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Le financement de l'économie marocaine

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par El mehdi DIOURAN
université mohamed 5 Salé - licence en sciences économiques et gestion (finance et banques) 2007
  

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Section3 : Marché des capitaux

Il faut bien faire une distinction entre le marché des capitaux et les marchés des capitaux, concernant les marchés des capitaux on trouve plusieurs marchés : il y a le marché hypothécaire, le marché de change et le marché à terme ou dérivé plus le marché monétaire et financier, mais le marché des capitaux on s'intéresse uniquement au marché monétaire et en suite le marché financier.

Le marché de capitaux assure le financement de l'activité économique que ce soit à court terme (marché monétaire) ou à long terme (marché financier).

1-Le marché monétaire.

Le marché monétaire est le marché sur lequel sont offerts et demandés des capitaux à court terme. Suite au décloisonnement du marché monétaire qui vise à rendre ce marché plus large (mise en place du compartiment des titres de créances négociables « TCN »). Grâce à l'ouverture de ce nouveau compartiment de TCN, sans oublier l'ancienne compartiment de l'interbancaire où les investisseurs peuvent effectuer des arbitrages entre des titres de créances négociables.

A- le marché interbancaire

Le marché interbancaire est un marché de monnaie centrale, de très court terme, le marché interbancaire est le lieu privilégié des interventions de la banque centrale et par conséquent de l'expression de la politique monétaire, et encore c'est le lieu ou les banques placent leurs excédents de la monnaie centrale ou couvrent leurs besoin de la monnaie centrale (la liquidité bancaire), donc la banque gère sa trésorerie pour ne pas avoir , au terme d'une journée un solde débiteur auprès de l'institut d'émission( BAM) par conséquent doit veiller en permanence à détenir un certain montant en monnaie centrale.

a- les intervenants

Seules les banques, la CDG, la Caisse Marocaine des Marchés, Dar Addamane, et la caisse centrale de Garantie sont habilitées à intervenir sur le marché interbancaire.

b- nature des opérations

On trouve principalement les opération en blanc c-à-d les opérations de prêt sans garantie puisque au Maroc les intervenants de ce marché sont connues donc, il n'y a pas un marge de risque, il y a encore les pensions livrés : consiste à prêter des liquidités conte une garantie sous forme des titres de valeurs ou des effets qui garantissent tout simplement le remboursement du prêt (les crédits accordés par BAM).

c- intervention de BAM sur l'interbancaire

Le marché interbancaire est devenu le lieu privilégié de BAM d'exprimer sa politique monétaire surtout après la suppression de la technique de réescompte en tant que moyen de refinancement des banques marocaines officiellement en juin 1995. BAM injecte de la liquidité dans le but de maintenir les taux interbancaire au jour le jour à un niveau proche du principal du taux directeur (3,25%), ou ponctionne de monnaie centrale pour le même but c'est le maintien des taux interbancaire au jour le jour à un niveau proche du principal taux directeur.

L'injection de la monnaie est sous forme des avances sur appel d'offre de 7jours a l'initiative de BAM, et il y a encore les avances de 5 jours a l'initiative des banques et puis les avances de 24heures soit a l'initiative des banques ou de BAM, pour ne pas arriver à la fin de journée avec un solde débiteur auprès de la banque centrale (BAM).

B- le marché des titres de créances négociables.

Au début de la décennie 80, le marché monétaire contient que le compartiment de l'interbancaire, et dans le cadre du mouvement de libéralisation, de décloisonnement, de désintermédiation, et de déréglementation, s'est progressivement élargi à un autre compartiment celui des TCN .bien que le trésor marocain eut accès au marché monétaire dés 1983 à travers l'émission de bons du trésor à un mois.

En effet, ce n'est qu'à partir de la moitié de la décennie 90, qu'il est possible de parler de marché des TCN.

