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Analyse des faits politiques en Afrique: cas de la Cote d'Ivoire

( Télécharger le fichier original )
par Herphi Halerre Bouyoméka Mikolo et Pascaline AVLESSI
projet cerco du benin - Licence communication et relations internationales 2010
  

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SOMMAIRE

 

Pages

Introduction Générale

11

I : Les origines des conflits sociopolitiques en Cote d'Ivoire

13

I-1 : les causes endogènes des conflits Sociopolitiques

13

I-1-1 : Les causes lointaines

14

I-1- 2 : Les causes immédiates

18

I- 2 : les causes exogènes des conflits sociopolitiques

22

I-2-1 : les causes exogènes historiques

22

I-2-2 : les causes externes immédiates

25

II : Les conséquences de la crise en Cote d'Ivoire

31

II- 1 : Les conséquences politico-administratives

31

II-1-1 : Les conséquences politiques au plan interne

31

II-1- 2 : Les conséquences politiques au plan international

35

II-2 : Les conséquences socioéconomiques

38

II-2-1 : les conséquences sociales

38

II-2- 2 : les conséquences économiques

45

III : Les approches de solution pour la résolution des conflits socio

politiques en Cote d'Ivoire

50

III- 1 : Les solutions au plan politico-administratif

50

III-1- 1 : Les solutions envisagées dans le domaine politique

50

III-1- 2 : Les solutions dans le domaine administratif

53

III- 2 : Les solutions au plan socio-économique

55

III-2- 1 : les solutions au plan social

55

III-2- 2 : les solutions au plan économique

60

Conclusion Générale

66

Autobiographie de Pascaline AVLESSI

Née le 07 avril 1979 à Cotonou, d'une famille polygame de onze enfants de trois mères différentes, on m'appelle AVLESSI Vidjannagni Yabo Pascaline. Mon père Joseph AVLESSI a été un employé de l'hôtel et ma feue mère, Constance ABOKY, une ménagère. Troisième fille de ma mère et quatrième de mon père, j'ai sept soeurs et trois frères. Parmi les six enfants de ma mère, la plus grande, Huguette AVLESSI, vit en Belgique, celle qui la suit, Valérie AVLESSI en Italie et le benjamin, Mathias AVLESSI en Suisse. Originaire d'Agbalilamè dans le département du l'Ouémé, notre dialecte parlé est le « Wla ».

Très tôt j'ai connu le gout de l'école ou j'ai effectué, après une année à l'école Publique Maternelle Kpondéhou, mes études primaires à l'école Primaire Publique Agbodjèdo de 1987 à 1992.

Après mon obtention du Certificat d'Etude Primaire (C E P), j'ai été classé au Collège d'Enseignement Général Sègbèya ou j'y ai passé le premier cycle de mon cursus secondaire de 1992 à 1996.

De 1997 à 2000 j'ai fais le second cycle du secondaire au Collège d'Enseignement Technique JACKY ou j'ai eu mon Brevet d'Etude du Premier Cycle (B E P C), mon Diplôme d'Aptitude Professionnel niveau I (DAP 1) et mon Certificat d'Aptitude Professionnel (CAP) option Employé de Bureau en classe de 1ère. Je n'ai pas pu obtenir le Baccalauréat alors, je me suis inscrite en 2001 au Collège Bon Berger ou j'ai eu mon Baccalauréat série G1 et mon d'Aptitude Professionnel niveau II (DAP 2).

Après l'obtention de mon Baccalauréat, je me suis inscrite à l'Ecole Supérieur d'Enseignement Professionnel (ESEP) le Berger où j'ai eu en 2003, le Brevet de Technicien Supérieur (BTS) option Secrétariat Bureautique.

Au-delà de mon cursus scolaire, j'ai été admise en 1994 dans le grand rassemblement des Scout Laïc du Bénin où j'ai passé la majorité de mon adolescence. Choisi comme jeune fille dynamique et attentionnée, j'ai été sélectionnée pour une formation de recyclage des sachets plastiques à Porto-Novo par le groupe de théâtre « QUI DIT MIEUX » de Madame DOTOU Grâce.

