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Analyse de la scolarité à  l'université catholique de Bukavu : cas de la faculté des sciences économiques et de gestion cohorte (1997-1998 ; 1998-1999).

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par Pascal MUSHAGALUSA MUSAFIRI
Université catholique de Bukavu RDC - Diplôme de graduat en sciences économiques et de gestion 2010
  

Disponible en mode multipage

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REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO

ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET UNIVERSITAIRE

UNIVERSITE CATHOLIQUE DE BUKAVU

U.C.B

B.P 250

FACULTE DES SCIENCES ECONOMIQUES ET DE GESTION

ANALYSE DE LA SCOLARITE A L'U.C.B : Cas de la Faculté des Sciences Economiques & de Gestion Cohorte (1997-1998 ; 1998-1999)

Travail de fin de cycle présenté en vue de l'obtention du diplôme de Gradué en Sciences Économiques et de gestion.

Présenté par :

MUSHAGALUSA MUSAFIRI Pascal

Dirigé par :

Prof. Dr. Jean Baptiste NTAGOMA KUSHINGANINE

Année académique : 2010-2011

MUSHAGALUSA MUSAFIRI Pascal

Tel : 00243 853342350, 00243994187459

E-mail :pascalmushaga@yahoo.fr

EPIGRAPHE

« Les projets que forme le coeur dépendent de l'homme,

Mais la réponse que donne la bouche vient de l'eternel.

Recommande à l'eternel tes oeuvres et tes projets réussiront. »

Proverbes 16 :1,3

DEDICACE

A mes très chers parents MULUMEODERWA MUSAFIRI et CIREZI MPARANYI, pour tant d'amour et de sacrifices depuis notre naissance jusqu'en ce moment, pour vos encouragements et votre soutien indéfectible à nos études ;

A mes petits frères Pacifique M, Patrick M, Fabrice M, Rodrigue M, Arsène M, Serge M, Josué M, David M, Jonathan M et à mon unique petite Soeur Bénédicte M, que ce travail reflète l'image de l'affection que vous témoignez à notre égard et qu'il vous fasse grandir l'amour de la science ;

A ma future progéniture, que ce travail soit pour vous un modèle à suivre ;

A mes cousins, cousines, neveux nièces, oncle et tantes,

A mes amis et connaissances

Ce travail vous est dédié.

REMERCIEMENTS

Au bout de notre travail de recherche, le Dieu Tout Puissant est grandement remercié pour nous avoir protégé, gardé et donné son souffle de vie.

Nous adressons notre gratitude en premier lieu au corps professoral de l'Université Catholique de Bukavu(U.C.B), aux enseignants qui ont assuré notre formation en vue de notre épanouissement intellectuel.

Nous remercions sincèrement notre directeur de Travaux de Fin de Cycle Jean Baptiste NTAGOMA KUSHINGANINE, Professeur Docteur au département de Sciences économique et de Gestion à l'UCB, sans l'initiative de ces derniers ce travail n'aurait pas été possible. Nous tenons à leur exprimer toute notre reconnaissance pour leur dévouement, la confiance qu'ils nous ont accordée, leur rigueur et la qualité des commentaires et suggestions dont ils nous ont fait part.

Nous exprimons notre reconnaissance à la famille MWANDULO pour sa chaleur familiale nous assurée volontiers mais surtout pour s'affabilité et sa magnanimité.et à mon oncle et sa femme MUSAFIRI MWANDULO et FRANCINE MUDOSA. Nous vous resterons à jamais débiteur.

A nos amis et compagnons de lutte pour leur franche collaboration, leur complicité et leur enrichissement mutuel durant ce cursus universitaire : BWIRA B, DJIBRIL, STEVEN, SAVE, ERIC RUSHENGEMUNGU, KASIGWA EMMANUEL, WODON, RAMAZANI T THOMAS, JUSLIN, ANNUARITE, RHEIS, DANNIELLA, PATRICK L, SAKINA, YVON, ALICE M, ERIC CASINGA, FABRICE MPARANYI, HIGOBERT CHAFALI, BAHATI, MUGISHO, CAROLLA DEMPLE.

A mes frères et soeurs : AMISI M, ALIMASI M, MIMY M, SIKITU M, MARIE LAURE M, KUJIRABWINJA R, DEOGRATIAS R.

Enfin, que tous ceux auprès de qui nous avons trouvé réconfort et assurance et dont le nom n'a pas été repris, trouvent dans cette monographie l'expression de notre reconnaissance.

MUSHAGALUSA MUSAFIRI Pascal

LISTE DE GRAPHIQUES ET TABLEAUX

I. Liste de graphiques

Graphique 1 : Organigramme de l'U.C.B............................................................24

Graphique 1 : Evolution des effectifs estudiantins de 1990-2010................................26

Graphique 2 : Moyenne par ans et par cycle de toutes les facultés................................29

Graphique 3 : Représentation en camembert........................................................30

Graphique 4 : Faculté de Médecine....................................................................31

Graphique 5 : Faculté d'Agronomie..................................................................31

Graphique 6 : Faculté de Droit........................................................................32

Graphique 7 : Faculté d'Economie...................................................................32

II. Liste de tableaux

Tableau 1 : Evolution des Effectifs Estudiantins de 1990-2010.................................. .25

Tableau 2 : Evolution des Effectifs Estudiantins par Facultés 1990-2010....................... 27

Tableau 3 : Evolution des Effectifs par Cycle de 1990-2010.......................................33

Tableau 4 : Spécification des Variables explicatives...............................................37

Tableau 5 : Présentation de la Cohorte Relative à l'année Académique 1997-1998...........39

Tableau 6 : Présentation de la Cohorte Relative à l'année Académique 1998-1999...........40

Tableau 7 : Synthétique des Flux pour la Première Promotion des Diplômes en Sciences Economiques et de Gestion (Cohorte 1997-1998) ................................................. 42

Tableau 8 : Synthétique des Flux pour la Première Promotion des Diplômes en Sciences Economiques et de Gestion (Cohorte 1998-1999) ................................................. 43

Tableau 9 : Performance par Sexe Pour la Première Cohorte..................................... 46

Tableau 10 : Performance par Sexe Pour la Deuxième Cohorte.............................. ...46

Tableau 11 : Age et Points Obtenus aux Examens d'Etat pour la Première Cohorte.........47

Tableau 12 : Age et Points Obtenus aux Examens d'Etat pour la Deuxième Cohorte........47

Tableau 13 : Tableau des Fréquences pour la Première Cohorte.................................49

Tableau 14 : Tableau des Fréquences pour la Première Cohorte.................................49

Tableau 15 : Finaliste Gestion Financière pour la Première Cohorte..............................50

Tableau 16 : Finaliste Economie Rural pour la Première Cohorte..............................51

Tableau 17 : Finaliste Gestion Financière pour la Deuxième Cohorte............................51

Tableau 18 : Finaliste Economie Rural pour la Deuxième Cohorte...............................52

Tableau 19 : Etudiants Finalistes mettant en relation des points Obtenus à l'Examen d'Etat et l'évolution des points académiques des étudiants pour la première Cohorte ..................53

Tableau 20 : Etudiants Finalistes mettant en relation des points Obtenus à l'Examen d'Etat et l'évolution des points académiques des étudiants pour la Deuxième Cohorte ...... ..........54

Tableau 21 : Effectif estudiantins de la Faculté des Sciences Economiques et de Gestion, tous les étudiants que comporte la 1ière Cohorte depuis le début de l'année. Critère Sexe, Age, Pourcentage Exetat, Section d'Origine, Année obtention Diplôme..............................55

Tableau 22 : Effectif Estudiantins de la Faculté des Sciences Economiques et de Gestion, tous les Etudiants que comporte la 2ière Cohorte depuis le début de l'année. Critère Sexe, Age, Pourcentage Exetat, Section d'Origine, Année obtention Diplôme..............................57

0. INTRODUCTION

L'éducation a toujours été une priorité majeur sein d'une société et, il est crucial que l'homme, un facteur de production plus important compte tenu du rôle qu'il joue dans le processus économique de chaque entité économique acquiert une certaine formation.

L'éducation se trouve donc nécessairement au coeur du fonctionnement de l'économie, ce qui autorise l'économiste à en faire un champ d'analyse de sa discipline(ce qui n'interdit pas au sociologue ou à l'historien de faire de même).De ce fait, même si le développement de cette branche de la science économique est relativement récent, le survol de la pensée économiques montre que l'éducation a toujours été un thème présent, sans doute trop discrètement, dans la réflexion des économistes1(*)

Il apparait donc évident que le niveau d'éducation atteint par les individus qui compose une économie constitue un déterminant majeur de son succès sur l'échiquier économique mondial et, partant, du niveau de vie de ses citoyens.

I.PROBLEMATIQUE

Le Droit de l'éducation fait partie des droits fondamentaux reconnus à tout être humain par la déclaration universelle des droits de l'homme puis consacrés dans la récente constitution de la république démocratique du Congo, approuvée par plus de 80% de la population en âge de voter lors du referendum organisé du 18 au 19 Décembre 20052(*)

La crise accélérée du système d'enseignement supérieur en Afrique, ajoutée aux incohérences des politiques de recherche scientifique, suscitent des réflexions3(*) sur les quelles il faut s'appuyer pour mieux saisir la portée des défis qui perdurent, malgré les tentatives des reformes des universités africaines.

Pourtant, partout dans le monde, il est reconnu que les universités, par la place unique qu'elles occupent dans la production de nouvelles connaissances, leurs diffusions et leur valorisation, sont des vecteurs incontournables et indispensables au développement économique et social d'un état. Cependant, pour le continent africain, dans les premières décennies d'indépendance, l'université a été sujette à un traitement peu valorisant. D'abord, elle fut considérée comme un obstacle au développement et à la stabilité des états nouvellement indépendants à cause du fusionnement des idées et acte contes taire à caractère politique par les autorités administratives4(*) d'autre part elle est réputée être une institution budgetivere peu rentable par les bailleurs de fond5(*)

La tendance actuelle fait de l'université un pilier important pour l'accession au bien être de la société. C'est dans ce sillage que s'inscrit Iba Ndia DJADJI qui soutient que « pour sortir du sous développement, le chemin le plus sur c'est l'enseignement supérieur avec une recherche adaptée aux besoins des populations6(*)

En considérant l'enseignement universitaire comme un processus de production, il est judicieux de procéder à une meilleure sélection des inputs comme dans tout processus de production pour songer à des meilleurs outputs. Cette sélection passe par la scolarité, une scolarité qui doit produire les élites à la fin du processus et non les rebuts du système.

Nombre de nos prédécesseurs ont considéré le système éducatif comme leur objet d'étude sous différents angles, rentabilité de l'U.C.B, satisfaction des étudiants, etc.

Pour ce qui nous concerne, nous proposons d'analyser dans les pages qui suivent la scolarité des étudiants dans les facultés que l'U.C.B organise et plus précisément la faculté des sciences économiques et de gestion.

C'est ainsi que notre travail sera articulé autours de la question suivante :

v Quels sont les caractéristiques(biologiques telles que l'âge, le sexe, les points obtenus aux examens d'état, école, section et option d'origine) contenus dans les dossiers que l'université possède sur l'étudiant lors de son inscription et ceci nous permettra de comprendre en grande partie la performance des cohortes d'étudiants à l'université ; la probabilité de réussite que garantie une cohorte des étudiants s'inscrivant en première année de graduat de terminer leurs études universitaires après 5ans étant données leurs caractéristiques à l'entrée ?; analyser les tendances qui existe entre la cohorte la plus excellente de toutes les cohortes toujours accueillis dans cette faculté.

En effet répondre à ces questions permettrait à l'U.C.B de mettre au point une politique fondée sur l'indentification des facteurs influençant la scolarité des facultés organisées et aider ainsi les parents et les enfants à mieux comprendre une faculté avant de la choisir au lieu de se plonger dans une incertitude totale.

II.HYPOTHESES DU TRAVAIL

Nous abordons notre travail en nous fixant les hypothèses suivantes :

v La construction des outils d'analyse s'avère d'une grande pertinence pour la compréhension du comportement des cohortes et la prise des grandes décisions les concernant.

v La section et l'option d'origine au secondaire constitue un pré requis de grande taille pour la cohorte dans l'apprentissage et la réussite aux certains cours stratégiques à l'université

v La performance d'une cohorte des étudiants à l'UCB dépend de sa prise de conscience individuelle et non de la caractéristique de la cohorte à l'entrée

III.CHOIX ET INTERET DU SUJET

Notre choix d'analyse de la scolarité à l'UCB est guidé par le souci d'appréhender les outils et techniques que l'université utiliser, les analyser et émettre, si nécessaire des suggestions utiles qui serviront à des gestions efficace de la scolarité.

Ainsi, le présent travail présente un double intérêt à savoir :

1. A l'université catholique de Bukavu :

A la fin de cette étude, une idée claire et précise aidera la hiérarchie de l'université a mieux comprendre l'évolution des effectifs étudiants de la faculté, plus particulièrement la faculté des sciences économiques et des gestions. Cette dernière connaitra mieux les tendances sur le niveau de la scolarité, le succès de l'étudiant dans chacun des cours et sa performance globale, et sa moyenne générale pour l'ensemble de son programme.

2. Au monde scientifique :

Ce travail marquera son utilité à l'enrichissement des techniques documentaires pour les autres chercheurs qui s'inscriront dans le même angle que celui de la présente étude.

IV.DELIMITATION DU SUJET

Notre étude se limite à l'analyse de la scolarité de la faculté des sciences économiques et de gestion à l'université catholique de Bukavu.

Pour autant que la finesse d'une analyse ne dépende pas seulement de la qualité des données récoltées mais aussi de leur quantité, nous nous sommes proposé d'effectuer notre recherche sur deux premières promotions des diplômés soit les deux premières cohortes, qui s'étendent de l'année 1997-1998 et 1998-1999

V.METHODE ET TECHNIQUE DU TRAVAIL

v.1.Méthodes

Une méthode est l'ensemble des démarches qui suit l'esprit pour découvrir et démontrer une vérité scientifique7(*)Toute recherche à caractère scientifique doit comporter l'utilisation des procédés rigoureux, bien défini, transmissibles, susceptibles d'être appliqués à nouveau dans le phénomène en cause.

