chapitres, scindés en des sections et ces derniers en des paragraphes, hormis, l'introduction et la conclusion générale bien évidemment :

- Le premier a porté sur la considération générale et théorique ; nous avons définis les notions de la politique africaine, les notions de la Chine, ainsi que l'ère de la mondialisation et d'autres notions analogues qui nous ont permis la compréhension du concept politique.

- Le deuxième chapitre intitulé « présentation de la Chine et sa politique africaine avant la mondialisation » a fait ressortir deux grands domaines dont celui de la présentation de la Chine et l'autre de la politique africaine avant la mondialisation. Ils nous ont permis de nous situer par rapport au cadre géopolitique et géostratégique de climat d'affaire Chine Afrique. Nous avons abordé le soubassement de la stratégie sino-africaine en matière des échanges économiques.

- Le troisième chapitre qui l'intitulé même de notre sujet s'est penché sur la politique africaine de la Chine à l'ère de la mondialisation et ses incidences sur le développement des Etats africains (cas des quelques pays africains) nous avons abordé le soubassement juridique, diplomatique et socio-économique sino-africain en première position. En deuxième position les Grands Axes de la politique africaine de la Chine à l'ère de la mondialisation. En troisième position nous avons abordé quelques réalisations de la Chine en Afrique à l'ère de la mondialisation par la visualisation cartographique de l'Afrique. Enfin pour terminer dans ce chapitre nous avons fait le passage en revue, de perspective les impacts politico-économiques de la politique chinoise.

Néanmoins la fin de la guerre froide et la reconfiguration de rapport de puissance ont entrainé la République populaire de la Chine de l'élaboration d'une stratégie d'expansion et d'affirmation originale alors que les deux super puissances montaient les stratégies de la guerre, la Chine par contre étudier leurs faiblesses pour conquérir l'Afrique sans frapper une balle en utilisant l'arme de la près guerre qui est l'économie de marché libre. L'objectif ultime est de participer à l'émergence et au développement d'un monde multipolaire dont la Chine occuperait un jour une de toute première place et non nécessairement la tête. Pour atteindre cet objectif et dans les soucis d'éviter toute confrontation susceptible de compromettre son rayonnement, la Chine s'est déployée selon une «diplomatie asymétrique » ou les relations économiques bilatérales occupent une place centrale.

Depuis l'application de la reforme initier par Deng Xiaoping en 1978, la Chine n'a pas mis beaucoup de temps pour comprendre que le maintien de sa place dans le monde économique intimement lié à sa capacité de diversifier et de sécuriser ses sources d'approvisionnement énergétiques et pétroliers. Pékin de plus d'une décennie a décidé d'initier un partenariat stratégique dynamique avec l'Afrique. Le choix de l'Afrique n'est point fortuit car le continent a toujours représenté une pièce maitresse dans le rayonnement de la Chine. Mieux le partenariat stratégique sino-africain, du coté de Pékin, se veut un modèle éloigné des sentiers battus du colonialisme et de l'exploitation érigés en règle par les anciennes puissances. Cette phraséologie angélique qui caractérise le discours officiel chinois a pourtant du mal à cacher les mutations intrinsèques de la politique africaine de la Chine : les impératifs du marché l'emportent désormais sur le discours militant des années 70.

Dans le domaine politique, en plaçant au coeur de sa stratégie le principe de non-ingérence et de neutralité dans les relations avec les pays africains, la Chine a introduit de nouveaux paramètres dans l'appréciation de l'avenir politique et économique du continent.

Alors que jusque là le décollage économique du continent reposait en grande partie sur l'application de règle de conditionnalités, le partenariat proposé par Pékin est présenté comme une menace directe au processus démocratique enclenché dans la plupart des Etats africains. Les efforts d'intégration soutenus par l'UA et par la communauté internationale se voient ainsi minés par l'alternative offerte par Pékin à des régimes politiques peu enclins à se soumettre aux règles de démocratisation et de bonne gouvernance. Le Soudan, l'Angola et le Zimbabwe constituent le peloton de tête qui, rassemblement, ira en s'élargissant au regard de l'indifférence de Pékin aux critiques de sa politique africaine.

Malheureusement, dans ce domaine particulier la Chine n'a pas de leçons à recevoir de l'occident qui a soutenu et encouragé des régimes décriés sur le continent africain.

En grosso modo, par la force de ses propositions politiques, économiques sociales et sécuritaires qu'ont permises en entrer dans le panthéon de gagnant-gagnant proposé par la Chine. Qui est le soubassement de cadre institutionnel de relations multilatérales sino-africaine. Dans cette perspective, les nouveaux paradigmes de la diplomatie chinoise à l'échelle mondiale.

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