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De la manoeuvre des moeurs et du silence des mots dans le lexique français


par Julie Mamejean
Faculté des Chênes, Cergy-Pontoise - DEA Lettres et Sciences du langage 2006
  

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A- Les clefs du « parler-vrai »

Pour accéder à un nouvel élan linguistique, il semble qu'il faille impérativement repenser la structure du langage via celle de la société.

Car si le distinguo entre discours de faux-semblant et parler cru, qui oppose admirateurs du politiquement correct et nouveaux révolutionnaires, est discordant, il scinde surtout la société en deux clans : l'individu et le groupe, l'individu face au groupe.

Groupe dominé par la rectitude politique. Communauté dominante donc, qui nie l'identité de l'individu.

Culture puissante d'une omerta publique qui ne disparaîtra que le jour où nous nous débarrasserons de l'oppressant politiquement correct.

Si pour y parvenir il suffit comme le préconise P.Lemieux de « parler le français de Guillaume Apollinaire », il n'est pas si facile de faire comprendre à qui veut bien l'entendre que l'époque de surveillance du langage est passée, que la délation pour un mot trop haut, trop cru, est révolue.

Comment faire admettre à quiconque que le politiquement correct, largement utilisé et revendiqué jadis par tous n'a pu être qu'une aberration, qu'une sournoiserie ?

Et c'est ce même obstacle que met en avant l'un des articles du journal Le Québec Libre, lorsque après avoir encouragé ses lecteurs à sortir des sentiers battus de la pensée unique, il précise que « la difficulté c'est que nombre de nos concitoyens se sont habitués à se taire par peur de prendre des coups »272(*).

Effectivement, qui oserait de nouveau nommer l'épicier en bas de chez soi, « l'arabe du coin » ? Face au serpent qui se mord la queue que faire ? Comment faire comprendre à un enfant dont la punition a été un recopiage de deux cents lignes d'un impératif « je ne mangerai plus de chewing-gum en classe », qu'il peut désormais en mâchouiller tant qu'il le souhaite ? Comment expliquer qu'on peut dorénavant dire d'un noir qu'il est noir et que cela n'est ni grossier, ni raciste, ni réactionnaire ?

Ici, dernier recours, que ce soit le directeur de l'école qui autorise le chewing-gum, que ce soit les médias qui préconisent le dit terme.

Il faudrait alors adhérer à la doxa d'É.Benveniste, « le langage sert à vivre », pour comprendre que si le langage est nécessaire à l'homme, la notion de tabou devient inexplicable, et que seul peut être admis l'emploi du franc-parler comme révélateur du langage, comme exorcisme linguistique de la langue de bois.

B- Une reconnaissance de droit commun

Parce que les médias peuvent influencer parfois considérablement les moeurs d'une société et parce qu'ils ont conscience de leur pouvoir, ils rejoignent les hommes politiques et autres personnalités littéraires ou artistiques dans une quête d'une nouvelle pensée nommée « brutalisme » par certains, comme le révèle P.Merle en faisant référence au journal anglais « le très chic Globe Hebdo»273(*) qui dans un article intitulé « La nouvelle pensée réactionnaire » évoquait ce nouveau phénomène comme :

« Un  parler clair et net, sans ambages, comme on le pense (...) appeler un chat un chat, un Juif un Juif, un Arabe un Arabe, un homosexuel un pédé, etc. ».

Et alors ? À bien y réfléchir quel est le problème à dire d'un chat que c'est un chat, à dire d'un Juif que c'est un Juif... ? Cela entacherait-il une quelconque forme d'éthique, de morale ?

Si le brutalisme c'est de parler sans flou, sans détours, sans mensonge, alors nous signons pour.

Dès lors qu'un médium comme la presse écrite rend compte des aspects pernicieux du politiquement correct, il y a peut-être l'espoir d'entrevoir la réappropriation des médias par la presse d'opinion et donc contre le règne du politiquement correct.

