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L'impact De La Corruption Sur L'IDE:Application Sur Quelques Pays MENA

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par Bilel Ben Nahia
Faculté de Sciens Economiques et Gestion de Sfax - Master en sciences économiques 2008
  

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Section 2 : l'IDE : Définition, fondement théorique et principaux déterminants

2.1- Définition de l'IDE :

L'IDE est une notion fortement évolutive. Sa définition diffère selon la nature de la source qui l'apprécie. Selon Tersen et Briscout (1996) : « la difficulté essentielle que pose l'IDE est qu'il s'agit d'un phénomène tellement complexe qu'il est difficile d'en appréhender toutes les facettes, mais qu'il est dangereux de chercher à isoler une seule. »

Nous retenons deux définitions officielles de l'IDE, celles du FMI et de l'OCDE.

2.1.1- Définition de l'IDE selon le FMI :

Les IDE sont définis par le FMI (1997) comme étant ceux qui « sont effectués dans le but d'acquérir un intérêt durable dans une entreprise exerçant ses activités sur le territoire d'une économie autre que celle de l'investisseur, le but de ce dernier étant d'avoir un pouvoir de décision effectif dans la gestion de l'Entreprise. Les entités ou les groupes d'entités associés non résidentes et qui effectuent les investissements sont appelés des Investisseurs Directs, et les entreprises érigées ou non en société (respectivement filiales ou succursales) dans lesquelles ces investissements directs ont été effectués, sont désignées par le terme `Entreprise d'Investissement Direct' ».

2.1.2- Définition de l'IDE selon l'OCDE :

Au début des années quatre-vingt, l'OCDE (1983) a défini l'IDE de la manière suivante : « Toute personne physique, toute personne publique ou privée ayant ou non la personnalité morale, tout gouvernement, tout groupe de personnages physiques liées entre elles est un Investisseur Direct Etranger s'il possède lui-même une entreprise d'investissement direct, c'est-à-dire une filiale, une société affiliée ou une succursale faisant des opérations dans un pays autre que le ou les pays de résidence de l'investisseur ou des investisseurs directs.

Par entreprise d'investissement direct, on entend une entreprise jouissant ou non dans laquelle un seul investisseur étranger contrôle :

- Soit 10 % ou plus des actions ordinaires ou des droits de vote dans une entreprise jouissant de la personnalité, ou de l'équivalent dans une entreprise n'ayant pas la personnalité morale, à moins qu'il ne puisse être établi que cela ne permet pas à l'investisseur d'avoir un pouvoir de décision effectif dans la gestion de l'entreprise.

- Soit moins de 10 % des actions ordinaires ou des droits de vote dans l'entreprise, mais a un pouvoir de décision effectif dans la gestion de l'entreprise.

Le pouvoir de décision effectif implique seulement que l'investisseur direct soit en mesure d'influencer la gestion de l'entreprise ou d'y participer, et non qu'il dispose d'un contrôle absolu ».

2.2- Fondement théorique des IDE :

Ce paragraphe rappelle les éléments théoriques qui fondent les décisions de localisations des firmes multinationales.

2.2.1- L'approche électrique du Dunning (la Paradigme OLI) :

Dans les années soixante-dix, Dunning (1977) propose une approche globale de facteurs explicatifs de l'investissement direct (le paradigme OLI) dans laquelle apparaissent des éléments comme la concurrence imparfaite, les avantages comparatifs ou l'internalisation des coûts de transaction.

Si ce cadre s'avère aujourd'hui insuffisant pour expliquer la majeure partie des IDE, il constitue toutefois le point de départ des nouveaux éléments théoriques apportés par l'investisseur stratégique et la Nouvelle Théorie du Commerce International (NTIC).

Le paradigme OLI constitue en fait une combinaison d'avantages qui conduit une firme à investir à l'étranger. Une firme multinationale décide de s'implanter à l'étranger si trois types d'avantages sont réunis :

2.2.1.1- Les avantages Spécifiques (O : Ownership) :

La firme multinationale possède des avantages particuliers vis-à-vis des firmes concurrentes fondées sur la détention d'actifs tangibles ou intangibles : avantage technologique, brevet, savoir-faire ou connaissances spécifiques. Ces actifs lui permettent de réduire ses coûts et de disposer d'un certain pouvoir de marché.

La littérature théorique sur l'investissement stratégique se fonde sur ce type d'argument pour montrer que l'Investissement Direct Etranger constitue pour la firme multinationale un engagement crédible. Elle devient capable de contrôler l'arrivée de concurrents potentiels et peut se trouver en situation de préemption sur son marché (Motta M., 1992).

2.2.1.2- Les avantages de localisation (L : Location) :

Les avantages spécifiques permettent à la firme d'exporter, mais pas d'investir à l'étranger ; seuls les avantages liés à la localisation constituent une condition nécessaire et suffisante pour l'IDE.

