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Diagnostique communautaire et mode de communication.

( Télécharger le fichier original )
par Emile NTUMBA KABONGO
Ecole de santé publique de Lubumbashi RDC - Licence 2011
  

Disponible en mode multipage

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    DIAGNOSTIC COMMUNAUTAIRE DU QUARTIER IV DE LA COMMUNE RUASHI DANS LA VILLE DE LUBUMBASHI ET LES MOYENS DE COMMUNICATION POUR LA RESOLUTION DE DIFFERENT PROBLEME.

    Par : NTUMBA KABONGO Emile

    TSHIBANGU KABAMBA Nico Grace KASANGULE MELEKI

    KABANGO TSHIKALA Jacques

    KISANSWE MUTUALE Felix

    Etudiant de l'Ecole de santé de l'université de lubumbashi /RDC

    INTRODUCTION

    En vue de confronter la théorie à la pratique, nous avons effectuer une descente sur terrain dans le cadre du cours d' éducation sanitaire pour poser un diagnostic communautaire au quartier IV de la commune RUASHI pour voire dans quelle mesure proposer une piste qui aidera a palier aux différents problèmes de santé aux quels est buté la population de cette partie de la ville

    2- ETAT DE LA QUESTION

    Le diagnostic communautaire s'appuie sur :

    *la découverte de la structure.

    Le plan des locaux, la place de la structure dans sons environnement géographique sont repérés ainsi que le personnel qui y travail, l'organigramme, le nombre, les qualifications, les horaires, l'organisation du travail, le mode d'accueil de la population.

    *sur une approche anthropologique :

    Cela consiste à observer la population dans sont milieu de vie, découvrir ce que savent les gens, mobiliser leurs ressources, les coutumes, les savoir-faire, façon de faire, les savoirs de leur culture, de leur tradition, les croyances et représentations symboliques seront identifiés. C'est aussi découvrir les ressources économiques, sociales, les associations auxquelles ils appartiennent. Afin de déterminer quels sont les besoins prioritaires, avec la population mais en fonction des données épidémiologiques et les priorités de santé. « Une autre classification prend en compte autant leur nature : par exemple les besoins sanitaires, affectifs, sociaux, éducatifs... que les aspects biologiques et psychosociaux sont indissociables » www.santécommunautaire.com

    Le besoin de santé peut se définir comme l'écart entre la situation actuelle et la situation désirée. Le besoin non satisfait constitue un problème de santé. Celui-ci doit prendre en considération les déterminants (personnalité, étapes de vie, classe socio-économique, ...), les représentations tant des usagers (représentation de la santé et de maladie, sentiment de droit et de responsabilité) que des professionnels (modèle biomédical/global).

    Dr KIYOMBO (Mbela) et al (2002) : ont analysé le système de communication des populations dans une étude de base sur les comportements de la population rurale face à la diarrhée dans deux zones de santé en République démocratique du Congo. Cette étude dont l'objectif est d'élaborer une stratégie de communication pour le changement de comportement en matière d'hygiène domestique s'est déroulée dans un contexte de persistance de la diarrhée chez les enfants de moins de cinq (5) ans en dépit des efforts combien nombreux consentis par le Projet SANRU III pour le financement des infrastructures d'eau et d'assainissement visant à l'amélioration de la santé rurale par la réduction de la morbidité et la mortalité dues à la diarrhée sur ménages et système de santé en terme de perte de ressources, à la précarité des condition d'hygiène domestique et aux comportements inadéquats des populations rurale ayant bénéficiées des infrastructures réalisées par le Projet SANRU III qu'un collectif d'auteurs dirigé par le Dr kiyombo Mbela s'est interrogé sur la stratégie appropriée pour promouvoir l'hygiène domestique présentée comme cause de la persistance de la diarrhée. En formulant l'hypothèse qu'il existe des facteurs, aussi bien internes qu'externes liés au changement de comportement d'une personne capable de bloquer ou de favoriser l'émergence de comportements hygiéniques chez les populations, ces auteurs ont exploré les domaines clés de domestique en rapport avec la diarrhée à savoir le lavage de mains, l'évacuation des excréta et la gestion de l'eau de boisson chez les mères, les infirmiers, les médecins, les chefs coutumiers et religieux. Les résultats de cette recherche basée sur des entretiens, des focus group et l'observation directe révèlent que les mères tout comme les infirmiers sont sensibilisées sur l'hygiène et ses relations avec la diarrhée mais au niveau de connaissance faible en rapport avec le lavage des mains, la gestion de l'eau et des excréta. Mieux les infirmiers connaissent la nécessité de cette hygiène, mais ne savent pas tous le moment critique de lavage de mains. Par ailleurs, ces auteurs remarquent que les différents comportements sont supportés par des croyances défavorables et l'insuffisance des équipements. De plus, cette étude révèle de la diversité des sources d'information chez les populations observées. La communication interpersonnelle est privilégiée et se réalise par le biais du contact physique dans de santé, à domicile et dans les lieux de culte (église, mosquée, temple etc).

    3-PROBLEMATIQUE

    Diagnostiquer différents problèmes de la communication afin proposé un type de communication visant à résoudre ces différents problèmes de santé dans cette communauté.

