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Intégration financière internationale face à  une stratégie de diversification de portefeuille

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par Douzi Adnen
Université de Cergy- Pontoise Paris - Master de recherche 2011
  

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INTRODUCTION GENERALE

INTRODUCTION GENERALE

L

e monde de la Finance a connu un grand bouleversement avec l'apparition du modèle de l?évaluation des actifs financiers (MÉDAF) proposé par Sharpe (1964), Lintner (1965) et Mossin (1966). Ce modèle présente une relation simple telle que le rendement est expliqué par la prime de risque du marché. Cette prime

est la rentabilité supplémentaire que les investisseurs exigent de percevoir pour acheter des actions plutôt que des bons du Trésor ou des obligations d?Etat, pas ou faiblement risqués. C?est la compensation exigée par un investisseur pour rémunérer le risque propre aux investissements en action. Ce risque se décompose lui -même en risque systématique (ou risque de marché) qui affecte plus ou moins toutes les actions d?un marché boursier et en risque spécifique (ou risque intrinsèque) qui est indépendant des phénomènes affectant l?ensemble des titres et qui caractérise le risque propre à une entreprise ou à un secteur d?activité. Jusqu'à aujourd'hui, le MÉDAF est l'un des modèles d'évaluation les plus utilisés par la communauté financière, en dépit des critiques qui lui ont été adressées. C'est que divers chercheurs ont avancé que le béta du MÉDAF est insuffisant pour expliquer le rendement ; et que certains facteurs fondamentaux y jouent un rôle complémentaire. D'autres trouvent que le MÉDAF se fonde sur des hypothèses assez réductrices.

L'apparition du Modèle d'évaluation par Arbitrage l?APT, développé par Ross (1976), est l'une des premières réponses concrètes aux critiques du MÉDAF. Grouer et Al (1976) montrent qu?il ya des versions plus internationales du modèle proposées par Solnik (1974), Sercu (1980), Stulz (1981), Adler et Dumas (1983). Grouer et Al (1981) étudient un MEDAFI à segmentation partielle où les primes de risque sont déterminées par une combinaison de facteurs internationaux de risque. De méme, l?un des résultats théorique les plus importants qui à contribué à la suivie du MEDAF est celui de Dybvig et Ross (1985) et Hansenet Richard (1987) qui ont montré que la version conditionnelle du MEDAF est appropriée même si le MEDAF traditionnel mis en couse.

De plus, le modèle de Fama French présente une extension du MEDAF qui s?inspire des modèles multifactoriel : ces derniers expriment le rendement en fonction de plus qu?un facteur et de donner le maximum d?informations pour bien mesurer et prédire le rendement. Markowitz formalise le problème du choix de l?investisseur en supposant que celui-ci optimise ses placements en tenant compte non seulement de la rentabilité espérée de son portefeuille mais aussi de son risque mesuré par la variance de sa rentabilité. Cette théorie de

portefeuille nous enseigne que le risque non systématique peut être éliminé en diversifiant. Un portefeuille d?actions offre un couple rentabilité-risque meilleur qu?un titre individuel. En effet, contrairement à la rentabilité anticipée du portefeuille qui est par définition égale à la moyenne pondérée des rentabilités anticipées des différents titres qui y sont introduits, la variance (le risque) du portefeuille est inférieure à la somme pondérée des variances (des risques) des titres pris individuellement. Une corrélation faible entre les titres individuels aboutit à un meilleur rapport rentabilité-risque.

Au niveau national, la théorie de portefeuille de Markowitz (1952,1959) nous enseigne que l?inclusion des titres peu corrélés dans un portefeuille réduit grandement son risque. Au plan international, Les bénéfices des stratégies de diversification de portefeuilles ont été montrés depuis les travaux pionniers de Grubel (1968) et Solnik (1974). Ces bénéfices sont souvent attribués aux corrélations plus faibles entre marchés financiers nationaux qu?entre titres individuels du même marché. De nombreux travaux empiriques ont montré que la diversification internationale réduit davantage le risque qu?un portefeuille purement domestique. En effet, aussi longtemps que les marchés financiers sont affectés par des facteurs spécifiques du risque, les corrélations entre ces marchés sont relativement faibles et les gains attendus des stratégies de diversification internationale sont importants.

L?analyse de corrélation est importante parce qu?elle est utilisée pour vérifier la diversification d?un portefeuille. Cette corrélation est mesurée par le degré d?intégration entre les marchés financiers, s?il ya une faible corrélation, le gain de la stratégie de diversification à l?international sera important. Cette intégration des marchés financiers a fait l'objet de notre étude qui tien leur importance du fait qu'en présence d'une intégration financière entre les marchés.

Quelle est l'impact de l'intégration des marchés financiers sur la stratégie de diversification de portefeuille à l'internationale ?

Pour répondre à cette question, notre travail comporte trois chapitres, le premier sera consacré à exposer les modèles d?évaluation des actifs financiers à l?échelle nationale et internationale et les mesures du risque d?un portefeuille. Le deuxième sera réservé aux différents types de justifications proposées dans la littérature financière pour expliquer les effets de la diversification à l?international, le biais domestique et l?impact de l?intégration des marchés

financiers. Le troisième chapitre est basé sur létude de l?intégration des marchés financiers et ces implications sur le risque de la diversification internationale. Nous visons par ce travail la participation à un débat concernant cette énigme.

CHAPITRE 1
LES MODELES D'EVALUATION DES ACTIFS FINANCIERS

CHAPITRE 1

LES MODELES D'EVALUATION DES ACTIFS FINANCIERS

C

e chapitre aborde l?évolution récente des méthodes d?évaluation des actifs financiers en matière de choix de portefeuille optimal. Les recherches de Markowitz des années cinquante, ont marqué le point de départ de la théorie

moderne relative à la gestion des actifs financiers et au fonctionnement des marchés, bien que connu, il a affiné l?approche moyenne - variance et le concept de la diversification. Ceci constitue la première étape de la théorie moderne de portefeuille, quand à la seconde étape, nous pouvons poser la question suivante : quelle est la mesure la plus adéquate qui satisfait au mieux les préférences de l?investisseur, à cet égard de nombreuses études faites commencent l?approche moyenne - variance de Markowitz (1952) en passant par le modèle d?évaluation des actifs financiers de Sharpe (1964), Lintner (1965), et Mossin (1966) jusqu?au modèle à trois facteurs de Fama French (1993).

Dans le méme cadre de l?approche moyenne - variance de Markowitz (1952), la sélection d?un portefeuille qui satisfait à la préférence des investisseurs et leurs attitudes face au risque est bien expliqué par le modèle le plus connu et le plus utilisé par ces investisseurs qui font leurs choix en fonction de l?espérance de rentabilité et la variance de rentabilité. Mais il existe des travaux qui ne confirment pas les résultats de l?approche moyenne - variance, Prat (1964), Feldstein, Levy (1974). Ils montrent que le choix de portefeuille individuel selon l?approche moyenne - variance tend vers la diversification.

Quand à la diversification, elle présente une source de gain pour les investisseurs, ce critère de choix dépasse la diversification nationale à la diversification internationale qui est en lien avec d?autres conditions comme le degré d?intégration des marchés financiers Loyze et Server (2003), Azman et Al (2002), Harvey et Ng (2003).

Les difficultés de l?approche moyenne - variance sant les principales couses de renforcement des travaux de recherche et la naissance d?autres méthodes d?évaluation des actifs financiers le MEDAF de Sharpe (1964), Lintner (1965) et Mossin (1966). Ce modèle est développé en (1992 - 1993) par Fama French qui a ajouté deux facteurs au modèle de base.

Ce chapitre sera organisé comme suit : dans la première section on va étudier l?approche traditionnelle de Markowitz (1952). D?une part, le modèle d?évaluation des actifs financiers, et de l?autre part le MEDAF. De même, dans cette partie nous nous intéressons au MEDAF conditionnel et les études faites sur le MEDAF à l?internationale, le modèle a trois facteurs de Fama French (1993) et l?APT. Enfin, notre étude sera faite pour le choix et la sélection d?un portefeuille.

1.1 : L'approche traditionnelle de Markowitz (1952)

La théorie de portefeuille de Markowitz est le modèle de gestion le plus connu et le plus utilisé. Ce modèle suggère que les investisseurs font leurs choix en fonction de l?espérance de rentabilité et de la variance des rentabilités, selon une étude faite par Olga B (2009) le portefeuille optimal et définie comme celle de la variance minimale pour un niveau de rentabilité donnée. Le résultat essentiel du modèle de Markowitz (1952) est le concept de diversification. Cette théorie appelée aussi « moyenne - variance » est compatible avec la théorie d?utilité espérée sous certaines hypothèses, et que les rendements suivent une loi normale.

Pratt (1964), Feldstein, Levy (1974) n?est confirmé au résultat de l?approche moyenne - variance que si les investisseurs plus averses au risque, le rendement sera plus élevé. Suite à l?étude d?Olga B (2009), le choix de critère de rendement - risque suppose que tous les moments d?ordre supérieur à deux et la distribution jointe des rentabilités ne soient pas pris en compte, alors le portefeuille optimal est basé sur une information considérablement réduite. « Les écarts positifs par rapport à la moyenne de richesse espéré en autant d?importance que les écarts négative, or le risque est plus souvent associer avec le risque de perdre qu?avec le risque de gagner. » Libby et Fishburn (1977).

La théorie de portefeuille de Markowitz a donné naissance à l?équilibre des actifs financiers développés par Sharpe (1964), Lintner (1965) et Mossin (1966). Ce modèle montre que le risque total d?un titre se décompose par un risque de marché appelé risque systématique ou non diversifiable et un risque liée au titre, lui-même est appelé risque diversifiable ou spécifique.

La MEDAF stipule que les agents optent les mémes portefeuilles d?actifs risqués qui prennent
l?appellation de portefeuille du marché. L?objet des investisseurs de réduire le risque est
d?augmenter la rentabilité, ce comportement de choix de portefeuille revient à construire un

portefeuille diversifié pour éliminer le risque spécifique des titres et ne garder que le risque systématique du marché.

1.1.2 : Le portefeuille de H. Markowitz

Le modèle de Markowitz (1952) comme taus les modèles se caractérise par une présentation simplifiée à une réalité complexe dont le but d?une description du profit, et qui consiste exclusivement à la mesure du degré d?aversion ou risque c à d plus l?investisseur averse au risque, plus le rendement de portefeuille est élevé, dans le couple rendement risque les investisseurs cherchent à réaliser le meilleur compromis possible entre le rendement espéré et le risque correspond.

Blume et Friend (1975) ; Barber et Odean (2000) ; Kumar et Geotzman (2003) ; Polkovnichenko (2005) montrent que le portefeuille de H.Markowitz est très peu diversifié, aussi une approche alternative fondé sur le concept « safety first " Roy (1952) ; Baumol (1963) ; Arzacet et Bawa (1977) suggère de ne prendre en compte que le « downside risk " Bawa (1975) ; Menesez, Gies, Tressler (1980) dans ce cas, seuls les écarts négatifs par rapport à un certin niveau souhaité sont mesuré. Dans ce même cadre de mesure de risque an distingue :

1.1.2.1 : Volatilité

La volatilité s?interprète comme le degré de variation moyenne des prix d?un actif ou d?un fond, de plus elle se définit comme l?écart-type annualisé de ses variations. En fait, plus cette variation est élevé plus l?actif considéré est risqué, d?ailleurs elle trouve son origine sur les facteurs internes et externes de l?actif considéré. Etant donné que certaine action dont les fondamentaux sont faibles, ont une volatilité supérieure au marché, c à d betas supérieur à un.

1.1.2.2 L ll 'écaI1 ll1%p

Dans la théorie moderne du portefeuille, nous utilisons l?écarte type du rendement R comme mesure du risque

cy = _ ~) = )

Ou représente le rendement espère ~

= E(R) =

Supposons que vous ayons deux titres x1 et x2 et que x1 est la pondération du premier titre (0 x 1) Nous pouvons déduire par la pondération du second titre est 1-x1

-

R-p =

Le rendement espère de portefeuille se calcule comme suit + (1- x1) -R

Ou -R le rendement espère du titre i

L?écart type du portefeuille est donnée par

6pd (x16 1) 2 + [(1 - x1)6 2] + [(2x(1 - x)6 16 2 )]

Ou 6 i est l?écart types des rendements des titres i et p les corrélations des deux titres Cas générale

Le rendement espère du portefeuille se calcule R- p= R-Tx

Alors la variance du portefeuille est comme suit 6 p=xT

1.1.2.3 : Variance de portefeuille :

C?est la moyenne des carrées des écarts a la moyenne

6 p=var( Rp)= x 16 1 + x 26 2 + 2x1x2cov(x1x2)

=x 16 1

+ (1

- x1) 26 2

+ 2x1(1 - x1)co v(x1, x2)

=x210" 21

+ (1

- x1)2(122

+ 2x1(1 - x1) Pxix20"10" 2

cov(xi,x2)

On suppose 6 -6 et [11 > [12 et on pose p(x1, x2) =

62p = 6 21[x 1 + (1- x1) + 2x1(1 - x1) P(x1, x2)]

1.1.2.4 : Minimisation de la variance du portefeuille

=- - 2a -- ) -- )~

Si ) lo a p a a et E ( p)

Si ~ -- alors

Donc a p = 0 et E ( p) =

1.1.2.5 : La corrélation

La corrélation consiste à mesurer l?interaction entre deux variables, le résultat de cette mesure s?appelle « Le coefficient de correlation »

La mesure d?un coefficient de corrélation peut varier entre +1 et -1

~ ~ Y) y

Y YY YY

Y)= N ) Y -Y)

~

N )

N Y Y)

CO ~ =

~ - ~ ~ -y) = y

Avec var(x) = ~ ~

~ = Var(y) = ~ ~ ~ ~

~ = ~~

- Plus de 0 ,75 cette mesure implique que les deux actifs reagissent de façon très similaire aux conditions du marche et que leurs rendements iront generalement dans la même direction

- Entre 0,25 et 0,75 implique que les deux actifs rependent de façon assez similaire aux conditions du marche.

- Entre zero et 0,25 les actifs reagissent differemment à la condition du marche et leurs rendements ont tendance à demeurer indépendants l?un de l?autre

- Moins de zero les actifs reagissent differemment à la condition du marche et leurs rendements evaluent en direction opposee.

1.1.2.6 : Mesure de la VaR

Value at risque est proposé par Baumol (1963), c?est le niveau de la perte maximale, cette mesure est devenue très populaire ses dernières années Duffi et Pan (1997), Jarian (2000), Linsmeier et Person (2000), Hull (2008) la mesure de la VaR correspond au montant de la perte qui ne devrait être dépassée au seuil de confiance t% sur un horizon de N jours. Olga B (2008), la VaR est définie pour une seule valeur de la probabilité 1-t contrairement à la contrainte dans les modèles de Safety first, en autre la VaR fait partie des mesure du risque qui sont utilisées afin de déterminé le capital requis.

Dans ce contexte Artzner, Delbaem, Eber et Heath (1999) proposent quatre propriétés qu?une mesure de risque doit satisfaire pour être qualifiée, l?une de ces propriétés sous additive c à d la mesure du risque doit diminuer à l?effet de diversification, la VaR ne satisfait pas à cette propriété Olga B (2008).

La mesure de la VaR est devenue très populaire dans les années (1980) et confronté aux nombreux tests de confirmité et de comparaison avec d?autres mesures de risque à l?égard de ces tests différents approche ont été proposé Harlow (1991) Shapiro (2001), Yiu (2004).

Basak et Shapiro (2001) développent un modèle mono périodique aussi Alexander et Baptista (2002) comparent les portefeuilles obtenu dans le cadre d?un modèle moyenne - VaR avec les issus du modèle de Markowitz (1952) qui consiste à maximisé les pertes maximale définie par la VaR.

1.1.2.7 : Ratio de risque / Performance

La théorie financière propose de nombreux indicateurs de performance dont l?objet est la prise en compte de la relation entre le risque et la rentabilité, notons qu?il existe trois ratios, Sharpe (1966), Traynor (1965) et le de Jensen (1968). Ce sont les exemples standards de critère de performance prenant en compte la relation rentabilité risque, même si le premier défini le risque a partir de l?écart-type des rentabilités alors que les autres prennent en considération le beta d?un portefeuille analysé.

Dans ce même cadre ces indicateurs supposent l?existence d?un actifs sans risque et : ou celle d?un portefeuille de marché, il suppose en fait l?idée de diversification optimal en référence à la théorie du portefeuille de Markowitz (1952 - 1959) ou au MEDAF.

Quant ou ratio de Sharpe il est noté }, pour un portefeuille y est défini par :

~ = ~

~

Ou , le ratio de Sharpe d?un portefeuille ~ Le rendement d?un portefeuille

f Le taux sans risque

a, Le risque de portefeuille y

-si le ratio de Sharpe est négatif ça signifie qu?un placement dont le rendement est inferieur à celui du taux sans risque.

Par la suite le ratio de Traynor d?un portefeuille y défini comme suit :

Ty = ~ ~

P. Roger et M. Merli (2001) montrent que le point de différence avec le ratio précédent réside
dans la mesure du risque qui normalise l?excès de rentabilité. Quand un portefeuille situé sur

la droite de marché des capitaux aura un T~ égale à - f.

T~ Représente un avantage par rapport au précédent ratio c?est que si un investisseur possède
une capacité de gestion supérieur à la moyenne. T~ Sera supérieur à la l?excès de rentabilitédu portefeuille du marché.

Enfin, de Jensen, ce coefficient est fondé sur la même idée que le ratio de Traynor en ayant une formulation additive alors que la formulation de Sharpe était multiplicative. Le coefficient de Jensen est défini pour un portefeuille y par :

~ ~ - f - ~ - f)

Notons qu?un portefeuille possédant un coefficient significativement positif car il se situe au dessus de la droite du marché des capitaux.

1.2 1 [11 lip 1II01II4vDMINEKII IIII IIEWV 1KIKIIIIKID ( ' $ )

1.2.1 : Definition

Le monde de la finance à connu un important bouleversement avec l?apparition du modèle d?évaluation des financiers (MEDAF) ou le CAPM (Capital Asset Pricing Model en anglais) proposé par Sharpe (1964), Lintner (1965) et Mossin (1966), c?est le modèle le plus connu et le plus utilisé.

Une conclusion simple est facilement compréhensible telle que le rendement est expliqué par la prime de risque de marché, on utilise ce modèle pour estimer le cout du capital, l?élaboration des stratégies d?investissement et l?évaluation des performances des portefeuilles. Sharpe (1964) et Lintner (1965) élabore un modèle d?évaluation qui reflète l?équilibre général du marché réalisé à partir de la confrontation entre l?offre et la demande.

La formule du MEDAF dans sa version simple et facile s?écrit comme suit : E(Ri) = Rf + fii E RM~ -- Rf)

Dont fii (E(RM) -- Rf) = prime de risque du titre

(E(RM) -- Rf) = prime de marché

Les fi sont estimé par MCO (Méthode des moindre carrée)

Quant à fii, c'est la mesure du risque systématique, non spécifique et non diversifiable de l'actif. Cette variable reflète le risque d'un actif, qui est d'ailleurs évalué par rapport au risque du portefeuille du marché. fii Se calcule comme suit :

)

)

Avec fimarche =1 et fiactif sans risque =O.

Notons qu'il existe une relation positive entre le rendement d'un actif et le risque représenté par le béta. De plus, il est important de signaler que le risque n'est plus fonction de la variance de l'actif en question, mais plutôt une fonction de la covariance entre l'actif et le marché. Par ailleurs, le fii peut être négatif (surtout dans les grands marchés).

On veut mesurer de la contribution du titre au risque de portefeuille M On part du risque totale de M

~ =

~

~ ou ~ = cov ( , )

~

~ =

~

~ cov ( , ) =

~ cov ( , )

Car =

En normalisation, on obtient :

~

1 = ~

~

~~

) Represente la contribution normalisee du titre i ou risque du portefeuille de

marche, on appelle le du titre i

Si t le titre i est attenue les variations de M (Moins risque que la moyenne)

Si t 1 le titre i est amplifie les variations de M (plus risque que la moyenne)

Si t 0 est possible mais rare

v Tout titre rapporte le taux sans risque plus une prime de risque

v Cette prime de risque est la fonction de la prime de marche et du Beta du titre, alors que l?utilisation du MEDAF dans la gestion de portefeuille se fait à trouver deux strategies.

v Stratégie d?investissement passif : portefeuille indexe

v Stratégie d?investissement Actif : recherche activement les valeurs sous-evaluees ou sur - evaluees, pour en tirer un profit rapide

1.2.2 : Les hypothèses de MEDAF

Le marche comporte N actifs risques de rentabilite i-- i oi) et un actif sans risque de taux d?intéret f exogène.

-Les prix des actifs cotés sur le marché sont des prix d?équilibre. (le CAPM est modèle d?équilibre (vs APT))

-Tous les investisseurs sur le marché sont rationnels au sens de Markowitz (utilisent tout le critère moyenne-variance)

- L?univers d?investissement est le méme pour tous les investisseurs (mémes titres pris en considération (=> prise en compte de tous les titres)

- Les anticipations des investisseurs sont homogènes (tous les investisseurs font les mêmes prévisions (espérance de rendement, risque) et possèdent tout le même horizon de placement)

-Les seules différences permises par le modèle concernant les investisseurs :

- aversion pour le risque - richesse initiale

- Chaque investisseur, pris individuellement, est preneur de prix (Price- taker) : leurs transactions ne peuvent affecter les prix de marché.

- Il y a une divisibilité complète des actifs.

- Les marchés de capitaux sont parfaits (pas de frais de transaction, liquidité assurée) - Il n?y a pas d?impôt

- Les investisseurs peuvent prêter ou emprunter au même taux

1.2.3 : Validation empirique du MEDAF

Colmart, Gillet et Szafarz (2009) « efficience des marchés, concept, bulles spéculatif et image comptable » en étudier la validation empirique du modèle comme suit est que le point de départ c?est la relation linéaire entre la rentabilité attendue 1 et le risque systématique ,

1) f . ) - f

C?est une relation transversale (Cross- Section)

~ ~ ~ ~ ~ ~

Avec i = 1... .n

Y à comparer avec f

y à comparer avec ) - f

Ce résultat empirique à rencontré de nombreux problèmes économétriques, grâce à ces problèmes Roll(1977), Fama et French (1992 ,1995)

1.2.4 : Régression en série chronologique

Le point de départ Steve A (2007) est le modèle suivant :

- r ) - r )

Ou la constante dans la régression est le portefeuille X et ce qu?on prend pour le

portefeuille du marché.

Pour que la régression soit strictement valide et non une approximation à une relation non linéaire, une conséquence testable de la version du MEDAF est la constante dans la régression devrait être égale à zéro, aussi qu?il ne devrait pas y avoir de variable explicative au - delà du facteur beta qui aide à prédire le rendement espéré.

Finalement, il ya aussi des tests économétriques en linéarité qu?on peut appliquer afin de confirmer ou infirmer le MEDAF.

1.2.5 : Le MEDAF de Black (1972)

En 1970, pour contourner le problème de manque de linéarité de l?hypothèse de prêt / emprunt à un taux d?intérêt sans risque unique, Black a testé une version du modèle dans la quelle cette hypothèse est remplacer par celle de la possibilité de vente à découvert potentiellement illimité des actifs risqué.

J.clerical (2009) montre que ses résultats lui de permettent de définir le portefeuille à zéro beta et à variance minimale comme étant le portefeuille efficient a corrélation nulle avec le portefeuille du marché, il redéfinit des lors le prime du risque au rendement excédentaire des actifs et des portefeuilles par rapport à ce zéro- beta et non plus en fonction du taux d?intérêt sans risque.

Dans ce même article Black (1972) montre que la condition d?équilibre de non arbitrage implique que la condition des portefeuilles efficients choisis par les investisseurs, pondérés par leur proportion respective dans la richesse investie agrégé, ne peut mener qu?à la définition du portefeuille de marché.

1.2.6 : Les anomalies et les critiques de MEDAF

La critique la plus connue sans doute celle de Roll (1977), il remarque qu?il est impossible de calculer avec exactitude la rentabilité du portefeuille du marché.

Stambough (1982) à montré empiriquement que les tests du marché sont dans les faits moins sensibles au choix du proxy, ou l?indice de marché de Roll (1977) ne le prévoyait.

Les analyses théorique de Kandel et Stambough (1987) et de Skamken (1987) montrent que les erreurs de mesurées sur le portefeuille de marché n?affectent les résultats des testes du modèle que si la corrélation entre l?indice de marché utilisé et le vrai portefeuille de marché est diffusément faible.

Bassu (1977) qui montre l?existence de l?effet PER les portefeuilles qui ont de petit PER ont des rentabilités moyennes plus élève que celles prévues à l?aide de CAPM.

Banz(1981), l?effet taille ou le fait que les actions à faible capitalisation ont des rentabilités moyenne supérieure à celle des prédites par le CAPM.

Reiganum (1981) confirme l?existence de ces deux effets et montre qu?il est relié.

Keim (1983) confirme l?existence de l?effet taille et montre qu?il est aussi relié à l?existence d?un effet janvier, aussi on distingue d?autres effets comme l?effet sur réaction de Debondt et Thaler (1985) et l?effet momentum de Jagadeesh et Titman (1993).

Reinganum (1981), Lakonishok et Shapiro (1986), Chopra et Ritter (1989), Fama et French (1992) ils ont mentionné l?existence d?une certaine relation entre les betas des actifs et les rentabilités moyennes. Black (1993), Chan et Lakonishok (1993), Pettengil, Sundaram et Mathur (1995), Grundy et Malkiel (1996), confirment la mort de la beta.

Le CAPM versus le modèle de neutralité ou risque avec l?existence d?une région critique pour la prime du risque du marché.

1.2.7 : Le MEDAF conditionnel

La version conditionnelle du MEDAF est appliquée au marché émergent de la période 1990 à
2005, Joelle R (2007) à mis en évidence la variabilité des moments conditionnel des
rendements boursières, permettent aussi la variation de la prime du risque. Il constitue en

outre un outil pertinent dans l?analyse de l?intégration en ayant recourt au variable d?informations dites variables internationales.

Le MEDAF conditionnel à utilise pour l?évaluation des rentabilités des marchés, toutes les différentes études théoriques et empiriques ont abouti à une conclusion en faveur de la variabilité des paramètres variant dans le temps dans le cadre du MEDAF conditionnel qui est basé sur le principe suivant :

La relation entre la rentabilité d?un titre particulier et la rentabilité espérée du portefeuille du marché ne serait valable que conditionnellement à l?information disponible.

Dans sa version traditionnelle le MEDAF est donné par l?expression suivante :

E ( 1) - f . 1) - f ~

Tandis que le MEDAF conditionnel s?exprimera comme suit :

1 - f i - f ~

Les variables et les coefficients de régression s?interprètent.

1 Est l?espérance de rentabilité de t qui est en fonction des informations disponibles en

t-1

f Le taux sans risque, Buckberg (1993) à testé un MEDAFC appliqué au marché émergent de la période 1977 à 1991 il obtient un résultat non significatif. A l?exception des variables aléatoires « Independent et identiquement distribuer » les moments conditionnel il en le même facteur beta même si la beta conditionnels est constant, il nécessairement ou beta non conditionnel.

En se qui concerne le lien de causalité entre les deux modèles, il est noté que la pertinence du modèle conditionnel n?implique pas à celle du modèle non conditionnel aussi que l?efficience au sens « moyenne- variance » du modèle conditionnel n?implique pas à celle du modèle non conditionnel.

Un des résultats théorique les plus important qui a contribué à la suivie du MEDAF est celui de Dybvig et Ross (1985) et Hansenet Richard (1987) qui ont montré que la version conditionnelle du MEDAF est appropriée même si le MEDAF traditionnel est mis en couse.

1.2.8 : Le mod~le d'évaluation des actifs financiers à l'internationale (MDAFI,

Arouri M (2009) affirme que la première génération du MEDAFI repose sur l?hypothèse que les investisseurs independamment de leurs nationalites utilisent le même indice des prix pour deflate les rentabilites des differents actifs financiers. Ces modèles constituent des transpositions nominales du MEDAF domestique, le portefeuille de tout les investisseurs est la combinaison du portefeuille du marche mondial est l?actif sans risque. Grouer et Al (1976), aussi ont distingue des versions plus internationales du modèle propose par Solnik (1974), Sercu (1980), Stulz (1981), Adler et Dumas (1983). Grouer et Al (1981) etudient un MEDAI à segmentation partielle où les primes de risque sont determinees par une combinaison de facteurs internationaux du risque. Les auteurs trouvent que le risque du taux de change est apprecie internationalement pour quelques marches emergents. La conclusion de cette etude dont être consideree avec precaution. Plus recemment, phylaktis et Ravazola (2004) proposent un MEDAFI à deux regimes qui specifient explicitement le risque de change comme facteur de risque. Ce modèle considère que les marches sont strictement segmentes dans un premier temps et doivent parfaitement integrer dans un second temps. Arouri (2009) à presente une version conditionnelle du modèle international d?évaluation des actifs financiers qui tient compte des deviations de la parite des pouvoirs d?achat et d?une éventuelle segmentation financière partielle. Il prend le MEDAFI à integration financière propose par Adler et Dumas (1983).

Concederons un univers avec L+1 pays et N=n+L+1 avec n l?actif risqué, l?actifs sans risque de marche et L+1 l?actifs sans risque du pays de la monnaie de reference.

Ils designent par le prix de l?actifs X mesurer dans la monnaie du pays de référence C. ~ La rentabilite nominale de cet actif exprime dans la monnaie de reference.

Le modèle s?écrit comme suit.

i i ~ ) ai i

i

Ou ~ suit un processus de Wiener standard.

1. 3 : Le modèle de Fama French (1993)

1.3.1 : La logique du modèle à trois facteurs de FF (1993)

Le modèle de Fama French présente une extension du MEDAF s?inspire des modèles multifactoriel exprime le rendement en fonction de plus qu?un facteur et de donner le maximum d?information pour bien mesurer et prédire le rendement.

Le MEDAF prévoit une relation linéaire et positive entre le rendement anticipé sur les titres et le niveau du risque systématique, dans la mesure où le risque spécifique peut être réduit au moyen d?une diversification adéquate, seul ce risque est rémunéré par le marché et permet d?expliquer les différences de rendement entre les titres.

Le modèle de FF (1993) repose sur un facteur de risque essentiel, la beta qui relie le rendement des titres au rendement du marché. L?intérêt de cette relation dépend dans la plupart des cas par l?hypothèse de non stationnarité. L?instabilité et la variabilité du beta, Miller et sholes (1972) c à d que les variables de nature spécifique à un modèle jouent un rôle complémentaire pour beta, dans le but final est de donner la meilleure et la plus complète explication possible du rendement.

I limaiem (2009), dans le modèle de FF il existe trois facteurs différents influencent le rendement des actifs, la prime du risque des marchés, le ratio valeur comptable / valeur de marché noté (VG/VM) et la capitalisation boursière (GB), les deux facteurs ajoutés par FF qui sont de caractère comptable et financier. Ges deux facteurs sont classés parmi les déterminants les plus importants, les plus populaires, ainsi que les plus utilisés.

L?utilisation de ces variables ne trouve pas l?explication théorique, elle se justifie par le fait que la variable explicative représente des mesures déguisées de beta qui seraient moins attachées d?erreurs de mesure que la beta estime lui-même.

Le principal avantage de l?évolution fondamental selon Rasemberg et Guy (1976) c?est qu?elle tient compte de sa structure des firmes et étrenne peu d?erreur d?estimation, cette méthode et correspond à des données comptables pour les fines et disponibles pour le marché, c?est conformément à cette approche que FF (1992) développe le modèle de rentabilité à trois facteurs.

1.3.2 : Le modèle à trois facteurs de Fama French (1993).

La mise en difficulté de beta et l?observation des anomalies de rentabilité conduisent FF (1992) à entrevoir une modélisation des rendements des titres et les variables attachées à l?action et à l?obligation, FF(1993) confirme ce résultat par l?examen de la relation longitudinale entre la rentabilité et les trois facteurs de marché.

Le facteur marché affiche un rOle important dans la rentabilité, la CB et le ratio VC/VM s?ajoute ou premier facteur, FF(1993) parvient à améliorer l?explication de la rentabilité, et conclue que les deux variables fondamentales complètent la beta.

Fama French (1995) étudie la relation de la taille de la firme et la relation avec les bénéfices, ils trouvent que les deux variables liées aux principaux déterminants du bénéfice.

