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La population de Mbandaka face a la mondialisation. Cas de l'outil informatique

( Télécharger le fichier original )
par Jules MAZOKO NGAMOKUBA
Institut supérieur de développement rural  - Graduat 2011
  

Disponible en mode multipage

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REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO

ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET UNIVERSITAIRE

INSTITUT SUPERIEUR DE DEVELOPPEMENT RURAL

I.S.D.R

LA POPULATION DE MBANDAKA FACE A LA MONDIALISATION

« Cas de l'outil Informatique »

(De 2007 2010)

B.P. 118

MBANDAKA

Jules MAZOKO NGAMOKUBA

Travail de Fin de Cycle présenté et défendu pour l'obtention du Grade de Gradué en Techniques de Développement Rural.

Option : Gestion des Entreprises

Directeur : Prof. Ordinaire Dr. BOFAMBU NKOMBE ETAF'EOSENDJA

Encadreur : C.T  Alexandre ONEMA ONYA

Année Académique 2010 - 2011

EPIGRAPHE

« Heureux l'homme qui trouve la sagesse et qui possède l'intelligence car le gain qu'elle procure est préférable à celui de l'argent. Dans la droite est une longe vie ; dans la gauche, la richesse et la gloire ».

Proverbe 3 : 13,16-20

DEDICACE

A Dieu pour son omnipotence, omniprésence et omniscience. Qu'il soit loué en toute circonstance.

A nos parents : Maman Madeleine MBEMBO et Papa NGAMOKUBA SIMBA, pour tant de sacrifices consentis à nos études et le souci de nous voir progresser.

A nos frères et soeurs : Dr. MINYUNGA Mireille, Mivin JOHN MATA, Ir. Patrick MWANZO, Moïse SIMBA, Jina MOSEMENI, Sylvie BOSEMBO, Kaddy, BIBWANGA Nadège, Belle - Vie MATA, Jacques MADUKU, Moïse SIMBA, Sofia MBEMBO et Nice MAZOKO, pour leur unité familiale.

Jules Mazoko

REMERCIEMENTS

Cette oeuvre scientifique est le fruit des efforts conjugués de plusieurs personnes animées de bonne volonté.

Qu'il nous soit permis de remercier vivement nos bienfaiteurs : Couple Pasteur YANGO, Couple Papa Jean Willy GERENGBO, Couple Dr. Papy LUSAMESO, Couple Ir. Cytho KAYEMBE, Couple Marcel EKE, Couple JP DENGBA, Couple Marco BOMOLO, Couple Richard BOLOKO, Couple Dudu MANDJENGE, Couple Siméon BAMWANYA, Couple Papy LONKOFO et Noël KITOKO, Jeannot LIKILE pour nous avoir aidés matériellement et financièrement.

Nous pensons à tous nos professeurs, chefs de travaux et assistants de qui nous ont communiqué non seulement la science, mais aussi un idéal qui permet notre intégration harmonieuse dans la société d'aujourd'hui.

Nous pensons particulièrement au professeur BOFAMBU NKOMBE, et l'Encadreur C.T Alexandre ONEMA ONYA qui, malgré ses multiples occupations a bien voulu assurer la rédaction de ce travail,

Nos sentiments de gratitude s'adressent également à tous nos collègues et amis de lutte : Debora BURAHIMU, Albertine MADAMA, Juda MBOLI, Julien LONGANGU, Louis BOPOMI, Max TONGOLO, Sarah BAKATANGULA, Fifi LOMEMA, Bibi ILUKU, Saïdi LIKILA et Préso EPONO et Mélanie BOLAKOFO

Nous serions ingrat, si nous ne disons pas merci à tans nos regrettés : Omo JULES, Oncle Pitshu, MADUKU, KALU SOUMALINE et FREDERIC NYABONGANGA.

Nous remercions enfin tous parents, connaissances, cousins et neveux qui ont partagé avec nous les joies et les peines durant toutes ces années de vie estudiantine : MAZOKO LOBWA, YONGI ANGELIQUE, PHILOMENE NYALIWELE et Jacques MADUKU, BOSOBE Leonard, Gaston LOKAY, Jules MAZOKO, Papy MAZOKO, Michel MOLONGA, NYABOLIYA MOSEKA, José MAATA, Paul MOBONDA, LIWANGA Olivier, ....

A tous les informaticiens : Anicet TOSUKU, Papy ILONGA, Faustin BATOLLUKA, Edmond MBOKOLO, Delmo SIMBA, Sarah BAKATANGULA, Sahara BITOTA, Mamie KATESIA, avec ma main forte que vous m'aviez prêté pour la saisie de ce travail...

Que tous trouvent ici l'expression de notre profonde et sincère gratitude.

PRINCIPALES ABREVIATIONS

1. IBM  : International Business Machine

2. PNMLS : Programme National Multisectoriel de lutte

Contre le SIDA

3. ACREPADE  : Action pour la Réconciliation paix et

Développement

4. IDI  : Initiatives pour le Développement Intégral

5. PNML  : Programme Multisectoriel de lutte Contre le

SIDA.

6. RACOJ  : Réseau d'Association Congolaise des Jeunes

engagés dans la lutte contre le VIH/SIDA

7. REPEQ  : Réseau d'Encadrement des Pygmées de

l'Equateur.

8. FMI  : Fonds Monétaire International

9. PME  : Petite Moyenne Entreprise

10. OMC : Organisation Mondiale du Commerce

11. PC  : Personal Computer

12. PDA  : Personal Digital Assistant

13. TB  : Très Bien

14. M  : Mauvais

15. AB  : Assez Bon

16. HGR : Hôpital Général de Référence

17. C.S  : Centre de Santé

18. ONG : Organisation Non Gouvernementale

O.INTRODUCTION GENERALE

1. PROBLEMATIQUE.

La mondialisation qui s'est posée comme un phénomène planétaire fait du monde un village planétaire, un monde sans frontière fort du progrès et de la révolution, de la technologie, la mondialisation à provoquer une nouvelle manière de vivre et d'agir autrement du fait dit échanges sur le plan économique, des valeurs culturelles des informations.

Malgré ce processus, les pays du sud reste encore en marge de ce processus du fait de la non intégration et subissent les effets plus qu'ils participent. L'usage de l'outil informatique est un des concepts de la mondialisation sur lesquels notre attention va être focalisée. L'insertion de l'outil informatique dans l'administration publiques privés dans la gestion courante des affaires le traitement de l'information est un indicateur du niveau d'invertissions à ce phénomène planétaire.

La simple fait de détenir des gros diplômes, de savoir lire et écrire, parlers couramment ne suffit plus pour montrer la qualification de « l'intellectuel. Autrement dit la non maitrise de cet outil signifie la présence dit « illettrés modernes »

En abordant cette étude notre préoccupation tente de répondre aux interrogations ci-après :

- Quel est le taux ou le niveau d'utilisation de l'outil informatique dans le secteur public au centre urbain de Mbandaka ?

- Quelle sont les contraintes à l'accès à l'outil informatique ?

- Quelles les conséquences des faibles accès à l'outil informatique ?

2. HYPOTHESE DU TRAVAIL

Les hypothèses constituent les soubassements les fondations préliminaires de ce qui est à démontrer ou à vérifier sur le terrain.1(*) Selon R.RIZSOHAZY l'hypothèse cherche à établir une vision provisoire du problème soulevé en évoquant la relation supposée entre les faits sociaux dont le rapport constitue le problème et en indiquant la nature de ce rapport 2(*)

D'après SHOMBA KINYAMBA l'hypothèse est une série des réponses qui permettent de prédire la vérité scientifique vraisemblable au regard des questions soulevés par la problématique et dont la recherche vérifié le bien fondé (3(*)). En rapport avec les questions soulevés dans la problématique, mais affirmons que.

- Le faible niveau de l'utilisation de l'outil informatique dans les administrations publiques et privées est un indicateur de faible participation au processus de mondialisation.

- Le nombre réduit des cybercafés et le non acquisition de l'outil informatique dans les secteurs publics et rivées sont des contraintes moyennes à l'accès à celui-ci.

- Le non accès à l'outil informatique ne favorise pas l'accès à une connaissance en perpétuelle évolution et entraine les lecteurs dans la gestion courante des affaires.

