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Essai de conception et d'implémentation d'une plateforme web d'aide à l'orientation des étudiants dans leurs recherches de travaux de fin de cycle


par Eloi AGANZE ZIHALIRWA
ISP/Bukavu  - Licence 2019
  

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10° LA RECHERCHE BIBLIOTHEQUE

Elle se fait en se focalisant sur les ouvrages conservés en bibliothèque ou dans des librairies.

11° LA RECHERCHE EN LABORATOIRE

Ce type des recherches se fait en sortant un objet de son milieu d'évolution habituelle et le placer dans un milieu qui, tout en n'étant pas identique à elle, répondra à un certain nombre de critères et visera à obtenir un comportement quelconque. Elle sert à l'expérimentation.

12° LA RECHERCHE GLOBALE

Elle est une étude qui se fait autour d'un thème, un phénomène ou un sujet et qu'on veut étudier dans sa globalité ou son intégralité.

13° LA RECHERCHE ECHANTILLONNEE

Ici, comme il est difficile d'étudier une population dans son intégralité, on préfère travailler avec de petits échantillons représentatifs, c'est-à-dire ; de petits groupes sélectionnés de telle sorte que les comportements ou les principales caractéristiques de la population se retrouvent dans chaque groupe.

14° LA RECHERCHE MONOGRAPHIQUE

Elle est une étude approfondie (complète et détaillée) sur un sujet précis relativement restreint.

15° LA RECHERCHE DESCRIPTIVE

Comme son nom l'indique, c'est une étude centrée sur la description des faits. Elle vise l'énumération des caractères de quelque chose. La description consiste à déterminer la nature et les caractéristiques des phénomènes et parfois à établir les associations entre eux.

16° LA RECHERCHE CLASSIFICATRICE

Elle est une étude approfondie qui vise la distribution par classes ou catégories des objets ou individus hiérarchiquement selon une logique ou des critères bien déterminés. La classification consiste à catégoriser, regrouper, mettre en ordre pour permettre des comparaisons ou des rapprochements. Les faits observés, étudiés, sont ainsi organisés, structurés, regroupés sous des rubriques, sous des catégories pour être mieux compris.

17° LA RECHERCHE EXPLICATIVE

C'est une étude détaillée visant l'éclaircissement du sens de quelque chose. Elle cherche tout ce qui rend compte d'un fait, un phénomène.

Expliquer, c'est répondre à la question « POURQUOI? ». C'est faire voir comment un phénomène est né et comment il est ce qu'il est. L'explication(ASSIE, 2018) consiste à clarifier les relationsentre des phénomènes et à déterminer pourquoi ou dans quelles conditions tels phénomènes ou tels événements se produisent.

18° LA RECHERCHE COMPREHENSIVE

Elle vise à aboutir à ce que l'esprit humain puisse avoir la facilité de saisir quelque chose qui englobe d'autres idées ou objets.

19° LA RECHERCHE DISCIPLINAIRE

La recherche s'inscrit nettement et quasi-exclusivement dans une discipline bien déterminée. Cela on s'en rend compte au travers de l'objet et la méthode.

20° LA RECHERCHE INTERDISCIPLINAIRE

Elle s'inscrit dans le cadre d'une discipline mais elle ne s'enferme pas sur le plan méthodique dans une discipline, contrairement à la recherche disciplinaire.

Pour cela il faut :

- L'ouverture systématique et consciente à la méthodologie d'une autre discipline.

- L'ouverture doit toucher le niveau méthodologique.

- L'ouverture doit être repensée selon la discipline du départ. Car il ne faut pas dénaturer la discipline de départ.

21° LA RECHERCHE PLURIDISCIPLINAIRE

On peut l'aborder dans le sens de la recherche effectuée dans plusieurs disciplines.

22° LA RECHERCHE TRANS-DISCIPLINAIRE

Elle dépasse le cadre disciplinaire, de sorte qu'on a du mal à savoir dans quelle discipline la placer.