Et les quelques médias qui ont compris que le politiquement correct en dépassant le simple phénomène de mode était devenu un délicat voir dangereux phénomène de société, tentent de protester contre ce catéchisme obscurantiste.

Ainsi, en janvier 1995, le journaliste I.Ramonet dans un article du Monde Diplomatique, dénonce le culte de la pensée unique, « visqueuse doctrine » qui en se cachant sous les traits d'un dogmatisme moderne, parvient à inhiber, à « étouffer tout raisonnement rebelle », toute pensée qui ne serait pas unique.

De même, dans un article du Monde en avril 2003274(*), on prend conscience que le politiquement correct est peu à peu en train de se désagréger de l'univers bienpensant des médias. Les journalistes y relatent l'attitude des médias face à la guerre en Irak et ils attirent l'attention du lecteur sur le fait que dans ce conflit, les termes trop politiquement corrects ont été refusés :

« Les médias français ont banni les termes destinés à donner de la guerre une image désincarnée comme les fameux dégâts collatéraux (...) le traitement du conflit (...) s'est révélé `décent' et le discours militaire `très neutre' ».

Il semble ici que soit enfin envisagée l'idée qu'un discours puisse être décent sans politiquement correct. Et aussi paradoxal que cela paraisse, on peut dorénavant aborder sainement la perspective d'un langage de la vérité, dans la mesure où le politiquement correct cesse de nier l'ampleur des dégâts de la guerre et sa tragédie en bannissant des expressions comme « tirs amis » ou « frappes chirurgicales »275(*).

Les deux journalistes font d'ailleurs référence à Alain Rey qui semble être dans les premiers à avoir noté cette absence de vocabulaire politiquement correct, conduisant donc à un retour vers une terminologie militaire beaucoup plus classique avec des termes comme « bombardements » ou « pillages » qu'on n'osait pas jusqu'alors prononcer.

Cet article qui propose dans le cadre d'une guerre, le déni du vocabulaire précieux comme une reconnaissance de la souffrance ambiante, mène à mal la langue de bois pour privilégier distinctement le franc parler qui tend à présenter la réalité sous sa forme la plus correcte et la plus honnête, sans propagande ni idéologie.

Le créneau est donc posé, le franc parler semble être l'unique recours au prosélytisme du politiquement correct qui annihile la pensée.

3) Une dichotomie redoutable : entre franc-parler et politiquement correct

«  Je désapprouve ce que vous dîtes, mais je défendrais jusqu'à la mort votre droit de le dire » (Voltaire)

Prôner le parler vrai ne consiste pas, comme certains ont voulu le faire croire276(*), à se débarrasser de toute forme de morale, de décence ou tout simplement de politesse, et de revendiquer alors, au nom de la liberté d'expression, le droit à l'incorrection, aux stéréotypes ou à la moquerie.

Comme l'explique parfaitement R. Ménard dans l'oeuvre de R.Vaneigen qu'il préface :

« Tolérer toutes les idées n'est pas les cautionner. Tout dire n'est pas tout accepter »277(*).

Le dessein du franc-parler ce n'est pas l'expression à n'importe quel prix de l'innommable. Il ne s'agit pas de simplement remplacer le mot acceptable par un mot censuré.

Revendiquer ce droit perdu de la liberté d'expression ce n'est pas revendiquer celui de porter des jugements négatifs ou cruels sur tel ou tel groupe communautaire, ce n'est pas rétablir l'injustice ou le racisme.

Et pour citer l'exemple de P.Merle, oser dire « jeunes issus de l'immigration » plutôt que le réducteur et bien trop généraliste « jeunes » ne devrait pas contribuer à passer pour du fascisme. Le franc parler peut au contraire, mener à la vérité perdue.