Dans le cadre de ce travail, nous nous servirons des méthodes suivantes :

a)La méthode comparative

Elle nous permettra de comparer la scolarité des étudiants admis et inscrits jusqu'à leurs finalités mais aussi de comparer le pourcentage du diplôme qui représente la moyenne de l'étudiant par rapport à sa réussite à l'université. Pour chacun des cours, le groupe de référence est l'ensemble des étudiants d'un même auditoire et qui ont suivi le même cours à la même session.

b) La méthode historique

Méthode proposée par B. Verhaegen, cette méthode a comme objectif de forger une connaissance scientifique du présent à partir des sources que l'histoire classique récuse : l'information orale, le récit autobiographique et documents contemporain8(*).

Via cette méthode nous serons capables de connaitre la genèse et l'évolution la faculté des sciences économiques et de gestion.

c)La méthode statistique

Cette méthode nous permettra de procéder à la description, à l'analyse des différents aspects, relations statistiques et tests utilisés pour obtenir la moyenne arithmétique et à l'interprétation des données recueillies.

v.2. Techniques

Contrairement à la méthode, la technique est l'ensemble des outils qui facilitent la collecte et l'analyse de données. Ainsi dans le cadre de notre travail nous nous servirons des techniques suivantes :

v La techniques documentaires : elle nous permettra non seulement de recourir à plusieurs ouvrages et documents utilisé par l'U.C.B mais aussi elle nous aidera à constituer un soubassement théorique consistant à travers une lecture des ouvrages, des revues, des Travail de Fin de Cycle, articles... y relatifs.

v La technique d'interview : elle nous permettra de vérifier le fonctionnement de la faculté des sciences économiques et de gestion et la mission de l'université catholique de Bukavu.

VI.SUBDIVISION DU TRAVAIL

Mise à part l'introduction et la conclusion, notre travail se composera en trois chapitres.

Le premier chapitre portera sur la revue de la littérature sur l'économie de l'éducation.

Le deuxième chapitre consistera à la présentation du milieu d'application de notre étude.

Enfin le troisième chapitre parlera sur l'analyse et l'interprétation des données recueillies.

CHAP I : REVUE DE LA LITTERATURE

Dans ce chapitre il sera question de présenter deux approches dont l'approche théorique et approche empirique.

I. APPROCHE THEORIQUE

Dans cette section nous tacherons de donner des humbles détails concernant notre sujet.

I.1. DEFINITIONS DES CONCEPTS

a. La Scolarité :

Etudes accomplies par un élève dans une école. Durée ou niveau des études accomplies par une personne9(*).

Durée des études prescrites aux étudiants des Universités, pour qu'ils puissent se présenter à tel examen ou à tel concours. (Définition du mot "scolarité" selon : Dictionnaire de L'Académie française)

b. Scolarisation :

Selon le dictionnaire, Petit Larousse (1998 :924) le mot scolarisation signifie le fait de doter un pays ou une région des établissements nécessaires à l'enseignement de toute une population. La scolarisation est aussi l'action d'admettre un enfant ou un groupe à suivre l'enseignement d'un établissement scolaire.

c. Cohorte :

Une cohorte est un ensemble d'individus ayant un vécu un évènement semblable pendant la même période de temps10(*)

Les études de cohortes sont définies par l'observation dans le temps d'un groupe de personnes recrutées en fonction de critères précis et soumises à une observation commune pendant une certaine période.

On parle de générations s'agissant de cohorte de naissance et l'on dénomme parfois promotions les cohortes de mariages, les cohortes constituent le support de l'analyse longitudinale. (Dictionnaire Démographique, P.U.F 1979. p. 25)

Une cohorte désigne un ensemble d'individus ayant vécu un même événement au cours d'une même période. Expression employée dans certaines statistiques officielles pour désigner l'ensemble des enfants d'un âge ou d'un niveau déterminé dans une école, une circonscription ou un pays (Fernand, 1973).

d. Taux de scolarité :

Selon Pressât (1972) le taux de scolarité est la proportion des personnes fréquentant un établissement d'enseignement dans un groupe de population, distingué généralement selon l'âge et parfois le sexe.

e. Taux de scolarisation :

Le taux de solarisation est le pourcentage de jeunes d'un âge de scolarisation donné qui sont scolarisés par rapport à l'ensemble de la population du même âge.

f. Taux de cohorte :

Taux entant que fréquence d'événements, lors que ces derniers se rapportent en totalité à une ou plusieurs cohortes. C'est le cas des taux par âge ou durée atteint lorsque c'est l'âge qui est enjeu, on parle de taux de génération11(*).

g. Analyse statique :

Application de la statistique à la recherche pédagogique ou psychologique et spécialement à la présentation et à l'interprétation des données numériques.

(Fernand, 1973)

h. La sélection :

Elle est le résultat de toute une série de décisions successives ou simultanées qui peuvent être prises, soit par l'étudiant, soit par les enseignants, mais aussi par les employeurs (Gravot, 1993).

i. taux d'alphabétisation :

C'est un taux qui exprime le pourcentage de population adulte sachant lire et écrire. Il peut être un indicateur du niveau de développement d'un État.

I.2. GENERALITES SUR L'EDUCATION

L'éducation couvre un champ d'action très vaste dans les sciences sociales en général et économique en particulier. Comme tout autre problème économique (production, consommation, répartition,...), elle fait l'objet d'une analyse approfondie en sciences économiques.

Depuis les années soixante-dix, les instances internationales ont très régulièrement appelé l'Ecole à apporter sa contribution pour relever les grands défit environnementaux. Le coup d'envoie de l'éducation à l'environnemental été donné par la conférence des nations unis de Stockholm en juin 1972 ; chaque conférence, de Rio (1992) à Johannesburg (2002) en passant par Kyoto (1997), a amené son lot de préconisations.

En même temps que les analyses et les problématiques ont évolué, intégrant de façon plus explicite les volets sociaux et économiques aux aspects environnementaux, les mots ont changé : après le rapport Brundtland en 1987 (du nom de Madame Gro Harlem Brundtland, présidente de la commission mondiale de l'environnement et du développement), le terme « développement durable » s'est imposé progressivement et a gagné lentement le terrain de l'éducation12(*).

Dans cette section, il nous sera question d'exploiter les concepts relatifs à l'éducation et au système éducative. Compte tenu des divers éléments constitutifs de l'éducation, certaines autres notions seront également abordées dans ce chapitre.

a) L'éducation

L'éducation est une action exercée sur autrui pour développer ses facultés physiques, intellectuelles et morales, ainsi que son caractère. C'est l'ensemble de moyens qui contribuent à façonner un être. C'est le développement de ses talents13(*).

Elle est l'action de former intellectuellement ou mentalement un enfant, un adolescent et même un adulte. Elle permet également d'acquérir des qualités morales qui se développent.

Concept d'éducation

L'éducation est un concept difficile car elle émane parfois d'un consensus sur le quel s'accordent les sociétés tant sur sa forme que sur ses méthodes de transmissions. Toutefois, selon l'UNESCO, elle peut se définir en termes généraux en tant que l'ensemble des méthodes déformations humaines, ou de manière plus étroite, en tant que l'ensemble des méthodes de formations humaines, ou de manière plus étroite, en tant que processus d'acquisitions des connaissances dans des institutions spécialisées. En ce sens elle constitue une forme essentielle d'épanouissement des ressources humaines14(*).

Dans la pratique, il existe plusieurs formes d'éducations :

v L'éducation formelle : Ensemble des apprentissages se déroulent dans des institutions classiques de formation (centres d'éducation préscolaires, les écoles primaires, secondaires et supérieures)

v L'éducation non formelle : Education parallèle à l'éducation formelle, elle est toute activité de formation organisée en dehors du système éducatif formel. Elle offre la possibilité à la vaste majorité d'enfants, de jeunes et d'adultes des pays en développement qui ne sont pas atteints par le système éducatif formel d'accéder à l'apprentissage.

v L'éducation marginale : Elle peut se définir comme étant l'acquisition des connaissances en dehors de tout cadre institutionnel ou tout programme organisé. Ce type d'éducation est acquis au sein de la famille, au lieu de travail et dans les collectivités.

b) L'éducation dans l'histoire de la pensée économique

L'éducation existe depuis que les hommes se situent dans le temps et désirent retransmettre leur pensée, leur savoir pour survivre et aussi leur façon d'interpréter le monde. En d'autres termes, l'histoire de l'éducation et de la pédagogie est profondément solidaire de l'histoire de la pensée.

En effet, jusqu'à A. Smith inclus, l'éducation est plus considérée par les économistes comme une consommation que comme une dépense d'investissement. Smith range l'éducation parmi les services, qui « n'ajoutent à la valeur de rien ». L'éducation participe plus de la gestion du social qu'elle ne constitue un facteur de production. Cette conception restera dominante chez les économistes, libéraux ou socialistes, du XIXe siècle, même si leurs intérêts les portent désormais surtout les premiers moins exclusivement vers la production des biens matériels, et davantage vers celle des services. Se pose aussi de plus en plus la question du financement de l'éducation et de la part que doit y prendre l'État, à mesure que s'organisent des systèmes éducatifs nationaux. Mais l'irruption de l'économie de l'éducation comme objet de recherche à part entière ne date que des années 1960, dans le contexte des Trente glorieuses qui voient une augmentation exponentielle des dépenses éducatives dans tous les pays, développés ou non. Ses initiateurs sont américains (G. Becker, M. Blaug, T. Schultz) mais des émules apparaissent rapidement dans d'autres pays. L'histoire ultérieure de la discipline est elle-même intéressante : depuis la théorie du capital humain exposée par Schultz en 1961, elle s'est diversifiée, affinée et complexifiée pour deux grands types de raisons : les interrogations suscitées par les mutations qu'a connues l'éducation, qui affectent à la fois le rôle de l'État, l'organisation et le management de l'entreprise Éducation, le comportement des parents, les objectifs sociaux et professionnels visés ou atteints par l'instruction et la formation ; l'évolution des paradigmes propres de la recherche, et les interférences disciplinaires qui se nouent ou se dénouent, avec la sociologie notamment a cet égard, on notera que la contribution des historiens est faible, quelle que soit la période considérée.15(*).

Parmi les économistes qui ont abordé de manière diverse la notion de l'éducation depuis le XVIIe Siècle nous pouvons en cité :

v Adam SMITH : Père fondateur de l'économie de l'éducation car il fut une des plusieurs, si pas le premier à s'interroger sur la notion du capital humain.

v William Petty Qui avant lui va s'intéresser au rôle de l'éducation en calculant la valeur travail d'un homme. Son étude a le mérite de lier l'homme et son travail à la notion de capital.

v Ricardo donne la priorité au capital technique en banalisant le facteur travail ;

v Malthus n'évoquant l'éducation que sous la perspective démographique,

v Smith considère les qualifications possédées par les individus comme un élément déterminant le progrès économique. Il qualifie ces qualifications ou aptitudes comme étant acquises par les individus par l'éducation familiale, les études et l'apprentissage.

v Le XIXe siècle : Malgré l'apport d'Adam Smith dans le domaine de l'éducation, ce siècle n'apportera rien de fondamentalement nouveau. Parmi les penseurs de cette époque.

v John Stuart Smill : A l'encontre d'A. Smith, il fait remarquer que dans le domaine de l'éducation, les mécanismes de marché ne fonctionnent pas efficacement. Plutôt de prôner une instruction publique gratuite, il suggère une instruction gratuite obligatoire dans une école privée ou à domicile jusqu'à un certain âge, sanctionnée par des examens d'Etat. Selon lui, le gouvernement pourrait apporter une assistance financière aux institutions d'enseignement et des dispenses financières aux enfants des pauvres.

v Karl Marx : Lui ne fait qu'élaguer le sujet en précisant juste que le travail qualifié a une plus grande valeur que le travail non qualifié et que la production de ce travail qualifié exige du travail sous forme d'éducation. On voit ici apparaître en filigrane l'idée que le capital humain est produit grâce à l'éducation.

v La première moitié du XXe siècle (Marshall et quelques pionniers) : Elle sera marquée par le poids déterminant de l'économiste Britannique Alfred Marshall.

v Alfred Marshall, Met en valeur les bénéfices directs et indirects liés à l'éducation (comme Smith) ; cependant, il va exclure le capital humain de sa définition de la richesse et du capital (au sens large).Ces travaux vont entraîner un coup d'arrêt dans le développement de l'économie de l'éducation.

Il faudra attendre le début des années 60, avec les travaux de SCHULTZ et BECKER pour qu'elle puisse prendre son essor définitif car, ces économistes ont su appliquer de manière systématique à l'éducation leurs instruments d'analyse et leurs critères d'appréciation.

C. Importance de l'éducation

L'importance de l'éducation réside dans l'acteur principal de la vie économique qui est l'homme, à travers sa qualité en tant que producteur, consommateur et citoyen. Etant (l'éducation) le moyen d'apporter le changement souhaité dans la société, de développer une génération d'individus vertueux et de contribuer ainsi au développement de bons êtres humains, elle a pour but fondamental l'acquisition des connaissances, inculquer les formes de bonne conduite et l'acquisition des compétences techniques, elle est le moyen de se développer physiquement, mentalement et socialement.

Pour l'enfant, une bonne éducation c'est la grande chance de sa vie. Son épanouissement, son bonheur temporel et éternel, sa valeur morale et spirituelle et sa réussite en dépendent presque entièrement. Au niveau de la famille, une bonne éducation récompense et réjouit les membres de la famille. Elle prépare aussi l'individu à fonder plus tard un foyer heureux, en le dotant des principes, des vertus, des compétences qui assureront la bonne entente conjugale, l'harmonie, la paix, la solidarité, l'amour du travail et qu'il transmettra à son tour à ses enfants. Pour la société par ailleurs, la bonne éducation est la garantie du progrès social, de la prospérité économique, culturelle des peuples, parce que génératrice de science, de conscience, d'honnêteté, d'esprit de dévouement, de sens de la responsabilité, de solidarité. La bonne éducation assure la qualité des individus, la stabilité de la famille, le sérieux de la vie professionnelle, la fidélité aux engagements, tous, éléments indispensables à l'édification d'une société où il fait bon vivre16(*).

