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L'inapplicabilité de la politique publique congolaise et son incidence sur la gestion des immondices dans la ville de Likasi (cas de la commune de Kikula)( Télécharger le fichier original )par Loyde NKONGOLO-MWAMBA KIZEMBE UNIVERSITE BIOSADEC LIKASI - Licence 2015 |
Source secrétariat de la mairie de Likasi Jadis la gestion des immondices fonctionnait à travers la contribution volontaire et concertée toutes les parties prenantes de cette organisation telle qu'arrêtées dans la loi locale créant la commission urbain de salubrité avec le temps elle disposait une taxe officielle et légale dénommée « Taxe assainissement, enlèvement des immondices et ordures ménagères » qui n'a pas été payé suffisamment et qui a causé le disfonctionnement de toutes les commissions pour la dite gestion. 1.2.3 Les secteurs de conservation des immondicesLe secteur de regroupement des immondices est situé dans la tissue urbaine viable et très accessible au camion benne c'est dans ces espaces que sont situés les points de regroupements et de transfert de déchets appelés dépotoirs de transit. Tableau 2 : Répartition des dépotoirs de transit à Kikula
Il est à noter que dans la ville de Likasi, il y a un seul dépotoir définitif qui se trouve sur la route Kolwezi. 1.2.4 Elaboration des problèmes publics sur la gestion des immondicesA Likasi nous avons toutes sortes des déchets : solides, liquides, gazeux et organique. Mais ces types des déchets peuvent être regroupés en trois grandes catégories : les déchets miniers, les déchets industriels et les déchets domestiques.29(*) a) La gestion des déchets miniers Sont constitués des scories, des poussières, des eaux de lavage de minerais, des affluents acides des fumées chargées des particules etc. mais heureusement dans la commune de Kikula il n'y a pas des entreprise minières qui peuvent produire ces genres des déchets. b) La gestion des déchets industriels Les déchets industriels sont constitués de la ferraille, des débris métalliques, des débris de bois, issus des scieries et ateliers de menuiseries, des fumées, etc. La gestion des immondices industrielles dans la commune de Kikula ne sont pas gérer d'autant plus que la culture de la gestion des immondices qui n'est pas dans la population de ladite commune et l'inconscience collective persiste. c) La gestion des déchets domestique Les déchets domestiques sont ceux qui comprennent les déjections, les restes d'aliments les eaux de lavage les emballages divers les rester d'habits etc. SECTION IV. : NOTION SUR LES TRAVAUX PUBLICS1.4.1 DEFINITIONLa notion sur les travaux publics est en réalité doublée. L'expression travail public désigne d'abord l'opération de construction, d'entretien ou travail d'aménagement, mais elle peut aussi designer le résultat de ce travail, c'est-à-dire l'ouvrage lui-même. Le travail publique en tant qu'opération, rappellent l'idée d'une oeuvre à réaliser ou une oeuvre réalisée. Ce qui signifie que celle-ci comprend des éléments qui peuvent être fixés ou variables qu'il faudra saisir. 1.4.1.1 Opération de construction d'entretien ou travail d'aménagementLe travail public est un travail immobilisé, réalisé :30(*) Soit pour le compte d'une personne publique dans le but d'intérêt général, même s'il n'est pas un service public ; Soit par une personne publique dans le but d'un service public, même pour le compte d'une personne privée. Mais dans les deux cas, il faut que les travaux en cause correspondant à la fin d'intérêt général et qu'ils comportent à un titre ou à un autre, l'intervention d'une personne publique. Le deuxième volet de la définition telle qu'est présentée ci-haut tire son origine après la fin de la seconde guerre mondiale, où le législateur avait situé Des associations syndicales de reconstruction ayant les statuts d'établissement publics. Il leur avait été confié la mission des faire exécuter les travaux de construction pour le compte de leurs membres où étaient aussi bien des collectivités politique que les particuliers. Ces travaux exécutés par les personnes morales de droit public mais au profit des personnes privées, pourraient connaitre les caractères des travaux publics, ils ont dû considérer que les travaux en cause même avait pour bénéficiaires des personnes privées ont été par exécution de travaux publics, par ce qu'il réalisé par une personne publique dans le cadre de sa mission du service public. Il convient de noter par ailleurs que jusqu'à la seconde guère mondiales, l'administration publique réalisait des travaux elle-même et les particuliers intervenaient comme entrepreneur. A partir de cette date les rôles furent intervertis : l'administration publique intervenait en qualité d'entrepreneur au profit du particulier en vue d'un but de service public.31(*) 1.4.1.2 L'ouvrage publica) DéfinitionL'ouvrage public est aussi un bien immobilier ou une installation incorporée dans un bien immobilier affecté à la satisfaction de l'intérêt général. Dans le domaine des droits, trois conditions doivent être remplies pour définir un ouvrage public : - Il doit s'agir d'un immeuble - Il doit faire l'objet d'un travail humain - Il doit être affecté à l'intérêt général ou à une mission de service public. Un ouvrage public doit être le résultat d'un travail de l'homme et non de la nature. Exemple une autoroute, un barrage d'un central électrique par ailleurs ils ne peuvent pas être de tels ouvrages quel que soit leur importance, les biens qui n'ont pas été aménagé par une intervention humaine et sont restés dans leur étant naturel. Ex. le couloir aérien qui permet aux avions de faire leur manoeuvre d'approche et d'éloignement. b) Le travail humainPeuvent être des ouvrages publics, tant que biens immobiliers, que les installations incorporés dans de tels biens. Ex. Les escaliers roulants a) L'affection à l'intérêt général Un ouvrage ne peut avoir un caractère public que s'il est affecté à l'intérêt général qu'il s'agisse de l'affectation à l'usage direct du public ou au besoin d'un service public. Un ouvrage public procède d'un travail ayant en lui-même le caractère d'un travail public. Il est une dépendance du domaine public, il est enfin la propriété d'une personne publiques. Mais sur chacun de ces trois points il peut en aller autrement. 1.4.2 OUVRAGE PUBLIC ET LES NOTIONS CONNEXES1.4.2.1 Ouvrage public et travail publicL'ouvrage public est le résultat d'opération d'un travail public de même que le plus souvent les travaux publics sont affectés sur les biens qi ont la qualité d'ouvrage public. Mais les liaisons entre l'ouvrage public et travail public ne sont pas absolues, la dissociation est possible dans tous les sens. Il peut y avoir un travail public indépendant de l'existence de préalable ou de la construction d'un ouvrage public. En sens inverse ; l'existence d'un ouvrage public peut ne pas procéder d'un travail public. Exemple : L'acquisition d'un immeuble affecté à un service d'intérêt général. 