    4-OBJECTIFS

    Ø OBJECTIF GENERAL :

    Poser un diagnostic communautaire du problème sanitaire retrouvé dans le quartier IV à la RUASHI.

    Ø OBJECTIFS SPECIFIQUE : - Déterminer les types de problèmes que subit la population du quartier IV.

    - Déterminer les types de communication pouvant aide à résoudre ces problèmes.

    - Proposer quelles que pistes de solutions pouvant aide à améliorer les conditions sanitaires de la population de cette contré.

    5- DELIMITATION TEMPORO-SPATIAL

    Le quartier IV de la commune RUASHI nous a servis de cadre pour nos investigations et cela du 17 MAIS 2011 au 21MAIS 2011.

    6- LES APPROCHES METHODOLOGIQUES

    Situation géographique

    Le quartier IV est l'un de petit quartier se trouvant dans la commune de la RUASHI, il est situé non loin des arrêts bus en diagonale de la borne fontaine de RUASHI mining, il fait limite aux quartiers suivants :

    - A l'EST par le quartier VI

    - A l'OUEST par le quartier II

    - AU nord par le quartier III

    - AU sud par le quartier V

    Matériels et méthode

    - Types d'étude

    Il s'agit d'une étude d'observation du type descriptive et prospective avec comme population d'étude les habitants du quartier IV.

    - Population d'étude et critère d'inclusion

    Pour qu'un ménage soit inclus dans notre étude il doit présenter les caractéristiques suivantes :

    *Etre habitant de la commune RUASHI, il doit

    *Appartenir dans le quartier IV

    - Méthode d'échantillonnage

    Vu le nombre total des ménages du quartier IV, il nous a été difficile de faire un échantillonnage ; nous avons fait une méthode exhaustive sur 99 ménages durant notre période d'enquête.

    - Technique de collecte des données

    La collecte de données a été rendu possible par des techniques suivantes :

    *interviews structurée basé sur un questionnaire qui nous a permis de récoltés les informations d'une manière systématique.

    I.REPARTITION SELON LE SEXE DES INTERVIEWES

    Ce tableau nous montre que les femmes ont été les plus interviewées et représentent 58 cas soit 58,6% et les 41 cas les hommes soit 41 ,4%

    SEXE

    Fréquence

    Percent

    Cum Percent

    FEMININ

    58

    58,6%

    58,6%

    MASCULIN

    41

    41,4%

    100,0%

    Total

    99

    100,0%

    100,0%


    II.REPARTITION SELON LE STATUT DE L'INTERVIEWE

    . Dans ce tableau, nous avons 53 cas soit 53,5% qui représentent les épouses des ménages et 17 cas soit 17,2% qui les filles de chef de ménage

    STATUT

    Fréquence

    Percent

    Cum Percent

    AUTRE

    14

    14,1%

    14,1%

    EPOUSE

    53

    53,5%

    67,5%

    FILLE

    17

    17,2%

    84,7%

    FILS

    15

    15,2%

    100,0%

    Total

    99

    100,0%

    100,0%


    III.REPARTION SELON LE NIVEAU D'ETUDE DE L'INTERVIWE

    Selon ce tableau par rapport au niveau d'étude, nous avons 46,5% soit 46 cas qui ont fait des études secondaires et 24 cas soit 24,2% des universitaires

    NIVEAU D'ETUDE

    Fréquence

    Percent

    Cum Percent

    POST UNIVERSITAIRE

    9

    9,1%

    9,1%

    PRIMAIRE

    20

    20,2%

    29,3%

    SECONDAIRE

    46

    46,5%

    75,8%

    UNIVERSITAIRE

    24

    24,2%

    100,0%

    Total

    99

    100,0%

    100,0%



    IV.REPARTITION SELON LA PROFESSION DU CHEF DE MENAGE

    Ce tableau nous montre que 41 cas soit 41,4% sont des libéraux et 29 cas soit 29,3% sont miniers

    PROFESSION:

    Fréquence

    Percent

    Cum Percent

    ELECTRICIEN

    5

    5,1%

    5,1%

    INFIRMIER

    2

    2%

    7,1%

    LIBERALE

    57

    57,5%

    64,6%

    MEDECIN

    2

    2%

    66,6%

    MENAGER

    1

    1%

    67,6%

    MILITAIRE

    1

    1%

    68,6%

    MINIER

    29

    29,3%

    97,9%

    REGIDESO

    1

    1,1%

    100,0%

    Total

    99

    100,0%

    100,0%


    V.REPARTITION SELON LE STATUT PAR RAPPORT AU LOGEMENT

    Selon ce tableau 64cas soit 64,6% sont de locataires et 35cas soit 35,4% sont propriétaires

    STATUT PAR RAPPORT AU LOGEMENT

    Fréquence

    Percent

    Cum Percent

    LOCATAIRE

    64

    64,6%

    64,6%

    PROPRIETERE

    35

    35,4%

    100,0%

    Total

    99

    100,0%

    100,0%


    VI.REPARTITION PAR RAPPORT AU STATUT MATRIMONIALE

    Dans ce tableau, les mariés prennent la première place avec 78 cas soit 78,8% suivis des célibataires avec 17cas sois 17,2%.

