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Analyse des facteurs determinant la demande du riz au centre et au sud du Bénin

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par Djalalou- Dine Ademonla Alamou Arinloye
Université d'Abomey- Calavi (Bénin ) - Ingenieur agro- économiste 2006
  

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3-2-3-2- Approches théoriques d'analyse de la demande

Plusieurs approches sont utilisées par différents auteurs pour l'analyse de la demande. Au nombre de celles-ci nous avons le LES, le modèle Hédonique, le AIDS (Système de Demande Presque Idéal), l'Approche Alternative d'Analyse de la Demande, etc. L'estimation de ces deux derniers modèles se fait à partir des données de séries temporelles (Sadoulet et Janvry, 1993). Cependant, les modèles LES et Prix Hédoniques sont estimables à partir des données spatiales. Vu les contraintes temporelles et financières auxquelles nous sommes assujettis pour la présente étude et le type de donnée dont nous disposons (données transversales), nous nous limiterons aux modèles LES et Prix Hédoniques, qui ont été utilisés de façon complémentaire.

Ces deux modèles ont connu une large application dans le monde scientifique.

Ainsi, à partir des données transversales, le modèle LES a été estimé par Van Der Gaag et Smolensky (1980) dans leur étude sur les caractéristiques des ménages pauvres et les vraies échelles d'équivalence des ménages aux USA. Aussi, Abansi et al (1990) ont-ils utilisé le modèle des prix hédoniques pour évaluer les préférences des consommateurs pour la qualité de riz aux Philippines. Ils ont montré que les consommateurs de riz attachent une importance économique aux qualités. Ce modèle a été également utilisé par Bonifacio et Duff (1989) pour examiner en Indonésie les effets des opérations de décorticage «milling» et du pré-décorticage «pre-milling» sur la qualité de riz. Leurs résultats ont montré des différences significatives dans la qualité de riz selon le type d'opération de décorticage. Walburger et Foster (1994) ont à travers ce modèle estimer les prix absolus des sangliers. Ce modèle fut récemment utilisé par Langyintuo et al (2004) dans leurs études des préférences du consommateur du niébé (Vigna unguiculata) au Cameroun et au Ghana.

4 Modèle Système de Dépense Linéaire (LES) 3

Le LES est l'un des modèles les plus fréquemment utilisés dans les analyses empiriques de la demande Sadoulet et Janvry (1993). Il dérive de la fonction d'utilité de Stone-Geary qui se présente comme suit :

n n

U = ? ( q c )

-

i i

b i

ou ln U = b q - c

1 ln( )

i i

 

i = 1 i= 1

Avec : 0 < b1 < 1 ; bi 1 ; q i - c i > 0 ; et ci > 0.

=

i

Les c sont interprétés comme les quantités minimales de subsistance en dessous desquelles la consommation ne peut descendre. Les fonctions de demande dérivant de la maximisation de cette fonction d'utilité sous une contrainte budgétaire constitue le LES :

p i q i c i p i b i y

= + - c j p j , i = 1,...., n. (1)

j

Pi et qi représentent respectivement le prix et la quantité du bien i alors que y représente la dépense totale.

3En Anglais : Linear Expenditure System

Dans cette formule, les b sont les parts du budget marginal, ?pq /?y qui explique comment changent les dépenses avec la variation du revenu. c j p j est la dépense de

j

subsistance et le terme y - c j p j est généralement interprété comme un « uncommitted

j

or supernumerary income». Il s'agit d'un revenu pour lequel les dépenses sont faites dans des proportions fixes bi entre les produits.

On déduit de l'équation (1), l'expression de LES relative à la quantité demandée comme suit :

b i

q = +

c y - c p

i i j j

p i j

La forme fonctionnelle de ce modèle utilisée dans la présente étude est dérivée de celle proposée par Van Der Gaag et Smolensky (1980) qui se présente comme suit :

q ij c i b i y ij c i

= 0 + + +

' h ij c i "k ij

i=1,....Z et j=1, ....N

 

qi est la quantité de bien i demandée ;

y est le revenu de ménage, et

h est vecteur des caractéristiques du ménage.

ki est vecteur des caractéristiques du bien i, et

ci les coefficients à estimer.

La non prise en compte du prix du bien dans cette forme fonctionnelle se justifie par le fait que nous ne disposons que de données transversales et par conséquent les consommateurs feront face au même prix pour chaque bien considéré au cours d'une même période comme le confirment Van Der Gaag et Smolensky (1980).

Il est reconnu qu'en absence de variation du prix, une vraie estimation du modèle de demande est difficile (Muellbauer, 1974). Pour surmonter cette difficulté, Kakwani (1977) a proposé l'introduction des caractéristiques du ménage dans le système de la demande pour estimer le LES.

