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Conception et implémentation d'un système national de gestion des cotes.


par Jean-Claude Akonkwa
Institut supérieur pédagogique de Bukavu - Licence en pédagogie appliquée 2019
  

Disponible en mode multipage

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    Année Académique 2019-2020

    ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET UNIVERSITAIRE

    INSTITUT SUPERIEUR PEDAGOGIQUE

    I.S.P-BUKAVU

    B.P : 854

    SECTION DES SCIENCES COMMERCIALES ADMINISTRATIVES ET INFORMATIQUE

    DEPARTEMENT D'INFORMATIQUE DE GESTION

    CONCEPTION ET IMPLEMENTATION D'UN SYSTEME DE

    GESTION NATIONALE DES COTES

    « SYGENACOTE »

    Mémoire présenté et défendu en vue de l'obtention

    du titre de licencié en pédagogie appliquée. Option : Informatique de Gestion

    Directeur : TASHO KASONGO ISSA Chef des Travaux

    Codirecteur : MUGARUKA Guyllain Assistant

    Présenté Par AKONKWA GANYWAMULUME Jca

    Akonkwa Ganywamulume Jean-Claude

    Epigraphe

    « L'enseignement, qui est normalement l'un des plus gros employeurs
    dans chaque pays, est l'une des seules industries qui n'ait pas subi de
    révolution technologique» Robert Mc Namara

    « Ne vous y trompez pas : On ne se moque pas de Dieu. Ce qu'un
    homme aura semé, il le moissonnera aussi. » Galates
    6 : 7

    « Les programmes doivent être lus par des gens, et occasionnellement
    pour être exécutés par des machines. Codez toujours comme si la
    personne qui allait maintenir votre code connait où vous habitez »
    citation informatique

    Akonkwa Ganywamulume Jean-Claude

    II

    Dédicace

    Au regard des toutes les souffrances, des toutes les peines ainsi que de
    tous les efforts consentis de ta part
    pour nous permettre d'être là où
    nous sommes aujourd'hui, à toi chère mère Annociata M'Balola nous
    dédions ce travail.

    Nous ne pouvons pas terminer ce travail sans pour autant vous rendre les hommages qui vous reviennent de droit, vous qui nous avez prêtés attention, dirigés et conseillés afin que nous

    III

    REMERCIEMENTS

    Aucune oeuvre humaine ne peut se vanter être l'émanation des efforts d'une seule personne sans aucune aide ni ressource de la part d'une autre personne. Partant de cette généralité, nous qui venons d'avoir la chance de réaliser ce travail, nous étions rien et nous ne serions aujourd'hui quelque chose sans les efforts des diverses sources.

    En reconnaissance de tout ceci, nous jugeons utile par ce présent point, d'adresser tous nos sincères remerciements à ceux qui de bonne foi se sont époumonés pour nous voir atteindre le sommet de là où nous nous tenons aujourd'hui.

    C'est ainsi que nos plus grands remerciements s'adresse à l'Eternel Tout-Puissant, lui qui n'a cessé d'user de sa toute-puissance afin de nous pourvoir du souffle de vie, force, courage, persévérance et intelligence pour que nous arrivions à ces jours et à la réalisation de ce travail. Que gloire et honneur lui soient rendus.

    Nos sincères remerciements s'adressent à la mère qui nous a donné vie, qui sans elle nous ne serions pas là aujourd'hui. Même malgré le manque des mots pour lui témoigner toute notre gratitude et reconnaissance de tous ses efforts, qu'elle reconnaisse en ces peu de mots la reconnaissance de notre coeur à l'égard de la manière qu'eille s'est sacrifiée pour arriver à nous soutenir et à toujours nous pousser de l'avant. Mère Annociata M'Balola, que le Seigneur seul te récompense au centuple et qu'il nous permette d'arriver à te rendre heureuse.

    Nos remerciements à Papa Faustin TCKIRINGA MAKASI et maman WALUMBUKA ISHUMBI Bernadine qui par leur bon coeur se sont dépourvus de leurs ressources financières afin de nous aider à terminer avec nos études. Nous ne saurons jamais vous remercier à juste titre ni faire quoique ce soit qui témoigne réellement notre reconnaissance en votre égard mais que l'éternel seul vous récompense par ses divers moyens et nous aider à toujours vous témoigner notre gratitude.

    Nos remerciements sont adressés aux oncles et tantes en général et en particulier à l'oncle Déo BIZIBU Balola et sa femme Maman Berthe Mvangi ainsi qu'à la tante Chantal Balola et Papa Bwishe, à la tante KINJA et Clarice. Chers oncles et tantes, trouvez en ces remerciements la fine particule de la grandeur de reconnaissance que nous vous portons au coeur vu tout votre amour.

    IV

    puissions mener à bien la réalisation de ce travail. Monsieur le Directeur le Chef de travaux TASHO et Monsieur le Codirecteur en la personne de l'Assistant MUGARUKA Guillain, nos plus grands remerciements vous sont adressés pour tout le temps que vous vous êtes privé pour la conduite de ce travail. Que Dieu seul vous rende au centuple ce que vous avez perdu en nous venant en aide.

    Nous adressons nos remerciements aux frères et soeurs pour tout le soutien que vous n'avez cessé de nous apporter et tous les encouragements que vous avez eu marre de nous donner à chaque fois que nous voulions arrêter suite à divers problèmes. Ainsi aux frères Sadiki Christian et Aganze Daniel ; et aux soeurs Atuwa Déodate, Aimérance Nzigire, Pascaline Sifa et Alice Nabintu, nos remerciements vous sont adressés.

    Aux camarades ; amis et amies ; copains et copine, frangins et frangines nous vous remercions pour toute forme de contribution que vous nous avez apporté pour la réalisation de ce travail. Ainsi, nos remerciements sont adressés particulièrement à CIDORHO MUNGANGA Destin, Espoir KAHENGA Jacques, Emmanuel Mugirwa, Bernard Stanislas Nyamugali, Eliane Bashimbe et à vous ma très chère Tumsifu Ntakundi Antoinette.

    A toute personne qui n'aurait pas trouvé son nom ci-haut cité, qu'il ne se sente pas oubliée ni méconnue mais qu'il reconnaisse en ces mots qui viennent du fond du coeur par lesquels nous leur disons combien nous les portons au coeur.

    Akonkwa Ganywamulume Jean-Claude

    V

    SIGLES ET ABREVIATIONS

    Admin : Administrateur

    UML : Unified Modeling Language,

    UP : Processus Unifié (en anglais: Unified Process)

    2UP : 2 Tracks Unified Process,

    RUP : Rational Unified Process,

    CSS : Cascade Style Sheet ,

    HTML : Hyper Text Markup Language ,

    I.G : Informatique et Gestion ,

    ISP : Institut Supérieur Pédagogique ,

    SCAI : Science Commerciale Administratif Informatique ,

    SYGENACOTE : Système de Gestion Nationale des cotes

    TIC : Technologies de l'Information et de la Communication ,
    UNICEF : Fond des Nations Unies pour L'Enfance , WWW : Word Wide Web,

    XHTML : Extensible Hyper Text Markup Language,

    MEPSP : Ministère de l'Enseignement Primaire, Secondaire et Professionnel MINESU : Ministère de l'Enseignement Supérieur et Universitaire

    MAS : Ministère des Affaires Sociales ,

    CEP : Certificat d'Études Primaires

    EPS : Enseignement Primaire Secondaire

    DCU : Diagramme de Cas d'Utilisation ;

    DS : Diagramme de Séquence

    1

    INTRODUCTION

    Dans la connaissance de l'homme il n'y a pas une chose qui soit recherchée et vécue tous les jours comme une information. Elle est un élément capital dans la survie de l'humanité car c'est sur base d'elle que l'homme dans tous les millénaires de sa vie a pu se tailler des réalisations et rien ne peut être fait s'il n'y a pas d'information suffisante à son égard. Ainsi ce mot si précieux se retrouve dans tous les domaines de la vie et par cette connaissance l'homme cherche du jour au jour la manière par laquelle traiter tout type d'information auquel il fait face, par cette recherche de traitement de cet élément clé vu le jour la science « L'informatique » qui étudie la manière la plus adéquate pour traiter automatiquement les informations recueillies par l'homme.

    Ainsi, l'homme ayant trouvé que cette science d'étude du traitement automatique des informations s'adaptait à son besoin, celle-ci de nos jours trouve sa place dans presque tous les domaines d'intervention humaine que ce soit en médecine, en géni-militaire, en communication, dans l'éducation, etc.

    1. PROBLEMATIQUE

    Voyant l'expansion de l'utilisation de l'informatique au service de l'homme dans ses divers domaines et par une observation claire de la manière de traitement des informations dans le domaine de l'éducation de notre pays, on se rend compte que cette science n'a pas encore toute sa place vu les nombres des services qui continuent à être exécutés manuellement et qui par malheur apporte avec lui des multiples problèmes qui enclavent le système éducatif de notre pays sur certains plans.

    Ainsi, on s'aperçoit que le manque de la mise en pratique des outils informatiques dans le traitement des informations liées au système éducatif de notre pays il y a le problème de temps de recueil de l'information recherchée par les autorités, le problème de la non connaissance exacte de l'information nationale liée toujours à notre système éducatif par ces mêmes autorités, sur le plan local au sein de nos établissements scolaires la perte des informations car étant sauvegarder manuellement vu le nombre d'année les documents peuvent s'user ou se perdre, toujours dans le niveau local on se rend compte que les retards dans la transmission de l'information à qui de droit est régulièrement observé vu la lourdeur des tâches que l'homme est obligé de faire et refaire chaque jour manuellement sans prendre en compte le problème de non exactitude de l'information qu'il aura à fournir vu la fatigue.

    2

    Partant du point de la personne enseignante, on constate que celui-ci traverse divers problèmes suite à cette gestion manuelle d'information et cela s'observe par le retard dans le calcul des points des élèves accusé par les enseignants et qui influence même le manque de la proclamation des notes des élèves au temps opportun, de même on se rend compte qu'il y a diverses faussetés liées à la nature humaine.

    De nos jours, les institutions de la place se heurtent au problème de redondance de traitement d'une même tâche par deux personnes enseignantes à la fois, cela dans le processus de calcul des côtes des élèves afin de trouver le résultat de celui-ci et ceci s'observe par le fait que le titulaire d'un cours encode les cotes des élèves à son cours et passe les résultats au titulaire de la classe qui se dernier est encore amené à encoder ces mêmes côtes pour calculer le pourcentage de ces derniers, chose qui s'avère être une redondance et qui gaspille inutilement le temps.

    Partant de tout ce qui est énuméré ci-haut, présentons ci-bas dans la figure N°1 la synthèse de tout ce que nous constatons comme problème faisant l'objet de notre recherche sous forme d'arbre à problème dont la c ause majeur serait la gestion manuelle de la plupart des services de notre système éducatif.

    Difficulté de
    centralisation des
    informations

    Fatigue dans la
    répétition d'une
    même tâche

    Système de gestion manuelle d'information de l'éducation

    Retard dans la
    transmission
    d'information

    Fausseté dans le
    calcul des côtes
    des élèves

    Perte d'information par la perte de document lui servant du support

    Difficulté de trouver
    les informations
    après un temps
    donné

    Vu tous les problèmes que rencontre le système de gestion d'information de l'éducation de notre pays nous trouvons utile de mener notre étude à ce sujet afin d'y chercher une solution adéquate en se posant des questions ci-après :

    3

    ? Partant de la difficulté de centralisation d'information du système éducatif, du retard de transmission et de la perte de cette information que rencontre notre pays, quel serait le moyen adéquat afin que notre système se retrouve avec toutes les informations de son système à temps réel sans descendre dans les entités locales ?

    ? De même, que faut-il mettre en place afin de restreindre cette redondance dans l'encodage des données et diminuer la fatigue que rencontre les enseignants quand il s'agit de calculer les côtes des élèves ?

    ? Dans le but de vouloir diminuer le saut des classes qui de nos tue à petit feu notre système éducatif, que pourrait-on mettre en place afin que ceci ne se répète plus ?

    ? Vu toutes les tâches auxquelles les enseignants sont appelés à exécuter les veilles des proclamations des résultats passant par l'encodage des côtes jusqu'à l'obtention du pourcentage des élèves après des multiples calculs dans lesquels suite à la fatigue ou manque d'attention se retrouvent glisser différentes erreurs, que faut-il alors, mettre en place afin que ceci soit gérer et que tous les calculs soient faits automatiquement ?

    ? Vu que le droit de préciser ses propres critères de délibération a été accordé aux établissements, amenant ainsi le problème de trouver un critère unique de délibération pour toutes les écoles, que faut-il alors proposer comme solution informatique afin que le système puisse arriver à délibérer les élèves de chaque école selon leurs propres critères ?

    2. HYPOTHESES

    L'hypothèse de travail est une idée directrice, une tendance destinée à guider l'investigation et être abandonnée ou maintenue d'après les résultats de l'observation. De même, une hypothèse est une supposition véritable qui est adoptée provisoirement pour expliquer certains faits et pour orienter le chercheur dans l'examen d'autres faits1. C'est aussi une réponse provisoire par le chercheur à une question, une proposition à priori et destinée à orienter une recherche au terme de laquelle elle sera vérifiée (confirmée), soit réajustée (modifiée) soit falsifiée2.

    Partant de tous les problèmes déjà cités que notre système éducatif congolais rencontre par faute de la non implication d'un système informatisé dans la réalisation de la plupart de ses services.

    1 DIASHE ; La recherche scientifique en éducation, académie brulant, 2000 : P32

    2 Gaspard KAMBAJI WA KAMBAJI ; Dictionnaire critique du Kambajisme, éd, la Dialectique, Kinshasa, 2006, p : 47.

    4

    Pour ce faire, nous supposons que l'implémentation d'un système de gestion informatisé des cotes « SYGENACOTES » capable de recueillir les informations liées au cote à temps réel sur le plan national serait un moyen plus efficace pouvant permettre de résoudre l'ensemble des problèmes dument présentés dans notre arbre à problème et à toutes les questions ci-haut posé.

    3. ETAT DE LA QUESTION

    IRENGE MUTUNKONE : « Essai d'automatisation de la délibération au sein des écoles protestantes du territoire de Walungu : cas de l'Institut Kidodobo » 2009-2010. CYANI Fiston et MUKEBA KALALA : « Mise en place d'un système informatise de publication des résultats des étudiants ». Cas de l'ISIPA, 2011-2012 à l'ISIPA.

    IRENGE BARHABIKE Moise : « Implantation d'une plate-forme de publication en ligne des résultats scolaire périodique dans une institution d'enseignement secondaire cas de l'institut technique Avenir »

    ABELI KIMBILINGA Hulk : « Création d'une plate-forme de délibération en ligne pour les écoles secondaires de la ville de Bukavu » de l'année académique 2015-2016.

    Vu le nombre d'ouvrages qui leur fondement de recherche est les cotes des élèves, nous ne prétendons pas avoir été le premier à orienter nos recherches à ce sujet, néanmoins nous avons le courage de signaler que malgré l'existence de tous ces travaux, notre travail tire son originalité dans le sens où il recherche comment mettre en place un système permettant à toutes les écoles secondaires du système éducatif congolais de pouvoir se retrouver sur une même plateforme afin de lutter à la fois le saut de classe après redoublement en présentant l'historique de chaque élève ainsi à temps réel on s'aura le parcours de ce dernier.

    De même, on se rend compte que par le système mis en place, on donne libre choix aux écoles d'imposer elles-mêmes leurs critères de délibération, plus question des critères programmés d'avance. En outre, on voit aussi, l'inclusion de la deuxième session et de l'envoi du palmarès de l'école à la fin de l'année scolaire et cela programmé par le système selon la date qui a été fixé comme fin de l'année scolaire.

    Ainsi, synthétiquement les objectifs de notre travail se présentent comme à la figure ci-dessous :

    5

    4. OBJECTIF DU TRAVAIL

    a. Objectif général

    Ce travail dont le sujet est « La mise en place d'un système de gestion nationale des côtes au seins des établissements secondaires : SYGENACOTES » a pour objectif de chercher à implémenter un système d'information informatisé bien structuré permettant de recueillir l'ensemble d'information de toutes les écoles secondaires régit par notre système éducatif national ainsi pour permettre à chaque intervenant du système éducatif de connaitre et de manipuler l'information recherchée à temps réel.

    Par ailleurs, ce même travail a pour vocation de vouloir diminuer la lourdeur des tâches que les enseignants ne cessent de faire en ce qui concerne le calcul des résultats des élèves. Il se veut aussi, jeter les fondements de base pour les inspections en ce qui concerne les critères de débarquement des élèves vu que cet outil devra être doté d'un système historique des parcours des élèves.

    b. Objectifs spécifiques

    Ayant déjà réalisé ses objectifs principaux, ce travail voudra aussi inclure certaines spécificités, telles que :

    Partir des problèmes de base sans s'en écarter afin de proposer une solution qui ne soit pas erronée de la réalité ;

    Jeter les fondements de base dans la modélisation d'un système dans lequel les inspections contrôleraient les écoles informatiquement et dans lequel les écoles useraient par cette même technologie afin de transmettre leurs informations à leurs inspections respectives ;

    Mettre en place un système qui permettra aux écoles d'avoir la facilité de retrouver les informations liées aux élèves et à leurs cotations ;

    Arriver à permettre d'intégrer les délibérations dépendant du choix des écoles au sein du système informatisé ;

    Chercher à intégrer les deuxièmes sessions dans la mise au point d'un système qui tient compte de tous les processus d'une année scolaire ; etc.

    6

    Base de données
    unique sur le plan
    national

    Mise en place du système en ligne pour permettre le partage à temps réel des

    SYGENACOTES

    Permettre l'affiliation de toutes les écoles

    Mise en place d'un système de calcul automatisé des côtes

    Limiter la répétition d'exécution d'une même tâche par divers intervenants

    Permettre la sortie des rapports

    5. CHOIX ET INTERET DU SUJET

    Le choix de ce sujet n'est pas un fruit du hasard mais une émanation du constat fait quant à ce qui concerne l'ensemble des problèmes desquels du jour au jour notre système éducatif ne fait que dévoiler au grand public. Et étant, un fruit de ce même système éducatif, doublé par la vocation d'améliorer ce même système vu les études que nous avons faites au courant de notre cursus académique qui n'est rien d'autre que la carrière des pédagogues de l'informatique. Nous avons trouvé utile de mettre notre vocation en exercice par la recherche des solutions qui permettraient d'améliorer le système dans lequel nous serons amenés à oeuvrer.

    De même, vu le manque d'un outil standardisé de gestion des côtes à notre connaissance et partant de tous les préjudices que nous voyons le système de gestion d'information manuelle des cotes causer à l'ensemble des enseignants, nous ne pouvions pas passer inaperçu quant à ce que ces derniers traversent lorsqu'ils doivent calculer les cotes des élèves.

    En outre, dans le but de jauger notre niveau de compétence en matière de gérer les systèmes d'information qui est la compétence première que doit avoir un informaticien de gestion digne de ce nom, nous avons trouvé plus audacieux de se mesurer à un système d'information aussi

    7

    grand que le nombre d'année que nous avons eu à passer entrain d'assimiler les matières sur la gestion.

    En fin, personnellement, ayant comme ambition d'être le producteur des outils de gestion informatisée des systèmes d'information, il nous est difficile de commencer par d'autres systèmes outres que celui dans lequel on se trouve encore aujourd'hui avant d'être larguer au marché du travail.

    Quant à son intérêt, ce dernier va permettre de centraliser toutes les informations liées aux cotes des élèves de l'école secondaire, permettre la diminution des tâches des enseignants en ce qui concerne les calculs des points, faciliter les partages des informations entre divers intervenants du système éducatif.

    6. DELIMITATION DU SUJET

    Dans le cadre de la recherche scientifique, tout travail nécessite une délimitation du champ d'investigation dans le temps et dans l'espace dans le but de ne pas aller au-delà de ce qui constituerait sa préoccupation.