    STATUT MATRIMOLIALE

    Fréquence

    Percent

    Cum Percent

    CELIBATAIRE

    17

    17,2%

    17,2%

    MARIE

    78

    78,8%

    96%

    VEUF

    4

    4%

    100,0%

    Total

    36

    100,0%

    100,0%



    VII.REPARTITION SELON LE NOMBRE DES PIECES OCCUPEES

    Nous trouvons dans ce tableau que les familles occupants 4 pièces sont majoritaires avec 43 cas soit 43,4%, suivie de celles occupant 3 pièces avec 30 cas soit 30,3%.

    NOMBRE DES PIECES

    Fréquence

    Percent

    Cum Percent

    1

    4

    4%

    4%

    2

    12

    12,1%

    16,1%

    3

    30

    30 ; 3%

    46,4%

    4

    43

    43,4%

    89,8%

    5

    2

    2%

    91,8%

    6

    5

    5,1%

    96,9%

    7

    1

    1%

    95,9%

    8

    2

    2%

    100,0%

    Total

    99

    100,0%

    100,0%



    VIII.REPARTITION SELON LE NOMBRE D'OCCUPANTS

    Ce tableau nous montre que les ménages ayant 3occupants prennent le dessus avec 18cas soit 18,2% puis vient ceux ayant 7 occupant avec 16 cas soit 16,2%.

    NOMBRE D'OCCUPANTS

    Fréquence

    Percent

    Cum Percent

    1

    6

    6,1%

    6.1%

    2

    14

    14,1%

    20,2%

    3

    18

    18,2%

    38,4%

    4

    4

    4%

    42,4%

    5

    8

    8,1%

    50,5%

    6

    15

    15,2%

    65,7%

    7

    16

    16,2%

    81,9%

    8

    11

    11,1%

    93%

    9

    1

    1%

    94%

    10

    2

    2%

    96%

    11

    2

    2%

    98%

    18

    2

    2%

    100,0%

    Total

    99

    100,0%

    100,0%



    IX.REPARTITION SELON LA CONNAISSANCE DE PRATIQUE OU COMPORTEMENT DANGEREUX AU SEIN DE L'HABITAT

    Nous trouvons dans ce tableau que les personnes une connaissance sur les pratiques dangereuses pour la santé sont en premiers position avec 67cas soit 67,7% suivi de celles ne connaissant pas avec 32cas soit 32,3%.

    CONNAISSANCE DES PRATIQUES DANGEREUSES

    Fréquence

    Percent

    Cum Percent

    OUI

    67

    67,7%

    67,7%

    N0N

    32

    32,3%

    100,0%

    Total

    99

    100,0%

    100,0%



    X.REPARTITON SELON LES REPONSES FACE AUX PRATIQUES DANGEREUSES

    Ce tableau nous montre que la réponse sur les immondices représente une grande partie avec 18cas soit 18 ,2% et celle des eaux usées et insalubrité avec 17cas soit 17,2%.

    PRATIQUES DANGEREUSES

    Fréquence

    Percent

    Cum Percent

    DECHARGE NON CONTROLE

    15

    15,6%

    15,7%

    DECHARGE NON CONTROLE DES EAU USEES

    1

    1%

    16,7%

    EAU USEE, INSALUBRITE

    17

    17,2%

    33,9%

    LES IMMONDISES

    18

    18,2%

    52,1%

    L'INSALUBRITE

    15

    15,6%

    67,7%

    MALARIA

    5

    5,1%

    72,8%

    MANQUE DE COUPAGE D'HERBES, LES FOSSE SEPTIQUE

    6

    6,1%

    78,9%

    Total

    77

    100,0%

    100,0%


    XI.REPARTITION SELON LES REPONSES SUR LES CONSEQUENCES DE L'INSALUBRITE
    La malaria est la plus répandue en ce qui concerne les conséquences avec78cas soit 78 ,8% suivi de 11 cas soit 11,1% des maladies diarrhéiques.

    CONSEQUENCES DE L'INSALUBRITE

    Fréquence

    Percent

    Cum Percent

    les maladies diarrhéiques

    11

    11,1%

    11,1%

    Malaria

    78

    78,8%

    89,9%

    verminose intestinale

    3

    3%

    92,9%

    Ira

    1

    1%

    93,9%

    Total

    93

    100,0%

    100,0%


    XII. REPARTITION SELON LA DISTANCE D'APPOVISIONNEMENT EN EAU POTABLE

    Dans ce tableau nous montre que la distance à parcourir est de moins de 15minutes de marche avec comme effectif 64 cas soit 64,6% et 30cas soit 30,4% a plus 15 minute de marche.

    DISTANCE 

    Fréquence

    Percent

    Cum Percent

    A MOINS DE 15MINUTES DE MARCHE

    64

    64,6%

    64,6%

    A PLUS DE 15MINUTES

    30

    30,4%

    100,0%

    Total

    94

    100,0%

    100,0%


    XIII.REPARTITION SELON LA MENACE DE LA SANTE PAR RAPPORT A LA QUALITE DE LOGEMENT

    Ce tableau témoigne que les personnes estimant la santé de leurs ménages menacées prennent le dessus avec 74 cas soit 74,4% suivi de celles sans estimation avec 25 cas soit 25,3%.

