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Role du comité de lutte contre les infections nosocomiales dans la formation du personnel infirmier -cas de l'hopital ibn sina-maroc

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par Aziz CHATOUANI
Institut de formation aux carrières de santé - Laureat 2eme cycle des EPM 2009
  

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Chapitre V : Discussion des résultats

1. Discussion

Dans ce chapitre nous allons discuter des principaux résultats de notre enquête, auprès de la population cible ; en ce qui a trait à la question de recherche soulevée au début de la présente étude qui s'articule autours du rôle du CLIN en matière de la formation du personnel infirmier de l'hôpital Ibn Sina Rabat.

Suite à la présentation et l'analyse des résultats enregistrés par notre recherche, nous entamons l'étape de discussion qui procède à l'interprétation des résultats ainsi obtenus. Les idées évoquées par les écrits théoriques et empiriques recensés ainsi que les concepts ressortis par le cadre de référence constituent la base de cette discussion. De plus, la comparaison entre les informations recueillies par les deux instruments de collecte de données utilisés oriente les discussions portées.

L'étude a ciblé un échantillon de 80 infirmiers , avec un taux de participation de 73 % qui reste acceptable. Les caractéristiques des enquêtés sont comme suit : (a) La tranche d'age de plus de 40 ans, représente la majorité des participants avec un taux de 66,10 %. (b) Le sexe féminin est un peu dominant, du fait qu'il représente 52,50 %. (c) 35,60 % des participants ont un niveau d'étude secondaire suivi des bacheliers avec une proportion de 32.20 %. (d) 79,70 %des personnes enquêtées ont un grade IDE (1er, 2ème ou principal) ce qui suppose un degré d'encadrement important pour les autres catégories des infirmiers enquêtés. (e) 83 % ont un profil infirmier (polyvalent et anesthésiste) et (f) 65 % ont une ancienneté dans la fonction publique de plus de dix ans.

En général, les infirmiers soignants interrogés ont une certaines connaissances, sur la lutte contre les infections nosocomiales et son organisation. D'abord parce qu'ils ont pu déterminer, la définition des infections nosocomiales à 60%, de manière plus ou moins exacte. Ils ont également pu identifier la présence à plus de 61 % des structures de lutte notamment le CLIN. Ceci est sûrement dû au fait que cette structure vient juste d'être constituée, et qu'elle n'est pas encore arriver à se faire connaître sur le terrain par des activités bien structurées (Fatmi,2006)

Pour la diffusion de l'information en cas d'infections nosocomiales, il y'a une hétérogénéité dans les déclarations. D'après la majorité des réponses, ce sont les infirmiers chef, les médecins chef et le chef du SSI qui sont les plus habilités à déclarer les infections (entre 25,50 %et 30,5 %), Il s'ensuit qu'il n'y a pas une uniformisation dans le système d'alerte, puisqu'on a pas encore des textes réglementaires qui obligent la déclaration des infections nosocomiales et la manière de le faire (Fatmi,2006) , ce constat a été mis en évidence par l'étude qui précise que les infections nosocomiales peuvent dans certains cas, comporter un risque sanitaire élevé (épidémie, germe particulier, contamination liée à un matériel), parfois difficile à évaluer et qui nécessitent une action immédiate et par conséquent des données du signalement permettent de repérer des phénomènes inhabituels émergents dont l'origine nosocomiale peut être suspectée et qui doivent être portés, sans délai, à la connaissance du CLIN et de l'équipe opérationnelle d'hygiène hospitalière, pour mener les investigations nécessaires à la détermination de leurs causes et mettre en oeuvre les mesures de prévention ( Fabry , Jonquet ,Savey, 2006 cité par Fatmi (2006))

La plupart des membres du CLIN sont convaincus sur l'importance de cette structure qui possède des atouts incontournables pour l'amélioration de la qualité des soins et pour limiter la propagation des infections nosocomiales et par la suite la gestion du risque

infectieux (Fatmi,2006), et qui par ailleurs doit s'appuyer sur une unité opérationnelle en hygiène hospitalière afin de pouvoir exercer une action continue dans l'établissement hospitalier, cette constatation corrobore avec les recommandations de l'étude de Addoubiani (2008) qui précise que le CLIN doit pouvoir s'appuyer sur une équipe opérationnelle en hygiène hospitalière afin de pouvoir exercer une action continue dans l'établissement, cette dernière structure est représentée par une unité formelle d'hygiène hospitalière détachée au service des soins infirmiers à l'hôpital Ibn Sina.