L?expression finale du modèle à trois facteurs de FF (1993) s?écrit comme suit :

i) -- f i ) -- f i M ) i M )

i) L?espérance de rentabilité des titres i

f Taux de rendement de l?actif sans risque

) Espérance de rendement du portefeuille du marché

M ) La prime de rentabilité espérée liée à la taille de la firme (Smoll Minus Big) M ) La prime de rentabilité espéré liée ou ratio VC/VM (High Minus Low)

i, i, i Les coefficients du risque associes aux trois facteurs

FF trouve que les deux variables ajoutées expriment une partie non négligeable du risque et expliquent une partie importante de la rentabilité ce qui confirme l?insuffisance de la prime du risque des marchés dans l?explication de rendements mieux que le portefeuille du marché alors que Moley (2000), Bellalah et Besbes (2006) trouvent un résultat différent sur le marché français, ils constatent que le portefeuille du marché joue un rOle prépondérant par rapport à la CB et le ratio VC/VM. Par ailleurs FF ont montré qu?il ya une relation significative positive entre le rendement et le ratio VC/VM alors que la relation entre la CB et le rendement significatif est négatif. Banz (1981) montre que les titres à petite capitalisation considérée comme étant plus risqué et ayant un cOut de capital plus élevé.

1.3.3 : [S 111110X1[3IBEX[7Kp1i1 [(L5S 37

Arbitrage Pricing Théory (APT) développé par Ross (1976), c?est l?une des réponses concrètes aux critiques du MEDAF. Dans le meme cadre d?apparition il s?agit d?une relation d?équilibre entre le rendement attenu d?un actif et un facteur du risque pou un CAPM classique, par la suite parmi ces facteurs on distingue l?attendu et l?inattendu. En fait, le modèle APT est modèle multi-facteurs est part de l?hypothèse que le rendement d?un titre pour une date t peut être explique par plusieurs facteurs de risque

1(t) = Ri + Eicic=ithic Fic( ) +

Par la suite, les betas ont la même interprétation et se calculent de la même manière que le modèle CAPM, bien que les hypothèses du modèle APT soient légèrement différentes de celle du modèle d?évaluation des actifs financiers. D?ailleurs pour déterminer les facteurs du modèle APT on distingue deux approches : l?une par utilisation du facteur économique et l?autre par utilisation des facteurs statistiques. En fait du point de vue statistique, les tests empiriques montrent que le modèle APT est le meilleur que le modèle CAPM.

De même N xella Ricci et C Hurson montre que le CAPM attribué à Sharpe (1964), Lintner (1965) et Mossin (1966) relient linéairement le rendement attendu de l?actif E(Ri) à son risque dit 13i marquant sa rentabilité au mouvement de l?économie globale prise comme unique facteur déterminant soit :

) = Rf + 13i(E(RM) -- Rf)

De plus ce modèle réside mal aux tests empiriques, d?après les critiques de Roll (1977) sur la testabilité de ce dernier. En fait la mise en évidence de l?instabilité des paramètres du risque. Bref, la relation d?équilibre dans le marché serait décrite par le CAPM, d?où la nécessité d?une meilleurs description dont celle fourni par L?APT de Ross (1976). L?APT propose une relation multifactorielle entre risque et rendement, elle nécessite moins d?hypothèses restrictives que le CAPM. L?argument de Ross veut que l?arbitragiste ne soit pas récompensé le portefeuille en proportion VVides écarts de prix perçus ne lui procure aucun enrichissement, ne possède aucun risque 13 et ne génère aucun rendement complémentaire. Etant donnée que l?argument d?arbitrage est considéré comme la capacité de crée des espérances de portefeuille dans le cadre d?une structure factorielle stricte, Huberman (1982) montre que l?erreur d?évaluation est borné supérieurement. De plus, l?argument d?équilibre au l?aversion ou risque de l?investisseur serait reliée. Cannar (1982), Dybvig (1982) et Grinblatt et Titman

(1982) ont développé une borne inferieure ou supérieur pour l?écart d?évaluation qui est fonction du dégré d?aversion au risque. En fait L?APT fondé sur l?équilibre offre une base conceptuelle plus forte que l?APT fondée sur l?arbitrage.

1. 4 : Choix et sélection de portefeuille.

La sélection d?un portefeuille se base sur des stratégies de choix dépend à l?attitude face au risque et l?exigence des agents est la façon de prévoir et d?évaluer le risque, ces différents aspects expliquent la diversité des approches dans la gestion de portefeuille.

La détermination des prix des actifs s?avère une tache plus difficile, à condition de rester dans le cadre d?un modèle précis. Donc il est possible de déterminer des portefeuilles optimaux et les prix d?équilibre, parmi les modèles les plus utilisés et la plus classique par exemple la théorie de portefeuille de Markowitz (1952) et le modèle d?équilibre des actifs financiers de Sharpe (1964), Lintner (1965), Mossin (1966) aussi l?approche alternative Safety first.

1.4.1 : La sélection de portefeuille efficient

Benzion, Haruvy et Shavit (2004) ont fait une étude sur la capacité des individus à former un portefeuille situé sur la frontière efficiente déterminée sur trois types d?actions, action, obligation et un put sur cette action et que la rentabilité espérées sous la forme d?une loterie. Les résultats de cette étude montrent que les portefeuilles formés par les praticiens convergent rapidement vers celles des portefeuilles situés sur la frontière efficiente lorsque les possibilités de couvertures sont limitées. La vitesse de cet ajustement dépend positivement des incitations, d?où l?existence du rendement élevé des portefeuilles qui situé sur la frontière efficiente. Get ajustement se fait sur la base de règle de décision, telles que EWA (Expérience Weighted Attraction de Gamerer et Ho 1999), et à relier a l?hypothèse d?aversion myope ou perte de Benartzi et Thaler (1995) et Thaler et Al (1997), selon laquelle l?attractivité de l?actif risqué diminue avec la fréquence d?évaluation des portefeuilles par les praticiens, Marie - Hélène Broihonne, Maxime Merlie et Patrick Roger (2006).

Ges auteurs montrent que ce résultat a énormément d?impact dans le contexte actuel où les investisseurs, via internet, évaluent la performance de leurs actifs sur une base hebdomadaire alors que la gestion traditionnelle consistait le plus souvent à investir dans des fonds qui étaient évalué annuellement.

Barber et Odean (2002) montrent à cet égard que la fréquence d?ajustement de ces portefeuilles opté pour une gestion en ligne conduit à des échanges excessives. L?aversion ou la perte expliquée également la stratégie du call couvert est jugée inefficient dans le cadre de l?approche moyenne - variance, Leggio et Lien (2002). Maxime Merlie et Patrick Roger (2006).

Le choix de portefeuille selon l?approche moyenne - variance ne sont pas efficaces de même pour les investisseurs qui utilisent la théorie des perspectives, Levy et Levy (2004) ont utilise les relations de dominance stochastique montre que les hypothèses différent qui fonde l?approche moyenne - variance et la théorie des perspective conduit de manière paradoxale à définir des ensembles de choix efficaces. Ce qui nous amenons à étudier d?autre méthodes d?évaluation.

Conclusion

De façon générale, nous pouvons dire que de nombreuses théories et travaux, convergent soit en fonction des méthodes d?évaluation des actifs financiers soit en fonction des stratégies et de sélection d?un portefeuille optimal. Nous concluons donc, que les choix et les stratégies des analystes et des investisseurs montrent que l?activité économique en termes de résultat et de perspective de croissance joue un rôle déterminant dans l?évaluation des risques que présente la détention d?un titre, les analyses des sources de la volatilité montrent que la variance des primes anticipés résulte principalement de disparité entre les titres.

De plus, dans le domaine de prise de décision concernant le choix de portefeuille à été faite par Markowitz (1952), c?est le premier qui invoqué l?existence d?un point de référence. La théorie de Markowitz à tout de même ses limites participe à la naissance d?autres modèles d?évaluation des actifs financiers, le MEDAF de Sharpe (1964), Lintner (1965) et Mossin (1966). Enfin, et suite les critiques et les anomalies des deux premiers modèles d?évaluation, plusieurs recherches se sont succédées. Elles ont montré qu'il existe certains facteurs, à part le portefeuille du marché, qui expliquent le rendement. Le modèle à trois béta de FF (1992, 1993) est l'un des plus populaires modèles résultants de ces recherches.

CHAPITRE 2

DIVERSIFICATION INTERNATIONALE DE PORTEFEUILLE
ET INTEGRATION FINANCIERS

CHAPITRE 2

DIVERSIFICATION INTERNATIONALE DE PORTEFEUILLE ET
INTEGRATION FINANCIERS

D

es les années cinquante la diversification du portefeuille à été formulée par Markowitz (1952-1956) comme un problème de programmation quadratique en même temps une dérivation standard qui a été introduite comme mesure de risque.

En fait, Markowitz formalise le problème du choix de l?investisseur en tenant compte de la rentabilité espérée de son portefeuille et son risque qui est mesuré par la variance de sa rentabilité. Cette théorie de portefeuille nous enseigne que le risque peut être illuminé en diversifiant un portefeuille d?action offre un couple rentabilité risque meilleur qu?un titre individuel. En effet, contrairement à la rentabilité anticipée des différents titres qu?y sont introduit la variance de portefeuille est inferieur à la somme pondéré des variances des titres pris individuellement Arouri H (2005). Dans ce même cadre et au niveau international de nombreuses études montrent que la diversification internationale réduit d?avantage le risque qu?un portefeuille purement domestique. En fait on distingue que les marchés financiers sont affecté par des facteurs spécifiques de risque, la corrélation entre les marchés sont relativement faible et le gain de diversification à l?internationale est important. Quant a la diversification l?internationale et les réformes des dernières années sur les marchés financiers dont l?objectif principal est d?aller vers une plus grande ouverture, cette libéralisation se caractérisait notamment par la levée des restrictions des mouvements internationaux des capitaux.

Etant donnée que la diversification internationale est un phénomène récent mais elle est en relation avec le degré d?intégration des marchés enter eux. Cette intégration soit au marché développé et au marché émergent, donc le véritable essor de l?investissement international de portefeuille date de 1974 avec la décision de Morgan Guaranty d?investir une partie de ces fonds de pension à l?extérieur des USA. Selon la théorie moderne de portefeuille la diversification internationale permet d?éliminer les risques systématiques provenant des placements limités au marché domestique Solnik (1998-2003). Le chapitre sera organisé comme suit. Dans une première section, on s'intéressera à la diversification du portefeuille à l?internationale. Dans une deuxième, on va étudier l?intégration des marchés financiers et la diversification à l?internationale.

2. 1 : Diversification internationale de portefeuille.

2.1.1 : Principe de la diversification

Blume, Crockett et Friend (1974), Blume et Friend (1975), Caval et Markowitz (1999), Barber et Odean (2000), Benartzi (2001), Kumar et Geotzmann (2003), Polkovnichenko (2005) ont montre que la diversification est le résultat de l?approche moyenne - variance de Markowitz (1952) suggère que le portefeuille parfaitement diversifiable est composé de tous les titres négociés sur le marché. D?ailleurs de nombreuses études faites sur des investisseurs et la nature de leurs choix montrent que leurs portefeuilles sont composés par des titres individuels, ce qui n?est pas optimal au sens moyenne - variance, alors que Leggio et Lien (2002), Haigh et List (2005) montrent en doute l?applicabilité en pratique du principe de diversification.

2.1.2 : La diversification internationale de portefeuille.

Depuis les travaux de Markowitz (1952), les investisseurs ont reconnu les avantages de la diversification. Solnik (1974) en particulier a montré quun portefeuille diversifié efficacement à linternational permet une réduction de moitié du risque pour le méme nombre de titres. Campbell(1991) a confirmé que la diversification internationale de portefeuille permet à atteindre des portefeuilles présentant un meilleur couple rentabilité-risque si on examinent les coefficients de corrélation entre les marchés nationaux. Ainsi, létude de Campbell (1991) montre que de nombreux portefeuilles (français, américain, suisse, espagnol, etc.) sont dominés par le portefeuille mondial.

Solnik et Longin (1998) insistent cependant sur le fait quen période de crise, et donc de forts rendements négatifs, les avantages associés à la diversification internationale sont moindres. Les deux auteurs déclarent « Our empirical results indicate that the case for international risk diversification may have been somewhat overstated, since the risk protection brought by spreading assets across markets is reduced when it is needed most, i.e. in periods of extreme Price movements».

De plus la diversification internationale sert à la réalisation des gains importants pour la répartition du portefeuille à des actifs à l?étranger et de réduire le risque de perte, mais ce gain de diversification est lié avec la corrélation qui existe entre les marchés des capitaux, c à d s?il ya une faible corrélation entre les marchés le gain du capital sera important et s?il ya une forte corrélation le gain sera faible.

Vu la globalisation, l?ouverture des barrières à l?entrée et la libéralisation des marchés des capitaux provoquent une forte corrélation, ce qui implique une diminution des gains de la diversification des portefeuilles internationales, ce résultat de bénéfice dépend de la corrélation entre les marchés. D?ailleurs l?objet de notre étude est de mesuré l?intégration des marchés financiers développés et émergents est de conclure le gain de la diversification internationale, si les marchés sont intégrés alors le gain potentiel sera faible et si les marchés sont segmenté alors la diversification internationale jouera un rôle très important.

Daly (2003), Books, Forbes et Mody(2003), Aggarwol et Kyow (2005) ont testé l?intégration entre les marchés financiers émergents et les marchés développés par un échantillon composé d?un ensemble de marchés existant dans la base économique sur une période de cinq ans, cette étude montre qu?il ya une forte intégration entre les pays développés c à d que la corrélation entre les marchés développés est forte, ce qui réduit le gain de la stratégie de diversification à l?international.

2.1.3 : Le MEDAF et ces implications pour la diversification internationale

Dans le même cadre des travaux de Markowitz (1952-1956) portant sur l?optimisation de la richesse par le critère moyenne- variance et de la diversification de portefeuille, Sharpe (1964), Lintner (1965) et Mossin (1966) ont introduit le modèle d?évaluation des actifs financiers (MEDAF). Ce modèle permet de déterminer la rentabilité espérée des titres en fonction de leur sensibilité au risque de marché ou risque systématique en se basant sur l?hypothèse d?aversion au risque et choisissent des portefeuilles efficients en terme de moyenne- variance.

En fait la relation fondamentale du modèle d?évaluation des actifs financiers établit que les rendements exercés d?un titre ou d?un portefeuille par rapport à l?actif sans risque sont une fonction linéaire des rendements en excès du marché et en supposant que les comportements des courts des actifs financiers sont compatibles avec le concept de marché unique de capitaux. Solnik (1974) présente une extension internationale du MEDAF. Le modèle international d?évaluation des actifs financiers (MEDAFI) offre un outil d?analyse permettant de spécifier empiriquement et de manière jointe à l?évaluation de la nature d?intégration des marchés financiers.

) -- f )

~

)

) -- f

E(Rit) Est la rentabilité du titres i entre (t-1) et Rwt celle du portefeuille de marché mondiale et Rft (le taux de rentabilité de l?actifs sont risque).

2.1.4 I L5A37 CD:XX: Io:ANAeIi:AeI:DAio:Dl.

Le modèle darbitrage de Ross, et des modèles multifactoriels en général, ont été développées pour les portefeuilles internationaux, afin de remédier aux critiques du modèle international déquilibre des actifs financiers. En effet, les facteurs intervenant dans ces modèles proviennent dune liste plus large de facteurs. En plus des facteurs nationaux sajoutent des facteurs internationaux ainsi que des facteurs spécifiques pour les taux de change.

Les hypothèses sont celles des modèles darbitrage du cadre national auxquelles sajoutent quelques hypothèses supplémentaires liées au contexte international. Par la suite, les investisseurs font les mêmes anticipations sur les variations des taux de change. Ils supposent un même modèle factoriel pour les rentabilités des actifs exprimés dans la monnaie de leurs pays dorigine. Dans chaque pays, il existe un actif sans risque. La rentabilité de cet actif exprimée dans la monnaie dun autre pays. Il convient alors de vérifier si le modèle factoriel dexplication des rentabilités dépend ou non de la monnaie dans laquelle celles-ci sont exprimées.

2.1 .5 : La corrélation est la diversification internationale

La stratégie de diversification de Markowitz est fondée sur le nombre des titres individuel d?un portefeuille et les variances de leurs rendements respectif avec celui du portefeuille. Cette stratégie combinait des titres ayant des rendements non corrélés en considération des risques des titres individuels pris séparément.

Quant à la corrélation plus la covariance est négative, plus le risque totale du portefeuille est faible aussi, plus le risque totale de portefeuille est faible aussi, plus le nombre des titres inclus augmente plus le risque total démunie. En fait la corrélation des marchés joue un rôle important dans la diversification internationale, en général la corrélation entre les différents marchés développés reste positive. Dans ce même cadre en combinant des marchés développés avec des marchés émergents il est possible de trouves des corrélations faible ou négative, cela permet de minimiser le risque total et d?augmenter le rendement globale d?un portefeuille.

2.1.6 : Les gains associés à la diversification internationale.

L?existence de cycles économiques différents selon les zones géographiques considérées doit permettre de diversifier le risque national et donc, de générer des gains. Pour la plupart des auteurs, la diversification internationale de portefeuilles permet d?optimiser le couple rentabilité / risque. Cela est principalement dû au fait que les marchés financiers covarient faiblement entre eux. Si on examine les coefficients de corrélation (Campbell, 1991) entre les marchés nationaux, si la corrélation entre les pays étudiés est faible le gain de la stratégie de diversification à l?international est fort. Dès lors, la diversification internationale de portefeuille permet d?atteindre des portefeuilles présentant un meilleur couple rentabilité/risque. Ainsi, l?étude de Campbell (1991) montre que de nombreux portefeuilles sont dominés par le portefeuille mondial.

2.1.7 : Les avantages et les limites de la diversification internationale.

2.1.7.1 : Les avantages de la diversification internationale.

Dans une étude faite par Raya F (2008) depuis les travaux de Markowitz (1952), les professionnels ont reconnu les avantages de la diversification. Etant donnée que Solnik (1974) a montré qu?un portefeuille diversifier à l?internationale permet une réduction de moitié du risque pour le même nombre de titres, ce résultat est confirmé par Compbell (1991) qui ajoute que la diversification internationale de portefeuille présente un meilleur couple rentabilité - risque si on étudié bien le coefficient de corrélation entre les marchés internationaux et montre aussi que de nombreux portefeuilles sont dominés par le portefeuille mondial. Solnik et Login (1998) insistent sur le fait qu?en période de crise les avantages de diversification internationale sont moindres que dans l?état normal.

2.1.7.2.1 : Le risque de diversification internationale

Face à la diversification internationale on distingue plusieurs risques qui se manifestent par des pertes grâce a la variation du taux de chaque devise de ces marchés par rapport à la monnaie nationale de pays de l?investisseur et le risque de la volatilité.

2.1.7.1.2 : Le risque de change et le risque de volatilité

Selon Madura (1992) le risque de change résulté des fluctuations de différentes devises, pour améliorer la performance du portefeuille il faut investir dans les marchés internationaux qui sont faiblement corrélé. En fait, Kim et Al (1994) ont étudié la notion de volatilité et ils ont défini comme étant l?amplitude de variation constatée sur un période donnée, et ont montré que la libéralisation des marchés des capitaux engendre une housse de la volatilité par contre ce résultat n?est pas vérifiable auprès de Santis et Al (1996).

2.2 : Intégration des marchés financiers et la diversification internationale.

Le facteur principal de la diversification internationale est souvent attribué à la corrélation faible entre les marchés financiers nationaux qu?entre les titres individuels d?un méme marché. D?ailleurs ces dernières années les marchés financiers ont subi des réformes profondes c?est d?aller vers une plus grande ouverture, en fait ces réformes en menés à des changements radicaux du milieu financier et ont amorcé le processus d?intégration financiers, K Fadhlaoui (2006), de même tels phénomène ont favorisé le rapprochement des comportements globaux des marchés, cela est traduit par une forte corrélation entre ces marchés, ainsi que par une grande volatilité des actifs.

2.2.1 : intégration des marchés financiers

Au début des années quatre vingt l?environnement financiers international a connu des transformations est des mutations profondes, cela et marqué par l?accélération du rythme de circulation des biens, des services et des capitaux entre les marchés. D?ailleurs, le secteur financier a été également touché par la libéralisation et l?ouverture à l?internationale des institutions financières et une orientation des marchés financiers vers des nouveaux produits et instrument financiers. De même ces développements sont le résultat des mouvements de déréglementation, désintermédiation et le décloisonnement des marchés, de plus les innovations sur le marché financier et technologique. Quant au phénomène de globalisation à

favorisé l?augmentation des liens entre les différents places boursiers aussi bien en poids d?actifs étrangers sous forme de corrélation entre leurs indices.

De méme, l?intégration financière implique l?absence d?une différance entre les primes de risque sur les actifs financiers. Par ailleurs deux marchés financiers sont intégrés lorsqu?ils évoluent d?une manière combiné c à d si la corrélation entre ces deux marchés est élevé le gain de la diversification internationale. La montée du degré d?intégration des marchés financiers est expliqué dans une large mesure par le rôle des investisseurs internationaux, qui opéré sur les différent marchés des capitaux et accroitre les Co-mouvement des capitaux entre les différent marchés. Bekaert et Harvey (2002), Yi (2003), en revanche Kose, Pasard et terrones (2003) soutiennent l?idée selon laquelle l?augmentation des liens entre les marchés financiers n?est qu?un résultat direct de l?intégration économique adopté par la plupart des pays. Books, Forbes et Mody (2003) ont montré les Co-mouvement entre les marchés financiers. Dans ce même cadre et suite à la saturation des marchés domestiques, financiers les pays commencent par la liberté de circulation des capitaux par la règle de 3D [déréglementation, décloisonnement et désintermédiation] qui met en place de la mondialisation financiers.

2.2.1.1 : La déréglementation monétaire et financière

Sous prisions de tout restriction juridique en fait La déréglementation monétaire et financière, c?est l?absence de réglementation dans le système financier international et l?accélération de la mobilité géographique des capitaux.

D?ailleurs, les investisseurs internationaux choisissent ?investir dans un marché bien déterminé. De plus, la déréglementation à été considérée comme s?inscrivant dans le cadre d?un processus de reformes plus larges.

2.2.1.2 : Le décloisonnement

Le décloisonnement c?est l?absence des barrières entre les pays dons le quel on distingue deux étapes. D?une part, une ouverture entre les différents marchés internationaux tels que le marché monétaire financier et d?autre part, une ouverture externe par rapport au marché financier international. Quant, au décloisonnement on distingue une meilleure rentabilité, diversité des placements et des projets d?investissement. Grâce à cet effet le système financier international est devenu un méga marché.

2.2.1.3 : Désintermédiation financiers

C?est le recours direct au marché financier sans intermédiation bancaire. En fait, c?est la finance directe c à d l?absence du rôle de la banque qui permet à l?institution financière non bancaire d?accélérer au marché.

2.2.2 : l'intégration des marchés développé

En utilisant le modèle d?évaluation des actifs financiers MEDAF à beta conditionnel Bekaert, Harvey et Ng (2003) ont montré dans une étude d?intégration des marchés Européens et American qu?il possède une corrélation plus élevée et le beta conditionnel du marché Européen avec le portefeuille du marché American qui est significativement différent de zéro, ce qui confirme le dégré d?intégration entre les marchés Européen et ceux de USA . De même, Heimonen (2002) à prouvé à l?existence d?une intégration entre les marchés des capitaux de USA ainsi que ceux de Royaume Uni et L?Allemagne.

De plus, Baele, Grombez, et Shoors (2003) ont analysé l?intégration des marchés financiers de l?Europe est avec ceux de l?union Européenne ainsi qu?avec l?USA, ils trouvent une forte corrélation entre les marchés des capitaux. Par la suite Fraser et Oyefeso (2002) ont étudié l?interaction de court et de long terme entre les marchés des capitaux Européens, Britannique, et Américain, ils ont prouvé une convergence bilatérale de court et de long terme entre ces marchés. Ils ont constaté l?existence d?une orientation de la tendance vers les marchés des titres d?USA, en outre ils ont examiné la convergence de long terme entre les marchés et ont montré que sur le long terme les titres sur le marché du Royaume Uni sont parfaitement corrélés. De même Aggarwal et Kyaw (2005) ont examiné l?intégration au niveau des trois marchés de capitaux de la région de NAFTA (le marché Canadien, Américain et Mexicain) à période avant et après la formation de cette région en 1993, le résultat à prouvé que ces marchés sont devenus beaucoup plus intégrés.

2.2.3 E T IFQ+.11rDtFIKI TIVP DifKpV IP 11.11ent.

Bien qu?il n?existe pas une définition précise des marchés émergents, nous pouvons indiquer qu?ils présentent souvent des caractéristiques communes en matière de croissance économique, de réformes fiscales, de processus de privatisation, de réglementation et de libéralisation.

« .... La performance des marchés émergents s?est relevé plus résistance en 2007 que celle des marchés d?action des pays développés, les marchés émergents deviennent de mois en mois dépendant des perspectives de croissance mondiale et la principale source de risque résident aujourd?hui d?avantage dans les pays émergents. » (Christian Deseglise, responsable mondiale de l?activité des marchés émergents de la gestion d?actifs de HSBC), selon lui la résidence relative des marchés émergents est une conséquence directe des améliorations fondamentales apporté dans ces régions au cours des dernières années. De même des pays émergents continuent à enregistrer une croissance robuste, soutenue par la forte croissance de la chine, Inde et la Russie, selon le FMI, les marchés émergents connaissent une croissance de 8% en 2007 et de 7,6% en 2008.

En fait, Divecho, Drak et Stefek (1992), Diwan, Errunza, Sembet (1992), Harvey (1993- 1995), Sappenfield et Speidell (1992) ont mis en évidence les inertes des pays émergents dans une stratégie de diversification internationale. Levine et Zervos (1996) ont prouvé empiriquement que l?intégration financière permet à une augmentation de la croissance économique et d?apaiser la volatilité des rendements boursiers et de stimuler la capitalisation des marchés financiers dans les pays émergents.

Les pays émergents ont connu une croissance économique formidable et un développement spectaculaire de leurs marchés a partir des années 90, cela s?explique par l?afflux d?un grand nombre d?investisseurs sur ces marché suite aux mouvement de libéralisation adoptés par ces pays. Cette stratégie d?afflux d?investissement étranger a généré la baisse de la volatilité de ces marchés émergents ainsi qu?une réduction des coûts de capitaux et permettant ainsi le développement d?un mouvement d?intégration aussi bien entre eux qu?avec les marchés développés.

De même, Azman et Al (2002) ont montré en étudient les marchés de l?Indonésie, la Malaisie,
la Thaïlande et du Singapour que ces marchés ne sont pas parfaitement intégrés. Par
conséquent il existe des opportunités de gain sur le long terme à partir de la diversification

internationale sur ces marchés sud et asiatique. Bekaert, Harvey et Ng (2003) ont prouvé en utilisant le modèle d?évaluation des actifs financiers à double indices l?existence d?une intégration régionale importante au sien des marchés sud asiatique. De plus, Jang et Sul (2002) ont confirmé l?existence d?une intégration importante au siens de ces marchés.

2.2.4 : Intégration des marchés émergents - marchés développé.

Le processus de libéralisation entamé par les pays émergents est motivé principalement par le souci de développement de leur marché financier domestique ainsi que par l?intégration de leur économie dans l?économie mondiale. Cela a nécessité des changements réglementaires importants afin de faciliter l?accès des investisseurs étrangers aux marchés domestiques ainsi que l?accès des investisseurs domestiques aux marchés étrangers. Pour l?investisseur international, l?intégration des marchés génère des opportunités de diversification beaucoup plus bénéfiques (Bekaert et Harvey (1995)). En effet, l?ouverture de ces marchés émergents permet à attirer les investisseurs étrangers et à augmenter les flux des capitaux vers eux. Ainsi, on assiste de plus en plus à une intégration de ces marchés dans le marché international, par conséquent, la corrélation avec les marchés développés augmente et les taux de rendement s?affaiblissent (Bekaert et Harvey (2000), Bailey et Lim (1992). Pour les économies émergentes, la libéralisation permet l?augmentation du nombre des investisseurs étrangers ce qui favorise l?allégement du défaut d?épargne de ces pays et l?accroissement de la liquidité qui entraîne à son tour la réduction du coüt de la dette et l?amélioration de la rentabilité de certains projets (Henry (2000).

Defusco et al (1996) ont montré que le marché américain et les marchés émergents du bassin pacifique, de l?Amérique Latine et du méditerrané ne sont pas intégrés entre eux. Cette indépendance implique l?existence des gains à long terme à partir de la diversification internationale sur ces marchés.

Gilmore et McManus (2002) ont examiné les liens de court et de long terme entre le marché américain et les trois marchés émergents de l?Europe centrale (la République Tchèque, la Hongrie et la Pologne). Ils ont prouvé que ces marchés ne sont pas intégrés entre eux mais à l?inverse ils sont parfaitement segmentés. Cela signifie que ces marchés représentent une source de diversification internationale considérable pour l?investisseur américain. Serrano et Rivero (2002) ont examiné les liens de long terme entre les marchés de l?Amérique latine et le marché américain sur la période de janvier 1995 à février 2002. Ils ont prouvé l?existence des liens et des Co-mouvements de long terme entre ces marchés. L?existence d?un tel Co-

mouvement implique un certain degré d?intégration entre eux ce qui affecte négativement les gains potentiels de long terme pour un investisseur américain sur ces marchés. Plus généralement, l?ouverture des marchés financiers et l?arrivée massive des capitaux étrangers ont contribué largement au développement des marchés boursiers émergents. En effet, à l?instant où l?intégration des marchés développés augmente et que les gains de diversification internationale sur ces marchés tendent à se réduire, les marchés émergents apparaissent comme un choix stratégique pour les investisseurs internationaux. Le potentiel élevé qu?offrent ces marchés émergents en termes de rendement et d?opportunité de diversification a permis la création et le développement de nombreux fonds d?investissement spécialisés dans ces marchés.

Gilmore et Mc Manus (2002) ont examiné de court et de long terme entre le marché Américain et les trois marchés émergent de l?Europe centrale (la république Tchèque, al Hongerie et la Pologne), ils ont prouvé que ces marchés ne sont pas intégrés entre eux.

De même, les travaux de Sappenfield et Speidell (1992) qui ont été réalisés a partir des données trimestrielles de mars 1986 à mars 1991, converties en dollars sur 18 marchés émergents et 18 marchés développés en raison de l?impact mondial d?événements globaux tels le Krach d?octobre 1987 ou l?invasion du Koweït en Aout 1990. Par ailleurs, Diwon, Errunza et Sembet (1994) tracent les frontières efficiente construites a partir des trois univers possibles. Marchés développés, marchés émergents et la combinaison entre les deux en utilisant des rendements hebdomadaire historique bien que les bénéfices de la diversification ne soient pas aussi grands que précédemment, ils restent très importants et conformément la supériorité d?un portefeuille au marché développé.

De plus, Groslambert (1998) qui étudié le cas des pays émergents montre que les bourses de ses pays sont plus corrélées avec la bourse des pays développés lorsque ces derniers sont en baisse ou lorsqu?elle présente une grande volatilité. Le gain de la diversification est lié au niveau de l?intégration ou de la segmentation des marchés nationaux.

Par ailleurs, dans un marché parfaitement intégré sont déterminé par des facteurs mondiaux des risques, alors l?intégration financière des marchés nationaux rend d?une coté la diversification international de portefeuille plus efficace et facilitant le passage de l?un à l?autre.

2.2.5 : Les mesures d'intégration des marchés financiers basés sur le MEDAF

Étant donné que le modèle d?évaluation des actifs financiers et le modèle d?arbitrage international sont utilisés pour l?estimation des valeurs des actifs financiers cotés sur divers marchés financiers et la validation de l?hypothèse d?intégration des marchés financiers. Par ailleurs l?intégration des marchés financiers s?identifie par l?absence d?un écart entre les primes de risque pour les actifs financiers identiques échangé sur les différentes places financières. D?ailleurs lorsque les places financières sont intégrées, les actifs financiers ayant la caractéristique en terme de risque et procurent des rendements identiques. De même, si ces marchés sont segmentés alors les actifs financiers identiques en terme de risque et ne procurent pas nécessairement des rendements espérés identiques s?ils ne sont pas échangé sur un même marché national.

Dans une étude faite par K Fadlaoui (2006) Bekaert, Harvey et Ng (2003) ont utilisé le modèle d?évaluation des actifs financiers à beta conditionnel pour mesurer le degré d?intégration entre les marchés européens, des USA et de Royaume Uni, ils ont prouvé que les marchés Européens possèdent la corrélation conditionnelle la plus élevée avec USA, ce qui confirme leur intégration aux marchés américains.