    MENACE

    Fréquence

    Percent

    Cum Percent

    OUI

    74

    74,4%

    74,4%

    N0N

    25

    25,3%

    100,0%

    Total

    99

    100,0%

    100,0%

    XIV.REPARTITION SELON L'INSUFFISSANCE D'ESPACE DANS LA MAISONS SUITE AU SURPEUPLEMENT

    Ce tableau monte que 83 personnes soit 83,8% acceptent de vivre dans ces conditions, 8 cas soit 8,1% trouvent d'autre solutions.

    DIMUNITION D'ESPACE DANS LA MAISON

    Fréquence

    Percent

    Cum Percent

    A) ACCEPTE DE VIVRE DANS CES CONDITIONS

    83

    83,8%

    83,8%

    B) SOLLICITER LA PLACE CHEZ LES VOISINS

    5

    5,1%

    88,9%

    C) REFUSER DE RECEVOIRE LES VISITEURS

    3

    3%

    91,9%

    D) AUTRE

    8

    8,1%

    100,0%

    Total

    99

    100,0%

    100,0%


    XV.REPARTITION SELON LES REPONSES EN CAS DE CHANGEMENT DE LA QUALITE D'EAU

    Dans ce tableau, 67 cas soit 67,7% proposent le traitement au chlore et suivi de ceux s'approvisionnant ailleurs avec 14 cas soit 14,1%

    EN CAS DE CHANGEMENT DE LA QUALITE DE L'EAU

    Fréquence

    Percent

    Cum Percent

    NOUS LA BOUILLONS

    9

    9,1%

    9,1%

    NOUS LA TRAITONS AU CHLORE

    67

    67,7%

    76,8%

    NOUS NOUS APPROVISSIONNONS AILLEURS

    14

    14,1%

    90,9%

    NOUS LA PRENONS COMME çà

    9

    9,1%

    100,0%

    Total

    99

    100,0%

    100,0%


    XVI.REPARTITION SELON LE MODE D'APPROVISIONNEMENT D'EAU EN CAS DE COUPURE

    Dans ce tableau 77 personnes soit 77,8% recourt a l'eau de robinet des quartiers voisins et 18cas soit 18,2% recourt a l'eau de puits.


    EN CAS D'INTERRUPTION D'EAU

    Fréquence

    Percent

    Cum Percent

    RECOURT A L'EAU DES PUITS

    18

    18,2%

    18,2%

    RECOURTA L'EAU DES ROBINET DES QUARTIERS VOISINS

    77

    77,8%

    96%

    AUTRE

    4

    4%

    100,0%

    Total

    99

    100,0%

    100,0%


    XVII.REPARTITION SELON LA REACTION DEVANT UNE FLAQUE D'EAU

    Dans ce tableau nous voyons que 52 cas soit 52,5% disent que c'est mieux de jeter dans le canal le long de la route et 28 cas soit 28,3% disent évacuer les eaux usées vers la canalisation approprié.

    REACTIONS DEVANT UNE FLAQUE D'EAU

    Fréquence

    Percent

    Cum Percent

    C'EST NORMAL

    11

    11,1%

    11,1%

    IL FAUT LES JETER SUR LA ROUTE

    8

    8,1%

    19,2%

    C'EST MIEUX DE JETER DANS LE CANAL LE LONG DE LA ROUTE

    52

    52,5%

    71,7%

    EVACUER LES EAUX USEE VERS LA CANALISATION

    28

    28,3%

    100,0%

    Total

    99

    100,0%

    100,0%

    XVIII.REPARTITION SELON LA REACTION EN CAS D'UNE POUBELLE SANS COUVERCLE

    Dans ce tableau 66 personnes soit 66,7% condamne cette situation car cela risque d'engendrer des graves maladies dans le ménage 25 cas soit 25,3% détestent cela a cause des odeurs et des mouches qui en découlent.

    REACTION QUANT LA POUBELLE EST SANS COUVERCLE

    Fréquence

    Percent

    Cum Percent

    JE CONDANNE CETTE SITUATION CAR CELA RISQUE D'ENGENDRE LES MALADIES GRAVES DANS LE MENAGE

    66

    66,7%

    66,7%

    JE DESTE CA A CAUSE DES ORDEURS ET DES MOUCHES QUI DECOULENT

    25

    25,3%

    92%

    CELA NE ME FAIT RIEN, CAR LE NEGRE NE MEURT JAMAIS UITE AUX MICROBES

    6

    6%

    98%

    AUTRE

    2

    2%

    100,0%

    Total

    99

    100,0%

    100,0%


    XIX.REPARTITION SELON LE MODE DE VIDANGE DES FAUSSES SEPTIQUES

    Ici on nous montre que 77,8% des cas trouvent que cette pratique est dangereuse pour la santé de tout le monde dans le quartier et dans la communauté toute entière et 15,2% des personnes trouvent qu'il n'y a pas de mal à le faire mais gènes par les odeurs nauséabondes.