D'un autre coté, cette structure vient d'être officialisée (la note ministérielle N° 54 du 25/07/2008 ) ce qui lui procure la légitimité de ses interventions sur le terrain dans la perspective de l'introduire plus tard dans le règlement intérieur de l'hôpital (Annexe N°6)

La bonne pratique de l'hygiène et la gestion du risque ne peut pas se faire que par un personnel formé et informé sur les niveaux du risque infectieux et sur les procédures adaptées à chaque situation de soin, ceci est l'avis de plusieurs participants membres du CLIN qui déclarent avoir fais bénéficier les infirmiers de séances de formation sur les protocoles de prévention des infections et qui ont aussi évoqué les thèmes liés à ces protocoles ,par contre 48 % des participants au questionnaire précisent qu'ils n'ont pas reçu ce genre de formation et que pour ceux qui en ont bénéficié 29 % avouent que ces sessions animées par la CLIN ne se rapportent pas avec des situations rencontrées dans leurs unités ,ainsi la rédaction des protocoles est une étape incontournable qui concorde avec les études de Chaperon, Branger et Mariani (2002) qui qualifient la rédaction des protocole comme étape primordiale pour l'amélioration des pratiques et qui est la suite logique de l'amélioration des connaissances. Toutefois, Gottot et Tondeur (2000) confirment que la mise en place des recommandations par les instances scientifiques, ne suffit pas pour susciter une évolution des pratiques professionnelles, si elle ne s'inscrit pas dans un contexte d'appropriation du changement, par le personnel soignant.

D'un autre coté, les résultats des questionnaires ont démontré, que les actions de formation à commencer par l'étape de planification qui comprend la définition et la recension des besoins en formation n'est pas de moins importantes ,presque 42,3 % des enquêtés ne participent pas à la définition de leurs besoins en formation et 54 % considèrent que le CLIN ne recense pas ces besoins et que 44,44 % contactent l'EOH pour la recension des besoin dans la formation ,ce qui pourrait s'expliquer par le fait que les actions de formations, initiés par le CLIN et épaulées par l'EOH constituent un gage de réussite de tout plan d'action de lutte contre les infections , ce qui est encouragé dans le guide des 100 recommandations, élaboré par le Conseil Supérieur d'Hygiène Publique de France (CSHPF) en 1992 et actualisé par le CTIN en 1999, et que ces actions de formation sont axées principalement sur les formation/actions, au sein de certains services, et surtout que le programme d'hygiène hospitalière n'est pas encore structuré, par ailleurs ces actions devront interpeller une coordination entre tous les partenaires impliquées dans la LCIN (Fatmi,2006)et que ça doit être traduits en amont par un plan d'action impliquant différents acteurs et requiert l'adhésion de l'ensemble des professionnels, selon une approche transversale et multidisciplinaire, et nécessite impérativement le soutien actif de la direction de l'établissement, de l'encadrement médical, paramédical et technique, pour l'atteinte des objectifs en terme de gestion du risque infectieux et de l'amélioration continue de la qualité des soins (Dumay, Carlet (1995) , Quaranta , Veyres , Buffoll , Jambou (2001) ).

L'implication des acteurs au niveau de la formation du personnel a été cité par Meignant (1997) qui suppose que « la réussite d'une politique de formation ne résulte pas du seul professionnalisme du responsable de formation, mais de la solidité et de la qualité des liens qu'il entretient avec les autres acteurs ».

Il faut noter que 27 % des enquêtés ont évoqué le plan de formation comme moyen de

ressources humaines au canada (emploi Québec,2003), ce plan de formation et les actions seront menées en cohérence avec le projet d'établissement établi en concertation avec les instances qui concourent à sa réalisation et à son suivi (ce projet ayant été étudié par le CLIN en ce qui concerne le risque infectieux). Chaque année, le président du comité de lutte contre les infections nosocomiales préparera un document sur le bilan annuel des activités du comité ainsi que les projets d'actions pour l'année suivante. Ce document sera soumis à la commission médicale d'établissement, pour avis, et au conseil d'administration pour information (100 recommandation de prévention des infections,1992) , en effet le CLIN doit proposer, dans le plan de cette formation continue, des formations qui abordent la prévention de l'infection nosocomiale. Ces formations sont nombreuses, il appartient au CLIN de s'assurer de leur qualité. Un cahier des charges qui reprend les mêmes critères que celui du plan de formation des personnels paramédicaux peut être proposé. Le CLIN est consulté pour le choix d'organismes extérieurs intervenant pour la formation en hygiène. Certaines formations permettent d'accéder à une qualification professionnelle spécialisée (infirmier hygiéniste). Ces formations qui surviennent dans le cadre de la formation professionnelle continue ont un programme très spécifique en hygiène hospitalière. Le CLIN et l'EOH veilleront à la cohérence de l'information donnée par rapport aux procédures et recommandations en usage sur les différents terrains de stages (Manuel du CLIN, 2001).