2.2.6 : Mesures d'intégration des marchés financiers basés sur le coefficient de corrélation

Pour examiner l?intégration des marchés financiers on utilise le coefficient de corrélation des rendements. En fait, plus ce coefficient est proche de l?unité, plus l?hypothèse d?intégration est acceptée. Etant donnée, qu?un tel résultat signifie que les marchés incorporent l?information de manière identique, ce qui résulte que la diversification internationale n?est utile et il n?ya pas de gain important à cette stratégie. Levy et Sarnat (1970) et Solnik (1974) ont identifié les avantages à court terme de la diversification internationale.

2.2.7 : Mesures d'intégration basée sur la Co-intégration.

Granger (1986) a étudié l?importance entre les marchés financiers internationaux dans un contexte du non stationnarité des séries temporelles. Dans ce même cadre Engle et Granger (1987) ont montré qu?il ya une combinaison linéaire de deux ou plusieurs séries non stationnaires peut être stationnarité. Si cette combinaison existe, les séries non stationnaires sont dites Co-intégrées.

De plus, Allen et Macdonald (1995) ont examiné les liens entre les marchés Asiatiques et ont confirmé leur segmentation. Gallagher (1995) n?a pas trouvé une relation de Co-intégration entre les marchés des capitaux Irlandaise, Allemand et de Royaume Uni, aussi Chau, Ng et Al (1994) pour les marchés de G7, Kearney (1998) pour les marchés Irlandaises et les marchés Européens. De même, Ratanopakorm et Sharma (2002), Manning (2002) pour les marchés Américains, Européens et du sud Asiatique ont trouvé une intégration significative.

2.3 : Le phénomène du Home bais

Dans la première partie de ce chapitre nous avons essayé détudier le phénomène dintégration/Co-intégration des marchés des capitaux développés et émergents et ses implications sur les gains potentiels des stratégies de diversification internationale de portefeuille. Malgré les bénéfices qu?offre cette dernière, les investisseurs manifestent une certaine préférence pour les actifs domestiques.

Ce phénomène est mesuré comme suit :

Home bais = part des actifs domestiques - capitalisation de marché de capitaux Avec ;

La part des actifs domestiques = la valeur des actions domestiques échangées / la valeur totale des actions domestiques et étrangères échangées.

La part des actifs domestiques est égale à la valeur des actions domestiques échangées divisées par la valeur totales des actions domestiques et étrangères échangées.

La capitalisation du marché des capitaux = la capitalisation domestique totale /la capitalisation de marché mondiale.

Phigure1 : La diversification domestique et diversification à l'international

2.3.1 : Modèle de Merton (1987)

Lasymétrie dinformations joue un rôle important en matière de choix de portefeuille. Effectivement, la bonne information peut être considérée comme un avantage naturel pour les investisseurs locaux, par rapport aux investisseurs étrangers, cet avantage provient d?un différentiel dinformations. Les investisseurs nationaux sont mieux informés que les investisseurs étrangers des spécificités du marché national.

Le modèle développé par Merton (1987) est un modèle déquilibre de marché avec information incomplète. Le rendement espéré dun actif financier i est donné par léquation suivante :

Ri = r + i + âi E (Rm - r - m)

Avec :

Ri : le rendement espéré de lactif i ;

Rm : le rendement espéré du portefeuille de marché domestique ; r : le taux dintérêt sans risque ;

âi = cov (Ri , Rm)/var (Rm ) : le béta de lactif i ;

i : le cout dinformation à léquilibre pour le titre ;

m : le cout dinformation moyen pour tous les actifs au marché

Pour les deux types de coûts informationnels, on a choisi une fourchette de coûts aléatoires qui varient dans le temps.

Les investisseurs sélectionnent les titres en fonction du cout à payer pour linformation. La recherche dinformation est couteuse et de ce fait réduit dautant le rendement espéré du portefeuille. Cest pourquoi un agent économique préfère composer son portefeuille avec des actifs dont linformation est moins coûteuse (Extension du modèle de Merton (1987), modèle de Shapiro (2001)), cest-à-dire des actifs nationaux et de préférence de grandes sociétés. Ainsi, si le cout de linformation dépasse le gain de la diversification internationale, il sera plus intéressant, en termes de couple rendement-risque, dinvestir dans des actifs nationaux.

2.3.2 : Les avantages d'investir domestiquement

Black (1974) a développé un modèle d?évaluation d?actifs à l?international en présence d?une imposition sur les investisseurs étrangers. Ces taxes sont égales pour les positions langes et à découvert mais elles varient d?un pays à un autre, Black (1974) a prouvé que l?existence de cette taxe qui varie d?un pays à un pays à l?autre peut expliquer la préférence des individus aux actifs domestiques.

Stulz (1981) à critiqué l?approche de black (1974) puisque d?après ce dernier, les investisseurs sont imposés sur la position longue mais ils perçoivent un impôt sur les positions à découvertes courtes. C?est la raison pour laquelle Stulz (1981) à proposé un modèle avec des niveaux de taxes positives quelle que soit la nature de position, il a conclu que les investisseurs préfèrent les actifs domestiques car le gain réalisé suite à la diversification international n?excède pas les coûts générés par la taxe.

Cooper et Kaplanis (1994) développent une extension du modèle d?Adler et Dumas (1983)qui incorporent le risque d?inflation et les coûts de transactions, les autres trouvent que la préférence pour les titres domestiques persiste même dans les cas où les investisseurs auraient une aversion au risque très faible. Par ailleurs, les coûts de transactions sont trouvés par les auteurs très élevés par rapport à ceux effectivement observés. Cooper et Kaplanis (1994) en tirent que certes la présence des barrières à l?investissement international limites l?attrait de la

diversification international mais les transactions n?apportent pas de réponses définitives l?angine du bais domestique.

Les résultats des explications institutionnelles de la préférence pour les titres domestique sont clairement insuffisants.

Conclusion

Dans ce chapitre on a essayé de présenter les études qui mettent en évidence le phénomène dintégration des marchés des capitaux développés et émergents et ses implications sur les gains potentiels des stratégies de diversification internationale de portefeuille. Laccroissement de lintégration financière favorise laugmentation des corrélations entre les marchés nationaux ce qui réduirait les gains des stratégies de diversification internationale.

Gilmore et McManus (2002) et Bekaert, Harvey et Ng (2003) ont démontré que les marchés développés sont intégrés entre eux alors que les marchés émergents sont segmentés aussi bien entre eux quavec les marchés développés. Cela implique que ces marchés émergents représentent encore une source importante de diversification internationale de portefeuilles. Bekaert et al. (2003) montrent que les mouvements des marchés développés et particulièrement du marché américain sont contagieux. Les chocs sont transmis rapidement et affectent significativement les marchés développés et les marchés émergents.

Lexistence des différents marchés doit permettre de diversifier le risque national et donc de produire des gains, puisque les marchés financiers covarient faiblement entre eux. Pour la plupart des auteurs, la diversification internationale de portefeuilles permet doptimiser le couple rentabilité / risque. Simplement, malgré ces gains potentiels, il ya un autre phénomène à prendre en considération, qui peut, lui aussi, influer les avantages de diversification internationale.

CHAPITRE 3

INTEGRATION, CO-INTEGRATION DES MARCHES FINANCIERS
ET SES IMPLICATIONS SUR LE RISQUE DE LA DIVERSIFICATION

INTERNATIONALE : UNE ANALYSE EMPIRIQUE

CHAPITRE 3

INTEGRATION, CO-INTEGRATION DES MARCHES FINANCIERS ET SES
IMPLICATIONS SUR LE RISQUE DE LA DIVERSIFICATION
INTERNATIONALE : UNE ANALYSE EMPIRIQUE

L

a stratégie de diversification de portefeuille internationale a été adoptée par les investisseurs depuis longtemps comme étant un outil efficace pour améliorer le rendement de leurs portefeuilles. Elle permet d?une part de réaliser des gains

importants en partageant le portefeuille à des actifs étrangers et des actifs domestiques et d?autre part de réduire son risque total. Ces bénéfices sont le résultat des corrélations faibles entre les différents marchés nationaux qu?entre les titres individuels d?un méme marché. En effet, les gains de la diversification internationale sont fonction de l?interdépendance entre les marchés nationaux. Lorsque ces derniers ont des corrélations élevées entre eux les gains seront faibles ou même inexistants. En revanche, lorsque les corrélations entre les marchés nationaux sont faibles les gains seront importants. D?ailleurs, l?accentuation des phénomènes de déréglementation et de libéralisation des marchés des capitaux a provoqué une forte intégration des économies dans le monde entier. De ce fait, les indices boursiers des marchés nationaux sont devenus de plus en plus corrélés entre eux. Cela ne pouvait que réduire les avantages de la diversification internationale. Dans ce contexte, on constate une diminution de l?intérêt de la diversification internationale sur les marchés développés à cause de leur forte intégration ce qui pousse les investisseurs à s?orienter vers les marchés émergents en raison de leur potentiel de croissance élevé et de leur segmentation aussi bien entre eux qu?avec les marchés développés.

Dans ce qui suit, nous commencerons cette étude de la stratégie de gain de la diversification de portefeuille à l?internationale qui est en relation avec le degré d?intégration entre les pays. Après la définition du cadre d?analyse et la méthodologie de notre échantillon, on va analyser graphiquement les évolutions des indices boursiers et on estimera les statistiques descriptives. Ensuite, nous étudions la stationnarité des séries des indices boursiers on applique les tests ADF. Puis on va faire le test de co-intégration.

3.1 : Méthodologie

Pour examiner la relation dinterdépendance entre les marchés développé est les marchés émergents et ces implication sur le gain de la diversification a l?internationale de portefeuille an a fait recours à la théorie de Johansen (1988) aussi aux les tests de Engle et Granger pour mesuré le degré d?intégration entre ces marchés tout ou long de la période d?étude du gain de la diversification à l?internationale de portefeuille.

Le test de co-intégration consiste tout d?abord à examiner la stationnarité des indices boursiers. En effet, la non stationnarité de ces séries et la condition préalable pour l?étude de la co-intégration. Dans ce même cadre il faut que les séries doivent être intégrées de même ordre.

D?ailleurs on a utilisé les tests de racine unitaire pour étudier la stationnarité des séries, ensuite on a recours à la détermination du nombre optimal du retard (F) du modèle autorégressif (VAR) qui sert à déterminer l?ordre maximal d?intégration, une fois la non stationnarité des séries des indices boursiers est vérifiée et les séries sont intégrés de même ordre, nous pouvons appliquer le test de co-intégration de Johansen (1988)

3.1.1 : Les donnes

Ce chapitre sera consacré à la présentation des caractéristiques et des propriétés statistiques des séries financiers de notre étude qui porte sur des séries temporelles d?indices boursiers de 11 marchés développés et de 12 marchés émergents répartis dans le tableau 1 , qui on subit des reformes et d?aller vers une plus grande ouverture, cela provoque par l?accélération du rythme de circulation des biens, des services et des capitaux. Le secteur financier a été touché par la libéralisation caractérisée par l?ouverture à l?international, ce phénomène a favorise l?augmentation des liens entre les différentes places boursières. Ces indices couvrent la période 11.03.2007 jusqu?au 12.03.2010 ce qui donne 1250 observations par marché, ils ont été extrait de la base de donnée MCSI. Nos échantillons constitués de 23 marchés se répartissent comme suit :

LES MARCHES DES CAPITAUX ET LEURS INDICES BOURSIERS

Zone géographique

Pays

Indice boursiers

Amérique du nord

Etats-Unis Canada

S&P 500 S&P / TSX

Amérique latine

Brésil

Mexique Argentine

Bovespa IPC

Merval

Europe

Royaume -Uni France

Allemagne

Italie

Suisse

Pays Bad

Belgique

FTSE 100

CAC 40

DAX MIB 30

SSMI AEX BEL20

Pacifique /Asie

Australie

Japon

Hong Kong

Chine Inde

Indonésie

Malaisie

Corée Singapour

All Ordinaries

Nikkei 225 Hang Seng Shang. Comp BSE 30

JKSE

KLSE

KS11

STI

Afrique

Egypte Tunisie

EGX/30 TUNINDEX

Tableau 1 : les marchés des capitaux et leurs indices boursiers :

Les cours sont exprimés en dollar américain pour éliminer les problèmes relatifs aux variations des taux de change. Et ils sont utilisés pour générer des séries de rendements financiers en utilisant la formule suivante :

= 1 -- )

Avec :

: Le rendement de lindice pour le jour t.

: Le cours de lindice en dollars pour le jour t.

: Le cours de lindice en dollars pour le jour t-1. 3.2 : Les analyses graphiques

La première description de l?évolution des cours des indices boursiers considérés dans notre échantillon est fournie par les représentations graphiques qui correspondent relativement aux pays développés et aux pays émergents.

3.2.1 : Les évolutions des indices boursiers des différentes zones étudiées

Dans un premier temps et à travers cette analyse graphique, nous tentons de mettre en exergue la volatilité des marchés boursiers développée qui, malgré leur contribution a évolué jusqu?à 2010. Selon les figures des évolutions des indices boursiers (voir annexes 1) pour la majorité des pays étudiés, les indices boursiers sont caractérisés par des grandes vagues de progressions brutalement interrompues par des crises profondes et renouvelées ce qui nous amène à supposer l?existence des relations de co-intégration éventuelle entre les différent marchés.

Dans le méme cadre d?évolution des indices boursiers pour l?Amérique du nord, l?Asie et l?Australie (voir annexes 1) on constate qu?il ya une évolution commune pour la quasi- totalité des marché étudiés sauf quelques indices comme qui présentent une tendance baissière.

Cependant, l?évolution des indices boursiers relatifs aux pays émergents présente une évolution partielle et partagent la méme tendance d?évolution sur la période d?étude on exclut quelques indices qui présentent des tendances baissières grace à l?affection des crises (voir annexes 1).

3.3 : Estimation des statistiques descriptives

3.3.1 : Aspect théoriques du test de normalité

Les différents tests de normalité tels que décrits par Bourbonnais (2004, pp.230) sont au nombre de trois. Il sagit du coefficient d?aplatissement, le coefficient d?asymétrie et du test de Jarque -Béra.

3.3.1.1 : Le test d'aplatissement

Soit = ~ ~ ~ ~

~~

~

Le moment centré d?ordre k, le coefficient de Kurtosis est

K= = ~

Si la distribution est normale et le nombre d?observation est grand (n>30) alors :

K?N (0; ~ ~ ). On construit alors la statistique V2 = que lon compare à 1.96 (valeur

~

normale au seuil de 5%).

En ce qui concerne le Kurtosis, lorsque (K) est supérieur à zéro la distribution correspondante est leptokurtique par rapport à une distribution normale ce qui signifie que l?on observe beaucoup de valeurs extrêmes qui sont éloignées de la moyenne. Cela se traduit graphiquement par des queues de distribution relativement épaisses.

Lorsque (K) est inférieur à zéro, la distribution correspondante est platykurtique et contient plus d?observations moyennes qu?une distribution normale.

3.3.1.2 F Et eEIeNtEd'IN P ABE

Soit = nrii= i - )

Le moment centré dordre k, le coefficient de Skewness.

S= =

Si la distribution est normale et le nombre dobservation est grand (n>30) alors : S ? N (0 ; 7)

On construit alors les statistiques : V1 = que l?on compare à 1.96 (valeur normale au

seuil de 5%).

Pour la loi normale centré réduite, le coefficient Skewness prend la valeur zéro. Cela correspond à une distribution symétrique.

Si S >0, la distribution correspondante est oblique à gauche ou étalée à droite.

Si S<o, la distribution correspondante est oblique à droite ou étalée à gauche. Si les hypothèses H0 :V1 = 0(symétrie) et V2= 0(aplatissement normal) sont vérifiées alors V1 = 1.96 et V2=1.96 ; dans le cas contraire, lhypothèse de normalité est rejetée.

3.3.1.3 : Test de Jarque #177; Béra

Le test de normalité de Jarque - Béra est fondé sur les coefficients de la loi normale. La formulation est très simple par rapport au test d?Agostine, il s?agit d?un test qui synthétise les résultats suivants.

Si S et K obéissent à des lois normales, alors les quantités S = ~ 4 -- 3

Suit un X2 à deux degrés de liberté.

- Si S > on rejette l?hypothèse

3.3.2 : Statistique descriptive des rendements des pays développés. Cas de l'Amérique du nord :

Pays

Canada

Etats-Unis

Indice

S&P/TSX

S&P500

Mean

-8.00E-05

-0.000314

Median

0.000976

0.000796

Maximum

0.093703

0.109572

Minimum

-0.097880

-0.094695

Std. Dev.

0.015134

0.015498

Skewness

-0.660214

-0.352457

Kurtosis

10.95233

12.72696

Jarque-Bera

3062.330

4482.086

Probability

0.000000

0.000000

Sum

-0.090433

-0.355675

Sum Sq. Dev.

0.258810

0.271399

Observations

1250

1250

Tableau 2 : Statistique descriptive des rendements : cas de l?Amérique du nord

 

Cas de l'Europe.

Pays

France

Pays Bad

Allemagne

Royaume-Uni

Suisse

Italie

Indice

CAC40

AEX

DAX

FTSE100

SSMI

MIB30

Mean

-0.000211

-0.000280

-2.19E-06

-0.000294

-8.31E-05

-0.000641

Median

0.000437

0.000698

0.001187

0.000233

0.000506

0.000727

Maximum

0.105946

0.100283

0.107975

0.093842

0.107876

0.107647

Minimum

-0.094715

-0.095903

-0.074335

-0.092646

-0.081078

-0.088168

Std. Dev.

0.015790

0.016148

0.015390

0.014605

0.013494

0.015448

Skewness

0.057303

-0.228170

0.148754

-0.122022

0.076123

-0.094326

Kurtosis

10.99068

11.78109

11.38429

11.21591

10.94044

11.31418

Jarque-Bera

3137.323

3798.141

3457.654

3079.643

2972.353

3152.599

Probability

0.000000

0.000000

0.000000

0.000000

0.000000

0.000000

Sum

-0.249175

-0.330340

-0.002583

-0.321477

-0.093988

-0.701037

Sum Sq. Dev.

0.293706

0.307159

0.279009

0.233147

0.205755

0.260850

Observations

1250

1250

1250

1250

1250

1250

Tableau 3 : Statistique descriptive des rendements : cas de l?Europe.

 

Cas de l'Asie.

Pays

Japon

Hong Kong

Indice

NIKKEI

HANGSENG

Mean

-0.000414

6.99E-05

Median

0.000362

0.000712

Maximum

0.132346

0.134068

Minimum

-0.121110

-0.135820

Std. Dev.

0.018031

0.019724

Skewness

-0.455882

0.059662

Kurtosis

11.49515

11.00585

Jarque-Bera

3327.531

2922.249

Probability

0.000000

0.000000

Sum

-0.453455

0.076421

Sum Sq. Dev.

0.355354

0.425232

Observations

1250

1250

Tableau 4 : Statistique descriptive des rendements : cas de l?Asie.

Les tableaux (2,3 et 4) regroupent les statistiques descriptives des rendements journaliers des indices boursiers, libellés en dollar américain, des marchés développés retenus dans l?échantillon. Nous constatons d?après ces tableaux que pour ces marchés, le rendement moyen le plus élevé est attribué à la bourse de Hong Kong 6.99E-05 tandis que celui le plus faible est enregistré ou suisse ; soit -8.31E-05. Le rendement maximal varie de 0.134068 à Hong Kong à 0.093703 en Canada, alors que le rendement minimal fluctue entre -0.074335 et -0.135820 au Hong Kong. En terme de risque, la bourse de suisse possède le risque le moins élevé ; soit 0.013494 alors que celui le plus élevé est marqué à la bourse de Hong Kong avec un écart type de 0.019724.

En ce qui concerne l?aplatissement, les valeurs de Kurtosis sont toutes positives, la distribution correspondante est leptokurtique par rapport à une distribution normale, ce qui se traduit graphiquement par des queues de distributions relativement épaisses. Les valeurs de la statistique de Kurtosis indiquent que les séries d?indices boursiers présentent un caractère épaisse ou leptokurtique. Les coefficients de Skewness indiquent que la distribution est asymétrique à gauche et rejettent la distribution normale pour la majorité des séries. Par conséquent, l?hypothèse de normalité n?est pas vérifié et le test de Jarque-Béra confirme bien ce résultat et rejette significativement la distribution normale des rendements des indices boursiers pour tous les marchés formant cette zone.

3.3.3 : Statistique descriptive des rendements des pays émergents.

 

Cas de l'Europe et de l'Amérique latine.

pays

Brésil

Mexique

Argentine

Belgique

Indice

BOVESPA

IPC

MERVAL

BEL20

Mean

0.000505

0.000426

-0.000176

-0.000344

Median

0.001386

0.001557

0.001036

0.000383

Maximum

0.136766

0.104407

0.104316

0.092213

Minimum

-0.120961

-0.072661

-0.129516

-0.083193

Std. Dev.

0.021347

0.016467

0.020048

0.014474

Skewness

-0.045771

0.120414

-0.715403

-0.297856

Kurtosis

8.297069

7.568743

8.843892

9.397980

Jarque-Bera

1378.807

954.1235

1650.038

2028.323

Probability

0.000000

0.000000

0.000000

0.000000

Sum

0.595092

0.466160

-0.192161

-0.405414

Sum Sq. Dev.

0.536829

0.296367

0.439321

0.246776

Observations

1250

1250

1250

1250

Tableau 5 : Statistique descriptive des rendements des pays émergents : l?Europe et de l?Amérique latine.

Le tableau (5) regroupe les statistiques descriptives des rendements journaliers des indices boursiers, libellés en dollar américain, des marchés émergents retenus dans l?échantillon. On constate d?après ce tableau que pour les marchés de l?Amérique Latine et l?Europe, le rendement moyen le plus élevé est attribué à la bourse du Brésil 0.000505 tandis que celui le plus faible est enregistré en Belgique, soit -0.000344 .Le rendement maximal varie de 0.136766 ou Brésil à 0.092213 en Belgique alors que le rendement minimal fluctue entre -0.083193 et -0.129516. En terme de risque, la bourse de Belgique possède le risque le moins élevé ; soit 0.014474, alors que celui le plus élevé est marqué à la bourse du Brésil avec un écart type de 0.021347.

En ce qui concerne l?aplatissement, les valeurs de Kurtosis sont toutes positives, la distribution correspondante est leptokurtique par rapport à une distribution normale, ce qui se traduit graphiquement par des queues de distributions relativement épaisses. Les valeurs de la statistique de Kurtosis indiquent que les séries d?indices boursiers présentent un caractère épaisse ou leptokurtique. Les coefficients de Skewness indiquent que la distribution est asymétrique à gauche et rejettent la distribution normale pour la majorité des séries. Par conséquent, l?hypothèse de normalité n?est pas vérifié et le test de Jarque-Béra confirme bien

ce résultat et rejette significativement la distribution normale des rendements des indices boursiers pour tous les marchés formant cette zone.

 

&as de l'Asie.

Pays

Australie

Inde

Indonésie

Malaisie

Singapour

Corée

Chine

Indice

ALLORDINARIES

BSE30

JKSE

KLSE

STI

KS11

SHANGCOMP

Mean

3.89E-05

0.000603

0.000517

0.000188

7.11E-05

-1.98E-05

0.000490

Median

0.000608

0.001292

0.001433

0.000521

0.000659

0.001218

0.001100

Maximum

0.053601

0.159900

0.076234

0.198605

0.075305

0.112844

0.099603

Minimum

-0.085536

-0.116044

-0.109539

-0.192464

-0.092155

-0.111720

-0.092562

Std. Dev.

0.012985

0.019706

0.016876

0.012622

0.014966

0.016532

0.020715

Skewness

-0.574728

0.082154

-0.691188

-0.286785

-0.326623

-0.574911

-0.287002

Kurtosis

7.856285

8.887322

9.079709

110.8972

8.304624

10.13952

5.652760

Jarque-Bera

1223.446

1704.026

1771.998

530687.0

1346.162

2383.771

347.1517

Probability

0.000000

0.000000

0.000000

0.000000

0.000000

0.000000

0.000000

Sum

0.045909

0.711224

0.566145

0.205810

0.080438

-0.021641

0.554468

Sum Sq. Dev.

0.198628

0.457431

0.311284

0.174120

0.253110

0.298741

0.484908

Observations

1250

1250

1250

1250

1250

1250

1250

Tableau 6 : Statistique descriptive des rendements des pays émergents : cas de l?Asie.

D?après les résultats présentés dans, Tableau (6) les rendements journaliers varient entre 7.11E-05 en Singapour et -1.98E-05 en Corée. Par ailleurs la volatilité des marchés de capitaux est mesurée par l?écart-type des rendements des indices boursiers. En effet, le marché le moins risqué est le marché de Malaisie soit 0.012622 et le marché le plus risqué est le marché de la Chine ave un écart type de 0.020715 .Les coefficients d?asymétrie, généralement significativement négatifs, indiquent que la distribution des séries est étalée vers la gauche, ce qui illustre bien le fait qu?un choc négatif a plus d?impact qu?un choc positif. On signale également le caractère leptokurtique des séries des rentabilités étudiées. En effet, le Kurtosis est positif (k >3) pour toutes les séries. L?excès de Kurtosis témoigne d?une probabilité des points extrêmes, donc une distribution à queue épaisse. Les résultats montrent une certaine réserve quant à la validité de l?hypothèse normalité. Cette conclusion est renforcée par le test de Jaque Bera.

 

&as de l'Afrflue.

pays

Tunisie

Egypte

indice

TUNINDEX

EGX30

Mean

0.001005

0.000880

Median

0.000840

0.000000

Maximum

0.360477

1.076939

Minimum

-0.357687

-1.068751

Std. Dev.

0.016158

0.049646

Skewness

0.042204

0.406581

Kurtosis

432.2329

373.2062

Jarque-Bera

8682350.

6732743.

Probability

0.000000

0.000000

Sum

1.137040

1.037575

Sum Sq. Dev.

0.295039

2.903405

Observations

1250

1250

Tableau 7 : Statistique descriptive des rendements des pays émergents : cas de l?Afrique.

D?après, le tableau (7) le rendement le plus important a été réalisé sur le marché Tunisien avec une moyenne de 0.001005, et le plus faible en Egypte avec une moyenne de 0.000880 ; le marché de Tunisien est le moins volatil avec un écart -type de 0.016158, en revanche, le marché le plus risqué est celui de l?Egypte 0.049646 vu qu?il réalise l?écart-type le plus élevé. Les distributions de rendements présentent toutes, une asymétrie (Skewness) négative, les distributions des rendements des indices étant étirés vers la gauche ou oblique à droite, le coefficient daplatissement (Kurtosis) est positif et supérieur à trois quel que soit le pays étudié, la distribution correspondante est leptokurtique par rapport à une distribution normale, ce qui se traduit graphiquement par des queues de distribution relativement épaisses.

3.3.4 : Étude des corrélations des rendements relatives aux pays de notre échantillon

La théorie standard de la diversification est fondée sur le nombre de titres individuels d?un portefeuille et les covariances de leurs rendements respectifs avec celui de portefeuille. Pour minimiser le risque sans sacrifier le rendement, la stratégie consiste à combiner des titres ayant des rendements non corrélés. Plus le nombre de titres appartenant au portefeuille augmente, plus le risque total diminue. Aussi, plus la covariance est négative, plus le risque total du portefeuille est faible. En effet, des études empiriques montrent que les corrélations des titres d?un pays peuvent évoluer soit à la hausse où à la baisse. Par contre, au niveau international, on peut toujours choisir d?investir dans des pays dont les marchés sont relativement indépendants. Par ailleurs, on va effectuer une étude sur la variation des corrélations dans le temps. Pour ce fait, on va étudier la variation de degré de dépendance entre les différents pays. Le degré d?indépendance est mesuré par le degré de corrélation intermarché.

3.3.4.1 : Corrélations des rendements relatives aux Pays développés

zone de l'Amérique du Nord

Le tableau (17 Annexe 2) présente les coefficients de corrélation entre les rendements des indices boursiers des marchés développés de zone de l?Amérique du Nord. Ce tableau, montre que les marchés développés sont fortement corrélés entre eux. Exemple la Canada enregistre une corrélation de 0.34788 avec l?Etats-Unis.

zone de l'Europe

Le tableau (16 Annexe 2) présente les coefficients de corrélation entre les rendements des indices boursiers des marchés de l?Europe. Ce tableau, montre que les marchés développés sont fortement corrélés entre eux. On remarque que la Suisse enregistre une corrélation de 0.61690 avec le marché de pays Bad. La France enregistre la plus grande corrélation avec les pays Bad. En ce qui concerne l?Allemagne, elle est positivement corrélée avec l?Italie.

3.3.4.2 : Corrélations des rendements relatives aux Pays émergents zone de l'Asie.

Le tableau (18 Annexe 2) présente la matrice des corrélations des rendements journaliers des indices boursiers des marchés émergents de la zone d?Asie. On observe que les corrélations entre les différents pays sont positives et moyennement élevées sauf quelques exceptions.

La lecture du tableau montre que la corrélation la plus élevée entre le Japon et l?Indonésie. Pour le couple Corée, chine on enregistre une corrélation de 0.10038 .Il existe une corrélation faible entre la chine et Hong Kong, aussi entre Corée et Malaisie.

 

=14J1de l' IriTXI.

Les corrélations entre les différents marchés boursiers, tels qu?elles figurent sur le tableau (20Annexe 2) sont assez faibles, soit de l?ordre de 0.0005490 pour le couple l?Egypte et la Tunisie.

3. 4 : Etude de la stationnarité des séries des indices boursiers : Test de racine unitaire.

3.4.1 : Aspect théorique des tests de stationnarité

Avant d?effectuer les tests de Co-intégration, il faut d?abord tester la stationnarité des séries de base des indices boursiers. Pour cela, on utilisera les tests Ducky- Fulle simple, Ducky- Fuller Augmenté (APF), le test de Philips- Perron (PP) et le test de Philips, Perron, Kwiatkowski, Schnidt et Shin (KPSS).

Les résultats montrent que les indices boursiers en niveau sont non stationnaires. En effet, les valeurs de la statistique ADF et celui de PP, en niveau, sont toutes supérieures à leurs valeurs critiques pour les divers seuils de significativité. En revanche, en passant à la différence première, toutes ces valeurs deviennent inférieures aux différents seuils critiques, prouvant ainsi la stationnarité de toutes les séries d?indices boursiers en différences premières et par conséquent elles sont intégrées d?ordre un.

3.4.1.1 : Test de Ducky- Fuller simple.

Le test de Ducky - Fuller (1979) est le test de racine unitaire ou de non stationnarité qui permet de savoir si une série est stationnaire ou non aussi permet de déterminer la bonne manière de stationnarité sous les hypothèses suivantes :

Processus non stationnaire, il correspond à une de ces formes de non stationnarités.

(1)

(2)

(3) +bt + C +

Ou = 1

: < 1 Processus non stationnaire, il correspond à une de ces formes de non stationnarité.

(1) D -- )

(2) D -- )

(3) D -- ) t

Ou -- ) = 0

3.4.1.2 : Test de Ducky #177; Fuller Augmente

Dans le test Ducky - Fuller que nous avant étudier le processus est hypothèse un bruit blanc. En fait ce test permet de prendre en compte l?autocorrélation possible de la série différenciée via une correction en utilisant les valeurs retardées. D?ailleurs, les hypothèses du test de Ducky- Fuller augmenté se définissent de la falcon suivante :

Processus non stationnaire, il correspond à une de ces formes de non stationnarité < 1

avec une estimation de moindre carrée ordinaire (MCO).

(1) A ~ ~

~ A _

(2) D ~ ~

~ ~ _ ~

(3) D ~ ~

~ A _ b ~

Ou , = 1 et ~ iid (0,a ~)

: < 1

3.4.1.3 : Test de Philips - perron (PP)

Le test de Philips - Perron (1988) permet de prendre en compte à la fois l?autocorrélation et l?hétéroscidasticité des erreurs. En fait il s?agit d?une correction non paramétrique, il est plus robuste vis-à-vis les erreurs de spécification, de plus il est moins précis que le test ADF.

Le déroulement du test de Philips - Perron s?effectue en quatre étapes, commençant par :

1- Estimations par la méthode de moindre carrée ordinaire

2- La détermination de la variance

a

 

~

~

 

3- L?estimateur du facteur correctif appelé aussi variance de long- terme

= ~ = - ~ =

4- Calcule de statistique de Philips et Perron avec

t1" ~ )

d

+

k )~ .

~

~

K=

3.4.1.4 : Le test de Philips, Perron, Kwiatkowski, Schnidt et Shin (KPSS).