    REACTION SUR LE MODE DE VIDANGE DES FAUSSES SEPTIQUES

    Fréquence

    Percent

    Cum Percent

    C'EST DANGEREUX POUR LA SANTE DE TOUT LE MONDE AU QUARTIER ET DANS LA COMMUNE

    77

    77,8%

    77,8%

    C'EST UNE HABITUDE NOUS ET C'EST LE SEUL MOYEN DISPNIBLE QUI EST LE MOIN S COUTEUX

    7

    7,1%

    84,9%

    IL N'YA PAS DE MAL A LE FAIRE, MAIS NOUS SOMMES GENES PAR LES ORDEURS NAUSEABONDES

    15

    15,2%

    100,0%

    Total

    99

    100,0%

    100,0%



    XX.REPARTITION SELON LA PERCEPTION D'UN LOGEMENT A 2 PIECES DONT LA TOITURE SUINTE

    Nous constatons que 76 personnes soit 76 ,8% jugent dangereux pour la santé et 11 personnes soit 11,1% réplique de trouver d'abord de solution pour les moustiques qui causent la malaria.

    LOGEMENT FAIT DE 2 PIECES DONT LA TOIITRE SUINTE, OU IL Y A DES RATS, DES BLATTES, DES MOUSTIIQUES

    Fréquence

    Percent

    Cum Percent

    C'EST UNE SITUATION NORMALE POUR NOTRE PAYS, JE NE PAS SAIS RIEN FAIRE D'AUTRE

    6

    6,1%

    6,1%

    TROUVONS RETROUVENT D'ABORD DES SOLUTIONS POUR LES MOUSTIQUES QUI CAUSERENT LA MALARIA

    11

    11,1%

    17,2%

    C'EST UN LOGEMENT NON SUR ET DANGEREUX POUR LA SANTE

    76

    76,8%

    96%

    AUTRE

    4

    4%

    100,0%

    Total

    99

    100,0%

    100,0%



    XXI.REPARTITION SELON LA REACTION EN CAS DE DISPERSION DES EXCRETATS DANS LE WC

    Ici nous constatons que 56 personnes soit 56,6% sensibilise pour qu'on nettoie alors que 20 personnes disent qu'il faut nettoyer et désinfecter.

    QU'ADVIENT-IL S'IL VOUS ARRIVE DE TROUVER DES EXECRETAS DISPERSES DANS LE WC DE CHEZ VOUS

    Fréquence

    Percent

    Cum Percent

    JE NE DIRAI RIEN, C'EST SOUVENT ça QUAND ON LOGE NOMBREUX DANS LA PARCELLE

    13

    13.1%

    13,1%

    TOUTE L'HABITATION EST DEVENUMALSAINE IL FAUT NETTOYER, DESINFECTE, ET SENSIBILISER

    20

    20,2%

    33,3%

    JE VAIS SENSIBILISER POUR QUE L'ON NETTOIE DES QU'IL YA DE L'EAU

    56

    56,6%

    89,9%

    AUTRE

    10

    10,1%

    100,0%

    Total

    99

    100,0%

    100,0%



    XXIII.REPARTITION SELON LA REACTION DE FAIRE LA CUISINE OU DE LAISSER QUELQU'UN FUMER LE TABAC A L'INTERIEURE DE LA MAISON


    75 ménages soit 75,8% ont réagit négativement à cela et 24 soit 24,2% réagissent positivement.

    REACTION DE FAIRE LA CUISINE OU DE LAISSER QUELQU'UN FUMER LE TABAC A L'INTERIEURE DE LA MAISON

    Fréquence

    Percent

    Cum Percent

    OUI

    24

    24,2%

    24,2%

    N0N

    75

    75,8%

    100,0%

    Total

    99

    100,0%

    100,0%


    XXIV.REPARTITION SELON LA CONNAISSANCE DES DANGERS LIES A LA PRATIQUE DE CUISINER OU DE FUMER DANS LA MAISON

    Le tableau ci-dessous nous fait voir que 35 ménage disent qu'il n'est pas bien de fumer en présence des non fumeurs et 20 autres trouvent que c'est dangereux pour la santé.

    CONNAISSANCE DES DANGERS

    Fréquence

    Percent

    Cum Percent

    C'EST DANGEREUX POUR LA SANTE DU MENAGE

    20

    26,7%

    26,6%

    CE N'EST PAS BIEN DE FUMER EN PRESENCE DE NON FUMEURS

    35

    46,7%

    73,4%

    PAR HABITUDE

    14

    18,6%

    92%

    LE BRASER ENIVRE LES GENS

    6

    8%

    100,0%

    Total

    99

    100,0%

    100,0%


    XXV.REPARTITION SELON LE MODE D'ENTRETIENT DE LA MAISON

    Le tableau ci présent prouve que 86 ménages soit 86,9% ont répondus par le nettoyage à l'eau des locaux chaque jour et 12 autres soit 12 ,1% par le balayage des locaux

    COMMENT RANDEVOUS VOTRE MAISON PROPRE ?

    Fréquence

    Percent

    Cum Percent

    NETTOYER LE TAPIS CHAQUE FOIX QU'IL EST SALE OU POUSSIEREUX

    1

    1%

    1%

    BALAYER LES LOCAUX CHAQUE JOUR

    12

    12,1%

    13,1%

    TORCHONNER TOUT LES LOCAUX CHAQUE JOUR

    86

    86,9%

    100,0%

    Total

    99

    100,0%

    100,0%

    XXVI.REPARTITION SELON LA PRATIQUE DE LAVAGE DES MAINS

    Il convient de signaler que 73 personnes soit 73,7% n'ont pas l'habitude de se laver les mains après avoir été aux toilettes où avant de manipuler toute aliment et 26 ont cette habitude.

