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Intégration financière internationale face à  une stratégie de diversification de portefeuille

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par Douzi Adnen
Université de Cergy- Pontoise Paris - Master de recherche 2011
  

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1. 3 : Le modèle de Fama French (1993)

1.3.1 : La logique du modèle à trois facteurs de FF (1993)

Le modèle de Fama French présente une extension du MEDAF s?inspire des modèles multifactoriel exprime le rendement en fonction de plus qu?un facteur et de donner le maximum d?information pour bien mesurer et prédire le rendement.

Le MEDAF prévoit une relation linéaire et positive entre le rendement anticipé sur les titres et le niveau du risque systématique, dans la mesure où le risque spécifique peut être réduit au moyen d?une diversification adéquate, seul ce risque est rémunéré par le marché et permet d?expliquer les différences de rendement entre les titres.

Le modèle de FF (1993) repose sur un facteur de risque essentiel, la beta qui relie le rendement des titres au rendement du marché. L?intérêt de cette relation dépend dans la plupart des cas par l?hypothèse de non stationnarité. L?instabilité et la variabilité du beta, Miller et sholes (1972) c à d que les variables de nature spécifique à un modèle jouent un rôle complémentaire pour beta, dans le but final est de donner la meilleure et la plus complète explication possible du rendement.

I limaiem (2009), dans le modèle de FF il existe trois facteurs différents influencent le rendement des actifs, la prime du risque des marchés, le ratio valeur comptable / valeur de marché noté (VG/VM) et la capitalisation boursière (GB), les deux facteurs ajoutés par FF qui sont de caractère comptable et financier. Ges deux facteurs sont classés parmi les déterminants les plus importants, les plus populaires, ainsi que les plus utilisés.

L?utilisation de ces variables ne trouve pas l?explication théorique, elle se justifie par le fait que la variable explicative représente des mesures déguisées de beta qui seraient moins attachées d?erreurs de mesure que la beta estime lui-même.

Le principal avantage de l?évolution fondamental selon Rasemberg et Guy (1976) c?est qu?elle tient compte de sa structure des firmes et étrenne peu d?erreur d?estimation, cette méthode et correspond à des données comptables pour les fines et disponibles pour le marché, c?est conformément à cette approche que FF (1992) développe le modèle de rentabilité à trois facteurs.

1.3.2 : Le modèle à trois facteurs de Fama French (1993).

La mise en difficulté de beta et l?observation des anomalies de rentabilité conduisent FF (1992) à entrevoir une modélisation des rendements des titres et les variables attachées à l?action et à l?obligation, FF(1993) confirme ce résultat par l?examen de la relation longitudinale entre la rentabilité et les trois facteurs de marché.

Le facteur marché affiche un rOle important dans la rentabilité, la CB et le ratio VC/VM s?ajoute ou premier facteur, FF(1993) parvient à améliorer l?explication de la rentabilité, et conclue que les deux variables fondamentales complètent la beta.

Fama French (1995) étudie la relation de la taille de la firme et la relation avec les bénéfices, ils trouvent que les deux variables liées aux principaux déterminants du bénéfice.

L?expression finale du modèle à trois facteurs de FF (1993) s?écrit comme suit :

i) -- f i ) -- f i M ) i M )

i) L?espérance de rentabilité des titres i

f Taux de rendement de l?actif sans risque

) Espérance de rendement du portefeuille du marché

M ) La prime de rentabilité espérée liée à la taille de la firme (Smoll Minus Big) M ) La prime de rentabilité espéré liée ou ratio VC/VM (High Minus Low)

i, i, i Les coefficients du risque associes aux trois facteurs

FF trouve que les deux variables ajoutées expriment une partie non négligeable du risque et expliquent une partie importante de la rentabilité ce qui confirme l?insuffisance de la prime du risque des marchés dans l?explication de rendements mieux que le portefeuille du marché alors que Moley (2000), Bellalah et Besbes (2006) trouvent un résultat différent sur le marché français, ils constatent que le portefeuille du marché joue un rOle prépondérant par rapport à la CB et le ratio VC/VM. Par ailleurs FF ont montré qu?il ya une relation significative positive entre le rendement et le ratio VC/VM alors que la relation entre la CB et le rendement significatif est négatif. Banz (1981) montre que les titres à petite capitalisation considérée comme étant plus risqué et ayant un cOut de capital plus élevé.

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"Il faut répondre au mal par la rectitude, au bien par le bien."   Confucius