Le test de KPSS (1992) est testé sous l?hypothèse nulle d?absence de racine unitaire contre l?hypothèse de racine unitaire. D?ailleurs Kwiatkowski et al (1992) décompose la série en une somme déterministe : d?un marché aléatoire et d?un terme d?erreur stationnaire sous l?hypothèse nulle et la variance de marché égal à zéro.

Puis - que est stationnaire, autour d?une tendance sous

= 0 alors est stationnaire autour d?un niveau sous

3.4.1.4 : Analyse des tests de racine unitaire.

Analyse de test de Ducky- Fuller simple pour les pays développés

 

Statistique ADF

Pays

Indice boursiers

ADF en niveau

ADF en différence première

Etats-Unis

S&P 500

-1,994

-60,791

Canada

S&P / TSX

-2,401

-58,175

Royaume -Uni

FTSE 100

-1,826

-60,494

France

CAC 40

-1,816

-6,937

Allemagne

DAX

-1,660

-58,957

Italie

MIB 30

-1,764

-58,966

Suisse

SSMI

-1,910

-58,813

Pays Bad

AEX

-1,604

-6,253

Australie

All Ordinaries

-1,467

-59,636

Japon

Nikkei 225

-2,276

-59,210

Hong Kong

Hang Seng

-1,850

-54,177

Tableau 8 : résultats du test ADF pour les pays développés.

L?annexe (3) relatif au test ADF au sein de la zone développée fait ressortir une valeur de t statistique inférieure en valeur absolue aux valeurs critiques pour les trois seuils (1%,5% et 10%). Les indices boursiers de ces pays sont donc non stationnaires. En conséquence à cette non stationnarité, nous passons du test niveau à la première différenciation (variation de l?indice). Les t statistiques des pays de l?Europe de l?Est étudiés sont largement supérieures en valeur absolue aux différents seuils critiques déjà énumérés. Nous concluons que les indices relatifs à ces pays sont intégrés d?ordre (1) ou I(1).

Le test PP suit la même procédure que le test ADF. Nous retrouvons les mêmes résultats que ceux du paragraphe précédent. Le test ADF et le test PP montrent que notre variable étudiée, soit lindice ne devient stationnaire que suite à une première différenciation. Notre variable est intégrée dordre 1 dans les deux cas ci précédemment étudiés. Le test KPSS se base sur le test de multiplicateur de Lagrange (LM) fondé sur lhypothèse nulle de stationnarité. Nous rejetons H0 si cette statistique est supérieure aux valeurs critiques.

 

Analyse de test de Ducky- Fuller simple pour les pays émergents.

 

Statistique ADF

Pays

Indice boursiers

ADF en niveau

ADF en différence première

Brésil

Bovespa

-1,544

-56,534

Mexique

IPC

-2,058

-60,195

Argentine

Merval

-1,961

-58,934

Egypte

EGX/30

-1,944

-34,813

Tunisie

TUNINDEX

-2,335

-49,653

Chine

Shang. Comp

-1,862

-42,844

Inde

BSE 30

-1,922

-60,479

Indonésie

JKSE

-2,013

-56,170

Malaisie

KLSE

-1,698

-59,871

Corée

KS11

-2,054

-60,648

Singapour

STI

-1,612

-60,364

Belgique

BEL20

-1,562

-6,540

Tableau 9 : résultats du test ADF pour les pays émergents.

L?annexe (3) relatif au test ADF au sein de la zone émergente fait ressortir une valeur de t statistique inférieure en valeur absolue aux valeurs critiques pour les trois seuils (1%,5% et 10%) à l?exception de la chine et linde qui furent stationnaires en niveau. Les indices boursiers de ces pays sont donc non stationnaires. En conséquence à cette non stationnarité, nous passons au test en niveau à la première différenciation (variation de lindice). Les t statistiques des pays de lEurope de lEst étudiés sont largement supérieurs en valeur absolue aux différents seuils critiques déjà énumérés. Nous concluons que les indices relatifs à ces pays sont intégrés dordre (1) ou I(1).

Le test PP suit la même procédure que le test ADF. Nous retrouvons les mêmes résultats (Annexes 3) que ceux du paragraphe précédent. Le test ADF et le test PP montrent que notre variable étudiée, soit l?indice ne devient stationnaire que suite à une première différenciation. Notre variable est intégrée dordre 1 dans les deux cas ci précédemment étudiés. Le test KPSS se base sur le test de multiplicateur de Lagrange (LM) fondé sur l?hypothèse nulle de stationnarité. Nous rejetons H0 si cette statistique est supérieure aux valeurs critiques.

3.5 : Les tests de co-intégration

Les modèles de co-intégration, en faisant appel soit à la méthode d?Engle et Granger (1987), soit à la méthode de Johansen (1988,1991). Dans ce qui suit nous souhaiterons savoir si nos séries sont co-intégrées ou pas, et donc, si respectivement elles présenteront la même racine unitaire ou des racines unitaires multiples. « Rappelons que les séries non stationnaires peuvent à court terme présenter des fluctuations importantes. Mais à long terme, une combinaison linéaire les unit pour une relation d?équilibre de long terme La présence d?une ou de plusieurs relations de co-intégration nous autorise donc à aller plus loin et d?estimer un certain modèle à correction d?erreur permettant de spécifier la dynamique de court terme des variables en présence en vue datteindre l?équilibre stable de long terme » Aloui et al (2006) pp ; 214. L?objectif de létude des relations de co-intégration est dexpliquer la relation dun point vue économique entre les diverses séries. Notons cependant que deux séries non stationnaires sur le long terme peuvent être co-intégrées. Pour estimer la co-intégration des séries sur le long terme, nous pouvons procéder à un test de co-intégration multi varié, ou encore appelé test de Johansen (1988) et/ ou à un test de co-intégration bi varié d?Engle et Granger (1987) ; et sur le court terme, nous procéderons au test du VECM (Modèle de Vecteur à Correction d?Erreur)

3.5.1 : Test de Co-intégration multi- variée de Johansen (1988) :

Dans le cas dutilisation de plusieurs séries, nous utiliserons le test de co-intégration multi varié de Johansen(1988).

L?idée sous-jacente à la théorie de co-intégration, comme le souligne Engle et Granger(1987) est qu?une combinaison linéaire de deux séries non stationnaires pourrait être stationnaires, Nous parlons alors de relation de co-intégration qui pourrait être interprétée comme une relation d?équilibre de long terme entre les séries co-intégrées. Pour tester la présence de cointégration, nous adopterons lapproche multi variée de la co-intégration développée par Johansen (1988).Pour ce faire, nous considérons le modèle à correction d?erreur suivant :

ÄÕt=Â0+ Â1 ÄÕt-1+ Â2 ÄÕ t-2+Âp-1ÄÕt-p+1+ÐYt-1+ît

Õt: un vecteur contenant N variables toutes I(1) et Ði (i=1..., p) sont de taille (N*N). Pour que léquation soit équilibrée, une condition nécessaire est que Ðp Õt-p soit I(0) soit alors. Ðp = -âá

á: est une matrice (r, N) qui contient r vecteurs dintégration (r le rang de co-intégration) â: est une matrice (N,r) qui contient le poids associé à chaque vecteur de co-intégration Sil existe r relations de co-intégration, alors

Rg (Ðp) = r

3.5.2 : Test de co-intégration de Granger

Deux étapes fondamentaux pour saisir le test de co-intégration de deux séries suivant le test d?Engle et Granger, d?une part on teste l?ordre de d?intégration des variables, dans ce méme cadre il faut que les séries doivent être intégrées de même ordre. Pour être co-intégré on détermine le degré d?intégration selon le test ADF.

D?autre part nous estimerons la relation long terme, pour cela le résidu de la régression doit être stationnaire afin d?accepter la relation de stationnarité selon le test ADF. En fait lorsque les séries sont non stationnaires en niveau, et en procédant à la différenciation première. Ses séries peuvent devenir stationnaires et donc intégrées dordre 1 lors de la relation de cette condition.

3.5.3 : Détermination du nombre optimal de retard

Pour analyser l?impact de l?intégration financière sur le gain de la diversification internationale, il est nécessaire de savoir si les marchés convergent entre eux, d?où la nécessité d?étudier s?éparament la convergence des marchés des pays développés et celle des marchés émergents, par la suite nous analyserons la convergence des marchés développés et émergents à la fois. Or pour pouvoir étudier l?intégration des marchés il est nécessaire de déterminer le nombre de retard optimal du modèle autorégressif VAR : les critères AIC et VAR ont été utilisés.

3.5.4 : Modélisation VECM et test de causalité au sens de Granger

Engle et Granger(1987) ont démontré que toutes les séries co-intégrées peuvent être représentées par un VECM. D?abord, nous essayerons de synthétiser les grandes étapes relatives à l?estimation d?un modèle de VECM :

1. Détermination du nombre de retards p du modèle en niveau ou en log selon les critères AIC ou SC ;

2. Estimation de la matrice Ð et tests de Johansen permettent de connaitre le nombre de relation de co-intégration ;

3. Identification des relations de co-intégration, c'est-à-dire les relations de long terme entre les variables ;

4. Estimation par la méthode du maximum de vraisemblance du modèle vectoriel à correction derreur et validation à laide du test usuel : significativité des coefficients et vérification que les résidus sont des bruits blancs (test de Ljung-Box).

En suite, nous pouvons vérifier que lestimation par les MCO de la relation de long terme fournit des résultats à peu près similaires(en termes de significativité et de valeurs estimées des coefficients) à ceux obtenus par la méthode du maximum de vraisemblance.

3.5.5 : Test de causalité ou sens de Granger

Soit le modèle VAR (P) pour le quelle les variables t sont stationnaire

Y

Y

Ce test consiste à poser ces deux hypothèses :

Ne couse pas si l?hypothèse est acceptée c à d :

4

Ne couse pas si l?hypothèse est acceptée c à d :

3.5.6 : Le modèle de correction des erreurs.

Si on a deux séries co-intégrées ( - - ~ -- > I(0))

On peut estimer le modèle à correction d?erreurs (MCE) suivant : ~y ~ - - ~

Avec < 0

On peut remarquer que le paramètre doit être négatif pour qu?il y ait un retour de à sa valeur d?équilibre de long terme qui est ( - ~ )

En fait, lorsque est supérieur à ( - ~ )

Il n?ya pas une force de rappel vers l?équilibre de long terme si a

Le MCE permet de modéliser conjointement les dynamiques de court terme. La dynamique de court terme s?écrit :

y

3.6 : Analyse de la Co-intégration

La détermination du nombre de retard (P) du modèle vectoriel autorégressif VAR(P) est une étape importante dans notre étude empirique sur l?intégration des marchés. Pour le cas des marchés développés, on a un VAR dordre 4 puisque les critères AIC (Akaike information criterion) et SC (Schwarz criterion) sont minimaux pour un P = 4. Pour ce qui concerne les pays émergents on a aussi un VAR d?ordre 4 puisque les critères sont nominaux pour un P= 4

3.6.1 : Détermination du nombre optimal de retard

Lors de la détermination du nombre optimal de retard on va ce limité au VAR (4). Zone de l'Afrique

 

VAR 1

VAR 2

VAR 3

VAR 4

AIC

28.522

28.447

28.279

28.245

SC

28.547

28.488

28.336

28.319

Tableau n°10 : nombre optimal de retard du modèle VAR : Zone de l?Afrique

D?après ce tableau, on constate que le nombre de retard qui minimise les critères « Al C » et « SC » est P =4

Zone de l'Europe

 

VAR 1

VAR 2

VAR 3

VAR 4

AIC

84.418

83.89

83.63

84.328

SC

84.648

84.328

84.269

84.164

Tableau n°11 : nombre optimal de retard du modèle VAR : Zone de Europe

D?après ce tableau, on constate que le nombre de retard qui minimise les critères « Al C » et « SC » est P =4

 

Zone de l'Amérique du Nord

 

VAR 1

VAR 2

VAR 3

VAR 4

AIC

30.42

30.149

30.042

29.97

SC

30.44

30.19

30.10

30.05

Tableau n°12 : nombre optimal de retard du modèle VAR : Zone de l?Amérique du Nord

D?après ce tableau, on constate que le nombre de retard qui minimise les critères « Al C » et « SC » est P =4

 

Zone de l'Asie

 

VAR 1

VAR 2

VAR 3

VAR 4

AIC

133.77

133.07

132.789

132.54

SC

137.14

133.77

133.826

133.91

Tableau n°13 : nombre optimal de retard du modèle VAR : Zone de l?Asie

D?après ce tableau, on constate que le nombre de retard qui minimise les critères « AIC » et « SC » est P =4

3.6.2 : Test de Co-intégration.

Zones géographiques

Nombre de relation de Co-intégration

Amérique de nord

1

Europe

4

Asie

7

Afrique

1

Tableau 14 : Résultat du test de Co-intégration.

Le test de Co-intégration multi - variée pour l?indice S&P 500 et les autres indices boursiers des différents marchés de notre échantillons sera effectué pour un nombre de retard .Les résultats montrent qu?il ya une relation de co-intégration (Annexe 4) cela s?explique par les réformes mises en place de ces dernières années dans les différents marchés et la levée des restrictions visons la globalisation des marchés.

D?ailleurs la détermination des tests de causalité au sens de Granger a montré que les couples des marchés S&P 500 et les différents marchés présente des relations bidirectionnelles sur le long terme, donc tout choc se répercutera sur chaque pays, ainsi le recours au test de causalité de Granger nous nous permet d?identifier le sens de la causalité entre ces marchés Cointégrés. En fait, ces diverses relations de Co-intégration peuvent avoir une autre explication qui prend origine de crises financières où on peut parler d?une augmentation de l?intégration financière pour effet de Co-intégration.

3.6.3 : L'analyse du test de causalité

On dit que la variable X couse au sens de Granger la variable Y si et seulement si la connaissance du passé de X améliore la prévision de Y à tout horizon. Dans notre étude on va tester le lieu de causalité entre le rendement de l?indice S&P 500 et les autres rendements des indices boursiers, pour ce faire on va comparer la probabilité obtenue ci-dessous de test de Granger par rapport à 5%.

En comparent par exemple l?indice S&P 500 et l?indice SPTSX on déduit les résultats suivants.

Pairwise Granger Causality Tests Date: 05/30/11 Time: 12:29 Sample: 1 1249

Lags: 2

Null Hypothesis: Obs F-Statistic Prob.

SPTSX does not Granger Cause SP500 1126 2.68042 0.0690

SP500 does not Granger Cause SPTSX 43.2690 8.E-19

Si P < 0,1 on rejette donc il ya un sens de cousalité

Sens de causalité

causalité

SPTSX ? SP500

Oui

SP500 ? SPTSX

Oui

Tableau 15 : Résultat du test decausalité : cas de l?Amérique du Nord.

3.6.4 : L'impact de l'intégration sur la diversification internationale de portefeuille.

Le test de Co-intégration de Johansen entre les marchés développés tel que présenté sur l?annexe 4 montre labsence de relation de Co-intégration au seuil critique de 5%. En effet, la trace statistique est inférieure aux deux valeurs critiques.

Cette absence de Co-intégration sinterprète par labsence de relation déquilibre stable de
long terme entre ces différentes bourses. Cela signifie donc de la segmentation de ces marchés

entre eux sur le long terme. Par ailleurs, les tests de Co-intégration de ces marchés asiatiques avec les marchés développés indiquent labsence des relations de Co-intégration ce qui se traduit par leurs segmentations avec les marchés développés. Dans son article Kais Fadhlaoui, 2006, p 19 explique que : « Ces résultats peuvent être expliqués par, dune part, lapparition récente de ces marchés qui sont déjà dans le stade primaire de leur développement et dautre part, par les faibles relations des économies de ces pays entre eux et avec les marchés développés. »

L?annexe 4 montre que le test de Co-intégration pour les marchés émergents indique lexistence dune relation de Co-intégration au seuil de 5%. Cela implique que ces marchés évoluent dans la même tendance à long terme. Cette indépendance peut être liée aux effets de long terme de la crise financière qui a frappée ces marchés. Le test de Co-intégration entre les marches de l?Europe montre quil existe une relations de Co-intégration entre ces marchés. En revanche, les tests de Co-intégration des marchés développés révèlent la présence d?une relations de Co-intégration entre la France-allemagne, Royoume -Uni - Suisse, Italie - pays Bad. Le test de Co-intégration pour les marchés émergents de l?Afrique montre qu?il y a une relation de Co-intégration.

Conclusion

Dans ce chapitre nous avons détudié le phénomène dintégration/Co-intégration des marchés des capitaux développés et émergents et ses implications sur les gains potentiels des stratégies de diversification internationale de portefeuille. L?accroissement de lintégration financière favorise l?augmentation des corrélations entre les marchés nationaux ce qui réduirait les gains des stratégies de diversification internationale. Nos résultats prouvent que les marchés développés sont intégrés entre eux grâce à la forte corrélation ce qui laisse les investisseurs chercher des autres pays pour diversifier leurs portefeuilles qui représentent une faible corrélation pour augmenter le gain de la diversification. Alors que les marchés émergents sont segmentés aussi bien entre eux qu?avec les marchés développés. Ces conclusions sont conformes avec la majorité des études menées sur le thème de l?intégration des marchés financiers tel que celle de Gilmore et McManus (2002) et Bekaert, Harvey et Ng (2003), Fadhlaoui K (2006). Cela implique que ces marchés émergents représentent encore une source importante de la diversification internationale de portefeuille.

D?ailleurs, malgré les recommandations de la théorie financière incitant à la diversification internationale, les investisseurs ne diversifient que partiellement leurs portefeuilles à linternational et quils ont une certaine préférence pour les actifs domestiques.

CONCLUSION GENERALE

CONCLUSION GENERALE

T

out au long de ce mémoire on a étudié les modèles d?évaluations des actifs financiers, la diversification et l?impact de l?intégration des marchés des capitaux développés et émergents et ses implications sur les gains potentiels des stratégies de

diversification internationale de portefeuille. Théoriquement on a étudié le modèle d?évaluation des actifs financiers et suite au critiques et aux anomalies adressées à ce modèle on a testé d?autres versions comme le MEDAFI (le modèle d?évaluation des actifs financiers à l?international), le MEDAF conditionnel, l?APT et le modèle de Fama French (1993), le but c?est le portefeuille optimal pour un investisseur qui cherche à maximiser leurs rentabilités. D?ailleurs, pour assurer cette rentabilité il faut diversifier le portefeuille par des titres domestiques sur le plan national, mais à l?international ça dépend de la corrélation entre les marchés financiers. Alors que L?accroissement de l?intégration financière favorise l?augmentation des corrélations entre les marchés nationaux ce qui réduirait les gains des stratégies de diversification internationale. Nos résultats prouvent que les marchés développés sont intégrés entre eux alors que les marchés émergents sont segmentés aussi bien entre eux qu?avec les marchés développés. Ces conclusions sont conformes avec la majorité des études menées sur le thème de l?intégration des marchés financiers tel que celle de Gilmore et McManus (2002) et Bekaert, Harvey et Ng (2003). Cela implique que ces marchés émergents représentent encore une source importante de diversification internationale de portefeuille. Cependant, il faut tenir compte des transmissions des chocs surtout suite aux nombreuses crises qui ont frappé les marchés financiers ces dernières années.

BIBLIOGRAPHIE

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Solnik,B.(1983),international Arbitrage Pricing Theory» Journal of Finance,Vol.38,pp.449- 457

ANNEXES

075

000

12

07

Annexes 1 : L'évolution des indices bousiers des différentes zones étudiées

Annexe 2 : Corrélations des rendements des pays développé.

 

Zone de l'Europe

 

BE20

CAC40

AEX

DAX

FTSE100

SSMI

MIB30

BE20

1

0.6341

0.6591

0.2998

0.5409

0.5317

0.1917

CAC40

 

1

0.9480

0.2508

0.6580

0.6218

0.2274

AEX

 
 

1

0.2356

0.6669

0.6169

0.2478

DAX

 
 
 

1

0.3337

0.2472

0.2371

FTSE100

 
 
 
 

1

0.680

0.1934

SSMI

 
 
 
 
 

1

0.2332

MIB30

 
 
 
 
 
 

1

Tableau 16 : corrélations des rendements des zones à économies de l?Europe. Zone de l'Amérique du nord

 

SPTSX

SP500

SPTSX

1

0.3478

SP500

 

1

Tableau 17 : Corrélations des rendements des zones à économies de l?Amérique du nord Corrélations des rendements des pays émergents.

Zone de l'Asie.

 

ALLO
RDIN
ARIE

BSE30

HANG
SENG

JKSE

KLSE

NIKK
EI225

KS11

SHANGC
OMP

STI

ALLORDIN
ARIE

1

0.0780

0.2012

-0.0081

0.0212

0.1927

0.1054

0.0407

0.0330

BSE30

 

1

0.0755

0.2088

0.1506

0.2159

0.1484

0.0688

0.0981

HANGSENG

 
 

1

0.0335

0.0183

0.0885

0.4107

0.0998

0.2865

JKSE

 
 
 

1

0.0417

0.2818

0.0161

0.1294

0.2714

KLSE

 
 
 
 

1

0.1700

0.0473

0.0661

0.0597

NIKKEI225

 
 
 
 
 

1

0.0725

0.0658

0.1111

KS11

 
 
 
 
 
 

1

0.1003

0.2069

SHANGCO
MP

 
 
 
 
 
 
 

1

0.0368

STI

 
 
 
 
 
 
 
 

1

Tableau 18 : Corrélations des rendements de la zone de l?Asie

=W CI l* P pUTuERINine.

 

BOVESPA

IPC

MERVAL

BOVESPA

1

0.4583

0.3461

IPC

 

1

0.3091

MERVAL

 
 

1

Tableau 19 : Corrélations des rendements de la zone de l?Amérique latine

 

=MICR* IUTME

 

EGX30

TUNINDEX

EGX30

1

0.0005

TUNINDEX

 

1

Tableau 20 : Corrélations des rendements de la zone de l?Afrique

Annexe 3 : Test de Ducky- Fuller simple pour les pays développé Zone de l'Europe.

Royaume - Uni (Au niveau et En différence)

Null Hypothesis: FTSE100 has a unit root

Exogenous: Constant, Linear Trend

Lag Length: 14 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)

t-Statistic Prob.*

Augmented Dickey-Fuller test statistic -1.826981 0.6912

Test critical values: 1% level -3.965494

5% level -3.413454

10% level -3.128769

*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller Test Equation Dependent Variable: D(FTSE100)

Method: Least Squares

Date: 05/30/11 Time: 11:41

Sample (adjusted): 16 1250

Included observations: 1250 after adjustments

Variable

Coefficient

Std. Error t-Statistic

Prob.

C

183.4527

97.62340 1.879188

0.0605

@TREND(1)

-0.035537

0.034634 -1.026059

0.3051

R-squared

0.424041

Mean dependent var

0.590202

Adjusted R-squared

0.416475

S.D. dependent var

524.0094

S.E. of regression

400.2847

Akaike info criterion

14.83590

Sum squared resid

1.95E+08

Schwarz criterion

14.90636

Log likelihood

-9144.167

Hannan-Quinn criter.

14.86240

F-statistic

56.04575

Durbin-Watson stat

1.999134

Prob(F-statistic)

0.000000

 
 

84

Null Hypothesis: D(FTSE100) has a unit root

Exogenous: Constant, Linear Trend

Lag Length: 0 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)

t-Statistic Prob.*

Augmented Dickey-Fuller test statistic -60.49416 0.0001

Test critical values: 1% level -3.965416

5% level -3.413416

10% level -3.128746

*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller Test Equation Dependent Variable: D(FTSE100,2)

Method: Least Squares

Date: 05/30/11 Time: 11:41

Sample (adjusted): 3 1250

Included observations: 1250 after adjustments

Variable

Coefficient

Std. Error t-Statistic

Prob.

C

1.976530

25.75440 0.076745

0.9388

@TREND(1)

-0.001926

0.035679 -0.053976

0.9570

R-squared

0.746154

Mean dependent var

0.012260

Adjusted R-squared

0.745746

S.D. dependent var

900.5584

S.E. of regression

454.0940

Akaike info criterion

15.07689

Sum squared resid

2.57E+08

Schwarz criterion

15.08922

Log likelihood

-9404.977

Hannan-Quinn criter.

15.08152

F-statistic

1829.772

Durbin-Watson stat

2.315436

Prob(F-statistic)

0.000000

 
 

-France (Au niveau et En différence)

Null Hypothesis: CAC40 has a unit root

Exogenous: Constant, Linear Trend

Lag Length: 1 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)

t-Statistic Prob.*

Augmented Dickey-Fuller test statistic -1.816092 0.6966

Test critical values: 1% level -3.965416

5% level -3.413416

10% level -3.128746

*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller Test Equation Dependent Variable: D(CAC40)

Method: Least Squares

Date: 05/30/11 Time: 11:40

Sample (adjusted): 3 1250

Included observations: 1250 after adjustments

Variable

Coefficient

Std. Error t-Statistic

Prob.

C

24.92624

12.67051 1.967264

0.0494

@TREND(1)

-0.010028

0.005739 -1.747345

0.0808

R-squared

0.012690

Mean dependent var

-0.097075

Adjusted R-squared

0.010309

S.D. dependent var

63.15981

S.E. of regression

62.83341

Akaike info criterion

11.12205

Sum squared resid

4911358.

Schwarz criterion

11.13849

Log likelihood

-6936.160

Hannan-Quinn criter.

11.12823

F-statistic

5.329845

Durbin-Watson stat

2.004031

Prob(F-statistic)

0.001192

 
 

Null Hypothesis: D(CAC40) has a unit root

Exogenous: Constant, Linear Trend

Lag Length: 21 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)

t-Statistic Prob.*

Augmented Dickey-Fuller test statistic -6.937211 0.0000

Test critical values: 1% level -3.965543

5% level -3.413478

10% level -3.128783

*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller Test Equation Dependent Variable: D(CAC40,2)

Method: Least Squares

Date: 05/30/11 Time: 11:40

Sample (adjusted): 24 1250

Included observations: 1250 after adjustments

Variable

Coefficient

Std. Error t-Statistic

Prob.

C

2.653840

3.733518 0.710815

0.4773

@TREND(1)

-0.004404

0.005150 -0.855177

0.3926

R-squared

0.559084

Mean dependent var

0.003415

Adjusted R-squared

0.550654

S.D. dependent var

94.19919

S.E. of regression

63.14482

Akaike info criterion

11.14810

Sum squared resid

4796683.

Schwarz criterion

11.24810

Log likelihood

-6815.362

Hannan-Quinn criter.

11.18573

F-statistic

66.32210

Durbin-Watson stat

1.997613

Prob(F-statistic)

0.000000

 
 

-Allemagne (Au niveau et En différence)

Null Hypothesis: DAX has a unit root

Exogenous: Constant, Linear Trend

Lag Length: 12 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)

t-Statistic Prob.*

Augmented Dickey-Fuller test statistic -1.660388 0.7682

Test critical values: 1% level -3.965482

5% level -3.413448

10% level -3.128765

*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller Test Equation Dependent Variable: D(DAX)

Method: Least Squares

Date: 05/30/11 Time: 11:40

Sample (adjusted): 14 1250

Included observations: 1250 after adjustments

Variable

Coefficient

Std. Error t-Statistic

Prob.

C

75.84281

38.81177 1.954119

0.0509

@TREND(1)

-0.018582

0.018921 -0.982116

0.3262

R-squared

0.550101

Mean dependent var

1.290493

Adjusted R-squared

0.544947

S.D. dependent var

351.0504

S.E. of regression

236.8102

Akaike info criterion

13.78445

Sum squared resid

68528616

Schwarz criterion

13.84654

Log likelihood

-8510.680

Hannan-Quinn criter.

13.80780

F-statistic

106.7263

Durbin-Watson stat

2.003564

Prob(F-statistic)

0.000000

 
 

Null Hypothesis: D(DAX) has a unit root

Exogenous: Constant, Linear Trend

Lag Length: 0 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)

t-Statistic Prob.*

Augmented Dickey-Fuller test statistic -58.95777 0.0000

Test critical values: 1% level -3.965416

5% level -3.413416

10% level -3.128746

*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller Test Equation Dependent Variable: D(DAX,2)

Method: Least Squares

Date: 05/30/11 Time: 11:41

Sample (adjusted): 3 1250

Included observations: 1250 after adjustments

Variable

Coefficient

Std. Error t-Statistic

Prob.

C

7.184216

17.48378 0.410908

0.6812

@TREND(1)

-0.008515

0.024221 -0.351552

0.7252

R-squared

0.736286

Mean dependent var

0.007748

Adjusted R-squared

0.735862

S.D. dependent var

599.7965

S.E. of regression

308.2615

Akaike info criterion

14.30217

Sum squared resid

1.18E+08

Schwarz criterion

14.31450

Log likelihood

-8921.557

Hannan-Quinn criter.

14.30681

F-statistic

1738.010

Durbin-Watson stat

2.276823

Prob(F-statistic)

0.000000

 
 

Italie (Au niveau et En différence)

Null Hypothesis: MIB30 has a unit root

Exogenous: Constant, Linear Trend

Lag Length: 3 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)

t-Statistic Prob.*

Augmented Dickey-Fuller test statistic -1.764548 0.7215

Test critical values: 1% level -3.965428

5% level -3.413422

10% level -3.128749

*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller Test Equation Dependent Variable: D(MIB30)

Method: Least Squares

Date: 05/30/11 Time: 11:41

Sample (adjusted): 5 1250

Included observations: 1250 after adjustments

Variable

Coefficient

Std. Error t-Statistic

Prob.

C

438.5926

233.8361 1.875641

0.0609

@TREND(1)

-0.248286

0.123222 -2.014937

0.0441

R-squared

0.435372

Mean dependent var

-7.232592

Adjusted R-squared

0.433095

S.D. dependent var

1518.526

S.E. of regression

1143.345

Akaike info criterion

16.92611

Sum squared resid

1.62E+09

Schwarz criterion

16.95080

Log likelihood

-10538.96

Hannan-Quinn criter.

16.93539

F-statistic

191.2272

Durbin-Watson stat

1.945528

Prob(F-statistic)

0.000000

 
 

Null Hypothesis: D(MIB30) has a unit root

Exogenous: Constant, Linear Trend

Lag Length: 0 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)

t-Statistic Prob.*

Augmented Dickey-Fuller test statistic -58.96631 0.0000

Test critical values: 1% level -3.965416

5% level -3.413416

10% level -3.128746

*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller Test Equation Dependent Variable: D(MIB30,2)

Method: Least Squares

Date: 05/30/11 Time: 11:42

Sample (adjusted): 3 1250

Included observations: 1250 after adjustments

Variable

Coefficient

Std. Error t-Statistic

Prob.

C

22.44923

75.89679 0.295786

0.7674

@TREND(1)

-0.053148

0.105147 -0.505460

0.6133

R-squared

0.736342

Mean dependent var

-0.010144

Adjusted R-squared

0.735918

S.D. dependent var

2604.015

S.E. of regression

1338.174

Akaike info criterion

17.23840

Sum squared resid

2.23E+09

Schwarz criterion

17.25073

Log likelihood

-10753.76

Hannan-Quinn criter.

17.24304

F-statistic

1738.513

Durbin-Watson stat

2.273582

Prob(F-statistic)

0.000000

 
 

Suisse (Au niveau et En différence)

Null Hypothesis: SSMI has a unit root

Exogenous: Constant, Linear Trend

Lag Length: 14 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)

t-Statistic Prob.*

Augmented Dickey-Fuller test statistic -1.910137 0.6486

Test critical values: 1% level -3.965494

5% level -3.413454

10% level -3.128769

*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller Test Equation Dependent Variable: D(SSMI)

Method: Least Squares

Date: 05/30/11 Time: 11:42

Sample (adjusted): 16 1250

Included observations: 1250 after adjustments

Variable

Coefficient

Std. Error t-Statistic

Prob.

C

107.5393

50.91261 2.112234

0.0349

@TREND(1)

-0.035588

0.021736 -1.637277

0.1018

R-squared

0.505069

Mean dependent var

0.755789

Adjusted R-squared

0.498567

S.D. dependent var

351.6663

S.E. of regression

249.0217

Akaike info criterion

13.88663

Sum squared resid

75530357

Schwarz criterion

13.95709

Log likelihood

-8557.992

Hannan-Quinn criter.