Il existe également, une fonction au sein des entreprises contemporaines appelée « fonction recherche et développement » ou tout simplement « fonction recherche-développement », connue sous sa célèbre abréviation « R&D ». C'est l'ensemble des processus qui, à partir de la recherche fondamentale ou d'une invention, permettent sa faisabilité industrielle. Schumpeter(dynamique-mag, 2019) en est le précurseur avec ses cinq types d'innovations(1912).

Elle est généralement constituée de trois phases consécutives(e-marketing, 2019) : recherche fondamentale, recherche appliquée et développement.

La dernière phase est suivie des tests et éventuellement du lancement des produits sur le marché. C'est ce qu'on appelle l'innovation ou la mise en application des techniques et découvertes de la recherche appliquée adaptées aux objectifs commerciaux de l'entreprise.

La R&D à elle seule pourrait faire objet d'un ouvrage entier tellement c'est un sujet vaste.

3.6. Etapes de la recherche scientifique

La recherche scientifique étant par essence une démarche ordonnée et bien organisée pour trouver la vérité, procède par une méthode rigoureuse et reconnue afin de parvenir à ses fins. La méthode à utiliser, doit être une méthode scientifique afin de valider les résultats obtenus par le chercheur.

Le Professeur Tshund'olela précise qu'une méthode est dite scientifique lorsqu'elle possède :

- Un objet scientifique,

- Une fonction scientifique,

- Une approche scientifique.

Nous précisons qu'une méthode est selon le dictionnaire Encarta Collection 2009 :

Un chemin qu'emprunte l'esprit pour atteindre la connaissance ou pour démontrer une vérité (dans les sciences)

Qui dit méthode, fait allusion aux étapes conduisant à la résolution d'un problème. La méthode scientifique fait quant à elle allusion aux approches (méthodiques, rationnelles, objectives, ...).

Voyons à présent, quelles sont les étapes d'une recherche scientifique. Dans son excellent cours d'I.R.S. dispensé en deuxième année de Graduat à l'I.S.P/Bukavu pendant l'année académique 2015-2016, le P.O. Tshund'olela de l'UNIKIN distingue cinq (5) étapes:

- La construction de l'objet d'étude,

- La construction de la stratégie,

- L'heuristique,

- L'élaboration des résultats partiels et enfin ;

- La synthèse et la formulation des résultats.

ETAPE 1 : LA POSTULATION OU LA CONSTRUCTION DE L'OBJET D'ETUDE SCIENTIFIQUE

Lorsqu'il entreprend un projet de recherche, le chercheur n'a que des idées vagues sur le champ de recherche qu'il compte embrasser. C'est pourquoi, il est pertinent qu'il s'asseye et qu'il réfléchisse sérieusement à ce qu'il veut faire.

1°/ Choisir le sujet (thème) d'étude :Bien évidemment, le chercheur devra avoir au départ une idée sur ce à quoi il veut arriver. Tout commence par le choix du sujet. Celui-ci devra remplir les conditions suivantes :

- Il doit être du domaine du chercheur et correspondre aux compétences de celui-ci.

- Il doit être pertinent. On ne mène pas un travail de recherche pour le simple plaisir de le mener, il doit y avoir une pertinence aussi bien scientifique que sociale.

La pertinence dont il est question ici, c'est par rapport aux moyens disponibles pour le chercheur et pas forcément par rapport aux moyens existants.

- Il doit être précis. Un sujet est précis quand il est bien défini et bien délimité, sans équivoque.

2°/ Explorer le sujet : Ceci se fait soit par :

- La consultationdes personnes ressources ou compétentes (des gens ayant des connaissances sur le sujet ou ceux ayant fait des études dans le domaine avant).

- La consultation documentaire, incontournable sur le plan scientifique.

Soit, en combinant les deux.

3°/ L'état de la question : Le chercheur doit synthétiser systématiquement ce qui a déjà été fait avant par d'autres chercheurs et ce qui reste à faire.