1.4.2.2 Ouvrages publics et domaine publicSi on se limite à la considération des dépendances immobilières du domaine artificiel, on constate une large correspondance entre l'appartenance d'un bien ou domaine public et son caractère d'ouvrage public. La condition commune d'affectation à l'utilité publique est satisfaite. Etant donnée la conception très extensible d'aménagement spécial requis pour l'incorporation d'un bien immobilier du domaine public artificiel, les ouvrages publics satisfaisants aisément dans le plus part des cas à l'existence d'untel aménagement. En conséquence des nombreux biens immobiliers vont bénéficiers tant de la protection que leur assure à titre de la domanialité publique, « le principe d'inaliénabilité » que des celle que peut leur procurer parce qu'ils sont aussi ouvrages publics « principe d'intangibilité » de ces ouvrages. Il reste bien que la dissociation d'ouvrage public et domaine public soit possible. La notion d'ouvrage public peut être plus étroite soit plus large : elle est plus étroite dans la mesure où le domaine public comprend les dépendances naturelles, dans la mesure enfin où le caractère d'ouvrage public l'est pas lié à l'existence d'un aménagement spécial appropriant l'immeuble à la destination. Elle n'est pas large du fait que certaines dépendances du domaine privé sont des ouvrages public.32(*) 1.4.2.3 Ouvrage public et propriété publiqueLes ouvrages publics appartiennent normalement à des personnes publiques, mais ils ne leurs appartiennent pas nécessairement : Ils peuvent aussi être la propriété de la société ayant des liens particuliers avec l'administration publique, tout comme ils peuvent également appartenir à des simples particuliers. 1.4.3 PRINCIPE D'INTANGIBILITE DE L'OUVRAGE PUBLIC1.4.3.1 DéfinitionLe principe d'intangibilité de l'ouvrage public stipule qu'il n'appartient en aucun cas, à n'importe quelle autorité prescrite une mesure de nature à porter atteinte sous quelque forme que ce soit, à l'intégrité ou au fonctionnement du principe d'intégrité ou au fonctionnement d'un ouvrage public. L'application du principe d'intangibilité de l'ouvrage public connait aussi quelque problème sur le plan pratique. 1.4.3.2 Réalité et porte initiale du principeLe principe d'intangibilité en peut peux que manifester son existence distinct dans le cas où il est seuil, susceptible de faire échec, à la conclusion dont le juge administratif n'a pas droits d'autoriser un particulier à porter atteinte à un ouvrage public en vue d'y faire exécuter ses propres travaux. La protection de nature juridique réservée aux ouvrages publics, fait l'appel à deux observations importantes suivantes : Selon une conception jurisprudentielle, le juge administratif ne peut intervenir dans le sens de la réalisation d'un ouvrage public comme dans celui de destruction et de son aménagement. 1.4.4 EFFETS ATTRACTIFS DE LA NOTION DES TRAVAUX PUBLICSPour effet attractif, il convient de retenir le contentieux de travaux public issus de la réflexion comme des différents autorités compétente ne la matière, qu'on réussit à mettre cette matière. Pour déterminer l'effet attractif de la notion du travail public, il est aussi utile, si pas important de préciser le domaine de compétence dans le règlement de ce litige. L'effet attractif de la notion du travail public se manifeste à des nombreux égards mais ce qui mérite plus d'attention tient aux manifestations particulièrement remarquables de l'effet attractif en matière de qualification étant des contrats que des dommages. 1.4.4.1 Effets attractifs et la qualification des contratsIl apparait convenable de parer des travaux public sans pour autant envisager l'aspect lié au contrat Ce dernier qui détermine les droits et les obligations des parties, peut se présenter sous une forme complexe ou sous forme simple. Il est complexe lorsqu'il a pour objet l'exécution des travaux publics. Exemple contrat qui lie la mairie à l'entreprise Rulco pour la construction d'une route. Par contre, un contrat est qualifié de simple lorsque son objet est en rapport avec l'exécution de ces travaux. Exemple : Fourniture du sable du gravier dans le cadre d'un contrat qui lie la mairie par exemple et une entreprise.33(*) 1.4.4.2 L'effet attractif et qualification de dommagesL'exécution du travail public crée certains problèmes qui se transforment en litiges dont on doit nécessairement déterminer les responsabilités pour le dommage. Trois hypothèses peuvent concrétiser l'effet attractif en rapport avec le dommage : 1. Dommage des travaux publics Il se rapporte à une opération du travail public ou aux matériels utilisés pour les travaux publics 2. Dommage assimilé aux travaux publics C'est un dommage dont la réalisation est imputable à l'absence d'un ouvrage public qui aurait dû exister. 3. Dommage imputé au fonctionnement d'un service public utilisant un ouvrage public Autrement dit, c'est un ouvrage résultant d'un « fait d'exploitation » ou d'un « fait de l'ouvrage » 1.4.5 EXIGENCE DES TRAVAUX PUBLICSLes travaux publics ont pour exigence : D'une manière invariable, seul le travail immobilier peut avoir le caractère d'un travail public. Peu importe le travail, la construction de protes chars qui est le bien mobilier, n'est pas un travail publics, mais la tonde de pelouse dans un jardin public pour le remplacement d'un pavé dans la chaussée d'une rue, sont des travaux publics. Les travaux immobiliers ne sont seulement ceux qui sont exécuté sur les biens immobiliers fixé eut sol et faisant corps avec eux (immeuble par nature) mais aussi les travaux qui portent un éléments d'équipement affecté au service public et à l'exploitation d'un immeuble, ou fixes sur le fond à perpétuel demeure (immeuble par destination) par exemple ascenseur ou un escalier roulant. Si par cout un travail porte sur un élément mobilier ou déplaçable sans rupture avec un élément immobiliers ou deplaçade sans rupture avec un élément immobilier, il ne peut pas être un travail public. Le travail public réalise pour le compte d'une personne publique. Le travail immobiliers réalisés pour le compte d'une personne publique, dès lors qu'il est exécuté dans le but d'utilité générale peu importe que cette personne publique ait une activité commerciale ou industrielle, comme c'est le cas notamment de certains établissement publics, les travaux publics immobiliers réalisés pour leur propre compte, sont effectivement de travaux publics. 34(*) En outre, peu importe que les biens, objets des travaux publique soit à la disposition d'une société concessionnaire, s'ils sont les « biens de retour » que la personne publique concédant repensera à l'expiration de la concession. Ces biens sont sa propriété et les travaux portant sur eux sont donc fit pour le compte de la personne publique. Exemple : la construction ou l'entretien d'un barrage dans le but de créer une source d'énergie, effectuée par une société privée.35(*) Conformément à la conception classique de travaux publics, les travaux effectués pour le compte d'une personne privée ne sont pas des travaux publics, même s'ils ont pour but la construction d'un ouvrage destiné à être utilisé par une personne publique. Même s'ils sont été sous la maitrise d'oeuvre d'une personne publique. Le travail immobilier peut être exécuté dans le but non d'une personne publique, mais dans le but lié à l'utilité générale. Cette précision appelle quelques éclaircissements.36(*) En effet, il se trouve les plus souvent que travaux exécutés pour le compte des personnes publiques aient pour but de leur permettre de remplir leur mission de service. C'est bien naturel parce que les activités des personnes politiques l'exigent. Le travail immobilier exécuté pour le compte d'une personne privée sur les biens lui appartenant devant devenir sa propriété est susceptible d'être un travail public, peut n'être pas facilement admise. Si une telle option s'est avérée évidente à un certain moment, cela a été pour des légitimes raisons d'opportunité, recommandant que certains travaux soient soumis au régime des travaux publics. Mais pour qu'un tel travail soit un travail public, il ne suffit pas qu'il ait un but d'intérêt général, mais il faut que son exécution corresponde à l'accomplissement d'une mission de service public à une personne publique Il est très important de noter et de retenir que quel que soit l`entendement que l'on peut accorder à la notions des travaux publics, qui est présenté dans l'opération ou bien parce que les travaux sont fait pour son compte ou exécuté par elle. Il n'est pas cependant exclu qu'un travail soit fait à la foi par et pour une personne publique ne peuvent être de travaux publics, l'est même tout ait visuel qu'il en soit ainsi : exemple exécution par le commune des travaux d'entretien de la voirie communale. Ainsi les travaux exécutés par une personne privée et pour le compte d'une telle personne publique ne peuvent être des travaux publics, même s'ils sont d'intérêt général, même s'ils correspondent à l'exécution d'une mission de service public37(*)exécution des travaux publics. 