13.91313

F-statistic

77.68427

Durbin-Watson stat

2.014279

Prob(F-statistic)

0.000000

 
 

Null Hypothesis: D(SSMI) has a unit root

Exogenous: Constant, Linear Trend

Lag Length: 0 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)

t-Statistic Prob.*

Augmented Dickey-Fuller test statistic -58.81346 0.0000

Test critical values: 1% level -3.965416

5% level -3.413416

10% level -3.128746

*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller Test Equation Dependent Variable: D(SSMI,2)

Method: Least Squares

Date: 05/30/11 Time: 11:42

Sample (adjusted): 3 1250

Included observations: 1250 after adjustments

Variable

Coefficient

Std. Error t-Statistic

Prob.

C

6.862434

17.52060 0.391678

0.6954

@TREND(1)

-0.009322

0.024272 -0.384040

0.7010

R-squared

0.735333

Mean dependent var

-0.004968

Adjusted R-squared

0.734908

S.D. dependent var

599.9786

S.E. of regression

308.9116

Akaike info criterion

14.30639

Sum squared resid

1.19E+08

Schwarz criterion

14.31872

Log likelihood

-8924.186

Hannan-Quinn criter.

14.31102

F-statistic

1729.512

Durbin-Watson stat

2.276471

Prob(F-statistic)

0.000000

 
 

Pays - Bad (Au niveau et En différence)

Null Hypothesis: AEX has a unit root

Exogenous: Constant, Linear Trend

Lag Length: 0 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)

t-Statistic Prob.*

Augmented Dickey-Fuller test statistic -1.604094 0.7912

Test critical values: 1% level -3.965410

5% level -3.413413

10% level -3.128744

*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller Test Equation Dependent Variable: D(AEX)

Method: Least Squares

Date: 05/30/11 Time: 11:39

Sample (adjusted): 2 1250

Included observations: 1250 after adjustments

Variable

Coefficient

Std. Error t-Statistic

Prob.

C

1.684029

0.969984 1.736141

0.0828

@TREND(1)

-0.000794

0.000500 -1.586054

0.1130

R-squared

0.002679

Mean dependent var

-0.026085

Adjusted R-squared

0.001078

S.D. dependent var

5.447239

S.E. of regression

5.444302

Akaike info criterion

6.229415

Sum squared resid

36931.98

Schwarz criterion

6.241737

Log likelihood

-3887.270

Hannan-Quinn criter.

6.234048

F-statistic

1.673276

Durbin-Watson stat

2.089362

Prob(F-statistic)

0.188053

 
 

Null Hypothesis: D(AEX) has a unit root

Exogenous: Constant, Linear Trend

Lag Length: 21 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)

t-Statistic Prob.*

Augmented Dickey-Fuller test statistic -6.253836 0.0000

Test critical values: 1% level -3.965543

5% level -3.413478

10% level -3.128783

*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller Test Equation Dependent Variable: D(AEX,2)

Method: Least Squares

Date: 05/30/11 Time: 11:39

Sample (adjusted): 24 1250

Included observations: 1227 after adjustments

Variable

Coefficient

Std. Error t-Statistic

Prob.

C

0.174247

0.321836 0.541414

0.5883

@TREND(1)

-0.000298

0.000444 -0.670792

0.5025

R-squared

0.535947

Mean dependent var

0.001899

Adjusted R-squared

0.527074

S.D. dependent var

7.937139

S.E. of regression

5.458337

Akaike info criterion

6.251532

Sum squared resid

35841.51

Schwarz criterion

6.351528

Log likelihood

-3811.315

Hannan-Quinn criter.

6.289158

F-statistic

60.40758

Durbin-Watson stat

1.996748

Prob(F-statistic)

0.000000

 
 
 

=TnFOdFOl'AP pUiINFOdN OITUd.

Etats #177; Unis (Au niveau et En différence)

Null Hypothesis: SP500 has a unit root

Exogenous: Constant, Linear Trend

Lag Length: 11 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)

t-Statistic Prob.*

Augmented Dickey-Fuller test statistic -1.994753 0.6031

Test critical values: 1% level -3.965476

5% level -3.413445

10% level -3.128763

*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller Test Equation Dependent Variable: D(SP500)

Method: Least Squares

Date: 05/30/11 Time: 11:35

Sample (adjusted): 13 1250

Included observations: 1250 after adjustments

Variable

Coefficient

Std. Error t-Statistic

Prob.

C

47.39653

23.84044 1.988073

0.0470

@TREND(1)

-0.011710

0.009706 -1.206422

0.2279

R-squared

0.430783

Mean dependent var

-0.025380

Adjusted R-squared

0.424737

S.D. dependent var

142.1047

S.E. of regression

107.7808

Akaike info criterion

12.20932

Sum squared resid

14218850

Schwarz criterion

12.26723

Log likelihood

-7543.570

Hannan-Quinn criter.

12.23110

F-statistic

71.25552

Durbin-Watson stat

2.005217

Prob(F-statistic)

0.000000

 
 

Null Hypothesis: D(SP500) has a unit root

Exogenous: Constant, Linear Trend

Lag Length: 0 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)

t-Statistic Prob.*

Augmented Dickey-Fuller test statistic -60.79157 0.0001

Test critical values: 1% level -3.965416

5% level -3.413416

10% level -3.128746

*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller Test Equation Dependent Variable: D(SP500,2)

Method: Least Squares

Date: 05/30/11 Time: 11:35

Sample (adjusted): 3 1250

Included observations: 1250 after adjustments

Variable

Coefficient

Std. Error t-Statistic

Prob.

C

0.238642

6.975842 0.034210

0.9727

@TREND(1)

-0.000486

0.009664 -0.050290

0.9599

R-squared

0.748007

Mean dependent var

-0.005609

Adjusted R-squared

0.747602

S.D. dependent var

244.8209

S.E. of regression

122.9961

Akaike info criterion

12.46458

Sum squared resid

18834403

Schwarz criterion

12.47691

Log likelihood

-7774.900

Hannan-Quinn criter.

12.46922

F-statistic

1847.808

Durbin-Watson stat

2.324240

Prob(F-statistic)

0.000000

 
 

Canada (Au niveau et En différence)

Null Hypothesis: SPTS has a unit root

Exogenous: Constant, Linear Trend

Lag Length: 15 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)

t-Statistic Prob.*

Augmented Dickey-Fuller test statistic -2.401543 0.3785

Test critical values: 1% level -3.965500

5% level -3.413457

10% level -3.128770

*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller Test Equation Dependent Variable: D(SPTS)

Method: Least Squares

Date: 05/30/11 Time: 11:35

Sample (adjusted): 17 1250

Included observations: 1250 after adjustments

Variable

Coefficient

Std. Error t-Statistic

Prob.

C

691.8556

290.1728 2.384288

0.0173

@TREND(1)

-0.015644

0.134818 -0.116039

0.9076

R-squared

0.395955

Mean dependent var

1.940640

Adjusted R-squared

0.387511

S.D. dependent var

2150.225

S.E. of regression

1682.802

Akaike info criterion

17.70879

Sum squared resid

3.44E+09

Schwarz criterion

17.78344

Log likelihood

-10908.32

Hannan-Quinn criter.

17.73687

F-statistic

46.88801

Durbin-Watson stat

1.998171

Prob(F-statistic)

0.000000

 
 

Null Hypothesis: D(SPTS) has a unit root

Exogenous: Constant, Linear Trend

Lag Length: 0 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)

t-Statistic Prob.*

Augmented Dickey-Fuller test statistic -58.17555 0.0000

Test critical values: 1% level -3.965416

5% level -3.413416

10% level -3.128746

*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller Test Equation Dependent Variable: D(SPTS,2)

Method: Least Squares

Date: 05/30/11 Time: 11:36

Sample (adjusted): 3 1250

Included observations: 1250 after adjustments

Variable

Coefficient

Std. Error t-Statistic

Prob.

D(SPTS(-1))

-1.462133

0.025133 -58.17555

0.0000

C

7.108130

107.6266 0.066044

0.9474

@TREND(1)

-0.007065

0.149102 -0.047383

0.9622

R-squared

0.731066

Mean dependent var

0.008173

Adjusted R-squared

0.730634

S.D. dependent var

3656.309

S.E. of regression

1897.641

Akaike info criterion

17.93701

Sum squared resid

4.48E+09

Schwarz criterion

17.94934

Log likelihood

-11189.70

Hannan-Quinn criter.

17.94165

F-statistic

1692.197

Durbin-Watson stat

2.229257

Prob(F-statistic)

0.000000

 
 
 

=14J1de l' \le.

Japon (Au niveau et En différence)

Null Hypothesis: NIKKEI225 has a unit root

Exogenous: Constant, Linear Trend

Lag Length: 13 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)

t-Statistic Prob.*

Augmented Dickey-Fuller test statistic -2.276598 0.4460

Test critical values: 1% level -3.965488

5% level -3.413451

10% level -3.128767

*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller Test Equation Dependent Variable: D(NIKKEI225)

Method: Least Squares

Date: 05/30/11 Time: 11:48

Sample (adjusted): 15 1250

Included observations: 1250 after adjustments

Variable

Coefficient

Std. Error t-Statistic

Prob.

C

681.0832

288.1342 2.363771

0.0182

@TREND(1)

-0.290507

0.155949 -1.862832

0.0627

R-squared

0.389351

Mean dependent var

-0.786707

Adjusted R-squared

0.381844

S.D. dependent var

2111.932

S.E. of regression

1660.463

Akaike info criterion

17.68044

Sum squared resid

3.36E+09

Schwarz criterion

17.74671

Log likelihood

-10910.51

Hannan-Quinn criter.

17.70537

F-statistic

51.85840

Durbin-Watson stat

2.010682

Prob(F-statistic)

0.000000

 
 

Null Hypothesis: D(NIKKEI225) has a unit root

Exogenous: Constant, Linear Trend

Lag Length: 0 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)

t-Statistic Prob.*

Augmented Dickey-Fuller test statistic -59.21019 0.0000

Test critical values: 1% level -3.965416

5% level -3.413416

10% level -3.128746

*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller Test Equation Dependent Variable: D(NIKKEI225,2) Method: Least Squares

Date: 05/30/11 Time: 11:48

Sample (adjusted): 3 1250

Included observations: 1250 after adjustments

Variable

Coefficient

Std. Error t-Statistic

Prob.

D(NIKKEI225(-1))

-1.475883

0.024926 -59.21019

0.0000

C

11.45422

107.5707 0.106481

0.9152

@TREND(1)

-0.020487

0.149025 -0.137477

0.8907

R-squared

0.737941

Mean dependent var

0.128165

Adjusted R-squared

0.737520

S.D. dependent var

3702.033

S.E. of regression

1896.653

Akaike info criterion

17.93597

Sum squared resid

4.48E+09

Schwarz criterion

17.94830

Log likelihood

-11189.05

Hannan-Quinn criter.

17.94061

F-statistic

1752.924

Durbin-Watson stat

2.239170

Prob(F-statistic)

0.000000

 
 

Hong Kong (Au niveau et En différence)

Null Hypothesis: HANGSENG has a unit root

Exogenous: Constant, Linear Trend

Lag Length: 9 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)

t-Statistic Prob.*

Augmented Dickey-Fuller test statistic -1.850196 0.6795

Test critical values: 1% level -3.965464

5% level -3.413440

10% level -3.128760

*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller Test Equation Dependent Variable: D(HANGSENG) Method: Least Squares

Date: 05/30/11 Time: 11:46

Sample (adjusted): 11 1250

Included observations: 1250 after adjustments

Variable

Coefficient

Std. Error

t-Statistic

Prob.

C

406.6069

213.7837

1.901955

0.0574

@TREND(1)

0.046825

0.141427

0.331092

0.7406

R-squared

0.328427

Mean dependent var

 

6.139226

Adjusted R-squared

0.322411

S.D. dependent var

 

2024.743

S.E. of regression

1666.683

Akaike info criterion

 

17.68469

Sum squared resid

3.41E+09

Schwarz criterion

 

17.73426

Log likelihood

-10952.51

Hannan-Quinn criter.

 

17.70333

F-statistic

54.59483

Durbin-Watson stat

 

1.999527

Prob(F-statistic)

0.000000

 
 
 

Null Hypothesis: D(HANGSENG) has a unit root

Exogenous: Constant, Linear Trend

Lag Length: 0 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)

t-Statistic Prob.*

Augmented Dickey-Fuller test statistic -54.17722 0.0000

Test critical values: 1% level -3.965416

5% level -3.413416

10% level -3.128746

*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller Test Equation Dependent Variable: D(HANGSENG,2) Method: Least Squares

Date: 05/30/11 Time: 11:46

Sample (adjusted): 3 1250

Included observations: 1250 after adjustments

Variable

Coefficient

Std. Error t-Statistic

Prob.

D(HANGSENG(-1))

-1.404331

0.025921 -54.17722

0.0000

C

17.02203

104.7772 0.162459

0.8710

@TREND(1)

-0.014058

0.145154 -0.096848

0.9229

R-squared

0.702165

Mean dependent var

-0.027548

Adjusted R-squared

0.701687

S.D. dependent var

3382.387

S.E. of regression

1847.394

Akaike info criterion

17.88334

Sum squared resid

4.25E+09

Schwarz criterion

17.89567

Log likelihood

-11156.20

Hannan-Quinn criter.

17.88798

F-statistic

1467.585

Durbin-Watson stat

2.242268

Prob(F-statistic)

0.000000

 
 
 

=14J1de l' XV.raXie.

Australie (Au niveau et En différence)

Null Hypothesis: ALLORDINARIES has a unit root

Exogenous: Constant, Linear Trend

Lag Length: 21 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)

t-Statistic Prob.*

Augmented Dickey-Fuller test statistic -1.467237 0.8403

Test critical values: 1% level -3.965537

5% level -3.413475

10% level -3.128781

*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller Test Equation Dependent Variable: D(ALLORDINARIES) Method: Least Squares

Date: 05/30/11 Time: 11:45

Sample (adjusted): 23 1250

Included observations: 1250 after adjustments

Variable

Coefficient

Std. Error t-Statistic

Prob.

C

74.73087

44.00287 1.698318

0.0897

@TREND(1)

-0.023159

0.019929 -1.162078

0.2454

R-squared

0.444970

Mean dependent var

0.583469

Adjusted R-squared

0.434367

S.D. dependent var

321.6468

S.E. of regression

241.9059

Akaike info criterion

13.83433

Sum squared resid

70456235

Schwarz criterion

13.93426

Log likelihood

-8470.276

Hannan-Quinn criter.

13.87193

F-statistic

41.96748

Durbin-Watson stat

2.008419

Prob(F-statistic)

0.000000

 
 

Null Hypothesis: D(ALLORDINARIES) has a unit root Exogenous: Constant, Linear Trend

Lag Length: 0 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)

t-Statistic Prob.*

Augmented Dickey-Fuller test statistic -59.63607 0.0001

Test critical values: 1% level -3.965416

5% level -3.413416

10% level -3.128746

*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller Test Equation Dependent Variable: D(ALLORDINARIES,2) Method: Least Squares

Date: 05/30/11 Time: 11:45

Sample (adjusted): 3 1250

Included observations: 1250 after adjustments

Variable

Coefficient

Std. Error t-Statistic

Prob.

D(ALLORDINARIES(-1))

-1.481406

0.024841 -59.63607

0.0000

C

3.840850

15.87432 0.241954

0.8089

@TREND(1)

-0.004965

0.021992 -0.225764

0.8214

R-squared

0.740704

Mean dependent var

-0.016106

Adjusted R-squared

0.740287

S.D. dependent var

549.2115

S.E. of regression

279.8892

Akaike info criterion

14.10907

Sum squared resid

97530790

Schwarz criterion

14.12140

Log likelihood

-8801.057

Hannan-Quinn criter.

14.11370

F-statistic

1778.230

Durbin-Watson stat

2.289054

Prob(F-statistic)

0.000000

 
 

Annexe 3 : Test de Ducky- Fuller simple pour les pays émergents. =14J1de l' sie.

Chine (Au niveau et En différence)

Null Hypothesis: SHANGCOMP has a unit root

Exogenous: Constant, Linear Trend

Lag Length: 8 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)

t-Statistic Prob.*

Augmented Dickey-Fuller test statistic -1.862654 0.6732

Test critical values: 1% level -3.965458

5% level -3.413437

10% level -3.128758

*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller Test Equation Dependent Variable: D(SHANGCOMP) Method: Least Squares

Date: 05/30/11 Time: 11:48

Sample (adjusted): 10 1250

Included observations: 1250 after adjustments

Variable

Coefficient

Std. Error

t-Statistic

Prob.

C

27.59611

17.76672

1.553247

0.1206

@TREND(1)

0.008979

0.021867

0.410618

0.6814

R-squared

0.095162

Mean dependent var

 

1.459919

Adjusted R-squared

0.087806

S.D. dependent var

 

261.9954

S.E. of regression

250.2288

Akaike info criterion

 

13.89145

Sum squared resid

77015803

Schwarz criterion

 

13.93687

Log likelihood

-8608.647

Hannan-Quinn criter.

 

13.90853

F-statistic

12.93594

Durbin-Watson stat

 

2.004366

Prob(F-statistic)

0.000000

 
 
 

106

Null Hypothesis: D(SHANGCOMP) has a unit root

Exogenous: Constant, Linear Trend

Lag Length: 0 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)

t-Statistic Prob.*

Augmented Dickey-Fuller test statistic -42.84485 0.0000

Test critical values: 1% level -3.965416

5% level -3.413416

10% level -3.128746

*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller Test Equation Dependent Variable: D(SHANGCOMP,2) Method: Least Squares

Date: 05/30/11 Time: 11:49

Sample (adjusted): 3 1250

Included observations: 1250 after adjustments

Variable

Coefficient

Std. Error t-Statistic

Prob.

D(SHANGCOMP(-1))

-1.191745

0.027815 -42.84485

0.0000

C

4.418153

14.55463 0.303556

0.7615

@TREND(1)

-0.004428

0.020163 -0.219583

0.8262

R-squared

0.595869

Mean dependent var

-0.033197

Adjusted R-squared

0.595219

S.D. dependent var

403.3439

S.E. of regression

256.6170

Akaike info criterion

13.93545

Sum squared resid

81986068

Schwarz criterion

13.94778

Log likelihood

-8692.719

Hannan-Quinn criter.

13.94008

F-statistic

917.8407

Durbin-Watson stat

2.043789

Prob(F-statistic)

0.000000

 
 

Inde (Au niveau et En différence)

Null Hypothesis: BSE30 has a unit root

Exogenous: Constant, Linear Trend

Lag Length: 10 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)

t-Statistic Prob.*

Augmented Dickey-Fuller test statistic -1.922157 0.6422

Test critical values: 1% level -3.965470

5% level -3.413442

10% level -3.128762

*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller Test Equation Dependent Variable: D(BSE30)

Method: Least Squares

Date: 05/30/11 Time: 11:46

Sample (adjusted): 12 1250

Included observations: 1250 after adjustments

Variable

Coefficient

Std. Error

t-Statistic

Prob.

C

386.7169

189.7420

2.038119

0.0418

@TREND(1)

0.126252

0.173709

0.726804

0.4675

R-squared

0.469041

Mean dependent var

 

8.715706

Adjusted R-squared

0.463844

S.D. dependent var

 

2485.619

S.E. of regression

1820.036

Akaike info criterion

 

17.86154

Sum squared resid

4.06E+09

Schwarz criterion

 

17.91528

Log likelihood

-11052.22

Hannan-Quinn criter.

 

17.88175

F-statistic

90.25262

Durbin-Watson stat

 

1.999471

Prob(F-statistic)

0.000000

 
 
 

Null Hypothesis: D(BSE30) has a unit root

Exogenous: Constant, Linear Trend

Lag Length: 0 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)

t-Statistic Prob.*

Augmented Dickey-Fuller test statistic -60.47994 0.0001

Test critical values: 1% level -3.965416

5% level -3.413416

10% level -3.128746

*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller Test Equation Dependent Variable: D(BSE30,2)

Method: Least Squares

Date: 05/30/11 Time: 11:46

Sample (adjusted): 3 1250

Included observations: 1250 after adjustments

Variable

Coefficient

Std. Error t-Statistic

Prob.

D(BSE30(-1))

-1.492129

0.024671 -60.47994

0.0000

C

17.13955

122.3764 0.140056

0.8886

@TREND(1)

-0.007632

0.169535 -0.045017

0.9641

R-squared

0.746065

Mean dependent var

0.033934

Adjusted R-squared

0.745657

S.D. dependent var

4278.398

S.E. of regression

2157.701

Akaike info criterion

18.19388

Sum squared resid

5.80E+09

Schwarz criterion

18.20621

Log likelihood

-11349.98

Hannan-Quinn criter.

18.19851

F-statistic

1828.911

Durbin-Watson stat

2.316810

Prob(F-statistic)

0.000000

 
 

Indonésie (Au niveau et En différence)

Null Hypothesis: JKSE has a unit root

Exogenous: Constant, Linear Trend

Lag Length: 14 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)

t-Statistic Prob.*

Augmented Dickey-Fuller test statistic -2.013647 0.5927

Test critical values: 1% level -3.965494

5% level -3.413454

10% level -3.128769

*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller Test Equation Dependent Variable: D(JKSE)

Method: Least Squares

Date: 05/30/11 Time: 11:47

Sample (adjusted): 16 1250

Included observations: 1250 after adjustments

Variable

Coefficient

Std. Error

t-Statistic

Prob.

C

46.19886

25.05773

1.843697

0.0655

@TREND(1)

0.034505

0.026487

1.302719

0.1929

R-squared

0.347868

Mean dependent var

 

1.268267

Adjusted R-squared

0.339302

S.D. dependent var

 

315.9742

S.E. of regression

256.8344

Akaike info criterion

 

13.94841

Sum squared resid

80344012

Schwarz criterion

 

14.01887

Log likelihood

-8596.143

Hannan-Quinn criter.

 

13.97491

F-statistic

40.60757

Durbin-Watson stat

 

1.988491

Prob(F-statistic)

0.000000

 
 
 

Null Hypothesis: D(JKSE) has a unit root

Exogenous: Constant, Linear Trend

Lag Length: 0 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)

t-Statistic Prob.*

Augmented Dickey-Fuller test statistic -56.17038 0.0000

Test critical values: 1% level -3.965416

5% level -3.413416

10% level -3.128746

*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller Test Equation Dependent Variable: D(JKSE,2)

Method: Least Squares

Date: 05/30/11 Time: 11:47

Sample (adjusted): 3 1250

Included observations: 1250 after adjustments

Variable

Coefficient

Std. Error t-Statistic

Prob.

D(JKSE(-1))

-1.429039

0.025441 -56.17038

0.0000

C

2.502160

16.09798 0.155433

0.8765

@TREND(1)

-0.000553

0.022301 -0.024777

0.9802

R-squared

0.717055

Mean dependent var

-0.908245

Adjusted R-squared

0.716600

S.D. dependent var

533.1589

S.E. of regression

283.8286

Akaike info criterion

14.13702

Sum squared resid

1.00E+08

Schwarz criterion

14.14935

Log likelihood

-8818.500

Hannan-Quinn criter.

14.14166

F-statistic

1577.574

Durbin-Watson stat

2.209962

Prob(F-statistic)

0.000000

 
 

Malaisie (Au niveau et En différence)

Null Hypothesis: KLSE has a unit root

Exogenous: Constant, Linear Trend

Lag Length: 14 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)

t-Statistic Prob.*

Augmented Dickey-Fuller test statistic -1.698175 0.7518

Test critical values: 1% level -3.965494

5% level -3.413454

10% level -3.128769

*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller Test Equation Dependent Variable: D(KLSE)

Method: Least Squares

Date: 05/30/11 Time: 11:47

Sample (adjusted): 16 1250

Included observations: 1250 after adjustments

Variable

Coefficient

Std. Error

t-Statistic

Prob.

C

34.71808

20.15121

1.722878

0.0852

@TREND(1)

0.006475

0.010456

0.619253

0.5359

R-squared

0.456684

Mean dependent var

 

0.359490

Adjusted R-squared

0.449547

S.D. dependent var

 

161.9445

S.E. of regression

120.1507

Akaike info criterion

 

12.42904

Sum squared resid

17583285

Schwarz criterion

 

12.49950

Log likelihood

-7657.932

Hannan-Quinn criter.

 

12.45555

F-statistic

63.98687

Durbin-Watson stat

 

1.980349

Prob(F-statistic)

0.000000

 
 
 

Null Hypothesis: D(KLSE) has a unit root

Exogenous: Constant, Linear Trend

Lag Length: 0 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)

t-Statistic Prob.*

Augmented Dickey-Fuller test statistic -59.87130 0.0001

Test critical values: 1% level -3.965416

5% level -3.413416

10% level -3.128746

*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller Test Equation Dependent Variable: D(KLSE,2)

Method: Least Squares

Date: 05/30/11 Time: 11:47

Sample (adjusted): 3 1250

Included observations: 1250 after adjustments

Variable

Coefficient

Std. Error t-Statistic

Prob.

D(KLSE(-1))

-1.484428

0.024794 -59.87130

0.0000

C

0.305564

7.999655 0.038197

0.9695

@TREND(1)

0.000297

0.011082 0.026778

0.9786

R-squared

0.742213

Mean dependent var

-0.008349

Adjusted R-squared

0.741799

S.D. dependent var

277.5792

S.E. of regression

141.0477

Akaike info criterion

12.73847

Sum squared resid

24768579

Schwarz criterion

12.75080

Log likelihood

-7945.808

Hannan-Quinn criter.

12.74311

F-statistic

1792.286

Durbin-Watson stat

2.314763

Prob(F-statistic)

0.000000

 
 

Corée (Au niveau et En différence)

Null Hypothesis: KS11 has a unit root

Exogenous: Constant, Linear Trend

Lag Length: 9 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)

t-Statistic Prob.*

Augmented Dickey-Fuller test statistic -2.054947 0.5699

Test critical values: 1% level -3.965464

5% level -3.413440

10% level -3.128760

*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller Test Equation Dependent Variable: D(KS11)

Method: Least Squares

Date: 05/30/11 Time: 11:48

Sample (adjusted): 11 1250

Included observations: 1250 after adjustments

Variable

Coefficient

Std. Error

t-Statistic

Prob.

C

49.51816

22.51641

2.199203

0.0280

@TREND(1)

0.004518

0.012941

0.349103

0.7271

R-squared

0.444393

Mean dependent var

 

0.569685

Adjusted R-squared

0.439416

S.D. dependent var

 

198.2979

S.E. of regression

148.4699

Akaike info criterion

 

12.84827

Sum squared resid

27069186

Schwarz criterion

 

12.89785

Log likelihood

-7953.929

Hannan-Quinn criter.

 

12.86692

F-statistic

89.29042

Durbin-Watson stat

 

2.001550

Prob(F-statistic)

0.000000

 
 
 

Null Hypothesis: D(KS11) has a unit root

Exogenous: Constant, Linear Trend

Lag Length: 0 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)

t-Statistic Prob.*

Augmented Dickey-Fuller test statistic -60.64842 0.0001

Test critical values: 1% level -3.965416

5% level -3.413416

10% level -3.128746

*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller Test Equation Dependent Variable: D(KS11,2)

Method: Least Squares

Date: 05/30/11 Time: 11:48

Sample (adjusted): 3 1250

Included observations: 1250 after adjustments

Variable

Coefficient

Std. Error t-Statistic

Prob.

D(KS11(-1))

-1.494235

0.024638 -60.64842

0.0000

C

1.417299

9.753594 0.145310

0.8845

@TREND(1)

-0.001041

0.013512 -0.077027

0.9386

R-squared

0.747117

Mean dependent var

0.007388

Adjusted R-squared

0.746711

S.D. dependent var

341.7039

S.E. of regression

171.9722

Akaike info criterion

13.13494

Sum squared resid

36820155

Schwarz criterion

13.14727

Log likelihood

-8193.205

Hannan-Quinn criter.

13.13958

F-statistic

1839.115

Durbin-Watson stat

2.320236

Prob(F-statistic)

0.000000

 
 

Singapour (Au niveau et En différence)

Null Hypothesis: STI has a unit root

Exogenous: Constant, Linear Trend

Lag Length: 7 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)

t-Statistic Prob.*

Augmented Dickey-Fuller test statistic -1.612052 0.7881

Test critical values: 1% level -3.965452

5% level -3.413434

10% level -3.128756

*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller Test Equation Dependent Variable: D(STI)

Method: Least Squares

Date: 05/30/11 Time: 11:49

Sample (adjusted): 9 1250

Included observations: 1250 after adjustments

Variable

Coefficient

Std. Error t-Statistic

Prob.

C

40.81677

24.63973 1.656543

0.0979

@TREND(1)

-0.002505

0.013262 -0.188918

0.8502

R-squared

0.377451

Mean dependent var

0.567593

Adjusted R-squared

0.372903

S.D. dependent var

211.2849

S.E. of regression

167.3154

Akaike info criterion

13.08566

Sum squared resid

34489158

Schwarz criterion

13.12692

Log likelihood

-8116.193

Hannan-Quinn criter.

13.10117

F-statistic

82.99555

Durbin-Watson stat

2.007061

Prob(F-statistic)

0.000000

 
 

Null Hypothesis: D(STI) has a unit root

Exogenous: Constant, Linear Trend

Lag Length: 0 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)

t-Statistic Prob.*

Augmented Dickey-Fuller test statistic -60.36464 0.0001

Test critical values: 1% level -3.965416

5% level -3.413416

10% level -3.128746

*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller Test Equation Dependent Variable: D(STI,2)

Method: Least Squares

Date: 05/30/11 Time: 11:49

Sample (adjusted): 3 1250

Included observations: 1250 after adjustments

Variable

Coefficient

Std. Error t-Statistic

Prob.

D(STI(-1))

-1.490682

0.024695 -60.36464

0.0000

C

1.711690

10.42473 0.164195

0.8696

@TREND(1)

-0.001381

0.014442 -0.095630

0.9238

R-squared

0.745341

Mean dependent var

0.006322

Adjusted R-squared

0.744932

S.D. dependent var

363.9398

S.E. of regression

183.8051

Akaike info criterion

13.26803

Sum squared resid

42061493

Schwarz criterion

13.28036

Log likelihood

-8276.251

Hannan-Quinn criter.

13.27267

F-statistic

1821.945

Durbin-Watson stat

2.302288

Prob(F-statistic)

0.000000

 
 

=WHI l'AP pUIue latine.
Brésil (Au niveau et En différence)

Null Hypothesis: BOVESPA has a unit root

Exogenous: Constant, Linear Trend

Lag Length: 15 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)

t-Statistic Prob.*

Augmented Dickey-Fuller test statistic -1.544407 0.8139

Test critical values: 1% level -3.965500

5% level -3.413457

10% level -3.128770

*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller Test Equation Dependent Variable: D(BOVESPA)

Method: Least Squares

Date: 05/30/11 Time: 11:31

Sample (adjusted): 17 1250

Included observations: 1250 after adjustments

Variable

Coefficient

Std. Error

t-Statistic

Prob.

C

1155.162

716.1063

1.613115

0.1070

@TREND(1)

0.879554

0.734394

1.197660

0.2313

R-squared

0.425773

Mean dependent var

 

35.09157

Adjusted R-squared

0.417746

S.D. dependent var

 

8494.015

S.E. of regression

6481.409

Akaike info criterion

 

20.40574

Sum squared resid

5.11E+10

Schwarz criterion

 

20.48040

Log likelihood

-12572.34

Hannan-Quinn criter.

 

20.43383

F-statistic

53.03711

Durbin-Watson stat

 

1.985285

Prob(F-statistic)

0.000000

 
 
 

Null Hypothesis: D(BOVESPA) has a unit root

Exogenous: Constant, Linear Trend

Lag Length: 0 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)

t-Statistic Prob.*

Augmented Dickey-Fuller test statistic -56.53415 0.0000

Test critical values: 1% level -3.965416

5% level -3.413416

10% level -3.128746

*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller Test Equation Dependent Variable: D(BOVESPA,2)

Method: Least Squares

Date: 05/30/11 Time: 11:31

Sample (adjusted): 3 1250

Included observations: 1250 after adjustments

Variable

Coefficient

Std. Error t-Statistic

Prob.

D(BOVESPA(-1))

-1.439331

0.025460 -56.53415

0.0000

C

30.36987

430.6823 0.070516

0.9438

@TREND(1)

0.027810

0.596651 0.046609

0.9628

R-squared

0.719665

Mean dependent var

-0.455128

Adjusted R-squared

0.719214

S.D. dependent var

14330.59

S.E. of regression

7593.664

Akaike info criterion

20.71042

Sum squared resid

7.18E+10

Schwarz criterion

20.72275

Log likelihood

-12920.30

Hannan-Quinn criter.

