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Résultats d'interviews avec des acteurs de la presse ivoirienne sur des questions de droits de l'homme et du système universel de protection des droits de l'homme l'ONU

( Télécharger le fichier original )
par Christian Abel Fleurisson
Collège universitaire Henry Dunant Université d'été des droits de l'homme - Spécialiste en droits économiques sociaux culturels 2008
  

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Conclusion

Notre étude nous a permis de constater une approche des droits de l'homme qui s'effectue dans ce pays avec une appréhension particulière qui n'est que la résultante de nombreux facteurs culturels. Aussi, il faudrait alors mette en évidence la situation sociopolitique qui pourrait influencer cette culture avec son cortège de maux économiques qui rendent difficile l'accès aux informations, par des coûts élevés où l'internet reste encore un bien de luxe. Nous remarquons de ce fait que la connaissance des institutions internationales n'est pas prioritaire face aux informations politiques locales.

L'universalité des droits de l'homme se heurterait aux spécificités culturelles qui justifient même encore certaines violations de droits inaliénables. Cette diversité culturelle qui mal utilisée pourrait nous interroger sur son utilité par sa richesse ou sa problématique.

Malgré ces difficultés, les médias continuent à jouer un rôle significatif en Afrique. Sur le continent, les médias sont en première ligne dans la lutte contre la pauvreté et certaines maladies comme le VIH/SIDA. Le combat contre cette pandémie ne peut être remporté qu'avec une utilisation efficace des médias. En plus, il devient de plus en plus évident que les medias sont les instruments les plus appropriés pour la promotion de la démocratie, du respect de la loi et de la bonne gouvernance. Pendant que ce vent de démocratie continuent à secouer le continent, la société civile compte sur les médias pour promouvoir et renforcer ces idéaux sur le contient. Ceci ne peut se réaliser que si les journalistes sont mieux formés en général (en matière de droits de l'homme en particulier), et si les gouvernements créent l'environnement favorable aux activités des médias.

ANNEXE

Informations complémentaires sur les

médias en Côte d'Ivoire

Un article de Wikipédia,.

Depuis 1991, les médias en Côte d'Ivoire sont régis par la loi n°91-1033 du 31 décembre 1991 portant régime juridique de la presse, la loi n° 91-1034 portant statut des journalistes professionnels, et la loi relative à la communication audiovisuelle. Une commission nationale de la presse et un conseil national de la communication audiovisuelle (CNCA) ont été créés. Des concessions de service public ont alors été signées entre l'État et des entreprises privées de radiodiffusion et de télévision. Il existe deux grandes chaînes publiques de télévision réunies au sein de l'entité RTI (Radiodiffusion Télévision Ivoirienne) : RTI 1 (ou La Première, diffusion nationale) et RTI 2 (ou TV2, diffusée à ses débuts exclusivement sur Abidjan et sa région). Elles proposent respectivement une moyenne de 10 à 13 heures et 6 à 8 heures de programmes quotidiens chacune.

La RTI gère également un réseau de deux radios : Radio Côte d'Ivoire (couvre tout le territoire national) et Fréquence 2 (ensemble du pays, après avoir dans un premier temps uniquement desservi la région d'Abidjan). Ces deux stations publiques sont en tête des études d'audience.

Selon un sondage réalisé par le Cabinet parisien HPCI Média (en juin 2001), Fréquence 2 (musicale) et Radio Côte d'Ivoire (généraliste) dominent le palmarès en recueillant, à elles deux, plus de 60 % de l'audience (veille en cumulée), loin devant les radios internationales.

Associations spécialisées

Les associations spécialisées sont apparues à partir des années 1990. Suite à un séminaire organisé par l'Union européenne en prélude à la première édition du Marché des arts du spectacle africain (Masa), les journalistes culturels de 15 pays africains, du Canada et de la France ont décidé de créer le réseau des journalistes culturels africains francophones (Rejcaf). Depuis lors, d'autres associations spécialisées ont vu le jour :

· l'Union des journalistes culturels de Côte d'Ivoire (Ujocci)

· l'Union nationale de la presse sportive de Côte d'Ivoire (Unapresci)

· l'Association des journalistes sportifs de Côte d'Ivoire (Ajosci)

· la Presse diplomatique

· la Presse politique

· la Presse économique

· les journalistes de l'environnement, etc.

Au délà de ces associations spécialisées existe l'Union Nationale des Journalistes de Côte-d'Ivoire (UNJCI) créée le 25 novembre 1991 et ayant à son actif la conception et l'adoption (en date du 29 août 1992) du code de déontologie régissant les journalistes de Côte-d'Ivoire. L'UNJCI décerne, tous les deux ans, depuis 1993, le prix Noël X. Ebony aux meilleurs agents de la presse.

Site de fraternité matin

Site de 24 heures

Site de notre voix

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"La première panacée d'une nation mal gouvernée est l'inflation monétaire, la seconde, c'est la guerre. Tous deux apportent une prospérité temporaire, tous deux apportent une ruine permanente. Mais tous deux sont le refuge des opportunistes politiques et économiques"   Hemingway