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la performance financière de la coopérative agricole et industriel "ZOUILA"

( Télécharger le fichier original )
par zouheir sassi et habib ben geid
institut supérieur des études technologiques de mahdia - diplome de technicien supérieur en comptabilité finance 2006
  

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IV. Section 3: Analyse financière par la méthode des ratios

Introduction :

L'analyse financière d'une entreprise consiste à étudier et interpréter sa situation financière, une bonne gestion doit être baser sur une bonne analyse et une bonne compréhension de l'entreprise et par suite la détection rapide des problèmes.

L'analyse financière a besoin des certains instruments de mesure pour atteindre son objectif recherché. L'analyse par la méthode des ratios constitue l'un de ces instruments la plus utilisés.

Un ratio est un rapport entre deux ou groupe de postes, soit du bilan soit du compte de résultat, soit les deux ensembles. Il est calculé pour apprécier une vue globale sur le développement de l'activité de l'entreprise dans le temps et dans l'espace.

Toutefois, un ratio doit être significatif et répondre aux questions stratégiques de l'entreprise. Il doit être aussi comparable et ne doit pas être isolé pour qu'il donne un sens correct sur la situation et la performance financière d'une entreprise.

Les ratios sont très utiles pour les gestionnaires dans la mesure ou ils leurs permettent de :

- Mesurer la performance de l'entreprise à travers le temps.

- Détecter les problèmes existants et donner des solutions.

- Evaluer l'entreprise en terme de rentabilité et solvabilité.

I- Les ratios de structure :

1-La structure de l'actif :

Les ratios de structure de l'actif analysent principalement les grandes masses de haut de bilan.

L'établissement de ces ratios représente une forme d'analyse verticale de bilan. Il s'agit d'exprimer la valeur de certains postes de l'actif en pourcentage de l'actif total.

a- Ratio d'immobilisations :

Ce ratio exprime la proportion des valeurs immobilisées nettes dans le total d'actif c'est-à-dire le poids des capitaux fixes dans le patrimoine de l'entreprise.

R.I =

 

2001

2002

2003

2004

Immob. .nettes

Actif total

4 414 295,431

6 441 033,862

4 208 369,798

5 647 074,966

3 976 452,424

5 172 628,608

5 988 134,037

8 440 791,218

R.I

0,68

0,74

0,76

0,70

Interprétation :

On remarque que l'actif immobilisé représente une part importante (en moyenne 0,72) dans le total d'actif. Ainsi, ce ratio montre que la coopérative souffre d'une sur immobilisation ce qui représente un risque d'illiquidité qui touche la trésorerie pendant les quatre années (frais de réparation et entretien élevées).

Ce ratio doit être complété par le ratio d'amortissement des immobilisations.

b- Ratio de renouvellement ou d'âge des immobilisations :

Ce ratio permet de donner une idée sur le degré de vieillesse des immobilisations constituant l'appareil productive et de juger la politique d'investissement de la coopérative.

Donc, plus ce ratio est élevé, plus les amortissements cumulés sont importants et plus les immobilisations sont vieilles ou anciennes.

R.R.I =

 

2001

2002

2003

2004

Amort. Globaux

Immob. brutes

4 711 611,756

9 129 238,073

5 000 276,179

9 212 533,010

5 294 337,762

9 271 346,333

5 760 635,893

11 748 769,930

R.R.I

0.51

0,54

0,57

0,49

Interprétation :

Le ratio d'âge des immobilisations de la coopérative « Zouila » est en moyenne de l'ordre de 50% durant les quatre exercices ce qui nous permet de dire que les immobilisations ne sont pas vieilles.

Pour l'année 2004, la baisse de ratio s'explique par l'acquisition des nouveaux équipements de la part de la coopérative « Zouila » pour sa nouvelle usine.

2-La structure du passif :

Les ratios de structure du passif permettent d'analyser les bas du bilan. Il s'agit de comparer le montant des capitaux propres à celui des capitaux empruntés.

a- Ratio d'autonomie financière :

Ce ratio permet de mesurer la part des capitaux propres dans les ressources durables et par la suite d'apprécier l'autonomie financière de l'entreprise. Ce ratio doit être supérieur ou

égale à (0,5) c'est-à-dire que les capitaux propres doivent au moins représenter la moitié des capitaux permanents.