La possibilité d'émettre des actifs à court terme a été ouverte successivement :

-aux banques : certificats de dépôts

-aux entreprises : billets de trésorerie

-au trésor : bons du trésor négociables

-aux institutions financières spécialisées : bons des IFS

-aux sociétés financières : bons des SF.

2- Le marché financier

Les marchés financiers, ensemble des lieux où se négocient et s'échangent des capitaux à long terme entre divers intervenants. Dans le vocabulaire courant, l'expression est synonyme de Bourse, ensemble des espaces où se confrontent des offres et des demandes de produits financiers. Au sens strict, le marché financier n'est qu'un compartiment de la Bourse, celui de l'émission des titres nouveaux, appelé « marché primaire ». Ce marché est le plus important pour l'économie dans la mesure où il permet aux entreprises qui le fréquentent de créer des actions ou des obligations afin d'augmenter leur capital ou de financer leurs investissements, et à l'État de lancer des emprunts. Le compartiment appelé « marché secondaire », qui concerne l'échange de titres déjà émis, l'achat et la vente de produits cotés en fonction de l'offre et de la demande, correspondent pour sa part à la notion précise de Bourse. Les marchés primaire et secondaire sont intimement liés car un épargnant ne souhaite acheter des titres sur le premier qu'à la condition de pouvoir les revendre sur le second.

*La bourse

La bourse est un marché organisé où s'effectue l'échange des valeurs mobilières (action obligations)...grâce a elle les détenteurs de titres sont assurés de pouvoir retrouver leurs liquidités s'ils le désirent ou d'opérer facilement des modifications dans la composition de leur portefeuille de titre.

A- Historique et développement de la bourse des valeurs

1. L'historique :

Crée en 1929 à l'initiative des principaux banquiers de l'époque et sous l'appellation de office de compensation des valeurs mobilières, la bourse de Casablanca avait pour objet principal de faciliter l'échange et la négociation des valeurs mobilières. Avec le nombre grandissant de transaction une réforme de structure est devenue impérative, l'office devint en 1949 l'office de cotation de valeurs mobilières, il fut doté de la personnalité morale, de plus les séances de cotation qui étaient hebdomadaire devinrent quotidiennes à partir de 1951.

En 1967 une nouvelle réforme a permis une réorganisation à la fois juridique et technique, définissant ainsi la bourse de Casablanca comme un établissement publique et modifiant sa dénomination qui devint bourse des valeurs.

En 1993, et à l'image des grande places financières internationales - Européenne et Américaines- la bourse des valeurs a connu une profonde restructuration caractérisée par la promulgation d'un ensemble de textes de loi touchant à la fois le réglementaire et le technique et dont la concrétisation est intervenue graduellement :

2. Les réformes réglementaires :

- Juillet 1994 : Création du CDVM

- Octobre 1994 : agrément des 12 premières sociétés de bourse.

- Février 1995 : création de la société professionnelle des sociétés de bourse

- Août 1995 : Création de la société gestionnaire, Société de la Bourse des valeurs mobilières

- Novembre 1995 : création des OPCVM

- Décembre 1996 : amendement de la loi 1993 et création du dépositaire central MAROCLEAR

- Août 1998 : Publication du règlement général de la bourse dans le Bulletin officiel.

- Avril 2004 : Amendement de la loi de 1993 et création de nouveaux marchés.

Les réformes techniques :

- La mise en place en 1997 du système de cotation entièrement électronique afin d'assurer une certaine rapidité dans l'exécution des ordres et une transparence et sécurité pour l'investisseur.

- La dématérialisation des titres

- L'instauration de procédure de dénouement conforme aux normes internationales, avec un délai de j+3

- La délocalisation de stations de négociation. Ainsi, les sociétés de bourse négocient à partir de leurs sièges en se connectant au serveur central de la bourse.

- Le démarrage du système de garantie de bonne fin des opérations.

- Le lancement de nouveaux indices et l'adoption de la capitalisation flottante dans leur mode de calcul.