4°/ Préciser le sujet (Définir et délimiter): Pour délimiter le sujet, il faut :

- Il y a des critères spatiaux : le milieu concerné par le travail des recherches.

- Des critères chronologiques et temporaires : la délimitation dans le temps.

- Des critères analytiques ou domaniales : l'aspect dont traite le travail de recherche.

Tout cela dans le but de bien appréhender l'objet de recherche dans son ensemble.

5°/ Choisir le problème à poser sur l'objet : Le problème est choisi en fonction des intérêts personnels, scientifiques et sociétaux.

Intérêt scientifique car il faut fournir beaucoup d'effort intellectuel.

Intérêt personnel car suite à l'effort considérable à fournir, aux multiples corrections à apporter ou alors aux nombreux culs-de-sac auxquels on aboutit parfois, on peut être tenté de renoncer. C'est pourquoi, il faut aimer ce qu'on fait.

Enfin, intérêt sociétal car ce qu'on doit produire comme résultat des recherches devra profiter à toute la société.

Le problème doit être opérationnalisé c'est-à-dire préciser les objectifs à atteindre, poser le problème sous-forme des questions.

La problématique est un problème posé de façon à faire ressortir l'objectif et est posé sous-forme des questions. En d'autres termes, la problématique est un problème objectivé, opérationnalisé, intellectualisé et bien cerné.

Par exemple, on peut se poser la question de savoir quelles sont les causes financières de telle ou telle situation.

Ce n'est qu'après cette première étape qu'on peut véritablement dire qu'on a un objet d'étude scientifique.

ETAPE 2 : LA CONSTRUCTION DE LA STRATEGIE(STRATEGIFICATION)

Cette étape est aussi appelée étape de la définition de la stratégie de recherche ou encore l'étape de la construction des modèles.

C'est une étape qui n'existe pas dans la démarche de la vie de tous les jours. Elle permet de mettre au point une stratégie pour le règlement d'un problème. Tout comme la première étape, elle est complexe. Elle se construit d'après le plan suivant :

1°/ Le choix de l'hypothèse : C'est une solution provisoire dont la véracité devra êtreprouvée au cours de la recherche.

Qualités d'une bonne hypothèse 

Une bonne hypothèse doit être :

· Pertinente : c'est-à-dire qu'il faut qu'elle soit plausible (vraisemblable) et vérifiable scientifiquement avec les moyens disponibles, une fois de plus.

· Avoir une méthodologie : en d'autres termes, il s'agit de définir la méthodologie.

La méthodologie est l'ensemble des méthodes, techniques et des approches appropriées à mettre en oeuvre à un ensemble d'activités données.

La technique est l'ensemble d'opérations de collecte et de production des matériaux.

La méthode implique quant à elle la manière d'opérer. Elle dispose aussi d'une batterie d'opérations pour sa réalisation. Contrairement à la technique, la méthode intervient à toutes les étapes de la recherche scientifique.

2°/ Le choix de la méthodologie : une méthodologie doit être pertinente par rapport à la problématique et à l'état de la question, mais aussi par rapport à l'hypothèse.

3°/ La détermination (choix) des moyens documentaires et autres essentiels : un large éventail de documents s'offre au chercheur. Il doit effectuer un tri sélectif et explorer ceux qui l'intéressent pour son travail.

Il n'est toujours pas évident de trouver exactement ce qu'il faut avec la surabondance des sources et d'informations actuellement disponibles. Pour cela, on peut se faire aider par quelqu'un qui s'y connait et avoir ainsi des idées claires.

4°/ Le plan de travail : c'est lorsqu'on reprend dans l'ordre les différentes activités et le timing de ces activités aussi bien intellectuelles, techniques que matérielles.

A signaler que le plan de travail est différent du plan de rapport, ce dernier étant en fait le plan de rédaction du travail.