3. METHODE ET TECHNIQUE UTILISEES.

A. Méthode

La méthode est l'ensemble de règles des principes qui organisent le mouvement d'ensemble de la connaissance, c'est-à-dire la relation entre les informations correctes rassemblé à l'aide des techniques et le niveau de la théorie et des concepts (4(*))

Dans cette étude, nous avons fait usage de la méthode socratique ou interrogative car s'agit-elle des questions réponses pour avoir les éléments important. Les professeur TSHONGA ONYUMBE définie la méthode comme une manière de faire suivre certaines principes et avoir un certaines ordre. C'est une démarche ordonnée, raisonnée, une technique employé pour obtenir un résultat (5(*))

B. Techniques utilisées

Les techniques sont les outils qui permettent à la méthode des exprimer ou l'intérioriser (6(*))

Les données des sites étudié ont été récoltées a l'aide des moyens suivant :

- La technique documentaire : celle-ci a servi à la consultation des documents écrit (les ouvrages, les archives ainsi que les consultations internet.

- L'interview : elle a été d'une importance capitale en ce sens que certaines informations ont fait l'objet des questions et réponses orales suivants un guide d'entretien.

4. INTERET ET CHOIX DU SUJET

Notre intérêt dans ce sujet porte sur la façon dont la mondialisation a provoqué une nouvelle manière de vivre et d'agir par usage de l'outil informatique. Aujourd'hui sans la connaissance de l'outil informatique signifie la présence des illettrés modernes c'est pourquoi cet outil est devenu important pour tout intellectuel de la troisièmes millénaire.

En effet, notre choix à ce sujet est de savoir la place de l'outil informatique dans l'administration publique, privée, dans la gestion courante des affaires.

5. DELIMITATION DU SUJET

A. Dans l'espace.

Les services publics de la ville de Mbandaka constituent le champ de nos investigations. Certains secteurs feront l'objet de notre observation sur terrain.

B. Dans le temps

Notre étude porte sur la période qui s'étend de 2007à2010.

6. DIFFICULTES RENCONTRES

Dans la réalisation de ce travail nous avons été confrontés à des difficultés dont quelques une militent d'être relevée ;

- L'absence d'une documentation existante dans la mesure où jusqu'à ce jour aucun travail n'a été rédigée dans ce domaine

- Le recours à l'internet nécessitant des frais de consultations pour accéder aux données.

- Les multiples rendez-vous manquées auprès des gestionnaires et des va et viens dans certains cybercafés pour la récolte des données

Toutes fois suite à notre détermination nous sommes parvenus à réunir dés informations et à receler des données qui ont permis d'élaborer notre travail

7. DIVISION SOMMAIRE DU TRAVAIL

Hormis l'introduction et la conclusion, notre travail comprend trois chapitres :

- Le première aborde la généralité du milieu sous l'aspect géographique, administratif, économique et socio culturel ;

- Le second chapitre présenter l'outil informatique la définition de quelques concepts et historique ;

- Le troisième chapitre traite de l'utilisation de l'outil informatique à travers l'analyse et interprétation des résultants sur terrain.

CHAPITRE I : PRESENTATION DU MILIEU D'ETUDES

I.1. Aspect Géographique

I.1.1. La Localisation

Mbandaka, Chef lieu de la Province de l'Equateur est une ville situé entièrement dans la cuvette centrale sur la rive gauche du fleuve Congo et de la rivière Ruki, du mont vers l'aval. D'une superficie de 1.778 Km², la Ville de Mbandaka s'étend sur une longueur d'environ 40 Km de Bamanya à Bongonde7(*).

- Au Nord, par la rivière gauche de la Ruki à sont point jonction avec la rive gauche du fleuve Congo jusqu'au confluent Ruki- Isonji ;

- Au sud par la rivière Panza depuis sa confluente à la rive gauche du fleuve jusqu'à son intersection avec l'axe de la route intérêt nationale vers le village Boyela .De ce village par un sentier jusqu'à sa rencontre avec le Lac PAKU ;

- A l'est, par la rivière Isondji jusqu'a `à la source,

- A l'ouest rive gauche du fleuve Congo jusqu'à son point de jonction avec la rive gauche de la rivière Ruki 8(*)

I.1.2 Le Climat

Par sa situation géographique, la ville de Mbandaka se baigne entièrement dans la zone à climat équatorial qui donne à toute la ville une chaleur élevée car la température moyenne annuelle est de 25°-c le climat est caractérisé par :

- Des pluies abondantes toute l'année

- Une végétation dense et luxuriante ;

- Une l'attitude 0°4 ;

- Une longitude de 18° 18'20'' ;

- Une altitude de 370m9(*)

I.1.3 La Végétation

La ville de Mbandaka est couvert de foret dense et hétérogène ou cuvent des animaux singes, sangliers antilopes, rongeurs reptiles et divers Oiseaux. Ce foret renferme plusieurs espèces d'essence forestières et lianes surtout dans les quartiers Bongondjo, Secri-Wenji, Inganda, Bolenge, Djombo......

I.2. Aspect économique

I.2.1. Agriculture

L'agriculture est essentiellement extensive et sur brulis. Elle reste traditionnelle compte tenu de son matériel simple et des méthodes archaïques, le manioc , le mais, le riz ,la banane , la patate douce sont les culture pratiquées par la population . Quelques plantes maraichère sont aussi cultivées ; les marrantes, oseilles, tomates, ciboules, aubergines.

On y trouve parfois des plantes forestière comme l'avocatier, le papayer, le paumier, le manguier, le safoutier, le mangoustanier, le ramboutanier, l'arbre à pain, le cocotier. Les produits des cultures vivrières sont fournis par les habitants des quartiers périphériques dont Bémponga, Bongonde, Djombo (10(*)).

I.2.2. La Pêche

La pêche est une des activités économique de Mbandaka. Elle est plus pratiquée par les LOKELE, NGOMBE, LIBINZA, MWE, KUTU, TOPOKE et autres dispersés à travers différents campement sur le fleuve Congo ainsi que dans certains quartiers tels que : BASOKO, BONGONDJO, BOLENGE, INGANDA, SECLI - WENDJI.

Pendant la saison sèche, période caractérisée par la baisse d'eau au niveau du fleuve, le rivières, des ruisseaux et des différents états naturels, on pratique la pêche aux claires à la ligne, aux filet, aux nasses, aux hameçons, l'écopage, pendant la saison des pluies ou il y a des inondations énormes avec pénétration des eaux, on fait recours à la pêche aux barrages, aux nasses, aux hameçons, aux filets dormants.

Le matériels de pêche est constitue de pirogue, pagaies, filets, hameçons, nasses, les produits de pêche sont destinés à la consommation ainsi qu'à la vente au niveau du marché local ou exports ailleurs. (11(*))

I.2.3. Elevage

A Mbandaka, on pratique l'élevage de la volaille, ou petit bétail et gros bétails. Mais cette activité n'est pas développée pour la simple raison que bon nombre d'éleveurs laissent leurs animaux en divagation. Ils ne soucient ni de leur alimentation, moins encore de leurs soins. Quelques exploitations organisées s'il en existe se comptent au bout de doigts.

Parmi les espèces qu'on élève, nous pouvons coter : la poule, le canard, la pintade pour la volaille, le porc, le mouton et la chèvre pour le petit bétail et le bovin pour le gros bétail.

Il convient de signaler que les fermes qui, jadis, faisaient la fierté de la ville de Mbandaka ont soit disparus, cas de la ferme de Bolaka, soit font faillites, cas de la ferme de fine rose pour ne citer que ces deux cas, pour contre, on assiste actuellement à l'éclosion de noyau de l'élevage de bovins à travers la ville.

I.2.4. Chasse

Cette activité n'est pas tellement développée dans la ville de Mbandaka ; bien qu'elle soit pratiquée, elle est plus active dans les forêts qui entourent la ville telles que Djombo, Bongonde, on utilise les pièges, les chiens, les flèches, etc... et quelques chasseurs font également l'usage de fusil.

I.3. Aspect Social

Tout être humain est appelé à jouir d'une bonne santé qui lui permettra de mener une vie socialement économique, productive. En effet, toute personne en bonne santé, est in facteur important de développement car en ce sens, il est capable de travailler afin de produire. Cependant si la santé est affectée, tout avenir du productif est sombre (12(*)).

La ville compte aussi les services spécialisés et d'un laboratoire pour les analyses et examens médicaux.

Tableau n°1 : Distribution des structures sanitaires par zone de santé

ZONE DE SANTE

HGR

C.S(2)

01

Mbandaka (1)

-

11

02

Bolenge

1

08

03

Wangata

1

10

Total

2

29

Source : Bureau urbain de la santé publique, Mbandaka, mai 2011.

Hôpital Général de Référence convertis en clinique universitaire.

HGR : Hôpital Général de Référence

C.S : centre de santé.

(2) uniquement les structures officielles.

Le tableau n°1 indique que sur le trente et un (31) structures sanitaires, nous avons deux (2) hôpitaux généraux de référence soit près de 7 % entre vingt et neuf (29) centres de santé soit près de 93%.