B- Les intervenants de la bourse des valeurs de Casablanca

1. la société de bourse des valeurs de casablanca.

A partir du 21 septembre 1993, la bourse des valeurs de Casablanca n'est plus un établissement public mais devient une société anonyme dite « société gestionnaire », appelée « la société de bourse des valeurs de Casablanca », dont le capital est fixé a 11818300 de dirhams est souscrit dans son intégralité et à part égale par les sociétés de bourse agrées. Elle a pour mission de :

Ø Prononcer l'introduction et la radiation des valeurs mobilières à la cote officielle ;

Ø Fixer les règles de fonctionnement du marché ;

Ø Veiller à la conformité des opérations effectuées par les sociétés de bourse au regard de la loi et règlements en vigueur ;

Ø Porter à la connaissance du CDVM les infractions qu'elle aura relevées ;

Ø Suspendre la cotation d'une ou plusieurs valeurs mobilières et l'ensemble des transactions attachés.

2. l'autorité de surveillance du marché : le CDVM

Dans toutes les bourses du monde, il existe en principe un organe chargé du contrôle de l'information et de la protection de l'épargnant. D'où la mise en place pour la bourse des valeurs de Casablanca du CDVM.

Le Conseil Déontologique des Valeurs Mobilières est l'équivalent de la Security Exchange Commission (SEC) aux USA et de la Commission des Opérations de Bourse (COB) en France.

Il est chargé de la surveillance » de la règlementation et du fonctionnement des transactions sur le marché.

o Les missions du CDVM en matières boursières se situent dans quatre directions :

Ø Veiller à l'amélioration de la qualité des informations fournies par les sociétés cotées, par des vérifications et investigations auprès des entreprises concernées ;

Ø Veiller au bon fonctionnement du marché par le contrôle du fonctionnement de la BVC et les variations des cours ;

Ø Veiller à la protection de l'épargne investie en valeurs mobilières ou un autre placement donnant lieu à un appel public à l'épargne (OPCVM) ;

Ø Veiller au respect de la procédure de déclaration du franchissement des seuils par les actionnaires de sociétés cotées.

o Les fonctions du CDVM consistent à :

Ø Instruire les demandes d'agrément des OPCVM ;

Ø Effectuer des enquêtes auprès des personnes morales faisant appel public à l'épargne et des sociétés de bourse ;

Ø Viser les notes d'information d'introduction d'actions ou d'autres titres à la cote officielle ;

Ø Prononcer des sanctions pécuniaires à l'encontre des personnes en infraction avec ses règlements ;

Ø Publier chaque année un rapport sur les activités et sur les marché&s placés sous son contrôle.

3. Les sociétés de Bourse

Les sociétés de bourse remplacent les anciens intermédiaires de bourse. Elles détiennent le monopole de la négociation des valeurs mobilières admises à la cote. Elles ont pour principal objet l'exécution des transactions sur les valeurs mobilières. Elles se rémunèrent par la perception d'une commission de courtage et de droit de garde.

o Elles peuvent en outre :

Ø Participer au placement des titres émis par des personnes morales faisant appel public à l'épargne ;

Ø Assurer la garde des titres ;

Ø Gérer des portefeuilles de valeurs en vertu d'un mandat ;

Ø Conseiller et démarcher la clientèle.

o Elles sont tenues :

Ø Constituer des dépôts de garantie destinés à couvrir les positions nettes non dénouées ;

Ø Contracter une assurance couvrant les risques de perte, de vol ou de destruction de fonds et des valeurs qui leurs sont confiées ;

Ø D'instituer un fond de garantie destiné à indemniser la clientèle des sociétés de bourse mises en liquidation.

o Et d'adresser au CDVM :

Ø Les bilans, les comptes produits et charges, les états de solde de gestion, les tableaux de financement, et de publier ces résultats dans un journal d'annonce légale ;

Ø La liste des actionnaires ou porteurs de parts détenant une participation égale ou supérieure à 5% du capital.

