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Mise au point d'une application de gestion de contrats de déclarations dans une agence en douane. Cas de MBP et Cie ( MBUNGU PWATI et Compagnie ) en RDC

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par Nathalie SIFA ANZULUNIE
Institut supérieur pédagogique de Bukavu- RDC - Diplôme de gradué en informatique de gestion 2013
  

Disponible en mode multipage

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I

Chapitre 1 EPIGRAPHE

« Il y a dans le coeur de l'homme beaucoup des projets, mais c'est le dessein de l'Eternel qui s'accomplit »

Proverbes 19 :21

« Le paresseux a des désirs mais il n'arrive à rien. Au contraire ceux qui travaillent dur obtiennent tout ce qu'ils veulent »

Proverbes 13 :4

« A coeur vaillant rien d'impossible »

« Ce n'est que quand on sait ce que l'on veut faire qu'il devient possible de réfléchir sur moyens. »

Marmotte

II

Chapitre 2 DEDICACE

A toi l'Eternel Dieu tout puissant, toi la source de notre vie et la solution à tous nos problèmes.

Le secours me vient du Seigneur qui a créé le ciel et la terre. A mon Seigneur Dieu pour tous les bienfaits et pour la grâce, je te bénirai jours et nuits ;

A mes parents Alouise MATESO ANZULUNI et Déodate TABU BABONAGE pour votre amour, affection et sacrifices. Je vous suis reconnaissant pour tous ce que vous avez fait pour me faire grandir et m'instruire.

A vous mon cher mari, Thomas WALUMBUKA, pour l'effort, le soutien et la bonne volonté dont vous avez manifesté durant ce moment difficile à supporter !

A ma progéniture : « Seule la voie du savoir, vous ouvrira la porte de la réussite sociale ».

- Nathalie SIFA ANZULUNI-

III

Chapitre 3 AVANT PROPOS

La fin d'une chose vaut plus que son début dit- on. Ce travail marque la fin de notre cycle de gradué en informatiques de Gestion, le mérite de ces trois années d'études supérieures est une expression de divers efforts physiques et intellectuels.

C'est ainsi que nous tenons à exprimer nos vifs remerciement à tous ceux qui par leurs travaux, leurs assistance, leurs idées, leurs collaborations ou leurs expériences ont participé de prés ou de loin à la réalisation de ce travail ; nous leur en sommes redevable.

Nous remercions le corps académique de l'Institut Supérieur Pédagogique de BUKAVU, qui nous a apporté son expérience vécue, contribuant par ce fait à notre formation et épanouissement.

D'une façon spéciale à l'assistant MBILIZI MWISIMBWA Déogratias, Directeur de notre travail, nous redisons notre entière gratitude pour nous avoir initiés à un travail de recherche scientifique par une méthodologie rigoureuse.

Que tous les membres de notre famille qui ont contribué de près ou de loin à notre formation trouvent leur part dans cette investigation,

Nous félicitons nos amis et camarades de lutte, nous pensons à : NGALYA LUSOMBO, WASO MBELAKO, François BAHIZIRE, RIZIKI BAGUMA, SOLEIL ...

Que tous ceux dont les noms ne sont pas énumérés dans ce travail de peur à blaiser leur modestie trouvent à travers ces quelques lignes dictes du fond de coeur, nos sentiments de vive reconnaissance pour leur générosité.

IV

Chapitre 4 SIGLES ET ABREVIATIONS

MBP : MBUNGU PWATI

Cie : Compagnie

RDC : République Démocratique du Congo

AV : Attestation de vérification

BAE : Bon à enlever

MCD : Modèle Conceptuel de Donnée

MLD : Modèle Logique de Donnée

MPD : Modèle Physique de Donnée

MLDR : Modèle Logique de Donnée Relationnelles

MOT : Modèle Organisationnel de Traitement

MCT : Modèle Conceptuel de Traitement

EA : entité association

CIF : Contrainte d'Intégrité Fonctionnelle

VB : Visual Basic

MERISE : Méthodes d'Etude et de Recherche en Informatique par Système d'Entreprise

Chapitre 5 INTRODUCTION GENERALE

1. GENERALITES

L'évolution technologique de ces dernières années a conduit les sociétés modernes à adopter des nouvelles habitudes face au travail. L'outil informatique, faisant partie du quotidien de tout travailleur devient de ce fait le compagnon idéal de l'homme dans le monde du travail tout en lui facilitant certaines taches qui jadis paraissaient comme corvées.

Aujourd'hui, les entreprises évoluent dans un environnement de plus en plus concurrentiel, variable et complexe. La mondialisation, la fragmentation et la diversification croissante des marchés, la complexité politique commerciale représentent tant des menaces que d'opportunités pour les entreprises.

Par ailleurs, le développement d'une entreprise en matière de technologies de l'information exige des nouveaux moyens et supports pour échanger et diffuser l'information dans le but de réduire les contraintes de temps, d'espace et du coût, et faciliter la gestion de l'entreprise.

De plus, les clients ne sont plus satisfaits des solutions standards, mais demandent plutôt des solutions globales adéquates à leurs besoins spécifiques. Ils deviennent plus exigeants et demandent des qualités des produits plus élevées et des services plus personnalisés.

En effet, pour bien assurer la bonne gestion dans une entreprise et avoir la compétitivité avec les autres entreprises, il faut utiliser un système informatisé. C'est dans ce sens que nous avons pris le temps pour la contribution d'une bonne gestion de l'agence en douane MBP&Cie.

2. PROBLEMATIQUE

La problématique est définie comme un art d'élaborer et de poser clairement les problèmes et aussi de les résoudre en suivant leur transformation dans la réflexion scientifique ou philosophique.1( *)

La problématique est l'expression de la préoccupation majeure qui circonscrit de façon précise avec absolue clarté les dimensions essentielles de l'objet de l'étude que le chercheur se propose de mener.

De la manière dont est gérée l'entreprise, une série des difficultés ont été ciblées entre autre :

- le risque de rendre un mauvais service aux clients, lié à une longue durée ;

- la perte des documents ;

- le manque d'informations pouvant contribuer à l'élaboration des rapports au moment opportun ;

- temps de réponse très long lié au travail manuel effectué au sein de cette dernière.

Nous aurons à répondre au cours de l'élaboration de notre travail à la question de savoir : En mettant au point une application de gestion, ne serait-il pas possible de résoudre les problèmes cités ci-hauts ?

3. HYPOTHESE

L'hypothèse est définie par R. RONGERE comme étant « la proposition formulée en des termes tels que l'élaboration et l'analyse puissent fournir une réponse. L'hypothèse d'un travail est une proposition des réponses provisoires réservées aux inquiétudes qui ont été soulevées dans la problématique et qui grâce aux méthodes et techniques utilisées, peuvent soit être confirmées soit être rejetées à la fin des investigation2( *). »

De ce fait, pour un rapport fiable et adéquat dans la gestion des contrats des déclarations dans cette agence, une application informatisée serait d'une grande utilité dans la prise de décisions au sein de l'entreprise dans la mesure où elle contribuerait à une amélioration de son système de gestion mais aussi et surtout, éviterai les erreurs éventuelle liées au travail manuel effectué au sein de cette dernière et qui est victime de beaucoup des failles.

4. METHODES ET TECHNIQUES

4.1. METHODES

Selon le dictionnaire Larousse, une méthode est un ensemble ordonné des principes, des règles et des opérations intellectuelles permettant de faire l'analyse en vue d'atteindre un objectif fixé.3( *)

Pour cerner les contours de l'expression des besoins de ce système d'information, des méthodes suivantes ont été utilisées:

-la méthode historique : par laquelle nous avons obtenu des informations rétrospectives sur le système de gestion de cette institution ;

- Méthode structuro-fonctionnelle : qui nous permet d'analyser la structure concernée ainsi que son fonctionnement et elle nous a doté des techniques et méthodes à suivre pour la conception d'une application informatique en vue de la production d'un logiciel.