L'estimation du LES permettra d'identifier les facteurs déterminant la demande. Pour analyser l'influence de ces facteurs sur le prix du bien et mesurer l'aptitude des consommateurs à payer pour bénéficier des attributs de ce bien en fonction de leur préférence respective, l'estimation du modèle de prix hédonique serait indispensable.

4 Modèles de prix hédonique

Le point de départ de l'approche hédonique repose sur le constat que les différents biens qui sont échangés sur les marchés ne sont pas recherchés pour eux-mêmes mais pour les quantités de différentes caractéristiques qui les définissent (Gravel, 2000).

Mais l'approche hédonique va plus loin que de simplement constater que les biens sont recherchés pour les caractéristiques qu'ils possèdent. Elle affirme que les biens ne sont rien d'autres que des «vecteurs» des différentes caractéristiques qui les définissent. Telle qu'examinée à la lumière de l'approche hédonique, un bien n'existe pas. Seule existe une liste de quantités de caractéristiques possédées par ce bien (Gravel, op cit). C'est ce qui fait penser que le consommateur attache un prix implicite à chaque caractéristique du bien.

· Structure du modèle hédonique

Le modèle Lancaster (1966) de la théorie de consommation reste la base conceptuelle d'estimation de la demande du consommateur lorsqu'on considère la qualité des biens. Ce modèle tient compte des caractéristiques du bien et non le bien lui-même comme objet direct de l'utilité.

Ainsi les différences de prix à travers les différentes unités de transaction sont significativement dues aux différentes qualités qui peuvent être mesurées en terme de caractéristiques. Utilisant ce concept, Ladd et Suvannunt (1976) ont développé le modèle des caractéristiques des biens consommés qui décrit le prix d'un bien comme une sommation linéaire de la valeur implicite de ses attributs.

· Estimation des modèles hédoniques

D'après Terra (2005), pour estimer les modèles hédoniques, les économistes ont généralement le choix entre plusieurs formes fonctionnelles (linéaire, log-linéaire, semi-log, Box-Cox).

a- Modèles avec variables expliquées non transformées

Le modèle linéaire est la forme fonctionnelle la plus simple utilisée dans l'estimation des régressions hédoniques. Il relie le prix de vente pi (non transformé) du produit i aux J différentes variables explicatives (non transformées) xi =(xi1, ..., xiJ) par l'équation 1.

Le coefficient associé à chaque variable correspond au prix implicite de cette caractéristique.

i (1)

J

P i = x ij â +å

j

j =1

Ainsi, chaque âj correspond au prix implicite de la caractéristique j. Par ailleurs, une

augmentation d'une unité de la caractéristique xj entraîne une augmentation de âj FCFA du prix de vente.

Ce modèle linéaire peut aussi prendre une autre forme, qualifiée parfois de modèle «semi-log » (ou de lin-log). Dans ce cas, le modèle relie le prix de vente (pi) non transformé aux variables explicatives dont certaines (xj) sont non transformées et d'autres (zj) en logarithme:

J J

Pi = x ijâ j + ln

j= 1 j=1

( ) j

z ã +å

ij i

(2)

où â et ã sont les vecteurs de paramètres à estimer. Une augmentation de 1 % d'une variable en logarithme (zj) entraîne un changement (en FCFA) du prix de vente égal au

coefficient de cette variable divisé par 100 (c'est-à-dire ã/100).

Cette spécification du modèle linéaire est intéressante car elle permet de modéliser une relation non linéaire entre le prix de vente et certaines variables explicatives et une relation linéaire entre le prix de vente et d'autres caractéristiques ou attributs du produit.

b- Modèles avec variable expliquée en logarithme

(3)

Le modèle log-linéaire (appelé aussi log-log) relie le logarithme du prix de vente aux logarithmes des différentes variables explicatives.

J J

ln ( )

p i = x ij â j + ln ( ) j

+å

ij i

j= 1 j=1

Pour les variables continues, le coefficient d'une variable en logarithme (ãj) correspond à l'élasticité du prix de vente par rapport à cette caractéristique. Ainsi, un accroissement de 1 % de la caractéristique j correspond à une variation (en pourcentage) du prix de vente égale au coefficient de cette variable (ãj %).

Les variables binaires (c'est-à-dire des variables qui prennent une valeur 0 ou 1) figurent toujours dans le modèle (Équation 3) sous une forme non transformée (par exemple, les xj).

Comme pour le modèle linéaire, il existe aussi un modèle semi-log (appelé aussi modèle log-lin) reliant le logarithme du prix de vente aux variables explicatives non transformées :

J

ln ( ) (4)

p i = x ij â + å

j i

j=1

Pour une variable xj continue, un accroissement d'une unité de cette variable entraîne un changement (en pourcentage) du prix de vente égal à 100 fois le coefficient de cette variable (c'est à dire un changement de 100 âj % du prix de vente.)

