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Problématique de réforme du système de paiement du trésor public centrafricain. Cas de la mise en Å“uvre du sygma & systac

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par Guy-Hermas Dieu-Béni-Socrate DJAMAWA-ENDJIKPENO
Institut de là¢â‚¬â„¢Economie et des finances Pôle Régional CEMAC - DESS 2011
  

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REMERCIEMENTS

La réalisation de ce travail a été rendue possible grâce à la contribution de plusieurs personnes physiques et morales dont leurs apports en conseils en matériels en directives en propositions et en suggestions nous ont beaucoup aidés pour bien affiner le travail et lui donner un portrait scientifique et technique. A tous ceux, nous leur adressons nos sincères gratitudes et plus particulièrement nos remerciements vont à l'endroit de/ du :

· Directeur de l'Institut de l'Economie et des Finances et du Directeur des études qui ont ménagé aucuns efforts pour la réussite de notre stage à Bangui et à Libreville.

· Nos encadreurs, Serge OUARASSIO et Eric Landry LAPY qui malgré leurs multiples occupations se sont toujours rendus disponible pour nous diriger tout au long de ce travail. Grâce à eux nous pouvons maintenant distinguer les démarches scientifiques techniques et pratiques à adopter pour aborder un thème de rapport de stage professionnel. Nous leur disons infiniment merci.

· Gatien YAMOKOY chef de service des études et contentieux à la direction des dépenses de la DGTCP qui nous a conseillé dans la démarche scientifique adoptée. Pour cette disponibilité, nous lui disons merci.

· Madame Yangui DOUPAMBY MATOKA Directrice de la Programmation des Ressources et des Règlements (DPRR) du Trésor Public gabonais, le chef de service de règlement Madame Mariette KOUMBA, les personnels du service de la prévision Serge EKERO et Séverin MOULOUNGUI qui nous ont bien accueilli et assisté dans le stage et la rédaction du rapport.

· Nos parents, nos frères et soeurs qui nous ont assisté et conseillé et assisté.

· Sonia Augustine BARRIER et tous les amis de l'IEF qui ont fait leur observation sur

la qualité du travail produit.

· ALIMBI Lauréta Lorma qui nous a créé une grande surprise durant notre formation

· Tous nos camarades de l'IEF de cette promotion avec qui nous avons constitué une nouvelle famille et qui ne cessent de nous faire signe dans les moments difficiles que traverse notre pays la République Centrafricaine. Leur bon souvenir reste toujours gravé dans notre esprit.

Résumé du rapport de stage

L'objet de ce rapport est de répondre aux préoccupations soulevées autour du thème

« Problématique de la réforme du système de paiement du Trésor Public centrafricain : cas de

la mise en oeuvre du SYGMA et du SYSTAC ».

Le règlement n°02/03/CEMAC/UMAC/CM du 28 mars 2003 relatif aux systèmes, moyens et incidents de paiement initie, pour tous les pays membres de la CEMAC, une réforme de leur système de paiement, afin de pallier les dysfonctionnements auxquels était confronté le système. Les systèmes de paiement qui existaient étaient caractérisés par une multiplicité des comptes du Trésor Public dans les banques secondaires, une bancarisation de recettes et de dépenses publiques, un faible niveau de sécurité des opérations de paiement et des délais d'encaissement des valeurs et d'exécution des opérations long.

Pour pallier ces défaillances, les autorités monétaires de la CEMAC ont décidé de mettre en oeuvre des instruments modernes de paiements dans tous les Trésors Publics de la Sous-région, en vue d'accroître la rapidité des opérations de règlements. C'est ainsi que, un Système de Gros Montants Automatisés (SYGMA) et un Système de Télé-compensation en Afrique Centrale (SYSTAC) devaient être mis en oeuvre au sein de chaque Trésor Public.

Depuis l'année 2007, ces deux systèmes étaient déjà opérationnels dans la plupart des pays membres de la CEMAC alors que le Trésor Public centrafricain t arde encore à les mettre en oeuvre. Ce travail cherche à expliquer ce retard, et à mettre en exergue les préalables, pour le Trésor Public centrafricain, à réussir la mise en oeuvre de cette réforme.

Après diagnostic, il ressort que, le retard de la réforme du système de paiement du Trésor Public centrafricain s'explique, d'une part, par les facteurs à la fois règlementaires, financiers et institutionnels. Et d'autre part, par la difficulté de règlement ou l'insuffisance de liquidité pouvant provoquer des difficultés de dénouement des opérations de paiement.

Pour dépasser ces difficultés et réformer le système de paiement du Trésor Public centrafricain, plusieurs alternatives sont proposées au terme de ce travail. Le recours au Bons du Trésor Assimilable (BTA) et au fonds de garantie mutuelle de la BEAC constitue une possibilité pour faire face au problème de liquidité auquel est confronté le Trésor Public centrafricain. De même, la création d'un compte unique du Trésor Public, la formation des agents du Trésor Public et l'interconnexion entre les divers acteurs du système constituent des pré requis pour la réforme de tout le système de paiement du Trésor Public centrafricain.

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"L'ignorant affirme, le savant doute, le sage réfléchit"   Aristote