R.A.F=

 

2001

2002

2003

2004

Capitaux propres

Capitaux permanents

553 157,682

2 571 891,862

(217 775,102)

1 457 161,618

(718 008,607)

613 130,653

(2 883,569)

2 057 766,055

R.A.F

0,21

(0,14)

(1,17)

(0,001)

Interprétation

Ce ratio est faible (en 2001 voir même négatif dans les exercices qui suit 2002,2003et 2004) on peut conclure que selon les mesures traditionnelles des banques la capacité d'emprunt de la coopérative est saturée au cours de quatre exercices puisque le ratio est inférieur à 0,5.

b- Ratio de solvabilité :

R.S.G =

Ce ratio mesure l'aptitude de l'entreprise à faire face à ses échéances à long et moyen terme. Elle dé pont principalement de l'importance de l'endettement à LMT et de la facilité de liquidation des actifs.

On peut dire à ce niveau qu'on ne va pas calculer le ratio de solvabilité générale pour apprécier la solvabilité de la coopérative et peut se faire automatiquement sans passer par le calcul de ce ratio puisque la SNR est inférieure à zéro. (SNR<0)

Ce ratio permet d'apprécier la marge de confiance qui existe entre les banques et l'entreprise, plus ce ratio est élevé plus la marge de confiance se réduit.

Dans notre cas on peut dire que les charges financières sont élevées et le risque de cessation de payement des échéances est élevé ce qui va influencer négativement la marge de confiance entre la coopérative et les banques.

II- Ratio de liquidité :

Définition :

Les ratios de liquidité mesurent l'aptitude de l'entreprise à transformer ses actifs circulant en liquidité afin de faire face aux dettes à court terme.

L'analyse financière reconnaît traditionnellement trois types des ratios qui sont :

· Liquidité générale.

· Liquidité réduite.

· Liquidité immédiate.

1-Liquidité générale :

Ce ratio mesure le degré de couverture du passif à court terme par les actifs à court terme.

Ce ratio doit être supérieur ou égale à « 1 ».

R . L .G = =

 

2001

2002

2003

2004

A.C

P.C

2 026 738,431

3 869 142,000

1 438 705,168

4 189 913,348

1 196 176,184

4 559 497,959

2 452 657,181

6 383 025,159

R.L.G

0,52

0,34

0,26

0,38

Interprétation :

On constate que ce ratio est nettement inférieur au norme (1 et +), c'est-à-dire que les actifs à court terme ne garantissent pas une marge importante de payement du passif à court terme. En plus ce ratio est en baisse durant les trois premières années.

Ceci peut être expliqué par la baisse continue de la valeur des stocks cependant, Il a connu une légère augmentation durant la quatrième année suite à l'augmentation des stocks (1658208,064).

Pour bien apprécier la liquidité de la coopérative, on doit recourir à d'autres ratios plus significatifs.

2-Liquidité réduite :

Le ratio de liquidité réduite est constitué par des valeurs réalisables et des disponibilités. Il ne tient pas compte des valeurs d'exploitations qui ne sont pas très liquides.

R.L.R = =

En effet, il se calcule en divisant les actifs courants hors stocks par les passifs courants.

 

2001

2002

2003

2004

V.R.E

V.R.H.E

V.D

P.C

502 253,118

149 923,494

427 229,891

3 869 142,000

416 335,909

154 155,135

214 107,281

4 189 913,348

222 059,957

64 140,767

458 907,746

4 559 497,959

561 264,585

88 245,671

144 938,861

6 383 025,159

R.L.R

0,27

0,18

0,16

0,12

Interprétation

Après calcul de ce ratio, on constate que la coopérative est en mesure de rembourser en moyenne 15% de ses dettes à mois d'un an en immobilisant la totalité de ses créances et de ses liquidités et équivalent de liquidités.

En comparant le RLR et le RLG on constate que les stocks constituent la part la plus importante (en moyenne 50%) de l'actif circulant.

3-Ratio de liquidité immédiate :

Ce ratio mesure le degré des interventions de l'entreprise en utilisant ses disponibilités immédiates. Il se définit comme étant le rapport entre les liquidités et équivalent de liquidités et les passifs courants.

