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La prévention des conflits dans la dynamique de l'intégration sous-régionale en Afrique centrale

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par Abel Hubert MBACK WARA
Université de Yaoundé II-Soa - DEA/Master II en Science Politique  2006
  

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CONCLUSION

Arrivé au terme de notre analyse, force est de repréciser les questions et évolutions qui en ont fait l'ossature et ont meublé les débats.

Nous sommes partis de l'identification d'un contraste au sein de la sous-région Afrique centrale qui résidait en ceci que la sous-région qui est traversé par une conflictologie particulièrement sévère est aussi caractérisée par l'évanescence de son identité. Notre attention était particulièrement attirée par le fait que la période de recrudescence des conflits est aussi celle de la rentrée en hibernation de la CEEAC notamment entre 1992-1998 et que la période de relance des activités du COPAX coïncide avec la prise de conscience de l'importance et de l'impact de la sécurité sur le processus de construction identitaire sous-régionale et que cette période soit aussi celle d'une diminution en nombre et en intensité des conflits de la sous-région.

Partant de ce constat, nous avons supposé l'existence d'un lien entre la prévention des conflits et l'intégration sous-régionale en Afrique centrale. Nous supposions dans cette logique que la multiplicité des guerres qui ont traversé la CEEAC aurait été favorisée par la latence dans laquelle se trouvait le processus d'intégration en général et le processus de construction de l'identité sécuritaire régionale en particulier. Conscient de l'impact qu'aurait le système de prévention des conflits de la sous-région sur le processus d'intégration, nous nous sommes posés la question de départ de savoir quel a été pendant la période 200043(*)-2008 l'impact du COPAX sur la dynamique d'intégration en Afrique centrale CEEAC.

Comme outils d'analyse, nous permettant de parvenir de façon adéquate à une réponse à la question sus-énoncée, nous avons opté pour l'approche systémique conceptualisée par David Easton, à cause de son aptitude à rendre lisible le fonctionnement des systèmes et à cause de son adaptabilité à l'analyse du phénomène d'intégration régionale. Dans la perspective d'une compréhension suffisante du phénomène nous nous proposions, le cas échéant, de compléter les limites de l'approche systémique par l'approche stratégique surtout en ce qui est de l'explication du fonctionnement interne du COPAX.

Avant d'embrasser l'analyse proprement dite et afin d'en garantir la pertinence mais aussi la singularité, nous avons estimé important de procéder à une revue de la littérature et des théories en présence puis de procéder à une précision du substratum théorique qui encadrera notre analyse. De cette étape, il ressort que nous-nous sommes limités à une définitions simple du conflit perçu à la suite de Clausewitz (Von) (1832 : 37), comme une confrontation violente entre plusieurs groupes sociaux marquée par le recours à la force dans la perspective, pour chacun des groupes en présence, d'imposer sa volonté à ses antagonistes.

A partir de cette définition nous avons défini la prévention des conflits comme étant l'ensemble des méthodes, des moyens imposant la résolution des conflits par une voie autre que le recours et l'usage de la force et de la violence. Elle part de la diplomatie préventive entendue comme l'influence sur les principaux acteurs aux conflits à la prévention factuelle constituée de toutes les mesures de prévention structurelle et opérationnelle des conflits visant à prévenir, limiter ou résorber les conflits dans la sous-région.

Par contre, nous concevions l'intégration comme résultant de la convergence de plusieurs courants à savoir :

o Le courant culturel qui est tributaire de l'amplification des échanges et des communications entre les individus et qui mène à l'avènement d'une culture commune.

o Le courant fonctionnel caractérisé par la mise en commun des moyens et des initiatives dans la gestion de certaines ressources et de certaines initiatives techniques communes en vue d'une exploitation plus rentable.

o Le courant sécuritaire caractérisé par la mise en commun de moyens dans l'optique d'inhiber ou de maîtriser toutes les menaces à la sécurité et à la stabilité sous-régionale.

Pour nous donc, le processus d'intégration politique résulte de la convergence de ces différents courants. Il peut certes être porté par un seul de ces courants mais la convergence de ces différents courants est un gage de la force et de l'efficacité du processus d'intégration. Dans la même logique nous pensons que le courant sécuritaire apparaît comme une piste importante par laquelle pourrait être envisagé le processus d'intégration devant mener à terme à une intégration politique en Afrique centrale.