Le choix de localisation se rapporte essentiellement aux caractéristiques propres aux pays. Les motivations des firmes multinationales sont liées à la recherche de gains d'efficacité : abaisser les coûts de transaction et de production en prenant en compte les diverses possibilités offertes par chaque pays, en particulier en terme de coûts salariaux ou de qualification de la main d'oeuvre, en exploitant les possibilités de réaliser des économies d'échelle ou encore d'accéder à de nouveaux marchés.

2.2.1.3- Les avantages d'internalisation (I : Internalisation) :

En s'implantant à l'étranger, la firme multinationale réussit à internaliser les coûts de transaction. Elle évite ainsi de passer des accords de coopération ou de céder une licence à une ou plusieurs firmes locales.

Le choix de l'internalisation dépend de facteurs spécifiques aux secteurs industriels (coût d'implantation, nature des activités) et institutionnels telle que la structure des marchés en présence d'asymétrie d'information.

L'approche électrique de Dunning souligne que si l'avantage de localisation est située hors de son pays d'origine, la firme investira à l'étranger. Si elle dispose de l'avantage spécifique et de l'avantage de l'internalisation, elle pénétrera sur le marché extérieur par une exportation. Enfin, s'il n'y a ni avantages de localisation, ni avantages de l'internalisation, la firme choisira alors une vente de licence auprès d'une entreprise étrangère.

2.2.2- L'analyse Synthétique du Mucchielli :

Dans son analyse, Mucchielli (1985) a proposé une nouvelle combinaison d'avantages, à savoir l'avantage comparatif du pays et l'avantage compétitif de la firme.

La firme a des avantages compétitifs engendrés par des caractéristiques internes et leur évolution, par exemple, le capital humain, la recherche et le développement. Humbert (1990) affirme que « tous sont des inputs capables de créer, de maintenir ou d'accroître la compétitivité qui peut être évaluée par la capacité de la firme à réduire les coûts de production, à différencier ses produits et à en créer d'autres ».

Le pays a des avantages comparatifs par rapport à ses partenaires qui résultent de son offre de dotations factorielles (capital, travail, terre) et technologiques (avance technologique, recherche et développement).

On doit prendre en compte aussi les caractéristiques de la demande en terme de taille et de croissance du marché intérieur.

L'interaction entre la firme et les pays d'origine et d'accueil permet l'émergence ou la croissance des potentialités de délocalisation. Ainsi, la firme offre les produits et demande les facteurs, alors que le pays offre des possibilités d'utiliser les facteurs de production présents et demande les produits.

Mucchielli (1985) décrit l'inter relation entre la firme et le pays en essayant de voir dans quelle mesure la délocalisation de la firme est utile. Il arrive au fait que :

- Si les caractéristiques de l'offre et de la demande de la firme et du pays d'origine sont en concordance, alors les incitations à délocaliser seront faibles.

- Si les caractéristiques de l'offre et de la demande de la firme et du pays d'origine sont en disconcordance, alors les incitations à la délocalisation sont fortes.

Grâce à la délocalisation de ses activités, la firme tentera de coordonner entre ses besoins propres et les caractéristiques du pays d'accueil sélectionné.

2.3- Déterminants fondamentaux des IDE :

Malgré l'importance croissante prise par les investisseurs internationaux dans les économies, il n'existe aucun cadre théorique unifié permettant de comprendre les déterminants des IDE.

A cet égard, pour figurer sur la « short lists » des investisseurs étrangers, les pays d'accueil doivent disposer d'un certain nombre de déterminants préalables et nécessaires à l'attractivité.

La stratégie du pays d'accueil pour attirer les IDE passe par l'existence du pré requis qui porte essentiellement sur la stabilité politique, la stabilité économique, la politique de concurrence, l'environnement juridique, ainsi que d'autres déterminants telles que la taille de marché, l'ouverture du pays au commerce, la croissance économique et les ressources naturelles.

D'après Michalet (2000), « les investisseurs n'aiment pas l'incertitude ou encore, ils s'efforcent de réduire au maximum les coûts de transaction. Le statut de pré requis se situe dans cette logique initiale ».

2.3.1- La stabilité politique :

L'infrastructure politique englobe les institutions et les politiques publiques élaborées par les gouvernements pour servir de cadre aux relations économiques et sociales. On accorde plus d'attention aux éléments d'infrastructure politique qui peuvent influencer les décisions des firmes multinationales en matière d'investissement.

Par conséquent, une infrastructure politique « positive » engloberait d'abord un système juridique efficace, impartial et transparent qui protège la propriété et les droits individuels, ensuite des institutions publiques stables, crédibles et honnêtes, et enfin des politiques gouvernementales propices à des marchés libres et ouverts.

