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La robotique industrielle et la performance qhse

( Télécharger le fichier original )
par Ludovic HERGOTT
IAE Metz - Master II QHSE 2018
  

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MÉMOIRE

MASTER II Management de la qualité

Unité Formation Recherche

Institut d'Administration des entreprises

METZ

Les impacts de la robotisation sur l'industrie.
Ludovic HERGOTT

Tuteur académique : Omar BENTAHAR Tuteur d'entreprise : Martin SCHISSLER Jury : Omar BENTAHAR, Houssam TAZI Date de la soutenance : 17 septembre 2018

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Résumé

La robotisation est une technologie qui participe activement à la modification du travail. Elle joue un nouveau rôle et permet à la fois de répondre à différents enjeux. Nous nous proposons de répondre à travers ce mémoire : comment intégrer au mieux la robotisation en prenant compte les effets potentiels de cette technologie sur l'industrie, en y évoquant à la fois les impacts économiques sociaux et environnementaux. Pour se faire une analyse approfondie de la littérature a été mené afin d'en cerner les principes et hypothèses conduites par les chercheurs. Cette étude sera confrontée à l'expérience du réel en y analysant une industrie automobile qui est le secteur industriel disposant du parc robotique le plus important. Seize entretiens semi-directifs ont été menés sur un échantillon issu de différentes catégories socioprofessionnelles, ce qui permet d'établir des constats intéressants et de proposer des pistes d'accompagnement à ce changement, complémentaire de l'apport théorique initial.

Abstract

Robotization is a technology that actively participates in the modification of work. It plays a new role and allows both to answer different issues. We propose to answer through this thesis: how best to integrate robotization by taking into account the potential effects of this technology on the industry, by evoking both social and environmental economic impacts. To do a thorough analysis of the literature was conducted to identify the principles and assumptions led by researchers. This study will be confronted with the experience of reality by analyzing an automobile industry which is the industrial sector with the largest robotic fleet. Sixteen semi-structured interviews were conducted on a sample from different socio-professional categories, which makes it possible to draw up interesting observations and to suggest ways of supporting this change, complementary to the initial theoretical contribution.

Remerciements.

Je tiens à remercier dans un premier temps l'Université de Lorraine et son établissement IAE de Metz ainsi que toutes les personnes du corps professoral et ses intervenants pour m'avoir enseigné les connaissances fondamentales du domaine de la qualité et du management et de façon plus particulière à :

Mr. BENTAHAR Omar : Responsable pédagogique pour m'avoir guidé dans l'élaboration du présent mémoire.

Mr. SCHISSLER : tuteur de formation, pour son soutien au quotidien, son expertise et pour avoir parfaitement tenu son rôle de tuteur.

A l'entreprise Faurecia Hambach Automotive Exteriors pour m'avoir accordé leur confiance lors de mon admission en tant qu'alternant mais également tout au long de mon projet.

Je remercie également les services de production, logistique, administratif, maintenance ainsi que le personnel ayant participé aux projets en amenant une expérience complémentaire dans ma démarche, notamment à ceux qui ont participé aux entretiens me permettant d'avoir une analyse approfondie vis-à-vis de ma problématique.

Je n'oublie pas tous les partenaires avec lesquels j'ai pu collaborer tout au long de mon alternance sans qui, ce projet de recherche n'aurait pas abouti.

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A tous, merci pour le temps que vous m'avez accordé dans l'élaboration de ma recherche.