Le ratio de liquidité immédiate exprime la partie de DCT qui peut être remboursé grâce aux disponibilités.

R.L.I =

Un ratio de liquidité immédiate élevé constitue un bon signe pour les créanciers mais il peut constituer au même temps un mauvais signe de gestion de trésorerie.

 

2001

2002

2003

2004

T.A

P.C

427 229,891

3 869 142,000

214 107,281

4 189 913,348

458 907,746

4 559 497,955

144 938,861

6 383 025,159

R.L.I

0,110

0,051

0,100

0,022

Interprétation :

La faiblesse de ce ratio pendant les quatre années indique d'une part l'absence de ressources non employés ou/et d'autre part une mauvaise gestion de compte client qui constitue au moyenne 40% de l'actif courant

Analyse de l'activité de la coopérative par les soldes intérimaires de gestion (SIG)

Chapitre II :

Apres avoir présenter des différents retraitements, nous nous intéresserons à prend aux principaux indicateurs permettant d'analyser l'activité d'une entreprise ainsi que ses résultats. Les indicateurs sont extraits de l'état de résultats, présenter dans un solde intermédiaire de gestion.

Soulignons que, comme pour tout indicateur de gestion, l'analyse des ces agrégats a des sens que dans une perspective de suivi de leur évolution dans le temps ou par rapport à des repères comparatifs.

Section1 : Les soldes intermédiaires de gestions « SIG »

I- Définition

Le tableau de SIG représente une cascade des marges qui constituent des paliers dans la formation de résultat net de l'exercice dans le but de suivre et de mesurer le flux global d'activité de l'entreprise.

II- Elaboration de solde intermédiaire de gestion « SIG » :

Pour une analyse pertinente de la performance, il est nécessaire de retraiter l'information comptable utilisée .les principaux retraitements concernant les éléments suivants :

III-La production de l'exercice de la coopérative « ZOUILA » :

1-Définition :

La production est égale à l'ensemble des biens et services produits par la coopérative industrielle durant un exercice, qui aura été vendu, retenus en stock ou qui auront servi à constituer des immobilisations.

Dans la coopérative « ZOUILA » on peut distinguer entre trois catégories de productions :

* Productions vendus : facturation hors taxes de produits et de services

* Productions stockées : stocks de produits intermédiaires, d'encours ou de produits finis .La variation de stock (SF-SI) indiquant si l'entreprise a plus produits que vendu (stockage) ou le contraire (déstockage)

* Productions immobilisée : évaluée également au coût de productions hors taxes, elle représente la production concerné à usage de l'entreprise et rejoint la notion d'investissement. Pour la coopérative « Zouila » l'année 2004 a enregistré la réservation de772896.522 DT au titre de la production immobilisé.

2-Formule :

Production totale = production vendu + production stockée ou - de stockage de production + production immobilisée

3-Calcul :

 

2001

2002

2003

2004

production vendue

6 279 055,720

5 887 268,358

6 253 142,747

7 796 029,880

production stockée

4 935,990

(43 927,502)

(13 142,907)

14 924,383

Production immobilisée

-

-

-

772 896,522

Production totale

6 283 991,710

5 843 340,856

6 239 999,840

8 583 850,785

4-Interprétation :

On constate que la production de la coopérative « ZOUILA » a connu une amélioration importante pendant la dernière année au niveau de la production vendu, stockée et immobilisée.

On peut conclure que cette augmentation du niveau de la production de l'exercice était certainement le résultat de l'amélioration au niveau d'activité de la coopérative « Zouila » suite à un nouvel investissement.

IV-La valeur ajoutée brute :

La VAB constitue un outil précieux pour suivre la gestion des entreprises industrielles. Elle exprime la différence entre ce que ces entreprises produisent et ce qu'elles consomment comme biens et services acquis à l'extérieur.

VAB = production de l'exercice - Tout ce qui l'entreprise a acheté à l'extérieur * utilisé pour élaborer sa Production

1-Formule :

* Il s'agit des achats consommées, des achats non stockées (eau, énergie...) et des services extérieurs (crédit bail, loyers).