Tableau n°2 : Médecins et Personnels soignant par Zone de Santé

Zone de Santé

Médecins

Infirmer

Total

%

A1

A2

A3

01

Bolenge

03

27

10

30

70

26, 41

02

Mbandaka

18

59

09

30

116

43,17

03

Wangata

24

08

15

32

79

29,81

Total général

45

94

34

92

265

99,99

Source : Hôpital générale de référence de Bolenge, Wangata et Clinique de Mbandaka, juin 2011

Les données du travail ci-haut, ils ne sont que selon les zones des santés selon l'ordre de grandeurs HGR de Mbandaka avec 116 cadres soit 43,77% du personnel, Wangata avec 79 unités soit 29,81% et Bolenge avec 70unités 26,41%.

Signalons également la présence du grand laboratoire qui s'occupe des analyses des examens médicaux, ainsi que celle de différente pharmacie permettant à la population de se ravitailler produit pharmaceutique et de nombreux dispensaires éparpillés à travers la ville.

I.3.2 L'Enseignement

La ville de Mbandaka compte plusieurs établissements Scolaires de cycle maternel, primaire et secondaire de différents réseaux d'enseignement, officiel, catholique, protestant, Kimbanguiste, Islamique, fraternel et privés disséminés à travers la ville. Nous avons répertorié :

· 35écoles conventionnés catholiques dont 22 primaires et 13 secondaires ;

· 26 écoles conventionnées protestantes dont 21 primaires et 5 secondaires ;

· 3 écoles conventionnés Kimbanguistes dont 2 primaires 1 secondaire

En ce qui concerne les établissements non convention és nous avons 3 écoles privées agrées ;

· L'école Belge qui organise sont sein, l'enseignement maternel et primaire ;

· L'école francophone «  le perroquet qui organise l'enseignement maternel primaire, secondaire ;

· Le complexe scolaire « le Bon berger qui organise l'enseignement primaire secondaire en profession et enseignement maternel. nous avons aussi quelques écoles privés non agrées quand auxn écoles officielles, la ville de Mbandaka dispose de 19 écoles primaire et 10 secondaires.

La ville de Mbandaka compte donc 147 écoles dont : 11 écoles maternelles ; 94 écoles primaires42 écoles secondaires et autres non agrées 13(*)

Excepté les établissements de l'enseignement primaire, secondaire et professionnel, Mbandaka dispose de quelques établissements supérieurs et universitaires tant officiels que privés dont nous pouvons citer :

· L'Institut supérieur Pédagogique (ISP)

· L'Institut Supérieur de développement Rural (ISDR)

· L'Institut Technique Médicale (ISTM)

· L'Université de Mbandaka (UNIMBA)

· L'Université protestante de l'Equateur (UPE)

· Le grand séminaire de Bamanya (GSB)

· L'institut Supérieur de science Commerciale (ISSC)

· L'institut Facultaire de science Santé Cardinal Etsou (IFSIC)

· L'institut de Faculté des Sciences d'Informatiques et de Communication (IFASIC) en progression.

· L'Institut de Pêche de Bolenge (IPB) en progression.

I.3.3. Habitat

La ville de Mbandaka dispose des belles maisons construites en matériaux durables et semi durable. Dans les quartiers Bosomba et Bongondjo, on trouve les constrictions de l'Habitat pour humanité qui font la fierté de cette ville.

Dans certaines quartiers comme maman Balako, Ikongowasa, on trouve des parcelles abandonnées transformer souvent en potagère tandis que d'autres tels que Bosemba, on assiste au morcellement des parcelles conduisent à des constructions anarchiques.

I.4. Aspect Politico Administratif.

La ville de Mbandaka, chef lieu de la province de l'Equateur, avait été élevée au rang de la ville depuis le 06 septembre 1958 par l'ordonnance - loi n) 12-37514(*)

Elle est dirigée par un maire secondé par vice maire. La ville comprend deux quartiers et ces dernières rues. A la tête de chaque commune, on trouve un Bourgmestre secondé par un assistant. Au niveau de quartiers, les Chefs de quartiers sont des responsables administratifs qui coordonnent toutes les activités. Tandis qui au niveau des rues, on trouve des chefs de rues.

Voici les différents quartiers qui composent les deux communes de la ville de Mbandaka.

Tableau N°3 Répartitions des quartiers par commune

Commune de Mbandaka

Commune de wangata

1

AIR CONGO

1. BOLENGE

2

BAKUSU

2. BOBWANZA

3

BASOKO

3. BONGONDE

4

BOKALA

4. BONGONDJO

5

DJOMBO

5. BOSOMBA

6

IKONGOWASA

6. BOYERA

7

IBANDA

7. ITURI

8

IPEKO

8. INGANDA

9

MAMBENGA

9. MAMAN BALAKO

10

MBANDAKA INKOLE

10. SECLI-WENDJI

Source bureaux des communes Mbandaka / Wangata mai 2010

I.5. Aspect Démographique

La ville de Mbandaka rassemble des populations venues de tous les territoires et met en présence, des groupes extrêmement, différents avec la prédominance du groupement Mongo qui se répartit en 4 sections principales. Entre autres : le groupe Mongo-Mongo, les Mbole, les Ekonda et les autres groupes Mongo.

· Mongo-Mongo : appelé aussi Nkundo, proviennent de Basankusu, Bolomba, Monkoto, Kiri et Bongandanga.

· Mbole : provienne de Boende,Bokungu et Monkoto.

· Ekonda : provienne du centre de Bikoro.

Les autres groupes Mongo : sont des Nsongo,des Befale,des Ekota et des Bakutu de Boende.En dehors de Mongo,les autres peuples riverains de fleuves, les Non Bantous, les allogènes à l'Equateur et les Batswa

Tableau N°04 : Population de la ville de Mbandaka de 2007 à 2010

ANNEES

POPULATIONS

LES NATIONAUX

LES ETRANGERS

TOTAL

2007

2008

2009

2010

751.916

772.841

782.922

928.333

94

115

121

159

752.010

772.956

783.043

929.492

Source : Mairie de la Ville de Mbandaka, Service de l'intérieur : IIème Bureau, juillet 2011

Commentaire : Durant les 3 premières années de notre étude, les données démographiques ont été présentées globalement, sans déterminer le nombre d'hommes ni de femmes, ni d'enfants. Mais toutes ces anomalies ont été redressées en 2009 et 2010.

Répartition de la population de la ville de Mbandaka en 2010

Répartition spatiale de la population par quartier

COMMUNE DE MBANDAKA

Tableau n°05 : Répartition spatiale de la population dans la Commune de Mbandaka

QUARTIERS

POPULATION

%

Hommes

Femmes

Enfants

Total

1

2

3

4

5

6

7

8

9

10

AIR CONGO

BAKUSU

BASOKO

BOKALA

DJOMBO

IBANGA

IKONGOWASA

IPEKO

MAMBENGA

MBANDAKA INKOLE

11.553

7.469

13.785

4.965

14.452

7.092

10.329

5.312

7.263

9.005

10.367

8.000

15.482

5.650

15.928

7.255

11.900

5.503

7.346

9.951

35.245

18.361

32.863

11.395

32.308

15.695

28.413

10.662

15.799

21.285

57.165

38.830

62.130

22.010

62.688

30.042

50.642

21.477

30.408

40.241

13,9

8,24

15,1

5,36

15,3

7,32

12,3

5,23

7,41

9,8

 

TOTAL

91.225

97.382

222.026

410.633

100

Source : Mairie de la Ville de Mbandaka, Juin 2010

De ce tableau n° 5, nous pouvons lire que les quartiers Djombo et Basoko sont les plus peuplés, soit respectivement 15,3 % et 15,1%. Par contre, le quartier Bokala est le moins peuplé avec 5,36 %.

COMMUNE DE WANGATA

Tableau N°06 : Répartition spatiale de la population de la Commune de Wangata

QUARTIERS

POPULATION

%

Hommes

Femmes

Enfants

Totaux

1

2

3

4

5

6

7

8

9

10

BOLENGE

BOMBWANZA

BONGONDE

BONGONDJO

BOSOMBA

BOYERA

INGANDA

ITURI

MAMAN BALAKO

WENZI SECLI

7.423

8.543

13.806

17.675

11.456

15.077

4.972

17.765

11.794

7.189

8.934

10.002

14.563

19.325

12.989

16.754

6.144

18.267

12.432

8.599

14.861

22.406

38.522

51.787

24.479

38.842

8.532

36.554

27.337

10.681

31.218

40.951

69.891

88.787

48.924

76.673

11.648

75.586

51.563

22.469

6,03

7,91

13,50

17,15

9,45

14,81

2,25

14,60

9,96

4,34

 

TOTAL

115.700

128.009

274.001

517710

100

Source : Mairie de la ville de Mbandaka Juin, 2010

La lecture de ce tableau indique que les quartiers INGANDA et WENZI SECLI sont les moins peuplés, soit respectivement 2,25% et 4,34%. Par contre le quartier Bongondjo est le plus peuplé avec 17,15%.