SOMMAIRE

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1. Introduction 5

PARTIE THÉORIQUE 13

2. La robotisation au coeur d'une nouvelle révolution industrielle. 14

3. Les enjeux de la robotisation dans l'industrie. 16

4. Les apports positifs de la robotisation dans l'industrie 22

5. Les problèmes soulevés par la robotisation 31

6. Pistes de solutions apportées par la théorie 42

7. L'apport de la théorie dans la problématique 48

PARTIE EMPIRIQUE 49

8. Contexte de l'étude empirique 50

9. Méthodologie de recherche 57

10. Résultats de l'étude : 61

11. Les problèmes soulevés dans l'entreprise Faurecia 66

12. Les solutions pour pallier aux problèmes soulevés dans l'entreprise. 71

CONCLUSION 77

ANNEXES 82

Bibliographie 104

Table des illustrations 111

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1. Introduction

Lorsque nous entendons le mot « robot », notre imaginaire nous renvoie généralement à une vision de compagnon servile, androïde ou encore ennemi de l'homme. Nous imaginons moins les robots qui peuplent notre quotidien et qui améliorent notre vie personnelle et professionnelle. Ces derniers visibles ou non, sont constitués d'une nouvelle forme de connaissance : l'intelligence artificielle.

En observant notre quotidien, nous constatons que les robots sont partout et prennent de plus en plus de place dans nos vies. Ce n'est plus un mythe et on constate qu'il a émergé en peu de temps, une forme de réalité sociale suscitant autant de fascination que d'inquiétudes. (Schweitzer, Puig-Verges, 2018).

Le domaine du travail, par son histoire, tend à évoluer et intègre de plus en plus cette nouvelle technologie robotique. Le monde industriel a profondément changé depuis ces dernières années : l'évolution des marchés et la mondialisation impacte les entreprises. Pour répondre aux critères normatifs, à une clientèle exigeante, les entreprises utilisent désormais ces nouveaux alliés robotiques car leur évolution à son stade actuel permet de répondre à de nombreux enjeux.

1.1 L'évolution de la robotisation

La technologie de robotisation puise ses origines dans la science-fiction, plus particulièrement dans la cinématographie, mais est devenue depuis une réalité pour chacun d'entre nous. Avant les robots, il y avait les automates, c'est à dire des dispositifs capable d'agir uniquement selon un programme mais n'ayant aucune capacité de réaction envers leur environnement. C'est en 1920 que le terme robot apparaît pour la première fois, lors d'une pièce de théâtre (Rossum's Universal Robots) mise en scène par Karel Capek où les hommes et les robots (appelés Robota dans la pièce, signifiant «corvée» en Tchèque) cohabitent mais dès le début ces robots considérés comme des «esclaves de métal» sont destinés à réaliser des tâches ingrates, et finissent par se rebeller contre les humains. Ainsi c'est la première mise en scène évoquant la peur de l'homme envers les robots.

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De nos jours le robot est défini comme un système intelligent qui perçoit son environnement à travers des capteurs et qui crée son propre modèle du monde (Kuipers, 2017). Burton, et al. (2017) ajoutent qu'ils ont la capacité à réaliser exactement ce qui a été instruit par l'humain mais dont la résultante n'est pas toujours certaine car ces derniers sont dotés d'un sens de réaction algorithmique extrêmement rapide rendant la compréhension de l'acheminement des étapes de l'algorithme très difficile. La HAX (le plus grand accélérateur du monde) complète la définition comme « un objet pouvant s'adapter à son environnement de façon autonome que ce soit à travers ses mouvements ou ses décisions». Cependant il n'est pas doté d'un sens moral, éthique ou d'une capacité déterminée ce qui pourrait avoir des conséquences catastrophiques pour son environnement (Burton, et al. 2017). Dans l'industrie automobile ils effectuent désormais des tâches de plus en plus variées, tel que assemblage de composants à la chaîne, la vérification de la conformité des pièces, l'acheminement par convoyage des pièces, la mise à disposition des produits sur la ligne (systèmes de logistique AGV) ou encore l'élimination des rebuts.