    6. 1. Délimitation dans l'espace

    Le présent travail de la mise au point d'un système de gestion nationale des cotes « SYGENACOTES » des écoles secondaires dans la république démocratique du Congo. C'est un pays se trouvant en Afrique et traversée par l'équateur, la RDC est le deuxième plus grand pays d'Afrique. Elle est environ 33fois plus grande que le Benelux et quatre fois plus grande que la France, quatre-vingt fois plus que la Belgique, la RDC partage ses frontières avec 9 pays d'Afrique, au Nord par la république centrafricaine et le soudan du sud, à lEst par l'Ouganda, le Rwanda, le Burundi et la Tanzanie, au sud par la Zambie et l'Angola et à l'Ouest, l'encave angolaise de Cabinda, la république du Congo (Congo Brazzaville).

    6. 2. Délimitation dans le temps

    Dans le temps, ce travail de recherche couvre une période d'une année soit 2019-2020, année dans laquelle nous faisons une recherche scientifique liée à un problème que rencontre la société afin de conclure notre cursus académique en apportant une solution adéquate au problème étudié.

    8

    7. METHODES ET TECHNIQUES UTILISEES

    Chaque travail scientifique repose sur des méthodes et techniques appropriées pour atteindre le but poursuivi.

    7. 1. METHODES

    De coutume, tout travail scientifique est obligatoirement censé avoir une méthode, qui est définie selon M. GRAWITZ ; comme « l'ensemble des opérations intellectuelles par lesquelles une discipline cherche à atteindre les vérités à toute recherche scientifique ».

    Cette conception de la méthode dans le sens général a pour but de procurer la logique inhérente à la démarche scientifique3et peut être considérée comme un ensemble de règles indépendantes de toute recherche et contenu particulier visant surtout des processus et forme de raisonnement et de perception rendant accessible la vérité à saisir.

    Nous avons utilisé les méthodes suivantes :

    7.1.1. La Méthode Analytique

    Elle nous a permis d'analyser les différentes étapes du processus de transmission d'information du système existant, de décomposer les différentes structures de ce même structure dans le but d'avoir la connaissance sur qui fait quoi, ainsi donc d'analyser les détails sur le déroulement des activités des écoles en république démocratique du Congo.

    7.1.2. Les méthodes agiles et UP7

    Ces méthodes qui recourant au langage UML (Unified Modeling Language), nous ont permis de modéliser en graphique et textuel destiné à comprendre et à définir des besoins, spécifier et documenter des systèmes, esquisser des architectures logicielles, concevoir des solutions et communiquer des points de vue. Nous avions également appréhendé différents diagrammes UML, représentant les vues architecturales de l'application informatique à concevoir.

    7.1.3. La Méthode Historique

    Elle nous a permis de remonter dans le temps pour saisir le passé du déroulement de la publication des résultats secondaire dans la république démocratique du Congo comme source d'information en considérant l'expérience du passé comme moyen d'analyse.

    3 M. GRAWITZ, Méthode de Sciences Sociales, Paris Dalloz, 1979, p : 344.

    4 https://fr.wikipedia.org/wiki/technique

    5 http :// univ-avignon.fr/.../méthodologie de la recherche documentaire, 12 Avril 2020, heure : 22h22'

    9

    7.2. TECHNIQUES

    Une technique est comprise comme étant un ensemble des procédés de fabrication de maintenance et de gestion, qui utilise des méthodes issues que de connaissances scientifique ou simplement les méthodes dictées par la pratique.4

    Tout au long de notre recherche, nous avons utilisé les techniques suivantes pour la récolte des données. Nous avons utilisé deux techniques suivantes :

    7.2.1. La Technique d'Interview

    Elle nous a permis de poser des questions concernant le scénario du système et d'échanger avec des personnes du domaine dont la contribution nous a été utile. Nous n'avons retenu que celles jugées objectives et fiables à l'objet d'étude.

    7.2.2. La Technique documentaire

    Elle est l'observation indirecte qui consiste à étudier et analyser les documents pour arriver à déterminer les faits ou les phénomènes dont les documents en contiennent des traces.5 Pour la présente étude, seuls les écrits en rapport avec l'étude ont pu être consultés. Cependant, bien que ces documents nous ont fourni des informations importantes relatives à notre étude, celles-ci ont été néanmoins soumises aux critiques tant interne qu'externe afin d'en dégager la vérité.

    8. SUBDIVISION DU TRAVAIL

    Hormis l'introduction et la conclusion, ce présent travail s'étale sur 3 chapitres :

    Chapitre premier : Présentation du système éducatif en république démocratique du Congo ;

    Chapitre deuxième : Porte sur l'étude et la modélisation du système d'information ; Chapitre troisième : Présente le résultat de notre travail qui se traduit par la présentation du guide d'utilisation du système de gestion informatisé que nous avons conçu.

    10

    9. DIFFICULTES RENCONTREES

    Comme nous le savons, c'est par la peine que les grands empires se fondent de même ça n'a pas été facile pour nous de faire des recherches concernant ce sujet jusqu'à aboutir à son résultat. Au cours de la confection de notre travail nous avons eu des problèmes liés au temps à accorder aux cours et celui à accorder à nos recherches vu les horaires des cours que nous étions amenés à suivre du jour au jour mais suite au fameux slogan anglais « one leg in school, one leg in busness » nous avons fait de notre mieux. De même, nous avons eu des soucis quant à ce qui concerne de l'argent à louer aux différentes recherches, à ces problèmes s'ajoute celui de la pandemie à corona virus qui ne nous a pas permis aussi à mener nos recherches comme il se doit mais comme l'homme ne fait qu'avec ce qu'il a, nous avons eu à nous satisfaire de ce que nous avions en faisant tout pour arriver à atteindre notre résultat attendu.

    11

    CHAP I. PRESENTATION DU SYSTEME EDUCATIF EN REPUBLIQUE
    DEMOCRATIQUE DU CONGO

    Dans ce chapitre, étant donné que nous ne pouvions pas présenter l'historique de

    toutes les écoles dont nous nous sommes servi du milieu d'étude ; nous avons jugé bon de parler un peu sur l'historique de l'enseignement primaire secondaire de la république démocratique du Congo (EPS)

    A. GENERALITE SUR LAREPUBLIQUE DE MOCRATIQUE DU CONGO

    I.1. PRESENTATION DU SYSTEME EDUCATIF

    Le système éducatif en république démocratique du Congo est géré par trois ministères :

    ? Le ministère de l'enseignement primaire, secondaire et professionnel (MEPSP),

    ? Le ministère de l'enseignement supérieur et universitaire (MESU) et

    ? Le ministère des affaires sociales, action humanitaire et solidarité nationale (MAS).

    1.1.1. DEFINITION DES CONCEPTS6

    Nous allons devoir expliquer les termes clés pour ce qui concerne l'enseignement en générale dont nous ne pouvons pas ne pas commencer par :

    ? UNE ECOLE

    École c'est une institution dédiée à l'instruction, où l'on enseigne le savoir. Une école est un établissement où l'on accueille des individus appelés « écoliers » ou élèves afin que des professeurs leur dispensent un enseignement de façon collective. Le mot école vient du latin schola, signifiant « loisir consacré à l'étude », lui-même provenant du grec schole « le loisir », lequel constituait un idéal souvent exprimé par les philosophes et une catégorie socialement valorisée opposée à la sphère des tâches productives.

    ? UN ENSEIGNANT

    Un enseignant est une personne chargée de transmettre des connaissances ou méthodes de raisonnement à autrui dans le cadre d'une formation générale ou d'une formation spécifique à une matière, un domaine ou une discipline scolaire.

    6 Loi-cadre n° 14/004 du 11 février 2014 de l'enseignement national

    12

    ? Le terme « enseignant » désigne la personne qui enseigne aux élèves (en primaire et secondaire).

    ? Le terme « professeur » désigne dans l'enseignement supérieur le grade le plus élevé d'enseignement, dans une hiérarchie comprenant les stades successifs d'assistant, maître-assistant et maître de conférences (au cégep et à l'université).

    ? De nouveaux termes comme « professeur des écoles », accompagnés d'un changement de statut sur la base du volontariat sont venus remplacer le mot « instituteur/institutrice ». La terminologie de « professeur » ne se résume donc plus uniquement à l'enseignement en université, mais reste toutefois d'usage protégé dans le cadre de celui-ci.

    ? UN ELEVE

    Celui, celle qui reçoit un enseignement dans un établissement scolaire ; collégien, lycéen. C'est une personne qui suit l'enseignement d'un maître, Aux termes de la Loi-cadre n° 14/004 du 11 février 2014 de l'enseignement national, il faut entendre par :

    1. Convention scolaire :

    Accord par lequel l'Etat confie la gestion d'une ou des écoles publiques à un partenaire, personne physique ou morale, sur base des dispositions négociées et signées conjointement ;

    2. Education scolaire : celle qui est donnée à l'école ;

    3. Déperdition scolaire :

    Le fait pour un élève de ne pas pouvoir arriver à la fin du cycle pour diverses raisons notamment économiques, socioculturelles et sécuritaires ;

    4. Education classique :

    Celle qui est organisée et structurée sur base des normes d'accès et des programmes scolaires conçus par progression des degrés d'études sanctionnées par un titre scolaire ;

    5. Education de base :

    L'éducation de base pour tous vise à satisfaire le besoin d'apprendre des enfants, des jeunes et des adultes, notamment les besoins d'apprendre à écrire, à lire, à calculer, à s'exprimer oralement et par des signes, à savoir résoudre des problèmes et à acquérir le savoir-être, le savoir-faire, le savoir-faire faire, le savoir-devenir et le sens civique.

    13

    Elle l'ensemble de connaissances et de compétences essentielles requises pour la vie, principalement la capacité de lecture, d'écriture, de calcul, d'expression orale et écrite ;

    6. Education non formelle :

    Celle qui vise la récupération et la formation des enfants, des jeunes et des adultes qui n'ont pas bénéficié des avantages de l'éducation scolaire en vue de leur insertion dans la société ;

    7. Education pour tous :

    Un des objectifs du millénaire qui consiste à assurer aux garçons et aux filles les moyens pouvant leur permettre d'achever le niveau d'études primaires pour être utiles à la société ;

    8. Enseignement à distance :

    Technique mise en oeuvre pour assurer la formation à distance au moyen de dispositifs des technologies de l'information et de la communication ;

    9. Enseignement national :

    Système éducatif d'un pays considéré dans son organisation, son fonctionnement et ses moyens de réaliser l'éducation dans ses différentes formes à tous les niveaux ;

    10. Enseignement ouvert :

    Celui qui n'est soumis à aucune condition d'accès et a pour objectif d'entretenir les connaissances. Il ne conduit pas à l'obtention d'un diplôme ;

    11. Enseignement spécial :

    Type de formation adaptée aux surdoués et aux personnes vivant avec handicap notamment les aveugles, les muets, les malentendants et les sourds- muets ;

    12. Etablissement scolaire :

    Ecole primaire, école secondaire où sont dispensés les enseignements pour la formation des élèves en vue de leur instruction et de leur éducation ;

    13. Etablissement d'enseignement maternel :

    Le lieu où est dispensé l'enseignement préscolaire pour les enfants de 3 à 6 ans non accomplis ;

    14. Gratuité :

    14

    La prise en charge par l'Etat des frais de scolarité de l'éducation de base dans les établissements publics ;

    15. Orientation scolaire et professionnelle :

    Processus d'aide aux élèves dans le choix de différentes filières d'études et des débouchés professionnels, en fonction de leurs aptitudes, goûts et intérêts. Elle concerne également la prise en charge de l'élève et son accompagnement psychopédagogique ;

    16. Obligation scolaire :

    L'obligation pour l'Etat de veiller à ce que tout enfant soit scolarisé notamment en assurant l'implantation des infrastructures de proximité, et le devoir pour les parents ou l'autorité tutélaire d'envoyer l'enfant à l'école ;

    17. Partenariat éducatif :

    Mode de gestion par lequel l'Etat associe notamment les comités des parents d'élèves, les promoteurs des écoles privées agréées, les formations syndicales des enseignants, les confessions religieuses, les organisations non Gouvernement tales ainsi que les partenaires bi et multilatéraux pour résoudre les problèmes de l'éducation.

    1.1.2. PARTENARIAT EN MATIERE D'EDUCATION

    Le partenariat en matière d'éducation scolaire est un mode de gestion par lequel l'Etat associe les différents intervenants pour mettre en commun les ressources humaines, matérielles et financières.

    Il constitue une approche participative visant l'implication des différents acteurs de l'éducation scolaire dans la conception et la gestion de l'enseignement national. L'Etat partage les responsabilités et les tâches pour la réalisation des objectifs éducatifs communs selon un entendement librement accepté des droits et devoirs respectifs.

    I.2. HISTORIQUE

    L'enseignement au Congo belge était semblable à l'enseignement officiel de Belgique. Les six premières années sont appelées « primaires » (6 à 12 ans). Le cycle « secondaire » se divise en deux : Deux années de cycle d'orientation et quatre années de cycle secondaire appelé aussi Humanités. Le cycle secondaire offre plusieurs orientations, à savoir : humanités pédagogiques (psychologie, pédagogie), les humanités littéraires (latin, grec, mathématiques), humanités sciatiques (Biologie, Chimie) et (Maths-Physique), les humanités commerciales

    15

    (sciences Historique commerciales et administratives), les humanités techniques (mécanique générale, électronique, électricité, arts et métiers), les humanités professionnelles, 3 ans après le cycle d'orientation (mécanique auto, électricité, techniques commerciales, accoucheuses, aides-soignantes, coupe et couture.... ).

    Un diplôme sanctionne la fin de cycle de trois ans des humanités professionnelles. Le terme des six années secondaires est sanctionné par un diplôme d'État d'études secondaires, après avoir passé un examen d'admission portant sur la capacité d'entreprendre les études choisies (examens d'État). Le diplôme d'État offre le choix aux études supérieures (enseignement non universitaire : entre 2 et 6 ans dont un an de classe préparatoire) et ou « universitaires » (2 années de candidature, trois et plus d'années de licence, suivies d'un doctorat).

    1.2.1. LANGUE

    Le français est la langue d'enseignement. Les langues nationales ou les langues du milieu sont utilisées comme médium d'enseignement et d'apprentissage ainsi que comme discipline. Leur utilisation dans les différents niveaux et cycles de l'enseignement national est fixée par voie réglementaire.

    Les langues étrangères les plus importantes au regard de nos relations économiques, politiques et diplomatiques sont instituées comme langues d'apprentissage et de discipline.

    1.2.2. DUREE DE LA SCOLARITE :

    y' Primaire 6 ans ;

    y' Secondaire 6 ans (2 ans de cycle d'orientation + 4 d'humanité) ;

    y' Supérieur 3 à 5 ans.

    Malgré le fait que le financement public de l'éducation se soit effondré dès 1985, le système éducatif congolais a continué à se développer, et ce grâce au financement direct des ménages.

    En 2001/2002, le pays comptait près de 19 100 écoles primaires avec 159 000 enseignants pour plus de 5,47 millions d'élèves et près de 8 000 écoles secondaires avec 108 000 enseignants pour 1,6 million d'élèves. La même année, l'enseignement supérieur comptait près 326 établissements pour 200 000 étudiants.

    Le taux de scolarité est de 70 % en milieu urbain et 48 % en milieu rural.

    16

    1.2.3. NIVEAU D'ENSEIGNEMENT (cycles)

    Il existe tous les niveaux d'enseignement en république démocratique du Congo.

    y' Ecoles primaire et secondaire :

    ? Certificat d'Études Primaires (CEP) : 6 ans d'école primaire, le niveau primaire se termine par un examen national de fin d'études et par un certificat.

    ? Diplôme d'État : 6 ans d'école secondaire (humanités). Le cycle long de l'enseignement général, normal et technique se termine par l'examen d'Etat et par l'obtention d'un diplôme d'Etat.

    y' Enseignement supérieur et recherche :

    ? Graduat : 3 ans d'université

    ? Licence : 2 ans d'université

    ? Graduat DEA : 2 ans (après certains nombres de critères) Soutenance de thèse de doctorat

    Pour plus de lisibilité auprès d'une partie des lecteurs francophones d'Afrique et des Caraïbes (issues des anciennes colonies françaises) et des lecteurs français, si l'on fait un parallèle avec les dénominations du système éducatif français, les équivalences se présenteraient comme suit : Le diplôme d'état (diplômé d'état) qui est l'équivalent en nom seulement en France du baccalauréat. Il sanctionne six années d'études de second degré. Après avoir obtenu le certificat d'études primaires (CEP) et être passé successivement par le collège et le lycée. Le diplôme de graduat (gradué) qui équivaut à la licence française. C'est un diplôme qui sanctionne les trois premières années d'études universitaires ou supérieures. Le graduat obtenu dans une école

    Il faut souligner qu'au Congo-Kinshasa, la durée du cycle universitaire total retenu par le ministère de l'éducation nationale supérieure est à orientation technique et a une durée de trois ans. Son orientation technique permet au titulaire de ce diplôme d'avoir un corps de connaissance spécialisé et concret pour rechercher un emploi et être directement opérationnel. Le diplôme de licence (licencié) qui équivaut au master français. C'est le diplôme qui sanctionne 5 années d'études universitaires, c'est-à-dire trois années de graduat, plus deux années de licences (1re et 2e). Est encore de cinq ans sans compter que certaines filières ont une année préparatoire préalable. La durée d'étude pour la faculté de Médecine est d'au moins 7 ans.

    17

    Malgré des multiples réformes, l'enseignement supérieur reste encore sur - dans certaines choses - le schéma hérité de la Belgique. À titre illustratif, bien qu'il y a des changements, les titres dans le corps professoral universitaire et supérieur sont restés identique : Professeur (ordinaire, visiteur, associé, émérite), chef de travaux, assistant de premier mandat et de deuxième mandat, Recteur (de l'université), doyen (de la faculté) et Directeur général (de l'Institut supérieur).

    1.3. CLASSES DE 7EME ET 8EME 7

    Le concept de l'éducation de base qui s'articule en l'enseignement primaire et le secondaire général, soit huit années d'enseignement dit & de base &. Cette vision étendue garantit à un grand nombre de jeunes garçons et de jeunes filles l'acquisition d'une formation générale ininterrompue solide et une initiation à des savoir-faire utiles pour la vie, soit pour poursuivre leurs études, soit pour acquérir les connaissances de base ;

    EPS : désormais les deux premières années du secondaire s'appelleront 7ème et 8ème année de l'éducation de base

    Kinshasa 11-06-2018 Société - Par ailleurs, les élèves de la 7ème année suivront des programmes du domaine d'apprentissage des sciences de l'éducation de base dès le mois de septembre 2018.

    Les classes de 1ère et 2ème secondaire du système éducatif en RD Congo s'appelleront désormais 7ème et 8ème année de l'Education de base. L'annonce a été faite par trois responsables de l'Enseignement primaire et secondaire (EPS), au cours d'une conférence de presse Co-animé le vendredi 8 juin à Kinshasa. La réforme prévoit, entre autres, la généralisation des programmes du domaine d'apprentissage des sciences pour la 7ème année de l'Education de base dès la prochaine rentrée scolaire en septembre.

    Les trois orateurs à savoir : le Directeur chef de service des programmes scolaires et des matériels didactiques, Nlandu Mabula, le Chef de l'unité technique d'appui du Projet de l'éducation pour la qualité et la pertinence des enseignements au niveau secondaire et universitaire(PEQPESU), Raïssa Malu et le Secrétaire permanent au projet d'appui et de coordination au secteur de l'éducation SPACE, Prof Valère Munsya ont planché sur une question capitale. Il s'agit de la réforme des programmes du domaine d'apprentissage des sciences dans le sous-secteur de l'Enseignement primaire et secondaire (EPS).

    7 Internet : system éducatif en RDC, date du 14/avril/2020 à 16h32

    18

    Ils ont, d'emblée, souligné que la réforme, dont il est question, est entreprise dans un cadre formel et légal. Quant à la mue de l'appellation secondaire générale en 7ème et 8ème année de l'Education de base, les orateurs se veulent précis. " Il ne s'agit pas de l'école primaire dont la durée a été prolongée à 8 ans. Il s'agit plutôt d'une articulation entre le cycle primaire de 6 ans et les deux anciennes années du secondaire qui sont mis ensemble pour former un continuum pédagogique de huit ans ".