1.4.6 EXECUTION DES TRAVAUX PUBLICSLes travaux publics peuvent être exécutés en régie par le maitre d'ouvrage lui-même, c'est-à-dire la personne publique ayant cette qualité, ils peuvent aussi, et c'est fréquent être confiés à des professionnels de la construction parfois, ils peuvent-être le fait de non professionnels. 1.4.6.1 Mode d'exécution des travaux publics1.4.6.1.1 L'exécution en régieDans la plus part des cas, les collectivités locales surtout et notamment les communes utilisent leurs propres moyens en personnel et en matière ou voie publique. Ces cas le plus fréquents sont liés aux cantonages de la mairie. 1.4.6.1.2 L'exécution par des non professionnelsIl arrive que les travaux publics soient exécutés par les personnes apportant à l'administration public un concours occasionnel et bénévole, sans préoccupation ni perspective de gain. Ex. Cas de la vision mondiale qui construit une école il peut aussi arriver que l'exécution de travaux publics soient les défauts des permissionnaires n'ont pas les caractères des travaux publics. 1.4.6.1.3 Le recours à de professionnelsTout ce qui est important en matière des travaux publics qu'ils s'agissent des construire ou de démolir, d'aménager ou d'entretenir, il est confié généralement à des professionnels, qui peuvent être de sociétés spécialisées dans les bâtiments ou travaux publics. Exemple : Swanepoel, Crec 7 Les services Publics de l'état tel que le bureau des points est haussées au ministère des travaux publics et infrastructures peuvent jouer le rôle de l'entreprise des travaux publics pour le compte des entités territoriales décentralisées. L'intervention de ces professionnels des travaux publics résulte de la conclusion de contrats entre lesquels il faut distinguer selon qu'ils sont non passés par les personnes publics à l'origine de l'exécution des travaux publics. L'exécution des travaux par le recours à des professionnels par la signature des contrats attribue l'ouvrage à la personne publique signataire au contrat. Le contrat signe entre l'état et le concessionnaire sont qualifié de marché initiales, en ce sens que c'est par eux que tout commence pour l'ensemble il, ils se répartissent en trois catégories : · Le marché des travaux publics Il s'agit des contrats ayant pur l'objet de confier à un entrepreneur l'exécution des travaux publics bien déterminés moyennant un prix déterminés (ou convenu). Exemple : le gouvernement qui demande à l'entreprise BAZANO un contrat pour la construction d'un marché à Toyota dans la ville de Likasi · Les concessions des travaux publics Il s'agit d'un contrat par lequel la personne publique recourt en matière de travaux publics par les procédés des concessions. Ainsi devant certaines circonstances après avoir réalisé l'ouvrage nécessaire, le concessionnaire peut assurer l'exploitation en se rémunérant grâce à la perception des redevances sur les usagers de l'ouvrage ou du public concerné. A l'expiration de la concession, l'ouvrage fera « fera » à la personne public concédant en palliation des clauses adéquates de cahier des charges. Exemple ; le contrant signé entre le gouvernement et le chinois pour la construction de la route Kasumbalesa. · Le marché d'entreprise des travaux publics Il s'agit d'un contrat par lequel la personne publique confie au contractant la construction ou l'exploitation d'un ouvrage, la rémunération étant directement assurer par la personne publique.38(*) Cette dernière est qualifiée de « maitre de l'ouvrage ». CHAPITRE II : PRESENTATION DE CADRE D'ETUDESECTION I : APERCU SUR LA VILLE DE LIKASI2.1 CREATION DE LA VILLE DE LIKASIL'origine historique de Likasi ne peut se confondre avec l'histoire des agglomérations urbaines du Congo dont elle fait partie. L'origine de la ville de Likasi remonte à la période d'alors 1889 tandis que l'histoire dans ces institutions urbaines des distincts. Le gouvernement général était autorisé par la loi de détacher, lorsqu'il estimait nécessaire, de l'administration de district, le territoire d'une agglomération urbaines et en former une circonscription administrative spéciale sur dénomination de « ville ». La ville avait une personnalité civile, elle était dirigée par un comité du commissaire de district qui le présidait et de trois membres et huit membres nommés par le gouverneur de la province. La ville était une véritable collectivité décentralisé ayant son patrimoine le pouvoir de créer des taxes, avait un budget et pouvait rester en justice. L'histoire de l'agglomération urbaines de Likasi remonte à l'année 1917 avec le début des travaux de prospection minéral de la colline de Shituru comme jadis, sous l'appellation Likasi-panda, l'agglomération a pris le 21 juin 1893 la dénomination de ville en l'honneur de monsieur Jean Jadot alors le gouverneur de la société générale de belge, pour l'appréciation des services rendus pendant 25 ans à la compagnie du chemin de fer BCK, à l'ex-union minière du Haut Katanga qui permet de transporter les minerais à l'étranger. Avant l'institution urbaine de Likasi ville, les villes de Kinshasa et Lubumbashi étaient déjà institués le 21 juin 1941 Likasi est la troisième agglomération de la république aux institutions de la ville. L'évolution de l'administration continua avec l'apparition des commune en 1957 auxquelles s'ajoutèrent les commune se Panda et Shituru en 1968. 2.2. LA SITUATION GEOGRAPHIQUE DE LA VILLE DE LIKASILa ville de Likasi est située à 120 km de la ville de Lubumbashi, chef-lieu de la province du Katanga, 200 km environs de Kolwezi, chef du district de Lualaba, devenu aujourd'hui province de Lualaba à 1500 environ de Kalemie chef-lieu de l'actuel province de Tanganyika. Elle est la deuxième ville du Katanga et des villes que compte la république démocratique du Congo. 2.2.1 Le climat de la ville de LikasiLe climat de la ville de Likasi participe au climat général du district du haut-Katanga, elle est réputé industriellement, jouit d'un climat tropical modéré par l'altitude comportant deux saisons bien distinctes et régulières. La saison des pluies débutes habituellement vers octobre de chaque année et il pleut abondamment en novembre, décembre, janvier février et mars. La température de la ville montagneuse de Likasi n'est jamais excessive et dépasse 30° en saison chaude et est franchement froide en saison sèche. La saison sèche commence au mois d'avril et prend fin vers la mi-octobre. En effet, les températures extrêmes varient plus au moins entre 35° en octobre et à 45° en juillet c'est ainsi que le maximum de température enregistré est toujours aux environs de 37°. 2.2.2 Hydrographie de la ville de Likasi
