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Etude de la toxicité systémique de l'extrait aqueux du mélange des plantes Aframomum melegueta, Mondia whitei, Piper guineense, et Zingiber officinale chez le rat

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par Jules César Junior Bayiha
Université de Yaoundé 1 - Master 2011
  

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II.2.LES ANIMAUX

L'espèce animale choisie pour cette étudeétait le rat (Rattus norvegicus) albinos de la souche Wistar. Les rats étaient élevés au sein de l'Animalerie du Laboratoire de Physiologie Animale de la Faculté des Sciences de l'Université de Yaoundé I à température ambiante. Les conditions d'aération étaientbonnes, et l'éclairage était naturel. Les animaux recevaient de la provende en guise de nourriture et de l'eau potable en guise de boissonad libitum. Parmi les animaux d'élevage, 60 jeunes rats des deux sexes (essai aigu : 9-10 semaines, 98-110 g ; essai subchronique : 6-7 semaines, 84-113 g femelles, 105-134 g mâles) et apparemment sains ont été sélectionnés, et répartis au hasard dans les différents groupes témoins et essais. Les femelles sélectionnées étaient nullipares et non gravides. Aucun de ces animaux n'avait été sujet à des expériences antérieures.

II.3.PROTOCOLE EXPÉRIMENTAL

II.3.1. Toxicité orale aiguë

La toxicité orale aiguë de l'extrait aqueux du mélange de A. melegueta, de M. whitei, de P. guineense, et de Z. officinale à été évaluée chez le rat conformément à la ligne directrice n° 423 de l'OCDE pour les essais des substances chimiques adoptée le 17 décembre 2001.

II.3.1.1. Principe de l'essai

Le principe de cet essai est qu'avec un processus séquentiel, utilisant un nombre minimum d'animaux par étape, des informations suffisantes sur la toxicité aiguë de la substance peuvent être obtenues pour permettre sa classification. Une dose déterminée de la substance est administrée par voie orale à un groupe d'animaux. La substance est testée dans un processus séquentiel dans lequel trois animaux d'un seul sexe (le plus sensible) sont utilisés à chaque étape. L'absence ou la manifestation de mortalité liée à la substance dans un groupe ayant reçu une dose à une étape donnée détermine l'étape suivante, c'est-à-dire :

1) Arrêt de l'essai,

2) Administration de la même dose à trois animaux supplémentaires,

3) Administration de la dose immédiatement supérieure ou inférieure à trois animaux supplémentaires.

Des détails concernant le mode opératoire pour la dose initiale de 2000 mg/kg choisie pour cette étude sont décrits en annexe (page 69). Uniquement des femelles (âge : 9-10 semaines ; poids : 98-110 g) ont été utilisées pour ce test (OCDE, 2000). L'analyse des publications sur les essais classiques de détermination de la DL50 montre en effet que, bien que la différence de sensibilité entre les deux sexes soit généralement faible, dans les cas où l'on constate une différence, les femelles sont généralement un peu plus sensibles (Lipnick et al., 1995).

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