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Application du modèle EPIC dans l’estimation de la fonction de production rizicole dans la plaine de la Ruzizi. Essai d’intégration du paramètre information.


par Yoshwa NTAMUSHIGO
Université évangélique en Afrique - Licence en sciences économiques 2019
  

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V. Résultats de la régression multiple

Dependent Variable: Rendement

Method: Least Squares

Sample: 1 80

Variable

Coefficient

Std. Error

t-Statistic

Prob.

Constante

5577,683

2967,827

1,879

0,066***

Main d'oeuvre

102,775

1525,518

0,067

0,947

Matériel agricole

0,041

0,108

0,375

0,709

Fertilisant

-36,508

13,145

-2,777

0,008*

Traitement phytosanitaire

0,416

0,235

1,772

0,083***

Sécheresse

-927,074

2369,001

0,391

0,697

Information

548,091

276,098

-1,985

0,053***

R-squared

0,546

Mean dependent var

4829,18

F-statistic

3,328

S.D. dependent var

641,88

Prob (F-statistic)

0,008

Durbin-Watson stat

1,600

* Significatif au seuil de 1 % ; ** Significatif au seuil de 5 % ; ***Significatif au seuil de 10 %

Source : Nos analyses avec SPSS 20.0

Ces résultats ci-haut présentés sont ceux de la régression multiple. Comme on peut le constater, le signe de la variable« main d'oeuvre », « information », « traitement phytosanitaire », « matériel agricole » ainsi que celui de la constante ; est positif tandis qu'il est négatif pour les variables « sécheresse » et « fertilisant ». On peut constater que le rendement évolue inversement que la sécheresse et le fertilisant. En d'autres termes, plus il y a sécheresse et plus on ne respecte pas la dose optimale pour la quantité de fertilisant à appliquer, moins le rendement est bon. Cela parait tout à fait normal car la sécheresse a des effets négatifs sur la production des cultures surtout le riz qui exige beaucoup d'eau pour une bonne croissance. Tel qu'on l'a vu dans les paragraphes précédents, le riz a besoin de beaucoup d'eau lors de la floraison. La situation est contraire lors de la phase de tallage. Lorsqu'il y a sécheresse d'une exploitation, le rendement diminue considérablement de 927,074. En ce qui concerne la fertilisation du sol, le fertilisant minéral reste actuellement le plus utilisé. Fait à la base des produits chimiques, une certaine dose doit être respectée, au-delà de laquelle la qualité du sol sera compromise, ce qui aura un impact négatif sur le rendement des riziculteurs. Une étude menée par Furaha G. (2017) montre que la dose optimale de fertilisant à appliquer est de 175 kilogrammes par hectare et par an. Quant à la main d'oeuvre, l'information, le traitement phytosanitaire et le matériel agricole, plus ils augmentent, le rendement augmente respectivement de 102,775 ; 548,091 ; 0,416 et 0,041. L'interprétation économique qui correspond à la variable « main d'oeuvre » tire son origine de la loi de Ricardo selon laquelle « lorsqu'on ajoute un facteur variable à un facteur fixe, la production croit dans un premier temps pour atteindre le maximum et décroitre enfin » : en augmentant le nombre de travailleurs dans une exploitation alors que sa taille n'a pas changé, la production va augmenter mais pas éternellement. A un certain moment, elle finira par décroitre. C'est la loi des « rendements non proportionnels » de David Ricardo. Pour ce qui est du traitement phytosanitaire, plus on utilise les produits, plus le rendement est bon. Nous l'avions vu précédemment, les plantes sont attaquées par des insectes et autres parasites qui les bouffent et conduisent à la réduction du rendement des cultures, en entrainant la perte de 50 à 80 % de la production. Pour pallier à cela, l'utilisation de ces produits s'avère d'une importance capitale. Cependant, les riziculteurs doivent respecter le dosage qui, une fois dépassé, entraine la destruction des cultures qui seront brûlées par l'acide contenu dans certains de ces produits. En ce qui concerne l'information, elle influence positivement le rendement du riz. Plus les riziculteurs sont informés sur les techniques de production, les intrants et le marché, plus ils réalisent une bonne production. Ainsi, en étant en possession de l'information, le rendement augmente de 548,091. Quant à l'équipement, il joue aussi un rôle important pour assurer un meilleur rendement. Plus la technologie est archaïque, moins les riziculteurs produisent. Ils auront d'abord du mal à cultiver des vastes étendues, ensuite ils ne seront pas bien outillés dans certaines situations. Quelqu'un qui utilise un drone pour épandre l'engrais dans son champ et celui qui le fait manuellement ne peuvent pas enregistrer les mêmes rendements.