Ainsi, R.Godienne explique avec pertinence dans son travail278(*) que si l'injure blesse celui à qui elle s'adresse, le dictionnaire ne doit ni servir à panser cette blessure, ni à en infliger une plus grande. Le rôle d'un dictionnaire est de refléter la norme et l'utilisation des mots avec les connotations qu'ils sont susceptibles de rencontrer dans la société.

Ainsi, pour l'adjectif « gros », il donne une définition simpliste « Personne plus large et plus grosse que la moyenne » en précisant bien que le terme est utilisé avec « mépris », tout comme pour la définition du substantif « nain : Désigne avec mépris une homme de petite taille ». Les exemples de R.Godienne nous prouvent qu'il est parfaitement envisageable d'appliquer une idéologie bienséante à la langue courante.

Néanmoins, s'il est possible de donner le vrai sens d'un mot en l'annotant de quelque remarque sur ses éventuelles connotations si cela est nécessaire, on ne doit pas se laisser piéger par les excessives revendications du politiquement correct. Tout mot existant dans la langue, peu importe ses connotations, doit s'y maintenir.

C'est donc pour contrer cette dérive systématique du politiquement correct qui se présente toujours comme une tentative de reformulation sémantique, au dépend de la langue dite normale, qu'un ras-le-bol va émerger.

Le franc parler va être conseillé, voir même réhabilité par certains, au nom d'un retour purificateur des origines.

Molière, ici précurseur l'a dit mieux que personne « ce n'est que jeu de mots, qu'affection pure, et ce n'est point ainsi que parle la nature »279(*). Car il était bien contre nature de laisser se morceler la France face à la tartufferie du politiquement correct, comme le confirme Ivan Riafol, le 30 avril 2004 dans un article du Figaro où il dresse le bilan quelque peu dramatique de la bienpensance :

« La France est immobilisée sous le poids d'un conformisme compassionnel. Le langage qu'attendent les français est celui de la brutale vérité. Ils attendent des politiques, des médias, des intellectuels qu'ils mettent des mots sur les réalités nouvelles, sans craindre les indignations du politiquement correct ».

Si tous ne mesurent pas encore le mauvais pas engagé par le politiquement correct, beaucoup commencent à se méfier de cette omniprésente bienpensance. 

Notre politiquement correct ne semble plus avoir si fière allure, il laisse mourir la langue française à petit feu :

« Notre langue se perd dans ces méandres de l'insignifiance, elle se vide de substance sous ces hypocrisies de bazar »280(*).

La langue s'affadit à tel point qu'elle en devient ridicule.

Dès lors, il faut se défendre, protester, agir contre la non assistance à idiome en danger :

« Une langue qui n'a plus simplement le courage de nommer les gens ou les choses est une langue honteuse d'elle-même, donc une langue en train de mourir »281(*).

Là où É.Zola au 19e siècle employait le terme « vermine » sans vergogne, nous bafouillons et ne savons plus que dire.

Si le recours au franc-parler apparaît alors comme l'unique alternative pour sauver la langue courante et préserver ses nuances et sa richesse, il faut cependant prêter attention à son droit cheminement.

Il ne s'agit pas de condamner le politiquement correct au nom de ses simulacres pour que règne à sa place, sous couvert d'honnêteté, un langage injurieux et cruel.

Pour cette raison et probablement pour d'autres, il peut être délicat de renier le politiquement correct pour y substituer le règne du franc-parler sans en connaître les éventuelles dérives.

Ainsi, pour lutter contre l'omniprésence d'un politiquement correct devenu insupportable, et pour ne pas tomber, réciprocité cruelle, dans un abominable parler vrai, la solution la plus adéquate semble être celle donnée par V.Volkoff :

« Pour combattre le politiquement correct la pensée ne doit pas être unique, la langue ne doit pas être de bois, la compassion ne doit pas virer à la sensiblerie »282(*).

Recette secrète, formule magique, le véritable recours est peut-être dans cette équation.

CONCLUSION

La langue est la forme qui fonde tous les contenus, et elle est le contenant qui rend tous les fonds possibles.