    Le droit à l'éducation de base pour tous doit être compris, selon les explications des intervenants, comme un nouveau cycle qui est en train d'être mis en place. "

    C'est un continuum pédagogique, un socle commun des connaissances, des compétences de savoir-faire, de savoir-être qui sont donnés à tous les jeunes congolais dans l'objectif de leur doter des savoirs et des compétences leur permettant d'être utiles à la société au sortir de l'Education de base, de jouer un rôle positif dans la communauté ".

    La réforme de l'Education de Base est progressive. Elle commence avec la généralisation de nouveaux programmes du domaine d'apprentissage des sciences à partir de septembre 2018 pour la 1ère année du secondaire = 7e année de l'Education de Base.

    1.3.1. FONDEMENT LEGAL

    Aux dires des intervenants, la réforme repose sur la loi-cadre de l'enseignement national no14/ 004 du 11 février 2014 qui consacre la réforme de l'Enseignement de base. Elle tire également son fondement dans la stratégie sectorielle de l'éducation et de la formation 2015-2025 qui prévoit tout une panoplie d'actions pour permettre à l'EPS d'atteindre, à échéance, les objectifs fixés par la loi cadre2014.

    A cela s'ajoutent des projets exécutés au sein du ministère de tutelle, et qui contribue à la mise en place de ladite stratégie et de la formation. Il s'agit notamment du projet PPQSU. Celui-ci soutient cette réforme de l'éducation de base en commençant par le changement des programmes du domaine d'apprentissage des sciences pour la 1ère et la 2ème année du secondaire qui correspondent dans l'esprit de la réforme à la 7ème et la 8ème année de l'Education de Base.

    Ce domaine d'apprentissage des sciences comprend trois sous-domaines : (1) les mathématiques (Algèbre, Arithmétique, Géométrie, Statistiques et probabilité), (2) les sciences de la vie et de terre (Botanique, Anatomie et Zoologie) et (3) les sciences physiques, technologie et TIC.

    19

    1.3.2. VALIDATION DES PROGRAMMES

    Le processus de modernisation de ces programmes a commencé par une phase de pré-validation auprès d'une équipe de 82 experts externes. Il a été suivi d'une phase de mise à l'essai des programmes durant l'année scolaire 2017-2018 dans 543 écoles pilotes réparties dans 15 provinces ciblées, une évaluation (avec une analyse statistique) de cette mise à l'essai. Et enfin, la phase de généralisation sur base des résultats positifs de l'évaluation.

    Cette généralisation sera tributaire d'un processus de formation notamment des inspecteurs et des enseignants devant assurer la mise en oeuvre ou en exécution de l'effectivité de cette 7ème année au sein du système éducatif rd-congolais.

    Quant à la charge horaire globale, celle-ci reste inchangée. Les nouveaux programmes proposent uniquement une redistribution des heures de technologie entre sciences physiques et TIC en toute cohérence et harmonie. Pour toutes les autres disciplines, il n'y a absolument aucun changement.

    Une autre précision de taille, c'est que la mise en place de l'éducation de base ne va pas amener au recrutement de nouvelles unités. " La réforme ne nécessite pas le recrutement de nouveaux professeurs ou la création de nouvelles classes pour le mois de septembre 2018. Il n'y a aucun changement à ce niveau-là. Les classes de 7 et 8 de l'éducation de base sont les actuelles classes de 1ère et 2ème, avec leurs enseignants ", ont souligné les délégués de l'EPS.

    1.3.3. DE L'OBJET, DE LA FINALITE ET DU CHAMP D'APPLICATION

    La présente loi8 fixe les principes fondamentaux relatifs à l'enseignement national, conformément aux articles 42, 43, 44, 45, 123 point 5, 202 points 22 et 23 et 203 point 20 de la Constitution.

    Elle a pour finalité de créer les conditions nécessaires à :

    - l'accès à l'éducation scolaire par tous et pour tous ;

    - la formation des élites pour un développement harmonieux et durable ;

    - l'éradication de l'analphabétisme.

    Elle affirme la liberté en matière d'enseignement qui s'entend comme :

    8 Loi-cadre n° 14/004 du 11 février 2014 de l'enseignement national

    20

    1. La liberté de créer, d'organiser et de fréquenter un établissement d'enseignement national ;

    2. Liberté des parents de placer leur enfant dans un établissement scolaire public ou privé d'enseignement national ou consulaire ;

    3. Liberté des parents de choisir pour leur enfant mineur le type d'éducation correspondant à leurs convictions religieuses et/ou philosophiques ;

    4. Liberté de diffuser, en toute conscience et en toute responsabilité, des savoirs et des connaissances culturelles, scientifiques ou techniques éprouvées.

    Elle fixe les limites de son exercice.

    1.3.3.1. L'enseignement national vise :

    ? L'éducation scolaire intégrale et permanente des femmes et des hommes ;

    ? L'acquisition des compétences, des valeurs humaines, morales, civiques et culturelles pour créer une nouvelle société congolaise, démocratique, solidaire, prospère, éprise de paix et de justice.

    Les options fondamentales de l'enseignement national sont :

    1. L'éducation de base pour tous ;

    2. L'éducation aux valeurs ;

    3. L'éducation physique et sportive ;

    4. L'éducation environnementale, la formation au développement durable et aux changements climatiques ;

    5. L'éducation aux technologies de l'information et de la communication ;

    6. L'éducation non formelle ;

    7. Le partenariat en matière d'éducation ;

    8. La professionnalisation de l'enseignement et la promotion des établissements techniques, professionnels, artistiques, d'arts et métiers ;

    9. La revalorisation des activités manuelles ;

    10. La revalorisation de la fonction enseignante ;

    11. La lutte contre les maladies endémiques et épidémiques notamment le VIH/SIDA, le paludisme et la tuberculose ;

    12. L'éducation des adultes ;

    13. L'utilisation des langues nationales et/ou des langues du milieu comme médium et discipline d'enseignement et d'apprentissage ;

    14. La formation et le recyclage des formateurs ;

    21

    15. L'adéquation entre la formation et l'emploi ;

    16. L'enseignement à distance ;

    17. La lutte contre les violences sexuelles ;

    18. Les droits de l'homme ;

    19. La lutte contre la déperdition et l'inadaptation scolaires ;

    20. La lutte contre les discriminations et les inégalités en matière d'éducation scolaire ;

    21. La maîtrise et le contrôle de la science et de la technologie comme facteurs essentiels de la puissance économique ;

    22. La promotion de l'intelligence et de l'esprit critique ;

    23. L'éducation permanente.

    1.3.3.2. L'éducation scolaire vise

    Elle toutes les actions menées par les structures classiques, spéciales et non formelles.

    Elle a pour finalité l'épanouissement intégral et harmonieux de chaque personne afin de la rendre utile à elle-même et de réaliser son insertion dans la société.

    La présente loi s'applique aux établissements d'enseignement publics et privés agréés.

    1.4. DE L'ORGANISATION ET DU FONCTIONNEMENT DE L'ENSEIGNEMENT NATIONAL

    1.4.1. L'ORGANISATION

    L'enseignement national comprend deux structures, à savoir l'enseignement formel et l'éducation non formelle. L'enseignement formel est dispensé sous forme d'enseignement classique et d'enseignement spécial. L'éducation non formelle est donnée sous forme d'activités assurées dans des établissements spéciaux et dans des centres de formation.

    1.4.2. De l'enseignement formel

    De l'enseignement formel de type classique. L'enseignement national de type classique est organisé en :

    1. Enseignement maternel ;

    2. Enseignement primaire ;

    3. Enseignement secondaire ;

    4. Enseignement supérieur et universitaire.

    22

    Figure 1 : Nouvelle structure de l'éducation de base

    L'enseignement maternel a pour but d'assurer l'épanouissement de la personnalité de l'enfant par une action éducative en harmonie avec le milieu familial, social et environnemental.

    Il concourt essentiellement à l'éducation sensorielle, motrice et sociale de l'enfant et à l'éveil de ses facultés intellectuelles.

    1.5. DE L'ADMINISTRATION ET DES ORGANES

    A. L'administration

    L'administration de l'enseignement maternel, primaire, secondaire et professionnel comprend l'administration centrale, provinciale et locale ainsi que la direction de l'établissement.

    B. Des organes d'administration de l'enseignement maternel, primaire, secondaire et professionnel

    Les organes d'administration de l'enseignement maternel, primaire, secondaire et professionnel sont :

    23

    1. Le ministère du Gouvernement ayant l'enseignement dans ses attributions ;

    2. Le ministère provincial compétent ;

    3. Les entités territoriales décentralisées ;

    4. Les structures de gestion des établissements publics conventionnés de l'enseignement national ;

    5. Le comité provincial ;

    6. La commission provinciale ;

    7. Le conseil de gestion scolaire de l'établissement ;

    8. La direction de l'établissement scolaire ;

    9. Le comité scolaire des parents ;

    10. Le comité des élèves.

    Leurs missions et rôles sont définis par voie réglementaire.

    Les modalités de création, d'organisation et de fonctionnement ainsi que les attributions des structures de gestion des établissements publics conventionnés de l'enseignement maternel, primaire, secondaire et professionnel sont définis par un arrêté du Ministre du Gouvernement central ayant ce secteur d'activités dans ses attributions.

    1.6. DES DISPOSITIONS COMMUNES AUX ÉTABLISSEMENTS PUBLICS ET PRIVES AGREES

    Tout établissement d'enseignement national accueille, sans distinction d'origine, de religion, de race, de sexe, d'ethnie, d'opinion, tout élève ou étudiant remplissant les conditions déterminées par la présente loi.

    Aucun établissement d'enseignement national ne peut ouvrir une nouvelle classe, une nouvelle section, une nouvelle faculté ou option, sans l'autorisation préalable du Ministre du Gouvernement t central ayant l'éducation dans ses attributions ou du Gouverneur de province selon le cas.

    Chaque établissement public ou privé de l'enseignement maternel, primaire, secondaire et professionnel ainsi que d'éducation non formelle élabore son règlement intérieur conformément aux directives et instructions de l'autorité compétente.

    Lorsque les conditions de création d'un établissement d'enseignement national ont été entachées d'irrégularités ou que celles d'organisation et de fonctionnement ne sont plus remplies, l'autorité compétente procède à la fermeture temporaire ou définitive.

    24

    En cas de fermeture définitive de l'établissement, l'autorité compétente répartit, s'il y a lieu, les élèves ou les étudiants dans d'autres établissements.

    Les mêmes dispositions sont prises en faveur du personnel de l'établissement public.

    1.7. COMPETENCES EN MATIERE D'ORGANISATION ET DE GESTION DE L'EDUCATION NON FORMELLE

    1 : Des compétences du pouvoir central

    Le Pouvoir central, par les ministères ayant l'organisation de l'éducation non formelle dans leurs attributions :

    1. organise et dote les services de l'éducation non formelle, à tous les échelons, des moyens techniques, matériels, humains et financiers conséquents ;

    2. définit les programmes de l'éducation non formelle ;

    3. édicte les normes générales relatives à l'évaluation et à la sanction de la formation ;

    4. édicte les principes généraux de l'organisation administrative, pédagogique et
    andragogique des établissements d'éducation non formelle ;

    5. définit les normes relatives à la mobilisation des ressources nécessaires au
    fonctionnement de l'éducation non formelle ;

    6. définit les normes relatives à la qualification et à la gestion du personnel éducatif ;

    7. tient les statistiques des centres d'éducation non formelle ;

    8. détermine les principes généraux en matière d'inspection administrative, pédagogique, andragogique, financière et sanitaire des établissements d'éducation non formelle ;

    9. détermine le modèle des titres à délivrer ainsi que les règles d'équivalence ;

    10. conclut les accords de coopération internationale ;

    11. affecte les inspecteurs provinciaux de l'éducation non formelle.

    2 : Des compétences de la province

    La province édicte les mesures d'exécution des normes arrêtées par le pouvoir central en matière d'organisation et de gestion des établissements d'éducation non formelle.

    25

    Sans préjudice des compétences prévues par la Constitution, le Gouvernement provincial assure :

    1. l'affectation des chefs de division et des cadres ;

    2. la mutation des chefs de division et des cadres ;

    3. le contrôle par les inspecteurs sociaux des établissements. Paragraphe 3 : Des compétences des entités territoriales décentralisées

    Les entités territoriales décentralisées élaborent et exécutent, chacune en ce qui la concerne, son plan local du développement de l'éducation non formelle, conformément à la politique générale en la matière.

    Les entités territoriales décentralisées gèrent les établissements d'éducation non formelle créés à leur initiative ou par les Pouvoirs publics, dont la gestion leur est confiée.

    Elles contrôlent les établissements privés agréés.

    1.8. DU FINANCEMENT DE L'ENSEIGNEMENT NATIONAL

    Le budget des établissements publics de l'enseignement national est intégré d'abord dans le budget des entités territoriales décentralisées, ensuite dans celui de la province et dans le budget général de l'Etat.

    Les établissements publics et privés agréés d'enseignement national bénéficient d'un financement suivant les catégories ci-après :

    1. pour les établissements publics d'enseignement gérés par l'Etat, il s'agit notamment de :

    a. Subventions du Gouvernement t central, des provinces et des entités territoriales
    décentralisées ;

    b. Produits de l'autofinancement des établissements ;

    c. Apports des organismes nationaux et internationaux ;

    d. Dons et legs ;

    2. pour les établissements publics d'enseignement gérés par des organismes privés ayant signé une convention avec l'Etat, ou ayant reçu mandat de celui-ci, il s'agit notamment de :

    26

    a. Subventions du Gouvernement central, des provinces et des entités territoriales décentralisées ;

    b. Apports des personnes physiques et morales gestionnaires ;

    c. Apports des entreprises nationales ;

    d. Apports des organismes nationaux et internationaux ;

    e. Produits de l'autofinancement des établissements ;

    f. Dons et legs.

    3. pour les établissements privés agréés, il s'agit notamment de :

    a. Subventions du promoteur, personne physique ou morale ;

    b. Subventions des tiers, personne physique ou morale ;

    c. Contributions des parents ;

    d. Produits de l'autofinancement des établissements ;

    e. Dons et legs ;

    f. Subventions du Gouvernement central, des provinces ou des entités territoriales décentralisées.

    4. la bourse et les soins médicaux.

    Pour les établissements d'enseignement privé agréé, le Pouvoir central prend en charge, s'il échet, une ou plusieurs charges énumérées à l'alinéa précédent.

    Les établissements, les centres publics et privés agréés d'enseignement national peuvent créer et développer des activités d'autofinancement.

    Ces activités sont déterminées par voie réglementaire.

    1.9. DU ROLE EDUCATIF DE LA FAMILLE ET DE L'ECOLE

    La famille et l'école concourent à la réalisation de la finalité de l'enseignement national en aidant l'apprenant à s'acquitter correctement de ses devoirs conformément aux normes sociales tout en jouissant des droits et libertés qui lui sont reconnus.

    La famille, premier milieu éducatif, doit notamment :

    1. Être premier modèle pour l'enfant ;

    2. Développer chez l'enfant le sens du partage, de l'autonomie, de la créativité, de la solidarité, de la justice, de la responsabilité, à travers des attitudes comme le respect du bien commun et public, le respect mutuel et des personnes âgées, la disponibilité ;

    27

    3. Cultiver, par des causeries éducatives, les valeurs morales, spirituelles, civiques et environnementales ;

    4. Offrir à l'enfant un cadre favorable à son épanouissement intellectuel ;

    Protéger les jeunes contre les influences sociales susceptibles de nuire à leur personnalité en pleine maturation.

    L'école doit notamment :

    1. Contribuer à l'éducation de l'apprenant déjà amorcée dans la famille ;

    2. Organiser l'initiation de l'apprenant aux activités intellectuelles ;

    3. Inculquer à l'apprenant le sens civique, patriotique et environnemental ;

    4. Aider l'enfant à s'exprimer et à développer toutes ses aptitudes ;

    5. Cultiver en l'apprenant l'esprit d'initiative, du volontariat et de l'entreprenariat ;

    6. Offrir un modèle de vie à l'apprenant pour qu'il s'insère dans la vie active par l'initiation à l'activité manuelle ;

    7. Aider l'enfant à choisir une filière d'études en tenant compte de ses aptitudes, goûts et intérêts.

    1.10. DU MATERIEL DIDACTIQUE

    Les manuels scolaires et les matériels didactiques à utiliser dans les établissements de l'enseignement national sont conformes aux normes et programmes établis par le pouvoir central. Les établissements d'enseignement peuvent utiliser d'autres moyens susceptibles de rendre plus efficace l'apprentissage.

    Chaque établissement dispose d'une bibliothèque ou d'une médiathèque et d'autres infrastructures didactiques spécifiques au type d'enseignement dispensé.

    1.11. DES DROITS ET OBLIGATIONS DES APPRENANTS Les apprenants ont droit à :

    1. Une éducation de qualité ;

    2. L'assistance nécessaire de la part du pouvoir central, des provinces, des entités territoriales décentralisées, des partenaires éducatifs et de la société pour le développement de leur personnalité et leur intégration sociale harmonieuse.

    3. Les apprenants ont l'obligation notamment de :

    4. Respecter les lois de la République ;

    5. Agir selon les principes moraux et civiques ;

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    6. Respecter les règlements régissant les établissements d'enseignement national ;

    7. Assimiler les matières enseignées ;

    8. Promouvoir en eux-mêmes la culture de l'excellence ;

    9. Participer à toutes les activités éducatives organisées par les établissements d'enseignement national ;

    1.12. DU PERSONNEL DE L'ENSEIGNEMENT

    Le personnel des établissements publics d'enseignement maternel, primaire, secondaire et professionnel. Le personnel des établissements publics d'enseignement maternel, primaire et secondaire est réparti en trois catégories :

    1. Le personnel enseignant ;

    2. Le personnel administratif ;

    3. Le personnel technique et ouvrier.

    Ce personnel est régi par le statut particulier du personnel enseignant.

    1.13. CODE SERNIE

    SERNIE « Service National d'Identification des Elèves « SERNIE » dispose déjà d'un outil important dénommé « ECOMIL ID » une application qui lui permet d'identifier, de suivre le parcours scolaire des élèves sur toute l'étendue du territoire national de la RDC, de générer automatiquement les listes, numéros d'identification permanent des élèves ainsi que les statistiques.

    Les participants à cette réunion de restitution-évaluation ont pu relever quelques faiblesses au niveau de la base des données en constitution depuis le mois de Mai 2018.

    Sur une estimation de 20 millions d'élèves, le SERNIE ne dispose que 1.143.530 élèves ce qui ne constitue que 6% d'informations pour l'ensemble de la république pour l'année 20172018. Un véritable défi à relever pour ce grand service qui compte près de 498 antennes au niveau des sous-divisions et 48 bureaux au niveau des provinces et plus de 7000 agents.

    Le Directeur national du SERNIE, Noël MAGOMBO BANGA, a saisi l'occasion pour inviter les chefs de division, chefs de bureau et chefs d'antenne de son service et leurs agents présent à conjuguer plus d'efforts pour matérialiser l'objectif final, celui d'octroyer à tout élève congolais de la RDC, un numéro permanent qui l'accompagnera durant son parcours scolaire d'ici la fin de l'année 2019-2020.

    29

    B. ANALYSE CRITIQUE DE L'EXISTANT

    L'analyse de l'existant a pour but de recueillir les données qui vont servir pour élaborer le diagnostic en vue de la recherche et de choix des solutions ou de la solution future permettant l'amélioration du système actuel. Ainsi l'analyse de l'existant est nécessaire car elle permet de répondre à la question oui ou non faut-il informatiser. Tout problème n'est pas toujours informatisable9.

    Gestion des côtes au sein des établissements scolaires

    Pour ce qui est de la mise en oeuvre d'une bonne gestion des côtes et de concourir aux objectifs que les établissements scolaires se fixent qui n'est rien d'autre que d'assurer une bonne formation aux élèves afin de permettre leur épanouissement, chaque instiution recourt à des moyens matériels d'une part qui est l'ensemble des salles des classes, des salles de laboratoire, des ordinateurs, des mobiliers, des manuels pédagogiques, des documents, fournitures et autres utilisés pour assurer la formation des élèves mais aussi des moyens humains de l'autre part qui est en fait l'ensemble du personnel que l'établissement met en place pour s'assurer de l'atteinte de ses objectifs.