Si la majorité des réponses affirment l'existence de journées de formation sur la prévention des infections nosocomiales (30,50 % des participants), elles indiquent également dans le cadre de la mise en ouvre des formations que la fréquence de ces séances reste insuffisante (85 % des infirmiers avancent la durée d'une journée ) pour impulser le changement dans les pratiques professionnelles(Fatmi,2006)

Il s'ensuit que, la continuité de ces séances et leur intégration dans un cadre uniformisé spécialement dévolue à l'hygiène hospitalière, sont les impératifs nécessaires pour leur valorisation, et pour l'atteinte des objectifs qui leurs sont assignés (Fatmi ,2006).

Pour l'évaluation des activités de formation 54 % estiment que la formation se déroule dans des conditions défavorables ,toutefois le guide de gestion des ressources humaines au Québec précise dans le chapitre se rapportant à l'évaluation que c'est une activité de gestion des ressources humaines qui permet de prendre du recul et de créer un temps d'arrêt privilégié pour regarder l'évolution de l'employé ainsi que celle du gestionnaire en fonction de l'environnement, du contexte et de la culture de l'organisation. Ce moment donne l'occasion de souligner les points positifs tout en abordant également les éléments qui nécessitent une amélioration. (Emploi Québec, 2003).

De surcroît, évaluer le rendement, c'est analyser la performance du personnel en misant sur le maintien de la satisfaction au travail tout en favorisant la progression professionnelle et personnelle en respectant le temps alloué aux sessions de formation chose qui a été évoqué par 36 % qui avouent l'inadéquation du temps alloué à la formation.

Le guide du CLIN (2001) précise que lors de l'examen d'une proposition de formation, le CLIN doit avoir connaissance des méthodes d'évaluation proposées par les formateurs. Plusieurs sont possibles, notamment l'évaluation de l'acquisition de connaissances des participants et l'évaluation de la qualité de la formation par les participants. Cette dernière aborde la notion de satisfaction des attentes du public par rapport aux objectifs poursuivis. Il faut être conscient que l'évaluation immédiate de la formation par les participants est très subjective et répond le plus souvent à une appréciation de l'ambiance qu'à une réelle acquisition de savoir (smiling - test).

Une évaluation des connaissances préalables à la formation suivie d'une deuxième évaluation après la formation est certainement intéressante, elle doit être particulièrement bien préparée pour ne pas passer pour un contrôle, malvenu en matière de formation continue. L'évaluation de l'impact des formations peut se réaliser à distance par les évaluations de pratiques professionnelles.

Par ailleurs, le CLIN aura un rôle important dans l'accompagnement des infirmiers lors de l'application de protocoles chose qui n'est pas pratiquée selon 66 % des personnes questionnées.

Pour l'organisation pratique des formations elle doit faire l'objet d'une description détaillée. Les organismes extérieurs auront à répondre aux demandes de l'établissement, aussi il est nécessaire de leur fournir des éléments qui précisent ces exigences, ainsi pour les formations proposées par des organismes extérieurs ils font l'objet d'un cahier des charges (Annexe N°5).

En conclusion les étapes de planification et de mise en ouvre et d'évaluation laissent encore à désirer.

Sachant que les soins infirmiers portent sur plusieurs aspects (préventifs, curatifs et de réadaptation). Ils nécessitent une organisation rigoureuse, engager suffisamment de moyens (humaines et matériels), sensibilisation, incitation et formation du personnel soignant. Moderniser la gestion du service, c'est un outil fondamental qui contribue à la crédibilité et la valorisation de la profession infirmière et pour améliorer la lutte contre les infections nosocomiales.

le CLIN en effet est une structure qui regroupe tous les acteurs directement

coordination des efforts, en vue d'une meilleure gestion du risque infectieux (Fatmi,2006)

2. Forces de l'étude

> Cette étude est la première qui s'est intéressée au rôle du CLIN en matière de formation du personnel infirmier à l'hôpital Ibn Sina Rabat. Elle a donné un éclairage sur la problématique de la formation dans la lutte contre les infections nosocomiales.

> Les entretiens avaient permis de faire la connaissance de plusieurs personnes et la visite de plusieurs services.

3. Limites de l'étude

> nombre limité des personnes interrogées et le choix du site, ne permettent pas la généralisation des résultats de l'étude.

> pour les entrevues, nous n'avons pas pu atteindre tous les membres du CLIN à cause de leurs multiples préoccupations ,cependant, nous avons pu toucher les acteurs clés de cette structure.

> Les outils utilisés notamment le questionnaire ne peut se séparer de certaine subjectivité ;

> La rareté des écrits et des recherches empiriques sur le plan national limite le champ d'investigation et d'argumentation

> Enfin Le temps imparti au travail de recherche ainsi que sa planification avec

l'enseignement des modules théoriques et les stages n'ont pas permis de conduire une enquête plus poussée ;

4. Perspectives de l'étude :

Les résultats de cette étude ont d'abords confirmés, que notre problématique a été justifiée, et que la nécessité d'améliorer la formation en matière de la lutte contre les infections nosocomiales, est gage de réussite pour instaurer la qualité des soins et par conséquent améliorer la lutte contre les IN.