Les robots bénéficient au moins de l'un des attributs suivants (Becker, 2012) :

l Equipé d'un corps transportant l'ensemble du matériel informatique

l Alimentation électrique et/ou hydraulique, pneumatique

l Dispose de moteurs permettant à l'ensemble de se déplacer

l Perçoit son environnement par le biais de capteurs.

l Capable d'interagir ou de modifier son environnement avec intelligence.

l Agit suivant un comportement intelligent en imitant le comportement humain (on parle alors d'androïde) ou animal (bioide).

l Se mouvoir sans l'intervention humaine, de manière autonome

Le robot est donc un système doté d'intelligence artificielle, issu d'algorithmes introduits par l'homme, capable de générer leurs propres objectifs et interaction en fonction de la situation (Kuipers, 2017). La plus perfectionnée de ces intelligences peut même être capable de prendre ses propres décisions sans avoir besoin d'une intervention humaine.

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Il existe différents types de catégories de robot, notons par exemple :

l Mobiles : Se déplacent dans son environnement, ex : drones,

l Domestiques : Utilisés pour réaliser des tâches du quotidien, ex : robots aspirateurs.

l Industriels : Utilisés pour réaliser des tâches industrielles de manière automatique, programmable, polyvalente et autonome (objet de l'étude).

l collaboratifs (cobots) : Les hommes et les robots réalisent des tâches en coactivité permettant d'améliorer les conditions de travail de l'homme, sans le remplacer.

l Anthropomorphiques-Humanoïdes : Robots ressemblant à l'homme (bipédie, présence de bras, d'une tête)

l Bioides : Robots ressemblant à la faune sauvage...

L'automate est quant à lui un système capable de réaliser des tâches induites par l'homme par le biais d'un algorithme dont les conditions initiales et terminales ne peuvent être modifiées par une forme d'intelligence artificielle (Kuipers, 2017). Ils ne sont pas capables de réagir à leur environnement et n'exécutent qu'une suite de tâches bien définies, sous forme de syntaxe informatique, leur programmation étant donc très primaire. La frontière entre l'automate et le robot est donc l'intelligence artificielle. Ainsi, la robotique et l'intelligence artificielle se rapprochent et convergent vers un mouvement technique et social qui impacte une grande partie des secteurs d'activité actuels. (Schweitzer, Puig-Verge, 2018)

Au quotidien nous utilisons de plus en plus ces systèmes doté d'intelligence artificielle : traducteurs, correcteurs orthographiques, assistants smartphones, etc., et il est intéressant de savoir que ces machines peuvent développer une forme de libre arbitre. Le meilleur exemple réside dans la voiture autonome qui est capable en cas d'urgence de prendre des décisions permettant d'éviter ou de limiter les conséquences des situations graves. Nous constatons alors à tous niveaux (industriels, domestiques, etc..) une migration des « robots d'interventions (exécution de taches par imitation de l'homme) à une robotique d'évaluation/action-décision » (Schweitzer, Puig-Verges, 2018, p 292). Nous parlons plutôt de « processus et d'attitudes évolutives définies par auto-apprentissage » (Dolbeau-Bandin, 2016, p.128). La principale composante de cette évolution étant l'intelligence artificielle.

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1.2 Le concept de l'intelligence artificielle

L'intelligence artificielle est le cerveau même de ces machines de nouvelle génération et sont programmées initialement par des ingénieurs et technicien permettant aux machines de disposer d'un savoir préétabli (Ruskper, 2017). La voiture autonome est par exemple en capacité de définir les priorités de conduite (vitesses, distances, réactions, etc.) selon les données programmées initialement.

La puissance de calcul des processeurs et autres composants électroniques n'est plus l'unique facteur pour que le robot soit capable de s'adapter à son environnement. Cela dépend d'une nouvelle forme d'intelligence robotique conçue sur le modèle d'intelligence en essaim (en référence aux insectes) (De Lacoste, 2017). Ce concept met en avant l'idée que les liaisons entre plusieurs robots peuvent converger vers un « modèle global, complexe et évolutif susceptible d'agir en collectif » introduisant alors le modèle « d'intelligence collective ». (Schweitzer, Puig-Verges, 2018, p 292).