20.71505

F-statistic

1598.055

Durbin-Watson stat

2.270286

Prob(F-statistic)

0.000000

 
 

Mexique (Au niveau et En différence)

Null Hypothesis: IPC has a unit root

Exogenous: Constant, Linear Trend

Lag Length: 9 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)

t-Statistic Prob.*

Augmented Dickey-Fuller test statistic -2.058490 0.5679

Test critical values: 1% level -3.965464

5% level -3.413440

10% level -3.128760

*MacKinnon (1996) one-sided p-values.

Augmented Dickey-Fuller Test Equation

Dependent Variable: D(IPC) Method: Least Squares

Date: 05/30/11 Time: 11:32 Sample (adjusted): 11 1250 Included observations: 1250 after adjustments

Variable

Coefficient

Std. Error

t-Statistic

Prob.

C

644.0286

259.1141

2.485502

0.0131

@TREND(1)

0.153498

0.221016

0.694510

0.4875

R-squared

0.435315

Mean dependent var

 

26.27262

Adjusted R-squared

0.430257

S.D. dependent var

 

2890.722

S.E. of regression

2181.955

Akaike info criterion

 

18.22346

Sum squared resid

5.85E+09

Schwarz criterion

 

18.27304

Log likelihood

-11286.55

Hannan-Quinn criter.

 

18.24211

F-statistic

86.06039

Durbin-Watson stat

 

1.991266

Prob(F-statistic)

0.000000

 
 
 

Null Hypothesis: D(IPC) has a unit root

Exogenous: Constant, Linear Trend

Lag Length: 0 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)

t-Statistic Prob.*

Augmented Dickey-Fuller test statistic -60.19589 0.0001

Test critical values: 1% level -3.965416

5% level -3.413416

10% level -3.128746

*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller Test Equation Dependent Variable: D(IPC,2)

Method: Least Squares

Date: 05/30/11 Time: 11:32

Sample (adjusted): 3 1250

Included observations: 1250 after adjustments

Variable

Coefficient

Std. Error t-Statistic

Prob.

D(IPC(-1))

-1.488549

0.024728 -60.19589

0.0000

C

30.13728

146.1662 0.206185

0.8367

@TREND(1)

-0.011471

0.202492 -0.056651

0.9548

R-squared

0.744277

Mean dependent var

0.215481

Adjusted R-squared

0.743866

S.D. dependent var

5092.203

S.E. of regression

2577.148

Akaike info criterion

18.54916

Sum squared resid

8.27E+09

Schwarz criterion

18.56149

Log likelihood

-11571.67

Hannan-Quinn criter.

18.55379

F-statistic

1811.773

Durbin-Watson stat

2.335918

Prob(F-statistic)

0.000000

 
 

Argentine (Au niveau et En différence)

Null Hypothesis: MERVAL has a unit root

Exogenous: Constant, Linear Trend

Lag Length: 11 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)

t-Statistic Prob.*

Augmented Dickey-Fuller test statistic -1.961026 0.6214

Test critical values: 1% level -3.965476

5% level -3.413445

10% level -3.128763

*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller Test Equation Dependent Variable: D(MERVAL)

Method: Least Squares

Date: 05/30/11 Time: 11:32

Sample (adjusted): 13 1250

Included observations: 1250 after adjustments

Variable

Coefficient

Std. Error

t-Statistic

Prob.

C

61.68896

31.73533

1.943858

0.0521

@TREND(1)

0.003945

0.018111

0.217839

0.8276

R-squared

0.422839

Mean dependent var

 

0.774515

Adjusted R-squared

0.416709

S.D. dependent var

 

296.1339

S.E. of regression

226.1677

Akaike info criterion

 

13.69167

Sum squared resid

62609846

Schwarz criterion

 

13.74959

Log likelihood

-8461.147

Hannan-Quinn criter.

 

13.71346

F-statistic

68.97900

Durbin-Watson stat

 

2.007269

Prob(F-statistic)

0.000000

 
 
 

Null Hypothesis: D(MERVAL) has a unit root

Exogenous: Constant, Linear Trend

Lag Length: 0 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)

t-Statistic Prob.*

Augmented Dickey-Fuller test statistic -58.93437 0.0000

Test critical values: 1% level -3.965416

5% level -3.413416

10% level -3.128746

*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller Test Equation Dependent Variable: D(MERVAL,2)

Method: Least Squares

Date: 05/30/11 Time: 11:32

Sample (adjusted): 3 1250

Included observations: 1250 after adjustments

Variable

Coefficient

Std. Error t-Statistic

Prob.

D(MERVAL(-1))

-1.472249

0.024981 -58.93437

0.0000

C

0.365839

15.00572 0.024380

0.9806

@TREND(1)

0.001219

0.020788 0.058650

0.9532

R-squared

0.736132

Mean dependent var

0.071210

Adjusted R-squared

0.735708

S.D. dependent var

514.6466

S.E. of regression

264.5766

Akaike info criterion

13.99654

Sum squared resid

87150962

Schwarz criterion

14.00887

Log likelihood

-8730.841

Hannan-Quinn criter.

14.00118

F-statistic

1736.630

Durbin-Watson stat

2.299443

Prob(F-statistic)

0.000000

 
 

=14J1de l' IriTXIT

Tunisie (Au niveau et En différence)

Null Hypothesis: TUNINDEX has a unit root

Exogenous: Constant, Linear Trend

Lag Length: 22 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)

t-Statistic Prob.*

Augmented Dickey-Fuller test statistic -2.335111 0.4139

Test critical values: 1% level -3.965693

5% level -3.413552

10% level -3.128826

*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller Test Equation Dependent Variable: D(TUNINDEX)

Method: Least Squares

Date: 05/30/11 Time: 11:51

Sample (adjusted): 24 1250

Included observations: 1250 after adjustments

Variable

Coefficient

Std. Error

t-Statistic

Prob.

C

127.6034

56.27143

2.267641

0.0235

@TREND(1)

0.238132

0.092467

2.575327

0.0101

R-squared

0.379909

Mean dependent var

 

2.507024

Adjusted R-squared

0.367275

S.D. dependent var

 

383.5347

S.E. of regression

305.0789

Akaike info criterion

 

14.29958

Sum squared resid

1.10E+08

Schwarz criterion

 

14.40541

Log likelihood

-8576.198

Hannan-Quinn criter.

 

14.33944

F-statistic

30.07167

Durbin-Watson stat

 

2.000385

Prob(F-statistic)

0.000000

 
 
 

Null Hypothesis: D(TUNINDEX) has a unit root

Exogenous: Constant, Linear Trend

Lag Length: 0 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)

t-Statistic Prob.*

Augmented Dickey-Fuller test statistic -49.65332 0.0000

Test critical values: 1% level -3.965434

5% level -3.413425

10% level -3.128751

*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller Test Equation Dependent Variable: D(TUNINDEX,2) Method: Least Squares

Date: 05/30/11 Time: 11:52

Sample (adjusted): 3 1250

Included observations: 1250 after adjustments

Variable

Coefficient

Std. Error t-Statistic

Prob.

D(TUNINDEX(-1))

-1.329997

0.026786 -49.65332

0.0000

C

1.027881

22.37258 0.045944

0.9634

@TREND(1)

0.004084

0.031056 0.131489

0.8954

R-squared

0.664999

Mean dependent var

0.023671

Adjusted R-squared

0.664460

S.D. dependent var

680.4216

S.E. of regression

394.1400

Akaike info criterion

14.79370

Sum squared resid

1.93E+08

Schwarz criterion

14.80605

Log likelihood

-9206.076

Hannan-Quinn criter.

14.79834

F-statistic

1232.726

Durbin-Watson stat

2.199634

Prob(F-statistic)

0.000000

 
 

Egypte (Au niveau et En différence)

Null Hypothesis: EGX30 has a unit root

Exogenous: Constant, Linear Trend

Lag Length: 4 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)

t-Statistic Prob.*

Augmented Dickey-Fuller test statistic -1.449064 0.8461

Test critical values: 1% level -3.965434

5% level -3.413425

10% level -3.128751

*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller Test Equation Dependent Variable: D(EGX30)

Method: Least Squares

Date: 05/30/11 Time: 11:51

Sample (adjusted): 6 1250

Included observations: 1250 after adjustments

Variable

Coefficient

Std. Error t-Statistic

Prob.

C

40.40381

18.90378 2.137340

0.0328

@TREND(1)

-0.011852

0.018759 -0.631801

0.5276

R-squared

0.112462

Mean dependent var

3.179462

Adjusted R-squared

0.108161

S.D. dependent var

226.2490

S.E. of regression

213.6633

Akaike info criterion

13.57229

Sum squared resid

56517208

Schwarz criterion

13.60111

Log likelihood

-8441.749

Hannan-Quinn criter.

13.58313

F-statistic

26.14504

Durbin-Watson stat

1.988037

Prob(F-statistic)

0.000000

 
 

Null Hypothesis: D(EGX30) has a unit root

Exogenous: Constant, Linear Trend

Lag Length: 0 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)

t-Statistic Prob.*

Augmented Dickey-Fuller test statistic -34.81357 0.0000

Test critical values: 1% level -3.965416

5% level -3.413416

10% level -3.128746

*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller Test Equation Dependent Variable: D(EGX30,2)

Method: Least Squares

Date: 05/30/11 Time: 11:51

Sample (adjusted): 3 1250

Included observations: 1250 after adjustments

Variable

Coefficient

Std. Error t-Statistic

Prob.

D(EGX30(-1))

-0.987878

0.028376 -34.81357

0.0000

C

13.96180

12.82819 1.088369

0.2766

@TREND(1)

-0.017236

0.017769 -0.969978

0.3322

R-squared

0.493283

Mean dependent var

-0.338117

Adjusted R-squared

0.492469

S.D. dependent var

317.3484

S.E. of regression

226.0828

Akaike info criterion

13.68208

Sum squared resid

63636233

Schwarz criterion

13.69441

Log likelihood

-8534.618

Hannan-Quinn criter.

13.68672

F-statistic

605.9964

Durbin-Watson stat

1.989895

Prob(F-statistic)

0.000000

 
 
 

Zone de l'Europe

Belgique (Au niveau et En différence)

Null Hypothesis: BEL20 has a unit root

Exogenous: Constant, Linear Trend

Lag Length: 0 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)

t-Statistic Prob.*

Augmented Dickey-Fuller test statistic -1.562716 0.8071

Test critical values: 1% level -3.965410

5% level -3.413413

10% level -3.128744

*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller Test Equation Dependent Variable: D(BEL20)

Method: Least Squares

Date: 05/30/11 Time: 11:40

Sample (adjusted): 2 1250

Included observations: 1250 after adjustments

Variable

Coefficient

Std. Error t-Statistic

Prob.

BEL20(-1)

-0.002561

0.001639 -1.562716

0.1184

C

12.59213

7.271996 1.731592

0.0836

@TREND(1)

-0.007121

0.004008 -1.776428

0.0759

R-squared

0.002892

Mean dependent var

-0.379271

Adjusted R-squared

0.001291

S.D. dependent var

42.14806

S.E. of regression

42.12084

Akaike info criterion

10.32136

Sum squared resid

2210610.

Schwarz criterion

10.33368

Log likelihood

-6442.690

Hannan-Quinn criter.

10.32599

F-statistic

1.806707

Durbin-Watson stat

1.972537

Prob(F-statistic)

0.164624

 
 

Null Hypothesis: D(BEL20) has a unit root

Exogenous: Constant, Linear Trend

Lag Length: 21 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)

t-Statistic Prob.*

Augmented Dickey-Fuller test statistic -6.540594 0.0000

Test critical values: 1% level -3.965543

5% level -3.413478

10% level -3.128783

*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller Test Equation Dependent Variable: D(BEL20,2)

Method: Least Squares

Date: 05/30/11 Time: 11:40

Sample (adjusted): 24 1250

Included observations: 1250 after adjustments

Variable

Coefficient

Std. Error t-Statistic

Prob.

C

1.357337

2.497141 0.543557

0.5868

@TREND(1)

-0.002682

0.003448 -0.777831

0.4368

R-squared

0.504682

Mean dependent var

0.031410

Adjusted R-squared

0.495212

S.D. dependent var

59.57730

S.E. of regression

42.32875

Akaike info criterion

10.34818

Sum squared resid

2155443.

Schwarz criterion

10.44817

Log likelihood

-6324.606

Hannan-Quinn criter.

10.38580

F-statistic

53.29309

Durbin-Watson stat

1.998207

Prob(F-statistic)

0.000000

 
 

Annexe 4 : Test de Co-intégration

Détermination du nombre de retard L'Afrique

 

VAR 1

VAR 2

VAR 3

VAR 4

AIC

28.522

28.447

28.279

28.245

SC

28.547

28.488

28.336

28.319

Co-intégration

Date: 05/30/11 Time: 12:08

Sample (adjusted): 5 1250

Included observations: 1250 after adjustments Trend assumption: Linear deterministic trend Series: TUNINDEX EGX30

Lags interval (in first differences): 1 to 3

Unrestricted Cointegration Rank Test (Trace)

Hypothesized Trace 0.05

No. of CE(s) Eigenvalue Statistic Critical Value Prob.**

None * 0.010609 17.06710 15.49471 0.0288

At most 1 0.003083 3.831361 3.841466 0.0503

Trace test indicates 1 cointegrating eqn(s) at the 0.05 level * denotes rejection of the hypothesis at the 0.05 level **MacKinnon-Haug-Michelis (1999) p-values

Unrestricted Cointegration Rank Test (Maximum Eigenvalue)

Hypothesized Max-Eigen 0.05

No. of CE(s) Eigenvalue Statistic Critical Value Prob.**

None 0.010609 13.23574 14.26460 0.0722

At most 1 0.003083 3.831361 3.841466 0.0503

130

Max-eigenvalue test indicates no cointegration at the 0.05 level * denotes rejection of the hypothesis at the 0.05 level **MacKinnon-Haug-Michelis (1999) p-values

Unrestricted Cointegrating Coefficients (normalized by b'*S11*b=I):

TUNINDEX EGX30

-0.001294 0.000120

0.000111 -0.000451

Unrestricted Adjustment Coefficients (alpha):

D(TUNINDEX) 37.78661 -0.856175

D(EGX30) 1.115461 11.92958

1 Cointegrating Equation(s): Log likelihood -17510.11

Normalized cointegrating coefficients (standard error in parentheses)

TUNINDEX EGX30

1.000000 -0.092706

(0.09328)

Adjustment coefficients (standard error in parentheses)

D(TUNINDEX) -0.048887

(0.01346)

D(EGX30) -0.001443

(0.00793)

VECM

Vector Error Correction Estimates

Date: 05/30/11 Time: 12:10

Sample (adjusted): 5 1250

Included observations: 1250 after adjustments Standard errors in ( ) & t-statistics in [ ]

Cointegrating Eq:

CointEq1

 

TUNINDEX(-1)

1.000000

 

EGX30(-1)

-0.092706

 
 

(0.09328)

 
 

[-0.99387]

 

C

-1999.875

 

Error Correction:

D(TUNINDEX)

D(EGX30)

CointEq1

-0.048887

-0.001443

 

(0.01346)

(0.00793)

 

[-3.63280]

[-0.18206]

D(TUNINDEX(-1))

-0.458310

0.004906

 

(0.02934)

(0.01728)

 

[-15.6209]

[ 0.28388]

D(TUNINDEX(-2)) -0.367095 0.008873

(0.02976) (0.01753)

[-12.3342] [ 0.50612]

D(TUNINDEX(-3)) -0.201106 0.004213

(0.02796) (0.01647)

[-7.19282] [ 0.25584]

D(EGX30(-1)) 0.035288 0.027945

(0.04840) (0.02851)

[ 0.72911] [ 0.98023]

D(EGX30(-2)) 0.008266 -0.310527

(0.04613) (0.02717)

[ 0.17917] [-11.4271]

D(EGX30(-3)) 0.000116 0.037777

(0.04850) (0.02857)

[ 0.00238] [ 1.32244]

C 5.306338

(10.4074)

3.904617
(6.13027)

[ 0.50986]

[ 0.63694]

R-squared 0.235406

0.096835

Adj. R-squared 0.231066

0.091708

Sum sq. resids 1.66E+08

57438218

S.E. equation 366.4228

215.8335

F-statistic 54.23165

18.88560

Log likelihood -9083.490

-8426.654

Akaike AIC 14.65188

13.59332

Schwarz SC 14.68491

13.62635

Mean dependent 2.692554

3.046640

S.D. dependent 417.8668

226.4676

Determinant resid covariance (dof adj.)

6.25E+09

Determinant resid covariance

6.17E+09

Log likelihood

-17510.11

Akaike information criterion

28.24836

Schwarz criterion

28.32267

CausalitéPairwise Granger Causality Tests

Date: 05/30/11 Time: 12:14 Sample: 1 1250

Lags: 2

Null Hypothesis: Obs F-Statistic Prob.

LNEGX30 does not Granger Cause TUNDEX 1195 0.35261 0.7029

TUNDEX does not Granger Cause LNEGX30 0.26659 0.7660

L'Europe

 

VAR 1

VAR 2

VAR 3

VAR 4

AIC

84.418

83.89

83.63

84.328

SC

84.648

84.328

84.269

84.164

Co-integration

Date: 05/30/11 Time: 12:21

Sample (adjusted): 5 1250

Included observations: 1250 after adjustments

Trend assumption: Linear deterministic trend

Series: AEX BEL20 CAC40 DAX FTSE100 MIB30 SSMI Lags interval (in first differences): 1 to 3

Unrestricted Cointegration Rank Test (Trace)

Hypothesized

 

Trace

0.05

 

No. of CE(s)

Eigenvalue

Statistic

Critical Value

Prob.**

None *

0.164028

481.9300

125.6154

0.0001

At most 1 *

0.105691

258.6972

95.75366

0.0000

At most 2 *

0.051739

119.5148

69.81889

0.0000

 
 
 
 

At most 3 * 0.028793 53.32009 47.85613

0.0141

 
 

At most 4 0.007990 16.91762 29.79707

0.6461

 
 

At most 5 0.005310 6.921606 15.49471

0.5868

 
 

At most 6 0.000231 0.287433 3.841466

0.5919

 
 

Trace test indicates 4 cointegrating eqn(s) at the 0.05 level

 
 
 

* denotes rejection of the hypothesis at the 0.05 level

 
 
 

**MacKinnon-Haug-Michelis (1999) p-values

 
 
 

Unrestricted Cointegration Rank Test (Maximum Eigenvalue)

 
 
 

Hypothesized Max-Eigen 0.05

No. of CE(s) Eigenvalue Statistic Critical Value

Prob.**

 
 

None * 0.164028 223.2328 46.23142

0.0000

 
 

At most 1 * 0.105691 139.1824 40.07757

0.0001

 
 

At most 2 * 0.051739 66.19468 33.87687

0.0000

 
 

At most 3 * 0.028793 36.40247 27.58434

0.0029

 
 

At most 4 0.007990 9.996014 21.13162

0.7451

 
 

At most 5 0.005310 6.634173 14.26460

0.5333

 
 

At most 6 0.000231 0.287433 3.841466

0.5919

 
 

Max-eigenvalue test indicates 4 cointegrating eqn(s) at the 0.05 level

 
 
 

* denotes rejection of the hypothesis at the 0.05 level

 
 
 

**MacKinnon-Haug-Michelis (1999) p-values

 
 
 

Unrestricted Cointegrating Coefficients (normalized by b'*S11*b=I):

 
 
 

AEX BEL20 CAC40 DAX

FTSE100

MIB30

SSMI

0.034568

-0.000769

-0.000404

0.000212

-0.004491

-8.35E-05

0.001268

-0.007753

-0.000220

0.011351

-0.001289

-0.000295

-0.000628

-0.002328

0.021450

0.003925

-0.004807

-0.001709

0.000575

-0.000409

0.002591

-0.040584

0.010464

-0.003706

0.000933

-0.000365

-0.000121

-0.001267

-0.072717

0.001981

0.005398

0.000509

-2.67E-05

-5.53E-05

0.000418

-0.027666

-0.001601

0.003155

-0.000900

-4.89E-05

0.000232

-7.66E-05

0.005651

0.000136

-0.000372

-0.000217

-7.14E-05

0.000113

-3.23E-05

Unrestricted Adjustment Coefficients (alpha):

D(AEX) 0.023321 -0.096130 0.455220 0.611344 0.034319 0.235723 0.011370

D(BEL20) 0.729314 0.201091 2.118592 -0.814212 -0.869777 2.724958 -0.077413

D(CAC40) 1.258077 -1.711614 6.453219 7.176462 -1.277136 2.190449 0.114149

D(DAX) 2.895387 58.92608 27.07687 -6.041505 0.194546 -0.649005 1.155793

D(FTSE100) 152.5412 18.68268 -23.50317 11.07254 -0.178076 3.241806 -0.043924

D(MIB30) 2.990069 275.1332 133.9618 -6.465772 10.05649 -7.144862 -4.690851

D(SSMI) -39.72783 44.46723 -35.06098 18.60810 -8.209885 4.514054 -0.088367

1 Cointegrating Equation(s): Log likelihood -51840.25

Normalized cointegrating coefficients (standard error in parentheses)

AEX BEL20 CAC40 DAX FTSE100 MIB30 SSMI

1.000000 -0.022232 -0.011678 0.006143 -0.129930 -0.002417 0.036681

(0.01952) (0.02468) (0.00461) (0.00817) (0.00151) (0.00685)

Adjustment coefficients (standard error in parentheses)

D(AEX) 0.000806

(0.00525)

D(BEL20) 0.025211

(0.03993)

D(CAC40) 0.043489

(0.06088)

D(DAX) 0.100088

(0.23014)

D(FTSE100) 5.273059

(0.36829)

D(MIB30) 0.103361

(1.07477)

D(SSMI) -1.373316

(0.27042)

136

2 Cointegrating Equation(s): Log likelihood -51770.66

Normalized cointegrating coefficients (standard error in parentheses)

AEX

BEL20

CAC40

DAX

FTSE100

MIB30

SSMI

1.000000

0.000000

-0.649325

0.076453

-0.056158

0.034232

0.152423

 
 

(0.05177)

(0.01187)

(0.02102)

(0.00358)

(0.01758)

0.000000

1.000000

-28.68091

3.162474

3.318224

1.648457

5.205995

 
 

(2.30712)

(0.52886)

(0.93683)

(0.15967)

(0.78342)

Adjustment coefficients (standard error in parentheses)

 
 
 
 

D(AEX)

0.001551

3.25E-06

 
 
 
 
 

(0.00538)

(0.00012)

 
 
 
 

D(BEL20)

0.023652

-0.000605

 
 
 
 
 

(0.04092)

(0.00092)

 
 
 
 

D(CAC40)

0.056759

-0.000590

 
 
 
 
 

(0.06237)

(0.00141)

 
 
 
 

D(DAX)

-0.356750

-0.015204

 
 
 
 
 

(0.22818)

(0.00515)

 
 
 
 

D(FTSE100)

5.128217

-0.121348

 
 
 
 
 

(0.37696)

(0.00851)

 
 
 
 

D(MIB30)

-2.029675

-0.062899

 
 
 
 
 

(1.06562)

(0.02405)

 
 
 
 

D(SSMI)

-1.718058

0.020738

 
 
 
 
 

(0.27345)

(0.00617)

 
 
 
 

3 Cointegrating Equation(s):

Log likelihood

-51737.56

 
 
 

Normalized cointegrating coefficients (standard error in parentheses)

 
 
 

AEX

BEL20

CAC40

DAX

FTSE100

MIB30

SSMI

1.000000

0.000000

0.000000

-0.007651

-0.116156

-0.006389

0.039775

 
 
 

(0.00399)

(0.00769)

(0.00067)

(0.00560)

0.000000

1.000000

0.000000

-0.552417

0.668088

-0.145809

0.230287

 
 
 

(0.06727)

(0.12951)

(0.01126)

(0.09424)

0.000000

0.000000

1.000000

-0.129525

-0.092401

-0.062560

-0.173485

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

(0.01692)

(0.03257)

(0.00283)

(0.02370)

Adjustment coefficients (standard error in parentheses)

 
 
 
 

D(AEX)

0.011316

0.001790

-0.003289

 
 
 
 

(0.00627)

(0.00061)

(0.00187)

 
 
 

D(BEL20)

0.069097

0.007710

-0.008196

 
 
 
 

(0.04777)

(0.00462)

(0.01423)

 
 
 

D(CAC40)

0.195184

0.024736

-0.050958

 
 
 
 

(0.07251)

(0.00701)

(0.02159)

 
 
 

D(DAX)

0.224061

0.091062

0.537560

 
 
 
 

(0.26482)

(0.02561)

(0.07887)

 
 
 

D(FTSE100)

4.624063

-0.213589

0.263477

 
 
 
 

(0.43980)

(0.04253)

(0.13098)

 
 
 

D(MIB30)

0.843868

0.462847

2.477955

 
 
 
 

(1.23559)

(0.11949)

(0.36798)

 
 
 

D(SSMI)

-2.470133

-0.116863

0.689341

 
 
 
 

(0.31697)

(0.03065)

(0.09440)

 
 
 

4 Cointegrating Equation(s):

Log likelihood

-51719.36

 
 
 

Normalized cointegrating coefficients (standard error in parentheses)

 
 
 

AEX

BEL20

CAC40

DAX

FTSE100

MIB30

SSMI

1.000000

0.000000

0.000000

0.000000

-0.132189

-0.005210

0.036280

 
 
 
 

(0.00726)

(0.00061)

(0.00508)

0.000000

1.000000

0.000000

0.000000

-0.489538

-0.060646

-0.022055

 
 
 
 

(0.06563)

(0.00549)

(0.04588)

0.000000

0.000000

1.000000

0.000000

-0.363828

-0.042591

-0.232651

 
 
 
 

(0.03766)

(0.00315)

(0.02633)

0.000000

0.000000

0.000000

1.000000

-2.095564

0.154165

-0.456795

 
 
 
 

(0.22497)

(0.01883)

(0.15728)

Adjustment coefficients (standard error in parentheses)

D(AEX) -0.013495 0.008187 -0.005555 -7.88E-05

(0.00872) (0.00168) (0.00194) (0.00035)

 
 
 
 
 
 
 

D(BEL20)

0.102141

-0.000810

-0.005178

-0.004486

 
 
 

(0.06687)

(0.01292)

(0.01485)

(0.00270)

 
 

D(CAC40)

-0.096068

0.099830

-0.077557

-0.001861

 
 
 

(0.10082)

(0.01948)

(0.02239)

(0.00408)

 
 

D(DAX)

0.469251

0.027844

0.559952

-0.127284

 
 
 

(0.37064)

(0.07162)

(0.08232)

(0.01499)

 
 

D(FTSE100)

4.174692

-0.097728

0.222439

0.058817

 
 
 

(0.61549)

(0.11893)

(0.13670)

(0.02489)

 
 

D(MIB30)

1.106277

0.395191

2.501919

-0.589132

 
 
 

(1.72993)

(0.33427)

(0.38422)

(0.06997)

 
 

D(SSMI)

-3.225329

0.077850

0.620373

0.011535

 
 
 

(0.44271)

(0.08554)

(0.09833)

(0.01791)

 
 

5 Cointegrating Equation(s):

Log likelihood

-51714.36

 
 
 

Normalized cointegrating coefficients (standard error in parentheses)

 
 
 

AEX

BEL20

CAC40

DAX

FTSE100

MIB30

SSMI

1.000000

0.000000

0.000000

0.000000

0.000000

-0.001402

-0.071257

 
 
 
 
 

(0.00235)

(0.01491)

0.000000

1.000000

0.000000

0.000000

0.000000

-0.046543

-0.420295

 
 
 
 
 

(0.01051)

(0.06669)

0.000000

0.000000

1.000000

0.000000

0.000000

-0.032111

-0.528627

 
 
 
 
 

(0.00758)

(0.04810)

0.000000

0.000000

0.000000

1.000000

0.000000

0.214531

-2.161544

 
 
 
 
 

(0.04413)

(0.28006)

0.000000

0.000000

0.000000

0.000000

1.000000

0.028807

-0.813503

 
 
 
 
 

(0.01839)

(0.11668)

Adjustment coefficients (standard error in parentheses)

 
 
 
 

D(AEX)

-0.015990

0.008255

-0.005370

-6.13E-05

-3.87E-05

 
 

(0.01399)

(0.00171)

(0.00210)

(0.00036)

(0.00068)

 

D(BEL20)

0.165389

-0.002533

-0.009873

-0.004928

-0.001798

 
 

(0.10724)

(0.01312)

(0.01610)

(0.00277)

(0.00525)

 

D(CAC40)

-0.003198

0.097300

-0.084450

-0.002510

-0.004021

 
 
 
 
 
 
 
 
 

(0.16168)

(0.01978)

(0.02427)

(0.00417)

(0.00791)

 

D(DAX)

0.455104

0.028230

0.561002

-0.127185

-0.012661

 
 

(0.59448)

(0.07273)

(0.08926)

(0.01534)

(0.02910)

 

D(FTSE100)

4.187641

-0.098080

0.221477

0.058726

-0.708188

 
 

(0.98722)

(0.12077)

(0.14822)

(0.02547)

(0.04832)

 

D(MIB30)

0.374996

0.415113

2.556201

-0.584017

-0.015672

 
 

(2.77461)

(0.33943)

(0.41659)

(0.07159)

(0.13581)

 

D(SSMI)

-2.628328

0.061585

0.576058

0.007359

0.138582

 
 

(0.70976)

(0.08683)

(0.10656)

(0.01831)

(0.03474)

 

6 Cointegrating Equation(s):

Log likelihood

-51711.04

 
 
 

Normalized cointegrating coefficients (standard error in parentheses)

 
 
 

AEX

BEL20

CAC40

DAX

FTSE100

MIB30

SSMI

1.000000

0.000000

0.000000

0.000000

0.000000

0.000000

-0.081534

 
 
 
 
 
 

(0.00688)

0.000000

1.000000

0.000000

0.000000

0.000000

0.000000

-0.761600

 
 
 
 
 
 

(0.06325)

0.000000

0.000000

1.000000

0.000000

0.000000

0.000000

-0.764096

 
 
 
 
 
 

(0.04443)

0.000000

0.000000

0.000000

1.000000

0.000000

0.000000

-0.588376

 
 
 
 
 
 

(0.16111)

0.000000

0.000000

0.000000

0.000000

1.000000

0.000000

-0.602261

 
 
 
 
 
 

(0.03729)

0.000000

0.000000

0.000000

0.000000

0.000000

1.000000

-7.333040

 
 
 
 
 
 

(0.94100)

Adjustment coefficients (standard error in parentheses)

 
 
 
 

D(AEX)

-0.022512

0.007877

-0.004626

-0.000273

-5.02E-05

-0.000149

 

(0.01458)

(0.00173)

(0.00215)

(0.00039)

(0.00068)

(0.00012)

D(BEL20)

0.090000

-0.006895

-0.001276

-0.007381

-0.001931

-0.000274

 

(0.11162)

(0.01322)

(0.01647)

(0.00295)

(0.00524)

(0.00092)

D(CAC40)

-0.063799

0.093793

-0.077540

-0.004482

-0.004128

-0.001959

 

(0.16857)

(0.01996)

(0.02487)

(0.00445)

(0.00791)

(0.00139)

D(DAX)

0.473060

0.029269

0.558954

-0.126601

-0.012629

-0.047766

 

(0.62023)

(0.07344)

(0.09151)

(0.01638)

(0.02910)

(0.00512)

D(FTSE100)

4.097953

-0.103270

0.231705

0.055809

-0.708347

-0.015467

 

(1.02993)

(0.12196)

(0.15195)

(0.02721)

(0.04832)

(0.00849)

D(MIB30)

0.572667

0.426550

2.533661

-0.577587

-0.015323

-0.229325

 

(2.89469)

(0.34277)

(0.42708)

(0.07646)

(0.13581)

(0.02387)

D(SSMI)

-2.753214

0.054360

0.590299

0.003296

0.138361

-0.011063

 

(0.74039)

(0.08767)

(0.10923)

(0.01956)

(0.03474)

(0.00611)

VECM

Vector Error Correction Estimates

Date: 05/30/11 Time: 12:21

Sample (adjusted): 5 1250

Included observations: 1250 after adjustments Standard errors in ( ) & t-statistics in [ ]

Cointegrating Eq: CointEq1

AEX(-1) 1.000000

BEL20(-1) -0.022232

(0.01952)

[-1.13919]

CAC40(-1) -0.011678

(0.02468)

[-0.47323]

DAX(-1) 0.006143

(0.00461)

[ 1.33296]

FTSE100(-1) -0.129930

(0.00817)

[-15.9069]

