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Ressources fourragères et représentations des éleveurs, évolution des pratiques pastorales en contexte d'aire protégée. Cas du terroir de Kotchari à  la périphérie de la Réserve de biosphère du W au Burkina Faso

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par Issa Sawadogo
Museum national d'histoire naturelle de Paris (ED 227) - Docteur du museum national d'histoire naturelle spécialité physiologie et biologie des organismes  2011
  

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7.2.2. Des pistes d'actions pour des systèmes d'élevage durables

Au terme de cette recherche sur les ressources pastorales, les pratiques pastorales et les stratégies qui les sous-tendent et en considérant le contexte tel qu'il apparaît que peut-on dire des conditions qui pourraient permettre un élevage durable ? L'élevage extensif (sédentaire ou mobile) est-il viable et durable dans le terroir de Kotchari ? Si non quels sont les ajustements nécessaires qui doivent être opérées en son sein et dans le système global étudié ? Quelle

pourraient être les conséquences de ces ajustements sur le devenir des écosystèmes du terroir et des réserves voisines ? En d'autres termes, il s'agit de répondre à la question : « comment garantir la mobilité d'élevage tout en l'adaptant au contexte local ? »

Une gestion adaptative qui prend appui sur la maîtrise des effectifs

En se basant sur l'état actuel des pâturages du terroir, on peut dire que certaines des pratiques mises en oeuvre par les éleveurs et les autres acteurs sont durables. On s'attendait, en effet, face aux effectifs de bétail observés sur le terroir, à des niveaux de dégradation des unités pastorales, notamment celles les plus anthropisées (UPP3, UPP4, UPP5 et UPP6), plus élevés. Toutefois, la situation d'ensemble ne pourrait être durable (c'est-à-dire efficace sur le long terme) que si les effectifs de bétail présent sur le terroir étaient maîtrisés, comme l'explique bien César (1994). En effet, le problème central de la gestion des écosystèmes pâturés tient à l'équilibre entre les pressions d'exploitation et l'état des ressources. Ce problème a longtemps été réduit à celui d'une gestion des troupeaux et des espaces qui se fondait sur la notion de capacité de charge. Cependant la pertinence d'une telle approche est maintenant fortement contestée, surtout en contexte de non-équilibre (Ellis & Swift, 1988 ; Grouzis, 1988 ; Behnke & Scoones 1992 ; Magda et al. 2001 ; Hatfield & Davies, 2006 ; Wane, 2006 ; Allen et al. 2011) comme c'est le cas ici108. Sans revenir sur la controverse qui entoure une telle notion (voir l'encadré II-1, page 34 pour plus de précision), rappelons simplement que dans les environnements instables (César, 1992 & 1994 ; Hatfield & Davies, 2006) la quantité de matière sèche produite varie considérablement dans l'espace et le temps avec le régime des pluies ; il devient alors risqué et trompeur (Daget & Godron, 1995) de baser toute approche de gestion sur celle-ci. Nos résultats montrent, en effet, que les unités pastorales dans le terroir n'ont pas les mêmes potentialités et ne sont pas au même niveau de dégradation et on ne voit pas comment en système ouvert on peut proposer des mesures ciblées de gestion de charge.

Dans le contexte qui est le notre, marqué par une forte variation dans la distribution spatio-temporelle des ressources et une non appropriation de celles-ci, la gestion des écosystèmes pâturés peut se faire selon l'approche de gestion adaptative (CEMAGREF, 2008) ; celle-ci, mise en oeuvre dans le cadre de la gestion intégrée de populations d'ongulés sauvages et de leur habitat, s'appuie sur le suivi d'indicateurs biométriques (qui renseignent sur l'état corporel des animaux composant les troupeaux) et biologiques (qui renseignent sur l'évolution des écosystèmes). En effet, avec le risque de dégradation des ressources fourragères, la gestion d'ongulés sauvages circulant librement dans des espaces limités présente certains points communs avec celle des troupeaux dans les systèmes d'élevage pastoral. Pour cette faune, la solution aujourd'hui adoptée en Europe est le déstockage du surplus d'animaux dès que des signaux négatifs viennent à être observés quant à l'état d'équilibre des milieux. C'est pourquoi, un préalable serait de veiller à la maîtrise des effectifs, à partir de là les indicateurs deviennent de bons outils de gestion. Parallèlement à

108 Selon la carte phytogéographique de Fontes & Guinko (1995), notre terroir se trouve dans le district de la Pendjari (zone sud soudanienne). Cependant, avec la descente des isohyètes et le régime climatique en cours (voir chapitre 3 ; paragraphe 3.2.1 ; page 45), nous sommes plutôt en contexte de semi-aridité et les écosystèmes évoluent selon un processus de non-équilibre.