La lecture de la dernière colonne du tableau nous fournit les probabilités associées à chaque variable. Au seuil de 1%, la variable « fertilisant » est significative. Notons qu'une variable significative à 1 % l'est aussi à 5 et 10 %. A 10 %, la variable « traitement phytosanitaire » et la variable « information » sont significatives.

La probabilité associée à la variable « sécheresse » est de 0,697 tandis que celle associée variable « main d'oeuvre » et « matériel agricole » est respectivement de 0,947 et 0,709. Elles sont supérieures à 0,1 (soit 10%), ce qui nous pousse à dire qu'elles ne sont pas significatives.Avec une probabilité de 0,008 associée au F de Fisher < à 0,05 (soit 5 %), on conclut que le modèle est bon. Tels que les résultats sont affichés, il se remarque que le modèle, de la manière dont il est conçu est bon, en utilisant le modèle EPIC. Toutefois, ce dernier comptant un large éventail des possibilités qui n'ont pas été prises toutes en compte, nous exhortons alors tout autre chercheur épris d'un esprit d'innovation, de reprendre l'étude et intégrer un large éventail des choix possibles que présente le modèle, ce qui pourrait rendre la recherche de plus en plus intéressante. Vicien C. (1991) montre qu'un agriculteur devrait utiliser un niveau de technologie qui puisse dépendre des ressources climatiques, pédologiques, génétiques, humaines et économiques. Par manque des moyens pour accéder à certaines informations et étant donné des difficultés liées à la mesure de certains phénomènes (notamment ceux relatifs au changement climatique), nous avons été amenés à réduire nos variables et n'utiliser que les données accessibles et disponibles dans notre milieu. Xianzeng N. et al. (2008) ; Vicien C. (1991), ont utilisé le modèle EPIC dans différents milieux et sur différents produits et ont abouti à des résultats différents en ce qui concerne la fiabilité du modèle testée à partir du coefficient de détermination (R2) que fournit la régression, méthode utilisée par chacun d'eux. Ils avaient trouvé respectivement 56 % et 97 % aux Etats-Unis et en Argentine & France. Quant à nous, un coefficient de 54,6 % trouvé signifie que les variables retenues expliquent à 54,6 % le rendement de la culture du riz dans la plaine. Le modèle peut être appliqué à la riziculture dans la plaine de la Ruzizi mais pour le rendre plus intéressant, il faudra prendre en compte un large éventail des choix possibles que présente ce modèle, en intégrant la température du sol, la vitesse du vent, la percolation, la quantité d'eau de ruissellement, l'humidité, etc.

Toutefois, le modèle estimé est présenté de la manière suivante :

y = a0 + a1 L+ a2 Ma+ a3 F + a4 Tp+ a5 Se + a6 In + u

y = 5577,683 + 102,775 L + 0,041 Ma - 36,508 F + 0,416 Tp - 927,074 Se +548,091 In

Cette droite est celle du modèle estimé, avec y : la variable dépendante. Il représente le rendement de la culture du riz dans la plaine de la Ruzizi ; L : de l'anglais « Labour » ou main d'oeuvre en anglais, il représente le nombre d'individus utilisés à chaque étape de la production ; Ma : le matériel agricole ou équipement agricole nécessaire pour la riziculture ; F : la quantité de fertilisant ; Tp : traitement phytosanitaire ; Se : l'exposition de l'exploitation aux facteurs environnementaux et In : l'information. L'influence de chacune de ces variables explicatives sur la variable dépendante est lue à travers le signe de la variable. Un signe négatif traduit un impact négatif de la variable indépendante sur la variable dépendante tandis qu'un signe positif traduit le contraire. Ainsi, les résultats montrent que le rendement du riz diminue respectivement de 36,508 et 927,074 lorsque la dose de fertilisant n'est pas respectée, et aussi lorsque l'exposition à la sécheresse augmente considérablement. Situation contraire pour la variable main d'oeuvre, matériel agricole, traitement phytosanitaire et information, pour lesquelles l'influence est positive et dont les coefficients respectifs de 102,775 ; 0,041 ; 0,416 et 548,091traduisent une augmentation du rendement des montants ci-haut lorsque ces variables augmentent.