Répartition spatiale de la population et par sexes en 2010

Tableau N°07 : Répartition spatiale par Commune

COMMUNE

HABITANTS

Nombre

%

WANGATA

MBANDAKA

517.710

410.633

55,8

44,2

TOTAL

928.343

100

Source : Mairie de la ville de Mbandaka, Service de l'Intérieur : IIème Bureau, juillet 2011

Répartition par structure d'âges et par sexes en 2010

Tableau N°08: Répartition par âge et sexe en 2010

STRUCTURE D'AGES

SEXES

NATIONAUX

ETRANGERS

TOTAL

ADULTES

HOMMES

FEMMES

ENFANTS

GARCONS

FILLES

(432.316)

206.925

225.391

(496.027)

234.700

261.327

(132)

94

38

(24)

15

09

(432.448)

207.019

225.429

(496.051)

234.715

261.336

TOTAL

928.343

156

928.499

Source : Mairie de la Ville de Mbandaka Juin, 2010

A cause de grands espaces marécageux non habitables, la densité en 2009 est de 522 hab. / Km2.

Chapitre II : GENERALITE SUR L'OUTIL INFORMATIQUE ET DEFINITION DES CONCEPTS UTILISERS.

II.1. DEFINITION SUR LES CONCEPTS DES BASES

II.1.1. Population

En statique descriptive, une population est un en ensemble fini d'objet les individus ou unité statistique sur lesquels une étude se porte et dont les éléments répondent à une ou plusieurs caractéristiques communes. On peut parler aussi d'une population d'écrous produit dans une unité d'une usine (15(*)).

Un ensemble d'individus d'une même espèce vivante se perpétuant dans, un territoire donné est une population biologique et la discipline scientifique qui en fait l'étude est la biologie des populations... des populations humaines sont étudiés par la démographie, la sociologie et la géographie humaine. (16(*))

II.1.2. Mondialisation

Le terme « mondialisation » apparait dans la langue française au début des années 1980 dans le cadre de travaux économique et géographique. Ils signifie l'accroissement du volume des échanges commerciaux de biens de service des main d'oeuvre, de technologie, et de capital à l'échelle internationale et dérivé du verbe « mondialiser » atteste dès 1928. (17(*))

Il désigne initialement le seul mouvement d'extension des marchés des produits industriels à l'échelle des blocs géopolitique de la guerre long temps cantonné au champ académique, il se généralise au cours des années 1990, d'une part sous l'influence des thèses de l'émergence d'un « village global » portées par le philosophe Marshell Meluham.

La mondialisation désigne l'expansion, et harmonisation des biens d'interdépendance entre les nations, les activités humaines et les synthèses politiques à l'échelle du monde. Ce phénomène touche les personnes dans la plupart des domaines avec les effets et une temporalité propres à chacun. Il évoque aussi les transferts et les échanges internationaux des biens des mains d'oeuvres et des connaissances. Ce terme spécifique à l'environnement humain est souvent utilisé aujourd'hui pour désigner la mondialisation économique et les changements induits par la diffusion mondiale des informations sous forme numérique, par exemple l'internet. (18(*))

Complètement générique, le terme mondialisation désigne un processus historique par lequel les individus les activités humaines et les structures politiques voient leur dépendance mutuelle et leurs échanges matériels qu'immatériels s'accroitre sur des distances significatives à l'échelle de la planète. (19(*))

Elle consiste en interdépendance croissantes des économies et contribue à l'expansion des échanges et des interactions humaines.

La genèse du terme explique que ce processus soit le plus souvent envisagé sous le seul aspect de la mondialisation économique, développement des échanges et services accentué depuis la fin des années 1980 par la création de marchés financiers au niveau mondial. Toutefois s'y ajoutent l'aspect culturel qu'apporte l'accès d'une très large partie de la population mondiale à des éléments de culture de population parfois très éloignées d'une part et aussi la prise de conscience par les pays développés dans leur ensemble de la diversité des culture au niveau mondial.

- L'aspect politique que représente le développement d'organisations internationales et ONG,

- L'aspect sociologique de la mondialisation résumé par Zygment Bauman, sociologue et professeur émérite des universités de vasoire et deleeds... « la mondialisation est délectable et irréversibles. Nous vivons déjà un monde d'interconnexion et interdépendance à l'échelle de la planète. Tout ce qui peut se passer quelques parts affecte la vie et l'avenir des gens partout ailleurs. Lorsque l'on évolue, les mesures à adopter dans un endroit donné, il faut prendre en compte les réactions dans le reste du monde. Aucun territoire souverain, si vaste, si peuplé, si riche, soit - il, ne peut prodiguer à lui seul ses conditions de vie, sa sécurité, sa prospérité à long terme, son mobile social en existence de ses habitants. Votre dépendance mutuelle s'exerce à l'échelle mondiale (...) »

- L'aspect géographique de la mondialisation est une réalité spatiale qui est aujourd'hui largement étudié de par de nom lieu géographie notamment Laurent CARROUE. Elle ne correspond pas à une uniformisation du monde à la disparition des territoires mais plutôt à la double logique d'intégration dramatique qui entraine une hiérarchie et une polonisation très faste des territoires

Deux conceptions s'affrontent autour de l'exploitation de cette planète. Selon la conception unitaire, la mondialisation évoque la notion d'un monde sans frontière, ceci dans une approche géographique, idéologique ou économique. Cette conception est soutenue par des organisations internationales ou institutions internationales (notamment le FMI, OMC et autres. Di fun la mondialisation comme unification du monde signifie que l'on parle de l'interdépendance des cultures des technologies et des économies mondiale). De ce fait les expressions comme culture mondiale ou civilisation mondiale, gouvernance mondiale, voire citoyen mondial sont de plus en plus utilisées (20(*)).

La conception conflictuelle et pluraliste considère la forme actuelle de la mondialisation comme la source de nos problèmes. Elle met en une approche de coopération plutôt que de mise en concurrence, qui est le principe de base de la forme actuelle de la mondialisation. Le problème que pose cette approche de la mondialisation sont ceux de hétérogénéité de l'incompatibilité, de la fragmentation de l'intégration de l'ordre et de désordre, de l'inégalité de l'exclusion et de la solidarité de la domination, de l'exploitation, des affrontements idéologique et des relations humaines qui souvent régies par des rapports de force.

II.1.3. Outil

Ethologiquement, le mot « outil » viens du latin usitilium, corruption du latin classique ustensile (21(*)).

Un « outil » est un instrument utilisé par un être vivant directement ou par le truchement d'une machine afin d'exercé une action le plus souvent mécanique ou thermique sur un élément d'environnement à traiter. L'outil peut être compris comme un prolongement de la main, du corps, un intermédiaire d'action, voire comme une prothèse dans le sens où il remplace (ou même crée) un membre ou un organe.

Selon cette définition, outil serait synonyme d'objet technique. Toutefois le langage courant réserve ce terme aux objets portables, interchangeables. Le domaine d'application limite également l'usage de terme outil.

- On parle d'outil en mécanique, dans la construction ou en agriculture/jardinage,

- Pour les objets à usage ménager, on préfère le terme d'ustensile,

- Les objets à vocation artistique ou scientifique sont plutôt appelles instruments du dessinateur etc.,

Au sens figuré, on parle d'outil pédagogique pour désigner du matériel ou des pratiques didactiques. Par extension, terme « outil » peut s'appliquer à des outils virtuel ;

- On appel outil informatique, les applications d'en verdure limitée à une tâche spécifique,

- On appel outil linguistique, les applications de type dictionnaire de langue ou traducteur,

- On appel outil mathématique une notion utiliser de façon récurrente pour faire aboutir des raisonnements ou résoudre des problèmes,

- La notion d' « outil de travail » fait référence aux installations professionnelles d'une entreprise.

II.1.4. Informatique

L'informatique est le domaine d'activité scientifique, technique et industriel en rapport avec les traitements automatiques de l'information par des machines telle que les ordinateurs, les consoles, des jeux les robots, etc. (22(*)).

Le terme informatique désigne à l'origine l'ensemble des activités liées à la conception et à l'emploi des ordinateurs, d'un point de vue principalement technique (23(*)).