Après ma soutenance de mon mémoire de Brevet de Technicien Supérieur en décembre 2003, j'ai été confronté à un moment donné aux dures réalités de la vie où en mars 2004, je perds ma très chère mère.

Après quelque mois de demande d'emploi dans les sociétés de la place, j'ai été sélectionnée par le Ministère de l'Industrie en avril 2004 pour bénéficier d'une bourse de formation de trente jeunes filles en administration réseau à AGENTIC Bénin.

Au cours de ma formation, j'ai été informé du concours de recrutement des Agents Contractuels de l'Etat auquel j'ai pris part. Admis, j'ai été mise à la disposition du Ministère de l'Enseignement Technique et de la Formation Professionnelle et affectée à la Direction de l'Inspection Pédagogique et de l'Innovation Technologique (DIPIT/METFP) ou j'ai servi en qualité de Secrétaire des Services Administratifs.

Après 8 mois de travail dans cette Direction, j'ai pris part au concours des de recrutement des Agents Permanents de l'Etat, session du 28 décembre 2004. Après mon admission, j'ai été mise à la disposition du Ministère de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique et affectée au Centre Béninois de la Recherche Scientifique et Technique où j'y travail encore jusqu'à ce jour en qualité de Secrétaire des Services Administratifs.

Mon amour pour la connaissance et mon souci de rehausser mon niveau d'étude m'ont conduit à m'inscrire en Licence Communication et Relation Internationale à l'institut CERCO ou je poursuis actuellement mes études cumulativement avec ma fonction.

Autobiographie de Herphi BOUYOMEKA

Accepter de faire l'historique du parcours d'un combattant, c'est accepter de revivre les moments forts du passé. Soulignons que se projeter avec précision dans un passé lointain revêt d'un esprit sensible. Cela implique aussi un esprit scientifique surtout quand on sait qu'il faut organiser ou regrouper les idées de façon chronologique et évolutive. Dans le cas d'espèce, certains détails pourront être oubliés mais les plus disponibles seront recensés.

D'une famille vivant au GABON, originaire du Sud du pays, de la province de la Ngounié, je suis né à Libreville, Capitale politique du GABON. Naissance qui a eu lieu le 05/11/1981 d'un père de profession, assistant hydrologue et d'une mère en stage à l'Office de Poste et Télécommunication (OPT) du pays.

On m'appelle Bouyomeka mikolo herphi H. précédé au départ, du coté paternel par quatre soeurs dont les deux premières respectivement appelées, Dilalou Geantiane et Mikolo Alida, sont conçues d'une autre alliance de mon père et les deux autres, Mikolo Landrisse et Mikolo Orchide, sont issues directement de mes deux parents. Et du coté de la mère par un ainé qui est le premier au monde de ma mère, Ngonda Eudes- Kevin. Ce dernier est à la fois notre grand frère et en même temps le premier petit fils de mes grand parents maternels. En réalité mes parents ne sont pas restés toute leur vie ensemble. Les disputes et toute autre altercation ont finit par les séparer, bien qu'étant mariés à la coutumière. Mais jusque là, ma position est toujours unique au point que l'on n'ait nullement pas signalé l'existence d'un deuxième fils pour mon père ; j'ai demeuré le seul garçon. Au vue de tout, il y a encore la famille, mes successeurs qui sont au nombre de cinq, issus d'une autre alliance. Je suis conçu dans une famille très élargie et nous manifestons toujours l'amour fraternel.