- Méthode analytique : avec l'analytique, nous avons pu décomposer le système d'information existant en vue de suivre la circulation des informations à chaque niveau du système ;

- Méthode MERISE : MERISE nous a permis de concevoir le système d'information en séparant les données de leurs traitements.

 

* 1TCHUNDOLELA Cours d'Initiation à la recherche scientifique, G2/IG/ISP, 2011-2012, p.23, Inédit

2 WENU BECKER, recherche scientifique : théorie et pratique, PUL, 2004, P.14

* 3 TCHUNDOLELA ., op.cit, p.27

4.2. TECHNIQUES

Nous pouvons définir la technique comme étant un ensemble des procédés exploités par le chercheur dans une phase de récolte des informations nécessaires pour l'élaboration d'un travail scientifique.

Dans le cas de notre travail, nous faisons recours aux techniques suivantes :

a. Technique documentaire

C'est une technique qui nous a permis de consulter des documents relatifs à notre sujet dans le but d'y prendre les informations importantes pour la réalisation du travail.

b. Technique d'interview

Cette technique nous a permis d'entrer en contact avec l'enquêté afin de recueillir certaines informations concernant notre travail.

c. Technique d'observation

C'est une technique qui nous a permis de descendre sur terrain ou sur le lieu pour se rendre compte directement des phénomènes étudiés.

5. CHOIX ET INTERET DU SUJET

5.1. CHOIX DU SUJET

Le choix de ce sujet n'est pas un fait du hasard car il découle de certaines difficultés rencontrées dans cette agence notamment la lourdeur dans l'administration, la gestion des contrats des déclarations,...

Nous avons trouvé intéressant d'alléger la procédure en choisissant l'outil informatique comme moyen efficace de gestion.

5.2. INTERET DU SUJET

L'intérêt de ce sujet est évident et complexe car il apporte une solution délicate sous plusieurs plates formes.

a. Intérêt personnel

Ce travail de recherche nous permettra de nous familiariser à des recherches approfondies dans des entreprises et avoir de l'aptitude dans la conception des logiciels et ainsi avoir de l'expérience dans la programmation des projets volumineux.

b. Intérêt économique

Pour l'agence, ce travail va permettre à trouver, à enregistrer et à restituer les informations fiables et adéquates au moment opportun, et aussi la réalisation d'une bonne gestion au sein de cette dernière, alors que la technologie évolue rapidement.

c. Intérêt scientifique

Il présente un intérêt non négligeable pour le monde scientifique car il pourra servir de référence pour des futurs chercheurs qui voudront l'améliorer ou travailler dans le même domaine.

 

6. DELIMITATION DU SUJET

Pour bien mener une étude plus précise et plus profonde, il convient de bien circonscrire le milieu d'investigation.

La science étant vaste, nul ne peut s'hasarder étudier un domaine dans son entièreté. Il faut donc délimiter un sujet de recherche en temps et en espace.

Dans le temps, notre analyse part de la conception du système d'information jusqu'à son implémentation sur une configuration effective donnée, et demeurera admissible jusqu'à ce que l'entreprise ait besoin de changer son système de gestion. Quant aux recherches qui ont conduit à son élaboration, elles ont été menées durant la période comprise entre novembre2012 et juin 2013

Temporellement, notre champ d'investigation demeure l'agence en douane MBP&Cie qui se situe sur l'avenue P.E Lumumba à Nyawera dans le bâtiment de l'immeuble de la galerie BUGUGU à l'étage au numéro 12 dans la commune d'ibanda

7. OBJECTIFS ATTENDUS

Mettre en place une application de gestion qui sera utilisé dans cette agence par les responsables, les différents rapports rédigés lors de l'élaboration de ce travail constitueront les documents complémentaires.

8. SUBDIVISION DU TRAVAIL

Hors mis l'introduction générale et la conclusion générale, notre travail est subdivisé en trois (3) chapitres :

- Le premier chapitre porte sur l'analyse préalable et a pour objectif la description du système existant et son analyse ;

- Le deuxième chapitre intitulé Conception du système informatique informatisé, vise l'analyse définie du système.

- Et enfin le troisième chapitre nommé Programmation a pour objectif la mise au point proprement dite de l'application.

9. DIFFICULTES RENCONTREES

Nous avons éprouvé beaucoup des difficultés pour récolter des informations nécessaires, dont voici quelques unes :

.Plusieurs rendez-vous manqués Suite aux occupations intenses des personnes chargées de nous les fournir ; Ce qui nous a conduits à dépenser une importante somme d'argent pour des recherches sur Internet.

. En suite ce travail est élaboré dans une courte période comblée des cours et des examens

.Et enfin le manque d'une documentation concrète et mise à jour traitant de la programmation.

Chapitre 6 Chapitre 1. ANALYSE PREALABLE

Chapitre 7 INTRODUCTION

L'analyse préalable a pour objectif de poser correctement le problème à résoudre, de le définir, de le formaliser sous un aspect accessible à tout les responsables concernés. Ensuite, elle fournit des orientations des solutions.

C'est ainsi que dans ce chapitre nous parlerons de l'organisation de la société à travers sa structure organisationnelle, ensuite nous présenterons l'existant de l'organisation.

L'analyse des informations et des traitements fera l'objet de ce chapitre pour arriver à critiquer celle-ci et enfin proposer les solutions nouvelles pour un bon fonctionnement de l'entreprise.

I. PRESENTATION DE L'EXISTANT

2.1. APERÇU HISTORIQUE

L'agence en douane MBP&Cie se vit crée en 1997 par Mr MBUNGU PWATI et compagnie à Kinshasa à travers à travers l'agreement du commissionnaire en douane portant le même nom.

Ce nom provient des cofondateurs MBUNGU & PWATI qui possédant les plus nombreuses actions, vont en accord avec les autres actionnaires, accepter que l'entreprise porte les initiaux de leurs noms joints au mot compagnie abrégé, d'où l'appellation MBP&Cie car c'est une société privée à responsabilité limitée. Elle constitue aussi l'épine dorsale de l'économie congolaise grâce à son apport sous forme d'impôts, taxes et droits divers dans la caisse de l'Etat.

L'entreprise MBP&Cie va conformément à la législation douanière opérée sous l'agreement n°045/97 sur le commissionnaire en douane.

2.2. SIEGE SOCIAL

L'agence en douane MBP&Cie a son siège social et sa direction générale à Kinshasa sur l'avenue du commerce N°35 dans la commune de la Gombe.

L'agence est représentée dans toute la RDC surtout aux postes frontaliers, ports, aéroports et dans les grandes villes, elle est représentée :

· A Kinshasa : aéroport de ndjili

· A Matadi

· A Lubumbashi : kasumbalesa

· A Kisangani : Bunia, Isiro, bangoka, dungu, et ituma

· Au nord Kivu : Goma Ishasha, Beni, Butembo, Kasindi

· Au Sud-Kivu : Bukavu, Kamanyola, Uvira, Kalundu, Kanvivira, Ruzizi 1&2.

2.3. SITUATION GEOGRAPHIQUE

Le siège de la Direction provinciale de la MBP&Cie/Bukavu est situé sur l'avenue P.E Lumumba à Nyawera dans la commune d'ibanda dans le bâtiment de l'immeuble de la galerie BUGUGU à l'étage au numéro 12.

2.4. OBJET SOCIAL

L'agence en douane MBP&Cie est un des intermédiaires commerciaux qui, à son nom, agit pour le compte des tiers, soit par elle-même, soit par l'entremise du tiers habitant en République Démocratique du Congo. C'est une entreprise commerciale de vente des services multiformes :

· Elle s'occupe essentiellement des opérations des commandes de marchandises, de leurs transports jusqu'au lieu de destination finale de pays ou elles seront consommées ;

· Elle s'occupe aussi des opérations et procédures de dédouanement des marchandises dans la stricte application des textes et modalités légales en vigeur,

· Elle établit les documents requis pour la mobilité des marchandises à l'importation, exportation et transit.