II.APPROCHE EMPIRIQUE

Blaise HAMENI (2005), dans son travail « Les méthodes actives dans le système éducatif camerounais : le cas de la NAP dans l'enseignement de la philosophie en classes de terminale à Yaoundé », se fixait comme objectifs de décrire l'intégration des méthodes admises dans le système éducatif camerounais et celui de montrer qu'il existe des résistances à la pratique des méthodes inspirées de l'éducation nouvelle au Cameroun. Pour valider ses hypothèses, Blaise a utilisé la méthode d'observation directe ainsi que les entretiens directs sur un échantillon de 70 individus (chefs d'établissement).

Comme résultat, il a trouvé que les recherches documentaires en particulier l'analyse des programmes officiels de philosophie sont satisfait soit un Comme résultat, il a trouvé que les recherches documentaires en particulier l'analyse des programmes officiels de philosophie sont satisfait soit un pourcentage de 68 et 32 autre ne sont pas de l'avis.

En 2007. Mekone TOLROM. Dans son travail « Rendement Interne du Collège Charles Lwanga de Sarh (Tchad): Cas de la cohorte 1987-1994 »il s'est assigné comme objectif, de chercher les facteurs prépondérants qui font les succès de réussite scolaire au sein du Collège Charles Lwanga de Sarh.

Ainsi, pour comprendre son environnement de son étude, il se basait sur les classes terminales et démontre que le rendement d'un établissement doit être vu sous un angle socioéconomique se basant sur la contribution que l'établissement apporte à la construction de son environnement par le biais de la formation. Pour prouvé sa théorie, il procède par des présentations thématiques ou il montre sur un échantillon de 200 étudiants que l'effectif des élèves issus des zones rurales est presque toujours en-dessous de 50%. Suite aux faibles revenues des ménages rurales et 50% sont issus des élèves internes.

CHAP II. PRESENTATION DU MILIEU D'ETUDE

II.1. HISTORIQUE17(*)

Il a fallu attendre le retour de la libéralisation de l'enseignement supérieur et universitaire au Zaïre en avril 1989 pour voir son excellence Mgr Aloys MULINDWA MUTABESHA, Archevêque de Bukavu, signer en date du 21 novembre 1989, le décret portant direction de l'UCB(Université Catholique de Bukavu) conformément au code de Droit Canonique, en ses canons 807 a 814, lequel décret demeure conforme et à la constitution apostolique Ex corde Ecclésiale du 05 août 1990 relative aux universités catholiques et aux institutions supérieurs.

Pour des raisons historiques et de convenance institutionnelle, les signataires de l'acte fondateur ont confiées la responsabilité de l'université aux soins de l'archidiocèse de Bukavu, représenté par ses représentants légaux. Il en détient ainsi le pouvoir

Organisateur, aide dans cette charge par un conseil d'administration dont les membres sont des signataires des présents statuts de l'Université Catholique de Bukavu.

Sont membres fondateurs de l'association UCB a.s.b.l tous ceux qui ont été a la base de la création de l'université dont :

· Prof MULAGO GWA CIKALA Vincent,

· Abbe RUHAMANYI BISIMWA Deogratias

· Dr. KABANDA Gilbert,

· Maître MAMBOLEO MUGHUBA,

· Abbé MIRINDI KISHINGOKO Bonaventure,

· Abbé NYAGAHAMA UWIKIZANGO Gaudes.

II.2. NATURE, MISSION ET OBJECTIFS DE L.UCB

II.2.1.Nature

Il est créé sous la forme d'association sans but lucratif a.s.b.l. en sigle et sous la nomination Université Catholique de Bukavu, en abrégé "UCB" a.s.b.l, un établissement universitaire conformément á la loi 004/2001 au 20 juillet 2001 portant dispositions générales applicables aux associations sans but lucratif et aux établissements d'utilité publique et en référence aux lois et régime universitaire de la République Démocratique du Congo.

L'université a son siège sur l'avenue Bugabo, n° 2, commune de Kadutu, Bukavu en

République Démocratique du Congo.

II.2.2.Mission

L'université catholique de Bukavu a pour objet l'enseignement et la recherche

Scientifique et les autres activités annexes telles que la création des instituts et écoles ainsi que des centres de recherche.

II.2.3.Objectifs

Pour affirmer son caractère catholique, l.UCB assure «sous forme institutionnelle une présence chrétienne dans le monde universitaire face aux grands problèmes de la société et de la culture» tel que le recommande vivement Jean-Paul II dans la constitution apostolique : Ex code Ecclésiale.

Elle poursuit donc les objectifs suivants:

· Organiser l'enseignement universitaire de la science sous toutes ses formes, en vue de promouvoir les cadres intellectuels congolais et contribuer au développement socio-économique du pays, plus particulièrement de la région du Sud-Kivu, en s'inspirant de la tradition chrétienne.

· Effectuer la recherche scientifique et la publication des études scientifiques, en toute matière avec le souci toujours permanent d'une harmonisation des connaissances grâce au dialogue entre la foi et la raison incluant une préoccupation éthique et une perspective Théologique. Tout en restant ouvert a l'échange et a la réflexion, S'ouvre a des interrogations toujours peu vastes et montre que la réponse apportée a celle-ci vient d'en haut, a travers la foi. Ils devront considérer les implications morales se présentent comme partie intégrante de l'enseignement de cette discipline et cela afin que l'ensemble du processus éducatif tende, en définitive, au développement intégral de la personne.

· Pour la formation à l'esprit critique amène les étudiants à comprendre en profondeurs les racines et les causes des problèmes de la société, et de leur temps, à contribuer à les résoudre en accordant une attention particulière à leur dimension éthique et religieuse. Ils pourront ainsi apporter activement leur concours à l.intégration harmonieuse de la culture congolaise et africaine dans la civilisation universelle et ressentir la joie d'être demain des leaders qualifiés et des témoins du christ dans les endroits ou ils devront accomplir leurs taches.

· Instaurer la coopération scientifique nationale et internationale dans l'optique adaptée aux besoins et a la culture du peuple congolais de l'Afrique et du reste du monde.

II.3.STRUCTURE

L'Université Catholique de Bukavu comprend divers facultés (faculté d'agronomie, faculté de médecine, faculté de droit, faculté d'informatique, et la faculté des sciences économiques). Ainsi que tous les établissements, instituts, départements, écoles, cliniques, centres pédagogiques et institutions dont elle est dotée.

La communauté universitaire de l.UCB est constituée des étudiants régulièrement inscrits et des membres de son personnel académique et scientifique, administratif et ouvrier.

Fonctionnement des services de l.UCB

Dans les statuts de l.UCB se trouve décrit le fonctionnement de chaque service.

· Le Grand chancelier

Il fait partie du gouvernement de l.UCB, sa façon est assimilée par l'archevêque de Bukavu en exercice. Il représente le saint siège auprès de l'université et est le représentant légal de l'Université Catholique de Bukavu. Il confirme la désignation des membres du conseil administratif, la nomination du recteur, des vice-recteurs et Administrateur général, la nomination du personnel académique et scientifique a temps plein et des cadres supérieurs de l'administration. Il veille au maintien et au progrès de l'Université.

· Le conseil d'administration

Il est l'organe chargé de L'Administration Générale de l'Université et comprend 17 membres. Il détient dans le respect des normes des présents statuts, tous les pouvoirs nécessaires pour remplir ses fonctions et atteindre les objectifs de l'université, définir la politique générale de l'Université, la vérification des comptes des corps académique et scientifique et des cadres,...

v Le conseil académique et scientifique

Il fait partie des organes de gestion de l'Université. Il est souvent convoqué par le recteur ou en cas d'empêchement par le vice recteur.il se réunit au moins une fois tous les mois le conseil académique et scientifique soumet au conseil d'administration des recommandations concernant la politique générale de l'université

Le conseil académique et scientifique est composé :

§ Du recteur qui en est le président,

§ Du vice-recteur aux affaires académiques, qui exerce la fonction du vice recteur

§ Du vice-recteur aux affaires estudiantines,

§ De l'administrateur général,

§ Des doyens des facultés

§ Des directeurs des instituts et écoles,

§ Des directeurs des centres de recherche,

§ Du représentant des étudiants.

Le recteur

Est le numéro un du comité de direction et dirige l'université. il doit en principe être professeur ordinaire.il supervise et coordonne l'ensemble des activités de l'université.il convoque et précise les réunions du conseil académique, il veille a la réalisation des objectifs de l'Université.

Il représente l'université en justice.

Le vice-recteur aux affaires académiques

Il doit être professeur, et a la charge de la gestion académique et scientifique de

L'Université.il assiste le recteur dans ses fonctions.

Vice-recteur aux affaires estudiantines

Il doit en principe être professeur, et a la charge de gérer l'ensemble des rapports autres qu'académiques entre l'Université et les étudiants.il assiste également le recteur dans ses fonctions.

L'administration générale

Il doit être une personne expérimentée et détentrice d'au moins une licence universitaire.il assiste le recteur et le vice recteur dans leurs fonctions administratives.il assure la direction de l'ensemble des services administratifs.la gestion du personnel et des biens de l'université.il gèrent aussi les finances de l'université.

Les facultés

Outre les attributions déterminées par le statut du personnel académique et scientifique de l'université, les doyens et les directeurs de centres de recherche (centre informatique et bibliothèque) assurent la direction de leurs secteurs respectifs et participent avec voix délibérative aux réunions du conseil académique et scientifique

II.4. ORGANIGRAMME UNIVERSITE CATHOLIQUE DE BUKAVU :

Conseiller Juridique

Cabinet du Recteur

Service des Relations Publiques

Service de Coopération Interuniversitaire

Grand Chancelier

Conseil d'Administration

Conseil Académique et Scientifique

Comité de Direction

Recteur

Vice-recteur aux Affaires Etudiantes et Sociales

aux Affaires Etudiantes et Sociales

Administrateur Général

Vice-recteur Aux Affaires Académiques

aux Affaires Académiques

aux Affaires Académiques

aux Affaires Académiques

Cabinet de

l'Adm. Gén.

Cabinet du

VRA

Cabinet du

VRE

Bibliothèque

Facultés

Coordination de

la Recherche

Service

Internet

Service

Apparitorat

Service

Administratif

Service

Financier

Service de

publication

Service de

Scolarit

Programme et

Enseignem

Centre

Informatiqu

Aum

Service des

bourses

Service des

OEuvres

Sociales

Bureau de

la

Trésorerie

Bureau des

Services

Généraux

Bureau du budget contrôle

Bureau de

Comptabilité

Bureau du

Personnel

II.5 EVOLUTION DES EFFECTIFS ESTUDIANTINS DE L'AN 1990-2010

Le tableau ci-dessous montre la composition des effectifs estudiantins de l'U.C.B de 1990-2010, soit pour 20 ans, il présente les effectifs de l'U.C.B selon les différentes années académiques et les nombres des facultés organisées à chaque année académique. Un histogramme sera joint a ce dernier pour arriver a mieux comprendre le développement des effectifs au fil du temps.

II.5.1 Effectifs estudiantins par année académique

Tableau n°1. Evolution des effectifs estudiantins de 1990-2010

Année

Effectifs estudiantins

Nombre des facultés

1990-1991

1991-1992

1992-1993

1993-1994

1994-1995

1995-1996

1996-1997

1997-1998

1998-1999

1999-2000

2000-2001

2001-2002

2002-2003

2003-2004

2004-2005

2005-2006

2006-2007

2007-2008

2008-2009

2009-2010

277

394

528

776

924

1235

854

931

820

353

203

771

883

910

1197

1465

1560

1516

1726

2007

Propédeutique

2

2

4

4

4

4

4

4

4

5

5

5

5

5

5

5

5

5

5

Effectifs totaux

19330

5

Source : données tirées au service de l'apparitorat central de l'UCB

Graphiquement l'effectif se présente de la manière suivante:

Graphique II.1 : évolution des effectifs estudiantins de 1990-2010

Partant de ce graphique, nous remarquons une évolution croissante de effectifs de l'année academique 1990-1998, Comparement à l'année 1997-1998 cette année academique(1997-1998) a connu une baisse en effectif de 12%une forte baisse s'en est quivi l'année 1999-2000 et cela a été déclarée blanche pour les promotions suivante : G2Agro,G3Agro,Ir1,Ir2,G2Medecine,G3Medecine,Doc1 et Doc3.

Cette situation de crisé n'a pas été favorable au sein de l'université car elle a eu un impact sur le plan financier et avec comme repercution une réductions du remunération su personnel aussi bien academique que scientifique de l'université.

Cela s'explique par le fait que l'evolution des salaires du personnel de l'université dependent directement de l'evolution des effectifs des etudiants et partant des recettes de l'Université qui est constituer en grande partie par le minérval payé par les etudiants.Cet ainsi que l'université catholique de bukavu a ppliqué une formule dite fixe variavle,la quelle consistait en la deduction du salaire de base et certaines avantages sociaux tel que la rubrique le transport,le logement.

Nous remarquons également que l'Université atteint l'effectif le plus bas de son éxistence au cours de l'année académique 1999-2000, et avant cette chute des éffectifs on remarque une autre mais plus grave au cours de l'année 1996-1997 cette baisse en effectif étaient du à la 2eme guerre qu'a connu la region du Sud-kivu a savoir la guerre de 1996 et celle de 1998 qui ont eu des répercutions facheuses sur la situation de l'Université On ne voyait plus les étudiants venir d'autres regions du pays ou des pays étrangers pour venir étudier a l'UCB, la situation financière des parents, suite aux deux guerre, n'était pas bonne. Aussi, suite a l'insécurité on verra les étudaints fouir la région et aller étudier ailleurs.