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cette gestion adaptative, des ajustements à divers niveaux des systèmes d'élevage sont nécessaires, ils pourraient s'inspirer des pratiques locales dont certaines font déjà la preuve de leur durabilité. Il convient donc d'en faire l'inventaire pour déterminer celles qui sont à encourager parce que compatibles avec les dynamiques biologiques en cours.

Les pratiques locales comme porte d'entrée pour toute intervention

Les troupeaux du terroir sont de grande taille et cette tendance se renforce. Or, on sait que les grands effectifs sont dommageables pour les animaux composant les troupeaux en même temps que pour les écosystèmes pâturés (Daget & Godron, 1995 ; Boutrais, 1996). En effet, quand la concurrence est ainsi accrue, les animaux modifient leur comportement alimentaire, ils ne sélectionnent plus les herbes, ce qui se ressent dans la qualité des rations prélevées et donc des performances surtout qu'en plus, en de pareilles circonstances, les distances parcourues sont plus importantes. Par ailleurs, aucune herbe n'est préservée et les équilibres sont plus vite rompus.

Les différents groupes d'éleveurs étudiés ont montré une tendance à l'allotement de leurs troupeaux, à l'homogénéisation des espèces (sauf chez les Gourmantchés) vers celles les plus économiques (bovins et ovins ou bovins seuls) et à la sélection de races rustiques comme la Barbaji et la Gurmaji qui tendent à dominer dans les troupeaux locaux. Si cela est à encourager du point de vue du bien être de l'animal qui arrive à se satisfaire sur de courtes distances (gains optimisés), il n'en va pas forcément de même pour l'état biologique de la ressource. En effet, les animaux peu exigeants ont un comportement alimentaire peu sélectif et prélèvent presqu'entièrement la ressource fourragère des milieux pâturés (la pâture est alors dite rasante ou intégrale) ; l'ampleur des dommages sera, en conséquence, fonction du niveau de la pression (intensité et fréquence de fréquentation) de pâture.

La question de l'impact de la composition du troupeau sur les écosystèmes pâturés devient plus complexe lorsque celui-ci comprend plusieurs espèces et/ou plusieurs races d'une même espèce. En effet, alors que, d'après Boutrais (1996), les troupeaux hétérogènes sont les plus dangereux pour l'état des ressources en ce qu'ils exploitent une large gamme de fourrages situés à différentes hauteurs (herbes, feuilles et fruits d'arbres), César (1992), Lhoste (2004) et Louppe et al. (2000) repris par Kièma S. (2007) avancent le contraire. D'après Lhoste (2004), en situation de charge raisonnable, la diversité animale permet de mieux valoriser les écosystèmes pastoraux qui, eux-mêmes, restent assez divers et moins déstabilisés. Si donc, les effectifs sont maitrisés, il faut accompagner les éleveurs dans la diversification spécifique de leurs troupeaux et dans l'allotement qui permet de repartir les charges sur divers milieux et d'éviter les surcharges localisées. Ce qui permet de prévenir ou de retarder la dégradation des ressources et l'érosion de la biodiversité. Les races bovines exigeantes (grandes consommatrices ou sélectives) (Boboroji et Kiwali) accélèrent en effet ces phénomènes, mais leur disparition progressive dans les troupeaux présents dans notre terroir est un bon signe109 qu'il faut encourager. Pour permettre, par ailleurs, une diversité dans les choix des races, il convient d'aider à la promotion de la race Gudali qui, bien que moins prolifique, est aussi

109 Le bon signe est à voir du côté strict de la ressource fourragère qui verrait ainsi sa dégradation amoindrie. Mais si on se place du côté de la biodiversité animale et de l'attachement que les éleveurs ont avec ces races, il est clair leur disparition refléterait plutôt une perte.

adaptée. En outre, dans un contexte de cloisonnement et de réduction des pâturages, l'allotement est une pratique efficace (Djenontin et al. 2009), surtout lorsque que l'éleveur est mu par le souci de pouvoir gérer les risques de dégâts champêtres (meilleure maîtrise de son troupeau) et/ou pouvoir exploiter tous les recoins du terroir ; ce que ne permet pas un troupeau à grand effectif.

Le calendrier pastoral des éleveurs de même que la chaîne de pâturage sont la preuve que ceux-ci tiennent compte des autres acteurs (éloignement des champs et des réserves110) dans leurs pratiques d'affouragement des troupeaux. Toute intervention devra s'en inspirer tout en aidant à lever les contraintes qui s'opposent à leur mise en oeuvre. Comme on l'a vu, d'assez vastes portions du terroir ne pouvaient être exploitées en saison sèche faute de points d'eau fonctionnels pour l'usage pastoral ou mixte. On est alors tenté comme Binot et al. (2006) de proposer de réaliser des points d'eau qui seraient ainsi des pôles d'attraction (Dumont et al. 2001), mais des risques existent ; cela peut, en effet, drainer les troupeaux des terroirs voisins et provoquer des dégradations localisées (Touré, 1997 ; Baroin, 2003) autour de ces points d'eau entrainant ainsi des effets contraires à ceux attendus.