Dans le vocabulaire universitaire américains, il désigne aussi l'informatique théorique : un ensemble des sciences formelles qui ont joués objet l'étude de la notion d'information et des procédés de traitement automatique de celle-ci, par exemple l'algorithmique, le traitement du signal, la calculabilité et la théorie de l'information.

II.1.5. Programme

En informatique, un programme est une source d'opération pré- déterminé destinés à être exécuté de manière automatique par un appareil informatique.

II.1.6. Cybercafé

Un cybercafé est un lieu dans lequel on propose aux personnes d'accéder à l'internet. Dans certains publics c'est un des lieux et moyens d'accès d'une partie de la population à la donnée publique (quand elle est disponible en ligne), et à certains services publics ou aux jeux en réseaux (24(*)).

A l'origine, le concept était d'interconnecter plusieurs communautés ou ethnies en utilisant ce média pour faire émerger une nouvelle espèce d'échange et de collaboration avec les éléments virtuelles des concrets.

II.1.7. Bureautique

La bureautique désigne la mécanisation et l'automatisation du travail du bureau, soit les processus de production, l'exploitation, de réception et de conservation des documents. (25(*))

Selon la définition du journal officiel de la République française, la bureautique est l'ensemble de technique et des moyens tendant à automatiser les activités du bureau et principalement le traitement et la communication de la parole de l'écrit et de l'image (26(*)).

II.1.8. Ordinateur

Le mot « ordinateur à été inventé en 1956 par le français Jacques Perret à la demande de l'IBM/France à la fin de doter la langue française d'un terme équivalant à son homologue Anglo-saxons « Computer », tandis que le terme « informatique » a été proposé en 1962 par l'Ingénieur français Philipe DREYFUS et publié par l'académie française en 1965. Ce terme est le résultat de la contraction de deux termes : « INFORMATION et AUTOMATIQUE ». (27(*))

Un ordinateur est une machine électronique qui fonctionne par la lecture séquentielle d'un ensemble d'instruction qui lui font exécutés les opérations logiques et arithmétique sur des chiffre binaire (28(*)).

Les données à manipuler sont obtenus soit par la lecture de mémoire, soit par la lecture des composants d'interface (périphérique) qui représentent des données physiques extérieurs en valeurs binaire (déplacement d'une souris, touche appuyé sur un clavier, température vitesse, compression..).

II.1.9. Information et Donnée

L'information ou donnée informatique est le support formel d'un élément de connaissance humaine susceptible d'être représenté à l'aide de convention afin d'être conservée, traitée ou communiquée. En effet, l'information est donc tout fait, tout signal, tout son, toute image, tout texte etc, susceptible d'être traité par l'ordinateur, alors que le donné seul est une représentation conventionnelle d'une information. (29(*))

II.1.10. Automatique

Ce mot viens du verbe « automatiser » et signifie, la conception et la mise en oeuvre d'un enchainement d'opération qui puissent se dérouler se déclencher sans intervention humain.

II.1.11. Famille d'ordinateur (30(*))

On distingue plusieurs familles d'ordinateur selon leur format (leur taille ou format).

1. Les Mainframe

Traduction ordinateur centraux, il s'agit d'ordinateur surpuissant qui est utilisés pour des opérations de calculs très lourds ou de traitement des données volumineuses.

2. Les ordinateurs Personnels (PC signifie : Personnel Computer)

Deux catégories doivent être distinguées :

- Le PC de Bureau

En anglais : Desktop computer : ils sont composés d'une carte mère et d'un boitier raccordé à un écran, un clavier et une souris

- Les PC portables

En anglais Netbook et Laptop : ils sont composés d'un boitier qui intègre tous les composants : carte mère, écran, clavier... ils sont aussi équipés des sortes pour divers périphériques.

3. Les Tablettes PC.

Ce sont des PC portables avec un écran tactile.

4. Le Centre Multimédia

Ce sont des plates formes matérielles destinés à piloter des éléments HIFI.

5. Les Assistants personnels (PDA) pour Personnal Digital Assistant).

Ce sont des ordinateurs de poche destinés à une utilisation d'organisation.

II.1.12. Type d'Ordinateur (31(*))

On distingue 3 types

1. Micro - ordinateur,

2. Mini - ordinateur,

3. Macro - ordinateur.

II.2. HISTOIRE DE L'OUTIL INFORMATIQUE

II.2.1. Apparition

L'automatisation du traitement d'informatique est lieu plus ancienne que l'invention de l'ordinateur ; leurs premières machines des traitements automatisés étaient des machines mécaniques construite au XVIIeme siècle (32(*)).

« La science informatique dans les années 1950 le secteur d'activité des technologies des l'information et de la commercialisation est lié à la fois à l'informatique, l'électronique et la télécommunication. Les activités sont la production des matériels informatique, machines et pièces détachées, et de logiciels procédés de traitement qui sont destinés à la composition, ou stockage, à la transformation, la transmission et la restitution automatique d'information (33(*)).

II.2.2. Les Avantages de l'outil informatique

- Il fait gagner beaucoup de temps car elle fait en quelques secondes, des taches qui autrefois demandaient des heures,

- Il est sure et ne fait pas d'erreur,

- Il sauvegarde les documents sous forme compacte et évite la consommation de papier,

- Il permet la communication instantanée, comme par exemple les cotations boursières en temps réel,

- Il gère avec précision et sans fatigue des machines qui demandaient autrefois une main d'oeuvre qualifié nombreux et coûteuse,

- Il ne prend pas de vacances, n'est jamais eu congés maladie.

II.2.3. Les Inconvénients de l'outil informatique

- Il perd un temps fou à faire une multitude de choses inutiles qu'on n'aurait pas eu l'idée de faire autrefois,

- On se fie totalement à lui et l'on accepte de ce fait des erreurs qui auraient inadmissible autrefois,

- Le papier reste toujours le seul support qui sera exploitable dans 5 ans, 100 ans ou 1000 ans, on édite toujours tout sur papier, on fait des listings à longueurs de temps, on édite en double, triple...

- Par son instantanéité, il favorise les paniques boursières et les fluctuations excessives,

- Il participe à la diminution du besoin en mains d'oeuvre en donc au chômage,

- Quand il est en panne ou en maintenance, ou pureté, c'est l'usine voire la société entière qui est arrêtée.

II.3. HISTOIRE DE L'OUTIL INFORMATIQUE DANS LA VILLE DE MBANDAKA

C'est vers les années 2001, donc seulement une décennie que l'outil informatique est présent comme outil de gestion par différents utilisateur. Ne dit-on pas qu'un outil n'a de valeur que celle que lui confort son utilisateur.

II.3.1. Les Services Publics

La régie de distribution d'eau, RESIDESO n sigle, est la première structure à intégrer l'outil informatique dans sa gestion. Les ordinateurs sont utilisés dans le calcul du cubage d'eau avant la distribution aux consommateurs. Les informations enregistrées sur les bandes magnétiques constituaient une base de données. Les macros ordinatrices, les minis ordinateurs étaient utilisés dans les différents calculs difficiles à effectuer avec l'intelligence humaine. (34(*))

La Banque Central du Congo (BCC) à aussi utilisé l'informatique comme l'outil d'administration. L'on note la présence de logiciel de la comptabilité financière, le système d'enregistrement des informations par disque dur. Cet outil est suffisamment exploiter dans le transfert d'argent sous formes des codes à différents institutions publique, privé para - étatique et organisation non gouvernementales

II.2.2. Les Organes, Programmes et le Fonds du Système des Nations Unies

En 2001, dans le cadre de la mission organisation des nations unies au Congo (MONUC), avec l'avenues des agences, fonds et programmes de système des nations Unies à Mbandaka, l'outil informatique a servi de seul outil de travail dans le cadre de la communication satellitaire et de masse média. Mont de système de travail a été informatisé et permet de traitement et le transfert de celle - ci à des très grandes distances même en dehors des frontières provinciales et nationales.

II.2.3. Les Missionnaires

En 2002, la congrégation des Pères Lazaristes ont utilisé l'outil informatique dans leurs activités pastorales, la formation. L'internet a été très utilisé est encore.

L'Eglise EL - SHADAIL a organisé le système de consultation des messages bibliques dans sa pastorale et a mit le cybercafé, qui vont bien que mal dessert la population.

II.2.4. Les Sociétés Privées de la Communication

En 2002, plusieurs maisons, sociétés de communication se sont installées à Mbandaka et ont contribué à désenclaver la ville sur le plan communicationnel. Nous pouvons citer des services ; Vodacom, Microcom, celtel.