    PRATIQUE DE LAVAGE DES MAINS AU SAVON IMMEDIATEMENT APRES AVOIRE ETE AUX TOILLETES, AVANT TOUTE MANIPULATION DES ALIMENTS

    Fréquence

    Percent

    Cum Percent

    OUI

    26

    26,3%

    26,3%

    NON

    73

    73,7%

    100,0%

    Total

    99

    100,0%

    100,0%

    XXVII.REPARTITION SELON LA NON APPLICATION DU LAVAGE DES MAINS

    66 ménages sur 73 ne pratiquent pas cette méthode suite à l'habitude et 6 autres ne les font pas par manque d'eau.

    POURQUOI NE PAS SE LAVER LES MAINS

    Fréquence

    Percent

    Cum Percent

    PAR HABITUDE

    66

    90,4%

    90,4%

    PAR MANQUE D'EAU COURANT

    6

    8,2%

    98,6%

    AUTRE

    1

    1%

    100,0%

    Total

    73

    100,0%

    100,0%



    XXVIII.REPARTITION SELON LE MODE D'AERATION ET ECLERAGE NATUREL DES LOCAUX

    Selon ce tableau la majorité de personnes ouvrent chaque matin les fenêtres avec 91 cas soit 91 ,9% et les autres, la parte avec 8 cas soit 9,1%.


    MODE D'AERATION ET D'ECLERAGE DES LOCAUX

    Fréquence

    Percent

    Cum Percent

    NOUS OUVRONS LES FENETRES

    91

    91,9%

    91,9%

    NOUS N'OUVRONS QUE LA PORTE

    8

    8,1%

    100,0%

    Total

    99

    100,0%

    100,0%



    XXIX.REPARTITION SELON LA REACTION SUR LE DRAINAGE DES CANIVAUX

    Le débouchage à l'écoulement effectué par le locataire domine avec 26 cas soit 26,5% et suivi de celui du bailleur avec 8 soit 8,1%.


    SI LE LONG DE L'AVENUE LE CANIVEAU DRAINANT LES EAUX USEES DES MENAGES EST BOUCHE DEVANT VOTRE PARCELLE ET REFLUX S'INSTALLENT

    Fréquence

    Percent

    Cum Percent

    JE DEBOUCHE POUR FACILITER L'ECOULEMENT

    26

    26,3%

    26,3%

    C'EST LA TACHE DU BAILLEUR

    8

    8,1%

    34,4%

    D'HABITUDE NOUS JETONS LES AUTRES DECHETS

    1

    1%

    35,4%

    JE NE FAIS RIEN, C'EST L'ETAT QUI S'EN CHARGE

    64

    64,6%

    100,0%

    Total

    99

    100,0%

    100,0%



    XXX.REPARTITION SELON LES MOYENS DE LUTTE CONTRE LES ANIMAUX NUISIBLES A LA SANTE


    Le poison contre les rats à une forte proportion avec 37 cas soit 37,4% et suivi de l'utilisation des moustiquaires avec 35 cas soit 35,6%.

    POUR LUTTE CONTRE LES INSECTES ET ANIMAUX NUISSIBLES A LA SANTE QUE L'ON PEUT RETROUVER DANS VOTRE MAISON, QUE FAITES-VOUS

    Fréquence

    Percent

    Cum Percent

    EVITER TOUTE SORTE D'ENCOMBREMENT, L'HUMIDITE, INITIER LES STRATEGIES DE LUTTE CONTRE LES VECTEURS

    9

    9,1%

    9,1%

    INSECTICIDE

    18

    18,2%

    27,3%

    MOUSTIQUAIRE

    35

    35,6%

    62,9%

    POISON CONTRE LES RATS

    37

    37,4%

    100,0%

    Total

    99

    100,0%

    100,0%


    XXXI.REPARTITION SELON L'ENDROIT DU BAIN

    Ici dans ce tableau 75,7% des réponses soit 75 ménages utilisent les WC et 15ménages soit 15% autre endroit de bain.


    VOUS PRENEZ VOTRE BAIN A PARTIR D'OU

    Fréquence

    Percent

    Cum Percent

    AUTRE

    15

    15,0%

    15,0%

    CHEZ LE VOISIN

    7

    7,0%

    22,0%

    DANS LE WC

    75

    75,7%

    97,7%

    EN CHAMBRE

    2

    2,3%

    100,0%

    Total

    99

    100,0%

    100,0%


    XXXII.REPARTITION SELON LE LOGEMENT DES ANIMAUX DOMESTIQUES

    Dans ce tableau 57 familles soit 57,7% logent les animaux domestiques dans leur maison et 22 familles soit 22,2% ne logent pas dans la maison.

    OU LOGENT VOS ANIMAUX DOMESIQUES ET VOLAILLES

    Fréquence

    Percent

    Cum Percent

    A L'INTERIEUR DE LA MAISON

    57

    57,7%

    57,7%

    AILLEURS

    20

    20,2%

    77,9%

    NOUS N'EN AVONS PAS

    22

    22,2%

    100,0%

    Total

    99

    100,0%

    100,0%


    XXXIV. REPARTITION SELON LES CONSEQUENCES DE L'UTILISATION DES MAISON

    27 familles soit 47,3% disent éviter le vol et 18 famille disent c'est par habitude.