MIB30(-1) -0.002417

(0.00151)

[-1.60295]

SSMI(-1) 0.036681

(0.00685)

[ 5.35757]

C 208.2633

Error Correction: D(AEX) D(BEL20) D(CAC40) D(DAX) D(FTSE100) D(MIB30) D(SSMI)

CointEq1 0.000806 0.025211 0.043489 0.100088 5.273059 0.103361 -1.373316

(0.00525) (0.03993) (0.06088) (0.23014) (0.36829) (1.07477) (0.27042)

[ 0.15345] [ 0.63138] [ 0.71433] [ 0.43489] [ 14.3178] [ 0.09617] [-5.07843]

D(AEX(-1)) 0.196660 2.852896 1.830724 0.964952 -0.339623 -9.602110 3.048412

(0.08552) (0.65001) (0.99107) (3.74646) (5.99525) (17.4959) (4.40212)

[ 2.29955] [ 4.38898] [ 1.84722] [ 0.25756] [-0.05665] [-0.54882] [ 0.69249]

D(AEX(-2)) -0.145930 -0.079490 -2.079784 1.774018 5.336141 1.045396 3.471691

(0.08568) (0.65126) (0.99296) (3.75361) (6.00670) (17.5293) (4.41052)

[-1.70311] [-0.12206] [-2.09452] [ 0.47262] [ 0.88836] [ 0.05964] [ 0.78714]

D(AEX(-3)) 0.026540 -1.062147 0.088737 2.944510 -3.677627 31.48520 0.702597

(0.08521) (0.64763) (0.98744) (3.73273) (5.97328) (17.4318) (4.38599)

[ 0.31148] [-1.64005] [ 0.08987] [ 0.78884] [-0.61568] [ 1.80620] [ 0.16019]

D(BEL20(-1)) 0.022909 -0.143406 0.254962 0.371046 0.725088 1.541486 0.687198

(0.00446) (0.03387) (0.05164) (0.19522) (0.31241) (0.91170) (0.22939)

[ 5.14058] [-4.23379] [ 4.93692] [ 1.90061] [ 2.32097] [ 1.69079] [ 2.99575]

D(BEL20(-2)) 0.006403 -0.031288 0.064764 0.529527 0.546551 1.726186 0.292853

(0.00463) (0.03517) (0.05363) (0.20273) (0.32441) (0.94673) (0.23821)

[ 1.38355] [-0.88955] [ 1.20764] [ 2.61203] [ 1.68474] [ 1.82331] [ 1.22941]

D(BEL20(-3)) 0.005314 0.008555 0.009840 0.476399 0.078105 2.846244 -0.045368

(0.00434) (0.03296) (0.05025) (0.18997) (0.30399) (0.88713) (0.22321)

[ 1.22544] [ 0.25957] [ 0.19581] [ 2.50783] [ 0.25693] [ 3.20836] [-0.20325]

D(CAC40(-1)) -0.029807 -0.040019 -0.332149 0.616962 -0.244969 0.717107 0.073005

(0.00732) (0.05562) (0.08481) (0.32058) (0.51301) (1.49712) (0.37669)

[-4.07306] [-0.71949] [-3.91658] [ 1.92449] [-0.47751] [ 0.47899] [ 0.19381]

D(CAC40(-2)) 0.008033 0.039834 0.083231 0.163735 -0.731970 1.687685 -0.103343

(0.00732) (0.05563) (0.08482) (0.32064) (0.51310) (1.49738) (0.37675)

[ 1.09744] [ 0.71604] [ 0.98127] [ 0.51065] [-1.42656] [ 1.12709] [-0.27430]

D(CAC40(-3)) -0.008977 0.066696 -0.070384 0.083483 0.218564 -1.375739 0.019420

(0.00727) (0.05528) (0.08429) (0.31863) (0.50989) (1.48801) (0.37440)

[-1.23426] [ 1.20644] [-0.83502] [ 0.26200] [ 0.42865] [-0.92455] [ 0.05187]

D(DAX(-1)) -0.000347 -0.006931 -0.005571 -0.732005 0.326012 -0.498287 0.076858

(0.00101) (0.00771) (0.01175) (0.04443) (0.07110) (0.20749) (0.05221)

[-0.34236] [-0.89915] [-0.47399] [-16.4750] [ 4.58521] [-2.40147] [ 1.47217]

D(DAX(-2)) -0.002407 -0.019322 -0.027662 -0.586939 0.172197 -0.777929 0.074634

(0.00112) (0.00850) (0.01296) (0.04897) (0.07837) (0.22870) (0.05754)

[-2.15310] [-2.27406] [-2.13520] [-11.9850] [ 2.19727] [-3.40149] [ 1.29700]

D(DAX(-3)) -0.000395 -0.000338 0.000121 -0.455492 0.083365 -0.936259 0.108990

(0.00098) (0.00746) (0.01138) (0.04302) (0.06885) (0.20092) (0.05055)

[-0.40169] [-0.04533] [ 0.01062] [-10.5869] [ 1.21082] [-4.65979] [ 2.15591]

D(FTSE100(-1)) 0.000283 0.004959 0.006435 -0.002136 -0.200321 -0.039135 -0.159889

(0.00064) (0.00484) (0.00738) (0.02789) (0.04464) (0.13027) (0.03278)

[ 0.44492] [ 1.02472] [ 0.87212] [-0.07658] [-4.48771] [-0.30042] [-4.87825]

D(FTSE100(-2)) -5.94E-05 0.003303 0.000200 -0.027275 -0.097493 -0.073939 -0.150426

(0.00056) (0.00423) (0.00644) (0.02435) (0.03897) (0.11374) (0.02862)

[-0.10689] [ 0.78162] [ 0.03097] [-1.11989] [-2.50152] [-0.65009] [-5.25650]

D(FTSE100(-3)) 2.37E-05 0.002730 0.001616 0.060033 0.009479 0.285405 0.055499

(0.00042) (0.00320) (0.00488) (0.01845) (0.02952) (0.08615) (0.02168)

[ 0.05630] [ 0.85284] [ 0.33117] [ 3.25428] [ 0.32111] [ 3.31293] [ 2.56042]

D(MIB30(-1)) -5.03E-05 0.000907 0.000141 -0.017571 0.013809 -0.647967 -0.006502

(0.00023) (0.00173) (0.00264) (0.00996) (0.01594) (0.04652) (0.01170)

[-0.22108] [ 0.52467] [ 0.05333] [-1.76397] [ 0.86633] [-13.9295] [-0.55550]

D(MIB30(-2)) 0.000540 0.004680 0.006431 -0.017226 0.021062 -0.421731 -0.000196

(0.00025) (0.00189) (0.00288) (0.01087) (0.01740) (0.05077) (0.01277)

[ 2.17462] [ 2.48115] [ 2.23612] [-1.58451] [ 1.21066] [-8.30672] [-0.01535]

D(MIB30(-3)) 0.000152 0.000460 0.000814 -0.019429 0.013038 -0.263843 -0.004297

(0.00022) (0.00168) (0.00257) (0.00970) (0.01553) (0.04532) (0.01140)

[ 0.68503] [ 0.27349] [ 0.31702] [-2.00200] [ 0.83955] [-5.82169] [-0.37679]

D(SSMI(-1)) -7.40E-05 -0.002428 -0.001010 0.029268 -0.136217 0.238025 -0.647691

(0.00054) (0.00412) (0.00628) (0.02374) (0.03799) (0.11086) (0.02789)

[-0.13647] [-0.58940] [-0.16086] [ 1.23289] [-3.58578] [ 2.14707] [-23.2201]

D(SSMI(-2)) -0.000582 -0.005066 -0.007380 0.016615 -0.097617 0.230174 -0.418012

(0.00061) (0.00460) (0.00702) (0.02653) (0.04246) (0.12392) (0.03118)

[-0.96047] [-1.10044] [-1.05137] [ 0.62617] [-2.29895] [ 1.85751] [-13.4072]

D(SSMI(-3)) -0.000441 -0.003412 -0.004692 0.010680 -0.047369 0.155393 -0.205658

(0.00053) (0.00401) (0.00611) (0.02310) (0.03696) (0.10787) (0.02714)

[-0.83699] [-0.85149] [-0.76784] [ 0.46238] [-1.28152] [ 1.44055] [-7.57734]

C -0.001863 -0.289613

(0.15218) (1.15664)

[-0.01224] [-0.25039]

0.114079 (1.76352) [ 0.06469]

3.826050 (6.66646) [ 0.57393]

0.997372 (10.6680) [ 0.09349]

-11.95328 (31.1323) [-0.38395]

1.879133 (7.83315) [ 0.23990]

R-squared 0.048695 0.082476

0.048989

0.556566

0.489530

0.486890

0.388942

Adj. R-squared 0.031582 0.065971

0.031882

0.548589

0.480347

0.477660

0.377950

Sum sq. resids 35196.42 2033283.

4726747.

67545040

1.73E+08

1.47E+09

93255717

S.E. equation 5.364583 40.77422

62.16815

235.0085

376.0712

1097.485

276.1369

F-statistic 2.845558 4.997031

2.863642

69.77360

53.31048

52.75028

35.38397

Log likelihood -3849.444 -6376.620

-6902.174

-8559.078

-9144.894

-10479.36

-8760.027

Akaike AIC 6.215801 10.27226

11.11585

13.77541

14.71572

16.85772

14.09796

Schwarz SC 6.310454 10.36692

11.21050

13.87006

14.81037

16.95237

14.19261

Mean dependent -0.023114 -0.361790

-0.073836

1.313002

0.552167

-7.232592

0.715730

S.D. dependent 5.451357 42.18960

63.18351

349.7820

521.6912

1518.526

350.1160

Determinant resid covariance (dof adj.) 3.69E+27

 
 
 
 
 

Determinant resid covariance 3.24E+27

 
 
 
 
 

Log likelihood -51840.25

 
 
 
 
 

Akaike information criterion 83.48034

 
 
 
 
 

Schwarz criterion 84.17171

 
 
 
 
 

Causalité

 
 
 
 
 

Pairwise Granger Causality Tests

 
 
 
 
 

Date: 05/30/11 Time: 12:23

 
 
 
 
 

Sample: 1 1250

 
 
 
 
 

Lags: 2

 
 
 
 
 

Null Hypothesis:

Obs

F-Statistic

Prob.

 
 

BE20 does not Granger Cause AEX

1247

15.4092

2.E-07

 
 

AEX does not Granger Cause BE20

 

12.0595

6.E-06

 
 

CAC40 does not Granger Cause AEX

1247

7.00492

0.0009

 
 

AEX does not Granger Cause CAC40

 

5.95261

0.0027

 
 

DAX does not Granger Cause AEX
AEX does not Granger Cause DAX

1239

0.46252
252.221

0.6298
1.E-92

FTSE100 does not Granger Cause AEX

1219

0.53042

0.5885

AEX does not Granger Cause FTSE100

 

6.58360

0.0014

MIB30 does not Granger Cause AEX

1235

14.8616

4.E-07

AEX does not Granger Cause MIB30

 

188.739

3.E-72

SSMI does not Granger Cause AEX

1239

3.57518

0.0283

AEX does not Granger Cause SSMI

 

3.69904

0.0250

CAC40 does not Granger Cause BE20

1247

8.15722

0.0003

BE20 does not Granger Cause CAC40

 

16.2514

1.E-07

DAX does not Granger Cause BE20

1239

1.05474

0.3486

BE20 does not Granger Cause DAX

 

127.902

3.E-51

FTSE100 does not Granger Cause BE20

1219

1.40439

0.2459

BE20 does not Granger Cause FTSE100

 

48.2435

7.E-21

MIB30 does not Granger Cause BE20

1235

15.1355

3.E-07

BE20 does not Granger Cause MIB30

 

97.8911

4.E-40

SSMI does not Granger Cause BE20

1239

3.41556

0.0332

BE20 does not Granger Cause SSMI

 

23.7874

7.E-11

DAX does not Granger Cause CAC40

1239

1.06033

0.3467

CAC40 does not Granger Cause DAX

 

255.165

2.E-93

FTSE100 does not Granger Cause CAC40

1219

2.04248

0.1302

CAC40 does not Granger Cause FTSE100

 

6.88765

0.0011

MIB30 does not Granger Cause CAC40

1235

12.4472

4.E-06

CAC40 does not Granger Cause MIB30

 

177.961

1.E-68

SSMI does not Granger Cause CAC40

1239

7.29282

0.0007

CAC40 does not Granger Cause SSMI

 

4.48664

0.0114

 
 
 
 
 

146

 
 

FTSE100 does not Granger Cause DAX
DAX does not Granger Cause FTSE100

1215

186.999
5.80865

2.E-71
0.0031

MIB30 does not Granger Cause DAX

1235

1.33238

0.2642

DAX does not Granger Cause MIB30

 

173.669

4.E-67

SSMI does not Granger Cause DAX

1231

102.042

1.E-41

DAX does not Granger Cause SSMI

 

6.00895

0.0025

MIB30 does not Granger Cause FTSE100

1211

10.7499

2.E-05

FTSE100 does not Granger Cause MIB30

 

249.484

2.E-91

SSMI does not Granger Cause FTSE100

1212

4.86855

0.0078

FTSE100 does not Granger Cause SSMI

 

1.15702

0.3148

SSMI does not Granger Cause MIB30

1227

134.987

1.E-53

MIB30 does not Granger Cause SSMI

 

14.6184

5.E-07

 

I P pLiThF dh noLd

 

VAR 1

VAR 2

VAR 3

VAR 4

AIC

30.42

30.149

30.042

29.97

SC

30.44

30.19

30.10

30.05

Co-integration

Date: 05/30/11 Time: 12:28

Sample (adjusted): 5 1250

Included observations: 1250 after adjustments Trend assumption: No deterministic trend Series: SP500 SPTS

Lags interval (in first differences): 1 to 3

Unrestricted Cointegration Rank Test (Trace)

Hypothesized Trace 0.05

No. of CE(s) Eigenvalue Statistic Critical Value Prob.**

None * 0.072997 94.82575 12.32090 0.0001

At most 1 0.000305 0.380540 4.129906 0.6005

Trace test indicates 1 cointegrating eqn(s) at the 0.05 level * denotes rejection of the hypothesis at the 0.05 level **MacKinnon-Haug-Michelis (1999) p-values

Unrestricted Cointegration Rank Test (Maximum Eigenvalue)

Hypothesized Max-Eigen 0.05

No. of CE(s) Eigenvalue Statistic Critical Value Prob.**

None * 0.072997 94.44521 11.22480 0.0001

At most 1 0.000305 0.380540 4.129906 0.6005

Max-eigenvalue test indicates 1 cointegrating eqn(s) at the 0.05 level * denotes rejection of the hypothesis at the 0.05 level

**MacKinnon-Haug-Michelis (1999) p-values

Unrestricted Cointegrating Coefficients (normalized by b'*S11*b=I):

SP500 SPTS

-0.006210 0.000661

0.000612 2.09E-05

Unrestricted Adjustment Coefficients (alpha):

D(SP500) 10.17572 -1.853936

D(SPTS) -404.7969 -16.70047

1 Cointegrating Equation(s): Log likelihood -18665.66

Normalized cointegrating coefficients (standard error in parentheses)

SP500 SPTS

1.000000 -0.106474

(0.00140)

Adjustment coefficients (standard error in parentheses)

D(SP500) -0.063193

(0.01978)

D(SPTS) 2.513849

(0.30529)

VECM

Vector Error Correction Estimates

Date: 05/30/11 Time: 12:28

Sample (adjusted): 5 1250

Included observations: 1250 after adjustments Standard errors in ( ) & t-statistics in [ ]

Cointegrating Eq:

CointEq1

 

SP500(-1)

1.000000

 

SPTS(-1)

-0.106474

 
 

(0.00140)

 
 

[-76.2824]

 

Error Correction:

D(SP500)

D(SPTS)

CointEq1

-0.063193

2.513849

 

(0.01978)

(0.30529)

 

[-3.19464]

[ 8.23434]

D(SP500(-1)) -0.694513 -2.559175

(0.03181) (0.49097)

[-21.8317] [-5.21247]

D(SP500(-2)) -0.459081 -2.230026

(0.03401) (0.52492)

[-13.4976] [-4.24828]

D(SP500(-3)) -0.216340 -0.246524

(0.02878) (0.44418)

[-7.51700] [-0.55501]

D(SPTS(-1)) -0.003336 -0.430587

(0.00235) (0.03622)

[-1.42173] [-11.8894]

D(SPTS(-2)) -0.001232 -0.233782

(0.00227) (0.03506)

[-0.54247] [-6.66885]

D(SPTS(-3)) -0.003383 -0.169750

(0.00188) (0.02896)

[-1.80309] [-5.86169]

R-squared 0.372979 0.345559

Adj. R-squared 0.369943 0.342390

Sum sq. resids 15663066 3.73E+09

S.E. equation 112.4353 1735.271

F-statistic 122.8352 109.0366

Log likelihood -7648.571 -11058.30

Akaike AIC 12.28824 17.76132

Schwarz SC 12.31704 17.79012

Mean dependent -0.030562 1.846926

S.D. dependent 141.6488 2139.849

Determinant resid covariance (dof adj.) 3.56E+10

Determinant resid covariance 3.52E+10

Log likelihood -18665.66

Akaike information criterion

29.98661

 
 

Schwarz criterion

30.05246

 
 

CausalitéPairwise Granger Causality Tests

 
 
 

Date: 05/30/11 Time: 12:29

 
 
 

Sample: 1 1250

 
 
 

Lags: 2

 
 
 

Null Hypothesis:

Obs

F-Statistic

Prob.

SPTSX does not Granger Cause SP500

1126

2.68042

0.0690

SP500 does not Granger Cause SPTSX

 

43.2690

8.E-19

 

I \iF1SIIifiThF

 

VAR 1

VAR 2

VAR 3

VAR 4

AIC

133.77

133.07

132.789

132.54

SC

137.14

133.77

133.826

133.91

Co-integration

Date: 05/30/11 Time: 12:32

Sample (adjusted): 5 1250

Included observations: 1250 after adjustments

Trend assumption: Linear deterministic trend

Series: ALLORDINARIES BSE30 HANGSENG JKSE KLSE KS11 NIKKEI225 SHANGCOMP STI Lags interval (in first differences): 1 to 3

Unrestricted Cointegration Rank Test (Trace)

Intégration financière internationale face à une stratégie de diversification de portefeuille

Hypothesized

No. of CE(s) Eigenvalue

Trace
Statistic

0.05
Critical Value

Prob.**

None * 0.193499

973.0867

197.3709

0.0001

At most 1 * 0.154207

705.1337

159.5297

0.0000

At most 2 * 0.126327

496.4526

125.6154

0.0001

At most 3 * 0.087022

328.1820

95.75366

0.0000

At most 4 * 0.073948

214.7418

69.81889

0.0000

At most 5 * 0.059403

119.0180

47.85613

0.0000

At most 6 * 0.026600

42.71173

29.79707

0.0010

At most 7 0.004880

9.119399

15.49471

0.3545

At most 8 0.002424

3.024395

3.841466

0.0820

Trace test indicates 7 cointegrating eqn(s) at the 0.05 level

 
 
 

* denotes rejection of the hypothesis at the 0.05 level

 
 
 

**MacKinnon-Haug-Michelis (1999) p-values

 
 
 

Unrestricted Cointegration Rank Test (Maximum Eigenvalue)

 
 

Hypothesized

Max-Eigen

0.05

 

No. of CE(s) Eigenvalue

Statistic

Critical Value

Prob.**

None * 0.193499

267.9530

58.43354

0.0000

At most 1 * 0.154207

208.6811

52.36261

0.0001

At most 2 * 0.126327

168.2706

46.23142

0.0000

At most 3 * 0.087022

113.4402

40.07757

0.0000

At most 4 * 0.073948

95.72386

33.87687

0.0000

At most 5 * 0.059403

76.30625

27.58434

0.0000

At most 6 * 0.026600

33.59233

21.13162

0.0006

At most 7 0.004880

6.095004

14.26460

0.6010

At most 8 0.002424

3.024395

3.841466

0.0820

Max-eigenvalue test indicates 7 cointegrating eqn(s) at the 0.05 level * denotes rejection of the hypothesis at the 0.05 level

**MacKinnon-Haug-Michelis (1999) p-values

Unrestricted Cointegrating Coefficients (normalized by b'*S11*b=I):

ALLORDINARIES

BSE30

HANGSENG

JKSE

KLSE

KS11

NIKKEI225

SHA

0.001370

0.000269

-0.000315

0.001165

-0.014373

-0.001189

-0.000317

0.

0.000628

0.000527

-6.08E-05

-0.005301

0.007759

0.001715

-0.000295

-0.

-0.003074

0.000102

0.000480

-0.001628

-0.003130

-0.006400

0.000239

0.

0.000464

0.000407

-0.000217

0.001042

0.003013

-0.006451

0.000125

-4.

-0.002372

0.000157

-0.000443

-0.000529

-0.001264

0.003696

0.000121

-1.

-0.000811

0.000334

0.000146

-0.000494

-0.003241

0.001168

0.000416

0.

5.04E-05

5.74E-05

0.000260

0.000888

-0.002463

0.000185

-9.18E-05

-0.

-0.000694

0.000110

3.38E-05

0.000552

-0.000644

2.44E-05

-0.000128

0.

0.000490

-1.27E-05

4.19E-06

8.06E-05

3.93E-06

0.000276

1.31E-05

0.

Unrestricted Adjustment Coefficients (alpha):

 
 
 
 
 
 

D(ALLORDINARIES)

-12.61048

-24.32550

35.74549

-14.70375

25.40403

-6.116341

-10

D(BSE30)

-95.90700

-403.3727

156.0923

-226.5825

-69.97491

-216.4804

-33

D(HANGSENG)

300.1810

-0.551286

-285.2605

159.3466

176.1558

-101.4958

-82

D(JKSE)

23.56179

72.86116

35.39353

-28.24612

1.370294

-0.347172

-8.

D(KLSE)

45.28884

-0.196880

5.946693

-11.04083

-3.005862

7.444522

3.

D(KS11)

15.13820

1.702805

23.63166

29.15006

-11.81490

-13.61403

-0.

D(NIKKEI225)

200.7021

267.5029

-56.92639

-96.95929

-112.5904

-287.6652

48

D(SHANGCOMP)

-17.68201

23.30591

-21.71445

15.82100

13.71273

-0.111036

26

D(STI)

5.520858

1.803964

-21.58795

-6.281806

-28.99748

9.434907

-7.

1 Cointegrating Equation(s):

 

Log likelihood

-82592.82

 
 
 
 

Normalized cointegrating coefficients (standard error in parentheses)

 
 
 
 
 

ALLORDINARIES

BSE30

HANGSENG

JKSE

KLSE

KS11

NIKKEI225

SHA

1.000000 0.196338 -0.230075 0.850115 -10.48760 -0.867554 -0.231648 0.

(0.03513) (0.03310) (0.24692) (0.74455) (0.42662) (0.02326) (0.

Adjustment coefficients (standard error in parentheses) D(ALLORDINARIES) -0.017282

(0.00981)

D(BSE30) -0.131434

(0.07147)

D(HANGSENG) 0.411378

(0.06502)

D(JKSE) 0.032290

(0.01028)

D(KLSE) 0.062065

(0.00467)

D(KS11) 0.020746

(0.00591)

D(NIKKEI225) 0.275049

(0.06727)

D(SHANGCOMP) -0.024232

(0.00962)

D(STI) 0.007566

(0.00665)

2 Cointegrating Equation(s): Log likelihood -82488.48

Normalized cointegrating coefficients (standard error in parentheses)

ALLORDINARIES BSE30 HANGSENG JKSE KLSE KS11 NIKKEI225 SHA

1.000000

0.000000

-0.270743

3.688753

-17.46586

-1.966764

-0.158742

0.

 
 

(0.04832)

(0.32622)

(1.12617)

(0.63215)

(0.03504)

(0.

0.000000

1.000000

0.207133

-14.45788

35.54198

5.598548

-0.371328

-2.

 
 

(0.13398)

(0.90444)

(3.12230)

(1.75264)

(0.09716)

(0.

Adjustment coefficients (standard error in parentheses)

 
 
 
 
 
 

D(ALLORDINARIES)

-0.032553

-0.016208

 
 
 
 
 
 

(0.01074)

(0.00421)

 
 
 
 
 

D(BSE30)

-0.384659

-0.238301

 
 
 
 
 
 

(0.07666)

(0.03008)

 
 
 
 
 

D(HANGSENG)

0.411032

0.080479

 
 
 
 
 
 

(0.07151)

(0.02806)

 
 
 
 
 

Intégration financière internationale face à une stratégie de diversification de portefeuille

D(JKSE)

0.078030

0.044723

 

(0.01086)

(0.00426)

D(KLSE)

0.061942

0.012082

 

(0.00514)

(0.00202)

D(KS11)

0.021815

0.004970

 

(0.00650)

(0.00255)

D(NIKKEI225)

0.442979

0.194923

 

(0.07308)

(0.02868)

D(SHANGCOMP)

-0.009601

0.007520

 

(0.01053)

(0.00413)

D(STI)

0.008698

0.002436

 

(0.00731)

(0.00287)

3 Cointegrating Equation(s): Log likelihood -82404.35

Normalized cointegrating coefficients (standard error in parentheses)

ALLORDINARIES BSE30 HANGSENG JKSE KLSE KS11 NIKKEI225 SHA

1.000000

0.000000

0.000000

-4.417774

26.33932

7.467030

-0.005741

-1.

 
 
 

(0.51649)

(1.82718)

(0.95049)

(0.05642)

(0.

0.000000

1.000000

0.000000

-8.255953

2.028647

-1.618815

-0.488382

-0.

 
 
 

(0.55976)

(1.98025)

(1.03011)

(0.06114)

(0.

0.000000

0.000000

1.000000

-29.94173

161.7959

34.84404

0.565117

-8.

 
 
 

(2.96748)

(10.4980)

(5.46101)

(0.32414)

(1.

Adjustment coefficients (standard error in parentheses)

 
 
 
 
 
 

D(ALLORDINARIES)

-0.142417

-0.012562

0.022604

 
 
 
 
 

(0.02413)

(0.00423)

(0.00407)

 
 
 
 

D(BSE30)

-0.864409

-0.222382

0.129665

 
 
 
 
 

(0.17342)

(0.03041)

(0.02924)

 
 
 
 

D(HANGSENG)

1.287781

0.051386

-0.231460

 
 
 
 
 

(0.15997)

(0.02805)

(0.02698)

 
 
 
 

D(JKSE)

-0.030752

0.048333

0.005117

 
 
 
 
 

(0.02441)

(0.00428)

(0.00412)

 
 
 
 

D(KLSE)

0.043664

0.012689

-0.011415

 
 
 
 

Intégration financière internationale face à une stratégie de diversification de portefeuille

 

(0.01165)

(0.00204)

(0.00196)

D(KS11)

-0.050817

0.007380

0.006460

 

(0.01459)

(0.00256)

(0.00246)

D(NIKKEI225)

0.617942

0.189117

-0.106867

 

(0.16587)

(0.02909)

(0.02797)

D(SHANGCOMP)

0.057138

0.005305

-0.006260

 

(0.02383)

(0.00418)

(0.00402)

D(STI)

0.075049

0.000234

-0.012207

 

(0.01647)

(0.00289)

(0.00278)

4 Cointegrating Equation(s):

 

Log likelihood

-82347.63

Normalized cointegrating coefficients (standard error in parentheses)

ALLORDINARIES BSE30 HANGSENG JKSE KLSE KS11 NIKKEI225 SHA

1.000000

0.000000

0.000000

0.000000

-2008.825

144.0679

-36.43127

89

 
 
 
 

(146.779)

(82.4024)

(5.17381)

(1

0.000000

1.000000

0.000000

0.000000

-3801.294

253.6615

-68.56055

17

 
 
 
 

(276.380)

(155.160)

(9.74208)

(3

0.000000

0.000000

1.000000

0.000000

-13631.65

960.6649

-246.3111

61

 
 
 
 

(995.644)

(558.958)

(35.0953)

(1

0.000000

0.000000

0.000000

1.000000

-460.6764

30.92076

-8.245222

20

 
 
 
 

(33.4247)

(18.7647)

(1.17818)

(4.

Adjustment coefficients (standard error in parentheses)

 
 
 
 
 
 

D(ALLORDINARIES)

-0.149243

-0.018545

0.025800

0.040741

 
 
 
 

(0.02431)

(0.00510)

(0.00434)

(0.04054)

 
 
 

D(BSE30)

-0.969601

-0.314584

0.178910

1.536155

 
 
 
 

(0.17356)

(0.03643)

(0.03099)

(0.28944)

 
 
 

D(HANGSENG)

1.361758

0.116228

-0.266092

0.983060

 
 
 
 

(0.16067)

(0.03373)

(0.02869)

(0.26794)

 
 
 

D(JKSE)

-0.043866

0.036839

0.011256

-0.445819

 
 
 
 

(0.02448)

(0.00514)

(0.00437)

(0.04082)

 
 
 

D(KLSE)

0.038539

0.008196

-0.009015

0.032617

 
 
 
 

(0.01171)

(0.00246)

(0.00209)

(0.01952)

 
 
 
 
 
 
 
 

D(KS11)

-0.037284

0.019242

0.000124

0.000534

 

(0.01443)

(0.00303)

(0.00258)

(0.02407)

D(NIKKEI225)

0.572929

0.149662

-0.085794

-1.192548

 

(0.16711)

(0.03508)

(0.02984)

(0.27869)

D(SHANGCOMP)

0.064483

0.011743

-0.009698

-0.092301

 

(0.02399)

(0.00504)

(0.00428)

(0.04001)

D(STI)

0.072133

-0.002322

-0.010841

0.025459

 

(0.01661)

(0.00349)

(0.00297)

(0.02771)

5 Cointegrating Equation(s):

 

Log likelihood

-82299.76

 

Normalized cointegrating coefficients (standard error in parentheses)

ALLORDINARIES

BSE30

HANGSENG

JKSE

KLSE

KS11

NIKKEI225

SHA

1.000000

0.000000

0.000000

0.000000

0.000000

0.395232

-0.104617

-0.

 
 
 
 
 

(0.18084)

(0.01056)

(0.

0.000000

1.000000

0.000000

0.000000

0.000000

-18.21000

0.180279

0.

 
 
 
 
 

(1.45748)

(0.08509)

(0.

0.000000

0.000000

1.000000

0.000000

0.000000

-14.28136

0.197344

0.

 
 
 
 
 

(1.24055)

(0.07243)

(0.

0.000000

0.000000

0.000000

1.000000

0.000000

-2.027176

0.085435

0.

 
 
 
 
 

(0.19152)

(0.01118)

(0.

0.000000

0.000000

0.000000

0.000000

1.000000

-0.071521

0.018084

-0.

 
 
 
 
 

(0.04057)

(0.00237)

(0.

Adjustment coefficients (standard error in parentheses)

 
 
 
 
 
 

D(ALLORDINARIES)

-0.209490

-0.014553

0.014535

0.027303

-0.195803

 
 
 

(0.02933)

(0.00519)

(0.00532)

(0.04049)

(0.11861)

 
 

D(BSE30)

-0.803650

-0.325582

0.209938

1.573168

-2.834192

 
 
 

(0.21036)

(0.03725)

(0.03814)

(0.29043)

(0.85082)

 
 

D(HANGSENG)

0.943991

0.143913

-0.344203

0.889882

-3.168266

 
 
 

(0.19373)

(0.03431)

(0.03512)

(0.26747)

(0.78357)

 
 

D(JKSE)

-0.047115

0.037054

0.010648

-0.446544

0.029048

 
 
 

(0.02969)

(0.00526)

(0.00538)

(0.04099)

(0.12009)

 
 

D(KLSE)

0.045667

0.007723

-0.007682

0.034207

-0.700527

 
 
 
 
 
 
 
 
 

(0.01419)

(0.00251)

(0.00257)

(0.01960)

(0.05741)

D(KS11)

-0.009264

0.017385

0.005363

0.006783

-0.175560

 

(0.01745)

(0.00309)

(0.00316)

(0.02409)

(0.07057)

D(NIKKEI225)

0.839946

0.131966

-0.035869

-1.132993

-0.780720

 

(0.20225)

(0.03582)

(0.03667)

(0.27924)

(0.81804)

D(SHANGCOMP)

0.031962

0.013898

-0.015779

-0.099554

0.533271

 

(0.02906)

(0.00515)

(0.00527)

(0.04012)

(0.11752)

D(STI)

0.140903

-0.006880

0.002017

0.040797

0.019949

 

(0.01985)

(0.00351)

(0.00360)

(0.02740)

(0.08028)

6 Cointegrating Equation(s):

 

Log likelihood

-82261.61

 
 

Normalized cointegrating coefficients (standard error in parentheses)

ALLORDINARIES

BSE30

HANGSENG

JKSE

KLSE

KS11

NIKKEI225

SHA

1.000000

0.000000

0.000000

0.000000

0.000000

0.000000

-0.120703

-0.