Le Cunn (2015), spécialiste en intelligence artificielle et directeur du secteur recherche et développement de l'intelligence artificielle chez Facebook, décrit cette intelligence comme la capacité du robot à constituer un ensemble d'actions telle que les reconnaissances d'images, l'assemblage de pièces, la conversation, etc. Cette dernière a également la capacité de résoudre les problèmes en utilisant une méthodologie de résolution propre à l'homme en s'inspirant de concepts et schémas de fonctionnement humain. (Ganascia, 2017). Elle permet également d'identifier et de résoudre les problèmes de traitement de l'information. Ces problèmes peuvent être d'ordre quantitatif : un trop grand nombre d'informations rend le traitement trop long, fastidieux voire impossible dans les délais demandés (Marr, 1977) et sous-entend un besoin d'algorithmes qui permet une extrapolation des données des tendances (Federica Minichiello 2017).

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1.2.1 Psychologie des robots.

Dans les années 50, le célèbre Alan Turing réalise le test portant son nom dont l'objectif est de déterminer la présence d'une intelligence dans une machine. Il existe deux catégories distinctes : l'intelligence faible (la moins évoluée, proche de l'automate : basé sur un apprentissage fondé sur un système de règles et comportements ou algorithmes) et l'intelligence artificielle forte (la plus évoluée, proche du robot autonome basée sur un système d'apprentissage de réseau neuronal - profond).

L'apprentissage des robots mène sur une voie de recherche nouvelle provenant de trois facteurs de développement différents (voir fig.1 (Gonzalez et Carlos, 2016)).

Figure 1 : Gonzalez, Carlos M.Machine Design. Dec 2016, Vol. 88 Issue 12, p241

L'apprentissage automatique (machine learning): Les ingénieurs instaurent un programme de base comportant des données issues du monde humain sur lequel apprenant son contenu le robot acquiert une « capacité de généralisation ». (Federica Minichiello 2017 p.2). Celui-ci permet au robot d'apprendre en fonction de son environnement et de l'observation des comportements aux alentours. (Schweitzer, 2010).

1 Mis en forme et traduit par l'auteur, à partir du document original.

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L'apprentissage profond (Deep Learning) : La machine acquiert elle-même du contenu grâce à un réseau de neurones artificiels et s'inspire du cerveau humain, « qui hiérarchise les unités de l'information, les ordonne des plus simples aux plus complexes en toute autonomie et qui peut ainsi « apprendre ». La difficulté principale pour la machine réside dans l'apprentissage non supervisé, la connaissance que seul un être vivant sait traduire de l'observation du monde ou, tout simplement, de l'imprévu » (Federica Minichiello 2017 p.2).

Ainsi nous pouvons distinguer deux formes :

? L'intelligence artificielle faible : Comparable à un automate, ne réalise qu'une simulation du comportement humain.

? L'intelligence artificielle forte : C'est une évolution des concepts et permet au robot d'avoir une conscience d'elle-même.

Ainsi ces facteurs d'intelligence caractérisent le robot et sa singularité qui le « rendent unique », il est la combinaison de quatre capacités (Gelin et Guilhem, 2016, p.8) :

1. La polyvalence du système.

2. La capacité d'interaction avec l'homme.

3. Son degré d'autonomie décisionnelle (adaptation face à une situation).

4. Son aptitude d'apprentissage. (intelligence artificielle)

Pour l'industrie automobile, l'exemple le plus concret réside dans la voiture autonome. Ces voitures de haute technologie sont munies d'intelligence artificielle forte permettant en cas d'urgence de prendre leurs propres décisions, permettant de minimiser la gravité d'un accident. Cette décision initialement programmée par des ingénieurs n'est pas figée et peut évoluer en fonction de son environnement et de ses expériences passées.