2.5. ORGANIGRAMME

CHEF D'AGENCE

L'organigramme est un outil graphique permettant la représentation synthétique de l'ensemble de la structure d'une entreprise, d'une entité ou d'un service4( *)

CHEF DE DEPARTEMENT COMMERCIAL

CHEF ADJOINT

ADMINISTRATEUR

CHARGE DES OPERATIONS BANCAIRE ET PROCEDURE DOUANIERE

CAISSE

AGENT CHARGE DE LA FRONTIERE RUZIZI 2

AGENT CHARGE DE LA FRONTIRE RUZIZI 1

HUISSIER

Source : Bureau d'exploitation 28/01/2013

2.6. DESCRIPTION DES POSTES

1. Chef d'agence

Coordonne les activités d'une manière générale et attend des propositions pour une décision finale

2. Adjoint

Il est chargé de service commercial, gère la clientèle et les finances de l'agence, coordonne aussi les actions marketings et les relations interentreprises, ordonne les dépenses.

3. Administrateur

Il s'occupe de l'administration, de la correspondance, courrier et du service du personnel

4. le caissier

S'occupe des recouvrements des dépenses ordonnancées par le service commercial ; il s'occupe aussi des versements des montants dus au trésor public par les opérateurs économiques à l'importation ou à l'exportation.

5. les deux agents affectés aux frontières

Ils s'occupent de la prise des marchandises par l'agence, ils engagent l'agence à la frontière, ils établissent les bordereaux en douane et accomplissent toute formalité d'entrée des marchandises et de véhicule.

6. chargé des procédures

Il aide le caissier à accomplir les opérations douanières et le suivi des opérations de dédouanement à l'entrepôt public. C'est le bureau qui fait la déclaration lors du mouvement de l'entreprise, remplit les formalités de cette dernière lors d'un contrat.

7. Huissier

Il effectue les travaux de la propreté et distribue les courriers ; il effectue les petits achats pour le bureau.

 

* 4 htpp://www.wikipedia.org

II. FONCTIONNEMENT DE L'AGENCE

Dans le cadre de notre travail, nous avons retenu un seul poste d'ouvrage qui est celui du bureau chargé des procédures qui gère les déclarations.

3.1. DESCRIPTION TEXTUELLE

Le client dépose à l'agence un dossier complet. Ce dossier comprend les documents commerciaux (facture de fret, facture du fournisseur,...), les certificats de contrôle, certificat d'origine ainsi que l'AV.5( *) Aussitôt les documents acceptés, l'agence établit un contrat avec le client et lui remet un acte de contrat. Après l'établissement du contrat avec l'importateur, l'agence rédige les formalités douanières sur base des documents qui lui était remis. Et ces formalités douanières sont écrites sur une fiche de déclaration qu'on appelle T1 (T one) 6( *). Ainsi, ce document est immédiatement transmit auprès des services de douane.

Après vérification et validation de la déclaration, l'inspecteur en douane remet à l'agence le bulletin de liquidation pour le paiement des droits et taxes de douane. Avec cette note, l'agence se rend à la banque, paye et reçoit une quittance de déclaration. La banque à son tour transmet immédiatement à partir d'un réseau informatique les informations de paiement à la douane.

Après le paiement, l'agence retourne à la douane pour la vérification de paiement et celle-ci le livre un bon à enlever qui permet à l'agence de retirer la marchandise. Et l'agence à son tour remet la marchandise au client accompagné des documents de dédouanement.

3.2. TABLEAU DES ACTEURS

Un acteur est une personne morale ou physique capable d'émettre ou de recevoir des informations.7( *)

Un acteur est interne à l'organisation lorsqu'il appartient au système d'information de l'organisation. Un acteur est externe à l'organisation lorsqu'il n'appartient pas au système d'information mais qui est à l'origine ou à la destination de flux d'informations reçus ou émanant du système d'information. 8( *)

En outre, pour ce qui concerne ce tableau, nous reprendrons les acteurs qui sont essentiels à notre étude.

ACTEUR

TYPE

EXPLICATIOIN

1

CLIENT

EXTERNE

Qui déclare sa marchandise pour l'importation

2

AGENCE

INTERNE

Qui établit les formalités d'importation de la marchandise lors de la déclaration

3

DOUANE

EXTERNE

Reçoit la marchandise à importer la place sous un régime douanier

4

BANQUE

EXTERNE

Elle reçoit tous les frais du à l'Etat

3.3. GRAPHE DES FLUX

Par définition, un flux est un échange d'information entre un acteur avec lui-même ou entre deux acteurs.9( *) De par cette définition, nous dirons que les échanges d'informations sont sous formes des flèches représentant le flux vers les acteurs qui sont sous forme de noeuds ou ovale.

Ainsi donc nous avons :

CLIENT

BANQUE

AGENCE

10 2 1 5 6

3 8

3 4 8 9 7

DOUANE

Légende :

Nom du flux

Emetteur

Récepteur

Propriétés

1

Documents présentés

CLIENT

AGENCE

- nom importation, prix march, poids march, fret assurance

Contrat remis

AGENCE

CLIENT

- numéro contenaire nom import, nom agence, date cont, montant payé

3

Déclaration transmise

AGENCE

DOUANE

- num m enregistré, nature march, nom import, num camion, codagence

4

Bulletin de liquidation transmis

DOUANE

AGENCE

- numéro liquidation,nom agence, code taxe, libelle taxe montant liquidation

5

Pyt montant de déclaration

AGENCE

BANQUE

Idem flux n°4

6

Quittance de paiement remis

BANQUE

AGENCE

- Num quittance,date quittance, nombre déclaration , montant verse,nom agence

7

Informations de paiement transmises

BANQUE

DOUANE

Idem n°6

8

Quittance de déclaration présentée

AGENCE

DOUANE

Idem flux n°6

9

Bon à enlever remis

DOUANE

AGENCE

- Num bon,nom agence,heure de charg, heure de decharg, num camion

10

Marchandise livrée

AGENCE

CLIENT

- nom agence, natmarch, nbrecolis,nomimport

 

* 5 AVI signifie : Attestation de Vérification à l'Importation

*6 René Ledru, Chronique juridique : Loi sur les exportations et importations, ordonnance du 9 juillet 2008, Ed. Thomson Sales Europe, p.35

*7 Hubert Tardieu, La Méthode Merise-Tome1, Principes et outils, éd. d'organisation, Paris, 1996, p.104

*8 Idem, p.105

III. ANALYSE DES DOCUMENTS

Le recensement des documents est le préalable absolu à toute démarche d'automatisation. Il existe 2 méthodes10( *) :

Ø La méthode ascendante : très pratique pour une nouvelle informatisation

Ø La méthode descendante : à utiliser sur un système existant permettant de recenser toutes les informations du système rencontrées sur les divers documents en service et à y ajouter les nouvelles données nécessaires aux nouveaux traitements. C'est la méthode utilisée dans le cadre de notre travail.

4.1. PRESENTATION DES DOCUMENTS

a. Fiche de contrat : C'est un document remis au client lors de l'ouverture d'un contrat avec l'agence.

b. TONE : Ce document est remplit par l'agence contenant toutes les informations possible en rapport avec la marchandise ainsi que tous les détails nécessaires pour le calcul éventuel des droits de douane.

c. Bulletin de liquidation : C'est un document que la douane remet à l'agence pour le paiement des droits et taxes de la marchandise à la banque.11( *)

d. Quittance de déclaration : Ce document est remis par la banque lors de paiement des droits et taxes de douane.

e. Bon à enlever (BAE) 12( *) : C'est un document de la douane qui donne l'autorisation à l'agence de retirer sa marchandise.