L'outil informatique par la communication des informations avec Internet a permit la gestion de réseau des abonnés utilisant les appareils cellulaires jusqu'aujourd'hui. (35(*))

II.2.5. La Commission Electorale Indépendante (CEI)

En 2005, dans le cadre de l'organisation des élections transparentes, crédibles et démocratiques, cet organe a utilisé d'outil informatique dans l'élaboration des cartes électeurs, tenant aussi lié de carte d'identité provisoire pour le citoyen Congolais.

Il y a lié de conclure que la demande sociale en matière d'outil informatique est un besoin qui se fait de plus en plus sentir dans la ville. Il suffit d'observer l'afflux des personnes dans quelques cybercafés. D'ailleurs les opérateurs économiques de la ville utilisent de moins en moins dans ce secteur.

Chapitre III : UTILISATION DE L'OUTIL INFORMATIQUE DANS

LA VILLE DE MBANDAKA

L'outil informatique est l'outil par excellence de l'administration, de l'information et de gestion des ressources pour une structure. Ce chapitre s'attache à apprécier le niveau d'utilisation de cet outil dans les secteurs public, privé, petites et moyennes entreprise, le monde associatif.

III.1. Cadre Méthodologique

III.1.1. Choix de l'Echantillon

Pour arrivé à avoir une vision de la réalité étudié, notre échantillon a été stratifié en ce sens que notre observation a porté sur les différents secteurs (éducation, santé, administration publique, entreprises privées, la société civil). Notre population d'enquête comprend un outil 2309 sujets des différents services.

III.1.2. Rédaction et Administration des questionnaires.

Dans le but d'apprécier le niveau d'utilisation de l'outil informatique, un questionnaire aurait été préalablement élaboré et administré aux responsables devant ressortir les indicateurs ci - après :

- La catégorie de l'agent,

- Le nombre total des personnels, des élèves,

- Le nombre des utilisateurs des l'outil informatique,

- Le sexe,

- L'établissement scolaire et institution d'enseignement supérieur et universitaire,

- Le niveau d'utilisation au travers des possibilités de réponses ou choix suivant : très bon (TB), Bon (B), assez bon(AB), Médiocre (M)

III.2. UTILISATION DE L'OUTIL INFORMATIQUE

III.2.1. Le Secteur Public

III.2.1.1. Enseignement Primaire, secondaire et Professionnel

Tableau n°09 : Accès des élèves à l'informatique

Etablissement scolaire

Réseau

Nbre élèves selon le sexe

Total

Accès selon le sexe

Taux d'accès selon le sexe

Taux d'accès par école (%)

 
 
 

M

F

 

M

F

M

F

 

1

Centre Féminin Marie Antoinette

Officiel

0

600

600

0

316

0

52,66

52,66

2

Complexe scolaire le Bon berger

Privé

345

215

560

148

108

57,81

42,18

45,71

3

Institut Frère Iloo

Catholique

824

0

824

384

0

46,60

0

46,60

4

Institut de l'Equateur

Officiel

191

153

344

118

82

59,0

41,0

58,13

5

Institut technique Commerciale et Administrative/BAKUSU

Officiel

1125

683

1808

643

532

54,72

45,27

64,98

Source : Les Palmarès des établissements scolaire, mai 2011.

Commentaire :

Des écoles non mixtes

Les enseignements suivants peuvent être tirés du tableau ci - haut :

Sur 1808 élèves, 1175 élèves soit 65 % ont accès à l'informatique.

Le taux d'accès à l'informatique de manière décroissante par établissement scolaire se présente comme suit : l'Institut Commerciale et Administrative/Bakusu avec 65 %, L'Institut de l'Equateur avec 58%, le Centre Féminin Marie Antoinette avec 53%, l'Institut Frère Iloo avec 47% et le Complexe Scolaire le Bon berger avec 46%.

Selon le sexe, tous les établissements scolaires mixtes considérés de manière décroissante à l'Institut de l'Equateur, les garçons avec le taux d'accès de 59% contre les filles avec 41%, 58% des garçons contre 42% des filles au complexe scolaire le bon berger, et enfin 55% de garçons contre 45% des filles à l'Institut technique Commerciale de Bakusu.

III.2.1.2. Enseignements Supérieur et Universitaire

Tableau n°10 A. Accès de personnel Administratif, Technique et Ouvrier de l'ISDR à l'Informatique

Division

Répartition du Personnel

Total personnel

Accès à l'informatique par sexe

Total personnel accès à l'informatique

Taux d'accès

M

F

M

F

01

Affaires sociales

1

3

4

0

0

0

0

02

Bibliothèque

3

4

7

0

0

0

0

03

Coopération, Planification et Statistique

3

4

4

1

0

1

25

04

Entretient et maintenance

26

1

27

0

0

0

0

05

Finance

1

1

5

1

1

2

40

06

Informatique

2

1

3

2

1

3

100

07

Inscription

3

1

4

1

0

1

10

08

OEuvre estudiantine

1

0

1

0

0

0

0

09

Patrimoine

4

1

5

0

0

0

0

10

Personnel

6

5

11

0

0

1

9

11

Sécurité et garde

20

0

20

0

0

0

0

12

Service académique

2

0

2

0

0

0

0

13

Sport et loisir

86

17

103

6

2

8

7,76

14

Technique

12

0

12

0

0

0

0

TOTAL

173

35

208

12

4

16

 

TOTAL GENERAL

208

208

 
 

16

%

100 %

100 %

75%

25 %

7,69%

 

Source : Division du personnel, ISDR, mai 2011.

Commentaire : nos calculs personnels du tableau ci - haut, il ressort que :

Sur un effectif global de 208 agents, les individus de sexe masculin représentent 75 % contre les femmes avec 25% de l'ensemble du personnel ; Su 208 agents, seize (16) ont accès à l'informatique soit un taux de près de 8 % ; Selon le sexe, sur 16 agents accès à l'informatique, 12 sont de sexe masculin soit 75% contre 25% de sexe féminin.

Tableau n°11B : Accès du personnel Scientifique de l'ISDR à l'Informatique

Grade

Total

Accès à l'informatique

Taux d'accès (%)

01

C.T.

8

2

25

02

ASS2

4

3

75

03

ASS1

3

2

66,66

04

AA.CPP

1

1

100

05

CPP2

0

0

0

06

CPP1

3

2

66,66

Total

19

10

52,63

Source : Section ISDR/Mbandaka, mai 2011.

Commentaire

Les données du tableau ci-dessus montrent que sur un effectif total de dix - neuf enseignants à temps plain, dix, soit près de 53% ont accès à l'outil informatique contre 47% qui sont des « illettrés modernes » parce que ne connaissent pas l'informatique.

Tableau N°12 : Accès du personnel des Clinique Universitaires de Mbandaka à l'outil Informatique

Service

Nbre agent

 

Total

Niveau d'accès à l'informatique

H

F

 

TB

B

AB

M

 

Infirmier

 
 
 
 
 
 
 

1

Chirurgie

3

3

6

 
 
 
 

2

Maternité

1

5

6

 
 
 
 

3

Pédiatrie

2

4

6

 
 
 
 
 

S/Total1

6

12

18

 
 
 
 
 

Médecin

 
 
 
 
 
 
 
 

S/Total2

11

2

13

8 (H)

1(F)

2(H,F)

2(H)

 

St1+ST2

17

14

31

 
 
 
 
 

Total

31

31

 
 
 
 

Source : Service personnel cliniques universitaires de Mbandaka, jui 2011.

Commentaire

Les renseignements suivant peuvent être tirés de tableau ci - haut :

Selon les services (chirurgie, maternité, pédiatrie) sur 18 infirmier, 100 % n'ont pas accès à l'informatique ;

Sur 13 médecins, 62 % ont une connaissance très bonne, 8% bonne 15% assez bonne et 15 % ne connaissant rien de l'informatique.

III.2.1.3. Ministère Provinciaux

Tableau n°13 : Accès à l'informatique selon les Ministères

Ministères

Nbre agent

Total

Connaissance de l'informatique

H

F

TB

B

AB

M

1

Agriculture, Pêche, Elevage et Développement Rural

7

1

8

1

(H)

2

(H)

2

(H, F)

4

(H)

2

Enseignement primaire, secondaire professionnel et recherche scientifique

5

1

6

1

(H)

0

1

(H)

4

(3H, 1F)

3

Intérieur et de l'ordre public

7

1

8

0

2

(H)

2

(H, F)

4

(H)

4

Plan, budget et environnement

6

1

7

1

(H)

1

(H)

1

(H)

4

(3H, 1F)

Total

25

4

29

3

4

6

16

%

86

14

100

10,34

13,79

 

55,17

Source : Les Ministères, Mai 2010

Commentaires

Les donnés du tableau ci-dessus montrent que :

Sun un effectif total de 29 agents des différents ministères, les hommes représentent près de 86% contre une faible proportion des femmes, soit 14% ;

55% d'agents ne connaissant rien et n'ont pas accès à l'informatique, soit 16 agents, 6 agent soit 21% ont une connaissance assez-bon, 4 agents soit 14% ont une bonne connaissance, et 3 agents, soit 10% maitrisent très bon l'informatique.