2-Calcul

 

2001

2002

2003

2004

Production

Achats consommées

Autres. Charges externes

6 283 991,710

(2 565 900,010)

(734 947,262)

5 843 340,856

(3 046 575,247)

(378 480,240)

6 239 999,840

(2 691 978,847)

(406 884,044)

8 583 850,785

(3 200 794,354)

(623 777,579)

VAB

2 983 144,438

2 418 285,369

3 141 136,922

4 759 278,852

3-Interprétation :

La coopérative « Zouila » a réalisé un VAB important pendant les quatre exercices étudiés à cause d'une augmentation de production vendus et une diminution de tout ce qui la coopérative a acheté de l'extérieur et utiliser pour élaborer sa production.

Donc, on constate une baisse au niveau des achats consommés et des autres charges externes par rapport à l'importance de chiffre d'affaire qui permet de couvrir un grand part des charges où cette situation se manifeste dans la production de l'exercice 2004 qui est égale à 7796029,880D et les achats consommées =3200794,354D.

 

2001

2002

2003

2004

VAB

Production totale

2 983 144,438

6 283 991,710

2 418 285,369

5 843 340,856

3 141 136,922

6 239 999,840

4 759 278,852

8 583 850,785

Taux d'intégration

0,47

0,41

0,50

0,55

On constate que le taux d'intégration est au moyenne de 48% .Ce taux est faible, il doit être normalement égale à « 1 ».

V- L'excèdent brut d'exploitation « EBE »ou insuffisance « IBE ».

1-Définition :

Il peut être défini comme étant le reste a l'entreprise de la VAB après déduction ou règlement des impôts, taxes et versements assimilés et les charges personnelles .Le reste sera utilisé pour rémunérer les capitaux propres , les emprunts et maintenir et accroître sa capacité de production.

Partage de la VA PERSONNEL : salaires et prestation de service

ETATS : Impôts et taxes

ENTREPRISE : dotation aux amortissement et provision

Au cas ou cette grandeur est négative on l'appelle insuffisance brut d'exploitation. (IBE)

EBE = VAB - Impôt, taxes versement assimilées hors impôt sur les sociétés - charges de personnel

2-Formule

3-Détermination de l'EBE :

 

2001

2002

2003

2004

VAB

I et taxe

Charge de personnel

2 983 144,438

(85 939,316)

(2 432 130,536)

2 418 285,369

(69 746,744)

(2 524 332,397)

3 141 136,922

(88 111,292)

(2 890 929,931)

4 759 278,852

(89 726,461)

(3 005 323,147)

EBE / IBE

465 074,536

(175 793,772)

162 095,699

1 664 229,244

4-Interprétation :

L'EBE est un indicateur global qui reflète le potentiel de rentabilité de la coopérative, l'efficacité de sa gestion courante, et permet la comparaison avec des autres entreprises.

On constate que cet indicateur (EBE) est variable pendant les différents exercices de la coopérative.

· En 2001 : la société a réalisé un EBE de 465074,586D, malgré l'importance de charges personnelles (2432130,586).

· En 2002 : on parle dans cette exercice d'insuffisance brut d'exploitation (IBE), car la coopérative a subi un chute de (175793,772).ceci peut s'expliquer par l'importance de poids des charges personnels dans la VA.

· En 2003 : la société a réalisé un EBE de 162095,699D.

· En 2004 : on enregistre une augmentation considérable de l'atteignant EBE 1664229,244D. Cette amélioration est le résultat de l'importance de produits d'exploitation malgré l'augmentation des charges personnelles (3005323,147).

VI- Résultat des activités ordinaires (positif ou négatif) :

1-Définition :

Le résultat des activités ordinaires (RAO) correspond à l'EBE corrigé de la politique d'investissement, d'amortissement et de l'estimation des risques liés à l'exploitation (provision) et la prise en compte des opérations financière.