IV. CRITIQUES ET SUGGESTIONS

Après avoir pris connaissance du fonctionnement de l'agence et de l'ensemble de ses composantes voici les critiques que nous apportons :

5.1. POINTS POSITIFS

La MBP&Cie est une agence ayant une bonne structure et des agents compétent dans les différents secteurs précisément le secteur du service chargé de procédures, quelque soit le système manuel rencontré dans le service, les suivis des clients et la protection des documents sont quand même conformes.

5.2. POINTS NEGATIFS

- Les procédures sont manuelles ce qui ne garantie pas une efficacité et ce qui ralentit le travail qui a pour conséquence d'allonger le délai de réponse.

- Chaque acteur sauvegarde les données dans son poste, ce qui rend difficile le suivi de la procédure d'un client on risque d'avoir plusieurs interlocuteurs dans l'agence pour un seul client. Ce qui est fastidieux

5.3. SUGGESTIONS

Après les critiques que nous avons formulés sur notre étude, nous faisons quelques suggestions afin d'optimiser le travail de l'agence en douane.

- Informatiser le service pour faciliter le stockage des informations ;

- On remarque qu'il y a un registre dans chaque poste. C'est ainsi qu'il faut trouver un moyen de centraliser les documents à sauvegarder et dupliquer les sauvegardes dans une base de données relationnelle.

- La base centralisée permettra d'avoir toutes les sauvegardes sur un seul support. Cette centralisation permettra de suivre en temps réel le dossier d'un client

 

* 10 Hubert Tardieu, op.cit, p.20-21

* 11 Documentation SYDONIA ; Procédure détaillée du traitement des déclarations dans le système douanier, du 15 Février 2009, p.5

* 12 Ibidem, p.6

Chapitre 8 CONCEPTION DU SYSTEME INFORMATIQUE INFORMATISE

II.1 INTRODUCTION

L'analyse conceptuelle est la première étape de l'approche MERISE. Elle débouche bien entendu sur la mise en oeuvre technique accompagnée de la réalisation de supports visuels (schéma physique de la base).Son rôle consiste à définir précisément les qualités de l'entreprise. Elle décrit l'ensemble des données stables du système d'information et l'ensemble des règles de gestion à y appliquer sans tenir compte d'un quelconque matériel informatique devant supporter ces informations.

II.2 MODELE CONCEPTUEL DES DONNEES

a) Recensement et description des entités

ENTITE

ROLE

PROPRIETES

CODE

DESIGNATION

OBSERV.

01

BUREAU

Etablir et/ou approuver une quittance ou un manifeste

CODEBUR

NOMBUR

NUMCONT

DATECONT

DUREECONT

MONTPAY

TYPECONT

Code du bureau

Nom du bureau

Numéro contrat

Date contrat

Durée contrat

Montant payé

Type contrat

Id.

02

CAMION

Transporter les marchandises

NUMCAM

NOMCHAUF

MARQVEH

Numéro camion

Nom du chauffeur

Marque du véhicule

Id.

03

BON

Pour un seul camion

NUMBON

DATEBON

LIEUDEDECH

HEUREDEDECH

DATE DEDECH

Numéro bon

Date du bon

Lieu de déchargement

Heure de déchargement

Date de déchargement

Id.

04

IMPORTATEUR

Qui importe les marchandises

NUMIMPORT

NOMIMPORT

NUMTELIMPORT

Numéro de l'importateur

Nom de l'importateur

Numéro téléphone importateur

Id.

05

BANQUE

Qui délivre le manifeste

CODEBAN

NOMBANQ

ADRESBANQ

Code banque

Nom de la banque

Adresse de la banque

Id.

06

AGENCE

Qui remplit un manifeste

CODEAGEN

NOMAGEN

ADRESAGEN

Code agence

Nom de l'agence

Adresse de l'agence

Id.

07

MANIFESTE

 

NUMMANIF

DATEENREG

PAYSPROV

PAYSDEST

MONTFACT

NOMBCOLIS

POIDSCOLIS

DESCRITART

FRET

ASSURANCE

TAUX

Numéro manifestation

Date d'enregistrement

Pays de provenance

Pays de destination

Montant facturé

Nombre colis

Pois colis

Description colis

Frais de transport

Assurance

Taux de la banque

Id.

08

QUITTANCE

 

NUMQUIT

DATEQUIT

CODETAX

LIBELTAX

MONTVERS

Numéro quittance

Date quittance

Code taxe

Libellé taxe

Montant à verser

Id.

b) Recensement et description des associations et cardinalités

Entité

Association

Cardinalité

Signification

1

AGENCE

Remplir

(1,n)

Une agence peut remplir une ou plusieurs Manifestes

2

MANIFESTE

Remplir

(1,1)

Un Manifeste est remplit par une seule agence

3

AGENCE

Livré

(1,n)

Une agence peut livrer un ou plusieurs contrats

4

CONTRAT

Livré

(1,1)

Un contrat est livré par une et une seule agence

5

BUREAU

Etablir

(1,n)

Un bureau peut établir un ou plusieurs Manifestes

6

MANIFESTE

Etablir

(1,1)

Un Manifeste est établi par un et un seul bureau

7

IMPORTATEUR

Passer

(1,n)

Un importateur peut passer au moins un contrat

8

CONTRAT

Passer

(1,1)

Un contrat est passé par un et un seul importateur

9

IMPORTATEUR

Avoir

(1,n)

Un importateur peut avoir un ou plusieurs Manifestes

10

MANIFESTE

Avoir

(1,1)

Un Manifeste a un et un seul importateur

11

BON

Etre pour

(1,1)

Un bon est pour un seul camion

12

CAMION

Etre pour

(1,n)

Un camion peut être pour plusieurs bons

13

BANQUE

Recevoir

(1,n)

Une banque peut recevoir un ou plusieurs Manifeste

14

MANIFESTE

Recevoir

(1,1)

Un Manifeste est reçu par une seule banque

15

BUREAU

Approuver

(1,n)

Un bureau peut approuver une ou plusieurs quittances

16

QUITTANCE

Approuver

(1,1)

Une quittance est approuvée par un et un seul bureau

17

BON

Concerner

(1,1)

Un bon est concerné par un seul Manifeste

18

MANIFESTE

Concerner

(1,n)

Un Manifeste peut concerner un ou plusieurs bons

II.2.1 FORMALISME DE REPRESENTATION DU MCD

Le MCD est aussi appelé modèle entité-association (EA).

a. La propriété : Est une donnée élémentaire perçue sur le système d'information. Les propriétés peuvent concerner les entités comme les associations.13( *)

b. Entité : Est un objet du système d'information, pourvu d'une existence propre, conforme au choix de gestion de l'entreprise et porteur de propriétés.

c. Occurrence d'une entité : Est le nombre de fois où cette entité est valorisée.

d. Identifiant : Est une propriété particulière, telle qu'à chaque valeur de la propriété corresponde une et une seule occurrence de l'entité.

e. Association : Une association est une relation ou lien entre deux ou plusieurs entités.

f. Cardinalité : Elle représente le nombre d'occurrences, minimal et maximal d'une entité par rapport à une association.

g. Une CIF : Une Contrainte d'Intégrité Fonctionnelle en abrégé CIF se définit par le fait que l'une des entités participant à l'association est complètement déterminée par la connaissance d'une ou plusieurs autres entités participant dans cette même association.

