De cette étude, il ressort que la majorité des
patients soit 51,4 % étaient de la catégorie IIA donc payants
cash.
Nous n'avons pas pu faire une relation entre le vitiligo et
le niveau socioéconomique des patients et dans la littérature,
aucune relation entre le vitiligo et la situation socio-économique n'est
mentionnée.