Après ces précisions d'ordre théorique nous envisagions la problématique dans les faits. Ici, nous partions d'une recension des différents conflits qui ont traversé la sous-région pendant la période 2000-2008, cadre temporel de notre analyse. A la suite de  ce travail de recensement nous identifions huit crises majeures dans la sous-région que nous avons placées au centre de notre analyse à savoir, le conflit burundais, la guerre de RDC d'après 1998, les crises centrafricaines de 1993 à 2003 et de 2003 à 2007, le putsch de Sao Tomé, le conflit du Pool au Congo et la guerre d'Angola. Ayant revisité la genèse et les évolutions de ces conflits, nous-nous sommes attardés sur les considérations structurelles qui ont porté ces conflits et dont la connaissance pourrait constituer un atout de poids dans le projet de systématisation de la prévention des conflits en Afrique centrale. Ainsi, nous identifions comme causes structurelles des conflits en Afrique centrale, les considérants historico-culturel, socio-économiques, politiques, géopolitiques et géostratégiques. Après l'analyse des conflits, il a été question pour nous de voir quelles ont été les réactions du COPAX face à toutes ces crises qui appellent pourtant son intervention.

Plus loin, nous avons procédé à une évaluation des actions du COPAX. Ainsi, nous constations que les réactions du COPAX étaient quantitativement insuffisantes étant donné le grand écart entre le nombre des crises majeures que nous avons recensé et le nombre des réactions du COPAX. Sur le plan qualitatif, le constat de l'insuffisance s'impose eu égard à l'apport limité de l'intervention du COPAX dans le processus de résolution des crises dans lesquelles le COPAX s'est investi. En somme, nous avons abouti à la conclusion que l'action du COPAX est certes déjà perceptible mais qu'elle ne l'est pas encore suffisamment pour influencer positivement le processus d'intégration de la sous-région.

A partir de ce point, nous éprouvions un malaise suscité par la sensation de l'incomplétude de nos travaux au cas où ceux-ci n'arrivent pas non seulement à déceler les causes de cette faiblesse du COPAX, mais aussi à en déterminer les conséquences réelles dans la sous-région.

En ce qui concerne l'explication de la faiblesse du COPAX, l'analyse systémique nous a permis de comprendre, au niveau des inputs, qu'elle résulte d'abord du contraste entre les nombreuses demandes de l'environnement et la faiblesse des soutiens reçus par le COPAX et qui sont sensés le nourrir, ensuite de l'inadéquation des outputs qui sortent du système dans une forme qui ne garantit pas leur applicabilité directe dans l'environnement, et enfin de la permanence et de la récurrence du feedback loop qui illustre ainsi l'insatisfaction de l'environnement et la conversion de presque tous les outputs du système en nouveaux inputs. Parvenus à ces conclusions, nous avons été contraints de nous rendre à l'évidence des limites de l'approche systémique à permettre une explication de la faiblesse du COPAX en partant d'une analyse du fonctionnement interne de ce système. Nous savions en effet que le concept du black box qui structure l'analyse systémique et qui fait du système une donnée opaque à toute analyse ne nous permettait pas de parvenir à une compréhension complète des insuffisances du COPAX. Pour palier à cette insuffisance, nous avons fait recours à l'approche systémique plus à même de mettre en évidence les différentes contraintes de l'action organisée44(*) auxquelles le COPAX est assujetti. Grâce à l'approche systémique nous comprenions, sur la base de l'analyse de l'influence des acteurs individuels et collectifs sur l'action de toute l'organisation, que la faiblesse du COPAX résulte aussi des contraintes imposées à son action, non seulement par les Etats-membres qui espèrent ainsi en détourner l'action à leur avantage particulier, mais pourrait aussi résulter d'une instrumentalisation des cadres relationnels du COPAX par les agents individus qui sont chargés d'en assurer le fonctionnement.

Les conséquences de la faiblesse du COPAX pour leur part sont de divers ordres. Il s'est en effet avéré que la persistance de quelques poches d'insécurité dans la sous-région apparaissait comme une conséquence immédiate de la faiblesse du COPAX et que le faible degré d'intégration de la CEEAC résulte aussi, bien que de façon indirecte, de la faiblesse du système de prévention des conflits.

Ayant découvert la faiblesse, les causes et les conséquence de la faiblesse du COPAX, nous nous sommes dit que nous ne ferrions pas oeuvre utile si, ayant posée le diagnostic nous ne proposions pas des esquisses de solutions, à la problématique envisagée. En d'autres termes, après avoir identifié le problème, il nous a semblé au plus impératif ou du moins nécessaire de proposer des pistes de solutions au problème. Ainsi, dans l'optique du renforcement du rendement du COPAX, nous avons proposé au plan structurel le passage de l'intergouvernementalisme caractérisé par une trop grande dépendance du COPAX vis-à-vis du bon vouloir des Etats-membres, au supranationalisme marqué par une autonomisation et un renforcement des capacités et des prérogatives du COPAX. Dans la même veine mais au plan géopolitique cette fois, il est apparu que le fonctionnement du COPAX serait amplifié par l'avènement d'un Etat-leader ou d'un couple d'Etats qui joueraient le rôle de moteur du processus d'intégration de la sous-région particulièrement dans le processus de construction de l'identité sécuritaire. Eu égard à leurs différents atouts, nous envisagions comme candidats potentiels les couples Gabon/Congo et Cameroun/Tchad puis, l'Etat Angolais qui se présente aujourd'hui comme la puissance militaire locale.