Ces conditions favorisent l'IDE et les investissements irrécupérables de la part des multinationales qui soutiennent une exploitation efficiente dans le pays d'accueil.

De ce fait, la stabilité politique est primordiale pour les investisseurs étrangers. Une étude de Frey et Schneider (1985), couvrant 54 pays développés pendant la période 1976, 1979 et 1980 incluant des variables économiques et politiques, a établi que le risque politique se classe en cinquième position et qu'il est insignifiant par rapport à l'IDE.

En fait, les investisseurs n'aiment pas l'incertitude ; et, face aux problèmes d'instabilité politique et sociale symbolisés par des conflits militaires et civils, les investisseurs préfèrent reporter leurs programmes d'investissement à plus tard, ou désinvestir ou bien investir dans un autre pays tiers.

Des enquêtes ont montré l'importance primordiale que l'investisseur potentiel prête à la stabilité politique du pays d'accueil, à l'attitude de ses dirigeants et de l'ensemble de sa population. De même à l'existence d'une tradition de respect de leurs engagements internationaux.

D'où, la stabilité politique est un facteur déterminant de localisation des IDE. Ainsi, les investisseurs préfèrent localiser les filiales dans un pays où l'incertitude est moindre, vu que la stabilité politique a un effet positif sur la sécurité des affaires.

D'après Michalet (2000) « il est probable que le pays soit rayé de la longue liste, au moins temporairement, si la probabilité d'un coup d'état est élevée ; même si la rentabilité d'un projet est attrayante. Mais si les perspectives à long terme sont très attractives, alors l'investisseur adoptera une attitude de « wait and see » consistant à réduire son implantation au minimum afin de maintenir une présence qui lui permet d'observer de plus près l'évolution de la situation du pays, d'y affirmer une présence suffisante pour démontrer l'intérêt de la firme à développer une activité locale et suivre attentivement les opérations de ses concurrents ».

Ceci a été le cas, par exemple, lors des événements du 11 Septembre 2001 qui ont engendré une augmentation du niveau d'incertitude du risque politique élevé (associé à la guerre et au terrorisme) amenant ainsi quelques compagnies à adopter cette stratégie « wait and see » et reporter leurs plans d'investissements à plus tard, le temps de voir l'impact de ces événements sur le développement économique.

D'autre part, les pouvoirs publics jouent un rôle décisif dans l'économie. Leur intervention peut encourager les investisseurs à investir, mais dans la plupart des cas ils les dissuadent. En fait, la qualité de gouvernance peut constituer un risque pour les investisseurs, ceci concerne, d'après Jenkins et Thomas (2002), « le risque de l'intervention dans les droits de propriété, la corruption et l'incertitude bureaucratique ».

De plus, d'après Mesghena Yasin (2005), l'instabilité politique et les répressions défavorables affectent négativement les flux d'IDE et découragent, par conséquent, les investisseurs étrangers.

2.3.2- la stabilité économique :

Lorsque les pouvoirs politiques créent une atmosphère économique instable, les investisseurs étrangers sont peu incités à engager leurs capitaux dans des projets aux rendements futurs incertains.

En effet, les investisseurs étrangers détestent l'incertitude et ils ont tendance à s'inscrire dans une liste de pays où il y a un taux de croissance élevé, positif et durable.

D'ailleurs, d'après Billington (1999), la croissance du marché est un facteur stimulant de l'IDE. Ce facteur dynamique a un impact direct sur la vitesse et la direction des flux d'IDE.

En fait, Billigton (1999) a pris le cas de sept pays industrialisés pour la période 1983-1993 ; il a établi un modèle au niveau de chaque pays et en fonction de plusieurs observations en terme de log d'IDE. Il a trouvé que le coefficient de croissance est positif. D'où un taux de croissance élevé attire un niveau élevé des flux de capitaux.

Les investisseurs étrangers s'intéressent à la stabilité de certaines critères qui sont : la croissance économique, la maîtrise de l'inflation (une économie inflationniste décourage les investisseurs) et la stabilité du taux de change.

Il s'avère donc nécessaire que les autorités corrigent les déséquilibres macroéconomiques tels que : l'inflation élevée, les lourds déficits publics, la surévaluation du taux de change car ils sont les causes essentielles de l'instabilité macroéconomique et de l'incertitude des politiques futures.

Par ailleurs, le ?climat des investisseurs? constitue un facteur d'attractivité pour l'investisseur étranger. Il s'agit, par exemple, de la liberté des transferts des capitaux étrangers vers le pays d'origine et de la législation du pays d'accueil (flexibilité du marché de travail, les conditions d'emploi...).

2.3.3- la politique de concurrence :

Avec la libéralisation des flux d'IDE et le développement des activités des firmes multinationales, le libre jeu des mécanismes du marché revêt une importance croissante pour le choix de localisation des firmes étrangères dans le pays d'accueil.