Etape 1. Dictionnaire des données

Le dictionnaire des données est en fait le résultat de la phase de collecte des données élémentaires des documents récences lors de l'analyse préalable. On le place sous forme de tableau trié par ordre alphabétique, il est dépouillée de toute anomalie ou incohérence, des données redondantes des synonymes et de polysémies.14( *)

Propriétés

Signification

Type

Taille Dom

Contrôle

1

adresagence

Adresse de l'agence

NC

AN_25

 

2

adresbanq

Adresse de la banque

NC

AN_25

 

3

assurance

Assurance

NC

N_15

 

4

codagence

Code de l'agence

NC

N_5

Unique

5

codbanq

Code de la banque

NC

N_5

Unique

6

codbureau

Code du bureau

NC

AN_5

Unique

7

codtaxe

Code de la taxe

NC

AN_5

 

8

datebon

Date du bon

NC

Date

 

9

datecont

Date du contrat

NC

Date

 

10

datededech

Date de déchargement

NC

Date

 

11

dateenreg

Date d'enregistrement

NC

Date

 

12

datequit

Date de la quittance

NC

Date

 

13

descriptart

Description de l'article

NC

AN_20

 

14

dureecont

Durée du contrat

NC

Date

 

15

fret

Fret

NC

N_15

 

16

heurededech

Heure de déchargement

NC

Date

 

17

libelletaxe

Libelle de la taxe

NC

AN_25

 

18

lieudech

Lieu de chargement

NC

AN_20

 

19

lieudedech

Lieu de déchargement

NC

AN_20

 

20

marqueveh

Marque du véhicule

NC

AN_10

 

21

montfac

Montant de la facture

NC

N_15

 

22

montpay

Montant payé

NC

N_15

 

23

montverse

Montant versé

NC

N_15

 

24

nomagence

Nom de l'agence

NC

AN_15

 

25

nombanq

Nom de la banque

NC

AN_10

 

26

nombrecolis

Nombre des colis

NC

N_3

 

27

nombureau

Nom du bureau

NC

N_20

 

28

nomchauf

Nom du chauffeur

NC

AN_15

 

29

nomimport

Nom de l'importateur

NC

AN_20

 

30

numbon

Numéro du bon

NC

AN_7

Unique

31

numcamion

Numéro du camion

NC

AN_7

Unique

32

numcont

Numéro du contrat

NC

AN_7

Unique

33

numimport

Numéro de l'importateur

NC

AN_10

Unique

34

nummanif

Numéro du manifeste

NC

AN_10

Unique

35

numquit

Numéro de la quittance

NC

AN_7

Unique

36

numtelimp

Numéro du téléphone de l'importateur

NC

N_13

 

37

paysdest

Pays de destination

NC

AN_15

 

38

paysprov

Pays de provenance

NC

AN_15

 

39

poidsart

Poids de l'article

NC

AN_6

 

40

Prixart

Prix de l'article

NC

N_15

 

41

Taux

Taux de change

NC

N-4

 

42

Typecont

Type de contrat

NC

AN-12

 

Etape1. Matrice des dépendances fonctionnelles à source composée

Pour la construction de la matrice des dépendances fonctionnelles à source composée, nous prenons à compte toutes les propriétés et tous les identifiants non utilisés dans la matrice des dépendances à source simple.

C'est ainsi que dans le cadre de notre travail, cette matrice n'existe pas car toutes les propriétés ont été déterminées dans la matrice des dépendances fonctionnelles à source simple.

Etape 2. Matrice des clés

La matrice des clés est construite en prenant toutes les propriétés identifiant dans la matrice des dépendances fonctionnelles à source simple, tout en observant l'identifiant qui identifie l'autre. Ainsi nous obtenons la matrice suivante.

Propriétés

DF1

DF2

DF3

DF4

1

Num import

D

 

D

 

2

Cod bureau

D

D

 
 

3

Num manif

G

 
 

D

4

Num quit

 

G

 
 

5

Num camion

 
 
 

D

6

Num cont

 
 

G

 

7

Num bon

 

D

 

G

8

Code agence

D

 

D

 

9

Code banque

D

 
 
 

II.3. MODELE CONCEPTUEL DES TRAITEMENTS

II.3.1. TABLEAU DES ACTIONS INDUITES

C'est un tableau qui nous étal les actions que le récepteur réalisera après avoir reçu les informations. Ce tableau est construit sur base du tableau des événements.

Nom événement

Action induite

Récepteur

Propriétés

1

Documents présentés

Etablir la fiche de contrat

AGENCE

- Fiche de contrat

- Déclaration transmise

- Copie de déclaration transmise

2

Bulletin de liquidation transmis

- Enregistrer bulletin

- Liquider montant

AGENCE

- Quittance de déclaration remise

- Copie quittance

3

Bon à enlever remis

Présenter bon

AGENCE

Marchandise retirée

II.3.2. TABLEAU DES OPERATIONS

Une opération est un ensemble d'actions exécutées pour réagir à un ou plusieurs événements. Une opération peut produire un ou plusieurs résultats.

Nom opération

Action induite

Evénement déclencheur

Propriétés

1

ETABLIR

Etablir la fiche de contrat

Documents présentés

- Fiche de contrat

- Déclaration transmise

- Copie de déclaration transmise

2

ENREGISTRER

- Enregistrer bulletin

- Liquider montant

- Bulletin de liquidation transmis

- Copie de déclaration

- Quittance de déclaration

- Quittance de déclaration remise

- Copie quittance

3

VERIFIER

Présenter bon

- Bon à enlever remis

- Copie quittance

Marchandise retirée

II.3.3. TABLEAU DES SYNCHRONISATIONS

La synchronisation d'une opération définit une condition booléenne sur les événements contributifs devant déclencher une opération. Il s'agit donc des conditions au niveau des événements régies par une condition logique réalisées grâce aux opérateurs : OU, ET, NON.15( *)

De ce fait, pour notre cas nous aurons deux niveaux de synchronisation (S1 et S2) exécutées grâce à notre tableau des opérations faites précédemment.

Nom synchronisation

Opération

Evénements déclencheurs

Synchronisation

1

S1

ENREGISTRER

a : Bulletin de liquidation

b : Copie de déclaration

c : Quittance de déclaration

a, b et c

2

S2

VERIFIER

d : Bon à enlever

e : Copie quittance

d et e

 

* 13 Ibidem, p.19

* 14 Laurent BAELE. Mémoire de licence en sciences informatiques, AZAM/SENEGAL, 2008, Inédit

* 15 Frederic Brouard, op.cit, p.125-126

Arrivée des clients avec leurs contrats à l'agence

II.3.4. MODELE CONCEPTUEL DES TRAITEMENTS PROPREMENT-DIT

Contrat accepté

Contrat

Signature

Pas de signature

Preuve de paiement

Pas de preuve

Signature

Pas de signature

Bon à enlever

Livraison de marchandises

 

II.4. PRINCIPES DE PASSAGE DU NIVEAU CONCEPTUEL VERS LE NIVEAU ORGANISATIONNEL

A. Contenue du Modèle organisationnel

Au niveau conceptuel nous avions expliqué simplement « quoi faire », tandis qu'à ce niveau organisationnel, il nous est opportun de poser les questions suivantes : « qui fait », «quand on le fait » et « comment on le fait », pour arriver à intégré dans ce modèle :

· l'affectation des tâches ;

· la désignation du milieu

· la chronologie d'exécution ;

· le modèle opératoire.

B. Nature de transformation

A partir du Modèle conceptuel des traitements, on formule le choix d'organisation qui se base sur les orientations de l'analyse préalable. Ce choix lorsqu'il est explicite puis détaillé aboutissent à la définition des postes de travail. C'est ainsi qu'à partir de ces postes de travail on construit une procédure.

C. Conséquences sur le modèle

Cette transformation produit 3 conséquences majeures :

· l'ajout d'informations complémentaire : le MOT précise comment la future solution s'insère dans l'organisation ;

· la redéfinition des procédures : chaque opération du MCT se trouve donc subdivisé ici en procédures fonctionnelles (PF). Certains auteurs remplacent « Procédures fonctionnelles » par le terme « phase », le cas de Yves Tabourier ; 19( *)

· l'ajout des éventuels éléments : le MCT retient la notion d'événements significatifs au niveau des principes de gestion. Le passage au niveau organisationnel peut justifier l'ajout des événements supplémentaires imposés par les contraintes d'organisation que nous trouvons.