    Analyse du flux d'information

    Selon le dictionnaire français, un flux d'information est un transfert d'information entre deux acteurs du système d'information souvent représenté par des flèches, un flux part d'un acteur source pour aboutir à un acteur de finalité. Dans le cas de notre travail, il représente l'ensemble des informations qui se communique entre les différents acteurs qui entrent enjeu dans la gestion des cotes au sein des établissements scolaires. Ainsi pour gérer les cotes au sein de ces derniers, on a en général l'intervention de l'enseignant titulaire du cours qui évalue les élèves et cotes leurs niveau par apport aux évaluations dans un cahier « cahier des côtes » ou sur une fiche « fiche des côtes », après quoi il transmet ces cotes au responsable de la classe qui est le titulaire de la classe qui va se charger de rassembler toutes les cotes obtenues par chaque élève dans tous les cours auxquels il a été évaluer sur un document communément nommé « Bulletin », ensuite il va calculer le pourcentage des cotes de l'élève, dégager la place que doit occuper chaque élève en fonction des pourcentages qu'ont obtenu les autres élèves de la classe, à la fin de la détermination du pourcentage et de la place de chacun il doit transmettre les résultats à la direction soit au proviseur pour qu'il puisse

    9 Prof. Dr. MUSANGU LUKA, Cours de MAI 1-2-2015-2016, éd. Emmanuel, 2016, P.24.

    30

    apprécier le rendement des élèves et juger ainsi du critère de délibération, ce dernier après la consultation de ces résultats les lui remettra pour qu'il puisse passer à la proclamation soit aux élèves soit aux parents . Partant de la description des processus qui s'effectuent dans la gestion des cotes au sein des institutions secondaires on arrive à trouver que dans l'analyse des acteurs et des séquences qu'il faudra retenir dans la mise en place d'un diagramme de flux, il ne faudra pas oublier l'enseignant titulaire du cours, l'enseignant titulaire de la classe, le proviseur, ainsi que les élèves et les parents des élèves. Ainsi notre flux d'information se présenterait de la manière suivante :

    Construction du flux d'information

    Ce diagramme donne une vue d'ensemble de la circulation des informations (les flux) entre des acteurs internes ou externes qui participent à un domaine d'étude.

    Définition

    a. Domaine d'étude

    Le domaine d'étude délimite le périmètre précis d'une ou de plusieurs activités au sein d'une organisation spécifique10.

    b. L'acteur

    L'acteur au domaine d'étude est un système actif(ou un objet) intervenant dans le domaine d'étude au moyen des flux ; un acteur peut représenter :

    ? Un intervenant extérieur à l'entreprise, ? Un domaine de l'entreprise,

    ? Etc.

    c. Les flux

    Les flux symbolisent un échange entre deux acteurs du système d'information étudié. Il est représenté par une flèche, porte un nom et peut, pour des soucis de lisibilité chronologique, être numéroté.

    Représentation graphique des acteurs et des flux

    10 SINDANO et al, Cours de Méthodes d'analyse informatique G2 IG ISP-BKV 2013-2014, Inédit

    31

    Il n'existe pas à l'heure actuelle de normalisation des représentations des acteurs et des flux. Ainsi pour notre travail partant de la version de JFlux utilisé les acteurs seront présentés de la manière suivante :

    DOMAINE D'ETUDE

    INS

    ACTEUR INTERNE

    ACTEUR EXTERNE

    Le flux sera représenté par une flèche dont le sens d'orientation indique l'émetteur et le récepteur de l'information et le numéro de l'information :

    Au cours de l'analyse du flux d'information nous avons synthétiquement analysé de la manière dans laquelle les cotes se transmettent d'un acteur à un autre et nous sommes arrivés au point de déterminer les acteurs qui interviennent dans la gestion des cotes et qui sont subdivisés en acteur interne et externe, dont entre autres :

    > les acteurs internes :

    + Elève

    + Enseignant titulaire du cours

    + Titulaire de la classe

    + Proviseur

    > Acteur externe

    + Parent

    Les relations entre ces divers acteurs sont représentées sous forme de schéma appelé « Schéma de flux d'information ».

    SCHEMA DU FLUX DE GESTION DES COTES

    1)

    32

    LEGENDE :

    la préparation opération du flux, implique la cotation de l'élève par l'enseignant (un élève x est coté par un enseignant titulaire du cours) ;

    2) l'enseignant titulaire du cours transmet les cotes de l'élève au titulaire de la classe de l'élève ;

    3) le titulaire du cours après avoir calculé et obtenu le pourcentage de chaque élève, envoie les résultats trouvés au proviseur ;

    4) le proviseur après avoir pris bonne note du rendement des élèves, remet les résultats au titulaire de la classe pour la proclamation ;

    5) le titulaire effectue la proclamation des résultats soit aux élèves soit aux parents

    Analyse des documents utilisés dans la gestion des côtes au sein des établissements

    Pour arriver à bien gérer les cotes et éviter trop des pertes des cotes des élèves au sein des établissements, ces derniers mettent en place certains moyens mécaniques pour enregistrer à chaque cotation les points obtenus par les élèves et cela dans des documents spécifiques qui sont entre autre :

    a) La fiche des cotes :

    La fiche des cotes est un document dans lequel les enseignants titulaire du cours enregistrent à chaque travail coté les résultats obtenus par les élèves, elle concerne toujours une branche, elle énumère d'une façon détaillée les cotes obtenues par les élèves dans une branche durant une période donnée à défaut d'elle les titulaires des cours peuvent utiliser ce qu'on appelle le cahier des cotes qui est en soi un cahier résumant l'ensemble des fiches des cotes d'un même

    33

    enseignant. Pour chaque fiche de cote il est généralement de coutume à rencontrer la dénomination du cours ou de la branche dans lequel les élèves ont été examinés, l'identité du titulaire du cours qui a dispensé ce dernier et examiné les élèves, la liste des élèves qui ont participé aux examinassions, la pondération pour chaque examinassions effectué ainsi que la cote obtenue par chaque élève, pour chaque fin de période donnée synthétiser la moyenne des cotes obtenus par chaque élève sous forme de total.

    Dans le cas normal les établissements utilisent les fiches des cotes qui se présentent de la manière suivante :

    FICHE DES COTES

    COURS :...

    TITULAIRE :

    CLASSE :

    Date Max

    .../...

    .../...

    Tôt.

    .../...

    .../...

    Tôt.

    Tôt. Genn.

    20

    20

    40

    20

    20

    40

    80

    NO

    NOM ET POST-NOM

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     

    b) Le Bulletin

    Contrairement à la fiche des cotes, un bulletin est individuel, il ne concerne jamais deux élèves à la fois. Il est un document de synthèse des cotes obtenues par un élève dans l'ensemble des branches auxquelles il a été évalué, de même que le bulletin étant un document de mesure du rendement de l'élève et de son évolution au courant d'une année scolaire, il permet aux enseignants de constater l'écart de l'évolution de l'élève soit en régression soit en stagnation soit en progression pour se questionner sur le pourquoi de ce résultat.

    34

    Pour arriver à conclure sur l'évolution de l'élève, il sera confronter aux matières suivies et auxquelles il a été examiné d'une part et son résultat obtenu par rapport aux autres élèves de sa classe d'une autre part, c'est pourquoi il sera toujours question pour chaque bulletin de contenir l'ensemble des branches auxquelles l'élève est examiné, ses cotes obtenues pour chaque branche à une période donnée, le pourcentage obtenu qui est le rapport de ses points obtenus par apport au maximum à atteindre multiplié par cent, la place qu'il a occupé par rapport aux autres camarades de la classe, la conduite de l'élève et au final vers la fin de l'année scolaire dégager la sanction ou la mention de l'ensemble des résultats obtenus par l'élève si c'est la réussite ou l'échec. Ainsi synthétiquement le bulletin se présente de la manière suivante :

    35

    Critique et proposition de solution

    + Critique

    Vu ce système de gestion manuelle des côtes dur des documents on se rend comptes des certaines failles, telles que :

    y' Possibilité pour un enseignant de perdre sa fiche des cotes ;

    y' Possibilité pour un enseignant titulaire de classe de mal calculer les points des élèves ;

    y' Possibilité de retard lors de la proclamation pour l'institution suite au nombre élevé des élèves et le temps que doit mettre l'enseignant pour le calcul de chaque bulletin ;

    y' Difficulté de retrouver facilement les cotes des élèves des années antérieurs au cas où l'élève perdait son bulletin ;

    y' Possibilité de retard dans la transmission du palmarès de l'école auprès de l'inspection tutelle ;

    + Proposition de solution

    Au regard de toutes les failles susmentionnées, nous proposons la solution selon laquelle les points au lieu qu'ils soient inscrits dans des fiches des cotes qui sont prévisiblement périssables et vu le gaspillage du temps par les calculs du pourcentage des élèves nous proposons la solution de miter vers l'utilisation d'un système informatisé qui permettra à la fois l'encodage des cotes, le calcul de ces dernières et la transmission de ces côtes entre les enseignants.

    36

    Chap II. MODELISATION DU SYSTEME D'INFORMATION INFORMATISE

    Ce chapitre se subdivise en trois sections. La première section propose les

    différentes méthodes de développement informatique, la deuxième essaye de faire le choix et la description de la méthode utilisée. Enfin, la dernière section consiste à faire le développement de la méthode utilisée.

    II.1. PRESENTATION DES QUELQUES METHODES DE DEVELOPPEMENT INFORMATIQUE

    Dans la présente section, nous présentons quelques méthodes utilisées en informatique

    pour le développement des systèmes d'information.

    Il s'agit entre autre de notre très chère MERISE, de l'UP, RUP et en fin l'UP7.

    II.1.1. MERISE

    MERISE est un acronyme signifiant Méthode d'Étude et de Réalisation

    Informatique par les Sous-ensembles ou pour les systèmes d'Entreprise. La méthode Merise a comme objectif d'aider, de guider les concepteurs des systèmes d'information, dans leurs phases d'analyses, de conception et le développement de l'applicatif (Jean-Luc BAPTISTE, p.1).

    La méthode Merise se caractérise par :

    ? une approche systémique en ayant une vue de l'entreprise en terme de systèmes (le système de pilotage, le système d'information et le système opérant) ;

    ? une séparation des données (le côté statique) et des traitements (le côté dynamique) ;

    ? une approche par niveaux (le niveau conceptuel, le niveau organisationnel, le niveau logique ainsi que le niveau physique).

    II.1.2. UP

    UML n'est qu'un langage de modélisation (Joseph Gabay et David Gabay ; 2008,

    p.111). Signalons que nous n'avons pas aujourd'hui dans la norme, de démarche unifiée pour construire les modèles et conduire un projet mettant en oeuvre UML. Cependant les auteurs d'UML, ont décrit, dans un ouvrage de Jacobson (2000) cité par Joseph Gabay et David Gabay (2008, p.111), le processus unifié (UP, Unified Process) qui doit être associé à UML. Nous n'allons pas, dans le cadre de cette section, donner une présentation détaillée d'UP. Cependant il nous a paru intéressant de dégager les idées fondatrices d'UP dans le

    37

    cadre d'une présentation générale. Nous allons tout d'abord expliciter les principes de la méthode UP. Nous compléterons ensuite cette présentation générale en décrivant l'architecture à deux dimensions d'UP, nous passerons aussi en revue les différentes phases d'UP, et pour finir nous citerons les activités d'UP.

    II.1.2.1. Les principes d'UP

    Le processus de développement UP, associé à UML, met en oeuvre les principes suivants :

    V' Processus guidé par les cas d'utilisation : L'orientation forte donnée ici par UP est de montrer que le système à construire se définit d'abord avec les utilisateurs ;

    V' Processus itératif et incrémental ;

    V' Processus centré sur l'architecture : Les auteurs d'UP mettent en avant la préoccupation de l'architecture du système dès le début des travaux d'analyse et de conception ;

    V' Processus orienté par la réduction des risques : L'analyse des risques doit être présente à tous les stades de développement d'un système;

    Ces principes sont à la base du processus unifié décrit par les auteurs d'UML. II.1.2.2. Phases et Itérations du processus Unifié

    Le processus unifié, organisé en fonction du temps, est divisé en quatre phases successives.

    V' Inception (Lancement) ;

    V' Élaboration ;

    V' Construction ;

    V' Transition ;

    Voici un schéma qui montre les deux dimensions de la démarche UP.

    38

    Schéma d'ensemble d'UP (Joseph Gabay et David Gabay ; 2008, p.112). II.1.2.3. Activités du Processus

    Dans chaque phase de l'UP, il y a un ensemble de cinq activités qui doivent être exécutée. Ces activités sont les suivantes :

    V' Expressions des besoins ;

    V' Analyse ;

    V' Conception ;

    V' Implémentation ;

    V' Test.

    Disons que la société Rational Software, racheté par IBM, avait mis en place une autre

    version d'UP spécifique sous le nom de RUP (Rational Unified Processus). Dans le point

    suivant, nous allons beaucoup plus nous atteler sur les apports de RUP.

    II.1.3. RUP

    Selon Joseph Gray et David Gray (2008, p.112), RUP est un processus basé sur une approche disciplinée afin de bien maîtriser l'assignation des tâches et la responsabilisation des différents acteurs participant au cycle de développement du logiciel. Cela étant, l'objectif principal de cette approche est de faire appliquer des bonnes pratiques de développement aux entreprises.

    39

    Nous allons présenter les apports du RUP en essayant d'exploiter les éléments ci-après :

    V' Les bonnes pratiques ou principes ;

    V' Les phases du processus ; V' Les activités du processus.

    II.1.3.1. Les bonnes pratiques

    En plus des principes de l'UP, la démarche RUP a fait son apport en augmentant trois autres principes ou bonnes pratiques suivantes :

    V' Modélisation visuelle ;

    V' Vérification continue de la qualité ;

    V' Contrôle des changements du logiciel. II.1.3.2. Les phases du processus

    Pareillement à l'UP, l'approche RUP est un processus à deux dimensions. Comme nous l'avons vu pour l'UP, l'axe horizontal représente les phases et itérations et l'axe vertical représente les activités. RUP maintient les quatre phases de l'UP comme le montre la figure N°17

    40

    Schéma d'ensemble du RUP (Joseph Gabay et David Gabay ; 2008)

    Dans la démarche RUP, il y a un aspect qui s'est ajouté. L'aspect en question est appelé « jalon ». Un jalon est un ensemble des tests à accomplir à la fin de chaque phase et qu'on ne peut passer à la phase suivante que si ces derniers sont vérifiés.

    II.1.3.3. Les Activités du processus

    Comme vous le voyez dans la figure N°12, RUP organise 9 activités suivantes :

    V' Modélisation métier ;

    V' Gestion des exigences ;

    V' Analyse et conception ;

    V' Implémentation ;

    V' Test ;

    V' Déploiement ;

    V' Gestion de la configuration et du changement ;

    V' Gestion des projets ; Environnement.

    II.1.4. UP7

    La démarche UP7 était proposée par Joseph Gabay, Directeur de projet informatique

    au CNRS-Paris et chargé du cours à l'Université de ParisDauphin avec David Gabay, directeur chef de projet chez Cap Gemini une entreprise informatique se trouvant en France. La démarche est articulée suivant deux axes : les quatre phases qui correspondent à celles d'UP et sept activités. Ainsi, ils ont présenté dès ce stade un premier schéma d'ensemble de la démarche suivant ces deux axes (figure N°18).

    41

    Schéma d'ensemble de la démarche UP7 (Joseph Gabay et David Gabay ; 2008)

    Le grisé sur le schéma représente l'effort à consentir pour chaque activité durant les phases d'un projet. Ainsi par exemple, pour l'activité 3 (Analyse des cas d'utilisation), l'activité commence légèrement lors de la phase de lancement puis se déroule principalement lors de la phase d'élaboration et se termine en phase de construction.

    Il est à noter que sur le schéma, la proportion que représente chaque activité par rapport à l'ensemble de la charge de développement d'un projet a été respectée graphiquement. Compte tenu de notre expérience et des ratios habituellement constatés dans la profession, nous avons retenu la répartition indicative suivante pour les volumes d'effort à consentir sur les activités d'un projet (Joseph Gabay et David Gabay ; 2008, p.139).

    V' Modélisation métier : 5 % ;

    V' Exigences fonctionnelles : 5 % ;

    42

    y' Analyse des cas d'utilisation : 20 % ;

    y' Synthèse de l'analyse : 5 % ;

    y' Conception : 10 % ; Implémentation : 40 % ; Test : 15%.

    Il importe bien entendu, de tenir compte pour chaque projet de ses spécificités en termes par exemple de complexité fonctionnelle, contraintes techniques, et compétence des ressources affectées. Les activités 6 et 7, « Implémentation » et « Tests », sont présents sur notre schéma pour couvrir à ce niveau la totalité des activités en référence à UP. Dans les lignes qui suivent, nous allons beaucoup plus développer ces différentes activités.

    II.2. CHOIX ET DESCRIPTION DE LA METHODE CHOISIE

    II.2.1 Choix de la méthode

    Notre choix a été porté sur la démarche UP7 du fait qu'elle nous permet de faire une conception qui est beaucoup plus pragmatique et détaillée. Cette approche comme nous l'avons vu dans sa présentation est une amélioration du Processus Unifié (UP) car en plus des cinq activités de la démarche UP, elle entre en profondeur (en détail) en introduisant 6 activités dans le processus de développement.

    II.2.2 Description de la méthode UP7

    Dans le cadre de notre travail, pour illustrer la description générale des activités de la démarche, la figure ci-dessous présente chaque activité avec ses différentes sous-activités. Une sous-activité aboutit à l'élaboration d'un ou plusieurs diagrammes UML ou d'un schéma de support au développement

    43

    7 - Tests

    Activité non traitée dans cet ouvrage

    Activité non traitée dans cet ouvrage

    6 - Implémentation

    5 - Conception

    5.1 - Réalisation des choix techniques (FG15)

    5.2 - Élaboration des diagrammes de séquence technique (FG16) 5.3 - Élaboration des diagrammes de classe technique (FG17) 5.4 - Élaboration du diagramme de paquetage (FG18)

    3 - Analyse des cas d'utilisation

    3.1 - Élaboration du diagramme des cas d'utilisation (FG7) 3.2 - Description des cas d'utilisation (FG8)

    3.3 - Élaboration des diagrammes de séquence (FG9) 3.4 - Élaboration des diagrammes d'état-transition (FG10) 3.5 - Élaboration des interfaces utilisateur (FG11) 3.6 - Élaboration des diagrammes de classe (FG12)

    4 - Synthèse de l'analyse

    4.1 - Élaboration du diagramme de classe récapitulatif (FG13) 4.2 - Élaboration de la matrice de validation (FG14)

    1 - Modélisation métier

    1.1 - Élaboration du schéma de contexte du domaine d'étude (FG1) 1.2 - Élaboration du diagramme d'activité (FG2)

    1.3 - Élaboration du diagramme de classe métier (FG3)

    2 - Exigences fonctionnelles

    2.1 - Élaboration du diagramme des cas d'utilisation système (FG4) 2.2 - Élaboration des diagrammes de séquence système (FG5) 2.3 - Élaboration du schéma de navigation générale (FG6)

    GESTION DU PERSONNEL ENSEIGNANT

    COTATION DES ELEVES

    DIRECTION D'ETUDE

    44

    II.3. DEVELOPPEMENT DE LA MODELISATION PROPREMENT DITE

    II.3.1. MODELISATION METIER

    II.3.1.1. Schéma de contexte

    Vu le tableau de la démarche UP7, il est prévu de faire en premier un diagramme de contexte

    qui permet de situer le processus ou le domaine étudié par rapport aux autres processus de l'entreprise.

    Ainsi, notre système de gestion des côtes se retrouve en collaboration étroite avec le processus de gestion du personnel enseignant d'un côté et de l'autre côté avec la direction d'étude.

    Enseignant

    45

    II.3.1.2. Elaboration du diagramme d'activité

    De part de notre système étudié, nous avons cinq (5) acteurs qui interviennent et qui jouent un rôle capital pour la circulation des informations de côte au niveau national. Ces acteurs sont entre autre :

    ? Administration générale : elle se charge d'accepter les demandes de création des inspections et initialise les valeurs initiales pour l'année scolaire à débuter ;

    ? Inspection : Elle est chargée de valider la création ou en d'autre mot accepter le fonctionnement de l'école au sein du système en validant la création du compte exprimée par les écoles ;

    ? Ecole : Elle se charge d'exprimer en premier sa demande de création de compte puis après validation de compte elle poursuit avec d'autres activités préconditionnelles pour arriver à coter les élèves et envoyer les rapports à l'inspection.