Pour des variables binaires, l'interprétation des coefficients est différente. Supposons, par exemple, que l'on cherche à étudier l'impact de la présence de corps étrangers (0 signifie absence de corps étrangers et 1 présence de corps étrangers) sur le prix de vente du riz à partir des modèles (Équation 3) ou (Équation 4). Une estimation g en pourcentage de l'impact de cette variable sur la variable expliquée (prix de vente) est donnée par la formule (Équation5).

g = 100 ( corpsetrang-1)

e (5)

Tous les modèles de régression présentés jusqu'ici peuvent être estimés par la méthode des moindres carrés ordinaires (MCO) (Terra, 2005).

c- Transformation de Box-Cox

La transformation de Box-Cox est généralement considérée comme une forme fonctionnelle flexible bien adaptée pour estimer les modèles hédoniques, mais son estimation est plus complexe que celle des modèles présentés précédemment. D'une façon générale, la transformation de Box-Cox d'une variable x est notée x(ë) et est donnée par l'équation (Équation 6).

x ë -

1 sië ? 0

x ( )

ë = ë (6)

=0

ln()

x si ë

La transformation de Box-Cox permet d'estimer plusieurs types de modèle.

- Dans le premier modèle (Équation 7), seule la variable expliquée (le prix de

vente) est transformée. Ce modèle admet deux cas particuliers : si ë ?= 0, on retrouve un modèle log-linéaire ; si ë =1, on retrouve un modèle linéaire.

P i ë =

( ) x ij â + å

J

j i (7)

j =1

- Dans le deuxième modèle (Équation 8), la variable expliquée (le prix de vente) et

les variables explicatives sont transformées. Les deux transformations peuvent être paramétrées par des coefficients différents (ë et ì). Ce modèle est parfois appelé modèle de Box-Cox linéaire.

P i ë =

( ) ( ) j

J

x ij ì â +åi (8)

j =1

Quand une variable explicative est une variable binaire, une transformation de Box-Cox de cette variable n'a pas de sens. Les variables binaires sont donc incluses dans le modèle sous une forme non transformée.

Dans ce cas des variables binaires, l'interprétation des coefficients pour le modèle de Box-Cox défini par l'équation (Équation 7) est la suivante. Supposons une fois encore que l'on cherche à étudier l'impact de la présence de corps étrangers sur le prix de vente du riz à partir de ce modèle. Une estimation g en pourcentage de l'impact de cette variable sur la variable expliquée (prix de vente) est donnée par la formule suivante.

1

ëâ ë

corpsetrang - 1

p 0

ë

g = 1 +

Où âcorpsetrang est le paramètre relatif à la présence de corps étrangers et p0 est le prix moyen d'un riz sans corps étrangers.

d- Calcul des prix implicites pour les différentes formes fonctionnelles

Le prix marginal implicite (c'est-à-dire le consentement à payer un prix marginal pour bénéficier de la variation du niveau d'une caractéristique) se calcule différemment pour chacune les formes fonctionnelles précédentes.

Dans le cas du modèle linéaire (Équation 1), le prix implicite d'un changement dans la caractéristique j sur le prix du type de riz i est le suivant :

? p i (9)

? x ij

= â j

Dans le cas du modèle semi-log (Équation 4), le prix implicite est le suivant :

? p (10)

i = â j P

x ij

?

Dans le cas du modèle log-log (Équation 3), le prix implicite est le suivant :

? p P (11)

i = â j

? z z

ij ij

Dans le cas du modèle de Box-Cox le plus général (Équation 8), le prix implicite d'un changement dans la caractéristique j sur le prix du type de riz i est le suivant :

? p i p x

i ( ij j )

1 - ë ì - 1
·
(12)

= â

x ij

?

Il y a deux approches possibles pour calculer les prix implicites quand les formules incluent le niveau d'une variable.

L'approche la plus courante est d'utiliser le prix moyen (ou la valeur moyenne de la caractéristique) sur l'échantillon.

Une approche alternative est de calculer le prix implicite pour chaque produit de l'échantillon et ensuite de calculer la valeur moyenne de ces prix implicites.

e- Choix de la forme des variables explicatives à inclure dans le modèle
(variables non transformées ou en logarithme)

On peut estimer chacun des modèles de l'équation 13, calculer ensuite les valeurs prédites et les inclure dans l'équation 14.

p i

p i =

(1 3)

â â â

+ x + x + u 0 i 1 1 i 2 2 i 1

á ln( ) ln( )

x á x (1 4)