 
 
 
 
 
 

(0.01067)

(0.

0.000000

1.000000

0.000000

0.000000

0.000000

0.000000

0.921444

0.

 
 
 
 
 
 

(0.11853)

(0.

0.000000

0.000000

1.000000

0.000000

0.000000

0.000000

0.778610

0.

 
 
 
 
 
 

(0.10298)

(0.

0.000000

0.000000

0.000000

1.000000

0.000000

0.000000

0.167943

0.

 
 
 
 
 
 

(0.01520)

(0.

0.000000

0.000000

0.000000

0.000000

1.000000

0.000000

0.020995

-0.

 
 
 
 
 
 

(0.00237)

(0.

0.000000

0.000000

0.000000

0.000000

0.000000

1.000000

0.040701

-0.

 
 
 
 
 
 

(0.00704)

(0.

Adjustment coefficients (standard error in parentheses)

 
 
 
 
 
 

D(ALLORDINARIES)

-0.204531

-0.016598

0.013643

0.030326

-0.175978

-0.073860

 
 

(0.02986)

(0.00569)

(0.00541)

(0.04062)

(0.12073)

(0.07064)

 

D(BSE30)

-0.628118

-0.397976

0.178355

1.680137

-2.132483

-0.626154

 
 

(0.21261)

(0.04055)

(0.03854)

(0.28925)

(0.85960)

(0.50300)

 

D(HANGSENG)

1.026289

0.109971

-0.359011

0.940033

-2.839273

0.972267

 
 

(0.19693)

(0.03755)

(0.03569)

(0.26792)

(0.79619)

(0.46590)

 
 
 
 
 
 
 
 
 

D(JKSE)

-0.046834

0.036938

0.010597

-0.446372

0.030173

0.057300

 

(0.03024)

(0.00577)

(0.00548)

(0.04114)

(0.12226)

(0.07154)

 

D(KLSE)

0.039631

0.010213

-0.006596

0.030529

-0.724658

-0.023427

 
 

(0.01443)

(0.00275)

(0.00262)

(0.01963)

(0.05833)

(0.03414)

 

D(KS11)

0.001775

0.012833

0.003377

0.013510

-0.131431

-0.413938

 
 

(0.01769)

(0.00337)

(0.00321)

(0.02407)

(0.07154)

(0.04186)

 

D(NIKKEI225)

1.073199

0.035767

-0.077838

-0.990850

0.151731

0.457850

 
 

(0.20297)

(0.03871)

(0.03679)

(0.27614)

(0.82062)

(0.48019)

 

D(SHANGCOMP)

0.032052

0.013861

-0.015795

-0.099500

0.533631

0.148432

 
 

(0.02960)

(0.00564)

(0.00536)

(0.04026)

(0.11965)

(0.07002)

 

D(STI)

0.133252

-0.003724

0.003393

0.036135

-0.010634

0.079051

 
 

(0.02018)

(0.00385)

(0.00366)

(0.02746)

(0.08160)

(0.04775)

 

7 Cointegrating Equation(s):

 

Log likelihood

-82244.81

 
 
 
 

Normalized cointegrating coefficients (standard error in parentheses)

 
 
 
 
 

ALLORDINARIES

BSE30

HANGSENG

JKSE

KLSE

KS11

NIKKEI225

SHA

1.000000

0.000000

0.000000

0.000000

0.000000

0.000000

0.000000

0.

 
 
 
 
 
 
 

(0.

0.000000

1.000000

0.000000

0.000000

0.000000

0.000000

0.000000

-3.

 
 
 
 
 
 
 

(0.

0.000000

0.000000

1.000000

0.000000

0.000000

0.000000

0.000000

-2.

 
 
 
 
 
 
 

(0.

0.000000

0.000000

0.000000

1.000000

0.000000

0.000000

0.000000

-0.

 
 
 
 
 
 
 

(0.

0.000000

0.000000

0.000000

0.000000

1.000000

0.000000

0.000000

-0.

 
 
 
 
 
 
 

(0.

0.000000

0.000000

0.000000

0.000000

0.000000

1.000000

0.000000

-0.

 
 
 
 
 
 
 

(0.

0.000000

0.000000

0.000000

0.000000

0.000000

0.000000

1.000000

4.

 
 
 
 
 
 
 

(0.

Adjustment coefficients (standard error in parentheses)

 
 
 
 
 
 

D(ALLORDINARIES) -0.205035

-0.017172

0.011042

0.021448

-0.151340

-0.075712

0.

 
 
 
 
 
 
 

(0.

 

(0.02984)

(0.00570)

(0.00570)

(0.04106)

(0.12185)

(0.07060)

D(BSE30)

-0.629794

-0.399883

0.169709

1.650622

-2.050579

-0.632310

0.

 

(0.21259)

(0.04064)

(0.04065)

(0.29256)

(0.86815)

(0.50299)

(0.

D(HANGSENG)

1.022118

0.105226

-0.380517

0.866623

-2.635555

0.956955

-0.

 

(0.19669)

(0.03760)

(0.03761)

(0.27067)

(0.80320)

(0.46536)

(0.

D(JKSE)

-0.047271

0.036441

0.008345

-0.454059

0.051505

0.055697

-0.

 

(0.03022)

(0.00578)

(0.00578)

(0.04159)

(0.12343)

(0.07151)

(0.

D(KLSE)

0.039815

0.010423

-0.005646

0.033775

-0.733665

-0.022750

-0.

 

(0.01442)

(0.00276)

(0.00276)

(0.01985)

(0.05890)

(0.03412)

(0.

D(KS11)

0.001742

0.012796

0.003209

0.012936

-0.129837

-0.414058

-0.

 

(0.01770)

(0.00338)

(0.00338)

(0.02435)

(0.07226)

(0.04187)

(0.

D(NIKKEI225)

1.075661

0.038569

-0.065139

-0.947504

0.031444

0.466891

-0.

 

(0.20290)

(0.03879)

(0.03879)

(0.27922)

(0.82858)

(0.48007)

(0.

D(SHANGCOMP)

0.033384

0.015376

-0.008930

-0.076065

0.468600

0.153320

-0.

 

(0.02942)

(0.00562)

(0.00563)

(0.04049)

(0.12014)

(0.06961)

(0.

D(STI)

0.132885

-0.004142

0.001498

0.029666

0.007318

0.077702

-0.

 

(0.02017)

(0.00385)

(0.00386)

(0.02775)

(0.08235)

(0.04771)

(0.

8 Cointegrating Equation(s):

 

Log likelihood

-82241.77

 
 
 
 

Normalized cointegrating coefficients (standard error in parentheses)

 
 
 
 
 

ALLORDINARIES

BSE30

HANGSENG

JKSE

KLSE

KS11

NIKKEI225

SHA

1.000000

0.000000

0.000000

0.000000

0.000000

0.000000

0.000000

0.

0.000000

1.000000

0.000000

0.000000

0.000000

0.000000

0.000000

0.

0.000000

0.000000

1.000000

0.000000

0.000000

0.000000

0.000000

0.

0.000000

0.000000

0.000000

1.000000

0.000000

0.000000

0.000000

0.

0.000000

0.000000

0.000000

0.000000

1.000000

0.000000

0.000000

0.

0.000000

0.000000

0.000000

0.000000

0.000000

1.000000

0.000000

0.

 
 
 
 
 
 
 

0.

0.000000

0.000000

0.000000

0.000000

0.000000

0.000000

1.000000

0.000000

0.000000

0.000000

0.000000

0.000000

0.000000

0.000000

1.

Adjustment coefficients (standard error in parentheses)

 
 
 
 
 
 

D(ALLORDINARIES)

-0.206264

-0.016977

0.011102

0.022424

-0.152480

-0.075669

0.

 

(0.03023)

(0.00576)

(0.00571)

(0.04124)

(0.12193)

(0.07060)

(0.

D(BSE30)

-0.594264

-0.405514

0.167981

1.622394

-2.017626

-0.633556

0.

 

(0.21529)

(0.04099)

(0.04066)

(0.29372)

(0.86837)

(0.50278)

(0.

D(HANGSENG)

1.055895

0.099873

-0.382159

0.839787

-2.604228

0.955770

-0.

 

(0.19918)

(0.03792)

(0.03762)

(0.27174)

(0.80338)

(0.46515)

(0.

D(JKSE)

-0.042558

0.035694

0.008116

-0.457804

0.055876

0.055531

-0.

 

(0.03061)

(0.00583)

(0.00578)

(0.04176)

(0.12346)

(0.07148)

(0.

D(KLSE)

0.042008

0.010075

-0.005752

0.032032

-0.731631

-0.022827

-0.

 

(0.01461)

(0.00278)

(0.00276)

(0.01993)

(0.05892)

(0.03411)

(0.

D(KS11)

0.004071

0.012426

0.003096

0.011085

-0.127676

-0.414139

-0.

 

(0.01792)

(0.00341)

(0.00339)

(0.02445)

(0.07229)

(0.04186)

(0.

D(NIKKEI225)

1.046323

0.043218

-0.063713

-0.924195

0.004234

0.467920

-0.

 

(0.20550)

(0.03912)

(0.03881)

(0.28036)

(0.82887)

(0.47991)

(0.

D(SHANGCOMP)

0.039456

0.014414

-0.009225

-0.080890

0.474231

0.153107

-0.

 

(0.02979)

(0.00567)

(0.00563)

(0.04064)

(0.12015)

(0.06956)

(0.

D(STI)

0.134764

-0.004440

0.001407

0.028173

0.009061

0.077636

-0.

 

(0.02043)

(0.00389)

(0.00386)

(0.02787)

(0.08239)

(0.04770)

(0.

VECM

Vector Error Correction Estimates

Date: 05/30/11 Time: 12:33

Sample (adjusted): 5 1250

Included observations: 1250 after adjustments Standard errors in ( ) & t-statistics in [ ]

Cointegrating Eq: CointEqi

ALLORDINARIES(-1) 1.000000

BSE30(-1) 0.196338

(0.03513)

[ 5.58864]

HANGSENG(-1) -0.230075

(0.03310)

[-6.95054]

JKSE(-1) 0.850115

(0.24692)

[ 3.44292]

KLSE(-1) -10.48760

(0.74455)

[-14.0859]

KS11(-1) -0.867554

(0.42662)

[-2.03353]

NIKKEI225(-1) -0.231648

(0.02326)

[-9.95861]

SHANGCOMP(-1) 0.433636

(0.07780)

[ 5.57358]

STI(-1) 2.182948

(0.28198)

 
 
 
 
 
 
 
 

C

[ 7.74150]

4094.793

 
 
 
 
 
 

D(ALLORDINA

 
 
 
 
 
 

Error Correction:

RIES)

D(BSE30)

D(HANGSENG)

D(JKSE)

D(KLSE)

D(KS11)

D

CointEq1

-0.017282

-0.131434

0.411378

0.032290

0.062065

0.020746

 
 

(0.00981)

(0.07147)

(0.06502)

(0.01028)

(0.00467)

(0.00591)

 
 

[-1.76194]

[-1.83892]

[ 6.32738]

[ 3.14152]

[ 13.2910]

[ 3.50876]

[

D(ALLORDINARIES(-1))

-0.648577

0.523284

-0.224502

-0.047129

-0.078627

-0.028931

-

 

(0.03069)

(0.22363)

(0.20343)

(0.03216)

(0.01461)

(0.01850)

 
 

[-21.1337]

[ 2.33993]

[-1.10361]

[-1.46547]

[-5.38138]

[-1.56385]

[

D(ALLORDINARIES(-2))

-0.401180

0.644307

-0.169185

-0.121554

-0.085849

-0.030494

-

 

(0.03429)

(0.24984)

(0.22726)

(0.03593)

(0.01632)

(0.02067)

 
 

[-11.7011]

[ 2.57890]

[-0.74444]

[-3.38320]

[-5.25932]

[-1.47546]

[

D(ALLORDINARIES(-3))

-0.212269

0.482392

-0.096007

0.079158

-0.086553

0.068994

 
 

(0.02966)

(0.21612)

(0.19659)

(0.03108)

(0.01412)

(0.01788)

 
 

[-7.15710]

[ 2.23204]

[-0.48835]

[ 2.54694]

[-6.12966]

[ 3.85907]

[

D(BSE30(-1)) 0.006037 -0.691396 0.005537 -0.001906 -0.001786 0.000130

(0.00429) (0.03127) (0.02845) (0.00450) (0.00204) (0.00259)

[ 1.40666] [-22.1082] [ 0.19464] [-0.42382] [-0.87429] [ 0.05034] [

D(BSE30(-2)) 0.000574 -0.540992 0.061736 0.009528 -0.001787 3.54E-05

(0.00458) (0.03340) (0.03038) (0.00480) (0.00218) (0.00276)

[ 0.12530] [-16.1988] [ 2.03215] [ 1.98388] [-0.81913] [ 0.01281] [

D(BSE30(-3)) 0.004268 -0.332318 0.038310 0.001209 -0.002117 -0.002325

(0.00395) (0.02881) (0.02621) (0.00414) (0.00188) (0.00238)

[ 1.07943] [-11.5347] [ 1.46183] [ 0.29186] [-1.12480] [-0.97557] [

D(HANGSENG(-1)) -0.010067 -0.042574 -0.563062 0.001247 0.011978 0.000200

(0.00475) (0.03458) (0.03146) (0.00497) (0.00226) (0.00286)

[-2.12133] [-1.23108] [-17.8991] [ 0.25070] [ 5.30147] [ 0.06975] [

D(HANGSENG(-2)) -0.008102 -0.054421 -0.367188 3.25E-06 0.006897 -0.000853

(0.00508) (0.03699) (0.03365) (0.00532) (0.00242) (0.00306)

[-1.59585] [-1.47104] [-10.9113] [ 0.00061] [ 2.85338] [-0.27886] [

D(HANGSENG(-3)) -0.001812 -0.007216 -0.169047 0.004764 0.003167 0.004027 -

(0.00445) (0.03242) (0.02949) (0.00466) (0.00212) (0.00268)

[-0.40735] [-0.22258] [-5.73190] [ 1.02181] [ 1.49496] [ 1.50154] [

D(JKSE(-1)) -0.001479 1.129301 -0.605538 -0.607721 0.003231 0.031138

(0.03030) (0.22081) (0.20086) (0.03175) (0.01443) (0.01827)

[-0.04882] [ 5.11431] [-3.01472] [-19.1381] [ 0.22397] [ 1.70467] [

D(JKSE(-2)) -0.009444 -0.041734 -0.333934 -0.367369 -0.011184 0.004415

(0.03344) (0.24368) (0.22166) (0.03504) (0.01592) (0.02016)

[-0.28243] [-0.17127] [-1.50651] [-10.4834] [-0.70247] [ 0.21902] [

D(JKSE(-3)) 0.004917 0.179374 -0.128975 -0.155022 -0.010925 -0.006684

(0.02928) (0.21336) (0.19408) (0.03068) (0.01394) (0.01765)

[ 0.16794] [ 0.84070] [-0.66453] [-5.05235] [-0.78369] [-0.37870] [

D(KLSE(-1)) -0.180497 -0.379257 4.380679 0.435628 -0.279480 0.245694

(0.09899) (0.72136) (0.65618) (0.10374) (0.04713) (0.05967)

[-1.82333] [-0.52575] [ 6.67602] [ 4.19936] [-5.92998] [ 4.11727] [

D(KLSE(-2)) -0.138371 0.898484 2.513913 0.483563 -0.159616 0.162138

(0.08846) (0.64460) (0.58636) (0.09270) (0.04211) (0.05332)

[-1.56423] [ 1.39386] [ 4.28733] [ 5.21652] [-3.79000] [ 3.04062] [

D(KLSE(-3)) -0.114223 0.150938 1.239412 0.177168 -0.066914 0.108560

(0.06706) (0.48867) (0.44452) (0.07027) (0.03193) (0.04042)

[-1.70328] [ 0.30888] [ 2.78823] [ 2.52110] [-2.09582] [ 2.68548] [

D(KS11(-1)) -0.073844 -1.020135 0.980640 -0.057213 -0.005239 -0.722083 -

(0.04836) (0.35241) (0.32057) (0.05068) (0.02302) (0.02915)

[-1.52690] [-2.89473] [ 3.05907] [-1.12893] [-0.22754] [-24.7688] [

D(KS11(-2)) -0.047981 -0.281880 0.433435 -0.038299 0.007127 -0.449274 -

(0.05567) (0.40564) (0.36899) (0.05833) (0.02650) (0.03356)

[-0.86193] [-0.69490] [ 1.17465] [-0.65655] [ 0.26891] [-13.3886] [

D(KS11(-3)) -0.037238 -0.170908 0.187575 -0.028723 0.008190 -0.223785 -

(0.04774) (0.34790) (0.31647) (0.05003) (0.02273) (0.02878)

[-0.77997] [-0.49125] [ 0.59271] [-0.57411] [ 0.36030] [-7.77570] [

D(NIKKEI225(-1)) -0.005322 0.059736 0.126654 0.010138 0.011704 0.003899 -

(0.00443) (0.03226) (0.02934) (0.00464) (0.00211) (0.00267)

[-1.20220] [ 1.85184] [ 4.31630] [ 2.18553] [ 5.55351] [ 1.46130] [

D(NIKKEI225(-2)) 0.009241 0.039673 0.097802 0.004527 0.006924 0.003061 -

(0.00484) (0.03525) (0.03206) (0.00507) (0.00230) (0.00292)

[ 1.91055] [ 1.12557] [ 3.05039] [ 0.89303] [ 3.00654] [ 1.04997] [

D(NIKKEI225(-3)) 0.003736 0.002131 0.083205 -0.002591 0.001383 0.006269 -

(0.00414) (0.03018) (0.02746) (0.00434) (0.00197) (0.00250)

[ 0.90201] [ 0.07059] [ 3.03048] [-0.59694] [ 0.70130] [ 2.51060] [

D(SHANGCOMP(-1)) 0.275524 1.460187 0.290867 -0.009179 0.003767 0.027456 -

(0.03005) (0.21898) (0.19920) (0.03149) (0.01431) (0.01812)

[ 9.16842] [ 6.66799] [ 1.46019] [-0.29147] [ 0.26327] [ 1.51561] [

D(SHANGCOMP(-2)) 0.039401 -0.795413 -0.434941 -0.054484 -0.017841 -0.037005 -

(0.03142) (0.22895) (0.20827) (0.03293) (0.01496) (0.01894)

[ 1.25403] [-3.47411] [-2.08838] [-1.65477] [-1.19266] [-1.95382] [

D(SHANGCOMP(-3)) 0.029752 -0.512194 -0.353870 -0.012373 0.004600 -0.080497 -

(0.03115) (0.22700) (0.20649) (0.03264) (0.01483) (0.01878)

[ 0.95506] [-2.25635] [-1.71374] [-0.37904] [ 0.31013] [-4.28668] [

D(STI(-1)) 0.045249 0.652464 -1.052226 0.034744 -0.047883 -0.071795

(0.04624) (0.33692) (0.30648) (0.04845) (0.02201) (0.02787)

[ 0.97867] [ 1.93656] [-3.43330] [ 0.71709] [-2.17524] [-2.57592] [

D(STI(-2)) 0.038708 0.055075 -0.590828 -0.013887 -0.047490 -0.093401

(0.05052) (0.36812) (0.33486) (0.05294) (0.02405) (0.03045)

[ 0.76623] [ 0.14961] [-1.76441] [-0.26233] [-1.97453] [-3.06711] [

D(STI(-3)) 0.024115 -0.185761 -0.292175 0.080433 -0.026362 -0.055093

(0.04348) (0.31682) (0.28819) (0.04556) (0.02070) (0.02621)

[ 0.55467] [-0.58633] [-1.01382] [ 1.76539] [-1.27358] [-2.10210] [

C 0.825267 19.48715 11.72583 2.462879 0.674493 1.318499 -

(7.15917) (52.1688) (47.4550) (7.50225) (3.40844) (4.31562)

[ 0.11527]

[ 0.37354]

[ 0.24709]

[ 0.32829]

[ 0.19789]

[ 0.30552]

[

R-squared 0.388153

0.460749

0.328087

0.307668

0.455971

0.420654

 

Adj. R-squared 0.374076

0.448342

0.312628

0.291739

0.443454

0.407325

 

Sum sq. resids 77676235

4.12E+09

3.41E+09

85299295

17606558

28226022

 

S.E. equation 252.6381

1840.969

1674.628

264.7448

120.2796

152.2929

 

F-statistic 27.57354

37.13688

21.22313

19.31527

36.42899

31.55877

 

Log likelihood -8646.146

-11120.81

-11002.82

-8704.469

-7721.440

-8015.480

-

Akaike AIC 13.92479

17.89697

17.70757

14.01841

12.44051

12.91249

 

Schwarz SC 14.04414

18.01632

17.82691

14.13775

12.55986

13.03183

 

Mean dependent 0.482825

8.362552

5.920722

1.226549

0.332014

0.537408

-

S.D. dependent 319.3287

2478.629

2019.866

314.5798

161.2283

197.8205

 

Determinant resid covariance (dof adj.)

3.76E+46

 
 
 
 
 

Determinant resid covariance

3.04E+46

 
 
 
 
 

Log likelihood

-82592.82

 
 
 
 
 

Akaike information criterion

133.0061

 
 
 
 
 

Schwarz criterion 134.1173

Causalité

Pairwise Granger Causality Tests Date: 05/30/11 Time: 12:33 Sample: 1 1250

Lags: 2

Null Hypothesis:

Obs

F-Statistic

Prob.

BSE30 does not Granger Cause ALLORDINARIE

1156

4.36975

0.0129

ALLORDINARIE does not Granger Cause BSE30

 

1.23135

0.2923

HANGSENG does not Granger Cause ALLORDINARIE

1194

1.84859

0.1579

ALLORDINARIE does not Granger Cause HANGSENG

 

38.3245

7.E-17

JKSE does not Granger Cause ALLORDINARIE

1156

1.66814

0.1891

ALLORDINARIE does not Granger Cause JKSE

 

1.04722

0.3512

KLSE does not Granger Cause ALLORDINARIE

1180

0.68969

0.5019

ALLORDINARIE does not Granger Cause KLSE

 

2.99836

0.0503

KS11 does not Granger Cause ALLORDINARIE

1184

4.37455

0.0128

ALLORDINARIE does not Granger Cause KS11

 

22.0771

4.E-10

NIKKEI225 does not Granger Cause ALLORDINARIE

1148

3.24389

0.0394

ALLORDINARIE does not Granger Cause NIKKEI225

 

1.09710

0.3342

SHANGCOMP does not Granger Cause ALLORDINARIE

1208

0.92917

0.3952

ALLORDINARIE does not Granger Cause SHANGCOMP

 

3.40938

0.0334

STI does not Granger Cause ALLORDINARIE

1215

3.22035

0.0403

ALLORDINARIE does not Granger Cause STI

 

6.78728

0.0012

HANGSENG does not Granger Cause BSE30

1125

0.18878

0.8280

BSE30 does not Granger Cause HANGSENG

 

10.0392

5.E-05

JKSE does not Granger Cause BSE30
BSE30 does not Granger Cause JKSE

1104

26.1222
3.74719

8.E-12
0.0239

KLSE does not Granger Cause BSE30

1123

6.16689

0.0022

BSE30 does not Granger Cause KLSE

 

14.4001

7.E-07

KS11 does not Granger Cause BSE30

1126

5.91924

0.0028

BSE30 does not Granger Cause KS11

 

10.6902

3.E-05

NIKKEI225 does not Granger Cause BSE30

1097

13.5299

2.E-06

BSE30 does not Granger Cause NIKKEI225

 

9.46306

8.E-05

SHANGCOMP does not Granger Cause BSE30

1146

1.49760

0.2241

BSE30 does not Granger Cause SHANGCOMP

 

0.63645

0.5294

STI does not Granger Cause BSE30

1144

10.4669

3.E-05

BSE30 does not Granger Cause STI

 

8.51489

0.0002

JKSE does not Granger Cause HANGSENG

1127

0.04334

0.9576

HANGSENG does not Granger Cause JKSE

 

10.6329

3.E-05

KLSE does not Granger Cause HANGSENG

1159

0.66933

0.5122

HANGSENG does not Granger Cause KLSE

 

0.35523

0.7011

KS11 does not Granger Cause HANGSENG

1167

4.90611

0.0076

HANGSENG does not Granger Cause KS11

 

5.58634

0.0039

NIKKEI225 does not Granger Cause HANGSENG

1129

0.14080

0.8687

HANGSENG does not Granger Cause NIKKEI225

 

3.07827

0.0464

SHANGCOMP does not Granger Cause HANGSENG

1185

0.73570

0.4794

HANGSENG does not Granger Cause SHANGCOMP

 

26.9575

4.E-12

STI does not Granger Cause HANGSENG

1190

6.76244

0.0012

HANGSENG does not Granger Cause STI

 

35.0109

2.E-15

KLSE does not Granger Cause JKSE

1147

6.22995

0.0020

JKSE does not Granger Cause KLSE

 

20.6849

1.E-09

168

KS11 does not Granger Cause JKSE
JKSE does not Granger Cause KS11

1132

21.8117
5.61677

5.E-10
0.0037

NIKKEI225 does not Granger Cause JKSE

1101

11.6705

1.E-05

JKSE does not Granger Cause NIKKEI225

 

27.0345

3.E-12

SHANGCOMP does not Granger Cause JKSE

1138

2.72690

0.0659

JKSE does not Granger Cause SHANGCOMP

 

9.70568

7.E-05

STI does not Granger Cause JKSE

1155

34.9244

2.E-15

JKSE does not Granger Cause STI

 

2.90162

0.0553

KS11 does not Granger Cause KLSE

1148

3.49125

0.0308

KLSE does not Granger Cause KS11

 

1.55831

0.2109

NIKKEI225 does not Granger Cause KLSE

1117

14.8676

4.E-07

KLSE does not Granger Cause NIKKEI225

 

1.11680

0.3277

SHANGCOMP does not Granger Cause KLSE

1166

3.20636

0.0409

KLSE does not Granger Cause SHANGCOMP

 

2.12369

0.1201

STI does not Granger Cause KLSE

1184

5.68529

0.0035

KLSE does not Granger Cause STI

 

9.23541

0.0001

NIKKEI225 does not Granger Cause KS11

1126

0.39173

0.6760

KS11 does not Granger Cause NIKKEI225

 

15.2059

3.E-07

SHANGCOMP does not Granger Cause KS11

1173

2.05511

0.1285

KS11 does not Granger Cause SHANGCOMP

 

4.53632

0.0109

STI does not Granger Cause KS11

1176

4.59313

0.0103

KS11 does not Granger Cause STI

 

80.5746

2.E-33

SHANGCOMP does not Granger Cause NIKKEI225

1134

4.40740

0.0124

NIKKEI225 does not Granger Cause SHANGCOMP

 

1.71246

0.1809

STI does not Granger Cause NIKKEI225

1145

17.7276

3.E-08

NIKKEI225 does not Granger Cause STI

 

2.09098

0.1240

STI does not Granger Cause SHANGCOMP

1197

3.15280

0.0431

SHANGCOMP does not Granger Cause STI 3.08377 0.0462

TABLE DE MATIERE

Introduction generale 2

Chapitre 1 : les modèles d?évaluation des actifs financiers 6

1.1 : l?approche traditionnelle de markowitz (1952) 7

1.1.2 : le portefeuille de h. Markowitz 8

1.1.2.1 : volatilité 8

1.1.2.2 : l?écart type 8

1.1.2.3 : variance de portefeuille 9

1.1.2.4 : minimisation de la variance du portefeuille 10

1.1.2.5 : la corrélation 10

1.1.2.6 : mesure de la var 11

1.1.2.7 : ratio de risque / performance 11

1.2 : le modèle d?évaluation des actifs financiers (medaf) 13

1.2.1 : définition 13

1.2.2 : les hypothèses de medaf 14

1.2.3 : validation empirique du medaf 15

1.2.4 : régression en série chronologique 16

1.2.5 : le medaf de black (1972) 16

1.2.6 : les anomalies et les critiques de medaf 17

1.2.7 : le medaf conditionnel 17

1.2.8 : le modèle d?évaluation des actifs financiers à l?internationale (mdafi) 19

1. 3 : le modèle de fama french (1993) 20

1.3.1 : la logique du modèle à trois facteurs de ff (1993) 20

1.3.2 : le modèle à trois facteurs de fama french (1993) 21

1.3.3 : arbitrage pricing théory (l?apt) 22

1.4 : choix et sélection de portefeuille 23

1.4.1 : la sélection de portefeuille efficient 23

Chapitre 2 : diversification internationale de portefeuille et intégration financiers 27

2. 1 : diversification internationale de portefeuille 28

2.1.1 : principe de la diversification 28

2.1.2 : la diversification internationale de portefeuille 28

2.1.3 : le medaf et ces implications pour la diversification internationale 29

2.1.4 : l?apt dans un contexte international 30

2.1 .5 : la corrélation est la diversification internationale 30

2.1.6 : les gains associés à la diversification internationale 31

2.1.7 : les avantages et les limites de la diversification internationale 31

2.1.7.1 : les avantages de la diversification internationale 31

2.1.7.2.1 : le risque de diversification internationale 32

2.1.7.1.2 : le risque de change et le risque de volatilité 32

2. 2 : intégration des marchés financiers et la diversification internationale 32

2.2.1 : intégration des marchés financiers 32

2.2.1.1 : la déréglementation monétaire et financière 33

2.2.1.2 : le décloisonnement 34

2.2.1.3 : désintermédiation financiers 34

2.2.2 : l?intégration des marchés développés 34

2.2.3 : l?intégration des marchés émergent 35

2.2.4 : intégration des marchés émergents - marchés développé 36

2.2.5 : les mesures d?intégration des marchés financiers basés sur le medaf 38

2.2.6 : mesures d?intégration des marchés financiers basés sur le coefficient

De corrélation 38

2.2.7 : mesures d?intégration basée sur la co-intégration 38

2.3: le phénomène du home bais 39

2.3.1 : modèle de merton (1987) 40

2.3.2 : les avantages d?investir domestiquement 41

chapitre 3 : intégration, co-intégration des marchés financiers et ces implications sur le risque

de la diversification internationale : une analyse empirique 45

3.1 : méthodologie. 46

3.1.1 : les données. 46

3.2 : les analyses graphiques 48

3.2.1 : evolution des indices boursiers des différentes zones étudiées. 48

3.3 : estimation des statistiques descriptives relatives aux pays de notre échantillon 49

3.3.1 : aspect théoriques du test de normalité 49

3.3.1.1 : le test d?aplatissement 49

3.3.1.2 : le test d?asymétrie 50

3.3.1.3 : test de jarque - béra 50

3.3.2 : statistique descriptive des rendements des pays développé. 51

3.3.3 : statistique descriptive des rendements des pays émergents. 53

3.3.4 : étude des corrélations des rendements relatives aux pays de notre échantillon 56

3.3.4.1 : corrélations des rendements relatives aux pays développés 56

3.3.4.2 : corrélations des rendements relatives aux pays émergents 56

3. 4 : etude de la stationnarité des séries des indices boursiers :

Test de racine unitaire. 57

3.4.1 : aspect théorique des tests de stationnarité 57

3.4.1.1 : test de ducky- fuller simple. 58

3.4.1.2 : test de ducky - fuller augmente 58

3.4.1.3 : test de philips - perron (pp) 59

3.4.1.4 : le test de philips, perron, kwiatkowski, schnidt et shin (kpss). 59

3.4.1.4 : analyse des tests de racine unitaire. 60

3.5 : les tests de co-intégration 62

3.5.1 : test de co-intégration de granger 62

3.5.2 : test de co-intégration multi variée de johansen (1988) 63

3.5.3 : détermination du nombre optimal de retard 63

3.5.4 : modélisation vecm et test de causalité au sens de granger 64

3.5.5 : test de causalité ou sens de granger 64

3.5.6 : le modèle de correction des erreurs. 65

3.6 : analyse de la co-intégration 65

3.6.1 : détermination du nombre optimal de retard 66

3.6.2 : test de co-intégration. 67

3.6.3 : l?analyse du test de causalité 68

3.6.4 : l?impact de l?intégration sur la diversification internationale de portefeuille. 68

Conclusion générale 72






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"Là où il n'y a pas d'espoir, nous devons l'inventer"   Albert Camus