Enfin, suite a l'amélioration de la sécurité dans la région et à la résolution progressive du problème des années élastiques, les effectifs estudiantins sont en progression ces dernières années. L'Université réalise ses effectifs les plus élevé durant ces cinq dernières années, constant vécu pour l'année 2009-2010 avec à son sein 2007etudiants soit un effectif jamais réaliser depuis son existence.

II.5.2. Evolution des effectifs par faculté

Ce tableau ci-dessous va nous permettre de distribuer les différents effectifs que constitue chaque faculté cela nous permettra de visualiser le poids les effectifs estudiantins que constitue chaque faculté de l'U.C.B de 1990-2010.

Tableau n°2: évolution des effectifs estudiantins par faculté 1990-2010

Année

Médecine

Agronomie

Droit

Economie

Total

1990-1991

--

--

--

--

0

1991-1992

103

--

--

114

217

1992-1993

144

--

--

166

310

1993-1994

192

23

95

246

556

1994-1995

220

29

130

286

665

1995-1996

341

40

193

341

915

1996-1997

296

35

143

228

702

1997-1998

342

46

174

214

776

1998-1999

317

62

138

176

693

1999-2000

54

--

40

154

248

2000-2001

413

59

154

177

803

2001-2002

335

69

169

147

720

2002-2003

371

65

198

165

799

2003-2004

337

90

208

200

835

2004-2005

440

115

257

268

1080

2005-2006

452

153

327

336

1268

2006-2007

446

172

332

372

1322

2007-2008

397

178

325

381

1281

2008-2009

403

194

381

506

1484

2OO9-2010

444

252

452

607

1755

Total

6047

1582

3716

5084

16429 

Source : données tirées au service de l'apparitorat central de l'UCB

Graphique II.2.  Moyenne par ans et par cycle

L'Université Catholique de Bukavu débute ses activités en 1990 avec en son sein deux propédeutiques à savoir : La propédeutique sciences et la propédeutique sciences humaines.

Dans notre graphique ci haut, nous avons combiné les effectifs de deux propédeutiques celle de la propédeutique sciences et sciences humaine et cela nous a permit de ne trac er qu'une seule courbe représentant les deux propédeutiques.

Nous constatons également que les effectifs de la propédeutique de l'année 1991-1992 est au début décroissante et les années suivante elle commence à accroitre jusqu'en 1995-1996 ou elle atteint un effectif le plus élevé et de l'année 1999-2000 ou elle connaît un effectif le plus bas. Après cette année académique, la propédeutique a cessé d'exister à l'U.C.B

En calculant la moyenne annuelle facultaire des effectifs estudiantins on obtient ce qui suit :

Pour la faculté de Médecine = =302,35/an

Pour la faculté d'Agronomie = =79,1/an

Pour la faculté de droit = =185,8/an

Pour la faculté de l'économie = =254,2/an

Il en découle de ce qui précède que la faculté de Médecine avec une moyenne de 302,35 étudiants/ans encadre plus d'étudiants que les autres facultés. Elle est suivie de la faculté d'économie avec une moyenne de 254,2/an, la faculté de Droit avec une moyenne de 185,8/an et enfin de la faculté d'agronomie avec une moyenne de 79,1/an.

Ci-dessous les graphiques caractéristiques de la scolarité à l'U.C.B pour ces 19 ans d'existence.

Graphique II.3 : Représentation en camembert

Le graphique ci-haut représente le poids de chaque faculté dans la constitution totale des effectifs de l'U.C.B pour ces 20 ans de fonctionnement. Cet ainsi qu'en voyant le graphique nous concluons que la faculté de Médecine est la première en terme d'effectifs, vient ensuite la faculté des sciences économiques et de gestion, puis en troisième position la faculté de droit s'en suit la faculté d'Agronomie en quatrième position et enfin la faculté d'informatique en cinquième et dernière position.

II.5.3. Graphiques des tendances centrales par faculté 

Nous inspirant toujours de notre tableau d'effectifs par cycle nous pouvons aussi exposer les tendances centrales par faculté pour les 5 facultés qu'organisés l'Université Catholique de Bukavu jusqu'ici :

Graphique II.4  Faculté de Médecine

 

La faculté de médecine débute en bonne état avec une croissance en effectif estudiantins jusqu'en 1995-1996 après cette période nous constatons des oscillations en effectifs mais le pire survient en 1998-2000 avec une grande décroissante estudiantins. Ce constat est du au fait de la guerre et aux difficultés des chaumages que se heurté les ménages.

Graphique II.4  Faculté d'agronomie

Cette faculté d'agronomie à pour caractéristique principale le fait d'avoir subit fortement un débâcle au courant de l'année académique 1999-2000 en arrêtant complètement ces activités car elle a subit une année blanche malgré cette situation nous constatons que les effectifs durant l'année suivante soit de l'an 2000 jusqu'en 2010 elle a connu une croissance en effectif estudiantins.

Graphique II.5  Faculté de Droit

Le présent graphique montre l'évolution des effectif en Droit une faculté qui commence ces activités en 1993-1994 et depuis lors la courbe commence sa phase ascendante et va subir des fluctuations les années suivantes pour faire une chute en 1999-2000 après cette année la courbe reprend sa phase ascendante et l'on aperçois que la faculté de droit atteint son effectif le plus élevé en 2009-2010.

Graphique II.6  Faculté d'économie

Cette faculté connaît un accroissement des effectifs estudiantins jusqu'en 1994-1995 ou il subit des décroissances jusqu'en 2000-2001 ou la courbe commence sa phase ascendante. Jusqu'à présent les effectifs ne font que s'accroître a chaque année et la faculté atteint son effectif le plus élevé en 2009-2010.

Tableau n° 3 : Evolution des effectifs par cycle de 1990-2010

Année

Médecine

Agronomie

Economie

Droit

 

1er cycle

2e cycle

1er cycle

2e cycle

1er cycle

2e cycle

1er cycle

2e cycle

1990-1991

 

__

__

__

__

__

__

__

1991-1992

103

--

--

--

114

--

--

--

1992-1993

144

--

--

--

166

--

--

--

1993-1994

192

--

23

--

246

--

95

--

1994-1995

186

34

29

--

239

47

130

--

1995-1996

288

53

26

14

242

99

193

--

1996-1997

291

55

24

11

169

59

143

--

1997-1998

241

55

33

13

148

66

138

36

1998-1999

220

97

46

16

122

54

85

53

1999-2000

54

--

--

--

97

57

40

--

2000-2001

304

109

37

22

111

66

107

47

2001-2002

224

111

39

30

84

63

122

47

2002-2003

275

92

38

27

110

55

147

51

2003-2004

226

111

71

19

147

53

163

45

2004-2005

316

124

86

29

222

46

215

42

2005-2006

332

120

115

38

288

39

279

48

2006-2007

322

124

128

44

303

69

272

60

2007-2008

275

122

133

45

282

99

244

81

2008-2009

2009-2010

292

291

111

153

151

196

43

56

382

464

124

143

278

371

103

81

Total

4576

1471

1175

407

3936

1093

3215

694

Source : données tirées au service de l'apparitorat central de l'UCB

En calculant les proportions des effectifs estudiantins par cycle, on obtient les résultats suivants par faculté :

1) Faculté de Médecine :

a) = ×100=75, 67 %

b) = ×100=24,32%

2) Faculté d'Agronomie :

a)  = ×100=74, 27%

b) = ×100=25, 72%

3) Faculté d'Economie:

a) = ×100=78, 26%

b) = ×100=21, 73%

4) Faculté de Droit:

a) = ×100=82, 24%

b) = ×100=17, 75%

Commentaire :

Partant des analyses ci-haut, nous remarquons une forte concentration estudiantine au premier cycle par rapport au second cycle et ceci est du a la forte concentration des rebuts du système éducatif vu au premier cycle qu'au second cycle.

Ces rebuts peuvent être considéré comme les étudiants redoublant, les étudiants qui ont abandonné, ou les étudiants qui ont effectuer des transfèrent d'une faculté vers autres facultés, ... ces principaux facteurs empêchent les étudiants de franchir leurs premier cycle.

CHAP III. ANALYSE DE LA COHORTE (1997- 1998,1998-1999)

III.1. INTRODUCTION

Nous voici à présent à l'analyse de la cohorte au sein de notre faculté d'économie. Les deux cohortes que nous avons choisies pour faire notre étude est celle de l'année1997-1998 et 1998-1999.

C'est ainsi que ce Chapitre III qui est le dernier de notre travail, se composera de trois parties à savoir :

La première partie est l'exposé de la méthodologie

La deuxième partie est l'exposé des résultats de notre recherche et

La troisième partie est dernière est l'interprétation des résultats exposés.

III.2.METHODOLOGIE

Pour ce qui est de notre méthode utilisé en vue d'étudier la performance des cohortes au sein de l'université, nous avons recourut a des fiches des scolarités, les dossiers individuels des étudiants sous étude, les documents d'archives se trouvant à L'université plus précisément à l'UCB/KARHALE et grilles de délibérations disponible à l'apparitorat de l'université pour y retrouver les promotions de différentes étudiants et les caractéristiques à l'entrée que nous nous sommes fixées à l'introduction de notre travail. Nous nous somme heurtés à un niveau de complexité au moment de la récolte des données :

- Manque des fiches d'inscription des certains étudiants

- Certaines fiches sont incomplètes

Pour cela dans le souci de bien analyser la scolarité dans cette faculté d'économie de 1998-2003 soit deux promotions de diplômé, il nous faudra nous intéresser et considérer la deuxième année de licence comme le début d'analyse pour ces deux promotions de diplôme. Les quelques analyses que nous ferons sont de graduat et de la licence.

Modèle de ciblage des flux académiques :

G1 1997-1998

G1 G2 1998-1999

G1 G2 G3 1999-2000

G1 G2 G3 L1 2000-2001

G1 G2 G3 L1 L2 2001-2002

G1 G2 G3 L1 L2 2002-2003

Source: Notre propre conception

Les deux dernières lignes nous montrent les deux promotions de finalistes de la faculté d'économie et de gestion de l'U.C.B qui constituent nos promotions cibles en ce qui concerne le cas de notre travail.

Ce modèle de ciblage peut être analysé sous différentes dimensions ainsi, nous aurons :

1. Analyse horizontale : cette analyse nous permet de lire le modèle sous forme horizontale et nous donne les promotions ayant étudiées pendant une même année mais différentes dans la constitution des cohortes.

2. Analyse verticale : différentes années, différentes promotions, mais la constitution mêmes des étudiants moins rebuts du système c.-à-d. les étudiants ayant échoués, abandonnées ou les étudiants ayant changé des filières d'études. Cette analyse va nous guider tout au long de notre travail, elle nous permettra de suivre l'évolution d'une cohorte dé son entrée jusqu'à sa sorite dans le système éducatif.

3. Analyse oblique : Elle permet de suivre l'évolution de la scolarité d'une manière oblique, elle a pour caractéristique principale de se renseigner sur le comportement d'une promotion au fil du temps.

Spécification des variables

Variable expliquée (dépendante ou endogène)

La variable expliquée est l'analyse de la performance des cohortes à l'université.

Elle est déterminée par un certain nombre de raisons ou causes qui constituent les variables explicatives.

La variable explicative ou indépendante ou exogène et quelques

Elles sont de plusieurs ordres ;

Ce sont les facteurs qui permettent la compréhension du phénomène étudié ; les auteurs répertoriés donnent un éventail des variables qui permettent la compréhension de cette analyse en question ; il s'agit notamment du sexe de l'étudiant, du pourcentage obtenu aux examens d'Etat, de l'année d'obtention du diplôme d'Etat, de l'école d'origine de l'étudiant, l'âge de l'étudiant, la section qu'à suivie l'étudiant au secondaire.

Tous ces facteurs nous permettent d'analyser et d'expliquer la performance des cohortes à l'université catholique de Bukavu au sein des facultés qu'elles organisent et plus précisément dans la faculté de sciences économiques et de gestion.

De ce fait, Le tableau suivant nous en parle longuement en ce qui concerne la spécification des variables explicatives :

Tableau n°4 : spécification des variables explicatives

INTITULE

V ARIABLES

SPECIFICATION

Sexe

Explicative

Quantitative/qualitative

Ecole d'origine

Explicative

Qualitative

Age de l'étudiant

Explicative

Quantitative

Année de l'obtention du diplôme d'Etat

Explicative

Qualitative

Pourcentage obtenu aux examens d'Etat

Explicative

Quantitative

Probabilité de réussite

Explicative

Qualitative/quantitative

Section suivie au secondaire

Explicative

Qualitative

Pour ce qui est de notre travail, nous procéderons par quelques représentations sous formes de tableaux, graphiques et l'usage de la statistique descriptive de même que l'utilisation du tableau de contingence qui s'avère d'une importance capital en ce qui concerne notre travail.

Pour ce fait nous serons obligés de confronter les résultats obtenus par les différentes cohortes mis ensemble pour en tiré des conclusions.

II.1. Méthode statistique :

A) La moyenne arithmétique : le calcule de la moyenne arithmétique est différente en statistique descriptive selon que le caractère statistique est discret ou continu :

Caractère statistique discret :

o Moyenne arithmétique simple : moyenne arithmétique simple de p nombres x1, x2,...xp est :

Cette équation se lit : « somme de i allant de 1 à p de xi »

o Moyenne arithmétique pondérée : moyenne arithmétique des p nombres x1,x2,...,xp pondérés par les coefficients ou les effectifs respectifs n1,n2,...,np est :

Dans notre travail nous allons plus utiliser la moyenne arithmétique pour comprendre la tendance centrale de nos effectifs estudiantins. C'est ainsi que les moyennes obtenues lors de nos différentes calcules vont nous permettre lors de l'élaboration des tableaux synthétiques pour nos deux cohortes soit la cohorte 1997-1998 et 1998-1999.