La ville de Likasi s'est entourée de nombreux et plein de vallées ou coulent des rivières déjà des premiers explorateurs. La rivière Likasi qui donne son nom à la ville et à la commune est une petite rivière qui tire sa source en bordure du camp travailleur de la SNCC et verse au nord d la colline. Elle traverse ensuite les côtés de la zone urbano rurale de Shituru, elle forme une large nappe d'eau résiduaire retenue par un barrage, puis cheminée sinueusement sur une distance de 6 Km environ vingt de se jeter dans la rivière Buluo. Celle-ci coule de l'ouest à l'est, au nord de la ville, descend des hauteurs au Sud de Kapemba et reçoit en affluant, les eaux de rivières Konda et Kikula baigne Karaganda fonce résolument vers le sud de la ville où elle se jette dans la rivière panda. Elle coule de l'Ouest - Est de la ville, elle tire sa source vers Gadidé, reçoit de nombreux affluents dont les plus importants est la poissonneuse Mura aux rapides, elle reçoit également les eaux venant de Krakow, la rivière Konji et plus loin la rivière Kapp. Cette rivière Konji est plus loin, suit son cours pour finir à Kapolowe gare dans la rivière Lufira, important affluent de fleuve Congo. Elle donne son nom à la commune de panda. Elle prend sa source au fond de la vallée à côté du marché de Kikula. La même rivière arrose en grande partie de la commune qui porte son nom, traverse la route Kolwezi et passe près des sociétés SIMETAL et BRASSERIE SIMBA continue à l'est pour se jeter dans la rivière Buluo. Situé au nord de la rivière Kikula, elle tire son origine de la vallée et de la rivière Nguya le l'ouest vers le nord, arrose les quartiers Nkolomoni et Tshatshi, avant de finir dans la rivière Buluo. Celle-ci est délimité au Sud entre la ville de Likasi et le territoire de Kambove, coule du Nord au Sud et se jette comme la rivière panda dans la rivière Lufira. 2.2.3 RELIEF DU SOL ET LA VEGETATION DOMINANTELe relief de la ville de Likasi est très accidenté par des monts et des montagnes tandis que sa végétation est caractérisée par quelques arbres fruitiers et non fruitiers. 2.2.4 NATURE DU SOLLe sol est en général argilo sablonneux qui par endroit est jonché des cailloux et des calcaires en carbonate de calcium. 2.3 ORGANISATION ADMINISTRATIVELa mairie est subdivisée en communes. Les communes sont subdivisées en quartiers, les quartiers sont subdivisés en blocs et les blocs en avenues ou rues. Le rapport périodique des activités des communes sont transmis à la mairie qui les centralise et les transmets à la province. Les rapports de tous les services qui sont envoyés à la mairie sont vérifiés au secrétariat. De pièces périodique et après la vérification on fait le remarques dans chaque servie. La mairie de la ville est retenue de faire un rapport périodique sur les statistiques de la population ou gouverneur de la province et au département du ministère de l'intérieur. Ces statistique de recensent, le maire de la ville reçoit les bourgmestres des communes qui lui transmettent régulièrement leurs rapports périodique relatifs aux statistiques, démographiques pour identifier les étrangers et les autochtones. Quant aux étrangers prédominant nous citons : les zambiens, les angles, les chinois, les indiens, les coréens, etc. La juridiction de la ville de Likasi comprend quatre (4) communes à savoir : - La commune de Likasi - La commune de Kikula - La commune de Panda - La commune de Shituru. La ville de Likasi, c'est elle qui attire plusieurs entreprises privées et quelques entreprises publiques : SNCC, SWANEPOEL, ACEC ONGO, BRASERIE SIMAB, SNEL, REGIDESO, MINOTERIE KIFITA etc. Le nombre de ces entreprises ont connu après l'indépendance de changements profonds sur le plan structurel qui ont amenés des fusions et des dispositions de certaines entre elles. La ville a connu la réalisation des infrastructures collectives suivantes : - Le marché de panda ; - Le marché central de Kikula appelé autrement dit le marché de la paix ou on trouve les prix n'est pas exorbitant par apport aux autres marchés ; - Le marché de Kanona - Le marché de la ville de Likasi. Likasi est une ville à plusieurs activités pour les transactions coloniales, utilise dans notre pays (dollars américains). 2.3.1 LES VOIES DE COMMUNICATIONS2.4.1.1 Voies ferréesL'exploitation de la voie ferrée par la société nationale de chemin de fer au Congo (SNCC) permet de relier la ville à d'autres villes, et district de la province du Katanga, ainsi qu'aux deux provinces du Kasaï et à celle du Maniema ainsi par le canal, les habitants de la ville de Likasi ont accès à d'autres provinces du pays limitrophes à notre province. 2.4.1.2 Voies routièresLa ville de Likasi contient axes routiers longs de cent soixante kilomètres qui couvrent la périphérie de la ville. 2.3.2 LES CULTURES PRATIQUESLa ville de Likasi est une ville ou se pratique plusieurs cultures à savoir : Les cultures de maïs, d'arachide, d'haricots, de soja, de patates douces, de choux et des plaisirs espèces de légumes. ORGANIGRAMME DE LA MAIRIEMAIRE CABINET DE MAIRE MAIRE ADJOINT Secrétariat Contrat Personnel et contrat Receveur urbain Pension inserente 1e BUREAU IIe BUREAU DIVISION URBAINE Administration générale 1° BUREAU Protection civile régime arme a feu Inhumation transfert et estimation Secrétariat et élaboration periodique Tutelle population et état civil Protocole, intendance, presse 2.4 ASPECT ECONOMIQUELa devise de la ville de Likasi est « AERRE LAREQUE » qui signifie le cuivre par le travail, c'est le travail qui a fait Likasi, ville des mangeurs du cuivre, même dans le temps qui ont appartenu naguère à nos grands-parents. Cela jusqu'à ce niveau, l'activité principales économique de la ville qui est l'exploitation minière du cuivre, ses dérivées dont la plus importante est le cobalt par la générale de carrières et des mines (Gécamines) Ces stratégies de production à caractère économique doivent être protégées par le gouvernement qu'au monopole de la puissance publique pour sortir du gouffre de sinistre économique, Likasi doit s'attaquer à la construction et aménagement des routes et pont qui mènent vers les centres de la production. Le développement économique dépend toujours de la bonne gouvernance. 2.4.1 ACTIVITES COMMERCIALESIl existe plusieurs maisons importantes ou s'exerce les activités commerciales de traitements des affaires commerciales. Le secteur pharmaceutique de la ville de Likasi a connu une situation particulière. En effet, beaucoup de citoyens avaient décidé de se lancer dans le commerce des médicaments, ce qui a entrainé une explosion des pharmacies ouvertes en dehors de normes pharmaceutiques. Pour y mettre de l'ordre, une opération devant aboutir à l'assainissement de ce secteur a pu être déclenchée et plusieurs pharmacies se virent frappés de mesures de fermetures par l'arrêté urbain N°210/33/BM/LKS/99 du 03/11/1999. Ce sont les établissements d'habillement Ex. Ets Tshalukambo, Yamba... c) Secteur alimentaire C'est un secteur qui s'en charge de l'alimentation. Ex. Ets SALEM.39(*) 2.5 SITUATION SOCIO-CULTURELLEEn ce qui concerne l'action, au centre de promotion sociale et culturelle de la ville de Likasi. 2.5.1 Activité sanitaireSur les activités sanitaires, la ville de Likasi est une ville qui a plusieurs centres sanitaires publics et privés, nous citons quelques-uns seulement, trois grand dont l'hôpital SNCC et l'hôpital de la Gécamines plu une clinique Gécamines il y a lieu de signaler la clinique SNCC et l'hôpital Afridex sans oublier l'hôpital de référence DACO, et autres centres médicaux Tableau 3 : Liste des entreprises, sociétés et établissement qui ont fonctionné depuis 2012.
LABO HETEROGENITES
TRANSPORT
CONSTRUCTION BOBINAGE ET GENIE CIVIL
BANQUES