RAO = EBE

-Dotation aux amortissement et provision

+Autre produit ordinaire

+transferts et reprises de charges

-Autres charges ordinaires

+produit financiers

-Charges financières

2-Formule

3-Calcul

 

2001

2002

2003

2004

R.C.A.I

A.G. Ordinaire

A.C. Ordinaire

54 794 ,113

66 224,560

(5 555,594)

(843 790,981)

95 784,092

(17 430,690)

(477 290,931)

61 693,946

(86 595,477)

718 912,416

7 911,789

(19 549,744)

R.A.O

115 463,079

(765 437,579)

(502 192,462)

707 274,461

Avec : R.C.A.I = Résultat d'exploitation + Produit financières - Charges financier

4-Interprétation :

La coopérative « Zouila » a réalisé un résultat des activités ordinaires positif pendant 2001 et 2004 respectivement (115463,079 et 707274,461) à cause d'une importance de résultat d'exploitation, autre gain ordinaire et une diminution d'autre charge ordinaires.

Par contre, la coopérative a eu un résultat des activités ordinaires négatif entre 2002 et 2003 car il y a une insuffisance brute d'exploitation qui dégage un résultat d'exploitation négatif.

VII-Le résultat net après modification comptable :

1-Définition :

Le résultat net après modification comptable est la différance entre tous les produits et toutes les charges.

2-Formule :

Résultat net = Résultat des activités ordinaires

+Résultat extraordinaire

+/- Effet des modifications

- Impôt sur les bénéfices comptables

Avec : Résultat extraordinaire = gain extraordinaire - pertes extraordinaires

3-Calcul :

 

2001

2002

2003

2004

R.A.O

115 463,079

(765 437,579)

(502 192,462)

707 274,461

I / Benefice

(2 000,000)

(2 000,000)

(2 000,000)

(2 000,000)

Résultat net

113 463,079

(767 437,579)

(504 192,462)

705 274,461

4-Interprétation :

On constate que le résultat comptable net a subi plusieurs événements au cours des quatre années :

· Pour l'année 2001 : le résultat dégagé est faible113 463,079

· Pour l'année 2002 : le résultat dégagé est négatif -767 437,579

· Pour l'année 2003 : le résultat dégagé est négatif -504 192,462

· Pour l'année 2004 : le résultat dégagé est positif 705 274,461

Solde intermédiaire de gestion (regroupé)

 

2001

2002

2003

2004

Production de l'ex

Production vendue

Production stockée

Production immob.

6 283 991,710

6 279 055,720

4 935,990

-

5 843 340,856

5 887 268,358

(43 927,502)

-

6 239 999,840

6 253 142,747

(13 142,907)

-

8 583 850,785

7 796 029,880

14 924,383

772 896,522

Achat consommé

(2 565 900,010)

(3 046 575,247)

(2 691 978,874)

(3 200 794,354)

Marge/coût matières

Subvention d'exp.

Autres charges externes

3 718 091,700

-

(734 947,262)

2 796 765,609

-

(378 480,240)

3 548 020,966

-

(406 884,044)

5 383 056,431

-

(623 777,579)

VAB

2 983 144,438

2 418 285,369

3 141 136,922

4 759 278,852

Impôt et taxe

Charge de personnel

(85 939,316)

(2 432 130,586)

(69 746,744)

(2 524 332,397)

(88 111,292)

(2 890 928,931)

(89 726,461)

(3 005 323,147)

EBE / IBE

465 074,536

(175 793,772)

162 095,699

1 664 229,244

Autres pdt d'exp.

Autre charges d'exp.

Dotation A P

335 952,594

-

(469 872,784)

101 053,642

-

(355 930,312)

154 737,770

-

(472 929,339)

11 723,585

-

(503 580,165)

Résultat d'exp.

331 154,346

430 670,442

156 095,870

1 172 372,664

Produit financier

Charges financières

14 895,055

(291 255,288)

6 212,882

(419 333,421)

2 520,793

(323 715,854)

0,000

(453 460,248)

RCAI

54 794,113

(843 790,981)

(477 290,931)

718 912,416

Autres gains ord

Autre charge ord

66 224,560

(5 555,555)

95 784,092

(17 430,690)

61 693,946

(86 595,477)

7 911,789

(19 549,744)

RAO

115 469,079

(76 5437,579)

(502 192,462)

707 274,461

Impôt

(2 000,000)

(2 000,000)

(2 000,000)

(2 000,000)

Résultat net d'ex

113 463,079

(767 437,579)

(504 192,462)

705 274,461

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"Des chercheurs qui cherchent on en trouve, des chercheurs qui trouvent, on en cherche !"   Charles de Gaulle