Malgré les difficultés constatées pour utiliser la formation des infirmiers au niveau hospitalier , un désir notable est exprimé pour contribuer à toute initiative de changement.

Ceci nécessite des efforts de la part de tous les concernés au sein de l'institution afin de les surmonter. En effet, les exigences actuelles du monde hospitalier et les implications de l'éthique professionnelle font que l'utilisation de la formation soit systématique Il serait donc intéressant d'étendre cette recherche, à plusieurs établissements à l'échelle locale, régionale ou nationale ; afin d'avoir des données comparables et apporter plus de solutions, à la problématique de la formation en matière de la lutte contre les infections nosocomiales (Fatmi,2006).

5. Recommandations L'application de la formation en matière de LCIN par les membres du CLIN avec

l'EOH et des référents demande sûrement un investissement et un engagement de la part de l'institution et exige énormément des efforts en modifiant profondément la conception qu'ils ont de leur rôle et de ceux des infirmiers.

Les connaissances, l'expertise et les idées bonifient considérablement la valeur de l'institution et sont des actifs importants pour l'organisation de la LCIN.

A la base des résultats de cette étude, il émerge un certains nombre de recommandations auxquelles s'ajoutent d'autres suggestions proposées par les infirmiers et les membres du CLIN ayant participé à cette recherche dans le but d'une généralisation de la

culture de formation .ces recommandations sont destinées à l'institution et à la communauté hospitalière et qui concerne les étapes de planification, mise en oeuvre et évaluation de la formation.

Pour la planification :

> Coordonner les efforts pour disposer des ressources compétentes au bon endroit et au moment opportun, le tout afin d'atteindre les objectifs organisationnels.

> Maximiser l'utilisation des ressources humaines et assurer leur développement continu ; > Coordonner les activités de ressources humaines soutenues par le plan de formation ;

> Accroître l'organisation de LCIN.

> Analyser l'environnement hospitalier en veillant à l'élaboration des objectifs

organisationnels ;

> Prévision besoins en ressources humaines en quantité et en qualité (affectation des infirmiers et médecins hygiénistes ...)

> Assurer la planification des actions de LCIN ;

> Se doter d'une équipe opérationnelle d'hygiène performante ;

> Définir un programme annuel d'action de la LCIN ;

Pour ce faire, le CLIN doit connaître les compétences et les habiletés de tous les infirmiers actuellement en poste. Pour chacun d'entre eux, il faut connaître : (a) ses besoins en formation continue , (b) son expérience professionnelle , (c) son rendement ,(d) sa formation et ses qualifications ,(e ) ses champs d'expertise , (f) ses intérêts, ses aspirations et ses projets de carrière et (g) ses activités d'apprentissage réussies.

Pour la mise en oeuvre :

> Organiser des activités de formation liées au respect des pratiques d'hygiène et de l'application des protocoles de LCIN ;

> L'information des professionnels pour la pérennité des efforts de prévention,

> Approuver l'ensemble des actions proposées pour assurer la cohérence d'ensemble de la politique de prévention.

> Rédiger chaque année son rapport d'activité pour l'année écoulée ;

> Coordonner et participer la formation des professionnels dans le domaine de la gestion du risque infectieux ;

> Réaliser l'investigation et l'intervention lors de la survenue d'événements inhabituels ou
sévères et participer à la mise en place des mesures réglementaires en matière d'hygiène.

> Mettre en place une politique d'élaboration de « fiches techniques » qui doivent respecter une méthodologie rigoureuse, et être en accord avec les recommandations nationales et prendre en compte la sécurité des patients et des personnels ;

> Animation des sessions de formation (par les membres du CLIN ou recours à des personnes extérieures de l'établissement)

Pour l'évaluation :

> l'évaluation des actions de formation devrait être intégrée à la formation ;

> Planification de l'évaluation et son insertion dans le plan de formation ;

> L'adoption de critères et d'outils d'évaluation ;

> La valorisation de l'évaluation formative et la prévision d'une évaluation diagnostique

> Evaluer le système de formation en mettant en oeuvre les techniques et les méthodes pédagogiques ;

Enfin, il convient d'évaluer les acquisitions des formés mais également la manière dont se sont déroulés l'action et les interventions des différents intervenants (formé- formateur- institution).

Des outils spécialisés permettent de procéder adéquatement à ces appréciations. Trois étapes essentielles sont recommandées dans la phase de l'évaluation et qui sont:

- L'étape de l'évaluation à chaud

- L'étape de l'évaluation écrite de l'action de formation

- L'étape de l'évaluation post formation, évaluation d'impact de la formation (une étape chronophage).

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"Ceux qui vivent sont ceux qui luttent"   Victor Hugo