La diminution ou la suppression des barrières à l'entrée des IDE peut accroître la fluidité des marchés nationaux et activer la concurrence. Cependant, si le marché du pays d'accueil devient concentré après l'entrée des firmes multinationales dominantes, il se peut que celles-ci se livrent à des pratiques anticoncurrentielles, en particulier sur le marché fluide pour empêcher l'entrée de nouveaux concurrents.

Il s'agit notamment des pratiques de Cartel tels que l'entente sur les prix et la répartition du marché, les fusions-acquisations monopolisatrices, les pratiques verticales d'exclusivité, les abus de positions dominantes, etc....( Pons J-F, 2000)

Le développement d'une politique de concurrence et la coopération avec d'autres autorités de concurrence permettent de ne pas subir des comportements anticoncurrentiels venant de l'extérieur, ni de décisions unilatérales d'autres gouvernements.

En principe, le droit de concurrence ne doit pas introduire de discrimination entre entreprises nationales et entreprises étrangères, ni entre entreprises d'origines nationales différentes.

Ce droit permet, d'une part, de contrôler le comportement concurrentiel des firmes multinationales qui a une influence sur l'attractivité des pays d'accueil et d'autre part, de garantir aux firmes multinationales la protection de leurs produits et de leurs technologies.

2.3.4- Environnement juridique favorable aux IDE :

Pour que les investisseurs soient encouragés à s'implanter à l'étranger, les pays d'accueil doivent garantir aux firmes multinationales une certaine stabilité juridique et légale.

En fait, le cadre juridique est légal comprend les règlements régissant les IDE, leurs activités, les normes de traitement des filiales étrangères et les règles de fonctionnement des marchés.

Pour attirer les IDE, il faut que le pays d'accueil :

· Garantisse la minimisation des coûts des litiges ;

· Garantisse la protection des droits de propriété aux investisseurs étrangers et de bénéficier des mêmes droits que les investisseurs locaux (exemple droits syndicaux) ;

· Assure la possibilité de rapatriement des bénéfices et des capitaux en cas de liquidation ;

· Etablisse un libre marché de change ;

· N'instaure pas de plafonnement de participation au capital, car la limitation à la participation au capital constitue un obstacle pour l'investisseur étranger ;

· Etablisse des programmes d'incitation à l'investissement fondés sur une modulation transparente de nombreux avantages fiscaux et douaniers (dans le cas d'existence d'impôts ou tarifs douaniers lourds, l'établissement d'incitations à l'investissement tarifaire), qui pourraientt encourager les IDE.

Ainsi, les législations sont importantes pour attirer les IDE, et donc des législations complexes ou confuses n'inciteraient pas les investisseurs étrangers. Il importe donc pour les pays hôtes de créer un code d'incitations favorables aux IDE.

2.4- Autres déterminants de l'IDE :

2.4-1- La taille de marché :

La taille de marché est déterminé approximativement par le niveau du PNB et semble être un déterminant des flux d'IDE. En effet, les grands marchés dans lesquels la demande des consommateurs est loin d'être satisfaite constituent un potentiel qui attire les investisseurs étrangers (Ewe-Ghee Lim, 2001).

2.4.2- L'ouverture du pays au commerce et l'orientation des exportations :

Il est répandu que les économies ouvertes sont de nature à encourager les investissements étrangers. En effet, l'ouverture d'un pays au commerce s'exprime par la diminution progressive des contrôles et des restrictions qui s'opposent au libre échange. L'orientation des exportations peut également être considérée comme un facteur déterminant de l'IDE à cause de la propension élevée des exportations des firmes étrangères (Ewe-Ghee Lim, 2001). Stein et al. (2003), Jaumotte (2004), Tobin et Rose-Ackerman (2005) et Neumayer et Spess (2005) ont testé l'impact du facteur 'openness' sur les flux de l'IDE et ont trouvé qu'il est un déterminant important.

2.4.3- La croissance économique :

La croissance économique est analysée par des indicateurs de développement macroéconomique tels que le niveau de vie (revenu par tête, consommation par tête), de la production (le degré d'industrialisation), du commerce extérieur (le taux d'ouverture) et de l'emploi (le taux de chômage, le degré de qualification de la main d'oeuvre).

2.4.4- Les ressources naturelles :

Historiquement, le déterminant le plus important des IDE dans le pays d'accueil est la présence des ressources naturelles. Les investissements étrangers sont surtout attirés par les pays dont les ressources naturelles sont abondantes et n'ayant pas en contre partie le capital, le savoir faire, les compétences et l'infrastructure nécessaires pour les exploiter et les commercialiser.

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"Entre deux mots il faut choisir le moindre"   Paul Valery