    ? Enseignant : Il a pour rôle de coter les élèves dans les branches qu'il enseigne ;

    ? Enseignant Titulaire : Ce dernier se focalise sur la visualisation et l'impression des résultats des élèves de la classe dont il est responsable.

    Ainsi, notre diagramme d'activité métier se présente de la manière suivante :

    46

    Adn'inistrateur Général

    Inspelion

    Ecole

    Enseignant

    Titulaire

     
     
     
     
     
     

    Crier compte

     
     

    Créercampte

     

    >

    S'authentifier

     

    Créer

    V

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     

    compte

     
     
     

    V

     
     

    S'authentifier

     
     

    V

     
     

    I

    S'authentifier

     
     

    V

     
     

    Coter les heves

     
     
     
     

    S'authentifier

     

    i Non

    ;

    r Oui

     
     
     

    (Ajouter les

    sections _ii

     

    1Ajouter lest
    \ coins }

     
     
     
     
     
     

    Imprimer les résultats

    i

    Valide récole

     

    Non

     

    f W\ilit

     

    V

     
     

    l --J

     

    V Validation Inspection

    Oui

    ~!

     

    ( Ajouter les

    Rejeter récole ji

     

    r Valider , récole

     

    AJauter les
    sections
    organisées

     

    (-

    Ajouter les

    classes

    enseignants en
    créant leurs

     
     

    Rejeter

    _2

    CValider

     
     

    iii.

     
     

    comptes

     
     
     
     

    V

     
     
     
     

    CRoairIurscours-

    par enseignant ji

     

    (-Rëapartirletifularat

    par lasse }

     
     
     

    Ajouter les élëves

     

    Ajouter les cntires de délibération

     
     

    47

    II.3.1.3. Elaboration du diagramme de classe métier

    Administrateur général : Dans le cadre de ce métier, c'est l'inspection centrale à Kinshasa, qui est chargée de valider la création des inspections au niveau local ; Inspection : Ils entrent en jeu quand à valider les écoles se trouvant sous leur tutelle de sorte qu'elle puisse avoir d'elles les rapports ;

    Ecole : dans le métier, elle représente l'organe qui se charge de louer et de répartir les éléments nécessaire pour la cotation des élèves ;

    Enseignant : Il se charge d'encoder les côtes des élèves dans les cours qu'il enseigne ; Titulaire : Il a pour rôle de visualiser et d'imprimer les résultats des élèves de la classe dont il est responsable ;

    Côte : pour chaque élève, il y a une côte pour un cours qu'il a passé ;

    Résultat : C'est l'ensemble des côtes qu'un élève a obtenu dans les différents cours ;

    Ainsi, notre diagramme de classe métier se présente de la manière ci-dessous :

    48

    Cffv OWN

    Cff:: vtuvr

    Cffe ctu v

    1

    Titulaire

    Imprimer

    MIs_aJour_oaurs

    Alp ut_Cours

    AJ ut_Sectlon

    Enselgnant

    Aimi nist rateur_Gitratral

    1

    1

    Cffvtucr

    Co teE lave

    Résultat

    Mls_aJaur_ sect Ion

    49

    II.3.2. EXIGENCES FONCTIONNELLES

    II.3.2.1. Elaboration du diagramme de cas d'utilisation système

    Partant de la connaissance des acteurs qui interviennent dans notre système et partant de la

    connaissance du rôle à jouer par chacun d'eux, ce diagramme synthétise le rôle que chacun joue.

    III.3.2.2. Diagramme de séquence système

    Pour chaque cas d'utilisation système est attribuer un diagramme de séquence ainsi ci-dessous

    nous représentons quelques diagrammes de séquence de notre système métier. a. Diagramme de séquence du CU « Gérer les écoles»

    50

    b. Diagramme de séquence du CU « Gérer les cotes

    51

    c. Diagramme de séquence du CU « Gérer les élèves »

    d. Diagramme de séquence du CU « Imprimer les résultats »

    52

    e. Diagramme de séquence du CU « gérer inspection »

    II.3.2.3. Elaboration du schéma de navigation générale

    53

    Session

    Administrateur général

    Session
    AdminEcole

    Gestion Inspection

    Gestion Elève

    Gestion Section

    Gestion Enseignant

    Gestion Cours

    Initialisation Année

    Session

    Enseignant et

    Gestion

    Cours_Enseigné

    Cotation Eleve

    Gestion Classe

    Affichage Résultat

    CONNEXION AU SYSTEME

    Gestion Section

    Proclamation

    Gestion Inscription

    Session Inspection

    Gestion Titulariat

    Gestion Ecole

    Gestion Délibération

    Palmarès

    Accueil

    Déconnexion

    Paramètre du compte

    54

    II .3.3. ANALYSE DES CAS D'UTILISATION

    II.3.3.1. Elaboration du diagramme de cas d'utilisation

    II.3.3.1.1. Identification des acteurs

    Les acteurs d'un système sont les entités externes ou internes du système qui interagissent avec lui. Nous appelons acteur principal celui pour qui le cas d'utilisation produit la plus-value métier ; c'est-à-dire ceux qui utilisent le système pour atteindre un but. Les acteurs sont donc à l'extérieur du système et dialoguent avec lui.11

    Ainsi les acteurs qui interviennent dans notre système sont : II.3.3.1.2. Identification des cas d'utilisation

    Un cas d'utilisation (Use case) « représente un ensemble de séquences d'actions réalisées par le système et produisant un résultat observable intéressant pour un acteur particulier »12 Les cas d'utilisation permettent de modéliser les attentes des utilisateurs afin de réaliser une bonne délimitation du système et également d'améliorer la compréhension de son fonctionnement.

    Le diagramme de cas se compose de trois éléments principaux :

    A. Un Acteur

    C'est l'idéalisation d'un rôle joué par une personne externe, un processus ou une chose qui interagit avec un système. Il se représente par un petit bonhomme avec son nom inscrit dessous.

    Son rôle est d'interagir directement avec le système étudié. Un acteur participe à au moins un cas d'utilisation.

    B. Un cas d'utilisation

    11 Professeur docteur MUSANGU LUKA 2016-2017, note du cours de conception de Système d'Information, L1 IG ISP BUKAVU, inédit ; pp18,31

    12 (PhitosMbaa ; 2014, p.44).

    55

    C'est une unité cohérente représentant une fonctionnalité visible de l'extérieur. Il réalise un service de bout en bout, avec un déclenchement, un déroulement et une fin, pour l'acteur qui l'initie.

    Un cas d'utilisation modélise donc un service rendu par le système, mais n'impose aucun mode de réalisation de ce service. Il est représenté par une ellipse contenant le nom du cas (un verbe à l'infinitif), et optionnellement, au-dessus du nom, un stéréotype.

    C. Les relations

    Les relations sont utilisées dans ce type de diagramme pour relier les acteurs et les cas d'utilisations par une relation qui signifie simplement « participe à » ;

    X Y

    A part cela nous pouvons démontrer les cas intervenant dans ce type de diagramme dont :

    Inclusion : le cas d'utilisation de base en incorpore explicitement un autre, de façon obligatoire, à un endroit spécifié dans ses enchaînements ; Une relation d'inclusion (formalisé par le mot « include »tel que se présenter sur la figure en bas) d'un cas d'utilisation X par rapport à un cas d'utilisation Y signifie qu'une instance de X contient le comportement décrit dans Y.

    56

    Extension : le cas d'utilisation de base en incorpore implicitement un autre, de façon optionnelle, à un endroit spécifié indirectement dans celui qui procède à l'extension ; Une relation d'extension « extend » d'un cas d'utilisation X par un cas d'utilisation Y signifie qu'une instance de X peut être étendue par le comportement décrit dans Y.13

    X Y

    Il représente une collection de scénarios (schémas) qui décrit la façon dont un ou plusieurs acteurs interagissent avec un système pour atteindre un but. Les scénarios prennent la forme d'une description textuelle d'actions ou d'interactions entre un ou des acteurs et le système modélisé.14

    Ainsi, notre diagramme de cas d'utilisation se présente de la manière suivante :

    13 Joseph Gabay et David Gabay,UML 2 ANALYSE ET CONCEPTION, Ed. Dunod, Paris, 2008, P.65

    14 UML2 en action de l'analyse de besoin à la conception 4ème édition

    57

    CAS D'UTILISATION GENERALE

    Enseignant

    Coter las grieves

    «I ne ludex

    « IncIudlexx

    -- Inclulde}

    I J I 1

    Mis â jour dies cotes

    ~

    ~ I +

    r

    cc I nC Iud x

    « Inc Iudexx ., I l -

    Val ide r école

    inspection

    Tdu Iaire

    M is à jour des sections

    Administrateur général

    'Mis a jour du cours, i Ajouter Cours

    Repartir Tes titulaiiats

    , 4

    4

    I 4;}


    ·

    Ajouter les cutines de dëlitrerâjjo

    Ajouter Section

    Valider !mimic

    Adrr in_Eaole

    Répartir les cours enseignés

    411M-dinateur pour

     
     
     

    suspend re école

     
     
     

    4 f %`

    eaIncluderr , , + <In lude

     
     
     
     
     
     
     

    «I nc luldirx

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     

    l

    JF , ,4 i

    1 LL

    _

    r ~ l 1 I L

    Incli L 1

    a -/I y J L, h

    Inscrire les isléves'~ `;- - 'yÿln cludaxx

    1 ,~Irlckrde~lr L 4
    ·
    -

    ++ 4

    ++clnckibilex?y , i ;'

    I L l ' i

    f «Inoludexx ' '~ Lh- '

    I i ,111CkYcI ,

    L 4f

    1 /

    {j Inc ludaFx L 1 r

    Suspendre Inspection

    58

    II.3.3.2. Description des cas d'utilisation

    A chaque cas d'utilisation doit être associé une description textuelle des interactions entre l'acteur et le système et les actions que le système doit réaliser en vue de produire les résultats attendus par les acteurs.

    La description textuelle d'un cas d'utilisation est articulée en six points :

    · Objectif : décrire succinctement le contexte et les résultats attendus du cas d'utilisation

    · Acteur concerné : le ou les acteurs concernés par le cas doivent être identifiés en précisant globalement leur rôle.

    · Pré condition : Si certaines conditions particulières sont requises avant l'exécution du cas, elles sont à exprimer à ce niveau ;

    · Post conditions : Par symétrie, si certaines conditions particulières doivent être réunies après l'exécution du cas, elles sont à exprimer à ce niveau.

    · Scénario nominal : il s'agit là du scénario principal qui doit se dérouler sans incident et qui permet d'aboutir au résultat souhaité.

    · Scénario alternatif : les scénarios, secondaires ou correspondant à la résolution d'anomalies, sont à décrire à ce niveau. Le lien avec le scénario principal se fait à l'aide d'une numérotation hiérarchisée (1, 1a, 1.1b...) rappelant le numéro de l'action concernée.

    Vu le nombre élevé des cas d'utilisation, il nous sera un peu embrouillant de faire la description textuelle de chacun d'eux, pour ce faire, nous choisirons certains d'entre eux seulement.

    a. Cas d'utilisation « S'authentifier »

    CU : S'authentifier

    Objectif : Ce CU permet à un utilisateur de se connecter au système.

    Acteur : Administrateur général, Inspection, Admin Ecole, Enseignant, Titulaire

    Pré conditions : Existence des identifiants dans le système

    Scénario nominal

    DESCRIPTION DU SCENARIO NOMINAL

    59

    « DEBUT »

    1 : Le système invite l'utilisateur à entrer son login et son mot de passe

    2 : L'utilisateur soumet son login et son mot de passe

    3 : Le système vérifie l'existence des identifiants

    4 : Le système ouvre la session de l'utilisateur « FIN »

    Scénario alternatif

    DESCRIPTION DU SCENARIO ALTERNATIF

    Le login ou le mot de passe est incorrect : ce scénario commence au point 3 du scénario nominal

    1 : Le système informe l'utilisateur que les données saisies sont erronées et le scénario reprend au point 1 du scénario nominal

    b. Description textuelle du cas d'utilisation « Engager enseignant »

    CU : Ajouter enseignant

    Objectif : Ce CU permet à l'administrateur d'une école d'engager un enseignant dans son école

    Acteur : Admin Ecole

    Pré conditions : Existence des identifiants dans le système et authentification de l'admin

    Scénario nominal

    DESCRIPTION DU SCENARIO NOMINAL « DEBUT »

    1 : Le système fournit à l'admin la page d'ajout d'un enseignant

    2a : Il Peut sélectionner l'enseignant s'il existe et soumettre la page 3a : Il Confirme l'engagement de l'enseignant

    60

    4a : Le système enregistre l'engagement

    2b: Il commence directement par saisir les informations de l'enseignant et soumet la page 3b : Le système vérifie le risque de non redondance des données

    4b : Le système enregistre l'enseignant et son engagement dans l'école « FIN »

    Scénario alternatif

    DESCRIPTION DU SCENARIO ALTERNATIF

    Erreur de redondance des données : ce scénario commence au point 3b du scénario nominal

    1 : Le système informe l'administrateur que l'enseignant existe déjà dans le système et le scénario reprend au point 1 du scénario nominal

    c. Description textuelle du CU « Valider école »

    CU : Valider école

    Objectif : Ce CU permet à une inspection de pouvoir décider sur l'acceptation ou le rejet de la création du compte d'une école

    Acteur : Admin Ecole

    Pré conditions : Existence des identifiants dans le système, authentification de l'inspection et création d'un compte par une école

    Scénario nominal

    DESCRIPTION DU SCENARIO NOMINAL « DEBUT »

    1 : Le système fournit à l'inspection la page de visualisation des écoles

    2 : Sélection d'une nouvelle demande de création d'une école

    3 : Le système affiche les informations concernant la nouvelle école

    4 : L'inspection valide ou rejette l'école

    5 : Le système enregistre la décision et renvoie le message de confirmation « FIN »

    61

    Scénario alternatif

    DESCRIPTION DU SCENARIO ALTERNATIF

    Aucun scénario

    d. Description textuelle du CU « coter les élèves »

    CU : Coter les élèves

    Objectif : Ce CU permet à un enseignant d'encoder les côtes des élèves

    Acteur : Enseignant

    Pré conditions : Existence des identifiants dans le système, authentification de l'enseignant

    Scénario nominal

    DESCRIPTION DU SCENARIO NOMINAL « DEBUT »

    1 : Le système fournit à l'enseignant la page de cotation des élèves

    2 : L'enseignant Soumet la classe dans laquelle il veut encoder les cotes

    3 : Le système recherche affiche les élèves de la classe ainsi que les cours enseignés par l'enseignant dans la classe

    4 : L'enseignant soumet le cours et la période

    5 : Le système vérifie la non cotation du cours dans la classe à la période choisie et permet l'encodage

    6 : L'enseignant encode les cotes et soumet l'encodage

    7 : Le système enregistre la cote si >=0 et <=max

    8 : Le message de confirmation « FIN »

    Scénario alternatif

    DESCRIPTION DU SCENARIO ALTERNATIF

    62

    Enseignant n'a pas des cours dans la classe sélectionnée : ce scénario commence au point 3 du scénario nominal

    1 : Le système n'affiche pas de cours et le scénario reprend au point 1 du scénario nominal Le cours est déjà côté à la période : ce scénario commence au point 5 du scénario normal

    2 : Le système ne permet pas l'encodage des côtes et le scénario reprend au point 4 du scénario normal

    e. Description textuelle du CU « Imprimer les résultats »

    CU : Imprimer les résultats

    Objectif : Ce CU permet à un titulaire de pouvoir imprimer les résultats des élèves

    Acteur : Titulaire

    Pré conditions : Existence des identifiants dans le système, authentification du titulaire

    Scénario nominal

    DESCRIPTION DU SCENARIO NOMINAL « DEBUT »

    1 : Le titulaire demande la page de visualisation des résultats

    2 : Le système présente la liste des élèves dans la classe où l'enseignant est titulaire

    3 : Le titulaire sélectionne l'élève

    4 : Le système affiche le résultat concernant l'élève

    5 : Le titulaire imprime le résultat « FIN »

    Scénario alternatif

    DESCRIPTION DU SCENARIO ALTERNATIF

    Le titulaire n'a aucune classe où il est titulaire dans l'année encours : ce scénario commence au point 2 du scénario nominal

    1 : Le système n'affiche pas des élèves et le scénario reprend au point 1 du scénario nominal

    63

    II.3.3.3. Elaboration des diagrammes de séquence

    L'élaboration du diagramme de séquence a pour objectif de représenter les entre les objets en

    indiquant la chronologie des échanges. Cette représentation peut se réaliser par cas d'utilisation en mettant en considération les différents scénarios associés.

    Pour ce qui est de notre travail nous allons encore représenter les diagrammes de séquence des quelques cas d'utilisation et cela un cas d'utilisation par acteur vu le grand nombre des cas d'utilisation qui constitue notre système.

    a) Diagramme de séquence « Engager Enseignant »

    b) Diagramme de séquence « S'authentifier »

    64

    c. Diagramme de séquence « Valider école »

    d. Diagramme de séquence « Coter élève »

    65

    e. Diagramme de séquence « Imprimer les résultats »

    Si rejetée

    66

    II.3.3.4. Elaboration du diagramme d'état-transition

    Inspection

    Se présenter à l'école pour enregistrement

    C réer Cam pte

    Si in3peCtianrejet{e

    Inspection
    Prospect

    Inspection En Si nspectibnvalid&

    attente

    Enseignant

    Inspection Rejet&

    Ecole Prospect

    C réer Carr pte écale

    Ecole Enatt€nte

    École rejetée

    67

    II.3.3.5. Elaboration du diagramme de classe

    Le diagramme de classe permet de donner la représentation statique du système à développer. Cette représentation est centrée sur les concepts de classe et d'association. Chaque classe se décrit par les données et les traitements dont elle est responsable pour elle-même et vis-à-vis des autres classes. Les traitements sont matérialisés par les opérations. La description du diagramme de classe est fondée sur :

    ? le concept d'objet ;

    ? le concept de classe comprenant les attributs et les opérations ; les différents types d'association entre classes.

    II.3.3.5.1. Objet

    Un objet est un concept, une abstraction ou une chose qui a un sens dans le contexte du système à modéliser. Chaque objet a une identité et peut être distingué des autres sans considérer a priori les valeurs de ses propriétés (MUSANGU LUKA ; 2015-2016, p.63).

    Exemple : la figure ci-dessous montre des exemples d'objets physiques (une chaise, une voiture, une personne, un vélo) et d'objets de gestion (la Commande n° 12, le Client Durand).

    Exemples d'objets physiques et d'objets de gestion (MUSANGU

    LUKA ; 2015-2016, p.63)

    68

    II.3.3.5.2. Classe, attribut, opération et association a) Classe

    Une classe décrit un groupe d'objets ayant les mêmes propriétés (attributs), un même comportement (opérations), et une sémantique commune (domaine de définition). Un objet est une instance d'une classe. La classe représente l'abstraction de ses objets. Au niveau de l'implémentation, c'est-à-dire au cours de l'exécution d'un programme, l'identificateur d'un objet correspond une adresse mémoire (MUSANGU LUKA ; 2015-2016, p.64). o Formalisme général et exemple

    Une classe se représente à l'aide d'un rectangle comportant plusieurs compartiments.

    Les trois compartiments de base sont :

    · la désignation de la classe,

    · la description des attributs,

    · la description des opérations.

    Deux autres compartiments peuvent être aussi indiqués :

    · la description des responsabilités de la classe,

    · la description des exceptions traitées par la classe.

    Il est possible de manipuler les classes en limitant le niveau de description à un nombre réduit de compartiments selon les objectifs poursuivis par le modélisateur. Ainsi les situations suivantes sont possibles pour la manipulation d'une description restreinte de classe :

    · description uniquement du nom et des caractéristiques générales de la classe,

    · description du nom de la classe et de la liste d'attributs.

    La figure N° 32 montre le formalisme général des compartiments d'une classe et des premiers exemples.