SECTION II : PRESENTATION DE LA COMMUNE DE KIKULA2.2.1 A) HISTORIQUE DE LA COMMUNELa Commune de Kikula a connu sa création en 1933 par la décision de l'autorité coloniale sous l'appellation du centre extra coutumier « C.E.C » sa gestion administrative fut cédé en 1937 a un autochtone répondant au nom de monsieur KAPENDA JEMS En 1957 ce centre fut érigé en commune et connu ses premières élections municipales qui portèrent à sa tête monsieur MUNTOKOLE BONVE en qualité de bourgmestre. Avec l'avènement de la deuxième république, elle était devenue zone, l'appellation qu'elle perdra après l'arrivée de l'AFDL en 1997 pour redevenir commune mais comme entité décentralisée. C'est ainsi qu'en octobre 2008 elle a acquis le statut d'une entité territoriale décentralisé, au terme de la loi organique n°08/016 du 07 octobre 2008 portant composition et fonctionnement de comité budgétaire de territoire décentralisé et leur rapport avec l'état et les provinces. Concernant son administration, la Commune de Kikula connait beaucoup de bourgmestres ou encore administrateur depuis sa création jusqu'aujourd'hui. Elle en connait au total 28 y compris les bourgmestres adjoints, à ce titre nous citons le premier monsieur Mutonkole Bonve et le bourgmestre en place monsieur Adolphe LUFUMA. 2.2.2 B) ASPECT GEOGRAPHIQUEConformément aux dispositions de l'arrêté n°68-18 du 16 juillet 1969 modifiant l'arrêté N°67-157 du 28 juillet 1967 déterminant pour la ville de Likasi le nombre dénomination et les limites de la commune, celle de Kikula se présente comme suite : - AU NORD La rivière Kampemba depuis son intersection avec l'ancienne route de Kambove jusqu'à sa source. De la source de la rivière Kampemba, une droite jusqu'au point le plus rapprochée du flanc Nord de la voie ferré vers l'Est jusqu'à sa rencontre avec le chemin de fer Tenke Likasi. De cette rencontre jusqu'à l'affluant de Buluo sur une distance de 300m vers la limite ouest de la concession CV Lualaba 5 - A L'EST De la limite Nord-Ouest de la concession Lualaba 5 jusqu'au flanc Ouest du chemin de fer Likasi-Tenke. Le flanc Nord en direction de Likasi sur une distance de 1250 m de ce point une droite vers l'ouest jusqu'à la limite extrême de la parcelle CV250. A la limite Nord de cette parcelle vers Sud-Ouest, puis sa limite Sud jusqu'au bord de l'avenue Bunkeya. Le Nord de cette venue jusqu'au bord droit du boulevard de l'indépendance ? Le bord de ce boulevard jusqu'au point situé dans le programme de la limite est de la parcelle. Cette limite vers le Sud jusqu'à la limite Ouest de la réserve de la gare de Likasi jusqu'à la rivière vers le sud jusqu'à limite sud de la réserve « Etat » - AU SUD La limite Sud de la réserve état vers l'Ouest jusqu'au droit de l'avenue Lumumba. Cette avenue jusqu'à la limite Nord du cimetière Kambove. Cette limite jusqu'au point d'intercession de la route Kampumpi avec la limite Nord de la Zone, l'avenue du cimetière (ancienne route Kakontwe) jusqu'à sa rencontre avec la rivière Kikula. LATITUDE : longitude 26°41'30'' et 26°44' de longitude Est et entre 10°59' de latitude Sud ALTITUDE : Situé à une moyenne de 1265 m Superficie : 41 Km² avec une densité de 5,662 h/km². Sur le plan hydrographique la commune de Kikula est arrosée par quatre cours d'eaux suivants : Buluo, Kaponona, Kikula et Kampemba. Ce cours d'eaux qui traverse l'espace bâti du territoire urbain, constituent les principaux drains naturels de la ville et contribuent à la toponymie de certain quartiers. Tableau 4 : ORGANIGRAMME DE LA COMMUNE DE KIKULABourgmestre Chef de bureau Bourgmestre adjoint Secrétariat communal
2.2.4 D) ASPECT DEMOGRAPHIQUELa commune de Kikula est peuplée de 274.004 habitants environs repartis au nombre de quartier. La répartition de cette population par quartier est mentionnée ou tableau I suivant Tableau 5 : Répartition de la population par quartier.40(*)
La densité brute de la population est très forte à Kikula de plus que toutes les communes de la ville de Likasi (6.683 hab. /km²). 2.2.5 E) ASPECTS ECONOMIQUESGénéralement à l'origine de la création de la ville de Likasi est avant tout une ville industrielle dont le monopole est tenu par la générale des carrières et de mines (GCM) à l'origine de sa création aujourd'hui, aux côtés de la générales des carrières et des mines, 9 entreprises minières et 6 dépôts miniers se sont implantés dans ladite ville sans spécification des espaces avec toutes la cohorte de problèmes de la gestion de déchets solides , liquides et gazeux qu'elle produisent. Depuis quelques décennies, le territoire est en train de prendre de l'ampleur en effet, l'établissement du territoire englobement tous les services au sens économique du terme. Il s'agit des transports, du commerce, station services, les banques et autres maisons de transfert d'argent, la communication, le loisir, etc. 2.5 ASPECT DEMOGRAPHIQUEEn ce qui concerne les groupes ethniques dominant la ville de Likasi eu égard à leur importance, il y a lieu d'énumérer quelques-uns d'entre eux : les basanga les baluba (Katanga) les baluba Kasaï (Kasaï) les bambema, balamba, les bahemba, les bazela, les balomotwa, les kaonde les rund, les tshoke, les tabwa, les bakongo, les songe... Tandis que pour ce qui concerne la population étrangères les groupes dominant, habitant dans la ville de Likasi peuvent-être énuméré de la manière suivante : les zambiens, les angolais, les belges, les français, les espagnols, les chinois, les tanzaniens, les zimbabwéens, les portugais, les turques, les polonais, les vénézuéliens, les indiens, le libanais.41(*) Au terme de dispositions de l'article premier de décret-loi n°082 du 02/07/1998 portant statut des autorités chargées des circonscriptions territoriales, les chefs des quartiers et leurs adjoints ne sont considérées comme des autorités politico-administratives car n'ayant pas été expressément désigné par le dit article parmi les autorités susmentionnées. Eu égard à ce qui précède et en application de l'article 151 du décret-loi n°081 de la 02/07/1998 portant organisation de la territoriale et administrative de la république démocratique du Congo, ils sont considérés comme fonctionnaire de l'état. CHAP.III : L'INAPPLICABILITE DE LA POLITIQUE PUBLIQUE ETSON INCIDENCE SUR LA GESTION DES IMMONDICESA KIKULASECTION I : LES CAUSES D'INGERENCE DES IMMONDICESLes causes d'ingérence des immondices à la commune de Kikula sont liées aux difficultés suivantes : - Insuffisances de moyens financiers pour réunir les ressources humaines et matérielles pouvant faciliter la tâche de la gestion des immondices. - Absence de culture fiscal, de la population likasienne en général de Kikula en particulier - Insuffisance de stratégie de mobilisation des recettes - Absence du savoir sur le traitement des déchets - Absence des études sur la gestion de déchets - Manque de l'éducation de la population sur les pratiques éco-citoyennes - Absence d'une stratégie nationale de gestion des déchets et de l'assainissement du milieu - Absence des infrastructures nécessaires pour le recyclage, la transformation et la revalorisation des déchets - L'insuffisance des moyens techniques et adéquats. Dans toute oeuvre humaine beaucoup de problèmes surgissent et perturbent l'atteinte aisée des objectifs fixés. 