CONCLUSION

Cette étude cherchait à évaluer l'impactde l'informationetdu changement climatique sur la production du riz dans la plaine de la Ruzizi (notamment à Luvungi et à Luberizi) en utilisant le modèle EPIC. Spécifiquement, les objectifs poursuivis étaient : d'intégrer l'aspect « information » et « environnement » dans le modèle pour voir leur contribution au rendement, ainsi vérifier la fiabilité de ce modèle dans la plaine de la Ruzizi. Ce modèle permet de prendre en compte un large éventail des choix possibles qui se présentent aux riziculteurs et qui peuvent leur permettre de prendre des décisions à la ferme. Le riziculteur peut alors utiliser une technologie qui tienne compte des ressources climatiques, pédologiques, génétiques, humaines et économiques. La régression multiple a permis et de vérifier la relation input-output et vérifier ainsi la fiabilité du modèle. Le recours au modèle de simulation EPIC a permis d'estimer la fonction de production. Cette étude peut être conclue en insistant sur le fait que les riziculteurs de la plaine de la Ruzizi sont très vulnérables au changement climatique et cette vulnérabilité est accélérée pour ces régions dans lesquelles les situations socioéconomiques sont précaires. Les résultats ont montré que 100 % des répondants de Luberizi avaient des champs exposés aux événements climatiques notamment la sécheresse qui est actuellement observée plusieurs fois par saison contrairement aux périodes passées où elle était observée deux fois l'an voire rarement. A Luvungi par contre, seulement 68 % des exploitations sont concernés par le problème d'affectation des événements climatiques tandis que 32 % non. En utilisant le modèle EPIC, l'objectif principal était d'estimer la fonction de production des riziculteurs de la plaine de la Ruzizi (en ajoutant deux aspects à savoir : information et environnement, particulièrement l'exposition aux inondations et à la sécheresse) et vérifier ainsi la fiabilité du modèle à travers le coefficient de détermination fourni par la régression. Les résultats trouvés affichent un coefficient de 54,6 % pour l'ensemble du modèle, traduisant ainsi le fait que les variables retenues expliquent le rendement de la culture du riz à 54,6 %. Toute chose restante égale par ailleurs, étant donné que cette valeur est supérieure à 50 %, le modèle peut être utilisé dans la plaine de la Ruzizi. La fonction de production étant du type d'ingénieur, la valeur trouvée du coefficient permet de confirmer que le modèle est fiable ! Aussi, les probabilités associées aux variables « fertilisant », « information » et « traitement phytosanitaire » nous permettent de ressortir ces trois variables comme étant facteurs significatifs pour notre modèle, ce qui nous permet de répondre à notre première hypothèse.En intégrant l'environnement et l'information dans notre modèle, l'objectif était de mesurer leur impact sur le rendement ou la production rizicole dans la plaine de la Ruzizi. Ce faisant, nous avons capté l'environnement en nous référant à la vulnérabilité de l'exploitation à la sécheresse, phénomène alarmant actuellement dans la plaine de la Ruzizi (en considérant la superficie asséchée, le plus souvent la superficie rizicole totale) et tandis que pour l'information, nous l'avons catégorisée en donnant la mention « 3 » à celui qui a accès à trois types d'information (technique de production, intrants et marché) , « 2 » à celui qui aura accès à deux types, « 1 » à celui qui a accès à un seul typeet « 0 » à celui qui n'a pas accès à l'information.Il a été remarqué alors que l'influence de l'information est positive sur la production tandis que celle de l'environnement est négative. Cela a été lu grâce au signe ! Ce faisant, la 2ème hypothèse a été vérifiée.

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