III.2.1.4. Divisions Provinciales

Tableau n°14 : Accès du personnel à l'informatique

Divisions

Nbre agent

 

Total

Connaissance de l'informatique

H

F

TB

B

AB

M

1

Environnement et Conservation de la Nature

105

21

126

0

2

(H, F)

2

(H)

122

(H : 102, F :20)

2

Sport et Loisir

9

6

15

0

0

7

(H)

14

(H :8, F :20)

Total

114

27

141

0

2

3

136

%

80

20

100

 

1,41

2,12

96,45

Source : Les Divisions Provinciales, mai 2011.

Commentaires

Sur 141 agents et fonctionnaires, le personnel de sexe masculin a un taux d'accès de 81% contre 19% de sexe féminin.

96% du personnel ne connaissent rien et n'ont pas accès à l'informatique, 2% connaissent assez bien et 1% une bonne connaissance de l'informatique.

III.2.2. Le Secteur Privé

III.2.2.1. Les Entreprises privées

Tableau n°15 : Accès des agents à l'informatique

Banques et Société Privées

Nbre agent

Total

Niveau d'accès

H

F

TB

B

AB

M

1

Banque Internationale de Crédit (BIC)

12

5

17

3

(H)

14

(H:9, F :5)

0

0

2

Société de Transfert au Congo (STC)

1

1

2

0

1

(H)

1

(F)

0

3

TMB

10

1

11

6

(H)

5

(H:4, F :1)

0

0

Total

23

7

30

9

20

1

0

%

77

23

100

30

66,66

3,33

0

Source : Direction Banques et société privée STC/Mbandaka, mai 2011.

Commentaires

Du tableau ci - haut, il ressort que :

Sur un effectif total de 30 agents, les individus de sexe masculin représentent 77% du personnel contre 23% de sexe féminin,

30% d'agents (hommes) connaissent très biens et ont accès à l'informatique, 67% connaissent bien et 3% assez bien.

III.2.3. La Société Civile

II.2.3.1. Les Organisations non gouvernementales et programmes

Tableau n°16 : Accès des membres à l'informatique

Banques et Société Privées

Nbre agent

Total

Niveau d'accès

H

F

TB

B

AB

M

01

ACREPADE

2

0

2

0

0

2

0

02

GINI MEDICAL

7

3

10

0

0

1

(H)

9

(H:6, F :3)

03

IDI/CONGO

5

0

5

1

(H)

2

(H)

2

(H)

0

04

PNMLS

10

1

11

3

(H)

8

(H:7, F :1)

 

0

05

RACOJ

5

5

10

2

(H)

5

(H:1, F :4)

 

0

06

REPEQ

7

1

5

0

0

 

4

Total

33

10

43

6

15

 

13

%

75

25

100

13,95

34,88

20,94

30,23

Source : Bureau des organisations, Mbandaka, mai 2011.

Commentaires

ACREPADE : Action pour la Réconciliation paix et Développement

IDI : Initiatives pour le développement Intégral

PNMLS = Programme Multisectoriel de lutte contre le Sida.

RACOJ : Réseau d'Association Congolaise des Jeunes engagés dans la lutte contre le VIH/SIDA

REPEQ : réseau d'encadrement des Pygmées de l'Equateur.

Les renseignements suivants peuvent être tirés du tableau ci - dessus :

Selon le sexe, les agents de sexe masculin représentent près de 77% contre 23% de sexe féminin ;

Su 43 agents, 30 soit 69,76% ont accès à l'informatique contre 30,23 n'ayant pas accès ;

Selon le niveau d'accès, 14% des agents de manière très bonne (TB), 21% assez bonne (AB°, 35% bonne(B) et 30% n'ayant pas accès à l'informatique.

Tableau synthèse n°17 : Taux d'accès à l'informatique

Division, Ministère service structuré

Catégorie personnel

Nbre Agent Effectif

Accès à l'informatique

Répartition par sexe

Taux d'accès (%)

M

F

01

Enseignement primaire, secondaire et professionnel

Elèves

1808

1175

643

532

64,98

02

Enseignement Supérieur et Universitaire

Personnel administratif, technique et ouvrier

208

16

12

04

7,69

Corps scientifique

19

10

10

0

52,63

03

Centre hospitalier clinique

Universitaire

Infirmier

18

0

0

0

0

Médecins

13

11

9

02

84,61

04

Division provinciales

Agents

141

05

4

01

3,54

05

Banque et entreprises privées

Agents

30

30

24

06

100,0

06

ONG et Programme(PNMLS)

Membres et Agents

43

30

23

07

69,76

07

Ministères Provinciaux

Agents

29

13

11

02

44,82

Total

2309

1290

736

(57,05%)

554

(42,94%)

55,86

Source : Nos calculs personnels à partir des données recueillies auprès des services, Mbandaka, mai 2011

Commentaires

Du tableau ci haut, il ressort que :

- Sur 2309sujets enquêtés, 1290 agents soit près de 56% ont accès à l'informatique. Ce taux global cache des différents très significatifs à de chaque service et structure.

- A l'enseignement supérieur et universitaire, au centre hospitalier clinique universitaires, tous les divisions provinciales, les taux d'accès auprès des certaines catégories varies de 0 à 8%.

CONCLUSION GENERALE

Au terme de notre travail, il convient de rappeler les grandes étapes de notre démarche scientifique et les résultats de nos enquêtes sur terrain.

Notre problématique a consisté à faire une appréciation sur l'utilisation de l'outil informatique en tant que outil d'administration d'information et de gestion d ans le secteur public privé, le monde associatif dans la ville de Mbandaka.

Comme hypothèse, nous avons affirmé la très faible insertion de la pratique informatique. Pour arriver à vérifié cette hypothèse, les techniques documentaires, l'interview, les enquêtes auprès des différents secteurs de la vie provinciale ont démontrés le faible taux d'utilisation de l'informatique. Et pourtant cet outil est nécessaire pour le traitement rapide de l'information, permet de gagner le temps. Bon nombre de cadre des différents institutions n'ont encore jusqu'à ce vingt et un siècle accès à l'informatique, malgré les diplômes qu'ils déterminent ce qui fait d'eux des «illettrés modernes ».

Des efforts doivent être fournis par les responsables des administrations pour intégré l'outil informatique dans la gestion quotidienne des ressources humaines financière et matérielle pour plus l'efficacité.

Nous n'avons pas prétendre d'avoir produit un travail parfait. Notre travail de par son originalité oeuvre une piste pour des études plus approfondies.

BIBLIOGRAPHIE

I. OUVRAGES

1. Bruno Bernard L.V. l'export facile pour les PME et PMI, éd. Compyring IBM, 2005.

2. FONT J.M QHINI ou JC. VERROUT. A « les cerveaux non l'introduction à l'informatique, Danoel (Paris) 1970

3. Kinshasa, 2008.

4. Le Robert dictionnaire français, paris, 1988.

5. Michel VOLLE : de l'informatique ; Savoir vivre avec l'automate, économica 2006

6. PIORIER .J. MARCHR, cité par SHOMBA l'histoire de l'éthologie, Paris.

7. Rimoux B., Démarche de la recherche en science politique, éd. UCL, Belgique, 2000.

8. RIMOUX, B, Démarche de la recherche en science politique ,éd , U et , Belgique, 2000.

9. RIZSOHAZY : Cité par SHOMBA KINYAMBA, Méthode de recherche scientifique, éd .M . ES

10. SHOMBA KINYAMBA S., Méthode de recherche scientifique, M.E.S, KIN, 2007.

11. THIERRY TILLIER : Introduction à l'informatique-initiation Windows XP, Livre 1 éd. Compyring 2006.

12. VINCK Honoré et all, Mbandaka, hier et aujourd'hui, éd. Centre Aequatoria, Zaïre 1990.

13. Willian LEFRINGWELL : Scientific office management, éd HP/Intel, 2011

14. Defitech F : Cours d'initiation à l'informatique Novembre 2006

II. LES ARCHIVES

1. Archive Hôtel de ville Mbandaka 2011.

2. Archive de l'Inspection Urbain de l'agriculture, Pèche et Elevage 2010.

3. Archive Sous-division Urbaine de l'EPSP : Mbandaka, 2010.

4. Module de l'informatique générale, 3eme secondaire, éd. 2009.

III. LES REVUES ET AUTRES

1. MATÉRIEL INFORMATIQUE : DES PRIX À TOUT CASSER QUICKTIME 6:

2. UNE EVOLUTION DOUCE RETOUR AU PAPIER WORD-INDESIGN :UN COUPLE EN DEVENIR L'ESCAMOTEUR POLICES SOUS X UN OUTIL 3D PRESQUE PARFAIT

3. CLEFS POUR LA RÉALISATION : MULTIMÉDIA DU GRIS ET DU BON INITIATION À LA MÉCANIQUE MA POLICE EST MALADE TEXTURES POURQUOI, COMMENT?