II.5 MODELE ORGANISATIONNEL DES TRAITEMENTS

II.5.1. GENERALITES SUR LE MODELE ORGANISATIONNEL DES TRAITEMENTS (MOT)

Le Modèle organisationnel des traitements modélise les activités du domaine, compte tenu de l'organisation et des ressources (qui, où, quand, comment). Ainsi, chaque activité (nommée tâche ou phase) est homogène en terme de finalité, degré d'informatisation, poste, instant de réalisation, ressources. Cette exigence conduit naturellement à la décomposition de l'opération (conceptuelle) en de nombreuses tâches (organisationnelles). Il y a de fait, corrélation entre le changement de niveau (du conceptuel à l'organisationnel) et l'accroissement du degré de détail.

Le Modèle organisationnel des traitements (MOT) représente les opérations du MCT sous une forme détaillée, puisque l'organisation interne de l'entreprise est ici prise en compte.

Il décrit ce que font les gens du métier (leurs tâches ou phases) dont certaines sont informatisées.

Durée

Les phases

Comment

Arrivée des clients avec leurs contrats à l'agence

Contrat accepté

Contrat

Pas de signature

Signature

Preuve de paiement

Pas de preuve

Signature

Pas de signature

Livraison de marchandises

AGENCE

AGENCE

(interactif)

Personnel

Papiers

Imprimante

Stylo

PC

 
 

X

X

DOUANE

CLIENT

(Manuel)

Personnel

Stylo

Papier

X

X

AGENCE

interactif)

Personnel

Papiers

Imprimante

Stylo

PC

Diagramme d'enchainement des procédures

L'enchainement des procédures est un concept lié à un échange d'informations liées à l'externalisation de certaines activités.

En effet, lors de notre analyse nous avons trouvé naturellement que les acteurs sont des postes de travail. C'est ainsi que le MOT va donc cerner l'activité de chaque poste de travail (informatique ou non), et chaque service, du type de ressources (manuel, automatisé), du type de support (document écrit, magnétique, etc.)

En outre, précisons que le terme degré d'automatisation traduit l'utilisation des ressources humaines et/ou informatique pour l'exécution de l'activité.

On distingue trois degrés :

Ø Manuel : seule la ressource humaine est mise en oeuvre (même si c'est une activité intellectuelle) ;

Ø Interactive ou conversationnelle : les ressources humaines et informatique sont mobilisées dans le déroulement de l'activité (même de manière alternative dans le courant de l'activité informatique, globalement les 2 sont mobilisées).

Ø Automatique : durant le déroulement de la phase ou tâche seule la ressource informatique est utilisée.

II.6. MODELE LOGIQUE DE DONNEES (MLD)

II.6.1. GENERALITES SUR LE MODELE LOGIQUE DE DONNEES RELATIONNELLES

Le Modèle logique de données consiste à décrire la structure de données utilisées sans faire référence à un langage de programmation. Il s'agit donc de préciser le type de données utilisées lors des traitements.17( *) Le Modèle logique de données reprend le contenu du MCD précédent, mais précise la volumétrie, la structure et l'organisation des données telles qu'elles pourront être implémentées.

Pour parvenir à la transformation du MCD en MLD, il y a des règles de transformation.

II.6.2. REGLES DE TRANSFORMATION DU MCD EN MLD

1. Transformation des entités

· Toute entité doit être représentée par une table ;

· Les identifiants des entités deviennent des clés primaires des tables

2. Transformation des associations hiérarchique (Relation de type 1,n ou CIF)

Dans le cas d'entités reliées par des associations de type (1,n), chaque table possède sa propre clé, mais la clé de l'entité côté (0,n) ou (1,n) migre vers la table côté (0,1) ou (1,1) et devient une clé étrangère (index secondaire).

3. Transformation des associations non hiérarchique 18( *)

· Chaque association hiérarchique devient une table

· Le nom de l'association devient le nom de la table

· Les propriétés de l'association deviennent les rubriques de la table ;

· La clé primaire de cette table (relation) est formée par la concaténation des identifiants des entités qui sont en relation avec l'association.

II.6.3. REPRESENTATION DU MODELE LOGIQUE DE DONNEES RELATIONNELLES MLDR

 
 
 
 
 
 

BON

 

CAMION

 

IMPORTATEUR

 

numbon

 

numcamion

 

numimport

 
 
 
 
 
 
 
 

datebon

 

nomchauf

 

nomimport

 

lieudech

 

marqueveh

 

numtelimp

 

lieudedech

 
 
 
 
 

heurededech

 
 
 
 
 

datededech

 
 
 
 

BANQUE

numcamion#

 
 
 
 

codbanq

nummanif#

 

AGENCE

 
 

nombanq

 
 

codagence

 
 

adresbanq

 
 

nomagence

 
 
 
 
 

adresagence

 
 
 
 
 
 
 
 

BUREAU

QUITTANCE

 
 
 
 

codbureau

numquit

 
 
 
 

nombureau

datequit

 
 
 
 
 

codetaxe

 

CONTRAT

 
 
 

libelletaxe

 

numcont

 
 
 

montantverse

 

datecont

 

MANIFESTE

 

cobureau#

 

dureecont

 

nummanif

 
 
 

montpay

 

dateenreg

 
 
 

numimport#

 

paysprov

 
 
 

codagence #

 

paysdest

 
 
 

typecont

 

montafac

 
 
 
 
 

nbrecolis

 
 
 
 
 

poidsart

 
 
 
 
 

descriptart

 
 
 
 
 
 
 
 

II.6.4. QUANTIFICATION DU MLD

La quantification est une opération qui consiste à une sommation détaillée des attributs d'une relation.

A. Critères de quantification

Les critères prisent en compte pour la quantification sont :

· la taille de propriétés (tout en se référant au dictionnaire des données

· le nombre des tuples

· le nombre de relations (ou tables)

B. Démarche de quantification

Pour chaque table, déterminer la taille occupée par un tuple, sommer les tailles de tous les attributs d'une table.

II.7. MODELE PHYSIQUE DES DONNEES

Le Modèle physique des données s'intéresse à l'optimisation de la gestion des données en fonction de l'outil choisi pour cette gestion et surtout des traitements qui utilisent ces données.

Le Modèle physique de données (MPD) permet de préciser le système de stockage employé, l'objectif du niveau physique est d'aboutir à l'implémentation d'une structure des données appelé base des données sur le support informatique accessible à l'ordinateur.

Ainsi, nous avons :