3.1. LES AUTORITES COMPETENTESA l'exemple de république démocratique du Congo qui avait mis en place des institutions devant prendre en charge la mise en oeuvre des différents loi sur l'environnement notamment le comité interministériel de coordination (CIC), la direction du développement durable (DDD), le conseil national de l'environnement et du développement durable etc.42(*) La gestion des déchets est une affaire de l'autorité urbaine qui, par sa législation locale, a mis sur pied des institutions suivantes : · La commission urbaine de salubrité (CUS) La commission urbain de salubrité était structurée de la manière suivante : le maire de la ville président de la commission, secondé par le président de la fédération des entreprises du Congo (FEC) qui était président adjoint chargé des finances et par le coordinateur urbain de l'environnement (2èmevice-président chargé des questions techniques de la salubrité) en tenant compte des principes fondamentaux du développement durable évoqué ci-haut. Assemblée générale de la commission urbaine composée de toutes les forces vives dela ville à savoir : les chefs des entités territoriales décentralisées et des quartiers de l'état générateurs des recettes et ses techniques, l'école du génie etc. ils se réunissent une fois par trimestre.43(*) · La sous-commission technique urbaine de la salubrité (STUS) Elle est l'organe de la commission urbaine de la salubrité, et comme rôle : - De faire le suivi de l'exécution des décisions de la commission urbaines de la salubrité par la brigade urbaine de salubrité. - De faire le suivi de la perception de ressources financières auprès du service urbain de finances ; - De faire le suivi de la perception de ressources financières auprès du service urbain de finances ; - De faire le suivi de l'exécution des programmes de sensibilisation mis en oeuvre par les organismes de la société civile - De rendre compte à la commission urbain de salubrité du fonctionnement du système de gestion des déchets mis en place , et de faire évaluer auprès de celle-ci les propositions de son amélioration. La sous-commission technique urbaine de salubrité, présidée par le bourgmestre de Kikula, et elle est comme membres les bourgmestres de quatre (4) communes, la coordination urbaine de l'environnement et de l'hygiène publique, l'école du génie militaire, l'office de voirie et drainage, le receveur urbain, la société civile, le chef du deuxième bureau de la mairie et la fédération des entreprises du Congo.44(*) · Brigade urbaine de salubrité (BUS) Etait structuré en deux sections : Mamans Tengeneza (balayeuses de ries) et les cantonniers. 3.1.1. LES MOYENS D'ACTIONSLes moyens d'actions sont des ressources pouvant soutenir le service pour atteindre les objectifs déterminés ; Si le gouvernement provincial du Katanga finance les opérations de réhabilitation de la voirie urbaine et du réseau d'évacuation des eaux usées et pluviales demeures hors d'usage depuis plusieurs décennies, mais à la dispositions la ville de Likasi un charroie automobile spécial pour la collecte des déchets domestiques l'entité décentralisé ville de Likasi appuyée par les communes, organise la gestion locale des déchets en intégrant dans une même organisation tous les acteurs locaux en vue de partager leur expérience, et leurs ressources (matérielles et financières) dans une appropriation et une exploitation efficients du système pour le bien-être commun. Cependant comme ledit Merenne Schoumaker (2002) l'efficience du rôle des acteurs dépend de : - Leur degré de pouvoir - Les moyens dont ils disposent - Leur degré d'informations et de mobilité (propension à se déplacer), - Leurs stratégies (plans d'actions) ; - Leur culture (ensemble de comportement, des idées des croyances, des rêves, ...collectifs ou individuels) ; - Leur présentation et leur valeur (ex. : conception du développement, perception des problèmes territoriaux...) Comme nous l'avons soulignés ci-haut, la ville de Likasi dispose des différents moyens qui lui permettent de mener tant soit peu sa politiques de gestion des déchets de la municipalité.45(*) La ville dispose : - 45 cantonniers, - 65 maman Tengeneza - 12 chauffeurs. La ville de Likasi dispose aussi du matériel opérationnel suivant qu'elle met à la disposition de la gestion des déchets domestiques de la ville il s'agit de : 46(*) - 1 tracto pelle (Machine) - 1 chargeuse (machine) - 2 camions vidangeurs - 4 camions benne tata - 2 camionnettes poubelles - 4 motos poubelles. Sous l'impulsion de son excellence monsieur le gouverneur de Katanga les camions benne tata d'une capacité de charge de 20 tonnes chacun, ont été achetés et mis à la disposition de la mairie de Likasi en 2013, par les entreprise minières oeuvrant à Likasi et dans on interlac. Tandis que les camions vidangeurs et les autres engins énumérés plus haut ont été octroyés à la mairie par le gouvernement provincial du Katanga en 2012. En dehors de ces matériaux de transport des immondices, la mairie de Likasi avait disponibilisé et distribué des poubelles auprès de la population commerçante afin de faciliter les opérations de pré-collecte des déchets. La contribution volontaire que la ville de Likasi mettait jadis à la disposition de la gestion de déchets ne suffisant pas, c'est ainsi qu'on a eu une autre taxe officielle et légale dénommée « taxe d'assaisonnement, enlèvement d'immondices et ordures ménagères » par ordonnance loi N°13/001 du 23 février 2013. Cette taxe est imposable à toute la population. Ainsi dans sa politique de gestion des déchets domestiques à travers les commissions urbaines de salubrité, la mairie de Likasi a mis en oeuvre cette taxe en incluant et soumettant toutes les couches de la population habitant dans sa juridiction au payement des frais recensés, le ménage a été pris comme base de perception pour la population. Tableau 6 : répartition de taux de la taxe immondice par catégorie des contribuables.47(*)
Il est à signaler que tous ce montants ont été estimé à la baisse en ne tenant pas compte de petits commerçant des quartiers périphériques, les cambistes, les Kadhafi, les détenteurs des cabines publiques et autres. Tableau 7 : Les dépenses sont estimées et reparties de la manière suivantes
Les opérations d'assainissement regroupe les dépenses telles que : achat carburant et lubrifiants, maintenance et entretien des véhicules et engins, achat des matériels aratoires et autre équipements appropriés aux opérations. Le budget était équilibré mais du fait que les taxes n'étaient pas suffisamment payées c'est ce qui a fait à ce que la commission urbaine de salubrité puisse tomber. 3.1.2. LES ENTREPRISES MINIERESDans la commune de Kikula les déchets qui dominent sont les déchets domestiques et les déchets industriels. En effet les entreprises minières il y en ont pas dans la dite commune, mais ceux qui se trouvent dans des autres communes de la ville de Likasi ont polluée l'eau que nous buvions, l'air que nous respirions, ont même dérangé notre environnement.48(*) 3.2. LES RETOMBES D'INGERENCE DES IMMONDICES3.2.1. Dans les voies routièresOn constate toute sorte des nuisances (olfactives et visuelles) tels que : Destruction des réseaux d'assainissement et dégradation de la voirie parce que les déchets sont évacués dans des maisons que pour les jeter dans la voie publique et dans les caniveaux. 3.2.2. Dans les installations sanitairesLa création des dépotoirs sauvages éparpillées anarchiquement dans le tissu urbain, des maintenant les déchets dans les hôpitaux, centre médicaux et pharmacies n'ont pas gérés dans ladite commune les uns se débrouillent eux même les évacués aux enceinte de ces derniers, c'est surtout l'auto-gérance qui permet à ce que les dépotoirs sauvages puissent accroitre 3.2.3. Les réseaux hospitaliersLa population de la ville de Likasi en général et en particulier la population de la commune de Kikula n'ont pas une bonne culture de la gestion des déchets, le constat fait ce que cette population ne trie pas ses immondices ne l'évacue de son domicile que pour le jeter sur les places publiques dans les parcs et auteurs espaces verts, sur la voie publique dans des caniveaux et dans le cours d'eau. Maintenant comme conséquence de cet effet. Enlaidissement du paysage urbain, et création des gites des nuisances de toutes sortes observée dans la dite ville (olfactives et visuelles). 3.2.4. Les milieux scolaires et domestiquesSuite à la campagne de masse financée par la vision mondiale, beaucoup d'écoles sont sensibilisées à tenir compte de l'assainissement du milieu et de la propreté contre les maladies de mains sales, c'est ainsi qu'ils évacuent de ces écoles que pour les jeter aux dépotoirs de transit anciens qi ne sont pas encore évacués. La création de petits dépôts clandestins dans cette zone a donné de complication pourtant, certains ménages s'entretient avec les personnes qui ont des troubles mentales qui sont devenus des transporteurs de déchets des domiciles vers les dépôts sauvages. Certains autres se créent des ordures dans leur propres parcelles, c'est à ce qui a fait que beaucoup de maladie (épidémies) cholera, fièvre typhoïde, malaria et autres puisent persister dans la population. 