B) Différents taux : les différents taux que nous analyserons vont nous permettre de mesurer le rapport&poids des différents résultats obtenus dans la constitution globale ou d'échantillon des étudiants tiré sur base des différents critères de discrimination.

III.3.ECHANTILLONNAGE

L'échantillon est un sous ensemble de la population de base qui est interrogé après sélection lors d'une enquête18(*).

Pour ce qui est de notre travail, l'échantillon qui concerne notre analyse est ce de la cohorte de l'année 1997-1998 et la cohorte de l'année 1998-1999. Plus précisément nous allons plus nous focaliser sur l'échantillon de la dernière promotion soit la promotion de la 2ième licence car elle va nous aidé à analyser le taux de l'école de provenance des étudiants sous analyse et son impact sur la réussite de ce dernier, la signification du pourcentage obtenue par l'étudiant aux épreuves de l'examen d'état

Cependant, en ce qui est de la présentations des options choisies par l'étudiant soit pour ce qui est de notre faculté d'économie que nous analysons l'option économie rurale ou la gestion financière nous ne seront pas obligé de le considérés quelque soit la différenciation des cours car nous ne seront pas obligé de biaiser nos résultats obtenue lors de nos analyses.

Tableau n° 5 : Présentation de la cohorte relative à l'année académique 1997-1998

Cohorte

Total effectif

participants

Echecs

Réussite

Abandon

Total générale étudiants

Promotion

Année

G

F

1ièr session

2ièm session

G

F

G

F

G

F

G1

1997-1998

32

19

51

35

11

5

20

9

2

4

51

G2

1998-1999

19

9

39

39

4

4

15

5

-

-

28

G3

1999-2000

16

5

32

22

-

-

16

5

4

-

21

L1Ecorur

2000-2001

3

2

10

10

1

-

2

2

1

-

5

L1Gefin

2000-2001

9

2

22

22

-

-

9

2

-

-

11

L2Ecorur

2001-2002

2

2

8

8

-

-

2

2

-

-

4

L2Gefin

2001-2002

9

2

19

19

1

-

8

2

1

-

11

Source : Palmarès apparitorat central

Il ressort de ce tableau un effectif significatif observé en graduat qu'en licence. Cette écart en effectif est expliquer du fait que soit certains étudiants on pu abandonnée suite à l'observation des échecs qu'ils ont pu avoir au courant de leurs cursus universitaire, soit par une orientation vers le marché du travail (marché d'emploie) soit par un taux de chômage élevé de la part des étudiants ou des parents qui supportent leurs frais académiques et tout ceci conduit à la non poursuite des cours au second cycle(la licence) par les étudiants.

Mais aussi nous remarquons dans le tableau n°5 qu'au début de l'année académique de cette cohorte l'on observe un grand nombres d'étudiants garçons que d'étudiantes filles cela peut signifier que durant cet début d'année académique(soit l'année 1997-1998)les étudiants garçons ont beaucoup préférer la faculté d'économie que les étudiantes filles ;et l'évolution de cette cohorte durant les année académiques s'est achevé avec un grand nombre d'étudiants garçons qu'étudiantes filles(soit au début de l'année de cette cohorte nous avons 32garcons et 19filles et à la fin de l'année de cette cohorte nous remarquons 11garcons et 4filles les deux options d'économie confondus)

Tableau n° 6 : Présentation de la cohorte relative à l'année académique 1998-1999

Cohorte

Total effectif

participants

Echecs

Réussite

Abandon

Total générale étudiants

promotion

Année

G

F

1ièr session

2ièm session

G

F

G

F

G

F

G1

1998-1999

15

25

40

23

5

9

11

15

-

-

40

G2

1999-2000

1O

16

34

33

-

-

10

16

-

-

26

G3

2000-2001

7

13

31

29

-

1

7

12

-

-

20

L1Gefin

2001-2002

8

13

29

29

2

4

6

9

-

-

21

L1Ecorur

2001-2002

1

1

7

7

1

-

-

1

-

-

2

L2Gefin

2002-2003

6

9

23

23

-

-

6

9

-

-

15

L2Ecorur

2002-2003

-

1

5

5

-

-

-

1

-

-

1

Source : Palmarès apparitorat central

Au vue de ce tableau, nous constatons une supériorité des effectifs estudiantins du genre masculine par rapport à celle du genre féminine mais aussi un nombre significatif en total estudiantins en graduat qu'en licence.

Contrairement au tableau n°5, le tableau n°6 requiert un nombre plus grande du genre féminine que masculine au début de sa promotion de graduat soit 25Filles sur 15Garcons la somme qui nous donne un effectif totales en G1économie de 40 étudiants.

a) Effectif total : Est le nombre d'individus qui correspondent au même caractère19(*).

Pour ce qui est de notre travail, l'effectif total donne l'évolution des effectifs estudiantins au sein de l'université au fil de du temps. L'effectif concerne seulement les flux qui entrent en formation dès le début de l'année académique et on suit son évolution (parcours) jusqu'à sa sortie d'une promotion à une autre. .

L'effectif total de la cohorte des années académique :

- 1997-1998 est de : 51(début de l'année de la cohorte), 28, 21, 16,15(fin de parcours des étudiants dans la cohorte, toutes facultés confondus) cfr tableau n° 5

- 1998-1999 est de : 40(étudiants début de l'année académique de la cohorte), 36, 20, 23,16(étudiants fin parcours dans la cohorte) cfr tableau n°6

- Nous avons jugés bon de séparer ses effectifs pour mieux comprendre la contribution réelle de chaque cohorte dans ces effectifs. Ainsi nous avons le total des effectifs des garçons et ceux des filles et valeur absolue pour les 2cohortes mais aussi le total des participants de chaque cohorte:

- Pour ce qui est des effectifs total par sexe de la première cohorte

TEG : 32, 19, 16, 3, 9, 2, 9 cfr tableau n°5

TEF : 19, 9, 5, 2,2, 2, 2 cfr tableau n°5

- Pour ce qui est des effectifs total par sexe de la deuxième cohorte

TEG : 15, 10, 7, 8, 1,6, 0 cfr tableau n°6

TEF : 25, 16, 13, 13, 1, 9, 1 cfr tableau n°6

Par cette analyse nous constatons que la première cohorte a acquis une effectivité élevée en genre masculin que la deuxième cohorte contrairement à la deuxième cohorte qui a acquis un nombre élevée du genre féminin par rapport à la première cohorte. C'est ainsi que, le genre (sexe) aura un impact significatif dans notre analyse.

Pour ce qui est de l'effectif total des participants première et deuxième sessions aux examens à l'université, (tous les étudiants de la cohorte sous étude qui participe à l'épreuve des examens y compris ceux qui ne sont pas dans la cohorte d'étude c.-à-d.les redoublent que l'on rencontre dans les différentes promotions et les étudiants qui se sont inscrits dans la promotion)

- Première cohorte :

TEGP 1ière session : 51, 39, 32, 10, 2, 2, 8 cfr tableau n°5

TEGP 2ième session : 35, 39, 22, 10, 22, 8 cfr tableau n°5

- Deuxième cohorte :

TEG 1ière session : 40, 34, 31, 29, 7, 23, 5 cfr tableau n°6

TEG 2ième session : 23, 33, 29, 29, 7, 23, 5 cfr tableau n°6

Nous constatons dans notre analyse que les participations aux examens de premier session est grande par rapport aux examens de deuxième sessions .ceci peut se justifier par les échecs obtenue en premier session ou le fautes de paiement des frais académique pour passe la seconde session.

III.4.ANALYSE

Pour ce qui est de notre analyse, nous avons bon jugée de concevoir un tableau comportant 10lignes et 12colonnes, ce tableau est composé du taux de réussite par sexe (soit le sexe masculin et féminin), du taux d'échec par sexe, du taux d'abandon par sexe et enfin l'effectif total de la désignation des promotions. La dernière ligne dans le tableau reprend la moyenne de pourcentage total par sexe du taux de réussite globale, le taux d'échec global ainsi que le taux d'abandon global.

Tableau n° 7 : Synthétique des flux pour la première promotion des diplômés en sciences économiques et de gestion (cohorte 1997-1998)

Cohorte (1997-1998)

Taux de réussite/sexe

T.R.G

Taux d'Echec/sexe

T.E.G

Abandon/sexe

T.A

Total Effectif

Promotion

Années

M

F

M

F

M

F

G1

1998-1999

39,21%

17,64%

56,85%

21,56%

9,80%

31,36%

3,92%

7,84%

11,76%

100,00%

G2

1999-2000

53,57%

17,85%

71,42%

14,28%

14,28%

28,56%

0,00%

0,00%

0,00%

100,00%

G3

2000-2001

76,19%

23,80%

99,99%

0,00%

0,00%

0,00%

0,00%

0,00%

0,00%

100,00%

L1ECORUR

2001-2OO2

40,00%

40,00%

80,00%

20,00%

0,00%

20,00%

0,00%

0 ,00%

0,00%

100,00%

L1GEFIN

81,81%

18,18%

99,99%

0,00%

0,00%

0,00%

0,00%

0,00%

0,00%

100,00%

L2ECORUR

2OO2-2003

50,00%

50,00%

100,00%

0,00%

0,00%

0,00%

0,00%

0,00%

0,00%

100,00%

L2GEFIN

72,72%

18,18%

90,9%

9,09%

0,00%

9,09%

0,00%

0,00%

0,00%

100,00%

TOTAUX

MOYENNE

59,07%

26,52%

85,59%

9,27%

3,44%

12,71%

0,56%

1,12%

1,68%

100,00%

Tableau n°8 : Synthétique des flux pour la deuxième promotion des diplômés en sciences économiques et de gestion (cohorte 1998-1999)

Cohorte (1997-1998)

Taux de réussite/sexe

T.R.G

Taux d'Echec/sexe

T.E.G

Abandon/sexe

T.A

Total Effectif

Promotion

Années

M

F

M

F

M

F

G1

1997-1998

27,5%

37,5%

65,00%

12,5%

22,5%

35,00%

0,00%

0,00%

0,00%

100,00%

G2

1998-1999

38,46%

61,53%

99,99%

0,00%

0,00%

0,00%

0,00%

0,00%

0,00%

100,00%

G3

1999-2000

35,00%

60,00%

95,00%

0,00%

5,00%

5,00%

0,00%

0,00%

0,00%

100,00%

L1ECORUR

2000-2OO1

28,57%

42,85%

71,42%

9,52%

19,04%

28,56%

0,00%

0,00%

0,00%

100,00%

L1GEFIN

0,00%

50,00%

50,00%

50,00%

0,00%

50,00%

0,00%

0,00%

0,00%

100,00%

L2ECORUR

2OO1-2002

40,00%

60,00%

100,00%

0,00%

0,00%

0,00%

0,00%

0,00%

0,00%

100,00%

L2GEFIN

0,00%

100,00%

100,00%

0,00%

0,00%

0,00%

0,00%

0,00%

0,00%

100,00%

TOTAUX

MOYENNE

24,21%

58,84%

83,05%

10,28%

6,64%

16,93%

0,00%

0,00%

0,00%

100,00%

Analyse, explication et comparaison de nos deux tableaux (cohorte)

1) Taux de Réussite Global(T.R.G)

Le taux de réussite a pour formule suivante : TRG= ×100

Cette formule nous a était énormément utile lors des calculs du taux de réussite global en ce qui concerne nos deux cohorte que nous analysons.

Nous constatons un pourcentage élevé du taux de réussite globale pour ce qui est de nos deux cohortes soit un taux de réussite global de 85,59% pour ce qui est de la première cohorte et 83,05% pour la seconde cohorte.

Ainsi la raison explicative de cette hausse en pourcentage de réussite s'explique par l'effectif total de réussite. D'où ne pas perdre de vues devant le résultat obtenue par la formule haut du taux de réussite globale en allant en besogne dans des conclusions vide.de ce fait, il faut d'abord comprendre que le taux de réussite globale des effectifs de chaque cohorte s'agissant du critère genre, dépend des effectifs que des performances réelles de la cohorte ou des étudiants.

2) Taux d'Echec Global(T.E.G)

C'est la même logique que le taux de réussite globale mais cette fois ci sans le sens d'échec.

Il est de ce fait de constaté que l'influence des effectifs se manifeste au niveau de l'échec car les plus grands effectifs ont aussi accusés plus d'échec.

Ce taux d'échec a pour formule : T.E.G= ×100

3) Taux d'Abandon Global(T.A.G)

Le taux d'abandon global nous montre le pourcentage des étudiants qui ont abandonné au fil du temps sans tenir compte des causes. D'où nous avons effectué une répartition par sexe qui nous a permit de comprendre de près le comportement de ce taux au fil du temps.

Ainsi en ce qui concerne nos deux cohortes, nous avons un taux moyen d'abandon global de 1,68% pour la première cohorte et 0,00%pour la deuxième cohorte.vu de près, nous constatons que la deuxième cohorte à un taux nul soit de zéro pourcent ceci peut être justifié par le fait que bien qu'ils aient échoué, les étudiants n'abandonnent pas pour autant les études.

4) Taux de Refus

L'ancien règlement académique prévoyait de refuser les étudiants qui ont atteint un score minimum à celui fixé de minimum normal. Mais il est à noter que ces étudiants n'ont pas étaient victimes des tels traitements tout au long de leur formation.

Ce taux n'a pas été significatif pour nos analyses.

5) Taux de Réussite/Sexe

Ce taux est plus comparatif car il vient résoudre les limites manifestées par le taux de réussite, et nous permet de déceler la vraie performance de la cohorte en étude. C'est à dire la performance réelle de la cohorte au fil du temps.

Pour ce qui est de ce taux, elle nous montre la réussite de chaque cohorte et se calcul de la manière suivante : TR/S=

De ce fait, notre première cohorte présente en G1 un taux de réussite de 39,21% pour les garçons et 17,64% pour les filles. Ainsi partant de ce taux nous constatons que les garçons sont plus performantes que les filles contrairement en ce qui est de la deuxième cohorte les filles ont un taux de réussite élevé que les garçons.