    69

    Formalisme général d'une classe et exemple (MUSANGU LUKA ; 2015-2016, p.65) b) Attribut

    Un attribut est une propriété élémentaire d'une classe. Pour chaque objet d'une classe, l'attribut prend une valeur (sauf cas d'attributs multi values) (Joseph Gabay et David Gabay ; 2008, p.20).

    o Formalisme et exemple

    La figure N° 33 montre le formalisme général d'attributs d'une classe et un exemple.

    Figure N°33 : Formalisme d'attributs de classe et exemple (Joseph Gabay et David

    Gabay ; 2008, p.20)

    o Caractéristiques

    Le nom de la classe peut être qualifié par un « stéréotype ». La description complète des attributs d'une classe comporte un certain nombre de caractéristiques qui doivent respecter le formalisme suivant (Joseph Gabay et David Gabay ; 2008, p.20):

    Visibilité/Nom attribut : type [= valeur initiale {propriétés}]

    70

    ? Visibilité ;

    ? Nom d'attribut : nom unique dans sa classe ;

    ? Type : type primitif (entier, chaîne de caractères...) dépendant des types disponibles dans le langage d'implémentation ou type classe matérialisant un lien avec une autre classe ;

    ? Valeur initiale : valeur facultative donnée à l'initialisation d'un objet de la classe ;

    ? {propriétés} : valeurs marquées facultatives (ex. : « interdit » pour mise à jour interdite) ;

    Dans le cadre de notre travail, nous avons utilisé certains attributs et qui sont énumérés dans le tableau ci-dessous :

    Tableau N°2 : Tableau descriptif d'attributs

    Nom de la classe

    Nom attribut

    Type

    ELEVE

    IdEleve

    Int(10)

    Nom

    Varchar (30)

    Post nom

    Varchar (30)

    Prénom

    Varchar (30)

    Sexe

    Varchar(1)

    Datenaissance

    Date

    Lieunaissance

    Varchar(100)

    ENSEIGNANT

    IdEnseignant

    Int(10)

    Nom

    Varchar(30)

    Postnom

    Varchar(30)

    Prenom

    Varchar(30)

    Sexe

    Varchar(1)

    Datenaissance

    Date

    Lieunaissance

    Varchar(100)

    Telephone

    Varchar(14)

    71

    Niveau

    Varchar(30)

    Domaine

    Varchar(100)

    Idclasse

    Int(10)

    Nom

    Varchar(30)

    Section

    Int(10)

    NombreEleveMax

    Int(4)

    Niveau

    Int(2)

    Ecole

    Int(10)

    Etat

    Varchar(10)

    Idsection

    Int(10)

    Section

    Int(3)

    Nom

    Varchar(60)

    Ecole

    Int(10)

    Idsection

    Int(3)

    Nom

    Varchar(Nom)

    Idcours

    Int(10)

    Nom

    Varchar(100)

    IdcoursEnseigne

    Int(10)

    Nom

    Varchar(100)

    Idcours

    Int(10)

    Idclasse

    Int(10)

    Idecole

    Int(10)

    Idenseignant

    Int(10)

    Ponderation

    Int(5)

    AnneeScolaire

    Varchar(10)

    Idecole

    Int(10)

    Nom

    Varchar(100)

    Pays

    Varchar(60)

    Province

    Varchar(60)

    CLASSE

    SECTION

    SECTION INITIALE

    COURS

    COURSENSEIGNE

    ECOLE

    72

    INSPECTION

    COTE

    INSCRIPTION

    Ville_Territoire

     

    Varchar(60)

    Num_Agrement

    Varchar(30)

    Arrete

    Varchar(100)

    Type

    Varchar(30)

    Commune

    Varchar(30)

    Code

    Varchar(30)

    Inspection

    Int(10)

    IdInspection

    Int(10)

    Province

    Varchar(30)

    CodeProvince

    Varchar(3)

    Arrete

    Varchar(100)

    Etat

    Varchar(10)

    Idcote

    Int(30)

    IdEleve

    Int(10)

    Cours

    Int(10)

    Idclasse

    Int(10)

    Annee_Scolaire

    Varchar(10)

    P1

    Int(4)

    P2

    Int(4)

    P3

    Int(4)

    P4

    Int(4)

    Exam1

    Int(4)

    Exam2

    Int(4)

    Idinscription

    Int(10)

    Eleve

    Int(10)

    Classe

    Int(10)

    Ecole

    Int(10)

    DateInscription

    Date

    Nom

    Varchar(100)

    73

     

    ETAT

    Varchar(10)

    USER

    Iduser

    Int(10)

    Login

    Varchar(255)

    Password

    Varchar(255)

    Type

    Varchar(30)

    ENSEIGNER

    IdEnseigner

    Int(10)

    IdEnseignant

    Int(10)

    Nom

    Varchar(100)

    Idecole

    Int(10)

    DateEngagement

    Date

    Duree

    Varchar(30)

    Etat

    Varchar(10)

    DELIBERATION

    Iddeliberation

    Int(10)

    Idecole

    Int(10)

    Classe

    Int(10)

    Niveau

    Int(10)

    Section

    Int(10)

    Critere_Deliberation

    Int(10)

    BaseCritere

    Varchar(30)

    Motif

    Varchar(60)

    NbreCoursDeliberation

    Int(10)

    NbreCoursReussirObli

    Int(10)

    Annee_Scolaire

    Varchar(10)

    TITULARIAT

    Idtitulaire

    Int(10)

    Enseignant

    Int(10)

    Classe

    Int(10)

    Annee_Scolaire

    Varchar(10)

    Ecole

    Int(10)

    Source : nos propres compilations

    74

    c) Opération

    Une opération est une fonction applicable aux objets d'une classe. Une opération permet de décrire le comportement d'un objet. Une méthode est l'implémentation d'une opération (Joseph Gabay et David Gabay ; 2008, p.20).

    Formalisme et exemple

    La signature d'une méthode correspond au nom de la méthode et la liste des paramètres en entrée. La figure N°34 montre le formalisme et un exemple de représentation d'opérations de classe.

    Formalisme et exemple d'opérations de classe (Joseph Gabay et David

    Gabay ; 2008, p.20)

    d) Association

    Un lien est une connexion physique ou conceptuelle entre instances de classes donc entre objets. Une association décrit un groupe de liens ayant une même structure et une même sémantique. Un lien est une instance d'une association. Chaque association peut être identifiée par son nom. Une association entre classes représente les liens qui existent entre les instances de ces classes (Joseph Gabay et David Gabay ; 2008, p.23).

    Formalisme et exemple

    75

    Formalisme et exemple d'association (Joseph Gabay et David Gabay ; 2008, p.23) III.3.3.4.3. Identification des classes

    Après notre analyse, nous avons recensé les classes ci-après pour le traitement des présences des agents :

    1. Inspection

    2. Ecole

    3. Section

    4. Classe

    5. Enseignant

    6. Enseigner

    7. Titulaire

    8. Elève

    9. Inscription

    10. SectionOrganisee

    11. Cours

    12. CoursEnseigner

    13. Cote

    14. Deliberation

    15. Critere

    Multiplicité

    La multiplicité indique un domaine de valeurs pour préciser le nombre d'instance d'une classe vis-à-vis d'une autre classe pour une association donnée. La multiplicité peut aussi être utilisée pour d'autres usages comme par exemple un attribut multi-valué. Le domaine de valeurs est décrit selon plusieurs formes (Joseph Gabay et David Gabay ; 2008, pp.24-25):

    76

    y' Intervalle fermé - Exemple : 2, 3..15.

    y' Valeurs exactes - Exemple : 3, 5, 8.

    y' Valeur indéterminée notée * - Exemple : 1..*.

    o Dans le cas où l'on utilise seulement *, cela traduit une multiplicité 0..*.

    o Dans le cas de multiplicité d'associations, il faut indiquer les valeurs minimale et maximale d'instances d'une classe vis-àvis d'une instance d'une autre classe.

    Exemples

    Exemple de multiplicités (Joseph Gabay et David Gabay ; 2008, p.25)

    Après avoir dégagé le dictionnaire de données épuré (tableau N°2), nous pouvons dégager les classes, les règles de gestion ainsi que les multiplicités dans le tableau suivant :

    Les règles de gestion ainsi que les multiplicités

    N

    °

    Association

    Classe d'objet

    Multiplicité

    Règle de gestion

    source

    Cible

    Source

    Cible

    1

    Appartenir

    Inspection

    Ecole

    1..*

    1

    Une inspection peut appartenir à une ou plusieurs pendant qu'une école n'appartient qu'à une seule inspection

    2

    Inscrire

    Elève

    Classe

    1..*

    1..*

    Un élève peut s'inscrire dans une ou plusieurs classes et dans une classe

    77

     
     
     
     
     
     

    peut s'inscrire plusieurs élèves.

    3

    Enseigner

    Ecole

    Enseignant

    1..*

    1..*

    Un enseignant peut enseigner dans une ou plusieurs écoles et dans une école

    peut enseigner un ou plusieurs
    enseignants

    4

    Organiser

    Ecole

    Section

    1..*

    1..*

    Une école peut organiser une ou

    plusieurs sections de même qu'une

    section peut être organisée par
    plusieurs écoles

    5

    Gérer

    Classe

    Enseigner

    1..*

    1..*

    Un enseigner peut gérer une ou

    plusieurs classes et une classe peut être gérée par un ou plusieurs enseigner

    6

    Enseigner

    Enseigner

    Classe

    Cours

    1..*

    1..*

    1..*

    Un ou plusieurs cours peuvent être

    enseignés par un ou plusieurs

    enseignés dans une ou plusieurs

    classes.

    7

    Coter

    CoursEnsei gne

    Inscription

    1..*

    1..*

    Un ou plusieurs élèves inscrits peuvent être cotés dans un ou plusieurs cours enseignés.

    8

    Concerner

    Cote

    Délibération

    1

    1..*

    Une cote ne peut concerner qu'une

    seule délibération pendant qu'une
    délibération peut concerner une ou plusieurs cotes

    9

    Avoir

    Délibératio n

    Critère

    1..*

    1

    Un critère ne peut avoir qu'une et une

    seule délibération pendant qu'une
    délibération peut avoir un ou plusieurs critères.

    Source : nos propres compilations

    Ainsi notre diagramme de classe récapitulatif se présente de la manière suivante :

    78

    H. 3.4. SYNTHESE DE L'ANALYSE

    1 Con2erncr

    Appartenir

    1

    1..-

    Gérer

    1

    Avoir

    411110

    En neiq nor

    Deliberation

    - Iddel iberato n.: I nt

    -C ntereDeli beration : Int -BaseCntere : Text -NbrCou rsDelib : Int -NbrCou is Reuss irC bl : Int -An nec_ Sea lai re : Text

    -Niveau : Int -Section : Int

    Enseignor

    1

    __Iverl indows

    1 Avoir

    Ins;.rire

    Cote

    SectibnOrganiser

    Concerner

    Programma

    -IdProgramme : Int -An nee_ Sco lai ne : Text -Etat : Text

    C lassa

    -Idclasse : Int -Nom : Text -NombreSanc : Int -Niveau : Int -NbreEleveMax : Int

    EIa Ya

    -Ideleve : Int

    -NomEleve : Text -PostnomEleve : Text -PrenamEleve : Text -SexeEleve : Text -AdresseEleve : Text -atenaissanceEleve ! Date -LieunaissanceEleve : Text

    +Ajoute r( j +Moder()

    Eco le

    - Ideoa le : Int -NomEcole : Text -Province ! Text

    - Vil le_Terr : Text

    -Type : Text -Arrete Text

    - Num_agreation : Text

    +Ajeuter() +Moder() +Suspendre()

    SactJo n Organ Isar

    -Idsectbndrg : Int -NbrClasse Int

    +A jouter() +Medttier() +Supprimer(]

    cos

    -Iduote : Int

    -P1 : Int -P2: Int -Exam1 : Int

    -P3 : Int

    -P4 : Int

    -Exam2 : Int

    -Anne Scalaire : Text

    +Ajouter() +Moder() +Supprimer()

    Section

    -Idsection : Int -NomSection : Text

    +A jouter( } +M od rfer() +Supprirrer()

    Titularlat

    - Idtitu jai re : Int

    -Anne SSalaire : Text -Ecole : Int

    +Ajoute r( ) +M od ther() +5 u pprime r( )

    Enseigner

    -Idenseigner -DateErgagement : Date

    +Ajouter() +M od ifier() +5upprimer(j

    Inspection

    -Idinspection : Int -Province :Text -CodeProvince : Text -Arrete : Text

    +A joute r() +Ma:Mier° +Supprimer()

    Inscription

    -Idinscriptian : Int -Datei ascription : Date -Anne Scalaire : Text

    +Ajouter() +Moder() +Su poring r(j

    Cour son sali] ne

    - IdooursEns : Int

    - Ponderation : Int -An nee Scalaire:Text

    i-A joute r) +Modifier() +Supprirnr(j

    Cours

    -Idcaurs Int -NormCours : Text

    +Ajouter() +Modttier() +Supprimer()

    Enseignant

    -Idenseignant : Int

    - Nom : Text -Postnom : Text -Prenom : Text

    - Sexe : Text

    -Adresse : Text -Telephone : Text

    - Datenaissanoe : Date -Lieunaissarxe : Text -Niveau : Text -Domaine : Text

    +Ajouter()

    +S u pprime r( ) +M od ifier()

    Crltere

    -Idoritere : Int

    - orders : text -Niveau : Int -Section : Int

    - Anne Scolaire : Text

    +Ajouter() 1-Modirierjj +Supprimer()

    II.3.4.1. Diagramme de classe récapitulatif

    79

    II.3.4.2. Elaboration de la matrice de validation

    La matrice de validation permet de vérifier que l'analyse du cas est complète, c'est-à-dire que

    tous les cas d'utilisation métier ont été intégrés. Elle permet aussi d'établir une correspondance entre les cas d'utilisation métier et les cas d'utilisation d'analyse.

    Cas d'utilisation métier

    Cas d'utilisation Analyse

    Gérer Elève

    Ajouter Elève

    Mis à jour Elève

    Ajouter Inscription

    Mis à jour Inscription

    Gérer Scolarité

    Ajouter Enseignant

    Mis à jour Enseignant

    Ajouter coursEnseigne

    Mis à jour coursEnseigne

    Ajouter section Organisée

    Mis à jour section Organisée

    Répartir titulariat

    Ajouter critère de délibération

    Mis à jour critère de délibération

    Modifier répartition titulariat

    Ajouter classe

    Modifier classe

    Gérer les cotes

    Coter les élèves

    Mis à jour des cotes

    Gérer Inspection

    Valider Inspection

    Suspendre Inspection

    Gérer école

    Valider Ecole

    Suspendre Ecole

    Imprimer résultat

    Imprimer résultat

    Imprimer Fiche des cotes

    80

    II.3.5 CONCEPTION

    II.3.5.1. Réalisation des choix techniques

    Pour répondre aux contraintes de performance vis-à-vis de notre système de gestion national des côtes qui sont de permettre l'accès à ce dernier en tout moment et n'importe où de tous les utilisateurs de notre système, il est primordial que ce dernier soit en réseau. Ainsi, pour cette fin, nous allons créer un site web permettant à toutes les écoles et les inspections de pouvoir se connecter au système. Pour se faire, notre système aura à oeuvrer en 3tiers dans lequel on aura un client demandant à manipuler une information qui sera stocker dans une base de donnée sur un serveur.

    II.3.5.2. Elaboration des diagrammes de séquence technique

    Pour ce point nous allons prendre en compte 2 cas d'utilisation afin de schématiser notre diagramme de séquence technique :

    ? Ajouter critère de délibération ;

    ? Suspendre/Réactiver une école

    a. Diagramme de séquence technique « Ajouter critère de délibération »

    81

    b. Diagramme de séquence technique «Suspendre/Réactiver une école »

    II.3.5.3. Elaboration des diagrammes de classe technique a. Cas d?utilisation « Ajouter critère de délibération »

    82

    b. Cas d?utilisation « Suspendre/Réactiver école »

    II.3.5.4. Elaboration des diagrammes de paquetage

    Un paquetage regroupe des éléments de la modélisation appelés aussi membres,

    portant sur un sous-ensemble du système (Joseph Gabay et David Gabay ; 2008, p.69). Le découpage en paquetage doit traduire un découpage logique du système à construire qui corresponde à des espaces de nommage homogènes.

    Le futur système que nous allons mettre en place sera constitué des packages présentés ci-dessous :

    83

    II.3.6. IMPLEMENTATION

    Pour ce point, il est question de faire la production de notre logiciel de gestion des

    côtes sous forme des composants. Ainsi, dans le présent point, nous allons décrire les collaborations d'instances qui constituent des fonctions particulières de notre système (diagramme de structure composite). Enfin, nous allons présenter la manière dont notre système sera déployé pour son utilisation (diagramme de déploiement).

    II.3.6.1. Elaboration du diagramme de structure Composite

    Le diagramme de structure composite permet de décrire des collaborations d'instances

    (de classes, de composants...) constituant des fonctions particulières du système à développer.

    Une collaboration représente un assemblage de rôles d'éléments qui interagissent en vue de réaliser une fonction donnée. Il existe deux manières de représenter une collaboration (Joseph Gabay et David Gabay ; 2008, p.73) :

    84

    V' représentation par une collaboration de rôles ;

    V' représentation par une structure composite : le diagramme de structure

    composite.

    Pour notre cas, nous allons utiliser la première représentation qui s'avère être la plus brève et synthétique que possible. Ainsi, notre diagramme de structure composite se présente de la manière ci-dessous :

    II.3.6.1. Elaboration du diagramme de déploiement

    Le diagramme de déploiement permet de représenter l'architecture physique supportant

    l'exploitation du système. Cette architecture comprend des noeuds correspondant aux supports physiques (serveurs, routeurs,...) ainsi que la répartition des artefacts logiciels (bibliothèques, exécutables...) sur ces noeuds.

    Un noeud correspond à une ressource matérielle de traitement sur laquelle des artefacts seront mis en oeuvre pour l'exploitation du système. Les noeuds peuvent être interconnectés pour former un réseau d'éléments physiques.

    En ce qui concerne le déploiement de notre système il faudra qu'il y ait :

    ? Un serveur d'application : cette partie regorge toutes les maquettes mises en place afin de matérialiser toutes les fonctionnalités prévues pour le bon fonctionnement du

    85

    système. Celles-ci, seront stockées sur un serveur distant (serveur web) pour permettre la communication du système avec tous les intervenants de ce dernier ;

    ? Un serveur de base de données : celui-ci constitue le support de stockage des informations liées au système. Comme le premier, il sera aussi logé sur ce même serveur distant pour les mêmes fins que son prédécesseur ;

    ? Un serveur web : c'est celui qui permettra la communication entre les utilisateurs le serveur de BDD et le serveur d'application.

    Pour ce faire, pour se connecter au système, les utilisateurs auront besoin d'un modem afin de se connecter.

    Ainsi notre diagramme de déploiement se présente de la manière suivante :

    II.3.7. TESTS

    Les tests permettent de vérifier :

    ? La bonne implémentation de toutes les exigences (fonctionnelles et techniques),

    ? Le fonctionnement correct des interactions entre les objets, ? La bonne intégration de tous les composants dans le logiciel

    Ainsi, tout au long de la réalisation du système nous avons eu à tester et à vérifier que le système répond aux besoins préétablis d'avance.

    86

    Chap III. CONCEPTION ET PRESENTATION DE L'APPLICATION OU
    RESULTAT DU TRAVAIL

    Dans ce chapitre, il est question de présenter les éléments qui nous ont permis à la conception de ce système et à montrer le résultat de ce travail.

    III.1. OUTILS DE DEVELOPPEMENT ET ENVIRONNEMENT D'IMPLEMENTATION

    III.1.1. LES ELEMENTS MATERIELS

    Pour le développement de notre système, nous avons utilisé un ordinateur ayant des

    caractéristiques suivantes :

    Nom du système d'exploitation : Microsoft Windows 8.1 Entreprise

    Version : 2013 Microsoft corporation

    Modèle : Hp EliteBook 6930p

    Type du système : système d'exploitation 32 bits, processeur x64

    Disque dur 320 Go

    Processeur Intel(R) Core (TM) 2 Duo CPU P8600 @ 2.40GHz, 2.40 MHz,

    Mémoire physique (RAM) installée 2,00 Go (1.87Go utilisable)

    III.1.2. LES OUTILS IMMATERIELS

    Quant aux éléments immatériels utilisés lors du développement de notre système nous avons eu à utiliser wampserver en tant que serveur web par défaut fonctionnant en local afin de voir la manière dont le système pourra fonctionner une fois mis sous réseau, nous avons recouru à l'éditeur de texte « sublime text » afin d'écrire nos lignes de code. Ci-dessous, nous détaillons l'ensemble des éléments utilisés afin de développer notre système.