Les éleveurs résidents explorent un espace de plus en plus vaste (transhumance, délocalisation temporaire sur les terroirs voisins) mais le phénomène est d'ampleur moindre eut égard à la saturation foncière locale. Ils semblent en fait partagés entre deux options : transhumer ou se sédentariser. En réalité ils transhument plus qu'ils ne restent sur place et un grand nombre d'entre eux, qui se font compter parmi les "non transhumants" fréquentent les aires protégées. Du reste, si la présence de la race Gurmaji peut laisser penser à un début de sédentarisation, d'après Kaboré (2010), ceci est vite contredit par l'accroissement de la taille des troupeaux ; d'après Boutrais (1996), en effet, la sédentarisation implique à la fois le changement dans les races (ou leur croisement avec des races adaptées) et l'abaissement des effectifs. L'accès camouflé aux réserves repose la question de la valorisation de leurs ressources fourragères déjà évoquée par Kièma S. (2007), l'auteur suggère d'ailleurs un accès bien encadré auxdites ressources.

Limiter les effectifs mais ne pas forcément sédentariser

L'option de sédentarisation des élevages telle que le recommandent bien souvent les services techniques étatiques (Lhoste, 2004; Kossoumna Liba'a, 2009 ; Kossoumna Liba'a et al. 2010) a déjà montré ses limites par le passé. Kossoumna Liba'a (2009) montre d'ailleurs que même lorsque les éleveurs en sont contraints, ils ne peuvent abandonner totalement la transhumance saisonnière. De même, Dongmo et al. (2007) ont observé que les tendances à la "sédentarisation" (aussi constaté par D'Amico et al. 1995 en milieu Mbororo de Centrafrique) qui naissent dans divers terroirs en Afrique soudano sahélienne ne s'accompagnaient pas de décapitalisation des troupeaux. L'option doit donc être écartée et nous chercherons plutôt à garantir que l'élevage extensif se maintient dans le terroir tout en s'adaptant. La limitation des effectifs dans les troupeaux n'est donc pas synonyme pour nous de la fixation des éleveurs. Une telle option dans les conditions actuelles à Kotchari, où l'espace tend à manquer, serait risquée pour l'état des ressources naturelles. Il faut en effet rappeler que des politiques de

110 Nous avons cependant montré que cela relevait de stratégie de camouflage

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sédentarisation totale menées par le passé (Touré, 1997 ; Scoones, 1999 ; Baroin, 2003) ont connu plus d'échecs que de résultats probants, elles ont conduit à des dégradations irréversibles localisées par suite d'excès de charge. Il est constant en effet qu'une pâture fréquente et prolongée sur un même secteur du territoire (par exemple autour des points d'eau) par un nombre important d'animaux est source d'instabilité.

Nous voyons comme durables des systèmes d'élevage semi-sédentaires, c'est-à-dire à michemin entre la sédentarisation et la mobilité telle qu'elle se pratique actuellement. Nous n'ignorons cependant pas, comme Kossoumna Liba'a et al. (2010), la difficulté d'une telle "demande" d'abaissement des effectifs, cela appelle à un changement de paradigme qui conduirait les éleveurs (les plus nombreux) d'un élevage extensif de capitalisation, fondement de l'économie pastorale (Daget et Godron, 1995 ; Boutrais, 1996), à un système plus marchand qui les ouvrirait au marché (déstockage des mâles adultes). Cela suppose cependant l'intensification du système (investissement en aliments concentrés et en soins divers). Cette intensification suppose par ailleurs une plus grande intégration à l'agriculture (Raimond, 1999 ; Requiers-Desjardins, 1999) : pratique de cultures à double usage111 ; ce qui accroît la capacité des écosystèmes pastoraux à supporter plus de pression de charge (Harchies et al. 2007). Il est connu que le caractère naisseur des troupeaux des éleveurs spécialisés (les Peuls pour ce qui nous concerne) répond à deux stratégies concourant toutes deux à l'accroissement des effectifs (Lhoste et al. 1993; Boutrais, 1996): gérer les risques et avoir du lait pour l'alimentation et surtout les échanges. En s'adonnant à des activités agricoles à côté de celles pastorales, les éleveurs seront moins dépendants de leurs troupeaux pour leur alimentation et peuvent alors entretenir des troupeaux moins prolifiques tout en valorisant mieux le lait qu'ils produisent comme le suggère Boutrais (1996). Mais ce qui apparait comme un compromis nécessaire à nos yeux entre ce type d'élevage et l'état des ressources n'est pas évident à réaliser, le pastoralisme est en effet un système de vie et comme tel ses transformations doivent s'inscrire sur le long terme.