    SI DANS LA MAISON POURQUOI

    Fréquence

    Percent

    Cum Percent

    EVITEMENT DU VOL

    27

    47,3%

    47,3%

    HABITUDE

    18

    31,5%

    78,8%

    IGNORANCE

    4

    7,0%

    85,8%

    MANQUE D'ESPACE

    8

    24,2%

    100,0%

    Total

    57

    100,0%

    100,0%


    XXXV.REPARTITON SELON L'EXISTANCE D'UNE COMITE D'ASSAINISSEMENT ET D'HYGIENE

    Dans ce tableau nous trouvons que 62 cas soit 62,9% ont donnés une réponse négative et 47autes soit 47,1% ont donnés une réponse positive

    EXISTENT-ILS UN COMIE OPERATIONNEL CHARGE DE L'ASSAINISSEMENT ET DU SUIVI DE

    L'APPLICATION DES NORMES D'HYGIENE AU SEIN DE VOTRE QUARTIER

    Fréquence

    Percent

    Cum Percent

    OUI

    37

    47,1%

    47,1%

    NON

    62

    62,9%

    100,0%

    Total

    99

    100,0%

    100,0%


    XXXVI.REPARTITION SELON LA COMMUNICATION PAR RAPPORT A L'INSALUBRITE

    71 ménages soit 71,7% ont donnés une réponse négative et 28 ménages soit 28,3% ont répondu positivement.


    EXISTENT-ILS DES MESSAGES VERBAUX OU ECRITS (DEPLIANTS, AFFICHES,...) SUR DES NORMES DE SALUBRITE DE L'HABITAT VULGARISEE PAR LA COMMUNE

    Fréquence

    Percent

    Cum Percent

    OUI

    28

    28,3%

    28,3%

    NON

    71

    71,7%

    100,0%

    Total

    99

    100,0%

    100,0%


    XXXVII. REPARTITION SELON LA NUISSANCE SONORE

    Ce tableau montre que 84 ménages affirment ne pas être gêné par les bruits soit 84,8% et 15 soit 15,2% disent être gêner par les bruits.

    ETES-VOUS GENE PAR DES BRUITS AU QUARTIER

    Fréquence

    Percent

    Cum Percent

    OUI

    15

    15,2%

    15,2%

    NON

    84

    84,8%

    100,0%

    Total

    99

    100,0%

    100,0%


    XXXVIII.REPARTITON SELON LES MOYENS DE PROTECTION CO NTRE LES BRUITS

    Ce tableau montre que 10 ménages soit 66,7% sont habitués et 2 ménages soit 13,3% par autres moyens.

    SI OUI COMMENT VOUS VOUS EN PROTEGEZ

    Fréquence

    Percent

    Cum Percent

    AUTRE

    2

    13,3%

    13,3%

    HABITUDE

    10

    66,7%

    80,0%

    JE M'EN FERME

    2

    13,3%

    93,3%

    RETOUR TARDIF

    1

    6,7%

    100,0%

    Total

    15

    100,0%

    100,0%



    DISCUSSION ET COMMENTAIRE

    En élaborant ce travail, notre objectif était de poser un diagnostic communautaire du quartier IV dans la commune de la RUASHI et d'évaluer le type de communication pour lutter contre les différents problèmes identifiés. Apres investigations nous avons aboutit aux résultats suivants :

    - La plupart ou la majorité des interviewés était des femmes avec 58,6% ceci s'expliquerait par le fait que les femmes sont les plus permanentes dans les foyers, les époux étant au travail. La tache nous a été un peut facile car nous étions souvent en présence des gens ayant fait les études secondaires représentant par 465% des interviewés.

    - Il se fait que dans ce quartier, les locataires sont plus nombreux avec 64,6%, cela s'expliquerait par les conditions socio-économiques et surtout que le loyer ne coute pas chère dans coin.

    - Une grande partie de cette population a une notion sur la gestion des déchets (déchets liquides et solides) représentant 67,7% d'où l'impact négatif est moindre sur la santé.

    - Nous nous rendons compte que plusieurs personnes pensent que l'insalubrité est la principale cause de la prolifération de moustiques qui sont responsable de la malaria, nous appuyons cette hypothèse car l'habitat insalubre favorise la prolifération de l'anophèle.

    - Connaissant bien le risque dû à l'eau, ce quartier IV préfère recourir à l'eau de robinet des quartiers voisins en cas de rupture, que de recourir à l'eau de puits présentant un risque élevé de contamination.

    - Nous constatons qu'en cas de rupture d'eau, la plupart effectue moins de 15minutes de marche avec 83,6% ;

    - 83,8% de la population, acceptent de vivre dans le surpeuplement, ne sachant pas que la promiscuité influence sur la santé.

    - Lors du changement de la qualité de l'eau, l'utilisation du chlore est plus proposée par la majeure partie de la population de ce quartier.

    - Nous trouvons que 52,5% de la population préfère jeter de l'eau usée dans le canal le long de la route.

    - Plusieurs personnes soit 66,7% pensent que les poubelles sans couvercles peuvent provoquer des maladies graves.

    - 77,8% préconisent des moyens (techniques) appropriés pour vider leurs fosses septiques, et nettoient régulièrement les WC en cas de dispersion des excrétas.