Après la maternelle, à six ans, j'avais été inscrit dans une école primaire, Ecole pilote urbaine du centre de Libreville où j'ai commencé à apprendre convenablement les vertus de l'alphabet et à m'adapter à un univers scolaire que l'on ne connait point au début. C'étaient les classes de CP1, CP2, CE1. Ce qui fait que vers les années 1990, je me suis retrouvé dans mon village, M'bigou, chef lieu de département de la Boumi Louétsi, pour continuer mes études. Les raisons qui justifient cette position sont liées aux problèmes de famille. J'ai du être emmené du domicile de mon père pour continuer les cours primaires aux cotés des grand parents maternels. Remarquons bien que ce récit ne relate pas trop les faits avec précisions des dates, vu que les faits ont été vécus un peu loin de ma personne et que pour le faire, cela nécessite que l'on soit proche des sources comme par exemple, les bulletins de notes des classes primaires et des premières classes secondaires. Mais cela ne dispense en rien que la suite retrace en bref mon retour du village pour Libreville après l'obtention de mon concours d'entré en sixième et l'obtention de mon certificat d'étude primaire(CEP) en 1994-1995.

Inscrit en sixième au lycée koweitien, surtout connu sous le sigle AKMA qui signifie, Agence Koweitien des Musulmans d'Afrique en 1996 à Libreville. Comprenons que jusque là, l'adaptabilité à un autre univers donne lieu souvent à l'envie de découvrir. Nous rencontrions des nouvelles personnes, des nouveaux amis que deux ans après, j'ai repris la classe de cinquième en 1998. J'avoue qu'il est important de suivre les élèves chaque fois qu'ils quittent les classes. Le plus souvent on se trouve libre de tout faire lorsqu'on est avec les amis. Cela a peut-être eu un lien avec mes échecs mais je porte toujours en moi la responsabilité de mes actes. Après mon passage en classe de quatrième dans le même lycée, en 1999-2000, j'ai eu de suite, mon passage en troisième. Une chose est sure c'est que je ne dirai pas que mon parcoure respectait le temps mais je franchissais quand même des étapes de succès. C'est pourquoi, je le qualifie de parcoure de combattant.

L'année 2002-2003 me trouve en classe de première. Mais malheureusement, j'apprends le décès de mon père en novembre 2002 de cette même année académique. Ces événements se passaient, j'étais sous tutelle de ma mère. Tout commence à devenir compliqué sur mon parcoure. La manière de concevoir un décès peut être à l'origine de plusieurs anomalies. Ce qui me plonge dans un regret total dû à la perte d'un être cher de ma vie qui a toujours voulu me voir parvenir à mes fins. Toute l'année était passée sans plus avoir fais un tour au cours que je suivais, cette fois au Lycée Djoué Dabany, à Libreville. Précisons que les années qui ont précédé l'année de l'obtention de mon baccalauréat en 2006-2007, au Lycée Mouammar Al-Kadhafi, à Libreville étaient des moments de ré adaptabilité. D'ailleurs sur le plan moral que sur le plan scolaire il fallait rattraper le retard occasionné dans les années antérieures.

Mais il est judicieux de vous rappeler que ces années antérieures ne sont pas restées en marge : superviser les travaux de construction des bâtiments de ma mère, une formation dans la radio Campus, Campus-infos de la place qui avait durée à peine un an, faisaient partir de certaines activités pour lesquelles je m'occupais.

La décision de poursuivre une formation supérieure au Benin est indispensable pour moi. C'est à ce effet que je m'inscris premièrement à l'Ecole Supérieure des Gestions et d'Informatique et de sciences (ESGIS), en communication d'entreprise (CE). Je n'oublierai pas de mentionner que l'adaptabilité est ce à quoi nous devons toujours tenir très fort. Je m'explique en disant que je suis titulaire d'un baccalauréat de série B, et les nouvelles matières de première classe universitaire me paraissaient un peu difficile à assimiler. C'est peut être normale mais, il avait fallu que je m'adapte.

Mais apprenons aussi que donner un sens à sa vie, lorsque les choses paraissent confuses, fait partir de chacun de nous. J'avoue tout de même que tout au long de ma formation, j'ai été toujours motivé par un esprit guidé vers la communication dans les affaires politiques que par la suite je m'inscris en Communication et Relations Internationales (CRI) à CERCO, en Janvier 2010.

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"Des chercheurs qui cherchent on en trouve, des chercheurs qui trouvent, on en cherche !"   Charles de Gaulle