Chapitre 3:
Section1-A-Les conséquences et l`influence des
flux financiers sur l`économie libanaise
La dépendance de l`économie libanaise sur les flux
financiers externes a provoqué plusieurs problèmes, un constat
négatif est établit pour ce qui est de l`évolution de
l`économie libanaise en considérant que l`économie de
transfer est une économie non productif et elle perpétue une
manque de travail au liban et une aggravation de l`emigration .
B-Dutch disease effect :le syndrome hollandais :
Dans les années 60 aux pays bas des problèmes
macroéconomiques liées à l`entrée massive de
devises ont vu le jour .Un de ces problèmes est le dutch disease effect
ou mal hollandais qui engendre des influences negatives sur la capacitée
de production et sur la compétitivitée national .
1-Définition:
La maladie hollandaise est en général liée
aux conséquences négatives provoquées par l`augmentatoin
des revenus d`un pays et explique le lien entre le déclin de
compétitivité des produits dans l`industrie manufacturière
et l`exploitation des ressources naturelles.
2-Origine
Les pays-bas Durant les années 60 ont découvert de
grands gisements de gaz naturel a gromingen puis dans le reste du pays et en
mer du nord, cette découverte a entrainé d`une augmentation des
revenus de ces pays et une appréciation de la
revenus hollandaise(florine), ainsi qu`ne perte de
competetivitédes exportations nom liées au gaz
naturel1.
Dans ce contexte cette situation a engendrés des
sérieuses influences sur l`economie hollandaise et engendrés le
phenoméne de « Dutch Desease », les recettes d`exportation des
produits du secteur minier ont assuré des flux de financement d`origine
externe et une augmentation de depense interne qui ont provoqué
l`augmentation du niveau generale des prix et en particulier des ressources
naturelles2.
Gela a été accompagné par
l`appréciation du taux de change nominal des monnais nationales de ces
pays. Les biens nom echangeable ont subit une forte augmentation de leur prix
sur le marché international en comparaison avec les biens
échangeables, cette augmentation des prix ont depossédé
ces biens de leur capacité a entré en compétition dans le
marché mondial avec les produits étrangers similaires, l`afflux
des ressources de financement d`origine externe provoquent une augmentation de
l`inflation et un recul dans la production dans la production dans le secteur
industriel, les pays concérnés assistent alors à un
rétrissements de sa capacités productive et à une chute de
son taux de croissance.
Les pays pétroliers ont subit ce genre de ce
phenoméne, les concéquences du boom pétrolier
identifiées à travers la notion du mal hollandais ne sont pas
limités a ces pays, les pays arabes nom péroliers ont connu
à leur tour ce même phenomene qui aboutit a endommagé leurs
secteur productifs et a occasinné un recul de la part de ces secteurs
dans le produit national, entre 1975-1990 l`economie libanaise a connu un fort
recul de sa capacités productive, elle est devenue une
1 KOUTASSILA, jean --philppe» le syndrome
hollandaise:theorie et verification empirique au congo et au cameroun»
université montesquieu, Bordeau , 1997 p.1
2BRAHIM, ZADEH cristine, « le mal hollandais un
surplus de richesse mal géré », finance et developpement
,vol.40, numeros 1, mars 2003 p .p 1.2
economie de transfert au lieu d`une economie de production, ce
recul est liées au transfert qui fait hausser le niveau des depenses et
aussi les salaires des biens nationaux et les rendre incapable de concurencer
les produits étrangers similaires.
La période d`après guerre surtout les années
1993-1998 assiste a un augmentation des depenses publics finances par
l`endettement qui vient en remplacement de la manque de transfert, la
période d`après guerre est une période qui confirme
l`augmentation du côut de production du pays qui reste le principale
obstacle devant le developpement de la compétéivité
nationale des secteurs productifs.
Parmi les causes principales du declin de la croissance en
mentionne
l`augmentation des côuts du production de liban par rapport
au pays étrangers cette hausse se réfléte dans le taux de
change effectif réel {taux réel domestique=taux nominale
domestique*prix domestique/prix étranger}, le taux de change effectif
réel s`est élevé dans un proportion de 55% entre 1993 et
19981 et s`est élévé de nouveaux dans une
proportion de 22% entre 1998 et 2000, soit dans une proportion de 77% pour la
période 1993-2000 il a été à ce titre le symptome
du ralentissement et ensuite de l`arrêt de la croissance economique
libanaise2.
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