3.2.5. Le comportement de la populationComme dans toutes les villes des pays pauvres en général la ville de Likasi en particulier la commune de Kikula n'a pas une bonne culture de la gestion des immondices. En effet, le constat fait et que cette population ne trie pas ses immondices, ne l'évacue de son domicile que pour le jeter sur la voie publique, sur les places publiques, dans les parcs et autres espaces verts, dans les caniveaux et dans les cours d'eaux.49(*) 3.2.6. Les maladies sanitairesSuite aux comportements de la population signalée i-haut est à la base de la persistance des épidémies des cholera et de la fièvre typhoïde, ainsi que de la maladie hydriques et la malaria qui est la cause de décès survenue dans la population. DIFFICULTES RENCONTREESTout au long de notre travail nous avons rencontres des difficultés d'ordre : - Physique : cependant, le moyen de déplacement nous semblait difficile pour constamment aller à pieds - Economiques : manque des bibliothèques pour récolter certaines données ; - Financières : manque de moyen financier a causé un problème sur la récolte de données dans des sites internet... CONCLUSION GENERALEAprès une très longue discussion autour de notre travail scientifique, voici au terme de notre dissertation sur le sujet intitulé : « l'inapplicabilité de politique publique Congolaise et son incidence sur la gestion des immondices dans la ville de Likasi (cas de la commune de KIKULA). Le but poursuivi dans l'élaboration de cette étude est de contribuer dans la mesure du possible, au développement de la recherche scientifique et celui de savoir les causes d'ingérence et apprécier les oeuvres produites en matières de politique publique. Outre l'introduction générale et la conclusion générale, notre travail se subdivise en trois chapitres : - Le premier porte sur « Généralité ». Il se compose également à quatre sections à avoir : définition des concepts de basse, cadre théorique, la mission de l'administration publique et la gestion des immondices, ainsi que la notions sur les travaux publics. - Le deuxième chapitre est consacré à la présentation de cadre d'étude. Il se subdivise en deux sections à savoir aperçu sur la ville de Likasi et la présentation de la commune de Kikula. - Et enfin le troisième chapitre intitulé inapplicable de la politique publique et son incidence sur la gestion des immondices à Kikula, il nous présente les causes d'ingérence des immondices et les retombés d'ingérence des immondices. Nous nous sommes servie de la méthode systémique qui nous a aidés à observer les phénomènes d'ingérence des déchets en matière de politique publique, et dans la problématique la question principale était celle de savoir les causes d'ingérence. Après toutes les investigations à l'aide de cette méthode, note hypothèse est affinée. SUGGESTIONSC'est à cette étape de la suggestion que nous allons essayer de noter notre point de vue à notre travail. Notre point de vue est d'interpeller les autorités politiques de remédier sur e conflit qui prévaut dans la ville de Likasi et en général dans la commune de KIKULA en particulier que dans la mesure du possible la génération ne puisse pas grandir et continuer à perdre la beauté de la ville. - Qu'on crée des études spécialisée à la gestion des déchets. - En outre, nous suggérons que les particuliers créent des maisons pour la gestion des déchets tels qu'est fait pour les maisons de sécurités, dans ce cas chaque ménage saura s'abonner à une maison de son choix. BIBLIOGRAPHIE1. TEXTES LEGAUX ET REGLEMENTAIRES - Loi organique n°08/016 du 7 octobre 2008 portant composition et fonctionnement de CBTD et leur rapport avec l'état et les provinces. - Loi organique N°18.016 la 07/10/2008 portant composition, organisation et fonctionnement des entités territoriale décentralisées et leur rapport avec l'Etat et les provinces. 2. OUVRAGES - MULUMBATI NGASHA, sociologie politique, éd. Africa, Lubumbashi 1988 - MULUMBATI NGASHA, Sociologie générale, éd. Africa, Lubumbashi 1980 - MULUMBATI NGASHA, Introduction à la science politique, Lubumbashi éd. Africa - GUY ROCHER, introduction à la sociologie générale, T3 paris éd. H.M.H 1988 - DAVID EASTON Analyse du système politique, éd ? A Colin, paris 1974 - MADELEIN GRAWITZ, lexique sociales, 7e éd. Dalloz paris 2000. 3. THESES ET MEMOIRES - MUSANS KAPEND LEON, exercices prérogatives de puissance publique par l'administration face à ses contractants dans l'exécution de contrat administratifs, mémoire de DEA en SPA, UNILU 2011-2012 - MUKANYA TSHIB, la problématique de traitement et évacuation des déchets solides (cas de l'hôpitalSendwe, mémoire en santé publique UNILU 2000-2001 - KASONGO ASSA AGNES, la problématique de traitement et évacuation des déchets solides dans le milieu hospitalier (cas de la clinique AFIA de Lubumbashi), mémoire en santé publique, UNILU 2002-2005 - ARSEN NKINTWAHANGA, la problématique de la gestion des ordures ménagères dans la ville de Kinshasa (cas de la commune de Masina) mémoire en agronomie UNIKIN 2008-2009. - KAYUMBA BANZE, problématique de l'évacuation des ordures ménagères des bâtiments granat, mémoire en santé publique UNILU 2007-2008 - DITEMB M. July la problématique de l'évacuation de déchets solides (cas du marché Mzee Kabila) mémoire en santé publique UNILU 2004. - MUNYUNGWA KABAMBA Emmanuel, Rôle et place de l'OVD dans la réhabilitation des infrastructures routières par les contractants de l'administration dans la ville de Likasi mémoire en SPA UNILI 2014-2015 4. DICTIONNAIRES - Dictionnaires du cinquantenaire, éd. 2010 - Dictionnaire Larousse illustré, éd SPRDC Kinshasa 2010 - Dictionnaire Larousse éd. Spéciale RDC 2010 5. NOTES DE COURS - KASONGO MUKEBA, Initiation à la recherche scientifique, G1 SPA, I.U.C 2011 - 2012 - MUNGA KITENGE, Analyse de politique publique, L.S SPA Université Biosadec Likasi, 2015-2016. - ALI KANDOMBE BIN SHIMA, science administrative G1 SPA, I.U.C Likasi 2011-2012. - MBAYA KABAMBA domaines et problèmes sectoriel, L1 SPA 2014-2015 - MUJINGA WA MUKEYA, éducation à la citoyenneté, G1 SPA, I.U.C 2011-2012 - MUSANS KAPEND, Administration des villes du Congo et de l'Afrique, UNILU, 2013-2014. - ANDRE SALUMU MWANKANA, Environnement mondial et régional, L.S SPA, Université Biosadec Likasi, 2015-2016. 6. WEBOGRAPHIE 7. AUTRES DOCUMENTS - Rapport de la gestion de déchets mairie de Likasi 2013 - Rapport annuel Mairie de Likasi 2012, 2013, 2014 TABLE DES MATIERESEPIGRAPHE.......................................................................................I DEDICACE................................................................................................II IN MEMORIUM.........................................................................................III AVANT - PROPOS.....................................................................................IV 4. CHOIX ET INTERET DU SUJET 3 5. PROBLEMATIQUE ET HYPOTHESE 3 6.2 TECHNIQUES DE COLLECTE DES DONNEES 5 6.2.2. Technique Documentaire 6 7.1. Délimitation Temporelle 6 SECTION I : DEFINITION DES CONCEPTS DE BASE 8 1.1.4 Incidence : Conséquence plus ou moins direct de quelque chose. 9 1.1.5 Gestion : Action ou manière de gérer, d'administrer, de diriger, ou d'organiser quelque chose. 9 1.1.6 Immondice : (du latin immondutia) chose sale ou impure, ordure ménagère ou déchets de toutes sortes. 