4. les Organismes de Placement Collectifs en Valeurs Mobilières « OPCVM »

Afin de faciliter l'investissement en actions et en obligations de nouveaux instruments, de placement, appelés organismes de placement collectif en valeurs mobilières, ont été mis en place en 1995. Ils s'adressent aux épargnants n'ayant pas suffisamment de temps à consacrer à la gestion d'un portefeuille individuel d'action et/ou obligations ou n'ayant pas une épargne suffisamment importante pour ouvrir un compte géré par une société de bourse. L'OPCVM présentent pour l'investisseur potentiel trois principaux avantages que l'on désigne par les trois « S » :

Ø Simplicité, en permettant aux épargnants d'investir leur épargne en valeurs mobilières sans supporter les soucis de la gestion de portefeuille ;

Ø Souplesse, en offrant une réelle liquidité en cas de désinvestissement. La contrainte de l'offre et la demande n'est pas prise n'est pas prise en compte puisque les OPCVM sont tenus de racheter les parts dés que l'investisseur en fait la demande.

Ø Sécurité, en possédant des portefeuilles diversifiés et variés ; ils reposent avant toute chose, sur la sécurité de l'épargne, la gestion des portefeuilles étant assurée par les professionnels de la bourse.

La loi distingue deux types d'OPCVM les Fonds Communs de Placement (FCP) et les Sociétés d'Investissement à Capital Variable (SICAV).

Ø Les Fonds Communs de Placement : ce sont des copropriétés de valeurs mobilières et de liquidités dont les parts sont émises et rachetés à tout moment à la demande de tout souscripteur ou porteur de parts, à un prix déterminé. Les opérations d'un FCP sont réalisées par l'entremise d'un établissement de gestion qui agit comme mandataire au nom de ce fonds.

Ø Les Sociétés d'Investissement à Capital Variable : ce sont des sociétés anonymes qui ont pour objet exclusif la gestion d'un portefeuille de valeurs mobilières et de liquidités, dont les actions sont émises et rachetées a tout moment, à la demande de tout souscripteur ou actionnaires, à un prix déterminé.

5. l'association Professionnelle des Sociétés de Bourse

Fondée en 1995, l'APSB est un organisme qui regroupe l'ensemble des intermédiaires opérant à la Bourse des Valeurs de Casablanca.

Porte parole des opérateurs de bourse vis-à-vis des autorités de tutelle a savoir le ministère des finances et le CDVM, elle a pour objectifs d'exprimer les points de vues des professionnels sur l'évolution des métiers du marché financier et de défendre les intérêts collectifs et individuels de ses membres.

Elle a aussi pour mission d'informer ses adhérents des différentes modifications affectant leur métier et son environnement et de les aider à en apprécier les conséquences à travers l'organisation de séminaires et de conférences

Elle veille ainsi à l'information de ses adhérents sur l'ensemble des questions susceptibles de  les intéresser.

6. les Etablissements Collecteurs-Dépositaires

Il s'agit principalement des établissements bancaires. Les banques jouent un rôle actif dans la collecte des ordres de leur clientèle grâce o l'expérience de leurs services des titres mais aussi à l'importance de leur réseau qui comprend 1414 guichets repartis à travers tout le royaume.

Les établissements bancaires ont assurés et depuis longtemps, le rôle de dépositaire et de conservateur des titres.

7. le dépositaire central MAROCLEAR

Le dépositaire central institué en Janvier 1997, dénommé MAROCLEAR, sous forme de société anonyme au capital de 20 millions de dirhams est considéré comme le centre de passage des transactions relatives aux valeurs mobilières.

Ses principales missions sont :

Ø Réaliser tous actes de conservation adaptés à la nature et à la forme des titres qui lui sont confiés ;

Ø Exercer des contrôles sur la tenue de la comptabilité titres des teneurs de compte ;

Ø Administrer les comptes courants de valeurs mobilières au nom de ses affiliés.