Champ d'investigation inouïe, elle offre un débat sans commune mesure qui, entre babils primaires et discours emphatique, pose la question de la libre circulation des mots.

Mais, dans une société où tout le monde parle, braille, converse haut et fort, un éventuel contrôle du lexique semble bien délicat.

Le politiquement correct, dont l'essence repose sur cette volonté de surveillance linguistique, tente de lutter contre les clichés, les connotations et autres ambiguïtés qui assaillent chaque jour un peu plus les mots de la langue française, et ce, quels que soient les moyens mis en oeuvre pour y parvenir.

Tout au long de cette étude, nous avons donc tenté d'analyser la complexité du phénomène politiquement correct en répondant à nos questions initiales, mais aussi à toutes celles émergeant au fur et à mesure.

Au travers des ouvrages et des articles parcourus, nous avons réalisé qu'il était impossible de proférer un avis tranché sur un tel mouvement sociolinguistique.

Faisant écho aux habituelles polémiques sur la qualité, le dessein, le sens du langage, ce phénomène ne permet pas d'affirmer s'il est une avancée flagrante pour la langue en tant que faire valoir de la morale humaine ou s'il est au contraire, un fléau sémantique anéantissant la force des mots.

Afin d'éviter tout jugement de valeur trop hâtif, nous avons essayé de comprendre ce phénomène, dans son intégralité, et de façon objective en prenant fait et cause, à la fois pour ses défenseurs, mais aussi pour ses détracteurs.

Pour ce faire, nous avons procédé à son étude étymologique et sémantique au sein de différents dictionnaires qui, en tant que reconnaissance officielle des mots nous ont permis d'illustrer les différents points de vue présentés, et d'asseoir en synchronie et en diachronie, le bouillonnement permanent de ce phénomène dans la langue française.

Nous nous sommes également intéressés à l'image que les médias en donnaient.

Au début simple court métrage, le mouvement politiquement correct a su, fort de ses figurants, créer un scénario toujours plus long.

Lors de sa sortie en salle, il a fait grand bruit. Qu'on ait aimé ou non, qu'on ait crié au scandale ou chanté la superbe réussite, une chose est sûre, le politiquement correct s'est imposé dans la petite catégorie des films cultes de ce siècle et du dernier.

Et ce n'était pas chose aisée au départ.

Nous l'avons évoqué, le politiquement correct a difficilement trouvé ses marques en France, puis s'affirmant comme préciosité langagière il a su, en manipulant à souhait la langue, se rendre indispensable.

Des dictionnaires à la radiodiffusion, ce mouvement n'a cessé de croître, de s'uniformiser, et de tant investir la langue française qu'il en est devenu l'essence même. Omniprésent, il est devenu omnipotent.

Cependant, en plein apogée et contre toute attente, le politiquement correct s'est violemment fait critiquer. Accusé de n'avoir finalement jamais répondu à son idéologie première, beaucoup l'ont renié pour lui préférer un langage plus franc.

Mais ce que ce bref synopsis ne dit pas, c'est que jamais le phénomène de politiquement correct n'aura de fin.

Fondé sur une morale et une norme communes, il n'est qu'une variante de la bienséance langagière, qu'une forme améliorée de la lointaine langue de bois.

Car tant que l'homme vivra en société, il devra répondre à des règles qui s'appliquent également dans le langage. Et tant que le langage servira l'homme pour parler de lui-même et des autres, la notion de « bon usage » demeurera.

Et cet aspect normatif semble condamner une éventuelle liberté du langage qui détermine notre manière de voir le monde et nous enferme dans un système conceptuel se mouvant dans un conformisme ambiant qui impose un point de vue pré-construit.

Dès lors, parce que le phénomène de politiquement correct, fort de la pensée unique, contribue à créer ce prisme erroné de la réalité, il fausse son rapport à la langue.