6) Taux d'Echec/Sexe

Ce taux nous permet avec une plus grande précision de savoir les véritables échecs(le poids d'échecs) que nous retrouvons dans chaque cohortes c'est-à-dire sur un total de X participants qui constitue la cohorte combien ont échoué ?

Ainsi la formule utilise pour la détermination de ce taux est la suivante : TES/S=

7) Taux de Réussite/Total Réussite

L'objectif recherché dans le calcul de ce taux est d'analyser le poids de réussite que comporte chaque cohorte dans la réussite totale.

D'où la formule suivante : TR/total réussite=

8) Taux d'Echec/Total Echec

En ce qui concerne le calcul de taux c'est la même logique que le calcul du taux de réussite mais d'une manière différente C'est-à-dire qu'ici nous recherchons à comprendre la part de chaque cohorte dans le total échec.

La formule utiliser est : TE/total échec=

III.5. ANALYSE DES DONNEES LIEES AUX CARACTERISTIQUE A L'ENTREE

v PERFORMANCE PAR SEXE

1. Cohorte 1997 (soit l'année académique 1997-1998)

Tableau n°9 : Performance par sexe pour la première cohorte

SEXE

Inscription

G1

G2

G3

L1ECOR

L1GEFIN

L2ECOR

L2GEFIN

Masculin

32

32

19

16

3

9

2

9

Féminin

19

19

9

5

2

2

2

2

TOTAL

51

51

28

21

5

11

4

11

Source : grille de délibération/faculté de médecine

Partant de ce tableau nous constatons que l'effectif total estudiantin au commencement était de 51étudiants dont 32garcons et 19filles et l'effectif total de fin est de 15étudiants toutes les options confondues dont 4filles et 11garcons.

2. Cohorte 2001 (soit l'année académique 1997-1998)

Tableau n°10 : Performance par sexe pour la deuxième cohorte

SEXE

Inscription

G1

G2

G3

L1ECOR

L1GEFIN

L2ECOR

L2GEFIN

Masculin

15

15

10

7

1

8

0

6

Féminin

25

25

16

13

1

13

1

9

TOTAL

40

40

26

20

2

21

1

15

Source : grille de délibération/faculté de médecine

Ce tableau fait apparaitre clairement que lors de l'inscription l'effectif total était de 40étudiants dans cette cohorte soit un effectif de 15étudiants de sexe masculin et 25étudiants de sexe féminin.

A la fin de la première année de graduat, seuls 15garcons et 25filles sont passé de promotion et qu'à la fin de la deuxième année de graduat, seul 10garcons et 16filles sont passé en troisième année de graduat et qu'enfin de compte seuls 6garcons et 10filles ont terminé avec succès le cursus universitaire.

En combinant les 2 cohortes ensemble nous remarquons que la première cohorte est plus performante que la deuxième cohorte.

v AGE ET POINT OBTENUS AUX EXAMENS D'ETAT

1. Cohorte 1997 (soit l'année académique 1997-1998)

Tableau n°11 : Age et points obtenus aux examens d'Etat pour la première cohorte

Pourcentage

18ans

19ans

20 ans

21 ans

22 ans

23 ans

24 ans

25 ans

26 ans et plus

50-54

-

1

10

4

6

4

-

2

1

55-59

-

-

1

3

1

-

-

1

1

60-64

-

1

2

2

1

2

2

-

-

65-69

-

1

-

1

-

2

-

-

-

70-74

-

-

-

-

-

-

-

-

-

75-79

-

-

-

-

-

1

-

-

-

80 et plus

-

-

-

-

-

-

-

-

-

TOTAL

 

3

13

10

8

10

2

3

2

Source :Donnée tiré de l'apparitorat central de l'UCB

2. Cohorte 1997 (soit l'année académique 1997-1998)

Tableau n°12 : Age et points obtenus aux examens d'Etat pour la deuxième cohorte

Pourcentage

18ans

19ans

20 ans

21 ans

22 ans

23 ans

24 ans

25 ans

26 ans et plus

50-54

1

5

8

1

5

1

2

-

-

55-59

1

4

5

1

-

-

-

-

-

60-64

-

1

-

-

-

-

-

-

-

65-69

-

-

-

-

-

-

-

-

-

70-74

-

-

-

-

-

-

-

-

-

75-79

-

-

-

-

-

-

-

-

-

80 et plus

-

-

-

-

-

-

-

-

-

TOTAL

2

10

13

2

5

1

2

-

-

Source :Donnée tiré de l'apparitorat central de l'UCB

Nous procéderons par une analyse de la performance, la quelle est concerné par chaque étudiant qui a abordé l'université. Cette analyse est possible grâce à l'étude des résultats obtenus par chaque candidat aux épreuves des examens d'état.

a. La Fréquence absolue (ni) : est le nombre de fois qu'une observation apparait dans une série statistique ou dans une série de données.

b. La Fréquence relative(Fr) : pour le cas des variables regroupées en classe, on peut associer un nombre qui représente le pourcentage d'observation correspondant à la valeur ou à la classe considérée.

Elle se calcul comme suit : Fr=

Avec N la taille de l'échantillon et ?Fr=1

c. Le mode(M) : est la valeur de la variable de la fréquence la plus grande observée. On parle de la classe modale pour les données groupées en classe

M=Ni le plus grand.

d. La moyenne arithmétique(X) : considérons une statistique x1, x2, x3,..., xn : on définit la moyenne arithmétique par : X=

Pour les données en classe, la moyenne arithmétique est calculée de cette manière :

X=

Pour les données groupées en classe, le calcul de la moyenne arithmétique est :

Xc= avec Xs : borne supérieure de la classe et

Xi : borne inférieure de la classe

e. L'étendue de variation(EV) : l'étendue de variation est la distance qui va de la première à la dernière borne, lorsque la statistique est présentée en tableau.

EV=xs-xi

f. La variance (s2) : la variance est la moyenne arithmétique des carrés des écarts par rapport à la moyenne de la distribution étudiée.

S2 =

Pour la statistique regroupée en classes : S2 =

g. L'écart-type(S) : est donnée par la racine carrée de la variance. Elle est trouvée par la formule suivante : S= v S2

Sur base de cette littérature developpé ci haut, nous pouvons arriver à tracer le tableau suivant.

v Calcul de la moyenne pour la première cohorte:

= =56,4 %

v Calcul de la moyenne pour la deuxième cohorte:

= =53,85%

Tableau n°13 : Tableau des fréquences pour la première cohorte

Classe

Centre

Ni

Fr

Xc-X

(Xc-X) 2

Ni(Xc-X) 2

50-54

55-59

60-64

65-69

70-74

75-79

80et plus

52

57

62

67

72

77

82

28

7

10

4

0

1

0

55

14

20

9

0

2

0

-4,4

0,6

5,6

10,6

15,6

20,6

25,6

19,36

0,36

31,36

112,36

243,36

424,36

655,36

542,08

2,52

313,6

449,44

0

424,36

0

Source : Nos propres calculs

En analysant le tableau ci haut nous constatons que sur 50 étudiants que comporte cette première cohorte, 28étudiants seulement ont obténue un pourcentage compris entre 50 et 54% aux epreuves des examens d'Etat et 7 étudiants ont obténus un pourcentage compris entre 55et 59% et les autres étudiants ont obténus un pourcentage au-delà de 59% seul 1étudiants avaient eu plus de 74% aux epreuves des examens d'Etat.

Tableau n°14 : Tableau des fréquences pour la deuxième cohorte

Classe

Centre

Ni

Fr

Xc-X

(Xc-X) 2

Ni(Xc-X) 2

50-54

55-59

60-64

65-69

70-74

75-79

80et plus

52

57

62

67

72

77

82

23

11

1

0

0

0

0

66

31

3

0

0

0

0

-1,85

3,15

8,15

13,15

18,15

23,15

28,15

3,42

9,92

66,42

172,92

329,42

535,92

792,42

78,66

109,12

66,42

0

0

0

0

Source : Nos propres calculs

Pour ce qui est de la deuxième cohorte, comme nous le constatons sur un effectif de 40 étudiants seul 23étudiants ont obtenus un pourcentage compris entre 50 et 54%, 11étudiants ont obtenus un pourcentage comprise entre 55 et 59% et seul un étudiant a obtenus un pourcentage compris entre 60 et 64%.aucun étudiants dans cette cohorte n'a obténus plus de 65%.

NB : En ce qui concerne notre deuxième cohorte on a pas trouvé plus de renseignement pour la totalité des étudiants qui constitue la cohorte ; on a trouvé que les renseignements qui concerne 35 étudiants et ce sur base de ce 35 étudiants qu'on a pu dessiner le tableau de frequence de la deuxième cohorte.

v ECOLE D'ORIGINE DES FINALISTES ET PROBABILITE DE REUSSITE D'UNE COHORTE

La probabilité de réussite d'une cohorte est trouvée en faisant le rapport entre les étudiants qui sont arrivés en dernière année et des étudiants qui sont inscrits en première année.

- Pour ce qui est de la première cohorte toute les options soit la Gestion financière ou l'Economie Rural (cohorte 1997-1998)

Tableau n°15 : Tableau finaliste Gestion financière pour la première cohorte

Nom

Sexe

Ecole d'Origine

1

2

3

4

5

6

7

8

9

10

11

Balikubirhi Baleka

Bushenyula Ntasongerwa

Buzigwa Machafu

Miruho Mushang

Musole Mwanamupenzi

Bisimwa Cirimwami

Kayumba Muzaliwa

Mbombo Kabamba

Mweze Muhashirwa

Nfundiko Kusinza

Ombeni Muhongo

M

M

F

M

M

M

M

F

M

F

M

Collège ALFAJIRI

Inst. BWINDI

Collège ALFAJIRI

EDAP/ISP

Collège ALFAJIRI

Collège ALFAJIRI

Inst. MIBAKE

TSHILENGE

Inst. IBANDA

Lycée WIMA

Inst. BWINDI

Source :Donnée tiré de l'apparitorat central de l'UCB

Sur base de ce tableau qui concerne la première cohorte et plus précisément la faculté d'économie l'option Gestion financière, nous constatons que 36,36% des étudiants venant du collège alfajiri on terminé avec succès le cursus universitaire et que 18,18% des finalistes qui ont terminé leurs cursus universitaire nous viennent de l'institut Bwindi et que 54,54% des finalistes restant sont repartit entre le Lycée Wima,Institut d'IBANDA, Tshilenge, Institut Mibake, et l'EDAP. En conclusion nous pouvons ressortir que les étudiants qui viennent du collège alfajiri ont été plus performants que ceux des autres institutions car ces étudiants qui ont terminé leurs cursus universitaire, la majorité nous viennent du collège Alfajiri.

Tableau n°16 : Tableau finaliste Economie rural pour la première cohorte

Nom

Sexe

Ecole d'Origine

1

2

3

4

Kulimushi Mugisho

Magambo Budundwa

Mufungizi Nabintu

Muke Zawadi

M

M

F

F

Inst. BWINDI

Inst. BWINDI

Lycée NYAKAVOGO

Collège ALFAJIRI

Source :Donnée tiré de l'apparitorat central de l'UCB

Pour ce qui est de la faculté d'économie rurale, nous constatons que les étudiants venus de l'institut Bwindi qui constitue 50% de l'effectif estudiantins de la faculté d'Economie Rural ont été plus performants que ceux venus du lycée Nyakavogo et du collège alfajiri.

- Pour ce qui est de la deuxième cohorte toute les options soit la Gestion financière ou l'Ecorur (cohorte 1998-1999)

Tableau n°17 : Tableau finaliste Gestion Financière pour la deuxième cohorte

Nom

Sexe

Ecole d'Origine

1

2

3

4

5

6

7

8

9

10

11

12

13

14

15

Bunvage Rugendabanga

Bwihagane Chubaka

Byamungu Ruhambya

Cikomola Imani

Ilunga Kabamba

Kambaza Kagero

Luganda Cikuru

Lukuli Petmoya

Matara Basimike

Matata Sitala

Moza Nafisa

Mulanga Mbamba

Paluku Mutokabali

Uwamwiza Sereine

Zigabe Balume

F

M

M

F

F

M

M

M

F

F

F

F

M

F

Lycée Cirezi

Collège Mwanga

ITCB/S-K

Lycée Wima

Lycée Cirezi

C.S. Delemba

Inst Kitumaini

ITFM

Lycée Wima

Inst. Lwanzururu

Inst. Lwanzururu

Lycée Wima

Lumbya

C.S. Espoir

Source :Donnée tiré de l'apparitorat central de l'UCB

Sur base de ce tableau, il ressort que 20% d'étudiants qui ont terminé leur cursus académique dans cette cohorte viennent Lycée Wima,13,3%viennent du Lycée Cirezi,13,3% d'étudiants viennent aussi de l'institut Lwanga et que le 53,4% restant sont répartis entre les étudiants qui sont venus de 7 autres instituts à savoir l'institut Mwanga,C.S. Espoir,Lumbya,l'ITFM, l'institut Tumaini, C.S. Delemba et l'ITCB.

Tableau n°18 : Tableau finaliste Economie rural pour la deuxième cohorte

Nom

Sexe

Ecole d'Origine

1

Mushekuru Binja

F

Lycée Nyakavogo

Source :Donnée tiré de l'apparitorat central de l'UCB

Contrairement à la première cohorte plus précisément dans l'option Economie rurale nous constatons que la deuxième cohorte dans la faculté d'économie rural(Economie rural deuxième cohorte) les étudiants venus du Lycée Nyakavogo sont le plus performants soit avec une probabilité de réussite garantie de 100%.

La probabilité de réussite est trouvée par le rapport entre le nombre des finalistes et le nombre d'étudiants inscrits en première année de graduat soit pour ce qui est de notre deuxième cohorte toutes les facultés confondus (faculté de Gestion financière et d'Economie rural) : Probabilité réussite deuxième cohorte =0,4 soit une probabilité de 40% ce qui est de loin inférieure à la moyenne.