4. LES NOUVEAUX DÉFIS D'APPLE MÉDIA CRYPTAGE :LE LIFTING PAR L'IMAGE XML : DU BARBARISME À LA RÉALITÉ

5. QUAND LE NUMÉRIQUE : VIENT AUX REFLEX SAGES COMME DES IMAGES MUD GÉNÉRIQUE DVD UN ÉCLATÉ CRISTALLIN DES EFFETS LUMINEUX.

IV. COURS

1. KABAYA.E. Kisangani, initiation à la recherche scientifique, cours, inédit, G1 SPA, UNIC 2008.

2. OLOFIO, éducation à la citoyenneté, cours inédit, G1 droit, UNIMBA, 2007,

3. KWAMBILA Emmanuel, caractéristique contraintes et condition de réussite de l'élevage de

4. Bovin de plateau de BATEKE, TFC, ISDR/Mbandaka, 1995.

V. LES WEB

1. Wikimpédia, l'encyclopédie libre « http.//fr. wikimpédia.org/wiki/outil »

2. Wikimpédia, l'encyclopédie libre/Monde.net

3. W.W.W. Matériel-Infos.be/Informatique.ph.p.

4. W.W.W. commentçamarhe.net/forum/aff.ch-11534224

5. W.W.W. commentçamarhe.net

6. W.W.W. wikimpédia.org

7. W.W.W. google.net

8. www.academie-francaise.fr/langue/index.html 

TABLE DES MATIERES

DEDICACE I

EPIGRAPHE II

REMRCIEMENT ..III

PRINCIPALES ABREVIATIONS .....V

O.INTRODUCTION GENERALE 1

1. PROBLEMATIQUE. 1

2. HYPOTHESE DU TRAVAIL 2

3. METHODE ET TECHNIQUE UTILISEES. 2

4. INTERET ET CHOIX DU SUJET 3

5. DELIMITATION DU SUJET 4

6. DIFFICULTES RENCONTRES 4

7. DIVISION SOMMAIRE DU TRAVAIL 4

CHAPITRE I : PRESENTATION DU MILIEU D'ETUDES 5

I.1. Aspect Géographique 5

I.1.1. La Localisation 5

I.1.2 Le Climat 5

I.1.3 La Végétation 6

I.2. Aspect économique 6

I.2.1. Agriculture 6

I.2.2. La Pêche 6

I.2.3. Elevage 7

I.2.4. Chasse 7

I.3. Aspect Social 8

I.3.2 L'Enseignement 9

I.3.3. Habitat 10

I.4. Aspect Politico Administratif. 11

I.5. Aspect Démographique 12

Chapitre II : GENERALITE SUR L'OUTIL INFORMATIQUE ET DEFINITION DES CONCEPTS UTILISERS. 16

II.1. DEFINITION SUR LES CONCEPTS DES BASES 16

II.1.1. Population 16

II.1.2. Mondialisation 16

II.1.3. Outil 19

II.1.4. Informatique 20

II.1.5. Programme 21

II.1.6. Cybercafé 21

II.1.7. Bureautique 21

II.1.8. Ordinateur 22

II.1.9. Information et Donnée 22

II.1.10. Automatique 23

II.1.11. Famille d'ordinateur 23

II.1.12. Type d'Ordinateur 24

II.2. HISTOIRE DE L'OUTIL INFORMATIQUE 24

II.2.1. Apparition 24

II.2.2. Les Avantages de l'outil informatique 25

II.2.3. Les Inconvénients de l'outil informatique 25

II.3. HISTOIRE DE L'OUTIL INFORMATIQUE DANS LA VILLE DE MBANDAKA 26

II.3.1. Les Services Publics 26

II.2.2. Les Organes, Programmes et le Fonds du Système des Nations Unies 26

II.2.3. Les Missionnaires 27

II.2.4. Les Sociétés Privées de la Communication 27

II.2.5. La Commission Electorale Indépendante (CEI) 27

Chapitre III : UTILISATION DE L'OUTIL INFORMATIQUE DANS 28 LA VILLE DE MBANDAKA 28

III.1. Cadre Méthodologique 28

III.1.1. Choix de l'Echantillon 28

III.1.2. Rédaction et Administration des questionnaires. 28

III.2. UTILISATION DE L'OUTIL INFORMATIQUE 29

III.2.1. Le Secteur Public 29

III.2.1.1. Enseignement Primaire, secondaire et Professionnel 29

III.2.1.2. Enseignements Supérieur et Universitaire 31

III.2.1.3. Ministère Provinciaux 33

III.2.1.4. Division Provinciales 34

III.2.2. Le Secteur Privé 35

III.2.2.1. Les Entreprises privées 35

III.2.3. La Société Civile 365

II.2.3.1. Les Organisations non gouvernementales et programmes 36

CONCLUSION GENERALE 38

BIBLIOGRAPHIE 39

TABLE DES MATIERES 39

* 1 RIMOUX, B Démarche de la recherche en science politique, éd, U. Belgique, 2000, p 1.

* 2 RIZSOHAZY : Cité par SHOMBA KINYAMBA, Méthodes de recherche scientifique, éd .M . ES Kinshasa, 2008 p 52.

* 3 SHOMBA KINYAMBA Op. Cit., p. 51.

* 4 SHOMBA KINYAMBA ,K, Op.cit., P 121.

* 5 TSHONGA ONYUMBE A, méthode de la recherche scientifique, Cours, inédit, GI Droit UNIMBA 2007, P.2

* 6 PIORIER .J. MARCHR, cité par SHOMBA, l'histoire de l'éthologie, Paris 2002, P .47.

* 7 VINCK Honoré et all, Mbandaka, hier et aujourd'hui, éd. Centre Aequatoria, Zaïre 1990, p. 17.

* 8 Archive Hotel de ville Mbandaka

* 9 idem

* 10 Archive de l'Inspection Urbain de l'agriculture, Pèche et Elevage, 2010, P. 13

* 11 Archive de l'Inspection Urbain op. cit

* 12 Kwambila Emmanuel, Caractéristiques contraintes et conditions de réussite de l'élevage de Bovin de plateau de BATEKE, TFC, ISDR/Mbandaka, 1995 P. 15

* 13 Sous-division Urbaine de l'EPSP : Mbandaka, 2010.

* 14 Archive Hotel de ville de Mbandaka 2010

* 15 Wikimpédia, l'encyclopédie libre//http//Monde.net

* 16 Idem

* 17 Ibidem

* 18 Bruno Bernard L.V. l'export facile pour les PME et PMI, éd. Compiring IBM, 2005, P. 58

* 19 Idem

* 20 Wikimpédia, l'encyclopédie libre,  « hp//fr.mondialisation.org/wiki.net

* 21 Wikimpédia, l'encyclopédie libre « http.//fr. wikimpédia.org/wiki/outil »

* 22 W.W.W. Matériel-Infos.be/Informatique.ph.p.

* 23 W.W.W. commentçamarhe.net/forum/aff.ch-11534224

* 24 W.W.W. commentçamarhe op.cit

* 25 Willian LEFRINGWELL : Scientific office management, éd HP/Intel, 2011, P. 20

* 26. www.academie-francaise.fr/langue/index.html 

* 27 Module de l'informatique générale, 3eme secondaire, éd. 2009, p. 28

* 28 Idem p. 15

* 29 Defitech F : Cours d'initiation à l'informatique, Novembre, Corporation, Paris 2006, PP. 3-6

* 30 THIERRY TILLIER : Introduction à l'informatique-initiation Windows XP, Livre 1 éd. Compyring 2006 p.4

* 31 THIERRY TILLIER, op.cit., p. 12

* 32 FONT J.M QHINI ou JC. VERROUT. A « les cerveaux non l'introduction à l'informatique, Danoel (Paris) 1970, P. 56

* 33 Michel VOLLE : de l'informatique ; Savoir vivre avec l'automate, économica, 2006, P. 48

* 34 RESIDESO ; Base de données sur la distribution d'eau-Ville de Mbandaka, 2011

* 35 PTT ; Ministère de Transport et Télécommunication - Mbandaka, 2011.






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