Si chaque langue définit son réel par ses propres mots ou par ceux imposés par la société ou le groupe qu'elle habite, la tromperie sémantique est inévitable.

Et c'est bien ce à quoi nous avons été confronté durant ce travail. En imposant la bienséance comme son axiome majeur, le politiquement correct a entraîné une vision difforme du réel.

L'hypothèse Sapir-Whorf, poussée ici à l'extrême, dépasse le simple stade de la langue évoquant une réalité différente, pour enrôler l'ethnolinguistique dans une manoeuvre plus perverse : accompagné du politiquement correct, on ne s'intéresse plus à l'universel du langage, mais bien à l'arbitraire, à la spécificité de la langue en tant qu'outil de pensée qui engage un processus analytique nouveau nous permettant d'envisager l'étude de la préciosité langagière sous un aspect philosophique : la langue, objet de communication, devenant outil de propagande.

C'est du moins ce que nous a donné à voir cette étude qui nous a mis au devant d'un renversement mené par l'homme lui-même, du rôle mythique du langage qui n'informe plus, mais manipule.

Et sans adhérer au jugement manichéen de certains critiques, « il ne nous reste plus qu'à faire tomber sur ce  politiquement correct désastreusement dévoyé le plus silencieux des rideaux »283(*), il reste toutefois évident que certaines actions du politiquement correct sont condamnables.

Lorsque des mots disparaissent parce qu'ils deviennent inadéquats à ce qu'ils prétendent nommer, cela ne pose aucun problème ; en revanche, lorsque le dictat du politiquement correct prive la langue française de mots qui lui convenait encore, cela l'appauvrit et s'en ressent aussi sur la pensée, les moeurs, la société.

À force de tout contrôler, le politiquement correct a fini par s'inscrire dans un projet implicite de perfectionnement dans tous les domaines. Prônant le religieusement correct, le sexuellement correct..., le mouvement linguistique court à la perte de sa propre identité, « le compte à rebours final est enclenché»284(*).

Aussi, enrôlé dans ses frasques et ses excès, il est difficile de concevoir le politiquement correct autrement que comme une grande supercherie qui laisse derrière elle, une langue malade.

Sans doute trop en décalage avec le monde extérieur réel, le politiquement correct a discrédité les idées qu'il prétendait défendre et n'a pas su maintenir son utopie originelle, laissant amèrement l'impression d'un gâchis.

Prisonnier d'une controverse complexe qui oppose des valeurs fondamentales inconciliables avec d'une part, la recherche de la vérité, objectif même de la connaissance humaine et liée à la liberté d'expression, et d'autre part, une morale garantissant le respect des personnes et de leurs droits, le phénomène de politiquement correct pose ses fondements ailleurs.

Son intérêt est peut-être moins dans les solutions qu'il propose que dans les problèmes qu'il dénonce.

Phénomène sociolinguistique qui conserve tout son mystère, il reste enclin à la polémique, ce qui lui confère les aspects, les avancées et les dangers aussi d'une grande utopie contemporaine.

* 272 Site Internet, www.ottawa.blog

* 273 Article du 17 février 1993

* 274 Article du 29 avril 2003

* 275 Pour la signification de ces termes, se reporter à notre lexique français/ politiquement correct

* 276 À ce sujet, consulter le site Internet www.scom.ulaval

* 277 R.Ménard, préfacier de Rien n'est sacré ...

* 278 Dictionnaire des mots qu'on dit gros

* 279 Misanthrope, acte I, sc.

* 280 C.Duneton, Le Figaro Littéraire, 27 janvier 2006

* 281 F.Thouvenin, Défense de la Langue française, n°192

* 282 V.Volkoff, Manuel..., p.176

* 283 www.asmp.fr

* 284 S.Desclous, Le politiquement correct..., p.93

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"Un démenti, si pauvre qu'il soit, rassure les sots et déroute les incrédules"   Talleyrand