NB : il est pratiquement impossible pour une cohorte de terminer son cursus universitaire avec une probabilité de réussite de 100% car durant le parcours universitaire les étudiants se heurtent sur plusieurs difficultés notamment les grèves observées au sein de l'université, les manques de paiement de certains étudiants, l'arrêt des cours au milieu de l'année académique(soit lorsque les étudiants constate que les cours leurs deviennent difficile et se décident d'abandonnée les études), soit lorsque les étudiants décident de laisses les cours quand ils obtiennent leurs diplôme de grade et se jettent dans le monde du travail,....

v POINT OBTENUS A L'EXAMEN D'ETAT ET POINTS OBTENUS A L'UNIVERSITE

Les tableaux suivants nous permettent de constate l'évolution des points des étudiants finalistes obtenus à l'université depuis leurs première année de graduats jusqu'en dernière année (c'est-à-dire en licence L2) et faire ainsi leurs moyennes pour enfin comparer cette moyenne des points aux points obtenus à l'examen d'état et en ressortir quelques conclusions par rapport aux résultats obtenus.

Tableau n°19 : Tableau des étudiants finalistes mettant en relation les points obtenus à l'examen d'Etat et l'évolution des points académiques des étudiants pour la première cohorte toutes les facultés comprises(Gestion financière et Economie rural)

NOMS

Sexe

EXETAT

G1

G2

G3

L1

L2

MOYENNE

1

Balikubirhi Baleka

M

63%

59%

65,8%

67,6%

66,9%

68,8%

65,6%

2

Bushenyula Ntasongerwa

M

56%

58%

61%

65,5%

69%

67,9%

64,2%

3

Buzigwa Machafu

F

59%

63%

60,7%

58,2%

65,4%

69,5%

63,3%

4

Miruho Mushang

M

75%

71%

69,6%

75,9%

73,4%

80,5%

74%

5

Musole Mwanamupenzi

M

67%

66%

60,6%

63,09%

67,5%

69%

65,2%

6

Bisimwa Cirimwami

M

66%

63%

61,3%

65,6%

58,1%

58%

61,2%

7

Kayumba Muzaliwa

M

54%

60%

56,5%

65,4%

59,5%

58,1%

59,9%

8

Mbombo Kabamba

F

51%

66%

63,3%

62,8%

63,2%

61,8%

63,4%

9

Mweze Muhashirwa

M

52%

62%

59,5%

61,4%

61,9%

70,4%

63%

10

Nfundiko Kusinza

F

62%

63%

61%

66%

69,5%

72,6%

66,4%

11

Ombeni Muhongo

M

64%

64%

63,5%

66,1%

62,5%

ABD

51,2%

12

Kulimushi Mugisho

M

59%

65%

67,3%

68,9%

66,06%

72%

67,8%

13

Magambo Budundwa

M

60%

60%

59,5%

56,8%

58,65%

69,4%

60,8%

14

Mufungizi Nabintu

F

51%

68%

71,2%

75,1%

67,6%

72,4%

70,8%

15

Muke Zawadi

F

63%

66%

67,8%

64,03%

67,88%

61,3%

65,4%

Source :Donnée tiré de l'apparitorat central de l'UCB

Tableau n°20 : Tableau des étudiants finalistes mettant en relation les points obtenus à l'examen d'Etat et l'évolution des points académiques des étudiants pour la deuxième cohorte toutes les facultés comprises (Gestion financière et Economie rural)

NOMS

Sexe

EXETAT

G1

G2

G3

L1

L2

MOYENNE

1

Bunvage Rugendabanga

F

57%

59,5%

60,4%

62,6%

59,1%

72,%

62,7%

2

Bwihangane Chubaka

M

55%

62,3%

63,3%

63,3%

58,1%

72,2%

63,8%

3

Byamungu Ruhambya

M

50%

64,7%

62,5%

65,6%

56,6%

66,6%

63,2%

4

Cikomola Imani

F

56%

58,8%

62,9%

60%

59,2%

64%

60,9%

5

Ilunga Kabamba

F

53%

64,4%

59,6%

61%

57%

65,1%

61,4%

6

Kabamza Kagero

M

59%

68,5%

62,1%

64,7%

66,4%

71,9%

66,7%

7

Luganda Cukuru

M

55%

65,3%

70%

64,6%

70,8%

67%

67,5%

8

Lukuli Petemoya

M

68%

78,7%

80%

73,6%

74,1%

85,2%

78,3%

9

Matara Basimike

F

54%

64,8%

57,6%

61,4%

55,9%

67,4%

61,4%

10

Matata Sitala

F

53%

68,7%

69,6%

62,7%

67,3%

74,2%

68,5%

11

Moza Nafisa

F

53%

62,8%

63,3%

60,5%

58,5%

67,3%

62,4%

12

Mulanga Mbamba

F

55%

60,4%

62,2%

65%

60,3%

68,1%

63,2%

13

Paluku Mutokabali

M

59%

69,1%

70,4%

68,4%

66,1%

75%

69,8%

14

Uwamwiza Sereine

F

58%

64,1%

75,1%

69%

66%

73,7%

69,5%

15

Zigabe Balume

F

52%

57,3%

63,1%

59,4%

60,2%

66,7%

61,3%

16

Mushekuru Binja

F

50%

69,6%

62,4%

59,6%

56,2%

65,7%

62,7%

Source :Donnée tiré de l'apparitorat central de l'UCB

Nous remarquons de par ces 2 tableaux ci haut qui regroupe les étudiants finalistes mettent en relation les points obtenus aux épreuves des examens d'Etat et la moyenne des points obtenus à l'université que la performance des cohortes se justifie par les caractéristiques des données contenues dans le dossier d'un étudiant lors de son inscription. Nous remarquons également de part ses analyses que si un étudiant est né intelligent il reste intelligent tout au long de son parcours universitaire ceci se voit en comparant les points obtenus à l'examen d'Etat et la moyenne des points obtenus à l'université pendant toutes la durée du parcours de l'étudiant dans la faculté d'Economie. Mais aussi par le courage que peut effectuer un étudiant tout au long de son parcours scolaire peut justifier sa performance.

On remarque aussi que les garçons sont plus performant que les filles soit 16garcons sur 15filles pour ce qui est de nos deux cohorte confondus et que le collège mwanga est l'institution la plus performance de 17institution que comporte nos deux cohortes car la majorité des finalistes viennent de cette institution suivi en second lieu de l'institut bwindi et du lycée wima.

Tableau n°21 : Tableau effectif estudiantins de la facultés des sciences économiques et de gestion de tout les étudiants que comporte la première cohorte depuis le début de l'année classement selon les critères sexe, âge, pourcentage a l'examen d'Etat, section d'origine, année d'obtention du diplôme et école d'origine(cohorte 1997-1998)

Sexe

Âge

Section d'origine

% Examen d'Etat

Année d'obtention

Ecole d'origine

1

2

3

4

5

6

7

8

9

10

11

12

13

14

15

16

17

18

19

20

21

22

23

24

25

26

27

28

29

30

31

32

33

34

35

36

37

38

39

40

41

42

43

44

45

46

47

48

49

50

M

M

M

F

F

M

M

M

F

M

F

F

M

M

F

M

F

M

F

F

M

M

M

F

M

M

M

F

M

M

F

M

M

F

M

M

F

M

M

M

F

M

F

M

M

F

F

M

M

F

24 ans

25 ans

21 ans

21 ans

20 ans

23 ans

21 ans

22 ans

21 ans

21 ans

20 ans

23 ans

21 ans

20 ans

23 ans

20 ans

22 ans

21 ans

22 ans

22 ans

20 ans

19 ans

21 ans

23 ans

20 ans

25 ans

23 ans

23 ans

23 ans

20 ans

20 ans

22 ans

20 ans

23 ans

22 ans

20 ans

23 ans

19 ans

23 ans

21 ans

30 ans

20 ans

21 ans

22 ans

21 ans

20 ans

25 ans

30 ans

19 ans

22 ans

Math physique

Commerciale

Math physique

Pédagogie

Biochimie

Commerciale

Commerciale

Commerciale

Commerciale

Math physique

Commerciale

Pédagogie

Commerciale

Pédagogie

Commerciale

Biochimie

Commerciale

Pédagogie

Pédagogie

Commerciale

Commerciale

Littéraire

Biochimie

Commerciale

Pédagogie

Commerciale

Commerciale

Math physique

Biochimie

Commerciale

Commerciale

Pédagogie

Biochimie

Biochimie

Math physique

Commerciale

Commerciale

Commerciale

Commerciale

Commerciale

Pédagogie

Commerciale

Commerciale

Commerciale

Commerciale

Commerciale

Commerciale

Commerciale

Commerciale

Technique

60%

52%

63%

53%

52%

52%

66%

51%

56%

59%

51%

67%

50%

53%

60%

52%

64%

50%

52%

54%

59%

61%

56%

60%

51%

56%

51%

75%

51%

51%

53%

58%

63%

61%

51%

50%

67%

67%

52%

62%

57%

50%

64%

50%

51%

52%

50%

52%

51%

51%

1997

1996

1998

1996

1997

1995

1998

1996

1997

1997

1996

1998

1997

1997

1998

1998

1998

1997

1997

1997

1997

1998

1997

1998

1997

1997

1997

1998

1998

1997

1997

1997

1996

1997

1997

1997

1998

1998

1997

1998

1996

1997

1997

1995

1997

1997

1997

1998

1997

1997

Inst. KITUMAINI

Inst. D'IBANDA

Collège ALFAJIRI

L. MAHIDIO

Collège ALFAJIRI

Collège ALFAJIRI

Collège ALFAJIRI

Inst. BADIADINGI

Inst. BWINDI

Collège ALFAJIRI

Lycée WIMA

Inst. MAENDELEO

Inst. HERI/ITURI

Lycée CIREZI

Inst. LUMUMBA

C.S. KILIBA

Collège ALFAJIRI

Inst. FADHILI

Lycée CIREZI

Inst. MIBAKE

Inst. BWINDI

Collège ALFAJIRI

Collège ALFAJIRI

Inst. BWINDI

EDAC

Inst. BWINDI

G.S.BUJA

EDAP/ISP

C.S GOMBELE

Lycée NYAKAVOGO

Collège ALFAJIRI

Inst. MSAADA

Collège ALFAJIRI

Inst. MATOLEO

Inst. NYALUKEMBA

Inst. NYAKAVOGO

Inst. MWANGA

Collège ALFAJIRI

Athénée d'IBANDA

Lycée WIMA

Inst. LOWA

Inst. NYAKAVOGO

Inst. BWINDI

Inst. MIBAKE

C.S. ZAIROISE

Lycée WIMA

IRAMBO

CIDASA

EDAP/ISP

Inst. BWINDI

Source : Donnée tiré de l'apparitorat central de l'UCB

Tableau n°22 : Tableau effectif estudiantins de la facultés des sciences économiques et de gestion de tout les étudiants que comporte la deuxième cohorte depuis le début de l'année classement selon les critères sexe, âge, pourcentage a l'examen d'Etat, section d'origine, année d'obtention du diplôme et école d'origine(cohorte 1998-1999)

Sexe

Âge

Section d'origine

% Examen d'Etat

Année d'obtention

Ecole d'origine

1

2

3

4

5

6

7

8

9

10

11

12

13

14

15

16

17

18

19

20

21

22

23

24

25

26

27

28

29

30

31

32

33

34

35

36

37

38

39

40

M

M

F

M

M

F

F

M

M

M

F

F

M

M

F

M

M

M

F

F

F

F

F

F

M

F

F

F

M

F

F

F

M

F

F

20 ans

20 ans

17 ans

20 ans

20 ans

20 ans

20 ans

20 ans

22 ans

22 ans

20 ans

20 ans

19 ans

22 ans

19 ans

19 ans

18 ans

19 ans

21 ans

20 ans

20 ans

24 ans

23 ans

19 ans

22 ans

19 ans

19 ans

19 ans

20 ans

19 ans

22 ans

19 ans

24 ans

21 ans

20 ans

Commerciale

Commerciale

Commerciale

Pédagogie

Commerciale

Hôtesse

Pédagogie

Littéraire

Commerciale

Commerciale

Commerciale

Pédagogie

Commerciale

Commerciale

Pédagogie

Math physique

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Techn.elect

Commerciale

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Pédagogie

Commerciale

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Hôtesse

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Pédagogie

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1997

Ujiowa HERI

Inst. KASALI

Lycée NYAKAVOGO

AUTODIDACTE

Collège ALFAJIRI

Collège NYAKAVOGO

Lycée CIREZI

Collège MWANGA

ITCB/S-K

C.S. SUCKI

Lycée WIMA

Lycée CIREZI

Inst. BWINDI

Lycée de GOMA

Lycée CIREZI

C.S. DELEMBA/KIN

Inst. KITUMAINI/S-K

ITFM/S-K

Lycée NYAKAVOGO

Lycée WIMA

Inst. LWA NZURURU

Inst. De BUKAVU

Inst. LWANZURURU

Lycée WIMA

ITCB/BUKAVU

Lycée NYAKAVOGO

EDAC/ISGA

Lycée NYAKAVOGO

LUMBYA/N-K

Lycée NYAKAVOGO

Lycée NYAKAVOGO

Lycée NYAKAVOGO

Inst. FARAJA

EDAC/ISGA

C.S. ESPOIR

Source : Donnée tiré de l'apparitorat central de l'UCB

CONCLUSION

Notre travail avait le but de faire une analyse de la scolarité à l'université catholique de Bukavu, le cas de la faculté d'économie et de gestion.

Plusieurs questions ont guidé notre étude. La première question était de savoir les caractéristiques(biologique telles que l'âge, le sexe, les points obtenus aux examens d'état, école, section et option d'origine) contenus dans les dossiers que l'université possède sur l'étudiant lors de son inscription, la deuxième était formulée de manière à savoir la performance des cohortes d'étudiant à l'université, la probabilité de réussite que garantie une cohorte des étudiants s'inscrivant en première année de graduat de terminer leurs études universitaires après 5ans étant données leurs caractéristiques à l'entrée.