    - Nous remarquons 77,8% de la population réagit négativement face à la pratique de l'utilisation du braisier et de la cigarette à l'intérieur de la maison.

    - Nous constatons que dans ce contré 86,9% torchonnent à l'eau leurs maisons.

    - Signalons que 73,3% des personnes appliquent le lavage de mains après divers usages, par contre les autres ne le font pas.

    - L'ouverture de fenêtres chaque matin est adoptée avec 91,9% pour une bonne aération de la maison.

    - Le débouchage pour facilité l'écoulement des eaux est le plus effectué par le locataire avec comme proportion élevé que ceux effectué par les propriétaires des maisons.

    - L'utilisation de poison contre les rats est plus élevée avec 37,4%, cela s'expliquerai par le fait que les rats détruisent plus bien de la maison.

    - 57,7% familles logent les animaux domestiques dans leurs propres habitations suite au niveau socio- économique pour se procurer une ferme et sans tenir compte de leurs conséquences.

    - Selon les réponses reçues, le comité d'hygiène et assainissement n'a pas un impact dans ce quartier, mais seul la population se prend en charge.

    - Le moyen de lutte contre le bruit reste ne pas préconiser car les habitants disent être habitué au bruit.

    DIAGNOSTIC ET TYPES DE COMMUNICATIONS

    A- Diagnostic communautaire L'analyse des besoins d'un individu comme d'une communauté doit procéder d'une attitude de respect et d'écoute qui exclut le jugement à priori : En s'appuyant par rapport a notre récente enquête, nous parvenons à poser le diagnostic de cette communauté en se référant aux problèmes prioritaires suivants :

    - Approvisionnement en eau potable

    - Promiscuité dans le logement

    - Mauvaise gestion des déchets (liquide, solide)

    - Entretien de toilette et méthode de vidange

    - Pas de canalisation pour drainer les eaux usées.

    - Non observance de la pratique de lavage des mains.

    - Logement des animaux dans les maisons.

    - Pas de comité pour la

    - sensibilisation en matière de santé.

    B- Communication

    D'origine latine ce concept revêt des significations variées qui se sont construites sur la base d'une définition.

    En effet dans le petit robert (1976) la communication renvoie à l'action de communiquer.

    Par ailleurs il définit communiquer comme le passage ou l'échange des messages entre un sujet émetteur et un sujet récepteur au moyen des signes ou signaux.

    La communication ou les types de communications qu'ont inspiré nos analyses et nos réflexions partant du cas du quartier IV de la commune de la RUASHI peut se résumer en deux approches : la communication individuelle et la communication sociale ou médiatée fondées sur leur concept de l'individuelle et de sa relation avec la société globale. En effet suivant le modèle dit communication individuelle, l'individu est conçu comme une entité constituée d'un corps et d'un esprit, close, renfermé et séparé de son semblable, mais doué des raisons et des volontés.

    De tout et en tout lieu, l'homme se sert de ses organes des sens (bouche, oreilles et yeux) et de sa culture pour communiquer :

    - Faire le porte à porte par le personnel ou les services habilités d'hygiène afin de sensibiliser la population sur différents types de gestion des déchets et de l'hygiène lié a l'habitat.

    -Stimuler la population au changement de mentalité en dialoguant en groupe ou en famille, à l'école, dans les églises, dans les milieux publics.

    Il existe des facteurs aussi bien internes qu'externes liés au changement de comportements d'une personne capable de bloquer ou de favoriser l'émergence des comportements hygiéniques chez les populations en explorant les domaines clé de l'hygiène domestique en rapport avec la diarrhée à savoir la lavage des mains, l'évacuation des excrétas et la gestion de l'eau de boisson chez les mères, les infirmiers, les médecins, les chefs coutumiers et religieux.

    La communication sociale ou médiatée se réalise en appliquant six éléments à savoir :

    - Un émetteur

    - Un récepteur

    - Un message

    - Un canal

    - Un code et

    - Un contexte

    CONCLUSION

    En élaborant le choix des besoins prioritaires, il est possible de formuler un diagnostic communautaire et de proposer des moyens de communication appropriés.

    Ainsi en fonction des besoins identifiés un diagnostic communautaire va permettre de proposer un projet d'action sur l'approvisionnement en eau potable, la promiscuité dans les maisons, la création d'un comité pour une sensibilisation en matière de la santé.

    La communication étant un outil essentiel pour le changement du comportement, nous retenons la communication individuel et la communication social ou médiatée comme les meilleurs types de communication.

    Notre sujet s'intitule « poser un diagnostic communautaire dans le quartier IV de la commune RUASHI et évaluer le type de communication pour lutter contre les différents problèmes.

    Cela étant, les résultats de notre étude renferment un effectif de 99 ménages interviewés et au terme de notre étude nous avons trouvé que 58,6% étaient des femmes permanentes dans les foyers, 64,6% des locataires et 77,8% réagissent négativement face à la pratique de l'utilisation du braisier et de la cigarette à l'intérieur des maisons.






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"I don't believe we shall ever have a good money again before we take the thing out of the hand of governments. We can't take it violently, out of the hands of governments, all we can do is by some sly roundabout way introduce something that they can't stop ..."   Friedrich Hayek (1899-1992) en 1984