En définitive, l'argument de la maîtrise des effectifs, même s'il ne permet pas de résorber totalement les menaces qui pèsent sur les ressources étant donné le grand dynamisme agricole localement observé, permet tout de même d'abaisser notamment la pression de pâturage de saison pluvieuse et, ainsi, de ne pas compromettre la production fourragère. Il s'agit de maintenir le système dans une situation où la production fourragère est telle qu'elle suffit à nourrir le cheptel sans se détériorer.

Intervenir à d'autres niveaux

Nous sommes conscient du fait que toutes ces propositions ne sont pas suffisantes, nous sommes en effet dans un système complexe qui prend en compte d'autres acteurs (acteurs du mode agricole, de la conservation, politiques, etc.) dont les activités interagissent avec les activités pastorales. Comment alors, atteindre l'équité et la durabilité lorsque les enjeux défendus par les uns et les autres s'avèrent antagonistes ? (Harchies et al. 2007 ; Djenontin, 2010).

111 Les cultures fourragères pures n'ont jamais pu être adoptées en milieu paysan.

Il est un fait que les politiques de développement rural, notamment les politiques foncières rurales (Kièma S., 2007 ; Kaboré, 2010) privilégient les activités agricoles au détriment des activités pastorales. Par ailleurs, selon Kaboré (2010), la politique de gestion participative des aires protégées et les retombées qui en résultent ainsi que celle de gestion décentralisée des ressources naturelles dans les terroirs, sont favorables aux velléités dominatrices des communautés autochtones (généralement les agriculteurs), celles-ci trouvent là, en effet, une sorte de seconde chance pour reconquérir un pouvoir de maîtres territoriaux auparavant remis en cause par les mêmes politiques. Les éleveurs traditionnels (les Peuls) et leurs troupeaux, considérés comme des étrangers, vivent ainsi une situation de précarité foncière du fait de leur exclusion contrairement à l'esprit inclusif et d'accès équitable aux ressources véhiculé par ces politiques ; ils constituent alors une menace pour les objectifs de conservation et ce malgré le renforcement en cours du dispositif de protection des réserves (mise en place des ZOVIC comme zones tampon, plus grande surveillance, etc.).

Cette question d'accès aux ressources des aires protégées mérite d'être définitivement posée. Nos résultats montrent en effet que, localement, le système arrive à se réguler parce qu'une grande part du troupeau accède au parc W et à la réserve partielle de la Kourtiagou. Il est difficile d'imaginer les conséquences sur les écosystèmes en périphérie, et donc sur les populations et leurs troupeaux, si le dispositif de surveillance et de gestion participative qui l'accompagne arrivait à bout de la pâture illégale dans les réserves fauniques voisines. Sans accéder au désir de la majorité des populations riveraines de voir leur bétail accéder librement aux réserves (ce qui, du reste, reviendrait à reporter les difficultés de maintenant dans le futur), nous convenons avec Kièma S. (2007) qu'il y va de l'intérêt même des gestionnaires des aires protégées, d'entrevoir un accès contrôlé à leurs ressources. Le sujet reste délicat et la forme (accès par parcage direct ? accès indirect par fauchage de la paille ?) reste à définir mais, de notre point de vue, il faut anticiper sur ce qui adviendra forcément. A ce sujet, il faut signaler qu'une expérience originale se mène dans le parc de la Pendjari au nord-Bénin, contigu au parc W (extrait d'entretien avec Tiemoko Djafarou, directeur national du Parc national de la Pendjari ; avril 2010). La direction de cette réserve de biosphère, grâce à des contrats signés avec les éleveurs résidents, permet l'exploitation indirecte (fauchage de la paille) dans la zone tampon. L'expérience s'est avérée concluante, elle a permis en effet de mobiliser ces communautés, qui perçoivent désormais l'utilité de cette entité, dans la surveillance des ressources contre la pâture illégale. Des réflexions sont d'ailleurs en cours pour envisager l'expérimentation du parcage direct toujours sous-forme contractuelle.

En ce qui concerne les activités agricoles, le défi réside dans la forte progression du front agricole imputable à deux phénomènes : la demande naturelle en terre résultant de la croissance démographique et la culture du coton qui est très demandeuse d'espace. La durabilité du système commande que des actions soient prises également à ce niveau, l'objectif devant être de freiner à défaut de stopper l'occupation et l'obstruction des terres de parcours par les champs. Mais cela ne relève plus du domaine strict de la recherche.

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"L'ignorant affirme, le savant doute, le sage réfléchit"   Aristote