9 1.1.7 Ville : Selon le professeur OBOTELA LINGULE, la ville peut être appréhendée comme une agglomération infrastructurelle et super structurelle qui s'identifie par les diverses activités accomplis par les groupes sociaux en présence. 9 1.1.8 Commune : (du latin communia, chose communes) 9 SECTION II : CADRE THEORIQUE 10 1.2.1 NOTION SUR LA POLITIQUE PUBLIQUE 10 b) Elaboration des problèmes publics 10 b.1) Rôle de la politique publique 10 v EMERGENCE DES PROBLEMES PUBLIQUE 11 b.2) Les objectifs poursuivis 11 b.3) Identification des problèmes publics 11 A) Saisit le problème tel qu'il est posé : 12 B) Faire le problème tel qu'il est posé : 12 C) L'incertitude de politique publique 12 SECTION III : LA MISSION DE L'ADMINISTRATION PUBLIQUE ET LA GESTION DES IMMONDICES 13 1.2.1 Les services compétant pour la gestion des immondices 13 Tableau 1 : Classement des ressources matérielles 14 1.2.3 Les secteurs de conservation des immondices 15 Tableau 2 : Répartition des dépotoirs de transit à Kikula 15 1.2.4 Elaboration des problèmes publics sur la gestion des immondices 15 a) La gestion des déchets miniers 15 b) La gestion des déchets industriels 16 c) La gestion des déchets domestique 16 SECTION IV. : NOTION SUR LES TRAVAUX PUBLICS 17 1.4.1.1 Opération de construction d'entretien ou travail d'aménagement 17 c) L'affection à l'intérêt général 19 1.4.2 OUVRAGE PUBLIC ET LES NOTIONS CONNEXES 19 1.4.2.1 Ouvrage public et travail public 19 1.4.2.1 Ouvrages publics et domaine public 19 1.4.2.3 Ouvrage public et propriété publique 20 1.4.3 PRINCIPE D'INTANGIBILITE DE L'OUVRAGE PUBLIC 20 1.4.3.2 Réalité et porte initiale du principe 20 1.4.4 EFFETS ATTRACTIFS DE LA NOTION DES TRAVAUX PUBLICS 21 1.4.4.1 Effets attractifs et la qualification des contrats 21 1.4.4.2 L'effet attractif et qualification de dommages 21 1. Dommage des travaux publics 22 2. Dommage assimilé aux travaux publics 22 3. Dommage imputé au fonctionnement d'un service public utilisant un ouvrage public 22 1.4.5 EXIGENCE DES TRAVAUX PUBLICS 22 1.4.6 EXECUTION DES TRAVAUX PUBLICS 24 1.4.6.1 Mode d'exécution des travaux publics 24 1.4.6.1.1 L'exécution en régie 24 1.4.6.1.2 L'exécution par des non professionnels 24 1.4.6.1.3 Le recours à de professionnels 25 · Le marché des travaux publics 25 · Les concessions des travaux publics 25 · Le marché d'entreprise des travaux publics 26 CHAPITRE II : PRESENTATION DE CADRE D'ETUDE 27 SETION I : APERCU SUR LA VILLE DE LIKASI 27 2.1 CREATION DE LA VILLE DE LIKASI 27 2.2. LA SITUATION GEOGRAPHIQUE DE LA VILLE DE LIKASI 28 2.2.1 Le climat de la ville de Likasi 28 2.2.1 Hydrographie de la ville de Likasi 28 2.3 ORGANISATION ADMINISTRATIVE 30 2.4.1 LES VOIES DE COMMUNICATIONS 31 2.4.2 LES CULTURES PRATIQUES 31 2.4.1 ACTIVITES COMMERCIALES 33 2.5 SITUATION SOCIO-CULTURELLE 33 Tableau 3 : Liste des entreprises, sociétés et établissement qui ont fonctionné depuis 2012. 34 CONSTRUCTION BOBINAGE ET GENIE CIVIL 34 SECTION II : PRESENTATION DE LA COMMUNE DE KIKULA 36 2.2.1 A) HISTORIQUE DE LA COMMUNE 36 2.2.2 B) ASPECT GEOGRAPHIQUE 36 Tableau 4 : ORGANIGRAMME DE LA COMMUNE DE KIKULA 38 2.2.4 D) ASPECT DEMOGRAPHIQUE 38 Tableau 5 : Répartition de la population par quartier. 39 2.2.5 E) ASPECTS ECONOMIQUES 39 CHAP.III : L'INAPPLICABILITE DE LA POLITIQUE PUBLIQUE ET 41 SON INCIDENCE SUR LA GESTION DES IMMONDICES 41 SECTION I : LES CAUSES D'INGERENCE DES IMMONDICES 41 3.1.1 LES AUTORITES COMPETENTES 41 3.1.2.1 Ressources humaines 44 3.1.2.2 Ressources matérielles 44 3.1.2.3 Ressources financières 44 Tableau 6 : répartition de taux de la taxe immondice par catégorie des contribuables. 45 Tableau 7 : Les dépenses sont estimées et reparties de la manière suivantes : 45 3.1.3 LES ENTREPRISES MINIERES 46 3.2 LES RETOMBES D'INGERENCE DES IMMONDICES 46 3.2.1 Dans les voies routières 46 3.2.2 Dans les installations sanitaires 46 3.2.3 Les réseaux hospitaliers 46 3.2.4 Les milieux scolaires et domestiques 47 3.2.5 Le comportement de la population 47 3.2.6 Les maladies sanitaires 47 * 1 KAYUMBA BANZE, la problématique de l'évacuation des ordures, ménagères au bâtiment Granat, mémoire en santé publique/UNILU 2007, 2008 * 2 DITEMB M. JULLY, La problématique de l'évacuation des déchets solides (Cas du marché Mzee KABILA), mémoire en santé publique/UNILU 2004 * 3 MUKANYA TSHIBANGU : « La problématique de traitement et évacuation des déchets solides » (Cas de l'hôpital Sendwe), mémoire en santé publique UNILU 2001 * 4 KASONGO ASSA AGNES, « La problématique de traitement et évacuation des déchets solides dans le milieu hospitalier (cas de policlinique AFIA de Lubumbashi), mémoire en santé publique /UNILU 2002 - 2003. * 5 ARSENE NKITWA HANGA « La problématique de la gestion des ordures ménagères dans la ville de Kinshasa (cas de la commune de Masina), Mémoire en agronomie UNIKIN 2009 * 6 KASONGO MUKEBA, Cours d'initiation à la recherche scientifique, G1 SPA I.U.C 2011-2012 * 7 WENU BECKER Cité par l'assistant MUKEBA dans son cours d'IRS 2011 - 2012 * 8 KASONGO MUKEBA Op. cit * 9 MADELEIN GRAWITZ, Lexique social, 7e Ed. Dalloz, Paris 2000 P 76 * 10 GUY ROCHER, Introduction à la sociologie générale, T3 Paris éd. HMH, 1980 ; P 146 3. MULUMBATI NGASHA Sociologie politique, éd Africa, Lubumbashi 1988 P 128 * 11 KASONGO MUKEBA op. Cit * 12 HENRI FAYOL cité par ALI KANDOMBE, Dans son cours de science administrative, G1 SPA I.U.C Likasi 2011- 2012 * 13 ALI KANDOMBE, OP CIT * 14 Dictionnaire du cinquantenaire, Ed. 2010 p 529u * 15 MUJINGA WA MUKEYA, cours d'educit G1 SPA, I.U.C 2012 * 16 ARISTOTE, cite par MUJINGA WA MUKEYA * 17 MUNGA KITENGE , Cours d'analyse de politique publique, Université Biosadec Likasi, LS 2015-2016 * 18 Dictionnaire Larousse illustrée, éd. S.P.R.D.C, Kinshasa 2010, p 528 * 19 Parson, cité par MUNGA KITENGE, op. cit * 20 Idem P.466 * 21 Op cit * 22 Dictionnaire de la langue française, Robert Micro, Ed. 2008 p.1410 * 23 Loi organique N° 18.016 du 07/10/2008 portant composition, organisation et fonctionnement des entités territoriale décentralisé et leur rapport avec l'Etat et la province. * 24 OBOTELA LINGULE cité par MUSANS KAPEND, cours d'administration de villes, du Congo et de l'Afrique, UNILU 2013 - 2014 * 25 LAURENCE J HEROSON, cité par MUNGA KITENGE dans son cours d'analyse de politique publique, LS SPA.2016 * 26 YVES MENY et JC THOENING op cit * 27 MUNGA KITENGE, op cit * 28 MUNGA KITENGE, op. cit. * 29 ANDRE SALUMU, cours d'environnement national et régional, Université Biosadec Likasi, Licence spéciale, SPA 2016 * 30 MUNYUNGWA KABAMBA, Rôle et place de l'OVD dans la réhabilitation des infrastructures routières par les contractants de l'administration dans la ville de Likasi, mémoire UNILI, 2014 - 2015 p.35 * 31 MBAYA KABAMBA, cours de domaines et problème sectoriels de l'administration Publique, L1 SPA, UNILI 2013 - 2014 * 32 MBAYA KABAMBA, op. cit L1 SPA UNILI 2013-2014 * 33 MBAYA KABAMBA, op. cit, L1 SPA, UNILI 2013-2014 * 34 MBAYA KABAMBA op. cit L1 SPA UNILI 2013-2014 * 35 Idem * 36 Ibudem * 37 Idem * 38 MBAYA KABAMBA op. cit, L1 SPA UNILI 2013-2014 * 39 Rapport de la Mairie Likasi exercice 2014 * 40 Rapport annuel Mairie Likasi 2013 * 41 Source : l'investigation de recherche et rapport annuel mairie Likasi exercices 2013 * 42 Journal officiel du 20 Octobre 2008 * 43 Rapport annuel de gestion des déchets mairie de Likasi 2014 * 44 Idem * 45 Rapport annuel de gestion de déchets, Mairie de Likasi exercice 2014 * 46 Source secrétariat mairie Likasi * 47 Source secrétariat Mairie Likasi * 48 ANDRE SALUMU, op cit. L.S Université Biosadec Likasi 2015-2016 * 49 Rapport gestion des immondices 2014, Mairie de Likasi
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"Nous devons apprendre à vivre ensemble comme des frères sinon nous allons mourir tous ensemble comme des idiots" | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||