a. T_ AGENCE

Libellé

Type

Taille du Champ

Codeagence

Nom agence

adressagence

Numérique

Texte

Texte

Entier

255

150

b. T_ BON

Libellé

Type

Taille du Champ

Num bon

Datebon

Lieudech

Lieudech

Datedech

Numcamion

nummanif

Numérique

Dateheure

Texte

Texte

Dateheure

Texte

texte

Entierlong

--------

150

150

----------

150

150

c. T_QUITTANCE

Libellé

Type

Taille du Champ

Numquit

Datequit

Codetaxe

Libelletaxe

Montant verse

codbureau

Numérique

Date heure

Texte

Texte

Texte

numérique

Entierlong

--------

150

150

100

entier

d. T_ CAMION

Libellé

Type

Taille du Champ

Num camion

Nomchauf

marqueveh

Texte

Texte

Texte

150

150

150

e. T_ IMPORTATEUR

Libellé

Type

Taille du Champ

Num import

Nom import

Num import

Numérique

Numérique

numérique

Entier

Entier

entier

f. T_ BANQUE

Libellé

Type

Taille du Champ

Codbanq

Nombanq

adresbanq

Texte

Texte

texte

150

150

150

g. T_ CONTRAT

Libellé

Type

Taille du Champ

Numcont

Datecont

Dureecont

Montpay

Numimport

Codagence

Type cont

Numérique

Date heure

Texte

Texte

Numérique

Numérique

Texte

Entier long

----------

100

100

Entier

Entier

100

h. T_ BUREAU

Libellé

Type

Taille du Champ

Codbureau

Nombureau

Numérique

Texte

Entier

100

i. T_ MANIFESTE

Libellé

Type

Taille du Champ

Num manif

Dateenreg

Paysprov

Paysdest

Montafac

Nbrecolis

Poidsart

Descriptant

Numérique

Dateheure

Texte

Texte

Texte

Numérique

Texte

Texte

Entier

--------

100

100

100

Entier

100

100

A. . Détermination de longueur (Li)

1. Table BUREAU : 5+20 = 25

2. Table CONTRAT : 7+8+8+15+5+12 = 55 caractères

3. Table IMPORTATEUR : 10+20+15 = 43 caractères

4. Table MANIFESTE : 10+8+15+15+15+3+6+20+15+15+15+5+10+5+5+4 = 166 caractères

5. Table AGENCE : 5+15+25 = 45 caractères

6. Table CAMION : 7+15+10 = 32 caractères

7. Table BON : 7+20+20+8+8+7+10 = 80 caractères

8. Table QUITTANCE : 7+8+5+25+15+5 = 65 caractères

9. Table BANQUE : 5+10+25 = 40 caractères

B. . Détermination de nombre de tuple par table

1. Table BUREAU : 4

2. Table CONTRAT : 312 x 3 = 936

3. Table IMPORTATEUR : 312 x 2 = 624

4. Table MANIFESTE : 312 x 3 = 936

5. Table AGENCE : 1

6. Table CAMION : 312 x 2 = 624

7. Table BON : 312 x 2 = 624

8. Table QUITTANCE : 312 x 3 = 936

9. Table BANQUE : 2

C'est ainsi que l'espace en moyenne de notre base de données qui peut être utilisé au cours d'une année (soit 312 jours ouvrable) sera de :25x4+43x936+45x624+162x936+45x1+32x624+80x624+65x936+40x2 = 935913 octets.

* 17 Chris ., Introduction aux bases de données, éd. Thomson International, Paris, 1998, p.10

* 18 NDJUNGU., Cours de Méthodes d'analyse informatique, G2/IG/ISP, 2011-2012, p.22, Inédit

* 19 Yves Tabourier, De l'autre coté de Merise, éd. d'organisation, Paris, 1986, p.20

Chapitre 9 . PROGRAMMATION

IV.1. INTRODUCTION

Cette partie consiste à une implémentation physique d'une structure logique des données en mettant en oeuvre un logiciel appelé Système de Gestion de Base de Données afin d'aboutir à un schéma physique des données qui se réfère au même modèle que celui que nous avons vu précédemment au niveau logique.

IV.2. CHOIX DU LANGAGE

Nous avons utilisé le langage Visual Basic qui a été conçu pour être facile à apprendre et à utiliser. Ce langage permet de créer des applications graphiques de façon simple, mais également de créer des applications véritablement complexes.20( *) Programmer en Visual Basic (VB) est un mélange de plusieurs tâches, comme disposer visuellement les composants et contrôles sur les formulaires, définir les propriétés et les actions associées à des composants, et enfin ajouter du code pour ajouter des fonctionnalités. Le langage Visual Basic permet aussi de créer des exécutables (fichiers.exe). Il dispose également d'une grande bibliothèque d'utilitaires et offre les bases du support de la programmation orientée objet.

Lorsqu'on écrit une application Visual Basic, on crée donc un ensemble objets à partir des classes proposées, et on définit les procédures qui se rapportent à ces objets. Lorsqu'on sauvegarde cette application, Visual Basic va créer un certain nombre des fichiers. Pour l'essentiel

- Un fichier dit Projet comportant l'extension « .vbp ». Ce fichier rassemble les informations générales de votre application.

- Un fichier par objet Form créé, fichier portant l'extension « .frm ». Ce fichier comporte les objets contenus par « Form », ainsi que tout le code des procédures liées à ces objets.

Le VB possède un vérificateur de syntaxe en temps réel. C'est-à-dire que l'éditeur de code détecte les instructions non légitime au fur et à mesure que vous les entrez, et il les signale par un texte mis en rouge, et pour faire bonne mesure, par un message d'erreur21( *).

IV.3. CONFIGURATION DU MATERIEL

1. Choix du matériel

Comme nous l'avons souligné dans l'objectif et niveau de solution que l'agence MBP étant un bureau non informatisé, nous optons pour une solution matérielle simplifiée.

Ainsi donc, nous proposons aux utilisateurs une politique centralisée que nous appelons "Architecture Client/serveur".

En premier lieu, nous avons un serveur de données contenant toutes les données de la base.

En deuxième lieu, nous avons les clients qui sont qui des postes de travail au niveau de bureau répartis dans différents sites accédant ainsi à la à la base selon les droits qui leur sont accordés.

a) Aspect hardware

1. Le serveur de données

· Processeur Intel Celeron M 370, 1,5Ghz 400Mhz FBB, 1Mb L2 cache

· Mémoire vive (RAM) 1GB DDR

· Lecteur CD-ROM, ou DVD-ROM avec graveur

· Disque dur (HDD) 200GB

· Carte réseau 100Mbps

· Carte graphique SGRAM.

 

2. Les postes de travail

· Processeur Intel pentium 4 ; 1,5Ghz

· Disque dur 80Gb

· Carte graphique AGP

· Lecteur CD-ROM, DVD-ROM avec graveur

· Carte réseau 100Mbps

· Ports USB (plus au moins 4)

· Clavier AZERTY

· Souris optique

3. Autres périphériques

· Imprimante HP Laser, Imprimante HP Jet d'encre

· Scanner plat A4, Switch 16 ports

· Modem, Ventilateur

b) Aspect software

1) Système d'exploitation

· Windows Server 2007 pour le serveur , Windows XP Professionnel SP2 pour les postes de travail

2) Les logiciels outils

· Antivirus AVAST 4.8 ,Microsoft Office 2007 , Power DVD 5.0.

· Nero 7.0.

· Adobe 8.0.

3. Langage de programmation

· Visual DBASE

 

* 20 MUNDA J., Cours de Visual Basic Application, G3/IG/ISP, 2012-2013, Inédit

* 21 MUNDA J., op.cit

IV.3. GUIDE DE L'UTILISATEUR

251701760Si on insère le CD contenant le programme, dans ce dernier vous doubles cliquez sur le nom de l'application et cette fenêtre d'accueil s'ouvre

Après avoir double-cliqué sur le nom de l'application c'est la page d'accueil qui va ouvrir cette fenêtre LE MENU GENERAL, si vous cliquez sur le bouton GESTION DES IMPORTATEURS c'est la fenêtre suivante de menu général qui va s'ouvrir :

251702784

 

251703808

Si vous voulez enregistrer un contrat d'un importateur, sur le formulaire ci-haut vous cliquez sur le bouton GESTION DES CONTRATS la fenêtre ci-dessous va s'afficher en terminant l'enregistrement, vous cliquez sur le bouton retour.

251704832

251705856Si vous voulez enregistrer, modifier ou supprimer les informations d'un importateur, vous cliquez sur le bouton GESTION DES IMORTATEURS sur le formulaire GESTION DES IMPORTATEURS, et la fenêtre suivante va apparaitre :

Les formulaires de la mise à jour sur la gestion des importateurs sont :

1. 251706880Ajout

2. Modification

251707904

3. 251708928Suppression

Pour déclarer un contrat, sur le menu principal on clique sur le bouton déclaration des contrats et le formulaire suivant s'affiche :

251709952

Sur le formulaire ci-dessous, nous avons la possibilité d'enregistrer les informations concernant les marchandises importées.