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1.3 Les enjeux de demain

Pour garantir sa pérennité dans le temps, l'entreprise doit respecter l'équilibre des secteurs de l'économie, de l'environnement et social (Puesh, 2015). La robotisation est l'une des innovations majeures de notre époque et se voit l'être pour les années à venir (Attali, 2007). Elle permet de développer le caractère « durable » de l'entreprise. Mais il est important de l'utiliser de manière équitable. La modernisation paraît être un axe prioritaire des entreprises automobile qui veulent être plus compétitives et plus attractives pour une clientèle recherchant l'originalité et la customisation.

D'après l'université d'Oxford, plus de 47% des métiers aux Etats-Unis seront robotisés d'ici 2025. Cette technologie offre de grandes opportunités économiques. Elle est donc destinée à prendre une place de plus en plus importante dans notre société et particulièrement dans l'industrie automobile. Il est intéressant de noter que la multiplicité de pratiques et la capacité infinie de programmation permettent d'intégrer cette technologie à de nombreux secteurs : automobile, aérospatial, agroalimentaire, biotechnologie, chimie, électronique, plasturgie, recherche &développement, métallurgie... Cette évolution interroge, par sa nouveauté, mais également pour des questions éthique et morale. Elle pousse à se demander s'il est envisageable de confier du travail à une machine alors que ce même travail était réalisé jusqu'alors par l'homme. On remarque une forte tendance à la crainte sociale car l'homme et la machine sont désormais intimement liés, l'un peut remplacer l'autre. L'un peut-il être dépendant de l'autre ? Le destin de ce monde industriel semble tout tracé mais il est encore temps pour se poser les bonnes questions et essayer de comprendre cette nouvelle mutation pour pouvoir anticiper d'éventuelles dérives.

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Dans ce mémoire de recherche, nous utiliserons et étudierons la littérature proposée et nous compléterons ces recherches à l'aide d'exemples concrets d'entreprises industrielles et celles du monde automobile qui est l'un des secteurs les plus robotisés.

Schweitzer et. Puig-Verges (2018, p 293) indiquent dans leur article « On a longtemps considéré que l'espace de choix du robot se réduisait à quelques options en raison des limites de leur autonomie ; avec l'augmentation de cette capacité, la possibilité des tâches susceptibles d'être accomplies augmente comme l'imprévisibilité des conséquences de leurs résultats. » d'autant plus que les robots dépendent fortement du milieu dans lequel il opère : « le robot industriel évolue dans un milieu conçu et organisé pour le rendement » (Dolbeau-Bandin, 2016, p.128) ce qui nous amène à nous réfléchir sur la problématique suivante :

Comment intégrer au mieux la robotisation dans l'industrie en prenant compte les effets potentiels de cette technologie? Il s'agira alors de déterminer les effets de la robotisation sur la performance de l'entreprise, les obstacles à surmonter et les moyens d'intégrer au mieux cette technologie, pour optimiser son efficacité.

1.4 Structuration du mémoire :

Ce mémoire sera structuré en trois grandes parties : la première partie théorique permettra, grâce à une analyse approfondie de la littérature de comprendre les différents aspects et les effets de cette technologie sur le fonctionnement de l'entreprise. La seconde partie, empirique, permet grâce à une recherche établie sur l'expérimentation terrain de déterminer si les concepts clés déterminés en première partie s'appliquent dans le cadre d'une industrie automobile. Pour y répondre, le mémoire sera conduit par 16 entretiens semi-directifs. Nous disposerons d'une vision approfondie sur le sujet en y évoquant des conclusions originales sur la robotisation et ses effets sur l'industrie. Enfin, la dernière partie : conclusion générale replace les résultats, les grandes tendances, les défis et enjeux qui découlent de l'analyse de ce mémoire.

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"La première panacée d'une nation mal gouvernée est l'inflation monétaire, la seconde, c'est la guerre. Tous deux apportent une prospérité temporaire, tous deux apportent une ruine permanente. Mais tous deux sont le refuge des opportunistes politiques et économiques"   Hemingway