0 + 1 1 + 2 2

á + u

i i i 2

On part de l'hypothèse nulle selon laquelle la première forme est correctement spécifiée, alors qu'une combinaison linéaire des logarithmes des xi ne devrait pas améliorer le modèle et que le coefficient associé ne devrait pas être significatif. De même, on peut réestimer le second modèle en incluant les valeurs prédites du premier modèle. C'est le principe du « test J ». Ce test peut permettre d'indiquer que l'un des modèles est meilleur que l'autre. Néanmoins, dans cette stratégie de test, quatre situations peuvent se produire : rejeter les deux modèles, n'en rejeter aucun, en rejeter un.

f- Choix de la forme de la variable expliquée (logarithme ou non transformé)

A Test de l'hypothèse de linéarité contre l'hypothèse de log-linéarité

Il s'agit de tester l'hypothèse de linéarité contre l'hypothèse de log-linéarité. Par

exemple, supposons que les deux modèles en concurrence soient :

H y X

: = +

â å (15)

0

H y

: ln( ) (ln )

= X ã å

+

1

à

Notons â et ãà les estimations des moindres carrés des paramètres des deux modèles.

Partant de l'hypothèse nulle (H0), on teste la significativité du coefficient áà ?dans le modèle (Équation 16).

y X [ y

= â + á à ln - â + å

ln( à )

X ] i

(16)

 

Le second terme (à droite) correspond à la différence entre les prédictions de ln y obtenues à partir du modèle log-linéaire et celles obtenues à partir du logarithme des prédictions du modèle linéaire. Il est possible d'inverser les rôles et de tester H0 comme hypothèse alternative. La régression devient alors (Équation 17) :

(17)

[ ] 2

ln( )

y X ln (ln )

= â + á ~ - x ã ~ + å

y e

A Linéaire et log-linéaire vs. Box-Cox

Néanmoins, il est possible qu'aucun de ces deux modèles ne soit pertinent. Par exemple, un modèle plus général de type Box-Cox pourrait être plus adapté. Les modèles linéaire et log-linéaire peuvent être vus comme des cas particuliers d'un modèle de Box-Cox. Le test de Wald peut être utilisé pour tester si le paramètre ë (voir Équation 7 et Équation 8) est égal à 1 (modèle linéaire) ou à 0 (modèle log-linéaire).

Des tests du rapport de vraisemblance (Likelihood Ratio test) peuvent être employés pour tester si un modèle linéaire ou log-linéaire est plus adapté qu'un modèle de Box-Cox du type (Équation 8) (Haab et McConnell, 2002 cité par Terra, 2005).

g- Limites des modèles hédoniques

Les modèles hédoniques souffrent généralement de problèmes de colinéarité entre les variables explicatives.

Dans sa version la plus extrême 4 (rarement rencontrée en pratique), la colinéarité se traduit par l'impossibilité d'estimer les paramètres de la régression par la méthode des moindres carrés. Dans une version plus courante, la colinéarité se traduit par des estimations imprécises des paramètres et par des écarts-types élevés.

Greene (2003) cité par Terra (2005) propose plusieurs indicateurs pour déceler la colinéarité.

Il n'existe pas de «bonne façon» de traiter les problèmes de colinéarité.

Une première solution consiste à ne pas essayer de corriger la colinéarité. Dans ce cas, les paramètres des autres caractéristiques risquent d'être estimés de façon imprécise, mais cela n'affectera vraisemblablement pas l'estimation du paramètre d'intérêt et donc du prix implicite.

D'autres solutions sont proposées dans les manuels d'économétrie (par exemple Greene, 2003), mais aucune solution ne semble parfaite. Une de ces solutions est d'utiliser un petit nombre de composantes principales issues d'une analyse en composantes principales sur les variables explicatives. En revanche, l'interprétation économique des paramètres estimés s'avère très délicate ; en particulier, le calcul des prix implicites des différentes caractéristiques est difficile à réaliser.

Par ailleurs, lors du choix d'une forme fonctionnelle, il est à garder à l'esprit les problèmes de colinéarité des variables explicatives. En effet, plus la forme fonctionnelle est flexible, plus les problèmes de colinéarité sont importants.

D'autres problèmes économétriques sont fréquents : l'hétéroscédasticité et l'autocorrélation spatiale. Le premier problème n'est pas spécifique à la méthode des prix hédoniques. En règle générale, il convient de tester la présence d'hétéroscédasticité.

Pour résoudre les problèmes de multicolinéarité, d'hétéroscédasticité et d'auto-corrélation plusieurs approches de solution sont proposées par Biaou (1994) suivant les cas. Aussi le logiciel d'analyse utilisé (STATA 9) propose-t-il des approches nous permettant de surmonter ces problèmes.

4 Dans ce cas, une ou plusieurs variables s'exprime (nt) comme combinaison linéaire exacte d'autres variables.

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"Ceux qui vivent sont ceux qui luttent"   Victor Hugo