Toujours dans l'esprit de la rationalisation et afin de permettre une évaluation du processus de rentabilisation du COPAX, nous avons envisagé dans une ultime section, les gains à escompter d'un fonctionnement régulier du COPAX. Ici, nous concluions qu'un fonctionnement efficace du COPAX conduirait de prime abord à une pacification de la sous-région, conséquence d'une gestion prompte et efficace de la problématique sécuritaire dans cette sous-région, mais aussi à un renforcement du processus d'intégration économique marqué notamment par une meilleure gestion des ressources communes de la sous-région et, enfin, à l'avènement d'une culture de paix purement centrafricaine, résultat de l'intériorisation par les acteurs politiques de la prépondérance du mode de gestion pacifique des différents sur le recours à la force.

REFERENCES

I/ OUVRAGES

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II/ ARTICLES

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b. (2005) « La redistribution de la puissance en Afrique médiane CEMAC: La nouvelle configuration des alliances sous-régionales. » In Enjeux N° 22 Janvier-Mars, pp. 34-37

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- Percheron Annick. (1971) « Les applications de l'analyse systémique à des cas particuliers » in Revue française de sociologie, Volume 12, N°1, pp 195-212

- Ropivia Marc-Louis

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III/ RAPPORTS ET AUTRES DOCUMENTS CONSULTÉS

- Allocution du Louis Sylvain-Goma (Général) Secrétaire Général de la CEEAC lors de la 7eme réunion ordinaire de la Commission de Défense et de Sécurité (CDS) le 30 août 2007 à Malabo.

- Awoumou Côme Damien « Le Golfe de Guinée face aux convoitises », Communication lors de la 11ème Assemblée Générale du CODESRIA sur le thème : Repenser le développement africain : au-delà de l'impasse, les alternatives, 06-10 décembre 2005, Maputo, Mozambique

- Fonds Africain de Développement (2004), Document de stratégie d'assistance à l'intégration régionale (DSAIR) pour l'Afrique centrale 2005-2009

- Fogue Alain (2007) « les questions stratégiques », Séminaire de DEA/Master II sur le thème : le déficit d'autonomie politique et stratégique de l'Etat post colonial et les problèmes africains actuels, Université de Yaoundé II.

- Nzongola-Ntalaja Georges, La dynamique des conflits en Afrique centrale, Communication lors du 19ème Congrès Mondial de l'Association Internationale de Science Politique, Durban, 29 juin - 4 juillet 2003.

- Protocole relatif au Conseil de paix et de sécurité en Afrique Centrale (COPAX)

- Fonds Africain de Développement, (2004), Rapport d'évaluation du Projet d'appui institutionnel au Secrétariat Général de la CEEAC.

- Commission Economique pour l'Afrique (2004), Etat de l'intégration régionale en Afrique, Addis-Abeba

- Groupe d'Experts sur l'exploitation illégale des ressources Naturelles et Autres Formes de Richesses de la RDC (2002), Rapport Final, ONU in http://www.grip.org/bdg/g2044.html

- PNUD (2003), Rapport mondial sur le développement humain durable.

- Commission Carnegie (1997), la Prévention des Conflits Meurtriers : Résumé du rapport final, Carnegie Corporation, New York.

- Traité Instituant la Communauté des Etats de l'Afrique Centrale CEEAC

- Wolters Stephanie (2007) «Trouble in Eastern DRC: The Nkunda Factor, Situation Report, Institute for Security Studies

IV/ SITES ET MOTEURS DE RECHERCHE CONSULTÉS

- www.ccpdc.org

- www.ceeac-eccas.org

- www.google.fr

- www.googlescholar.fr

- http://www.grip.org

- www.gutenberg.org

- www.issafrica.org

- www.operationspaix.net

- www.persée.fr

- www.undp.org

- www.unidir.org

ANNEXES

ANNEXE 1 : CARTOGRAPHIE DES INDICES DE PAIX DANS LE MONDE

ANNEXE 2 : REPARTITION DES OMP EN AFRIQUE 1990-2004

ANNEXE 3 : CARTE DES SOUS-REGIONS AFRICAINES

ANNEXE 4 : CARTE DE LA CEEAC

ANNEXE 5 : CARTE DES CONFLITS EN AFRIQUE

* 43 Le Protocole relatif au COPAX ayant été ratifié le 24 février 2000 à Malabo

* 44 Ici, les contraintes auxquelles le COPAX est soumis dans son action

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"Je ne pense pas qu'un écrivain puisse avoir de profondes assises s'il n'a pas ressenti avec amertume les injustices de la société ou il vit"   Thomas Lanier dit Tennessie Williams