C- La structure et l'organisation du marché boursier

A la bourse de Casablanca, les titres sont échangés au comptant sur deux types de marché, les règles de fonctionnement du marché central et du marché de blocs sont clairement explicitées dans le Règlement général de la Bourse des valeurs, le règlement général qui est actuellement en vigueur a été approuvé par arrêté du ministre des Finances et de la Privatisation le 22 novembre 2004.

1. Le Marché Central :

Appelé aussi marché officiel, le marché central est le lieu de confrontation de l'ensemble des ordres sur les valeurs mobilières inscrites à la cote. C'est un marché au détail sur lequel tout intervenant peut acheter des titres, soit à l'unité soit en quantité. Le règlement et la livraison des titres étant simultanés, le dépôt des titres et la disponibilité des capitaux doit correspondre à l'ordre de négociation. En effet, l'ensemble des ordres de bourse est centralisé dans un carnet d'ordres unique qui permet de confronter l'offre et la demande et d'établir un prix d'équilibre.

Pour résumer, la Bourse de Casablanca est un marché centralisé dirigé par les ordres par opposition au marché dirigé par les prix.

2. Le Marché de blocs :

Assimilé au marché de gré à gré, le marché de bloc permet la négociation par entente directe des valeurs mobilières inscrites à la cote, et dans lequel sont négociés des blocs de titres dans les conditions de cours issues du marché central.

Les opérations sur le marché de clocs doivent respecter, sauf cas très particuliers, les conditions suivantes :

Ø Porter sur un nombre de titres au moins égal à la Taille Minimum de Blocs (TMB), définie par la bourse de Casablanca ;

Ø Etre conclues à un cours inclus dans la fourchette des prix issue de la feuille du marché central.

Au terme de cet essai, il est légitime de poser certaines questions, pourquoi on s'intéresse au financement et au moyen de financement ? bien sur pour la croissance économique et en général c'est le développement.

Le Maroc s'est engagé dans le processus de développement régional. La régionalisation constitue, selon les termes du plan de développement économique et social (2000-2004), « une orientation décisive d'une stratégie de développement globale et multidimentionnelle afin de faire face aux défis internes et externes. Ceci exige la mobilisation des volontés et des efforts des différentes forces vives et agissantes de la société civile marocaine et leur intégration collective dans les processus complexes du développement ».

Dans cette perspective les acteurs de différents secteurs (public et privé) doivent participer au développement du pays, et surtout avec le lancement de l'initiative nationale de développement humain qu'est lancée par Sa majesté le Roi Mohamed VI lors de son discours du 18 mai 2005, constitue une démarche résolument novatrice de développement global du pays, en particulier dans les zones ou demeure encore un retard économique et social prononcé.

Enfin on peu conclure que les deux secteurs (public et privé) sont complémentaires en matière de développement économique, et surtout après le traitement de différents organismes des deux secteurs et leurs moyens de financement qu'est en contre partie l'investissement et a la fin c'est le développement attendu concernant les deux secteurs, mais le Maroc est encore assez loin de réaliser un développement durable et globale a l'exception de 7/8 ans avec la rentré massive des devises après la politique de privatisation et les recettes de tourismes et encore les transferts des MRE, sans oublier de dire que le Maroc a réaliser cette année un taux de croissance réelle de 8,1% .

Le Maroc a lancé, avec succès, plusieurs chantiers de réforme visant l'accélération de la croissance économique et la création d'emplois. Le pays doit cependant, déployer plus  d'efforts pour relever de nouveaux défis pour renforcer le taux de croissance économique. Dans son rapport du 30 mai 2006, la Banque Mondiale souligne la nécessité de mettre rapidement sur pied une logistique commerciale performante.

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"Enrichissons-nous de nos différences mutuelles "   Paul Valery