    A. WAMPSERVER

    WampServer est une plateforme de développement Web de type WAMP, permettant de faire fonctionner localement (sans avoir à se connecter à un serveur externe) des scripts PHP. WampServer n'est pas en soi un logiciel, mais un environnement comprenant deux serveurs (Apache et MySQL), un interpréteur de script (PHP), ainsi que phpMyAdmin pour l'administration Web des bases MySQL.

    Il dispose d'une interface d'administration permettant de gérer et d'administrer ses serveurs au travers d'un tray icon (icône près de l'horloge de Windows)15.

    15 https://fr.wikipedia.org/wiki/WampServer consulté le, 12/06/2020 à 11h24

    87

    Interface d?administration WampServer

    B. Le langage SQL

    SQL (en sigle Structured Query Language, en français langage de requête structurée) est un langage informatique normalisé servant à exploiter des bases de données relationnelles. La partie langage de manipulation des données de SQL permet de rechercher, d'ajouter, de modifier ou de supprimer des données dans les bases de données relationnelles.16 Ce langage nous a aidés dans la manipulation des données de la base de données MySQL (ajout, recherche, modification et suppression des données dans la base de données) comme prévoie son fonctionnement.

    C. Le serveur MySQL17

    MySQL est le Système de Gestion de Base de Données Relationnelle(SGBDR) Open source le plus répandu dans le monde. Il est développé par MySQL AB, une entreprise suédoise.

    16 https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Structured Query Language consulté le 12/06/2020 à 12h30

    17 http://www.mysql.com/consulté le 12/06/2020 à 13h12'

    88

    Le SQL dans «MySQL» signifie «Structured Query Language» : le langage standard pour les traitements de bases de données. MySQL est Open Source. Open Source (Standard Ouvert) signifie qu'il est possible à chacun d'utiliser et de modifier le logiciel. Tout le monde peut le télécharger sur Internet et l'utiliser sans payer aucun droit. Toute personne en ayant la volonté peut étudier et modifier le code source pour l'adapter à ses besoins propres. Toutefois, si vous devez intégrer MySQL dans une application commerciale, vous devez vous procurer une licence auprès de MySQL AB.

    Le SGBD MySQL est supporté par un large éventail d'outils. MySQL est surtout installé pour les applications Web, ce SGBD est solide et utilisé par de grands groupes spécialisés dans l'Internet. Plusieurs pilotes natifs de type 4 sont disponibles pour MySQL et sont conseillés pour une utilisation en Java.

    Il est très utilisé dans les projets libres et dans le milieu industriel. MySQL est un SGBDR facile à utiliser qui convient très bien pour la plupart des sites web. La rapidité de développement a été, depuis le début l'objectif principal de ceux qui l'ont écrit. Pour cela ils ont décidé de proposer moins de fonctionnalités, mais son installation et son utilisation sont plus aisées.

    MySQL couvre plusieurs avantages entre autre :

    V' Il est ouvert à des nombreux langages de programmation ;

    V' Un cout réduit ;

    V' Une simplicité de configuration et d'apprentissage ;

    V' Sa portabilité ;

    V' L'accessibilité de son code source ;

    V' La disponibilité du support.

    D. Le langage html

    Nous nous sommes servis du langage HTML pour la présentation des pages Web

    contenues dans ce travail.

    HTML veut dire HyperText Markup Language. Généralement abrégé HTML, est le format de données conçu pour représenter les pages web. C'est un langage de balisage permettant d'écrire de l'hypertexte, d'où son nom. HTML permet également de structurer sémantiquement et logiquement et de mettre en forme le contenu des pages, d'inclure des ressources multimédias dont des images, des formulaires de saisie, et des programmes

    89

    informatiques. Il permet de créer des documents interopérables avec des équipements très variés de manière conforme aux exigences de l'accessibilité du web. Il est souvent utilisé conjointement avec le langage de programmation JavaScript et des feuilles de style en cascade (CSS). HTML est initialement dérivé du Standard Generalized Markup Language (SGML).18

    E. Le langage PHP

    PHP : HyperText Preprocessor, plus connu sous son sigle PHP (acronyme récursif), est un langage de programmation libre, principalement utilisé pour produire des pages Web dynamiques via un serveur HTTP (c'est-à-dire qui s'exécuté du côté serveur), mais pouvant également fonctionner comme n'importe quel langage interprété de façon locale. PHP est un langage impératif orienté objet.

    PHP est un langage de script utilisé le plus souvent côté serveur : dans cette architecture, le serveur interprète le code PHP des pages web demandées et génère du code (HTML, XHTML, CSS par exemple) et des données (JPEG, GIF, PNG par exemple) pouvant être interprétés et rendus par un navigateur. PHP peut également générer d'autres formats comme le WML, le SVG, le PDF.19

    Nous avons parcouru ce langage pour doter de l'intelligence aux pages HTML.

    F.Le Visual Paradigm for UML 10.2

    C'est un langage qui permet de décrire une application en fonction des méthodes objet avec lesquelles elle a été construite. Ce langage nous a aidés à présenter les différents diagrammes.

    A part ces langages de programmation, nous avons également fait recours aux différents outils comme le serveur Apache et une base de données MySQL dont PHP a besoin dans la manipulation des données.

    G. Le langage CSS

    Le sigle CSS est l'acronyme anglais de Cascading Style Sheets qui peut se traduire par "feuilles de style en cascade". Le CSS est un langage informatique utilisé sur l'internet pour

    18 https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Hypertext Markup Language consulté le 12/06/2020 à 13h45

    19 https://fr.m.wikipedia.org/wiki/PHP consulté le 12/06/2020 à 13h53

    90

    mettre en forme les fichiers HTML ou XML. Ainsi, les feuilles de style, aussi appelé les fichiers CSS, comprennent du code qui permet de gérer le design d'une page en HTML.20Nous nous sommes servis de ce langage pour la présentation de nos pages Web.

    H. Le serveur Apache

    Apache est un serveur libre qui consiste à interpréter les requêtes émises par le navigateur qui nécessite des pages Web, et qui procède à la recherche de la page demandées pour pouvoir les afficher. C'est ce serveur qui exécute les instructions PHP à la demande du navigateur pour produire des pages HTML.

    I. L'éditeur sublime Text

    Sublime Text est un éditeur de code source qui prend en charge plusieurs langages de programmation : C++, C, C#, java, Pascal, HTML, XML, Objective-c, PHP, Makefile, Bacth et bien d'autres. Il a pour avantage de fournir un éditeur de code source de taille réduite mais très performant. En optimisant de nombreuses fonctions tout en conservant une facilité d'utilisation et une certaine convivialité. Sublime Text nous a servi dans l'édition des codes PHP pour notre application web.

    Présentation de sublime Text

    20 https://fr.in.wikibooks.org/wiki/Le langage CSS consulté le 11/10/2020 à 09h58

    91

    III.2. STRUCTURES DES TABLES STOCKEES DU COTE SERVEUR

    Ci-dessous, nous présentons l'ensemble des tables utilisées dans notre système de gestion nationale des côtes :

    1. TABLE USER

    Cette table a pour rôle de sauvegarder tous les identifiants des utilisateurs du système

    2. TABLE ELEVE

    Celle-ci sert à stocker toutes les informations liées aux élèves qui ont déjà passé dans le système éducatif congolais

    3. TABLE INSCRIPTION

    Cette table sert à stocker les différentes inscriptions d'un élève durant son parcours scolaire à l'école secondaire.

    Cette table, nous permet de stocker les différents cours qui peuvent être enseignés dans le système éducatif du pays.

    92

    4. TABLE CLASSE

    Cette table nous sert à enregistrer toutes les classes des écoles du système

    5. TABLE SECTION INITIALE

    Cette table sert de base de stockage des sections qui sont permis par le système éducatif du

    pays

    6. TABLE SECTION

    Celle-ci quant à elle, contrairement à la table « sectioninitiale », elle sert à stocker les sections organisées dans les différentes écoles du système.

    7. TABLE COURS

    93

    8. TABLE COURSENSEIGNE

    Cette table par opposition à la table « cote », elle sert à stocker les côtes obtenues par un élève une fois ce dernier est soumis à l?épreuve des deuxièmes sessions.

    Cette table face à sa précédente, sert de base de stockage des cours qui sont enseignés dans les différentes classes.

    9. TABLE COTE

    Cette table sert de support de stockage des côtes obtenues par les élèves dans les différentes périodes aux différents cours.

    10. TABLE COTE2

    94

    11. TABLE ENSEIGNANT

    Cette table permet de sauvegarder tous les enseignants qui ont un jour participer comme enseignant dans le système éducatif

    12. TABLE ENSEIGNER

    Parallèlement à la table « enseignant », cette table permet de stocker les différents engagements de l?enseignant dans les différentes écoles du système.

    95

    13. TABLE INSPECTION

    Cette table permet de stocker les différentes inspections du système.

    14. TABLE ECOLE

    Cette table permet de stocker les différentes écoles des différentes inspections du système.

    15. TABLE DELIBERATION

    La table délibération permet de stocker les différentes bases de délibérations des différentes classes du système.

    96

    16. TABLE TITULAIRE

    Cette table permet d?enregistrer les différents titulariats des classes selon les années

    17. TABLE PROGRAMME

    Cette table permet de stocker les informations initiales relatives aux années à débuter.

    18. TABLE ADMINISTRATEUR

    Cette dernière sert à sauvegarder toutes les informations liées aux administrateurs des différentes écoles et inspections du système.

    97

    III.3. PRESENTATION DE L'ALGORITHMES IMPORTANT DE NOTRE TRAVAIL

    Algorithme de délibération

    ? Début

    ? Déclaration des variables

    Iddeliberation, classe, eleve,i ,nbrCours,nbrCoursReussir: Entier

    BaseCritere, Motif, Annee_Scolaire : Texte

    Critere_Deliberation,pourcentage : Double

    TableauCritere,TableauCours : Tableau

    ? Affectation des variables

    Classe ? selection de la classe de l'élève

    eleve? choix de l'élève

    i?0

    nbrCours?0

    ? Traitement

    Si l'élève est différent de vide

    Pourcentage ? calcule du pourcentage de l'élève

    Annee_Scolaire ? Sélection de l'année scolaire encours

    Iddeliberation ? Sélection de l'iddélibération de la classe pour l'année scolaire encours dans la table deliberation

    Si Iddeliberation est différent de vide

    BaseCritere ? Sélection de la base de critère

    Critere_Deliberation ?Sélection du critère de délibération

    Si pourcentage>= Critere_Deliberation

    Si BaseCritere= « Réussite »

    Tantque Iddeliberation a de correspondant dans la table critère

    TableauCours[i] ? cours faisant parti du critère

    TableauCritere[i] ? critère pour réussir à ce cours Fin tantque

    Tantque TableauCours a des éléments

    Si élève a réussi à ce cours

    nbrCours? nbrCours+1

    Fin Si

    Fin tantque

    nbrCours?Sélection des nombres des cours à réussir

    Si nbrCours >= nbrCoursReussir

    « l'élève a réussi »

    98

    Si non

    Si nbrCoursReussiSession2>=(nbrCrsSession2)/2 « l'élève a réussi »

    Si non

    « l'élève a échoué »

    Fin si

    Fin Si

    Si non

    Tantque Iddeliberation a de correspondant dans la table critère

    TableauPourcentage[i] ? Pourcentage

    Fin tantque

    n?i

    Tantque TableauPourcentage a des éléments

    Si pourcentage>TableauPourcentage[i] et pourcentage<=

    TableauPourcentage[i+1]

    nbrCrsAreussir?SelectionNbrCours à réussir

    nbrCours?Sélection des nombres des cours réussi

    Si nbrCours>= nbrCrsAreussir

    « l'élève a réussi »

    Si non

    Si nbrCoursReussiSession2>=(nbrCrsSession2)/2

    « l'élève a réussi »

    Si non

    « l'élève a échoué »

    Fin si

    Fin si

    Fin tantque

    Si pourcentage<=TableauPourcentage[0]

    nbrCrsAreussir?SelectionNbrCours à réussir

    nbrCours?Sélection des nombres des cours réussi

    Si nbrCours>= nbrCrsAreussir

    « l'élève a réussi »

    Si non

    Si nbrCoursReussiSession2>=(nbrCrsSession2)/2

    « l'élève a réussi »

    Si non

    « l'élève a échoué »

    Fin si

    Fin si

    Si non Si pourcentage>TableauPourcentage[n]

    nbrCrsAreussir?SelectionNbrCours à réussir

    nbrCours?Sélection des nombres des cours réussi

    Si nbrCours>= nbrCrsAreussir

    « l'élève a réussi »

    Si non

    Si nbrCoursReussiSession2>=(nbrCrsSession2)/2 « l'élève a réussi »

    Si non

    « l'élève a échoué »

    99

    Fin si Fin si

    Fin si

    Fin Si

    Si non

    « l'élève a échoué »

    Fin si Si non

    Si pourcentage > 50

    « l'élève a réussi »

    Sinon

    « l'élève a échoué »

    Fin si

    Fin si

    ? Fin

    III.4. GUIDE D'UTILISATION

    Pour permettre à ce que les utilisateurs de notre système puissent avoir le moyen de bien

    comprendre facilement le fonctionnement de ce dernier et éviter ainsi certaines erreurs de manipulation du système, nous trouvons idéal de mettre en la possession de nos chers utilisateur un guide qui pourra leur servir de repaire afin de bien utiliser le système.

    Par ailleurs, nous signalons que le système n'est pas encore hébergé pourque nous puissions donner le nom du domaine par lequel accéder au système mais vu que ce dernier ne saurai fonctionner en local nous proposons un nom de domaine par lequel nous pensons pouvoir référencer notre système une fois hébergé www.synacote.com, ceci si et seulement si, il n'est pas encore pris.

    Ainsi, l'utilisateur ayant avec lui un navigateur et pourvu de connexion internet pourra entrer dans sa barre d'adresse www.synacote.com et là il est amené à la page d'accueil principal de notre système qui se présente de la manière ci-dessous :

    100

    Sur cette page, il est demandé de fournir ses identifiants pour se connecter au système s'il existe déjà dans le système. Si c'est une école ou une inspection et qu'elle n'est pas encore de compte, elle peut cliquer sur « créer un compte » pour créer son compte mais si c'est un enseignant, il doit aller le signaler à l'administrateur du système de son école.

    A. GUIDE D'UTILISATION POUR L'INSPECTION

    Une fois c'est une école ou une inspection et qu'elle veut créer un compte, elle atterrit sur la page suivante :

    Ici, on demande de choisir le type de compte qu'on veut créer, si c'est une inspection ou une école. Si c'est une inspection en ayant choisi le bouton radio inspection et cliquer sur « Créer votre compte » le système ouvre la page :

    101

    Dans ce formulaire d'inscription d'une nouvelle inscription, on demande de fournir les informations liées à l'inspection. Pour ce faire, on fournit les informations de l'inspection et si toutes les informations sont renseignées comme il le faut et que l'inspection créer n'existe pas encore dans le système, tout va se passer normalement et on sera ramené à la page confirmant la création avec succès de l'inspection qui se présente de la manière suivante :

    Ici, on demande de saisir le code de validation du compte de l'inspection qui a été envoyé à l'administrateur du compte au numéro fourni dans le précédent formulaire. Une fois, le code de validation déjà envoyé à l'admin du compte de l'inspection, il vient le fournir à cette page

    102

    et directement la session du compte de l'inspection est activée et se présente comme ci-dessous :

    Comme sur l'image de la session de l'administrateur de l'inspection que nous voyons ci-dessus, on se rend compte qu'il un menu principal qui est « Ecole » et qui lui permet de contrôler les écoles sous sa tutelle. Ainsi en cliquant sur le menu « Ecole » la page suivante se présente :

    Dans ce menu des écoles de l'inspection, l'inspection a pour action de suspendre ou réactiver une école existante dans sa circonscription et de valider ou rejeter une demande de la création d'une école qui est sous sa tutelle et cela en cliquant sur le bouton « Traiter » qui apparait sur

    103

    chaque nouvelle demande de création d'une école pas encore répondue, une fois cliquer sur le bouton, la page de validation d'une école apparait et se présente de la manière suivante :

    Dans cette page ci-haut présentée, l'inspection avant de valider ou de rejeter la création d'une école, elle est censée devoir d'abord télécharger l'arrêté ministériel confirmant la création de la dite école, si elle est vraie et l'inspection atteste l'existence de l'école alors elle peut valider la création de l'école ou la rejeter dans le cas contraire en déroulant la liste déroulante de la décision puis donner le motif de sa décision enfin valider sa décision.

    NB : une école suspendue, entraine le non accès de tous ces enseignants et administrateur au système jusqu'à sa réactivation, de même une école dont la demande est rejetée reste dans le système mais disparait de la page des écoles de l'inspection.

    En outre, l'inspection peut modifier son mot de passe d'accès au système par le menu « Profile » en saisissant son ancien mot de passe et répéter deux fois son nouveau mot de passe puis confirmer.

    104

    En fin, il peut se déconnecter du système en cliquant sur l'onglet « Déconnexion ».

    B. GUIDE D'UTILISATION POUR L'ADMINISTRATEUR GENERAL

    L'administration générale, a pour premier rôle de valider ou de rejeter l'existence des inspections, d'initialiser les sections organisables au sein du système et les cours qui peuvent être enseignés au sein de ce dernier. De même, elle doit initialiser le calendrier scolaire pour l'année à débuter

    Ainsi, comme tout utilisateur du système, l'administrateur général se présente à notre page d'accueil, il y saisit ses identifiants et si tout est okay, le système lui ouvre sa session qui se présente de la manière ci-dessous :

    105

    ci-dessus au regard de cette page d'accueil de l'administrateur général, on s'aperçoit, qu'il a 3 menus principaux qui lui permettent de faire sa gestion. Ainsi, pour gérer les inspections il n'a qu'à cliquer sur le menu « inspection » et la page de gestion des inspections s'affiche comme à la figure ci-dessous :

    Dans ce présent menu on peut valider ou rejeter une demande de la création d'une inspection, de même qu'on peut suspendre ou réactiver le fonctionnement d'une inspection comme dans le cas de validation/Suspension/Réactivation d'une école, en plus de ça, on peut visualiser les informations concernant une inspection (les écoles qu'elle détient sous sa tutelle) en cliquant sur le chevron « > » se trouvant dans la colonne « Action » et après y avoir cliqué, la page suivante s'affiche :

    106

    Sur la page ci-dessus, l'administrateur général a la possibilité de visualiser la liste des écoles qui se trouvent sous la tutelle de l'inspection choisie. Il peut encore aller plus loin en cliquant sur le chevron droit « > » d'une école afin de voir les informations concernant les élèves que l'école détient et directement la page suivante s'affiche :

    107

    Il peut aller plus loin en sélectionnant un élève à partir du petit chevron droit pour visualiser son cursus scolaire, et la page du cursus s'affiche comme à la figure ci-dessous :

    à part la gestion des inspections, l'administrateur général du système a pour rôle de mettre en place les sections que l'on peut organiser au sein du système et cela par le biais du menu

    108

    « Section », une fois cliquer sur ce menu, la page de gestion des sections se présente comme ci-dessous :

    A partir de ce menu, l'administrateur générale peut ajouter une section, en saisissant le nom de la section dans la zone où l'on demande d'entrer la section puis cliquer sur « Enregistrer » si cette dernière n'existe pas dans le système, elle sera enregistrée, si pas il n'y aura pas d'enregistrement. S'il s'agit de modifier la nomination d'une inscription, il peut cliquer sur le

    bouton en face de la section à modifier, une fois cliquer dessus, le système demande s'il

    veut réellement modifier la section, si c'est le cas, il confirme et le nom de la section s'affiche dans la zone de section, là il modifie puis enregistre.