Les deux premières étapes, constituent la partie la plus difficile d'une recherche scientifique. Une fois achevées, l'on peut se féliciter d'avoir déjà fait la moitié du travail.

ETAPE 3 : L'HEURISTIQUE(AU SENS LARGE DU MOT)

Le dictionnaire Microsoft Encarta déjà cité plus haut dans ce travail, définit l'heuristique (nom féminin) comme « sciences des règles de la recherche scientifique et de la découverte». Le Grand Robert de la langue française quant à lui, définit le nom féminin heuristique comme : « Partie de la science qui a pour objet la découverte des faits ». En Informatique, on oppose l'heuristique à l'algorithmique. Le premier permet la résolution d'un problème petit à petit par évaluations successives et hypothèses provisoires, en tenant compte de ce que l'on a fait précédemment pour tendre vers la solution du problème. Le second est une succession d'étapes ou procédures, conduisant à la résolution d'un problème. A noter que, selon le dictionnaire du Jargon informatique, l'heuristique ne garantit pas du tout qu'on arrive à une solution quelconque en un temps fini alors que l'algorithme est une séquence d'opérations visant à la résolution d'un problème en un temps fini (on y mentionne une condition d'arrêt, un point d'arrêt de l'algorithme). L'heuristique est très utilisée en Intelligence artificielle et dans les antivirus.

On entend ici par « heuristique », la collecte, la production et le traitement des matériaux. C'est l'étape de la production des matériaux de recherche. En fonction de l'hypothèse, on va chercher les matériaux qu'il faut rassembler, produire et traiter.

Toutefois, les matières qui infirment l'hypothèse doivent toutes aussi être collectées, car on ne sait pas si l'hypothèse sera confirmée ou non ; mais aussi l'hypothèse peut être élargie. Les matériaux qui rétrécissent l'hypothèse ou qui limitent l'hypothèse seront également collectés de la même façon. En bref, toutes les matières en rapport avec la problématique trouvées, quelle que soit la source ;seront collectées et incluses dans les données brutes. Ce n'est qu'après traitement qu'on peut voir poindre un certain ordre dans la suite d'idées.

Sans matériaux, aucune recherche n'est possible. L'objectif ici, est de récolter l'ensemble de matériaux en qualité et en quantité pour commencer l'analyse et enfin passer à l'étape suivante.

ETAPE 4 : ELABORATION DES RESULTATS PARTIELS

On parle aussi de l'étude ou l'analyse et l'interprétation des résultats. L'analyse et l'interprétation nous amènent à mettre en relation les données. Les relations peuvent être, entre autres :

- Les liens de causalité : de causes à effets,

- Les liens de finalité : de moyens aux fins.

Analyser consiste aussi à décrire et non seulement à expliquer. L'analyse n'est pas la décomposition même si on ne peut analyser sans décomposer.

On peut distinguer à ce niveau, l'interprétation descriptive de l'interprétation explicative. La première cherche une signification appropriée, fidèle et réelle alors que la seconde cherche plutôt la compréhension.

L'analyse se fait sur les données, c'est-à-dire après traitement. L'objectif de cette étape est la présentation des résultats.

ETAPE 5 : SYNTHESE ET FORMULATION DES RESULTATS

La synthèse est différente de la conclusion. Elle consiste en :

· La récapitulation des résultats partiels(rappel en résumant les principaux points),

· La synthèse-évaluation : on évalue les résultats obtenus pour connaitre les lacunes et les forces,

· La synthèse supplétive : comblement des lacunes grâce au raisonnement proprement-dit (inférence).

· Le raisonnement inductif : généraliser les résultats.

· La synthèse interprétative : pour conclure (donner une réponse globale à des questions partielles),

· La synthèse intégrative : intégrer les conclusions trouvées dans des connaissances existantes et trouver des brèches vers des nouvelles.

La conclusion, quant à elle, est une prescription, la formulation des résultats.