251712000

A ce qui concerne l'impression, nous avons l'impression des « fiches de contrat » et l'impression de TONE qui est la fiche contenant les informations sur les marchandises.

251710976

251713024En fin le dernier bouton du MENU PRINCIPAL est le bouton « QUITTER LE PROGRAMME », là on nous donne la possibilité de fermer l'Application.

Chapitre 10 CONCLUSION GENERALE

Pendant cette période de concurrence où les hommes s'intéressent aux mieux offrants, mettre en place un système informatique dans différents domaines de la vie ; plus particulièrement dans celui des affaires s'avèrent de plus en plus indispensable.

Nous voici au terme de notre travail dont nous avons développé sur la la mise au point d'une application de gestion des contrats des déclarations dans une agence en douane dans le cas pratique de l'entreprise MBP &Cie.

Pour parvenir à réaliser ce travail scientifique, nous nous sommes intéressé principalement à chercher à connaitre quelles sont les difficultés rencontrées dans la gestion des déclarations au sein de cette entreprise, et quels sont les facteurs à la base de ces difficultés en vue de proposer des pistes de solutions d'une administration adéquate à cette altération de gestion.

A partir de ce constat, nous avons formulé l'hypothèse selon laquelle une application informatisée serait d'une grande utilité pour la gestion de cette entreprise dans le titre de la prise de décisions.

En vue de vérifier notre hypothèse et d'atteindre notre objectif, nous avons recouru à la méthode analytique à laquelle nous attachions MERISE qui est une méthode de conception et de développement de système d'information, et avons procédé par la technique d'interview au moyen d'un guide (questionnaire), la technique documentaire ainsi que l'observation.

Hormis l'introduction et la conclusion générale, notre travail est subdivisé en trois (3) chapitres de la manière ci-après :

- Le premier chapitre porte sur l'analyse préalable et a pour objectif la description du système existant ainsi que son analyse ;

- Le deuxième chapitre intitulé Conception du système informatique informatisé vise l'analyse définie du système.

- Et enfin le troisième chapitre nommé Programmation a pour objectif la mise au point proprement dite de l'application.

A la fin de notre analyse, nous avons abouti au résultat d'implémentation d'une structure logique des données en mettant en oeuvre un logiciel appelé Système de Gestion de Base de Données afin de matérialiser la gestion concrète de cette entreprise. Avec ce résultat obtenu, nous pouvons dire dans la mesure du possible que notre hypothèse est confirmée ou affirmée.

Notre souci réel est que les différentes entreprises ayant ce profit trouvent ici un moyen aisé et adéquat pour la gestion de leur contrat de déclaration automatiquement.

Nous sollicitons l'indulgence de nos lecteurs avisés pour toutes les imperfections qu'ils auraient remarquées et osons croire que par leur critique et suggestions nous apprendrons davantage afin d'améliorer de plus.

Chapitre 11 BIBLIOGRAPHIE

1. OUVRAGES

1. Chris J., Introduction aux bases de données, éd. Thomson International, Paris, 1998.

2. Documentation SYDONIA ; Procédure détaillée du traitement des déclarations dans le système douanier, du 15 Février 2009.

3. Fréderic Baechler, Modélisation de données, éd. Dunod, 1999

4. Fréderic Brouard, Petit guide d'analyse des données à l'aide de la méthode MERISE, éd. d'organisation, Paris, 1998

5. Hubert Tardieu, La Méthode Merise-Tome1, Principes et outils, éd. d'organisation, Paris, 1996.

6. René Ledru, Chronique juridique : Loi sur les exportations et importations, ordonnance du 9 juillet 2008, Ed. Thomson Sales Europe

7. Sarton A., La Méthode Merise, éd. d'organisation, Paris, 1998.

2. COURS

1. DJUNGU., Cours de Méthodes d'analyse informatique, G2/IG/ISP, 2011-2012, Inédit

2. TCHUNDOLELA., Cours d'initiation à la recherche scientifique, G2/IG/ISP, 2011-2012, Inédit

3. MUNDA J., Cours de Visual Basic Application, G3/Info/UPL, 2010-2011, Inédit

3. TFC ET MEMOIRES

1. Laurent BAELE. Mémoire de licence en sciences informatiques, AZAM/SENEGAL, 2008, Inédit

4. DICTIONNAIRE

1. Dictionnaire de langue française, Librairie Larousse, Paris, 1994

2. WEBOGRAPHIE

http://www.developpez.com, http ://www.commentcamarche.net, http ://www.wikipedia.org

 

Chapitre 12 Table des matières

INTRODUCTION GENERALE 1

1. GENERALITES - 1 -

2. PROBLEMATIQUE - 1 -

3. HYPOTHESE - 2 -

4. METHODES ET TECHNIQUES - 3 -

4.1. METHODES - 3 -

4.2. TECHNIQUES - 4 -

5. CHOIX ET INTERET DU SUJET - 4 -

5.1. CHOIX DU SUJET - 4 -

5.2. INTERET DU SUJET - 4 -

6. DELIMITATION DU SUJET - 5 -

7. OBJECTIFS ATTENDUS - 6 -

8. SUBDIVISION DU TRAVAIL - 6 -

9. DIFFICULTES RENCONTREES - 6 -

Chapitre 1. ANALYSE PREALABLE - 7 -

I. INTRODUCTION - 7 -

II. PRESENTATION DE L'EXISTANT - 7 -

2.1. APERÇU HISTORIQUE - 7 -

2.2. SIEGE SOCIAL - 8 -

2.3. SITUATION GEOGRAPHIQUE - 8 -

2.4. OBJET SOCIAL - 8 -

2.5. ORGANIGRAMME - 9 -

2.6. DESCRIPTION DES POSTES - 10 -

III. FONCTIONNEMENT DE L'AGENCE - 11 -

3.1. DESCRIPTION TEXTUELLE - 11 -

3.2. TABLEAU DES ACTEURS - 11 -

3.3. GRAPHE DES FLUX - 12 -

4.1. PRESENTATION DES DOCUMENTS - 14 -

V. CRITIQUES ET SUGGESTIONS - 15 -

5.1. POINTS POSITIFS - 15 -

5.2. POINTS NEGATIFS - 15 -

5.3. SUGGESTIONS - 15 -

Chapitre 2 CONCEPTION DU SYSTEME INFORMATIQUE INFORMATISE - 16 -

II.1 INTRODUCTION - 16 -

II.2 MODELE CONCEPTUEL DES DONNEES - 16 -

II.6. MODELE LOGIQUE DE DONNEES (MLD) - 30 -

II.6.1. GENERALITES SUR LE MODELE LOGIQUE DE DONNEES RELATIONNELLES - 30 -

II.6.2. REGLES DE TRANSFORMATION DU MCD EN MLD - 30 -

II.7. MODELE PHYSIQUE DES DONNEES - 32 -

Chapitre 3 . PROGRAMMATION - 37 -

IV.1. INTRODUCTION - 37 -

IV.2. CHOIX DU LANGAGE - 37 -

IV.3. CONFIGURATION DU MATERIEL - 38 -

1. Le serveur de données - 38 -

2. Les postes de travail - 38 -

3. Autres périphériques - 39 -

3. Langage de programmation - 39 -

IV.3. GUIDE DE L'UTILISATEUR - 40 -

Si on insère le CD contenant le programme, dans ce dernier vous doubles cliquez sur le nom de l'application et cette fenêtre d'accueil s'ouvre - 40 -

BIBLIOGRAPHIE - 47 -

1. OUVRAGES - 47 -

2. COURS - 47 -

3. TFC ET MEMOIRES - 47 -

4. DICTIONNAIRE - 47 -

2. WEBOGRAPHIE - 47 -

Table des matières - 48 -

 





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"Ceux qui vivent sont ceux qui luttent"   Victor Hugo