A ces questions nous avons fait correspondre trois hypothèses suivantes :

- La construction des outils d'analyse s'avère d'une grande pertinence pour la compréhension du comportement des cohortes et la prise des grandes décisions les concernant.

- La section et l'option d'origine au secondaire constitue un pré requis de grande taille pour la cohorte dans l'apprentissage et la réussite aux certains cours stratégiques à l'université.

- La performance d'une cohorte des étudiants à l'UCB dépend de sa prise de conscience individuelle et non de la caractéristique de la cohorte à l'entrée.

En grande partie, cette étude a été réalisée au niveau de l'apparitorat centrale, où nous avons récoltes maintes données qui nous permis de rédiger notre travail de fin de cycle

En outre, pour compléter les informations recueillis, des entretiens avec les responsables et personnels de l'université ont été menés.

L'objectif global de la présente étude est celui de faire une analyse de la scolarisation au sein de l'université catholique de Bukavu envue de comprendre les caractéristique qui qui fait la performance d'un étudiants de terminé son cursus académique.

Au cours de ce travail, il a été question de développer trois chapitres commencés par une introduction générale et terminés par une conclusion générale.

Le premier chapitre traitait de la revue de la littérature sur l'économie de l'éducation, là où nous avons pu clarifier quelques concepts clés utilisés dans ce travail, Le but du deuxième chapitre consisté à la présentation du milieu d'application de notre étude. il à était question de présenter d'abord les différents graphiques caractéristiques de la scolarité à l'U.C.B qui nous ont facilités la saisie de la tendance des effectifs d'abord pour toute l'université et ensuite pour chaque faculté cela en nous inspirant de nos tableaux d'effectifs conçus sur base des données puiser à l'apparitorat central ceci dé 1990 à 2010, il à était constater que la faculté de médecine constitue a elle seule 36,8% des effectifs estudiantins de l'U.C.B suivi de la faculté d'économie avec30,9% en effectif estudiantins ensuite la faculté de droit avec 22,6% et enfin la faculté d'agronomie avec 9,6%

Nous Après cela nous somme passé au troisième chapitre qui a parlé sur l'analyse et l'interprétation des données recueillies, ou nous avons dessiné quelques tableaux contenant les principaux taux qui nous a servi de comprendre au fil du temps la performance des étudiants qui constitue nos différents cohortes.

Ensuite nous avons exposés clairement les caractéristiques contenues dans les dossiers des différents étudiants finalistes à leur sortie de l'Université, ou nous avons ressortis la conclusion que l'âge moyen d'obtention des diplômes d'état pour ce qui est de la première cohorte est de 27ans et 25ans pour la deuxième cohorte. A observé cette constant nous partons conclure que la deuxième cohorte est plus performante que la première cohorte.

La première cohorte comme la deuxième cohorte sont mixte de ce fait qu'ils ont un nombre considérable des étudiants masculin comme féminin de ce fait nous somme amené à dire que les filles possèdent un quotient intellectuel très élevé par rapport aux garçons car en analysant leurs âge moyen d'entrer à l'université est relativement inferieur à celui des filles soit pour les garçons 21,2%et21, 1% pour les filles.

Partant des écoles d'origine nous remarquons que le collège ALFAJIRI était l'institution la plus dominante en ce qui concerne nos deux cohorte par rapport à d'autres institutions car elle a 11finalistes de diplômes, soit 10étudiants en première cohorte et 1étudiants dans la deuxième cohorte.

Cependant, nous ne pouvons pas affirmer avoir épuisé l'immense champ de la question ayant trait à la scolarisation plus précisément à l'université catholique de Bukavu, toutefois nous pensons que les chercheurs ultérieurs pourront nous compléter.

Enfin nous proposons aux futurs chercheurs intéressés par le domaine de la scolarisation plus précisément au sein de l'université catholique de Bukavu de se focaliser notamment sur : le taux de diplômassions de l'U.C.B, le déterminant de l'orientation des étudiants dans divers facultés qu'elle organise. Tout en présentant mes excuses pour d'éventuelles erreurs dans ce travail, je tiens a rappelé a tous mes lecteurs que l'oeuvre humaine n'a jamais atteint sa perfection, nous travaillons toujours sur des conjectures, des vérités réfutables alors aux générations futurs d'affirmer ou d'infirmer.

BIBLIOGRAPHIE

I.OUVRAGE :

1. GRAVOT P., Economie de l'éducation, Economica, 1993

2. VAIZEY J., Economie de l'éducation, collection Economie humanisme, Editions ouvrières, Paris, 1964

3. BEITONE Alain, LAZORLA Antoine, DOLLO Christine, DRAI Anne-Marie, Dictionnaire des sciences Economiques, Armand Collin, Paris, 2001.

4. Micro Robert(1998), Larousse illustré, Ed. Larousse, Paris

5. PAGE A., l'Economie de l'éducation, P.U.F, Paris, 1971

II.ARTICLES :

1. J.-J. DROESBERKE, C. VERMANDELE, la statistique au service d'un observatoire de l'enseignement supérieur, Revue de statistique appliquée, 2005, LIII(3), 5-34

2. BARNES R. (2004), Analyzing Service Quality : The case of Post-graduate Chinese students, Ed. LUBSU, United Kingdom

3. GRAMMAR M.J., NADIA N., Quels facteurs influencent les poursuites d'études dans l'enseignement supérieur ? , Août 2010

4. DENYSE L. D., analyse de la performance d'étudiants au baccalauréat en administration en fonction de leurs caractéristiques à l'entrée, actualité économique, vol. 1986, p.185-209

III.TFC :

1. AGANZE CIBEMBE Juste, Analyse de la scolarité à l'U.C.B : cas de la faculté d'agronomie, inédit/2009-2010

2. LIKIRYE SIFA M., analyse de la rentabilité des facultés de l'U.C.B : cas des facultés de Médecine et d'agronomie, inédit/2005-2006

3. NDOMBA KABEYA : les déterminants de la demande d'éducation : cas des choix des Institutions supérieures et universitaires à BUKAVU, inédit/2003-2004

4. BULANGALIRE S., analyse de la satisfaction des étudiants à l'U.C.B, inédit/2007-2008

5. AGANZE B., recherche du premier emploi efficacité du diplôme d'Université privée ou d'université publique, inédit

IV. SOURCES ELECTRONIQUES

1. BLAISE HAMENI (2005), Les méthodes actives dans le système éducatif camerounais : le cas de la NAP dans l'enseignement de la philosophie en classes de terminale à Yaoundé.

2. MEKONNE TOLROM(2007), Rendement Interne du Collège Charles Lwanga de Sarh (Tchad) : Cas de la cohorte 1987-1994

 

V. SYLLABUS et NOTE DE COURS

1. NTAGOMA J.B(2010), Notes de cours de Statistiques descriptive, U.C.B

2. ANONYME, Economie de l'Education, Editions Martouf

TABLE DES MATIERES

EPIGRAPHE................................................................................................I

DEDICACE................................................................................................II

REMERCIEMENT.......................................................................................III

LISTE DE GRAPHIQUES ET TABLEAUX........................................................IV

0. INTRODUCTION.....................................................................................6

0. I.PROBLEMATIQUE............................................................................6

0. II.HYPOTHESES DU TRAVAIL...............................................................8

0. III.CHOIX ET INTERET DU SUJET.......................................................... 8

1. A l'université catholique de Bukavu..................................................... 8

2. Au monde scientifique......................................................................8

0. IV.DELIMITATION DU SUJET...............................................................9

0. V.METHODE ET TECHNIQUE DU TRAVAIL..............................................9

V.1.Méthodes.....................................................................................9

a) Méthode comparative.................................................................9

b) Méthode historique.....................................................................9

c) Méthode statistique....................................................................10

V.2. Techniques.................................................................................10

a) Technique documentaire.............................................................10

b) Technique d'interview...............................................................10

0. VI.SUBDIVISION DU TRAVAIL............................................................10

CHAP I : REVUE DE LA LITTERATURE........................................................11

I.APPROCHE THEORIQUE................................................................11

I.1. DEFINITIONS DES CONCEPTS...............................................11

a) La Scolarité..................................................................11

b) Scolarisation..................................................................11

c) Cohorte........................................................................11

d) Taux de scolarité............................................................12

e) Taux de scolarisation........................................................12 

f) Taux de cohorte..............................................................12

g) Analyse statique.............................................................12

h) La sélection...................................................................13

i) taux d'alphabétisation.......................................................13

I.2. GENERALITES SUR L'EDUCATION........................................14

a) L'éducation..................................................................14

a) a. Concept d'éducation..............................................14

b) L'éducation dans l'histoire de la pensée économique...................15

c) Importance de l'éducation...................................................17

II.APPROCHE EMPIRIQUE..............................................................18

CHAP II. PRESENTATION DU MILIEU D'ETUDE............................................20

II.1. HISTORIQUE DE L'U.C.B..........................................................20

II.2. NATURE, MISSION ET OBJECTIFS DE L.UCB...............................20

II.2.1.Nature.....................................................................20

II.2.2.Mission.....................................................................21

II.2.3.Objectifs...................................................................21

II.3.STRUCTURE DE L'U.C.B...........................................................22

II.3.1Fonctionnement des services de l.UCB................................22

II.4. ORGANIGRAMME UNIVERSITE CATHOLIQUE DE BUKAVU............24

II.5 EVOLUTION DES EFFECTIFS ESTUDIANTINS DE L'AN 1990-2010...25

II.5.1 Effectifs estudiantins par année académique.........................25

II.5.2. Evolution des effectifs par faculté...................................27

II.5.3. Graphiques des tendances centrales par faculté.....................30

CHAP III. ANALYSE DE LA COHORTE (1997- 1998,1998-1999).........................35

III.1. INTRODUCTION.....................................................................35

III.2.METHODOLOGIE....................................................................35

Spécification des variables......................................................36

II.1. Méthode statistique........................................................38 

a) La moyenne arithmétique...........................................38 

b) Différents taux.......................................................38

III.3.ECHANTILLONNAGE.............................................................38

a) Effectif total.........................................................40 

III.4.ANALYSE............................................................................42

1) Taux de Réussite Global(T.R.G)...................................43

2) Taux d'Echec Global(T.E.G).......................................44

3) Taux d'Abandon Global(T.A.G)..................................44

4) Taux de Refus........................................................44

5) Taux de Réussite/Sexe..............................................44

6) Taux d'Echec/Sexe..................................................45

7) Taux de Réussite/Total Réussite..................................45

8) Taux d'Echec/Total Echec.........................................45

III.5. ANALYSE DES DONNEES LIEES AUX CARACTERISTIQUE A L'ENTREE...........................................................................................46

III.5.1 PERFORMANCE PAR SEXE.............................................46

III.5.2 AGE ET POINT OBTENUS AUX EXAMENS D'ETAT..............46

III.5.3 ECOLE D'ORIGINE DES FINALISTES ET PROBABILITE DE REUSSITE D'UNE COHORTE..................................................................50

III.5.4 POINT OBTENUS A L'EXAMEN D'ETAT ET POINTS OBTENUS A L'UNIVERSITE..................................................................53

CONCLUSION.....................................................................................60

BIBLIOGRAPHIE.................................................................................63

TABLE DES MATIERES.........................................................................65

* 1 GRAVOT P économie de l'éducation, édition Economica, p.5.

* 2 SOS enfants, scolarisation des enfants en RDC : construction et réhabilitation des écoles au Nord-Kivu, 2002, p.15

* 3 Conférence Mondiale sur l'enseignement supérieur (CMES), paris 1998

* 4 Taladidia, Tiombiano, (Novembre1990),

* 5 Jeanne Lamour RONTOPOULOU(1994)  l'université africaine à la croisée des chemins in Afrique contemporaine. Crises de l'éducation en Afrique, numéro spécial octobre-Décembre, Paris.

* 6 DJADJI  Conférence internationale sur l'enseignement supérieur pour une université au service du développement in sud Quotidien 31 octobre 2003

* 7 Madeleine GRAVITZ, Méthode des sciences sociales,9ième Edition, Paris, 1993, p.23

* 8 VERHAEGEN B. « Méthode et problèmes de l'histoire immédiate » in Cahiers économiques et sociaux, n° 3, septembre 1970, p.472.

* 9 Fernand OTYAT, Dictionnaire encyclopédique de pédagogie Moderne, Editions Labor, 1973 p.278.

* 10 BORTOLO et al, La démographie appliquée à la gestion publique et des entreprises, Bruxelles, De Boeck, s.d, p.102.

* 11 AGANZE MUDERWA Eloi, Analyse de la scolarité à l'UCB, cas de la cohorte (1991-1992 ; 1992-1993) en faculté des sciences économiques et des gestions 2009-2010 p.13 Inédit.

* 12 Gérard BONHOURE et Michel HAGNERELLE, Rapport à monsieur le ministre de la jeunesse, de l'éducation nationale et de la recherche, N°2003 014, Avril2003.

* 13 AGANZE MUDERWA Eloi, Analyse de la scolarité à l'UCB, cas de la cohorte (1991-1992,1992-1993) en faculté des sciences économiques et des gestions, 2009-2010 p.13, Inédit.

* 14 Victorien TCHOUDJA, Analyse de la situation de l'éducation des enfants de 6 à 15 ans: cas de la commune de San Pedro, Brésil, 2007, p.87.

* 15 Pierre CASPARD, DELAMOTTE Eric, Une introduction à la pensée économique en éducation, Histoire de l'éducation, mis en ligne le 12 octobre 2008, Consulté le 26 février 2011.URL :http:/histoire-education.revues.org /index419.html

* 16 www.google.fr/wikipediat,jeudi le 16juin2011à 16h30

* 17 Journal official de la République Démocratique du Congo, UCB, p.25-29.

* 18 www.google.fr/wikipediat, lundi le 08/08/2011 à 19h00'

* 19 www.google.fr/wikipediat, Jeudi le 11/08/2011 à 21h16'






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