La formulation consiste à communiquer (diffuser) les résultats. Elle a pour étapes ou principales activités :

Ø La composition du discours : c'est l'élaboration du plan de rédaction. Le plan de rédaction est la structure, la charpente du rapport (des recherches). Il est global et détaillé, il peut être géographique, chronologique ou thématique.

Il comporte les éléments ci-après :

o L'introduction

C'est ici qu'on précise le titre du sujet, la problématique, les hypothèses, l'état de la question, la méthodologie, les sources d'information, la subdivision du travail, les difficultés rencontrées ou encore la délimitation du sujet.

o Le corps (développement)

Développement des faits et des phénomènes observés ou étudiés durant les recherches effectuées. A ce niveau, on doit ressentir également le niveau scientifique du chercheur, sa capacité à mettre de la logique dans le tas de données qu'il a récolté et analysé.

o La conclusion

Elle comporte la synthèse des résultats partiels et une conclusion ou récapitulatif de la problématique et du ou des résultat(s) trouvés à l'issue du travail scientifique.

o L'appareil scientifique du travail

Ici, on retrouve :

§ La bibliographie ;

§ Les notes et références (sources) ;

§ La webographie ;

§ Les annexes ;

§ Les tableaux et les différentes tables ;

§ Etc.

L'appareil scientifique est un précieux outil permettant la vérification des affirmations avancées, la compréhension (complète) de l'actualité de l'étude et ainsi, la valeur du travail scientifique peut être facilement dégagée.

Ø La communication ou discours proprement-dit : la présentation devant un comité de lecture ou un jury des spécialistes suivie généralement d'une séance questions-réponses à l'épreuve des faits. Le discours du chercheur durant sa présentation doit être cohérent, logique et ordonné.

Il s'agit aussi à ce niveau de rédiger un rapport (ou une littérature) au travers duquel les pairs d'abord et les profanes par la suite, prendront connaissance des résultats des recherches menées ainsi que leur apport sur l'état des connaissances dans une branche donnée de la science, d'une part et de l'autre ; de diffuser ou communiquer celles-ci.

PUBLICATION SCIENTIFIQUE VERSUS LITTERATURE SCIENTIFIQUE(wikipedia, 2018)

L'expression « publication scientifique » regroupe plusieurs types de communications scientifiques et/ou techniques avancées que les chercheurs scientifiques font de leurs travaux en direction de leurs pairs et d'un public des spécialistes. Ces publications ayant subi une forme d'examen de la rigueur de la méthode scientifique employée pour ces travaux, comme l'examen par un comité de lecture indépendant constitué de pairs.

La notion de « littérature scientifique » désigne plus largement l'ensemble des publications scientifiques. Les publications scientifiques permettent de diffuser des informations techniques et scientifiques produites et utilisées notamment par les chercheurs. Une partie de cette littérature est réutilisée par les revues de vulgarisation scientifique.

On peut distinguer les publications scientifiques selon leur origine (académique, recherche privée...) ou selon support ou type de parution :

- les revues scientifiques à comité de lecture ;

- les comptes rendus de congrès scientifique à comité de lecture ;

- des ouvrages collectifs rassemblant des articles de revue ou de recherche autour d'un thème donné, coordonnés par un ou plusieurs chercheurs appelés éditeurs ;

- des monographies sur un thème de recherche

Seuls les travaux pouvant être classés dans les catégories ci-dessus entrent généralement en considération pour l'évaluation de la recherche scientifique et des chercheurs (et de leurs laboratoires parfois) et les études bibliométriques et scientométriques.

« Bibliométrie : Étude quantitative de la production, de la distribution, de la consommation de livres, de périodiques ou d'autres documents imprimés. Statistique historique, étude quantitative des publications (d'une époque déterminée). » (Le Grand Robert de la langue française version 2.0, Op.cit.)

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"En amour, en art, en politique, il faut nous arranger pour que notre légèreté pèse lourd dans la balance."   Sacha Guitry