    A part la gestion des sections, l'administrateur général a pour rôle d'enregistrer l'ensemble des cours que l'on peut enseigner sur l'étendue de la république. Pour ce faire, il a à entrer dans le menu « Cours » et la page suivante se présente :

    109

    Dans ce menu ci-haut, il doit en premier choisir la tâche qu'il veut faire. S'il s'agit d'ajouter, il déroule la liste déroulante des actions à faire et il y choisit « Ajouter », là il entre le nombre des cours qu'il veut ajouter puis il encode ces cours et enfin il clique sur « Enregistrer ». s'il s'agit de modifier un cours, il choisit « Modifier » dans la liste des tâches à faire, puis il sélectionne le cours, il modifie et enfin il clique sur le bouton « Modifier » comme la figure ci-dessous nous le montre.

    110

    Par ailleurs, à chaque début de l'année, il a pour devoir d'initialiser le calendrier de l'année scolaire à débuter à partir du menu « Initialisation » qui se présente de la manière suivante :

    Enfin il peut aussi modifier son mot de passe à partir du menu « Profile »

    C. GUIDE D'UTILISATION DE L'ADMINISTRATEUR D'UNE ECOLE

    L'administrateur d'une école a le rôle d'allouer tout ce qu'il faut pour le bon fonctionnement de son école. C'est ainsi, qu'il est appelé à gérer les enseignants ; les élèves, les classes, les sections de son école, il sera aussi à mener à repartir les cours que chaque enseignant doit enseigner dans les différentes classes de l'institution mais aussi à définir les titulariats des classes de son institution.

    C'est pourquoi, lorsqu'il se connecte au système sa session d'utilisateur se présente comme à la figure si dessous :

    111

    C'est ainsi que s'il veut gérer les élèves, il n'a qu'à cliquer sur le menu « Elève » et là la page suivante s'affiche :

    Dans cette page de gestion d'élève, il y a possibilité d'enregistrer un nouvel élève dans le système, de modifier ses informations ou de le signaler comme abandonné au sein de son établissement. S'il s'agit de vouloir enregistrer un nouvel élève, veuillez cliquer sur le bouton « + Nouvel Elève » et la page d'ajout d'élève s'affiche comme à la figure ci-dessous :

    112

    La première de chose à faire pour ajouter des élèves, il faut d'abord entrer le nombre d'élève à enregistre puis valider en cliquant sur le bouton « Ajouter » et là le système affiche le nombre de champ dépendamment du nombre d'élève qu'on veut enregistrer, on peut ajouter le nombre des champs ou voire même les supprimer selon son besoin. On saisit les élèves qu'on veut ajouter dans les champs présentés puis on enregistre.

    NB : si l'élève existe déjà dans le système, il ne sera pas enregistré deux fois et un message à la fin de l'enregistrement sera affiché donnant la liste des élèves qui n'ont pas été enregistrés.

    Pour gérer les enseignants, il n'a qu'à cliquer sur le menu « Enseignant » et la page de gestion des enseignants s'affiche, dans lequel il pourra avoir accès à ajouter un nouvel enseignant ou modifier ses informations voire même le signaler comme ne travaillant plus pour l'école.

    Ainsi, le menu de gestion des enseignants de l'école se présente de la manière ci-dessous :

    113

    Pour ajouter un nouvel enseignant, il clique sur le bouton « + Nouvel Enseignant » et la page d'ajout s'affiche comme à l'image ci-dessous :

    114

    Pour la première de chose c'est mieux de faire la recherche si l'enseignant n'existe pas encore dans le système vu qu'un enseignant ne peut être ajouté deux fois, ainsi s'il n'existe pas on remplit les informations lui concernant puis on enregistre, s'il existe déjà, on passe à l'opération de l'engager au sein de l'école en cliquant sur le bouton « Engager » après l'avoir sélectionné dans la liste des enseignant qui s'afficheraient lors de la recherche. Par ce fait, la page d'engagement de l'enseignement s'ouvre comme à la figure ci-dessous :

    Dans la page ci-dessus on saisit les informations liées à son engagement puis on enregistre.

    Par ailleurs, il peut ajouter l'inscription d'un élève au sein de l'institution vu que l'ajout de l'élève à partir du menu « Elève » ne fait que l'ajouter dans le système s'il n'existait pas. Ainsi, pour inscrire un élève dans son établissement, on déroule le menu « inscription » et on choisit « Ajout ». La page d'ajout d'une inscription s'affiche comme le montre la figure ci-dessous :

    115

    Dans cette page, on recherche l'élève à inscrire dans la liste des élèves qui seront affichés puis dans la colonne de la classe en face du nom de l'élève, on déroule la liste déroulante pour choisir la classe dans laquelle on veut l'inscrire puis on enregistre l'inscription.

    Pour gérer les critères de délibération on clique sur le menu « Délibération » et la page ci-dessous s'affiche :

    116

    Cette page ci-dessus, permet visualiser si on a déjà enregistré des critères de délibération pour une classe. Ainsi, pour visualiser veuillez sélectionner la section dans laquelle se trouve la classe puis sélectionner la classe, si cette dernière a déjà des critères de délibération, ils seront affichés comme c'est observé dans l'image ci-haut présentée.

    De même à partir de cette page, on peut ajouter un critère de délibération en cliquant sur « + Ajouter des Nouveaux critères » et la page suivante s'affiche :

    Avant d'enregistrer les critères concernant une classe on doit d'abord se rassurer si on a déjà enregistré pour cette classe le pourcentage de base à avoir pour être délibérée dans cette dernière sinon les critères ne vont pas s'enregistrer.

    Ainsi, commencer d'abord par enregistrer à partir du premier panneau le pourcentage de base pour être délibéré après quoi on peut passer par l'enregistrement des différents critères de délibération des élèves de la classe.

    Par ailleurs, pour gérer les titulariats des classes de l'école, l'administrateur du compte de l'école ouvre le menu « Titulariat » et celui-ci se présente de la manière suivante :

    117

    Pour ajouter un nouveau titulariat dans une nouvelle classe, il n'a qu'à cliquer sur « + Niveau_Titulariat » et la page suivante se présente :

    Dans la page ci-dessus d'ajout de titulariat dans une classe, on sélectionne la classe concernée puis on sélectionne l'enseignant à qui on attribue la gestion de celle-ci puis on enregistre.

    118

    D. GUIDE D'UTILISATION ENSEIGNANT

    Dans le système, l'enseignant a pour rôle d'encoder les cotes des élèves des différents cours qu'il enseigne dans les différentes classes. S'il est titulaire de classe, il peut visualiser le résultat de ses élèves et imprimer ce dernier.

    A la connexion de l'enseignant dans le système il est redirigé vers la session qui se présente comme ci-dessous :

    En sachant que la principale activité de l'enseignant dans le système est l'encodage des côtes, ce dernier peut le faire en déroulant la liste déroulante du menu « Cotation des élèves » et là il choisit « Cotation Par Classe » dont la page se présente de la manière ci-dessous :

    119

    Sous cette page, il sélectionne la classe et les élèves de cette classe s'affiche et en même temps le système remplit dans la liste déroulante du choix des cours, tous les cours que l'enseignant enseigne dans ladite classe. C'est ainsi que l'enseignant sélectionne le cours dont il veut encoder les cotes, l'enseignant doit aussi sélectionner la période concernée par la cotation et directement le maximum du cours apparait et si le cours a déjà été coté à la période choisie on affiche ces cotes dans la partie droite de la page comme constaté sur la figure ci-haut présentée pour éviter que l'enseignant ne puisse plus enregistrer les cotes à cette même période pourtant ça ne va pas s'enregistrer.

    Par ailleurs, s'il y a un ou plusieurs élèves qui manque(nt) de cote à un cours, l'enseignant est demandé alors à choisir « Cotation Par élève » dans la liste déroulante du menu « Cotation des élèves » et la page suivante s'affiche :

    Dans cette page, l'enseignant est demandé de choisir la classe, de sélectionner le cours puis d'entrer le nombre d'élève dont il veut encoder les cotes enfin valider.

    Là le système lui présente la fiche de cote présentant le nombre d'élève selon que l'enseignant a précisé dans le champ du nombre d'élève qu'il veut encoder. Par après, il doit commencer à

    120

    sélectionner l'(les) élève(s) qui sera (seront) concerné(s) par la cotation, il encode leurs cotes puis enregistre.

    Par ailleurs, s'il est titulaire d'une classe au sein de l'institution, il clique sur le menu « Affichage des résultats » et là il choisit la période dont il veut afficher la liste de proclamation puis il clique sur le bouton « Rechercher » et là les résultats de la classe à la période s'affiche comme le montre l'image dudit menu :

    En outre, s'il désire maintenant afficher le résultat détaillé de chaque élève de sa classe, il entre dans le menu « Proclamation des résultats », dans ce dernier, il doit sélectionner juste un élève de son choix puis son résultat apparait et là il peut cliquer sur « Imprimer » pour télécharger son résultat comme l'image ci-dessous nous le montre :

    121

    En cliquant sur le bouton imprimer le bulletin se télécharge sous pdf comme à l?image sous dessous :

    122

    Enfin comme les autres utilisateurs du système, il peut modifier son mot de passe dans le menu « Paramètre du compte ».

    Et pour quitter le système, il n'a qu'à cliquer sur l'onglet « Déconnexion » puis valider le message d'alerte et directe il est déconnecté du système.

    123

    CONCLUSION

    Nous voici à terme de notre travail qui a concerné la conception et la réalisation d'un système permettant de gérer automatiquement les points des élèves de l'école secondaire sur le plan national cas de notre système éducatif congolais depuis l'inscription d'un élève dans une classe jusqu'à la transmission de son résultat de fin d'année à l'inspection par le biais du palmarès scolaire en passant par l'encodage de ses cotes obtenues aux différents cours, chutant au calcul automatisé de ses différents cotes pour avoir son résultat périodique afin de finir par donner le résultat de la fin d'année auquel on applique les critères de délibération automatisés pour juger de sa réussite ou de son redoublement dans la classe.

    Adhérant au postulat selon lequel l'éducation est la lumière d'une nation, elle permet de changer et d'orienter la mentalité de tout un peuple vers une pleine splendeur et chose pour laquelle il faut une grande attention à ce système qui prend en charge l'éducation de toute une nation. Pour ceci, nous avons jugé utile d'orienter notre sujet de recherche vers ce contexte de grande importance pour le développement d'un pays car le développement est apriori un effet de la bonne mentalité d'un peuple.

    Ainsi, notre travail a débuté par une analyse rigoureuse des divers problèmes qui entravent le succès de la bonne gestion des cotes sur le plan national passant par la proposition des diverses pistes de solution afin d'aboutir à résoudre ces derniers. Pour ce faire, nous avons recouru aux méthodologies de recherche scientifique dans le but de récolter les bonnes informations concernant l'organisation du système éducatif national et nous permettre de prendre connaissance des types d'information traités par chaque hiérarchie intervenant dans le système afin de concevoir une modélisation du système étudié qui s'apparente réellement à la structure de circulation des informations de cotation au sein de notre système éducatif.

    Par ailleurs, pour finaliser notre but qui a été de finir par la conception et la réalisation d'un système informatisé de gestion des cotes permettant de centraliser toutes les informations liées aux cotes des élèves, nous avons mis en place une plateforme en réseau qui permettra à l'ensemble des intervenants dans la gestion des cotes de pouvoir recueillir les informations les concernant.

    Pour clore, nous ne prétendons pas avoir achevé cette thématique liée au système de cotation des élèves car notre travail regorgeant diverses limites ne serait qu'à l'avenir sujet des multiples perfectionnements pour aboutir à un système mettant en compte toutes les variables pour la bonne gestion des cotes de notre système éducatif. C'est ainsi, que nous donnons libre

    124

    cours à tout chercheur qui dans l'avenir serait animé par l'envie de rechercher la solution aux problèmes de cotation de vouloir prendre pour base notre résultat de travail comme bon lui semble.

    125

    REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES

    1. Ouvrages

    DIASHE ; La recherche scientifique en éducation, académie brulant, 2000 : P32

    Gaspard KAMBAJI WA KAMBAJI ; Dictionnaire critique du Kambajisme, éd, la Dialectique, Kinshasa, 2006, p : 47.

    Joseph Gabay et David Gabay,UML 2 ANALYSE ET CONCEPTION, Ed. Dunod, Paris, 2008, P.65

    M. GRAWITZ, Méthode de Sciences Sociales, Paris Dalloz, 1979, P571.

    Prof. MBUYU. F. TABALA MWALA, T.F.E., « Importance du bureau de douane à la frontière » I.S.GE. A, Bukavu, 1994, p.23.

    Prof. Dr. MUSANGU LUKA, Cours de MAI 1-2-2015-2016, éd. Emmanuel, 2016, P.24. SINDANO et al, Cours de Méthodes d'analyse informatique G2 IG ISP-BKV 2013-2014, Inédit

    2. Mémoires

    ABELI KIMBILINGA Hulk : « Création d'une plate-forme de délibération en ligne pour les écoles secondaires de la ville de Bukavu », inédit, ISP/Bukavu, 2015 - 2016 ;

    IRENGE BARHABIKE Moise : Implantation d'une plate-forme de publication en ligne des résultats scolaire périodique dans une institution d'enseignement secondaire cas de l'institut technique Avenir

    IRENGE MUTU NKONE : « Essai d'automatisation de la délibération au sein des écoles protestantes du territoire de Walungu : cas de l'institut Kidodobo », inédit, ISP/Bukavu, 2009 - 2010 ;

    3. Sites web

    https://fr.wikipedia.org/wiki/technique

    http :// univ-avignon.fr/.../méthodologie de la recherche documentaire, 12 Avril 2020, heure : 22h22'

    126

    TABLE DES MATIERES

    Epigraphe I

    Dédicace II

    REMERCIEMENTS III

    SIGLES ET ABREVIATIONS V

    INTRODUCTION 1

    1. PROBLEMATIQUE 1

    2. HYPOTHESES 3

    3. ETAT DE LA QUESTION 4

    4. OBJECTIF DU TRAVAIL 5

    5. CHOIX ET INTERET DU SUJET 6

    6. DELIMITATION DU SUJET 7

    6. 1. Délimitation dans l'espace 7

    6. 2. Délimitation dans le temps 7

    7. METHODES ET TECHNIQUES UTILISEES 8

    7. 1. METHODES 8

    7.2. TECHNIQUES 9

    8. SUBDIVISION DU TRAVAIL 9

    9. DIFFICULTES RENCONTREES 10

    CHAP I. PRESENTATION DU SYSTEME EDUCATIF EN REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU

    CONGO 11

    A. GENERALITE SUR LAREPUBLIQUE DE MOCRATIQUE DU CONGO 11

    I.1. PRESENTATION DU SYSTEME EDUCATIF 11

    1.1.1. DEFINITION DES CONCEPTS 11

    1.1.2. PARTENARIAT EN MATIERE D'EDUCATION 14

    I.2. HISTORIQUE 14

    1.2.1. LANGUE 15

    1.2.2. DUREE DE LA SCOLARITE : 15

    1.2.3. NIVEAU D'ENSEIGNEMENT (cycles) 16

    1.3. CLASSES DE 7EME ET 8EME 17

    1.3.1. FONDEMENT LEGAL 18

    1.3.2. VALIDATION DES PROGRAMMES 19

    1.3.3. DE L'OBJET, DE LA FINALITE ET DU CHAMP D'APPLICATION 19

    1.3.3.1. L'enseignement national vise : 20

    127

    1.3.3.2. L'éducation scolaire vise 21

    1.4. DE L'ORGANISATION ET DU FONCTIONNEMENT DE L'ENSEIGNEMENT

    NATIONAL 21

    1.4.1. L'ORGANISATION 21

    1.4.2. De l'enseignement formel 21

    1.5. DE L'ADMINISTRATION ET DES ORGANES 22

    1.6. DES DISPOSITIONS COMMUNES AUX ÉTABLISSEMENTS PUBLICS ET

    PRIVES AGREES 23

    1.7. COMPETENCES EN MATIERE D'ORGANISATION ET DE GESTION DE

    L'EDUCATION NON FORMELLE 24

    1.8. DU FINANCEMENT DE L'ENSEIGNEMENT NATIONAL 25

    1.9. DU ROLE EDUCATIF DE LA FAMILLE ET DE L'ECOLE 26

    1.10. DU MATERIEL DIDACTIQUE 27

    1.11. DES DROITS ET OBLIGATIONS DES APPRENANTS 27

    1.12. DU PERSONNEL DE L'ENSEIGNEMENT 28

    1.13. CODE SERNIE 28

    B. ANALYSE CRITIQUE DE L'EXISTANT 29

    Chap II. MODELISATION DU SYSTEME D'INFORMATION INFORMATISE 36

    II.1. PRESENTATION DES QUELQUES METHODES DE DEVELOPPEMENT INFORMATIQUE

    36

    II.1.1. MERISE 36

    II.1.2. UP 36

    II.1.3. RUP 38

    II.1.4. UP7 40

    II.2. CHOIX ET DESCRIPTION DE LA METHODE CHOISIE 42

    II.2.1 Choix de la méthode 42

    II.2.2 Description de la méthode UP7 42

    II.3. DEVELOPPEMENT DE LA MODELISATION PROPREMENT DITE 44

    II.3.1. MODELISATION METIER 44

    II.3.1.1. Schéma de contexte 44

    II.3.1.2. Elaboration du diagramme d'activité 45

    II.3.1.3. Elaboration du diagramme de classe métier 47

    II.3.2. EXIGENCES FONCTIONNELLES 49

    II.3.2.1. Elaboration du diagramme de cas d'utilisation système 49

    III.3.2.2. Diagramme de séquence système 49

    128

    II.3.2.3. Elaboration du schéma de navigation générale 52

    II .3.3. ANALYSE DES CAS D'UTILISATION 54

    II.3.3.1. Elaboration du diagramme de cas d'utilisation 54

    II.3.3.1.1. Identification des acteurs 54

    II.3.3.1.2. Identification des cas d'utilisation 54

    II.3.3.2. Description des cas d'utilisation 58

    II.3.3.3. Elaboration des diagrammes de séquence 63

    II.3.3.4. Elaboration du diagramme d'état-transition 66

    II.3.3.5. Elaboration du diagramme de classe 67

    II.3.3.5.1. Objet 67

    II.3.3.5.2. Classe, attribut, opération et association 68

    III.3.3.4.3. Identification des classes 75

    II. 3.4. SYNTHESE DE L'ANALYSE 78

    II.3.4.1. Diagramme de classe récapitulatif 78

    II.3.4.2. Elaboration de la matrice de validation 79

    II.3.5 CONCEPTION 80

    II.3.5.1. Réalisation des choix techniques 80

    II.3.5.2. Elaboration des diagrammes de séquence technique 80

    II.3.5.3. Elaboration des diagrammes de classe technique 81

    II.3.5.4. Elaboration des diagrammes de paquetage 82

    II.3.6. IMPLEMENTATION 83

    II.3.6.1. Elaboration du diagramme de structure Composite 83

    II.3.6.1. Elaboration du diagramme de déploiement 84

    II.3.7. TESTS 85

    Chap III. CONCEPTION ET PRESENTATION DE L'APPLICATION OU RESULTAT DU

    TRAVAIL 86

    III.1. OUTILS DE DEVELOPPEMENT ET ENVIRONNEMENT D'IMPLEMENTATION 86

    III.1.1. LES ELEMENTS MATERIELS 86

    III.1.2. LESOUTILS IMMATERIELS 86

    III.2. STRUCTURES DES TABLES STOCKEES DU COTE SERVEUR 91

    III.3. PRESENTATION DE L'ALGORITHMES IMPORTANT DE NOTRE TRAVAIL 97

    III.4. GUIDE D'UTILISATION 99

    A. GUIDE D'UTILISATION POUR L'INSPECTION 100

    B. GUIDE D'UTILISATION POUR L'ADMINISTRATEUR GENERAL 104

    129

    C. GUIDE D'UTILISATION DE L'ADMINISTRATEUR D'UNE ECOLE 110

    D. GUIDE D'UTILISATION ENSEIGNANT 118

    CONCLUSION 123

    REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES 125






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"Je voudrais vivre pour étudier, non pas étudier pour vivre"   Francis Bacon